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2.22.2013

Le fantasme du stationnement revu et corrigé

Quand le défi d'écriture se transforme en inspiration.. J'ai décidé de poursuivre l'écriture sur l'ébauche de fantasme que j'avais en tête lors du dernier défi d'écriture.

Voilà la version longue du texte, incluant la première partie du billet précédent à laquelle j'ai ajouté des détails et la suite.

Je suis au petit café que je fréquente toujours lors de mes journées de congé. Le plan est bien établi. À 12h45, il m’appelle un taxi et je dois monter à l’intérieur sans dire un mot. De là, il m’appellera pour me donner l'adresse que je dicterai au chauffeur et je devrai rester en ligne avec lui.
..Je lui ai donné mon numéro de cellulaire. Je suis assise sur le siège arrière de l’auto. Je porte une jupe et un chemisier blanc, sous lesquels je ne porte aucun sous-vêtement mis à part un collant diaphane. C’est la règle.  J’ai revêtu un manteau noir par-dessus, ai enfilé ma paire de gants de cuir et j’ai un grand foulard bleu enroulé autour de mon cou.

Lui, il m’attend à destination, installé dans sa voiture et est impatient de mettre la main sur moi.

Tout le long du trajet, je ne dois pas dire autre chose que «oui monsieur »et «non monsieur» aux questions qu’il me posera.


 Bien entendu, mon  inconnu s’affaire à me chauffer, ayant mis en trame de fond des cris de jouissance de femmes dans le système de son de sa voiture. Je suis déjà tellement excitée que si ce manège dure encore longtemps,  j’aurai mouillé et taché mon collant avant-même d’avoir atteint le point de rencontre!  Plus je fais de chemin, plus il me dit à quel point il a envie de me baiser dans sa voiture, il me décrit chaque geste qu'il a envie que je pose, me demande au passage si je suis excitée, si j’ai envie de me faire défoncer en bonne et due forme.. Je ne réponds que par la phrase convenue, mais j’aurais tellement envie d’en dire plus.je tremble. Je sais que nous y serons bientôt.  Nous nous engageons sur le dernier boulevard et quelques kilomètres seulement nous séparent. Je me tortille sur mon banc à la recherche d'un tout petit peu de plaisir, les mouvements de mes cuisses suffiraient à me faire jouir sur ce siège, mais je n'ai pas le droit.. Je sens mes seins pointer sur mon chemisier. Le tissus caresse mes mamelons érigés. Vivement que quelqu'un les soulage d'une langue humide et chercheuse.

Il m’a donné rendez-vous dans un stationnement non loin de son travail. Il ne sait pas à quoi je ressemble, je ne sais pas à quoi m’attendre, nous sommes donc au même pied d’égalité.  Je ne connais que sa voix. Cette voix qui me chavire.. que j’ai envie d’entendre au creux de mon oreille.  À 13h pile, je sors du taxi. Il me regarde, je le sais. Je l'entends respirer plus bruyamment dans son téléphone. Il me fait me tourner d’un demi-tour et me nomme sa plaque et la couleur de l’auto. Je repère sa voiture. Plus je marche vers l’auto, plus mon cœur bat la chamade, mais plus je ressens en moi cette excitation, cette envie de découverte et de danger, plus je sens que ma chatte s’humidifie. Ma bouche est asséchée,  j’ai les yeux dans l’eau. Je souris dans un mélange de peur, de stress, d'attente. Jamais je n’ai ressenti une telle émotion. 

La peur mélangée à la pulsion sexuelle. Un mélange étonnant. Réactif. Sublime.

La vitre de derrière est teintée, je ne peux pas voir à l’intérieur. Mais lui me voit. Depuis que j’ai mis le pied hors du taxi, il continue de me parler et m’observe. J’entends toujours les gémissements, mais ils se perdent dans les mots de l’homme qui me fait mouiller en abondance dans ce collant que je devine vraiment très humide, presque inconfortable. Un frisson parcourt mon dos quand j’ouvre la portière avant droite pour m’asseoir à l’intérieur. Je reste en silence parmi les bruits des gémissements, ma respiration semble saccadée, j'ai du mal à rester concentrée sur mon rôle. Je ne vois pas mon homme. Il n’est pas du côté conducteur. Il est assis derrière moi, et respire relativement fort.  Je n’ai pas le droit de me retourner et il me le répète de sa voix autoritaire et si près. Bientôt, il me passe un bandeau sur les yeux, le noue derrière ma tête sans se préoccuper de mes cheveux et pose un baiser sur ma tête. Je sens mon cœur battre comme jamais. Il descend de la voiture et passe devant. Dès lors, il se retourne vers moi, son parfum me fait vibrer toute entière. Je le sens particulièrement excité et fébrile. Sa main atteint mes cheveux qu’il caresse doucement, embrassant mes tempes, mes joues. Son nez effleure le mien. Il glisse alors sa main sous mon foulard et mon manteau pour vérifier si j’ai respecté la règle. Il me touche avec tellement de doigté, avec sensibilité, avec intensité.. je ressens son envie et son excitation à travers ses doigts. Je ne sais toujours pas de quoi il a l'air. Je l'imagine grand, au teint pâle, cheveux clairs.. je ne connais que ses yeux. Verts. Un vert profond. Un regard qui parle de lui-même..

Il me lance à l'oreille, en défaisant les boutons de mon manteau: «Te sens-tu en confiance?»
-Oui monsieur.
-Ça t'arrive souvent de rencontrer des inconnus dans les stationnements déserts de la ville sans savoir à qui tu as affaire?

-Non, c'est la première fois, dis-je, frissonnante.
-Tu sais que maintenant que tu es dans ma voiture, les portières barrées et en ma présence, tu ne pourrais pas te sauver malgré ton bon vouloir.
-Oui, je le sais.
-Je ne te ferai aucun mal.. nous allons avoir bien du plaisir par contre.. laisse-moi t'explorer..

Et comme s'il scrutait à la loupe chacune de mes réactions, il commence à frôler ma peau avec douceur et délicatesse. Il caresse mes seins du bout des doigts, pinçant un mamelon à la fois afin de me faire grimaçer un peu. Il prend un temps fou à examiner chacune de mes expressions faciales et de mes petits cris étouffés par ma lèvre inférieure mordillée..
Un long moment -aussi bien dire une éternité- se passe avant que sa
 main s'approche de ma cuisse.. je tremble comme une feuille, mais quand je ressens sa chaleur sur ma peau, si près de mon sexe qui demande à être touché, le temps s'arrête. Je sens sa main s'insinuer entre mes jambes. Il écarte délicatement mes cuisses, dépose mon pied gauche sur le bord des porte-gobelets et une effluve de mon plaisir certain se dégage de mon entrejambe.. Je suis sur le bord d'implorer mer et mondes pour qu'il me touche enfin, pour qu'il s'attarde à mon petit bourgeon tout gonflé, perdu dans une cascade de mouille. Sa main assurée s'en rapproche et l'atteint enfin. Je laisse tomber un soupir de soulagement, pendant que je le sens sourire à pleines dents.

Je sens son pouce qui commence à s'agiter sur mon clito bien dur à travers mon bas-collant terriblement trempé.. l'abondance de ma mouille le fait grogner.. et le plaisir commence dès lors, alors que d'un trait, il perce un trou dans le tissus diaphane et y insère le doigt afin de caresser de plus près.

«T'es tellement mouillée, j'en reviens pas.. c'est moi qui te fait cet effet-là?»

-Oui monsieur.
-Tu sais ce que j'ai envie de faire de toi.. tu seras mon petit jouet pour l'après-midi. Pendant que j'appelle au bureau pour confirmer mon absence, tu vas engloutir mon sexe et je ne veux pas t'entendre faire un seul son. Tu te débrouilles particulièrement bien jusqu'à présent..
-Oui, je le ferai monsieur.

Il ouvre sa braguette et en sort un beau sexe bien ferme, il ferme alors la radio et téléphone à sa réceptionniste. Une toute petite conversation d'à peine 30 secondes pour lui dire d'annuler tous ses rendez-vous du reste de la journée.

Pendant ce temps, je me délecte de son sexe bien dur sur ma langue et le mouille du mieux que je peux de ma salive. Je sens le haut de mes cuisses luisant de ma mouille qui continue de se faire sentir. L'excitation est à son paroxysme alors que l'homme me joue dans les cheveux en me félicitant de mes talents de suceuse. J'ai toujours le bandeau sur les yeux et ne peut me repérer. Peut-être y a-t-il 3 ou 4 de ses amis dehors à nous regarder mais à la rigueur, cette pensée m'excite encore un peu plus. Pendant que j'astique sa queue, il me passe la main dans le dos, me donne des frissons et me parle doucement. Ma langue s'attarde à son gland bien gonflé alors que je caresse ses couilles de ma main droite. Il me demande de me rasseoir après quelques minutes, plaidant qu'il a trop envie de jouir mais qu'il doit attendre.


Je reprend ma position et il couche le siège pour que je sois allongée.. de là, il reprend les caresse à l'entrée de ma chatte hyper mouillée et y passe beaucoup de temps. J'aurais envie de diriger sa main, mais impossible... Il trouve quand même la façon de me faire jouir quand à 3 doigts dans ma chatte, j'explose dans un cri déchirant le silence de l'habitacle. Il prend une bonne poignée de mes cheveux et embarque sur moi pour me pénétrer d'un trait. Après à peine quelques minutes à me pilonner, il jouit en saccade sur mon chemisier et m'embrasse passionnément avant de m'enlever mon bandeau..


Mamz'elle J xx


2.19.2013

Défi d'écriture, Février 2013; À la rencontre de l'inconnu


Bon début de semaine à vous tous et toutes! J'espère que votre St-Valentin s'est bien passé et que vous avez eu l'occasion de faire des folies, au lit conjugal comme dans celui d'un hôtel luxueux du Vieux-Montréal! Je ne sais pas de quoi vos conjoints et conjointes sont capables pour vous surprendre, alors, je divague en m'imaginant que nous avons tous cette envie folle de prendre congé de notre petite routine quotidienne le 14 février venu pour aller faire des galipettes dans un endroit où nous n'aurons pas à laver nos draps après les longues heures de plaisir de la chair.


Changement de sujet drastique, j'ai fait il y a quelque temps un défi d'écriture grâce à mon amant Laigle qui m'avait lancé 3 mots et je devais lui pondre un texte coquin avec ça! J'ai eu envie de retenter l'expérience mais cette fois, en lançant l'invitation sur mon fil Twitter!

Mais j'avais une contrainte personnelle. Ce texte se devait de raconter un fantasme encore jamais réalisé et mettre en vedette quelqu'un avec qui je n'avais jamais eu de rapprochements. Bref, un quasi-inconnu.. Donc, décrire une première rencontre avec les trois mots suivants; voiture, intensité, abondance.

Un champ lexical intéressant.


Et voici ma composition..

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Je suis au petit café que je fréquente toujours lors de mes journées de congé. Le plan est bien établi. À 12h45, il m’appelle un taxi et je dois monter à l’intérieur sans dire un mot. De là, il m’appellera pour me donner l'adresse que je dicterai au chauffeur et je devrai rester en ligne avec lui.
..Je lui ai donné mon numéro de cellulaire. Je suis assise sur le siège arrière de l’auto. Je porte une jupe et un chemisier blanc, sous lesquels je ne porte aucun sous-vêtement mis à part un collant diaphane. C’est la règle.  J’ai revêtu un manteau noir par-dessus, ai enfilé ma paire de gants de cuir et j’ai un grand foulard bleu enroulé autour de mon cou.

Lui, il m’attend à destination, installé dans sa voiture et est impatient de mettre la main sur moi.

Tout le long du trajet, je ne dois pas dire autre chose que «oui monsieur »et «non monsieur» aux questions qu’il me posera.


 Bien entendu, mon  inconnu s’affaire à me chauffer, ayant mis en trame de fond des cris de jouissance de femmes dans le système de son de sa voiture. Je suis déjà tellement excitée que si ce manège dure encore longtemps,  j’aurai mouillé et taché mon collant avant-même d’avoir atteint le point de rencontre!  Plus je fais de chemin, plus il me dit à quel point il a envie de me baiser dans sa voiture, il me décrit chaque geste qu'il a envie que je pose, me demande au passage si je suis excitée, si j’ai envie de me faire défoncer en bonne et due forme.. Je ne réponds que par la phrase convenue, mais j’aurais tellement envie d’en dire plus.je tremble. Je sais que nous y serons bientôt.  Nous nous engageons sur le dernier boulevard et quelques kilomètres seulement nous séparent.

Il m’a donné rendez-vous dans un stationnement non loin de son travail. Il ne sait pas à quoi je ressemble, je ne sais pas à quoi m’attendre, nous sommes donc au même pied d’égalité.  Je ne connais que sa voix. Cette voix qui me chavire.. Que j’ai envie d’entendre au creux de mon oreille.  À 13h pile, je sors du taxi. Il me regarde, je le sais. Il me fait me tourner d’un demi-tour et me nomme sa plaque et la couleur de l’auto. Je repère sa voiture. Plus je marche vers l’auto, plus mon cœur bat la chamade, mais plus je ressens en moi cette excitation, cette envie de découverte et de danger. Plus je sens que ma chatte s’humidifie. Ma bouche est asséchée,  j’ai les yeux dans l’eau.  Jamais je n’ai ressenti une telle émotion. La peur mélangée à la pulsion sexuelle. Un mélange étonnant. Réactif. Sublime.

La vitre de derrière est teintée, je ne peux pas voir à l’intérieur. Mais lui me voit. Depuis que j’ai mis le pied hors du taxi, il continue de me parler et m’observe. J’entends toujours les gémissements, mais ils se perdent dans les mots de l’homme qui me fait mouiller en abondance dans ce collant que je devine vraiment très humide. Un frisson parcourt mon dos quand j’ouvre la portière avant droite pour m’asseoir  à l’intérieur. Je reste en silence. Il n’est pas du côté conducteur. Il est assis derrière, et respire relativement fort.  Je n’ai pas le droit de me retourner et il me le répète. Bientôt, il me passe un bandeau sur les yeux, l’attache derrière ma tête sans se préoccuper de mes cheveux. Je sens mon cœur battre comme jamais.  Il descend de la voiture et passe devant.  Dès lors, il se retourne vers moi. Je le sens particulièrement excité. Sa main atteint mes cheveux qu’il caresse doucement, embrassant mes tempes, mes joues. Son nez effleure le mien.  Il glisse alors sa main sous mon foulard et mon manteau pour vérifier si j’ai respecté la règle. Il me touche avec tellement de doigté, avec sensibilité, avec intensité.. je ressens son envie et son excitation à travers ses doigts. Je ne sais toujours pas de quoi il a l'air. Je l'imagine grand, au teint pâle, cheveux clairs.. je ne connais que ses yeux. Verts. Un vert profond. Un regard qui parle de lui-même..

Sa main s'approche de ma cuisse.. je tremble comme une feuille, mais quand je ressens sa chaleur sur ma peau, le temps s'arrête. Je sens sa main s'insinuer entre mes jambes.. et son pouce qui commence à s'agiter sur mon clito bien dur à travers mon bas-collant terriblement trempé.. l'abondance de ma mouille le fait grogner.. et le plaisir commence dès lors...


Mamz'elle J xx

2.16.2013

Billet express - Ma Surprise au Petit Nouveau

Mon plan était bien établi dans ma tête depuis le début de la semaine. La seule journée où je ne travaille pas, je te la réservais. Mon alibi d'absence à la maison tenait la route, j'avais choisi mes vêtement et mon parfum. J'ai mis mon plus beau soutien gorge. Blanc, orné de diamants et de deux jolies petites boucles rouges sur les bretelles.. J'avais enfilé mon manteau et mes bottes. J'avais frisé mes cheveux mais les avais laissé libres pour te laisser jouer dedans sans souci.. je t'avais déja glissé un mot sur cette zone érogène puissante qu'est ma nuque. Et j'adore tellement qu'on passe la main dans mes cheveux..

J'avais déja cette excitation qui me gagnait tranquillement, les petits sourires espiègles qui remontaient les commissures de mes lèvres et laissaient mon regard vitreux en hâte de poser les yeux sur toi. J'avais déja cette envie de t'envoyer un message-texte pour t'avertir de mon arrivée prochaine, mais ça n'aurait pas été une surprise.. Alors, je me suis tue.

Je sentais ma chatte se réchauffer à l'approche de ce moment que j'avais tant espéré. Mes gestes et mes paroles étaient déja choisis; j'allais arriver à ton travail, t'avertir de mon arrivée et dès lors, j'allais te déshabiller des yeux un instant avant de t'embrasser passionnément et fougueusement. Je savais que ma main allait probablement se perdre dans tes cheveux un moment, puis, glisser jusqu'à ton dos.. à tes hanches..

Je sentais ta peau chaude sur ma paume, et mon nez caressait ta joue pendant que j'en étais à détacher ton pantalon, sans que tu n'aies même eu le temps de m'amener dans un endroit plus discret.. Tu me connais suffisamment bien pour savoir que ça ne m'effraie pas beaucoup de me faire voir.. J'imaginais déja ton érection soudaine, ton pantalon déformé au niveau du bassin.. j'aurais voulu sauter sur toi tout de suite. Là. Maintenant. Pas d'autres préliminaires. Puisque de toutes façons, la moitié du travail était déja fait!

J'aurais pris dans ma main ta queue bien dure, et me serais collée contre toi un peu, le temps d'embrasser ton cou, de respirer ton odeur. Je n'aurais pas cessé de te caresser la verge doucement, pour te faire sentir ma présence, pour que tu prennes le temps d'avoir les sens en éveil. Puis, je me serais lentement agenouillée en fixant bien ton regard azur, la langue prête à n'importe quelle folie pour te faire jouir.

Humectant mes lèvres, je t'aurais dit quelque chose comme: «Laisse-toi faire, c'est mon cadeau de St-Valentin en retard...» Soulevant ta verge jusqu'à sentir ton gland bien gonflé sur mes lèvres, je t'aurais léché pendant de longues secondes, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus. Tu n'aurais pas supporté que je joue à l'agace comme ça.. M'aurais-tu supplié de te prendre dans ma bouche? Je ne sais pas. Mais je ne me serais pas fait prier longtemps.. Je sentais déja la chaleur de ton sexe remplir ma bouche alors que mon va-et-vient devenait plus insistant. Alors que j'aurais sucé ton pieu avec plus d'emprise, plus de confiance, plus de salive pour que tu glisses bien jusqu'à ma gorge. J'aurais empoigné de ma petite main ta queue avec plus de vigueur, jusqu'à sentir s'agripper à ma tête ta main nerveuse, et à entendre des gémissements entre tes lèvres.. En levant les yeux, je t'aurais vu, la main relevée derrière ta tête, renversée par l'arrière, accotée sur le mur, haletant de ne pas arrêter. De continuer... J'imaginais l'instant où nos regards se seraient croisée. Tu m'aurais empoigné un sein.. ou même les deux.. parce que tu aimes trop les seins pour te retenir de le faire..
J'aurais senti la chaleur de ta main sur mon épiderme, comme une invitation à donner tout ce que j'avais pour te faire jouir en saccade au fond de ma gorge. Parce que oui, j'aurais tout avalé. Je n'aurais laissé pour rien au monde se perdre un petit bout de toi ailleurs qu'au creux de ma bouche accueillante.

Mille autres détails jaillissaient de ma tête à 11h59, quand j'ai aperçu de l'autre côté de la rue mon taxi qui m'attendait sur le boulevard devant la Brûlerie. J'avais mes écouteurs dans les oreilles, mon sac à main sur le bras, mes lunettes fumées au visage, j'étais prête. Puis, ce n'était pas toi qui parlait.

Et, je me suis inquiétée pour toi...

2.13.2013

Une autre St-Valentin sans tes roses

Ce soir, par un frisson inspirant, j'ai composé un texte plus personnel d'un trait, envahie par une envie de me libérer le coeur un peu.. On remonte à quelques années en arrière, alors que je débarquais à Québec suite à une histoire d'amour en puissance qui n'a jamais vu le jour. Une déception amère que je tente de supprimer de ma mémoire sentimentale.. La rencontre de celui que j'ai aimé longtemps, profondément.. et que je me plais à appeler «mon âme soeur»

Je me suis demandé pendant quelques minutes si je le déposais ici ou pas. Puis, je me suis dit que Jade compose des textes à saveur sexuelles souvent, mais toujours empreints de ma personnalité véritable. Et je crois que vous appréciez suffisamment le personnage pour avoir le coeur à la découvrir plus intimement. Alors voilà.. un peu de moi.
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[...] À chaque St-Valentin, je me souviens de la conversation que l'on avait eue toi et moi, assis à la petite table du café où j'étais un peu trop souvent dans le temps.. Toi qui avais eu envie de me confier que tu aurais voulu que ta blonde prépare un petit quelque chose de spécial pour vous célébrer. Tu m'as dit du coq à l'âne que tu aurais voulu d'une blonde qui apprécie les pétales de roses dans le bain, les chandelles parfumées, les soupers qui ne finissent jamais.. Toi et elle essayiez d'avoir un enfant et les tentatives qui échouaient les unes après les autres avait commencé à user votre complicité, vos sentiments, votre envie mutuelle de rester forts et solides. De rester ensemble. Tu disais que tu n'avais plus droit aux mêmes regards coquins, aux caresses tendres, aux mots doux au réveil, depuis des mois. Que la symbiose qui avait toujours été la base de votre union avait cédé la place au stress et aux attentes toujours déçues. Le romantique en toi avait ce don de surprendre la jeune femme en découverte émotionnelle que j'étais. Même à ce moment-là, sans connaître ce qu'était vraiment l'amour-passion, je le vivais malgré moi. Ça a toujours été pour moi un mystère de comprendre comment a opéré la nature entre nous deux. Nous ne nous étions jamais vus et pourtant en quelques semaines à peine, nous nous sommes liés d'amitié comme si nous nous étions toujours connus. Mes forces étaient tes faiblesses et l'inverse était aussi vrai. Nous avions cet éclat dans les yeux lorsque nous étions à travailler sur des projets, des spectacles à venir, des levées de fonds pour les différentes organisations dans lesquelles nous nous impliquions. Nous avions des idées un peu folles, mais arrivions toujours à les réaliser. Ensemble. 

   Toi et moi, c'était naturel. C'était simple. Ça coulait de source. Je me souviens que du haut de mes 17 ans, je te regardais avec beaucoup trop d'intérêt pour n'appeler ça que de l'amitié. Je ne pouvais même pas contrôler tout ce qui se passait en moi. Tout était plus grand, plus fort, plus intense que ce à quoi je pouvais faire face. Devant le poids de ces émotions qui m'envahissaient de plus en plus, j'essayais de reprendre mon souffle. J'avais le coeur en délire quand j'étais avec toi. J'avais la gorge sèche. Les mains moites. Les yeux dans l'eau. La tête ailleurs. J'avais perdu la retenue nécessaire pour ne rien démontrer et parfois tu m'as reprochée de devenir froide avec toi. J'essayais de me protéger de mes pulsions et de te protéger des répercussions éventuelles sur ton couple.. Je sentais que ça te frustrait que je m'éloigne, mais je ne pouvais tout simplement pas me permettre de m'insinuer dans ta vie et pour si peu de temps en plus.. 

Et tout était contre nous. Nos familles, nos amis, nos deux mondes, nos âges. Ton couple battait de l'aile et tu avais des papillons pour moi. J'étais jeune et vouée à un brillant avenir, mais je partais habiter à 2 heures de route pour un minimum de 6 ans. Nous avions gardé le secret. Je t'avais fait la promesse de toujours te garder une place en moi. Je suis partie en te laissant un mot que tu n'as lu que quelques années plus tard. Quelques années trop tard en fait. J'ai su à la St-Valentin suivante que tu avais une nouvelle femme dans ta vie. Ma mère avait décidé de ne pas me tenir au courant de ton statut de célibataire durant les 3 mois où tu as été libre. Elle disait que c'était pour me protéger. Je lui en ai voulu. Tu as toujours voulu savoir ce que je ressentais pour toi. Je n'ai jamais pu te le dire. Je ne sentais pas le moment venu pour te mettre mon coeur sur la table. 


Puis, j'ai rencontré quelqu'un pendant que de ton côté tu vivais ta nouvelle relation. Cette femme a été de passage dans ta vie, quelques mois tout au plus. Et moi, j'étais déjà engagée. À cette époque j'étais un exemple de fidélité. Pas toi. Et ça, je ne l'ai su que cet été. Durant une nuit de juillet où nous avons enfin ouvert les valves et laissé couler tant les larmes que les confessions. Une discussion qui n'aurait jamais eu lieu sans les pichets de Budweiser qui nous ont tenu mutuellement compagnie durant la première partie de la soirée.

Ta blonde arrivait au loin, quand je me suis rapproché de ton épaule et que je t'ai glissé : «J'veux juste que tu saches que je t'aime toujours et que je te désire encore autant à chaque fois que je te croise..»

 Je n'avais plus espoir après 7 ans, que ce que nous nous sommes dévoilé sorte au grand jour. J'avais prié tous les Saints du ciel tellement souvent pour avoir un signe de la vie par rapport à toi. J'ai dû accumuler des points de karma pour avoir reçu plus que ce que je demandais au destin. 

 Oui, tu ris de moi et de ma grande croyance au destin. Combien de fois tu m'as fixé avec des yeux écarquillés et un sourire au coin de la bouche, pendant que j'attribuais toutes les grandes joies de ma vie au destin. J'avais tellement l'impression que tu te foutais de ma gueule. Mais ça aussi, c'était un point commun que l'on partageait visiblement.. 

 Tu n'es pas débarqué dans ma vie pour rien. Tu ne t'es pas faufilé à travers les maillons de mon filet, atteins le centre de mon âme et imbriqué ton nom au fer rouge pour le reste de ma vie par hasard. À cette époque de toute façon, je ne crois pas que tu aurais pris au sérieux tout l'amour que je ressentais pour toi. Pourquoi tout se clarifie alors que tu as deux enfants et que je fais des projets d'avenir? Pourquoi on décide de tout s'avouer à la seconde où on sait que le retour en arrière n'est plus possible? Aujourd'hui, nous savons que nous serons pour liés l'un à l'autre mais jamais par une union reconnue à la face du monde. 

 Je le sais encore plus depuis que tu m'as déballé ton sac. Depuis que tu m'as clairement dit, sur un coup de tête et dans un avalanche de confidences que tu souhaitais secrètement encore me baiser, m'embrasser, passer des nuits dans mes bras et vivre une grande et belle histoire avec moi. 
C'est vrai que j'y crois. J'y ai toujours cru en fait. 

Et depuis, je t'ai croisé 3 fois. Toujours en compagnie de ta petite famille. Tu baisses les yeux en souriant, moi je rougis.. et je te fixe. Comme pour attraper tes pensées au vol et m'en faire un cocon. Ce sera la seule façon que j'aurai trouvé pour me réchauffer contre une pièce de toi. 

La dernière fois que je t'ai parlé, j'étais suffisamment près de ta peau pour sentir ton parfum, pour voir que tu tremblais de tout ton corps en me parlant..Ta blonde arrivait au loin, quand je me suis rapproché de ton épaule, j'ai touché ton oreille du bout des lèvres et que je t'ai glissé à l'oreille : «J'veux juste que tu saches que je t'aime toujours et que je te désire encore autant à chaque fois que je te croise..» Cette dernière fois, c'était cette nuit de juillet. 



Alors la St-Valentin me rappelle toi. Toi et rien d'autre. Je n'ai jamais été une grande romantique et tu le sais. Je trouve d'autre occasions et d'autres façons de faire profiter mon couple dans l'année que le 14 février. Cette journée-là, je me la garde pour toi. C'est fou comme ça.. 

Il y a 7 ans cette semaine, nous étions tous deux, toi et moi, assis à cette table à moitié éclairée et rêvions chacun d'une autre vie. Peut-être une vie l'un avec l'autre.. sait-on jamais..




On continue toujours à aimer ce qu'on a aimé trop fort.

2.11.2013

Un brainstorming à saveur Mamz'elle J

Bon lundi à vous, cher lecteurs et lectrices adorées!

Je ne me lasse pas de multiplier mes preuves d'affection ainsi que mes remerciements à l'endroit du lectorat qui m'a permis d'avoir une plate-forme de confidences dont les résultats de visites me surprendront toujours!


La fête de l'amour cette semaine. Je ne suis ni une fervente de la St-Valentin ni une romantique passionnée, fleur-bleue et tout le tra-la-la. En fait, je suis peut-être la fille la moins romantique du monde, mais ça ne m'empêche pas d'être une rêveuse et de vivre un peu dans mon imaginaire quelques fois.. j'ai d'ailleurs imaginé un scénario pour surprendre Le Petit Nouveau dans les semaines à venir. Parce que oui, je suis une maîtresse et une amante attentionnée même si je ne suis pas du genre à tripper petites chandelles et pétales de roses sur édredon blanc.

J'ai aussi un plan extrêmement coquin sur la table pour la mi-mars avec Laigle.. je touche du bois, les préparatifs vont bon train. Et à chaque fois que je pense à quoi pourra ressembler cette nuit torride et passionnelle, j'avoue avoir l'entre-jambe qui se réchauffe assez rapidement.

Période réfractaire

Sur un autre sujet, j'ai regardé les statistiques de lecture de ma nouvelle chronique de confessions sur l'oreiller Période réfractaire et j'ai été bien agréablement surprise! Vous êtes plusieurs à m'envoyer des questions concernant l'histoire que j'ai eue avec Mr.G par le passé et j'aime beaucoup vous lire. Pour la prochaine chronique c'est un lecteur qui s'est porté lui-même volontaire! Je vous garde la surprise. L'entrevue n'est pas encore réalisé, je suis encore à travailler sur un tableau de questions. Mais je puiserai de belles anecdotes!

Il y aura également une chronique SeXXXtoys à venir au courant des prochaines semaines. UN jouet que j'ai eu beaucoup - beaucoup!- de plaisir à tester pour vous.

..je mentirais si je disais que je ne teste les jouets que pour vous!

Résultats du concours
Il y a dix jours s'achevait un concours que j'avais lancé un peu comme ça, sans préparation et vous avez été une vingtaine à répondre au questionnaire qui concernait les billets des 3 dernières années.
J'ai corrigé les formulaire de réponses et il y a une personne gagnante. Il n'y a pas eu de vérification auprès de Samson-Bélair, je suis donc la seule à avoir vérifié les infos et à accéder à ses réponses; son résultat est de 9 bonnes réponses sur 10.
Comme mon blogue a une saveur érotique et adopte un sujet plutôt tabou, la personne gagnante a voulu préserver sa confidentialité donc je ne pourrai vous dévoiler son nom, mais je peux quand même vous dévoiler la ville d'où elle provient. Il s'agit d'un jeune monsieur de la région de la Montérégie, plus précisément de Longueuil. Le monsieur en question recevra son certificat-cadeau de la boutique Planet X d'ici quelques semaines tout au plus.

Je tiens donc à remercier tous ceux et celles qui ont participé et je vous félicite pour l'effort mis à ce petit concours! J'ai bien envie d'en faire un autre à saveur beaucoup plus sexuelle.. et je vous présente le tout en début d'été!

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Ce weekend, j'étais hors de la région pour affaires. Heureusement, je pouvais comme à tous les samedis matin me réveiller au son de la voix du Petit Nouveau et profiter de la sélection musicale afin de préparer mes plans pour le weekend. Le plaisir que j'ai à prendre mes 3 premiers cafés de la journée en ayant l'impression de presque pouvoir le sentir, le toucher. Décidément, cet homme a semé en moi des envies de faire des folies. Justement avant de prendre la route vendredi, j'avais des courses à faire tout près de son lieu de travail et j'ai pris une chance de lui demander s'il était libre pour que je fasse une petite éruption à son travail.. c'est certain que sa proposition d'il y a une ou deux semaine m'a beaucoup plu. Je dois avouer que j'ai trouvé l'idée un peu risquée, mais comme j'aime beaucoup le risque.. C'est pourtant bien anodin et simple de faire ce genre de choses; débarquer au bureau de son amant, lui offrir la meilleure pipe de sa vie dans un environnement excitant et en prenant le total contrôle de son corps et faire comme si de rien n'était!
En fait, ma seule réserve est que j'aurai aussi à travailler dans ces bureaux à l'occasion et à rencontrer les gens qui y bossent durant les mois à venir alors j'espère sincèrement que personne de la station ne jette un oeil aux caméras de surveillance de l'édifice.. Haha. L'occasion se présentera sous peu et je le libérerai de toutes ces pensées les plus coquines alors que je me pointerai avec mes meilleurs atouts sous son regard amusé. Oui, j'ai l'intention de reprendre le contrôle de mes moyens et de lui montrai ma confiance en moi et en mes talents! Je n'ai pas envie de jouer la timide toute ma vie avec lui! Il s'agit seulement de me convaincre «qu'il n'est pas si beau et sexy que ça» et tout devrait bien aller, chose que je ne pense pas le moins du monde.. ;)

D'ailleurs c'est bien comique! Chaque fois que je rencontre un nouvel homme, je demande son opinion à Mariposa sur le dernier repêché, petite description du candidat et photo à l'appui. Je ne sais pas si c'est une façon de me rassurer ou si c'est pour me vanter de mon gibier - j'avoue que c'est une bien drôle de façon de le dire!- mais j'aime avoir son feedback sur mes choix d'hommes et sur mes aventures. J'ai une confiance aveugle et une complicité avec elle qui me permet de le faire. Je ne le ferais avec personne d'autre qu'elle et c'est par choix! J'aime tellement potiner et parler avec cette femme, à chaque fois c'est l'hilarité! Probablement une des seules personne de mon entourage qui ne me juge pas sur mes choix de vie, mes valeurs ou mes envies. Et c'est pareil de mon côté. Mine de rien, je crois que j'ai trouvé en elle un peu comme un alter-ego et une oreille attentive. Mais pour en revenir à son opinion.. encore une fois, l'Homme a passé au conseil!

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J'aurais envie de vous donner un aperçu de mes préparatifs pour le weekend que j'organise pour Laigle.. mais voyez-vous, monsieur est un lecteur assidu et je voudrais pouvoir lui garder certaines surprises! Surtout que c'est un plan que nous avons depuis octobre dernier! Il se souviendra longtemps de ça, laissez-moi vous le promettre. Je fais rarement les choses à moitié!



Là-dessus, j'ai 3 ou 4 histoires à écrire pour les coquins que vous êtes..

Et oh la la, la la.. ça s'annonce hot hot hot!

Bizous,

Mamz'elle J xx



2.10.2013

À venir!

À venir bientôt, deux anecdotes coquines et le nom de la personne gagnante à mon super quizz!


À demain! ;)


Mamz'elle J

2.06.2013

Booty Call



D'une voix timide, il me demande comment ça va. À voix basse, je lui réponds que je vais bien et lui renvoie la question..couchée dans mes draps déjà chauds, j'aurai un frisson parcourant mon dos en l'écoutant parler. Une voix que je ne connais pas encore bien.. des intonations encore étrangères.. 



La conversation durera 35 minutes et j'aurai pendant l'entièreté du discours, la main dans ma culotte et l'envie de jouir à l'autre bout du fil.. il me dira que j'ai le droit de le faire. Je gémirai, à bout de souffle, comme une vraie salope, suspendue à un orgasme délirant.. 



On rira de bon coeur.. et dormirons, seuls, chacun dans notre lit.


2.05.2013

Le fantasme du patron

Dimanche, je discutais avec Mariposa à propos des hommes. Toujours. Ça vous surprend beaucoup, je sais! J'ai l'impression que c'est le seul sujet dont nous pourrions parler durant des heures et des heures.. des jours et des nuits. En fait, elle me disait que selon elle, les hommes se conservent mieux que les femmes avec les années. Messieurs, je dois avouer que vous vieillissez en beauté! En je me suis mise à penser à la panoplie d'hommes de mon entourage, famille, travail, amis et papas de mes amies - eh oui, bien entendu!- et je me suis tiré quelques exemples pour me rendre compte que deux des plus beaux hommes qu'il m'a été donné de côtoyer ont été mes patrons. Mais un en particulier..


*** 


Il y a un peu plus de deux ans, je travaillais dans un café assez achalandé de la Haute-Ville et j'avais à ce moment-là le plaisir de travailler durant quelques heures par semaine avec mon patron. Cet homme a toujours été pour moi le symbole des 40 ans bien assumés, le charisme et la beauté de l'homme qui a vieillit à merveille et à qui la vie a fait le beau cadeau de lui laisser un cul d'enfer et suffisamment de goût vestimentaire pour que je puisse l'admirer avec mes yeux de jeune femme de 20 ans.

Tous les matins, il me rejoignait au restaurant vers 5h45, je lui préparais son café selon ma méthode secrète dont il n'a jamais eu la recette et nous prenions notre café de début de journée en élaborant les plans de la journée en écoutant Souvenirs Garantis et on fredonnait chacun dans nos têtes des chansons qui jouaient depuis déjà trop longtemps sur les ondes radio.. un beau moment quotidien.

Mon patron avait des yeux verts pétillants, cheveux poivre et sel, toujours décontracté, mais avec une petite touche personnelle. Pantalons ajustés sur un cul qui défit les lois de la gravité, une carrure d'épaule et une posture toujours impec. Français d'origine, il avait un accent charmant et toujours le bon mot pour rire. Je ne fais mention que de ses bons côtés puisque les mauvais ont mené à ma démission.. haha. Ce qui n'empêche pas que malgré les mois qui ont passé, je me rappelle son visage et son attitude lorsqu'il respirait la bonne humeur. Et il sentait tellement bon. J'ai toujours soupçonné qu'il portait un parfum Hugo Boss et le contact avec sa peau lui donnait une dimension différente.

J'ai toujours aimé observer comme un papa agit avec ses enfants. D'abord parce que je trouve craquant de voir dans les yeux d'un homme la fierté qu'il peut éprouver pour ses progénitures mais aussi parce que ça me fait sourire de regarder une dynamique familiale et la réaction de l'enfant face à son père en dit long sur le comportement que peut avoir l'homme à la maison, dans le quotidien, loin du stress du travail. Lorsqu'il amenait ses enfants au travail le temps de venir chercher des papiers ou de venir jeter un oeil sur son petit bijou de restaurant, je me surprenait à les observer et à le trouver totalement sexy...

Avec sa petite bouille de français, il faisait littéralement craquer toutes les employées et je me considérais très chanceuse d'avoir un lien privilégié avec lui, de pouvoir discuter de tout et de rien, d'être presque toujours en contact alors que nous discutions de l'administration de la cuisine du restaurant et des ressources humaines. J'aimais quand il me confiait des bribes de sa vie en France, de ses études ici et de ses weekends. J'avais un accès VIP à la vie de l'homme qui inspirait tant de conversations à la limite de l'acceptable entre les serveuses.

Un bon matin alors que j'étais seule à la cuisine, je chantonnais avec la radio en pelant des carottes et il s'est pointé au resto. Je ne l'avais pas entendu et lorsqu'il m'a adressé la parole, je me suis retournée et j'ai vraiment fait le saut. Il m'a regardé en ricanant et m'a prise par les épaules comme pour m'attirer vers lui en s'excusant de m'avoir surprise. J'ai ressenti un léger picotement alors que je me retrouvais si près de lui.
J'ai pris la chose en riant, mais je n'ai jamais vraiment oublié l'effet qu'il me faisait.

Souvent, je me suis imaginée arriver au travail un peu plus tôt pour préparer la cuisine et débuter les tâches les plus urgentes et qu'il s'y trouve déjà. Dans mes fantasmes les plus coquins le concernant, il m'attendait à la cuisine vêtu d'un jean et d'un t-shirt assis sur le bord de l'îlot central. Alors que j'arrivais et que j'allais au vestiaire me changer, il m'aurait regardée enlever mon manteau, mon foulard.. mon chemisier.. et avant que je n'aie eu le temps de revêtir ma tunique de travail, il m'aurait effleuré le cou tout doucement, du bout du doigt et j'aurais senti son souffle sur mon épaule. Son odeur aurait envahit mes narines..

..je l'entends me complimenter sur mon choix de lingerie. Je me retourne immédiatement pour le regarder mais il freine mon élan en posant deux doigts sur mes lèvres entrouvertes.Tout de suite, son pouce repousse la mèche de cheveux cachant mes yeux et il approche ses lèvres des miennes. Un moment tendre et pourtant si inattendu. Je sens sa bouche se poser peu à peu sur ma joue, mon cou.. il caresse du bout des doigts le tissus doux et satiné de mon soutien-gorge alors que je me laisse aller un peu plus en lui caressant la nuque, l'attirant encore un peu plus vers moi. Je le sens me pousser sur le mur et relever ma jambe contre la sienne. Sans autre mot, il glisse ses mains dans mon dos et détache mon haut alors que je m'apprête à lui enlever son t-shirt désormais de trop. La chaleur m'assaille, mon désir s'accentue. Plus les secondes avancent, plus nous nous sentons confortables, et plus la chimie opère. Bientôt, la douceur et la tendresse font place à la vigueur et à l'intensité. Je le regarde embrasser mes seins alors qu'il les tient fermement entre ses doigts. Je m'entends lui demander pourquoi il fait ça, mais je l'entends surtout me répondre qu'il a très envie de me sauter sur son bureau de travail. J'ai des images qui me viennent en tête et je le repousse un instant, le temps d'agripper sa ceinture et d'en défaire la boucle.

 Nous sommes toujours au vestiaire, à une porte du bureau du patron où il n'y a que le rideau nous séparant de la cuisine. Je sens sa queue dure à travers son jean et je sais déjà que j'aurai la chance de répondre à la question qui me tue depuis qu'il m'a engagée. J'ai hâte de pouvoir sentir son odeur, de goûter sa peau, de poser les lèvres sur sa hanche et de le faire languir de ne pouvoir s'insérer dans le fond de ma bouche. Il détache mon pantalon de travail et découvre que je n'ai pas mis de culotte ce matin.. je l'entends grogner de plaisir quand il découvre à quel point je suis mouillée, à quel point je suis prête à accueillir sa verge en moi. je crois qu'il se doute à ce moment précis de toutes les pensées que j'ai pu avoir à son propos, alors qu'il me dit à l'oreille en caressant ma chatte: « Tu penses que je n'ai pas remarqué que tu cambres le dos lorsque tu te penches devant moi? Tu penses que je n'ai jamais imaginé te prendre le cul comme une petite pute? J'ai lu dans tes yeux dès le premier jour où tu es entrée dans mon entreprise que j'allais devoir contenir mes érections à chaque matin où tu allais te changer à quelques mètres de moi, que j'allais devoir être vigilant en regardant dans ton décolleté quand tu allais nettoyer le comptoir. J'en ai assez de me retenir.. »

Je suis retournée face contre le mur, et je gémis comme une salope alors que j'écoute attentivement ce qu'il me dit comme si plus rien au monde n'existait. Ses doigts savent exactement trouver mes zones sensibles, sa bouche avide de ma peau a laissé sa trace sur l'entièreté de mes épaules et ma nuque.. Je décide de prendre un peu le contrôle sur lui et de lui enlever son jean. À peine baissé, je suis surprise par le choix de son sous-vêtement. Un boxer serré de marque Armani qui me donne au premier coup d'oeil une vision d'extase sur son membre bien tendu. Alors que le jean tombe au sol et qu'il le pousse plus loin, je le plaque contre le mur et l'embrasse fougueusement alors que ma main n'a d'autre choix que de caresser son torse, puis son dos.. et je pousse l'audace jusqu'à caresser ses fesses. Fesses sur lesquels j'ai fantasmé durant de nombreux mois. Puis, il pousse ma tête vers le bas et je descends son sous-vêtement au rythme des battements de mon coeur. Sitôt son membre libéré, je le saisis de ma main droite. Il est chaud, bien gonflé, avec un gland bien découpé et la couleur que lui donnent ses vaisseaux gorgés de sang est hyper invitante. Je déguste avec envie ce membre solide et appétissant, d'abord de légers coups de langue et ensuite en y joignant la main. Je sens ses doigts se glisser dans mes cheveux et les agripper plus sauvagement. Je lance des «humm» d'appréciation et il en fait tout autant. Je lui lance un coup d'oeil; nos regards se croisent. Il est debout devant moi, fier et droit et j'ai tout le plaisir du monde à me retrouver en contrôle de la situation munie de son engin sur ma langue. Je mets toute mon attention sur le mouvement de ma langue durant que j'aspire son pieu dans ma bouche. Je caresses ses couilles doucement et j'ai tellement envie de glisser une main jusqu'à ma chatte pour la caresser également.. Juste avant qu'il ne jouisse, il me demande de me relever et m'entraîne dans la cuisine où il a l'intention de ne pas me ménager.

Il me pousse sur le bureau et s'agenouille derrière moi afin de baisser mon pantalon et lécher le fruit de mon excitation. Il écarte mes fesses et lèche bien tout le nectar coulant entre mes cuisses. Je le sens habile et perfectionniste, alors qu'une de ses mains vient se glisser devant pour caresser mon clito alors que je suis à demie penché. Récoltant sur sa langue le fruit de mon plaisir, il se permet de me faire frémir suffisamment pour que je lui demande d'arrêter sous peine de lui jouir sur les doigts. Nous sommes nus au beau milieu de la cuisine alors que dans 20 minutes le café accueillera les serveuses et je me sens défaillir. Mon patron attrape alors mes cheveux, se relève et m'enfile son sexe d'un coup dans la chatte. Je sens que je vais perdre pied. Alors qu'il s'agrippe à mes hanches d'une main et mes cheveux de l'autre, je l'entends respirer bruyamment à mon oreille. Il y va plus fort, plus vite. Je suis sur le bord de jouir alors qu'il laisse ses doigts descendre de ma hanche à mon bas-ventre et il commence à branler mon clito bien excité. Tout à coup il accélère un peu plus la cadence et je l'entends me glisser à l'oreille: «Bon Dieu que ta chatte est bonne Jade, je la défoncerais tous les jours sans ménagement.» C'est le coup de grâce et il jouit sur ma fesse alors que je suis sur le bord du bureau de travail, haletante, tentant de reprendre la notion du temps.. Il essuie ma peau et part se vêtir au vestiaire, me laissant là.. lorsqu'il revient avec mon soutien-gorge et ma tunique, il me les tend avec un sourire indescriptible aux lèvres.

«Allez, file t'habiller sinon le patron va remarquer que tu es déja en retard! », me dit-il avec un clin d'oeil. en levant les yeux, je réalise que les caméras de sécurité sont tout juste devant nous. Il lit la peur dans mes yeux et me dit: «Ne t'inquiète pas, j'avais prévu le coup, je les ai éteintes. Dommage, ça m'aurait fait un merveilleux souvenir et une motivation supplémentaire pour venir bosser le dimanche matin!»

Nous nous savonnons les mains et nettoyons le bureau méticuleusement. Nous reprenons le travail normalement, mais gardons le sourire toute la journée. Juste avant de partir, je lui dis: «Avec tout le respect que je vous dois, monsieur, je souhaite que tout ça reste entre nous..»

Et il me répond: «Bien sur. Ça restera entre nous...» Nous n'aurions plus jamais mentionné cette journée de toute la durée restante de mon emploi.


Voilà à quoi je pensais la plupart du temps lorsque j'arrivais au travail de si bonne heure le matin..



La plupart des jeunes femmes ont la figure d'autorité en fantasme. Je n'y fais pas exception. Quand la figure d'autorité a un cul de sa trempe, ça aide grandement.



Et vous,comment est votre patron/patronne?

Mamz'elle J xxx

2.04.2013

LA solution à vos problèmes de poids?

On règle le problème de madame en satisfaisant monsieur. Un bon WIN-WIN !

Gâterie rapide sur Grande-Allée

Nous sommes le 8 décembre 2012, un petit matin pas tellement ensoleillé. Il tombe des flocons par dizaines sur le ciel de Québec et la ville reçoit ce weekend la Coupe du Monde FIS de ski de fond. J'avais eu une petite discussion le matin au téléphone et déjà ma journée commençait plutôt bien.

Ce matin-là, je savais que Laigle a pris la route avec sa petite famille afin de venir observer le spectacle, mais aussi afin de venir me voir. De mon côté, je voyais un ami la veille alors, pas tellement besoin d'alibi pour rassurer qui que ce soit sur mes activités ni sur mon désir de vouloir passer un peu de temps toute seule dans ma ville plutôt que chez mon copain.

Après avoir pris ma douche et m'être habillée, je suis montée en haute-ville et je me suis rendue à mon café préféré de Grande-Allée afin de travailler un peu sur mes projets personnels. Équipée de mon ordinateur, de mon foulard et de mes écouteurs, je me suis installée dans mon petit coin secret et j'écoutais la radio - eh oui, déjà à ce moment, j'avais cette belle habitude de passer mes après-midi avec la belle voix de mon Radioman en fond sonore- en buvant un café un peu trop cochon quand j'ai reçu le message tant attendu de mon amant disant: «Je suis à Québec.»

Je me sentais déjà toute excitée de le voir débarquer dans ce café bondé de spectateurs venus chercher un café pour descendre assister à l'évènement. On avait tenté de prévoir les détails de notre plan machiavélique et terriblement coquin, mais là.. nos prédictions avaient pris le bord! Nous savions déjà que nous n'avions pas terriblement de temps puisque d'une part il devait retourner auprès des siens et de préférence, avec des breuvages chauds, et d'autre part, mon copain venait de m'appeler pour me dire qu'il venait me rejoindre un peu plus tôt que prévu. Quand je l'ai vu arriver, j'ai eu un immense sourire aux lèvres. C'est la première fois en fait que je le voyais vêtu avec sa tuque et ses mitaines.. il faut dire que dans mon imaginaire, je préfère de loin entretenir des images de lui nu.. ou à peu près!

En un clin d'oeil, nous savions ce que nous voulions. Nous avons donc emprunté l'escalier qui mène au sous-sol et nous nous sommes enfermés dans la salle de bain. À peine entrés, nous nous sommes littéralement sauté dessus. Baisers passionnés, mains baladeuses, Laigle m'a plaquée contre le mur et je devais retenir sa main qui se faufilait déjà dans mon jean. Je voulais avoir le contrôle ainsi que le champ libre de le caresser à travers du sien, pour sentir son sexe dejà dressé, ne cherchant qu'à sortir de sa cage de tissus. Assez rapidement je l'ai libéré et l'ai entouré de ma main..

Bientôt, je m'agenouillais devant lui alors qu'il s'était appuyé au lavabo. Lorsque j'ai pris la belle queue de Laigle dans ma bouche, ma langue s'activait à bien mouiller de salive son gland bien gonflé sur mes lèvres. J'avais fermé les yeux pour mieux vivre le moment et après quelques petites secondes, on frappait à la porte. Je n'avais pas envie de m'arrêter et suçait avec plus d'avidité que jamais quand Laigle m'a dit qu'on devait partir.. Encore quelques secondes.. puis, on entendait les gens se plaindre de l'autre côté.

Lorsque nous sommes sortis, nul besoin de vous dire que nous avons eu droit à des regards de feu venant de jeunes et vieilles dames un peu frustrées d'avoir dû attendre, mais je vous avouerais que ma culpabilité est s'est estompée bien vite.

Laigle a pris place dans la file de clients alors que je suis sortie pour aller rejoindre mon chum qui m'attendait juste devant sur la rue. Nos regards se sont croisés lorsque je suis sortie du café..

..c'est le genre d'expérience que je garde en mémoire, le genre de trucs tellement simples, tellement anodins et excitant du coup que je peux m'amuser à fantasmer sur ce qu'on pourrait s'amuser à faire au fil du temps. Je savais d'ors et déjà que Laigle aimait bien ce genre de situation et j'adore ça aussi.. c'était d'ailleurs mon idée de baiser chez IKEA entre les rayons de l'entrepôt, c'est bien pour dire!


Bon lundi à vous tous! Espérant vous avoir donné quelques bonnes idées coquines!
Comme promis, je vous ai fait part de mon expérience.. presque 2 mois plus tard!
P.S.: Sur mon fil Twitter, je n'ai pu me retenir de publier un clin d'oeil à l'aventure;

Si t'envoies ton mari chercher 4 chocolats chauds et qu'il revient avec le gros cheeze et la tuque de travers.. ben, Il aime venir à Qc! ;)

Bon lundi à vous tous! Espérant vous avoir donné quelques bonnes idées coquines!
Lâchez votre fou un petit peu..

Mamz'elle J xx


L'excitation de se faire surprendre

Je découvre lentement, très graduellement de quoi se composent les fantasmes du dernier venu dans ma vie de femme infidèle. Encore une fois, il a réussi à me surprendre par le choix des mots et le timing de la confession alors que samedi en matinée, il me textait à peu près ceci:

«Tu te pointes à mon travail, on va dans la salle de bain où les cabines sont complètement fermées. Je détache mon pantalon et tu me prends dans ta bouche. Tu utilises ta langue pour me stimuler encore plus durant le mouvement da va-et-vient de ta bouche sur mon membre bien arcé. Jusqu'à me faire exploser..


Imagination cure et fertile ce matin. Juste à imaginer, je suis déja semi-croquant..»

Il faut avouer que ce petit côté intrépide me plait. Si vous vous rappelez, j'ai eu ce genre d'expérience chez MEXX avec Laigle il y a déja quelque temps.

D'ailleurs, je ne vous ai toujours pas raconté la gâterie offerte à Laigle au Second Cup Grande-Allée en décembre dernier? Oh là là.. l'art de se mettre à risque!

Quoi qu'il en soit, je dois avouer que le petit nouveau a une façon bien à lui de me surprendre. Je dois aller pêcher pour trouver les secrets bien enfouis et je fantasme sur le jour où il se dévoilera à moi facilement et coquinement, avec complaisance et complicité.. un jour peut-être. En échange, je lui ai aussi fait part d'un grand secret, d'un fantasme que j'entretenais à son égard.. Mais je ne vous raconterai pas ceci avant de l'avoir expérimenté..

Et je vous reviens avec cette charmante et très excitante anecdote de moi et Laigle, ainsi qu'avec les résultats du sondage de janvier d'ici quelques jours! :)

Bon début de semaine à vous tous! N'oubliez pas de voter au sondage du mois de février:

Mamz'elle J vous demande: Quelle est la dernière expérience qui vous ait sorti de votre zone de confort?


À une prochaine!
Mamz'elle J xx

2.01.2013

Comment j'ai brisé mon défi de décembre.. en bref!

Il me dit: «J'ai une idée.. viens sur la table de la cuisine.»

Je ne fais pas confiance à ma table. Mais j'embarque.. Nos corps s'imbriquent, mes chevilles se retrouvent sur ses épaules et il me propulse dans un ciel dont je ne connais pas le nom.. Je lui ai demandé d'arrêter un instant... c'était une question de secondes avant l'orgasme, agrippée au bord de ma table, je gémissais en oubliant à quel point les murs laissent passer les bruits, en oubliant où j'étais et avec qui. Tout ce que je sentais, c'était le grand frisson qui parcourait mon intérieur. L'énergie sexuelle contenue dans mon corps depuis plus d'un mois s'est ravivée et nous avons fini ça sur le sofa, pendant qu'il me prenait solidement par derrière.

C'était trop bon. Il a terminé par sa signature; la petite morsure dans le dos puis est allé se rafraîchir à la salle de bain..

1.26.2013

Comparaison de taille

..lui, alors assis au pied de mon lit, me regardait lui présenter un peu nerveusement une partie de ma collection de sextoys que je sortais un à un du tiroir de ma commode. Lorsque j'ai sorti mon gode transparent, le plus imposant de ma collection, il l'a pris dans ses mains et l'a observé longuement en disant: «À première vue, on dirait un colosse, mais finalement, ça ressemble pas mal à ce que je possède.»

Et je me retenais de lui dévoiler que je l'utilise allègrement quand je veux me remémorer sa façon de me défoncer, son habile coup de hanche et mon impression d'être totalement remplie quand il s'insère en moi. J'ai mordu ma lèvre et ai passé au suivant 


Il a bien des choses que je ne te dévoile pas. Un jour peut-être..

1.22.2013

Période réfractaire; les confessions sur l'oreiller de Mr.G


Pour ma première chronique Période Réfractaire, j'ai recueillis les propos de Mr.G alors que j'étais étendue dans un bain tout chaud et que lui relaxait dans son grand lit..
Les plus fidèles lecteurs se font déjà un portrait de celui qui était il y a quelques mois encore l'un de mes amants.. voilà une éternité que nous ne nous sommes pas revu, mais cette petite séance de confessions a éveillé en nous un désir de peut-être reprendre nos rôles bientôt.. il était impératif pour moi de vous faire apprendre à le connaître davantage et je le fais aujourd'hui sous forme de confessions sur l'oreiller...


Comment qualifies-tu ta vie sexuelle au quotidien?

C'est sommes toutes, assez basique. C'est pour ça que je vais voir ailleurs. Par le passé, lorsque j'y allais de l'expression de mes fantasmes à ma conjointe, on a connu quelques difficultés.. je n'appellerais pas ça de la fermeture, mais je crois que c'était davantage l'approche que nous avions dans l'expression de nos envies, de nos désirs qui faisait en sorte que nous nous sommes lentement éloignés.

Est-ce la première fois que tu te retrouve à être l'amant d'une femme en couple?
Ça m'est arrivé, je dirais 2 ou 3 fois alors que j'étais, moi aussi, engagé. Il y a un plaisir certain à découvrir quelqu,un de nouveau, de jouer avec cette découverte aussi, mais je n'ai jamais aimé la sensation d'être prisonnier, le sentiment d'être constamment à risque quand j'étais avec l'une de ces femmes. Avec toi, je n'ai jamais senti qu'on mettait quoi que ce soit en danger.

C'est la première fois en fait que j'ai une aventure avec une femme de plus de 15 ans ma cadette. J'ai toujours été avec des femmes plus vieilles, mais si je sais que toi, tu préfères de loin les hommes plus vieux! Haha..

Voilà maintenant 3 ans que tout a commencé. Comment tu décris ta relation avec moi?
Je qualifierais cette relation de «viscérale». Cette histoire entre nous est née d'un vice et j'ai toujours eu une envie profonde d'alimenter ce fantasme-là, que j'avais pour toi. je me souviens de la toute première foisoù on allait se rencontrer chez-toi, je n'avais pas trop planifié ce que je souhaitais te faire vivre, je te sentais tellement nerveuse et je l'étais un peu aussi.

Quels sont tes souvenirs les plus mémorables en 3 ans?

Tout d'abord ta rencontre. Notre première fois, ton attitude, ta prédisposition à obéir, à entrer dans ton rôle de soumise, ton attente de recevoir les commandements. je me souviens de la toute première fois où tu m'as pris dans ta bouche, je me souviens de tes grands yeux.. Je me souviens aussi du soir où j'ai appliqué des pinces sur ta poitrine, où je t'ai forcé à prendre mon membre en entier dans ta petite chatte. Ce fut mémorable pour moi, mais surtout dans l'accompagnement du moment. Je me sentais fier de toi. Je peux presque garder intact en mémoire la sensation physique de ma queue qui traversait ta gorge alors que je te sentais combattre de toutes tes forces ton «choking reflex». Une grande satisfaction et surtout une énorme fierté.

Si tu me demandais pourquoi c'était aussi mémorable, je te répondrai que c'est surtout dans le geste. je sentais que pour toi, c'était une limite très difficile à dépasser. Alors le fait que tu outrepasses tes réflexes émotionnels et physiques, c'est ce qui m'a procuré cette grande satisfaction.

N'as-tu pas eu peur pour moi à un certain moment? As-tu pensé tout arrêter?

Oui. Dans les tout débuts, je voyais en toi une détresse mais aussi un grand désir de te soumettre et par moments, je n'arrivais plus à cerner si je te blessais ou si on était encore en découverte. Je me refusais de laisser sur toi une empreinte négative, de te blesser au point de te faire voir les hommes comme des salauds pour le reste de ta vie. J'ai connu beaucoup de femmes qui mettent les hommes tout au même pied d'égalité avec l'étiquette de «trou du cul» parce qu'elles ont été blessées par le passé.

J'ai réfléchis et j'ai pensé à tout abandonner avec toi.

Tu sais, souvent les femmes vont se lancer dans la soumission pour combler un manque affectif. Elles ont un puissant besoin plaire et sont prêtes à tout faire pour plaire à l'homme devant elles, sans mesurer les conséquences de ce mode de vie. Elles se donnent tellement corps et âme qu'elles finissent par ne plus penser par elles-même, ne voulant aborder la vie que par les yeux de leur Maître. Puis survient une grande blessure émotionnelle la journée où elles se rendent compte qu'elles ont des sentiments très affectifs vis-à-vis leur Maïtre parce qu'elles le voient comme un Homme qui prend vraiment soin d'elles et tout..

Alors qu'en fait, il est là pour t'apprendre à vivre ton fantasme, à connaitre tes limites et grandir en tant que personne à travers cette relation. Le Maitre se doit d'apprendre à la soumise le lâcher-prise, la confiance, le contrôle de ses émotions, il doit faire en sorte que quelque part, ses apprentissages se reflètent dans sa vie de tous les jours et que ça rejoigne ses valeurs profondes aussi. C'est pour ça qu'il est important qu'une femme qui désire assouvir ce fantasme-là ne se lancent pas dans l'aventure avec n'importe qui. Un home pourrait s'improviser Maïtre Dominateur, n'avoir aucune expérience ni aucune compréhension de l'univers de la soumission, assouvir ces fantasmes en se vidant, en jouant avec la femme fragile qu'il a sous la main pour son propre plaisir, la jeter par la suite en utilisant la domination sans mesurer les impacts et profiter de la situation.

La relation Maïtre-Soumise est une relation qui donne beaucoup d'emprise à un manque affectif ou à un déséquilibre psycho-social de l'un ou de l'autre des partenaires quand une réflexion en profondeur des raisons qui nous poussent à être là n'est pas faite. Moi-même j'ai déja été très blessé émotionnellement au point d'avoir du mal à me regarder dans le miroir.

Il y a des gens de ton entourage qui sont au courant de cet aspect de toi?

Personne n'est au courant de mes histoires. Le seul avec qui je n'ai aucun tabou à discuter de la sexualité, c'est mon frère. Nous avons une excellente relation qui  nous amène à partager certaines choses. il nous arrive souvent de nous parler très ouvertement de nos anecdotes sexuelles passées. Je ne te dis pas que j'entre dans les détails non plus; on se contente de de l'essentiel, que l'acte soit brutal, plus doux ou plus animal.. J'ai néanmois déja réussi à choquer mon frère!

C'est sans trop de surprise que tu as accueillis ma confidence au tout début de la relation concernant ton sexe. Est-ce que pour toi, le fait d'être aussi membré est un handicap ou tu t'en accommodes bien? As-tu une anecdote à ce sujet?

À l'époque où j'étais à mon compte en informatique, je me déplaçais à domicile pour faire de la réparation et une femme, une cliente, a pris les grands moyens pour me faire revenir chez-elle une bonne journée. Mais la deuxième fois, elle avait une toute autre idée en tête. Donc, le temps passe un peu, on commence à se chauffer mutuellement et on s'installe sur le sofa. À la seconde où je libère mon sexe, elle recule et s'asseoit carré dans le divan en disant: «Ça rentre pas à l'intérieur de moi ça..!»

En fait elle avait une malformation ou alors c'était un excès de nervosité, de stress. Mais c'était bien vrai, ça n'allait pas plus loin que l'entrée. Mais jamais une femme n'a refusé de me revoir ou de coucher avec moi parce que j'avais un trop gros membre...


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J'espère que ça vous a plu! Laissez-moi vos commentaires ou même des suggestions sur les genres de trucs que vous aimeriez que j'approfondisse avec messieurs mes sujets d'étude, sous l'onglet Commentaires ci-bas.

Merci à Mr.G de sa confiance lors de cette petite conversation à coeur ouvert de près de deux heures. Ce fut très intéressant..

Passez une excellente semaine,
Mamz'elle J xx









Période réfractaire, la nouvelle chronique de Mamz'elle J

Bonjour à vous toutes et à vous toutes!

Comme promis il y a de ça quelques semaines déjà, voilà l'arrivée de ma toute nouvelle chronique «Période Réfractaire». Le concept est simple; cette chronique se veut un recueil de confessions sur l'oreiller de la part d'hommes  de 30, 40, 50 ans, question d'en apprendre un peu plus sur la psychologie masculine, sur leurs fantasmes, sur leur vision de la sexualité mais en étant moins dans le côté coquin, moins anecdotique, moins lubrique aussi...

Du plus loin que je me souvienne, j'ai eu mes discussions les plus intéressantes avec les hommes suite à une baise enflammée, où nous étions repus l'un sur l'autre. On dirait que l'ambiance et la connection interpersonnelle se prêtait mieux aux confidences, à des secrets qui n'auraient jamais été dévoilés devant une bière dans un pub un soir de printemps, par exemple. Alors pour faire un parallèle à cette période post-coïtal e où monsieur reprend force et vigueur et où mademoiselle reprend son souffle et le contact avec la réalité et pour aller plus profondément dans les confessions des hommes présents dans ma vie personnelle et dans ma vie plus virtuelle, j'ai décidé de lancer le concept et quelques uns de ces lecteurs et amants ont embarqué dans le jeu.

Tout au long de cette série de chronique, vous aurez les avis et états d'âme de plusieurs mâles parfois sous le couvert de l'anonymat, parfois sous leur pseudonyme virtuel, mais toujours de façon sérieuse, posée et réfléchie..


Débutons à l'instant et un grand merci aux hommes qui se prêteront au jeu durant les prochains mois!

Bonne lecture, 


Mamz'elle J xx

1.20.2013

Retour sur le défi de décembre 2012 de Mamz'elle J

Bonjour mes coquins!

Depuis 3 ans, je me fais un petit défi coquin en décembre. Cette année, je n'y ai pas fait exception, mais j'ai amené mon projet à une tournure différente..

Alors que l'an passé, je m'étais donné comme défi d'atteindre l'orgasme au minimum 2 fois par jour durant tout le mois de décembre, cette année, j'ai décidé de combattre ma libido et de m'abstenir à toutes relations sexuelles, avec mon copain ou non, durant les 31 jours de décembre. Ce fut une fin d'année plutôt difficile, mais heureusement je n'avais pas inclus le paramètre disant; aucun orgasme du tout. Donc, les puissantes jouissances que j'ai éprouvées furent à moi de moi.

Comme j'ai un caractère plutôt fort et que j'ai beaucoup de persévérance face à ce genre de situations où je peux aller jusqu'au bout de moi-même, repoussant mes limites et faisant fi de mon désir grandissant pour la gent masculine, j'ai réussi quand même à atteindre le premier janvier tout en étant tout à fait intouchée en un mois entier.


D'abord, le début du mois fut beaucoup plus intense que je ne l'aurais cru. En fait, mes plus grandes poussées d'orgueil furent durant les 10 premiers jours. Le soir du 6, j'étais dans un café avec Le Petit Nouveau et il offre de me raccompagner chez-moi afin de visiter par le fait-même mon petit cocon. Ce soir-là, j'aurais voulu que nous soyons le 3 janvier pour qu'enfin je puisse avoir un peu de temps corps à corps avec le-dit homme. J'avais les hormones dans le tapis et piqués devant ma porte, j'attendais un signe du destin quelconque, je ne savais pas is je devait mettre fin à mon défi et le laisser entrer ou bien si je devais attendre quelques semaines encore.. alors, poussée par un élan de logique (je sais pas si je dois appeller ça ainsi!), je lui ai donné deux becs sur les joues, ai feint que mon appartement était en désordre et lui ai promis de le rappeller. Sans le savoir, je venais de faire face à mes pulsions et je disais non à un homme que je désirais ardemment sur la pas de ma porte en initiant une continuation à cette histoire plutôt rigolote entre lui et moi. Je l'ai regardé marcher sous les immenses flocons de neige jusqu'à retourner à son auto, en me demandant si j'avais pris la bonne décision. J'ai eu quelques remords dont je me suis confessé et ça m'a donné une poussée dans le dos afin de continuer mon défi.


Puis, autre moment de faiblesse, vers le début du temps des fêtes, j'étais chez des amis. Un petit party en bonne et due forme avec alcool et musique. À un certain moment, je me suis retrouvée assise à califourchon sur le sofa avec mon chum, et à un moment probablement créé par l'abus d'alcool, mes pensées sont devenues très coquines.
 J'ai glissé à l'oreille de mon copain que la blonde de son meilleur ami m'attirait beaucoup.. c'était la première fois en plus de 3 ans de relation que je lui balançais une phrase du genre. Il a pouffé de rire et je me suis sentie un peu mal de lui avoir dit ça. Je peux comprendre sa réaction par contre, puisqu'il n'a pas beaucoup de «cue» sur mes idées coquines. Je me sens parfois tellement gênée de lui raconter mes fantasmes puisqu'ils sont à mille lieux des siens. Alors qu'il préfère la sexualité se limitant à un homme et une femme qui ensemble, expérimente des trucs plus ou moins olé-olé, je suis du genre à n'avoir quasiment aucune fermeture d'esprit. Bien entendu, j'ai aussi des fantasmes plus «softs», mais je ne suis pas du genre à porter des oeillères et à ne me limiter à ce qui est socialement plus acceptable comme lui le fait.  Parfois, je remarque que depuis que j'ai décidé d'accepter et de vivre à fond ma sexualité de façon quasi-anonyme sur les réseaux sociaux en .changeant avec des gens sensiblement pareils à moi, j'ai découvert une petite partie de moi qui n'avait plus envie de se cacher. Même si au fond, je ne suis pas prête du tout  à faire mon coming-out de fille infidèle auprès de mes proches pour l'instant. Bien assez que ma mère soit au courant depuis le début.. bref.

Plus tard dans la soirée, alors que moi et elle dansions lascivement en chantant du karaoké, nous nous jouions dans les cheveux et j'ai eu une envie dangereuse de l'embrasser. Vodka et jus, ça donne souvent des idées pas tellement catholiques, vous savez.. mais juste au moment où nos regards se sont croisés suffisamment près pour tenter la chose, je me suis rappelé mon défi. Et j'ai tout fait pour ne pas briser ma promesse envers moi-même.

Mais dieu qu'elle était sexy avec ses jeans ajustés, sa camisole à paillettes et ses cheveux libres semi-bouclés. J'y repense et si j'avais pu, la première chose que j'aurais fait aurait été de lui embrasser la nuque tout en caressant son sein, passant la main sous sa camisole afin de sentir la chaleur de sa peau sur mon avant-bras. Elle portait un parfum plutôt floral qui ne me déplaisait pas et avait maquillé ses lèvres d'un joli gloss de couleur pêche, qui leur donnait de la brillance et du volume.


Le mois de décembre s'est terminé de façon presque facile. Beaucoup de travail, des partys qui s'enchaînaient de façon à ce que je ne puisse jamais profiter d'une soirée dans le confort de mon appartement, au chaud sous une doudou avec un bon film. Ce n'est pas que je n'aime pas mes amis et ma famille, mais quand tu ne dors pratiquement pas et que tu dois continuellement faire de la route, le moral et le confort en prend un coup. Et comme ils n'habitent pas la ville et ses environs, j'ai parcouru quelques 1500 kilomètres entre le 22 et le 31 décembre. Le soir venu, même mon chum n'avait pas envie de galipettes, en excellent point pour moi! ;)


Alors voilà! Nous sommes encore un peu trop tôt pour ça, mais je recueille des suggestions de défis pour décembre prochain. Mais par contre, cette année, aucune envie de devoir controler ma libido! Alors, plus aucune restriction et on s'en donne à coeur-joie!

Ce sera un temps de grandes ré-jouissances!

Là-dessus, bon dimanche à vous tous et toutes! Je vous reviens bientôt!


Mamz'elle J xx

1.19.2013

Chronique «Période réfractaire»

Période réfractaire, c'est ma nouvelle chronique de confessions sur l'oreiller de la part des hommes les plus près de moi, de façon humaine comme de façon virtuelle. Il me semblait intéressant d'avoir l'opinion de quelques hommes sur des sujets qui touchent les lecteurs et quand ces-mêmes sujets sont souvent abordés au lit, il me semblait indispensable.

Veuillez notre qu'aucun homme n'a été maltraité dans le cadre de ce questionnaire et que les confessions sur l'oreiller ne sont qu'une formulation imagée en lien avec la confiance accordée à la bloggeuse que je suis dans le cadre d'interview sporadiques...


..je veux surtout dire que je n'ai pas recueillis les propos cités, couchée sur le torse des répondants suite à une baise torride avec les hommes qui vont participer à ces aveux. ;) Du moins, pas tous.. hihi!


Des sujets qui touchent au plus profond de l'âme, des sujets plus personnels, des visions de la sexualité et de l'amour. Des opinions, des avis et des anecdotes venant de mecs ayant ou non une vie torride, un mode de vie adultère, célibataires ou mariés.



Restez à proximité, les premières confessions sur l'oreiller sont à paraître dans les prochains jours.
D'ici-là, profitez de votre weekend et prenez du temps pour vos coquineries sensuelles!


À bientôt,

Mamz'elle J xx

1.17.2013

Quizz sur le blogue! ;)


Voilà venu le moment pour moi de vous dévoiler mon petit quiz!

2 façons de participer!

Comme je mentionnais dans le billet précédent, vous pouvez participer en faisant un copier-coller dans la section «commentaires» du billet. Bien entendu, pour ne pas minimiser vos chances de gagner, je ne publierai pas le commentaire en question, faisant office de réponses aussi..

Mais vous pouvez aussi procéder de la même façon en envoyant de le tout sur mon mail au mamzellej@hotmail.ca.  Je vous enverrai un courriel de confirmation pour attester votre participation.

On débute ça tout de suite!


1) Quel fut le mois de la première rencontre entre moi et Laigle?
a- Juin
b- Septembre
c- Novembre


2) Quel était le lien à la base entre moi et Mr.G?
a- Patron et Employée

b- Maitre et Soumise

c- Professeur et Étudiante




(Question 5)
3) Quelle est la date de parution du billet Deepthroat-moi?

4) Quel était le jouet en vedette lors de ma première chronique SeXXtoy?

5) Quel artiste ayant été d'un grand support moral dans mon billet «
Bad Ovila, ou comment apprendre à laisser passer la vie..» a fait ce dessin?

6) Dans mon billet «Confession du Mardi: «I Squirted all over the bed.. that's my embarrassment.», à quelle pratique je fais référence?

7) À chaque année, je me fais un «défi de Noël». Quel était-il en 2011?


8) Quel parfum porte Laigle?

9) De quel attrait physique bien distinct et qui me réjouit à tous coups, je parle souvent lorsque je décris Mr.G?

10) Associez ces descriptions à mes 3 amants. (Mr.G, Moi Laigle et Le Petit Nouveau)

a- Amateur de sports extrêmes, travaillant dans le domaine des communications. 35 ans, yeux bleus, cheveux «châtains-bruns», silhouette élancée et très mince.
b- Beau brun sportif aux cheveux foncés (qui frisent pas mal!) et aux yeux verts, il travaille dans le domaine de la santé et est papa de 4 enfants.
c- Homme d'un peu moins de 40 ans, yeux bleus et bouille à faire une couverture de magasine, travaille dans le domaine de la vente et de l'informatique. 

11) À qui je fais référence dans ce poème?

12) Récemment, avec qui ai-je eu la chance inouïe de faire l'amour à 3 à Québec?

13) Dans quel billet du mois de mars 2011 je vous racontais la réalisation de mon fantasme de jouir au cinéma?

14) Qui a été «le premier homme de ma vie à me faire connaitre l'orgasme, la main à la gorge» ?

15) Quels étaient les 3 mots obligatoires dans mon défi d'écriture quelque part en 2012?


En jeu? Un certificat-cadeau de la boutique PlanetX afin de vous procurer le jouet de votre choix, ainsi qu'une surprise de mon cru... ouhh!
Vous ne regretterez pas. Haha!



Vous avez jusqu'au 1er février pour me faire parvenir vos réponses!

Je vous souhaite le meilleur succès possible! 

Mamz'elle J xx







1.16.2013

Un petit jeu pour les plus fidèles lecteurs...

Je disais cette semaine sur mon fil Twitter que je serais assurément surprise de voir à quel point les lecteurs fidèles reconnaissent les pseudonymes ainsi que les histoires qui s'y rattachent. Et puis, sur un petit coup de tête, je me suis munie de quelques uns de mes textes, des photos et une tonne d'idées coquines afin de vous préparer un petit quiz sur le blogue. En plus, j'ai déniché quelques prix de participation qui vous plairont assurément, qui que vous soyez..


Vous voulez participer? Rien de plus simple!
Vous devrez copier-coller le questionnaire accompagné de vos réponses dans la section commentaires du blogue, sous le billet du quiz et ensuite, vous devrez partager le lien sur Twitter ou Facebook. Vous ne pouvez participer qu'une seule fois par personne alors, soyez attentifs! Je vous redonnerai de plus amples renseignements demain lors de la publication du billet!

Là-dessus, étudiez-bien! :)
Je vous reviens demain avec le petit jeu..


Mamz'Elle J xx

1.15.2013

Le petit nouveau

Le premier contact que nous avons eu, c'est le 3 août 2012.
Sans savoir qui il était à l'époque, j'avais répondu à un statut Facebook d'une grande radio de Québec avec mon ironie et mon charme naturel et je l'avais fait rire. Quelques instants plus tard, j'ai reçu un petit message privé disant qu'il m'offrait des billets pour aller au baseball et il me souhaitait un bon match.

Ça a pris 2 mois pour que je retombe sur des photos du bel homme dans son environnement de travail, sans même faire le lien entre lui et le gars des «tickets». Je lui ai fait une blague sur ses yeux bouffis, il m'a répondu et c'était le début d'une conversation de longue date et sans fin pendant des semaines.. Quelques occasions manquées de rendez-vous et puis hop, un soir, ça a fonctionné.

Je lui ai donné rendez-vous à la Brûlerie St-Roch un soir de décembre, la veille de son anniversaire, un soir de première neige... nous n'avons pas chaussé nos patins comme nous l'avions prévu depuis si longtemps.
Ce soir-là, j'avais envie de ne rien laisser paraître. Ni mon envie de découvrir son boxer bleu ciel qui dépassait de son pantalon. Mon envie de lui jouer dans les cheveux jusqu'à ce qu'il s'endorme devant un épisode de Dexter. Mon envie de masser ses épaules, laisser glisser mes ongles sur son dos. Mais je ne l'ai pas laissé monter. Puis, je l'ai regardé s'éloigner sous les flocons de neige qui couvraient le quartier.
Je me suis empressée de Twitter mes états d'âme...




À la base, de longues heures de conversations Facebook et de textos nous ont permis d'apprendre à nous connaitre. Je m'intéressais à son travail, à sa personnalité et j'écoutais religieusement son émission. À quelques occasions, j'ai eu droit à deux ou trois salutations qui m'ont toujours tiré un immense sourire.

Il m'a appelé Mamzelle, déja il avait imbriqué en moi un sentiment de confiance!

Le nouvel amant a 13 ans de plus que moi, il est papa et il a des yeux ma-gni-fiques. Comme mentionné plus tôt dans le texte, il travaille dans l'univers radiophonique de la Ville en plus d'occuper quelques autres emplois et passe-temps.

Je vous raconte, en sautant des étapes, la rencontre du petit nouveau. Je l'appelle ainsi parce que d'une part, je ne sais toujours pas quel pseudonyme lui donner et aussi parce qu'il est véritablement entré dans ma vie depuis une semaine maintenant.

Je n'ai pas l'intention d'entrer dans les détails de nos ébats, du moins pas pour le moment.

En fait, je ne sais pas pourquoi, mais ce soir j'ai une impulsion majeure à écrire sur lui. Peut-être pour prendre la distance que je n'ai pas quand il se trouve devant moi. Pour prendre mon propre pouls de la situation...

Clairement, c'est un homme d'exception. Je ne peux pas m'empêcher de le comparer aux autres hommes que j'ai la chance de connaître dans l'intimité. Je ne peux m'empêcher de relever les majeures différences entre tous ces mâles et j'ai même été jusqu'à l'avouer tout haut à mon nouvel amant.
J'ai été habituée à des rapports plus physiques, à un lien beaucoup plus étroit, un jeu de séduction dès le pied dans mon appartement, un but ultime commun et une envie de baiser «here and now». Avec lui, je perds tous mes moyens. Je ne sais pas par où commencer, je ne sais pas quoi lui dire, il me pose des questions, je suis ultra gênée et intimidée.. je ne sais tout simplement pas pourquoi.

On me disait souvent que j'étais celle qui impressionnait par mon calme, par mon assurance, mon attitude, mon regard. Cette fois-ci, y a rien de tout ça qui ne tient.
Je le regarde directement dans les yeux, j'ai envie de lui lancer une blague plus «crunchy», des avances assumées, de le prendre par la main et de l'amener dans mon lit en l'embrassant fougueusement lui demandant qu'il m'agrippe les cheveux quand je le suce. Mais, niet.

Il aime la douceur. La tendresse. La volupté et prendre le temps.
Je pense que je suis un peu dans une zone «inconnue» et c'est ce qui me gèle le plus. Je ne suis pas moi avec lui; je suis moi quand il insère ses doigts dans ma chatte trop humide. Je suis moi quand j'ai la tête contre son épaule et que je suis sur le point de jouir. Je suis moi quand j'ai sa queue énorme dans ma bouche et que je ne sens pas la pression de son regard sur moi.

Il m'intimide. Beaucoup. Assez pour me demander si un jour j'aurai le sentiment d'être totalement moi-même à ses côtés. Assez pour me demander si j'oserai un jour m'asseoir à cheval sur lui pour lui murmurer à l'oreille à quel point il me fait de l'effet.


Le petit nouveau.

Mamz'elle J xx