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2.27.2014

Du Chocolat.. Des Bulles.. Du Plaisir. Dernière partie.

Le restaurant est bondé, l’ambiance est bonne. Notre table est éloignée du reste des invités par un muret de pierre et quelques plantes. Un écran parfait pour se sentir un peu plus intime.
Nous commandons chacune un drink, en parlant tranquillement de nos derniers jours de travail. Premier constat, cette soirée nous tenait toutes deux en état d’attente et de motivation!

Je la regarde dans la lumière plutôt tamisée du resto. Elle rayonne. Son décolleté plongeant fait exploser les pensées impures de ma tête et je me mets à la caresser du regard. Si ce n’était que de moi, j’abandonnerais mon verre sur la table et je l’amènerais dans un coin obscure pour enfouir ma langue dans sa chatte et la faire juter de plaisir.

De son côté, elle sait l’effet qu’elle me fait, battant des cils de plus en plus sensuellement.
Le serveur revient et nous commandons nos plats ainsi qu’une bonne bouteille de blanc, bien frais.  

Tout au long du repas, nous parlons de sexe. Nous nous racontons des anecdotes cocasses, salaces, torrides, décevantes; bref, pour tous les goûts.

De temps en temps, je regarde le serveur passer à côté de notre table et un petit sourire s’étire au coin de ses lèvres. Je crois qu’il fait exprès pour venir rôder autour de notre petite bulle pour espionner nos conversations. En même temps, l’alcool faisant effet, nous surveillons de moins en moins notre ton de voix.

Lorsqu’il vient nous porter nos repas, il semble hypnotisé par la poitrine de ma copine, qui ne cache désormais plus du tout son côté cochon. Il la couvre de compliments, lui offre de la raccompagner à la chambre. Moi je ris aux larmes. Le jeunot y met tellement d’énergie, le pauvre… Mais bien que jeune, il n’est pas totalement naïf. Et elle, n’est pas totalement de glace.
Ça me fait m’imaginer différents scénarios.

Le repas se termine une heure plus tard. Je reçois le détail de la note, règle le tout et laisse un message de remerciement à l’endos de la facture…

Nous remontons à la chambre. Elle me laisse entrevoir la dentelle de son bas lorsqu’elle escalade le long escalier de l’hôtel. Ses reins appellent au sexe. Tout d’elle est imprégné d’un charisme désarmant.  Je vois d’ici qu’elle n’a plus sa culotte…

À la chambre, j’ouvre le champagne. Nous nous asseyons sur le lit, en rigolant. Nous portons un toast à notre belle réunion.

Sa main s’avance vers ma cuisse, caresse le nylon qui recouvre ma jambe, s’étire jusqu’à atteindre mon genou… Elle me fixe. Je fige. Son regard me paralyse.

Elle prend mon verre, le dépose sur la table de chevet, me couche sur le lit et m’embrasse. Ses lèvres sucrées se font pourtant tantôt douces, tantôt agressives. Elle me glisse à l’oreille : « Tu m’as si bien fait jouir tantôt, il faudrait bien que je te rende la pareille.»

Je souris.

Après peu de temps, ses doigts trouvent le chemin vers ma chatte ruisselante. Elle écarte un peu ma culotte et s’amuse à me branler avec vigueur mais sans jamais me laisser flancher. Nos robes prennent le chemin du plancher, je lui enlève ses escarpins, elle me déleste de tout sauf de mes bottes hautes, et mon corsage. Je me sens à peine gênée. J’ai les facultés affaiblies et je ne m’inquiète plus de mes complexes. Je vis le moment.

Nous faisons l’amour comme si nos corps se connaissaient depuis toujours, gardant notre lingerie pour le jeu.

Au bout de quelques minutes, nous entendons frapper à la porte.
Elle se demande vraiment qui cela peut bien être. De mon côté, je me doute bien. Mais tout de même surprise, je la suis parce que je veux avoir une vue imprenable sur la surprise qu’elle aura.

Elle ouvre et pousse un éclat de rire. Agrippant l’homme qui se trouve sur le seuil par le col de sa chemise et le pousse sur le mur du hall de la suite une fois entré. Je la regarde l’embrasser goulûment. Le pantalon de notre jeune homme est de plus en plus étroit au niveau de l’entrejambe. C’est mémorable de les voir.

Je les regarde. Je n’ose pas m’approcher. Elle se met à genoux devant lui, défait sa braguette et sot de son pantalon une queue de bon calibre. Même moi, j’en salive!
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour glisser son sexe entre ses lèvres, je l’entends déglutir. A-t-il déjà eu affaire à une femme de ce calibre auparavant?

De mon côté, je m’adosse au mur. Je joue la voyeuse. C’est plutôt excitant de la regarder fermer et ouvrir les yeux, faire coulisser sa bouche sur l’épais sexe de cet invité impromptu. Elle glisse de temps à autre une main entre ses cuisses, cherchant à se procurer encore plus de plaisir. Lorsqu’elle remonte sa main à la tâche, je la vois étendre sur l’engin sa propre mouille, pour se goûter. Le mouvement de sa main est constant, ses joues se creusent sous l’aspiration. Je la vois prendre autant de plaisir que lui durant cette pipe très cochonne. Je caresse mes seins, en pince les bouts… Je sens que ma chatte se réchauffe sous la vue des deux coquins et pourtant, je n’ai pas envie de briser cette complicité en allant les rejoindre. Bien que j’aie très envie que l’on salue le courage de cet étalon de 20 ans de belle façon.

Je continue de caresser mon sexe en travers de ma culotte de dentelle. Je la sens bien humide.. Mes doigts se trempent rapidement, le tissus ne suffisant plus à retenir mon plaisir.

Elle le masturbe énergiquement et le fait jouir sur ses seins. Portant un de ses doigts à sa bouche, elle lèche les quelques gouttes de semences qui sont atterries sur ses phalanges et se relève en lui embrassant la joue.

Le jeunot reste un peu bouche-bée alors qu’il remonte ses pantalons. Il a clairement eu droit à la fellation de sa vie. Nul doute.
Avant de partir, il fouille dans la poche de son pantalon..

Et il se tourne vers elle et lui dit : «Vous avez échappé ça sous votre table tout à l’heure.» et iIl lui tend sa petite culotte.


Je savais qu’elle l’avait fait exprès.
Et j’adore…


Notre nuit se poursuit. Un plaisir certain.
Un plaisir que j’aime de plus en plus vivre..





Mamz’elle J xx

2.20.2014

Du Chocolat.. Des Bulles.. Du Plaisir.. partie 4

Pas tellement nécessaire de vous répéter à quel point j’adorais la regarder. Elle semblait tellement sûre d’elle-même et en possession de ses moyens que je ne pouvais que la suivre dans ses lubies et faire en sorte que ça devienne notre moment.
Un très beau et mémorable souvenir d’ailleurs.

Elle a déposé au pied du lit le gode de verre plutôt stylisé afin de venir enjamber mon corps.
Chevauchée à la hauteur de mon visage par son intimité, une fois de plus offerte, je ne savais pas si je me devais de contenir mon envie de la lécher encore ou si je me foutais de ce que mon instinct me disait. Elle s’est penchée au dessus de moi en passant le premier anneau des menottes à mon poignet droit.

Le froid du matériau métallique me fit un peu frémir. Puis, après avoir enroulé la chaîne séparant les bracelets, elle a attaché mon deuxième bras à la tête du lit. Un sentiment d’être prisonnière du plaisir que j’adore.

Ma belle copine s’est alors mise à redescendre le long de mon corps, accompagnant son tracé de baisers, caresses et morsures légères. Tout pour mettre mes sens en éveil. Tout pour me rendre folle. Je ne souhaite toutefois pas fermer mes yeux. La regarder faire m’excite à un point tel que je suis trempée déjà. Elle masse ma poitrine, aspire un après l’autre mes seins entre ses sensuelles lèvres. Ses doigts se rendent à ma chatte, où elle trouve facilement et habilement le bouton déclencheur de plaisir, impatient de sentir son toucher et de se plier à ses caresses. Nul doute qu’elle sait s’y prendre avec l’intimité féminine. Ses mouvements se font lents et appuyés. J’ai du mal à contenir les gémissements et les expirations chargées de plaisir qui s’extirpent de ma gorge. Lorsque je sens la fraîcheur du gode se présenter à l’entrée de mon antre, je souris. J’appréhende. J’aime l’idée. J’ai hâte. Je frémis. Je suis dans tous mes états.

Elle le pousse en moi doucement. Tout doucement. Légère rotation alors qu’elle souhaite lubrifier de ma mouille abondante toute la longueur de l’objet. L’inclinaison est parfaite. La largeur de son jouet est  à point. Je suis envahie de ce grand frisson. Le frisson que ressens une femme lorsqu’elle s’abandonne enfin à son plaisir, laissant avec confiance son sort entre les mains de son ou sa partenaire de jeu. Elle semble y prendre plaisir au moins autant que moi.

Elle sait comment s’y prendre. Alors que d’une main elle fait coulisser l’objet dans les tréfonds de mon ventre, son autre main joint mon clitoris bien gonflé et luisant afin d’augmenter mes sources de plaisir. Je suis en transe. J’aurais envie de la toucher, de me prendre les seins, mais je ne peux qu’accueillir ce plaisir en me délectant de la vague qui approche à grands pas.

Elle y va plus frénétiquement. Je courbe mon bassin, mes seins se relèvent. Je me dresse sur mes talons, alors qu’elle baise ma chatte avec une envie visible de me faire exploser sur le lit.
Je sais ce qu’elle veut.

Mon point G est trop stimulé pour demeurer impassible devant ce désir intense de me faire mouiller le drap. Quelques autres coups de poignets et ça y est, je sens en moi monter l’orgasme, projetant quelques vagues de mon jus sur le drap et sur ses cuisses. Elle sourit, semble vouloir jouir avec moi et m’encourage à me laisser aller.

Elle me branle encore le clito alors que je suis sur le point de jouir une autre fois.
Je suis absolument vidée de mon énergie, mais j’ai tellement envie d’elle et de la surprendre encore une fois..

Je me laisse tomber sur le lit.

Elle approche le gode de ma bouche, nous le léchons en se regardant dans les yeux. J’adore goûter mon jus après l’orgasme. Je crois comprendre qu’elle aime bien le faire aussi..


Un long moment où nous avons pu profiter l’une de l’autre.
Nous finissions nos verres de champagne en discutant tranquillement.

Je me relève, file prendre une douche après qu’elle ait détaché mes poignets du lit.
Mes jambes en tremblent encore.

Nous avons rendez-vous au restaurant dans moins de 30 minutes.
Juste le temps de nous savonner, d’enfiler nos robes et nos lingeries les plus coquines et de descendre…







Mamz'elle J xxx

2.19.2014

Du chocolat.. Des Bulles.. et du Plaisir.. partie 3.

Je bouillonnais. J’avais envie d’elle plus que de n’importe quoi d’autre. Je la regardais encore sourire, elle semblait si légère et sur son nuage post-coïtal. Elle était lumineuse et inspirait le sexe. Elle respirait le sexe. Je respirais le sien. En transe. Je me suis assise de mon côté du spa, glissant une main le long de mon torse pour atteindre l’intérieur de mes cuisses. À la seule pression de mon doigt sur mon petit bourgeon, je ressentais un frisson intense me parcourant la colonne et la nuque. J’étais littéralement à fleur de peau et j’adorais cette sensation.

À ce moment, elle s’est glissée dans l’eau du bain, s’est assise juste en face de moi et s’est mise à me fixer sans parler. Pendant de nombreuses secondes, nous nous regardions dans la blanc des yeux, pour profiter du moment, ou pour donner un défi de contrôle implicite à l’autre. J’étais hypnotisée. Elle l’était tout autant. J’ai senti son pied monter le long de ma jambe, ses orteils glissaient sur ma peau avec douceur et envie. Me regardant continuellement, elle a atteint la cible. Ma chatte. J’ai senti sans peine son orteil se déposer entre les lèvres de mon sexe et y glisser avec facilité de haut en bas. Torturée par le plaisir, je me sentais terriblement allumée et impatiente. J’ai pris entre mes mains mes seins pour les caresser. Les pointes en étaient déjà dressées et bien réceptives.

Elle a continué de m’exciter de la pointe de son pied pendant de longues minutes. Je mordillais ma lèvre en fermant les yeux, tentant de me contenir au meilleur de ce que mon corps pouvait supporter.

Elle s’est levée, est venue s’installer debout devant moi et a passé une jambe par-dessus ma tête. Sa chatte offerte à ma bouche, juste à la bonne hauteur. Je l’ai prise contre mon visage sans attendre. Je l’ai bouffé comme si ma vie en dépendait. Comme jamais dans sa vie on ne lui avait montré de désir aussi fort. J’empoignais ses fesses d’une main, pour la rapprocher suffisamment de ma bouche pour encercler son sexe de mes lèvres, pour en perdre le souffle pendant que mon autre main s’affairait sur ma propre intimité. Deux doigts, puis trois se sont insérés en moi avec une facilité déconcertante. J’Aspirais son clitoris en le mordillant au passage, insérant un doigt entre ses fesses et tout à coup, je l’ai senti faiblir un peu alors que ses jambes furent prises de vibrations incontrôlables. J’ai cueillis son nectar sur mes lèvres et ma langue comme une offrande que je cherchais à garder que pour moi. Je l’ai léché. Avidement. Fouillant les recoins de son sexe à la recherche de son poison intime qui me rendait accro à elle.

Jamais auparavant je n’avais ressentis cette sensation intérieure.
Je cherchais tellement à me retenir de jouir sans elle, je voulais me garder pour ses doigts et sa bouche. C’est dans la chaleur de son haleine que je voulais me donner..

Je n’ai pas eu à attendre tellement longtemps.
Nous nous sommes levées. Enjambé la baignoire.
Elle a pris le chemin de sa boite à surprise alors que j’ai pris celui du lit. J’ai entendu un petit bruit métallique se cognant à quelque chose. Et lorsqu’elle s’est retournée vers moi, menottes et gode de verre à le main, j’ai senti mon ventre se tordre.


Je la voulais. Là. Maintenant.




À suivre..

Mamz'elle J xx

2.17.2014

Du Chocolat... Des Bulles.. du Plaisir.. partie 2

Assise au coin du bain à remous, elle avait les cheveux à moitié trempés, flottant dans l'eau savonneuse. Ses seins étaient déformés par les vagues de l'eau et par la lumière des bougies qui trônaient juste à côté de nous, laissant de leurs petites flammes s'éclairer la pièce et me laisser m'imprégner de cette image de la femme en totalité.

Je ferme les yeux et je ressens le moment.
Je ressens sa cuisse qui s'insinue entre mes jambes, mes mains qui s'agrippent à ses épaules pendant que je rejoins sa bouche en un baiser délicieux, doux et intense. Je ferme les yeux pour mieux savourer. J'aime le goût de ses lèvres. J'aime le grain de sa peau. J'aime la fraîcheur de son souffle, quand elle me demande de la caresser, mais surtout, j'aime deviner son côté déjanté quand elle se lève en me regardant du coin de l'oeil, pour s'asseoir sur le rebord de la baignoire..

Je la regarde faire, comme si elle se donnait en spectacle. Sans aucune gêne, elle pose ses fesses sur le coin et s'adosse au mur. Elle écarte ses cuisses et trouve encrage pour chacun de ses pieds de chaque côté du bain. Tout ce temps, je la vois se lécher les lèvres et je ne sais pas sur quoi je dois m'attarder. Mes yeux se posent sur le tableau qu'elle m'offre; un joli sexe épilé d'où perlent quelques gouttes d'eau et un peu de mousse restée collée à la peau de son ventre. Elle mène l'une de ses mains à sa poitrine, où elle dessine le contour d'un de ses mamelons, pinçant le bout de son sein en souriant et en reprenant de plus belle avec l'autre sein. Je suis hypnotisée. Elle me captive par sa grâce et son assurance. Ma sagesse et mon calme s'envolent et j'approche de son corps dangereusement. Je masse d'abord ses cuisses, léchant le bout devenu tout dur de son sein qui se soulève au rythme de son souffle. Je titille son mamelon comme j'aime qu'on me le fasse avant d'empoigner son autre sein de ma petite main qui manque évidemment de place pour tout couvrir. Je suis follement excitée de les soupeser, de la regarder, de sentir la fébrilité dans l'air. C'est évidemment sans trop attendre que je joins sa chatte de ma langue.. j'embrasse son ventre, glisse ma bouche à son aine et j'écarte ses lèvres de deux de mes doigts. Je découvre son sexe humide et coulant, un parfum enivrant et sexuel qui agit sur moi comme un aimant puissant. Je ne peux m'empêcher de refermer les lèvres sur son clitoris qu'elle m'offre en un long râle. Je fouille sa chatte. J'en goûte chaque centimètres, je la déguste tant et si bien qu'après quelques secondes à m'appliquer, je sens ses doigts maintenir ma tête sur son sexe.

Elle encre ses ongles dans mes cheveux et me colle la bouche à son antre avec tellement d'avidité que j'en perds le souffle. Je lui laisse sentir mes dents, accélère un peu le rythme de ma caresse sur son petit bouton jusqu'à sentir ses jambes frémir et tout son corps se tordre. Puis, je m'arrête. 


Je me décolle, la regarde, me lève un peu et l'embrasse. Elle peut maintenant goûter sa propre cyprine coulée à mes commissures et lécher ma langue ayant pris follement plaisir à la satisfaire.

J'y retourne, même manège. Je varie la vitesse, l'appui, la douceur et l'intensité et je l'amène à quelques reprises au bord du précipice sans jamais la laisser jouir. J'y prend un malin plaisir.

Je glisse une main sous sa fesse et change l'inclinaison de son bassin.
De cette façon, j'ai accès à toute son intimité et je dois avouer que j'ai hâte de la découvrir.

Je lape sa chatte, goûte son miel, j'étire parfois un petit filet de son jus de ma bouche à sa chatte, par plaisir, par perversité. Je lèche un peu encore, et je descends jusqu'à son cul, où je chatouille sa petite rose tout doucement. Elle se détend rapidement, s'abandonnant aux caresses appliquées de ma bouche et bientôt, je vois ses yeux se fermer et sa tête s'incliner vers l'arrière. J'adore la voir dans cet état.

Je la lèche, je mouille toutes ses cavités de ma salive mélangée à son jus et je m'amuse à lui couper le souffle.

Je pousse l'audace. Mon pouce rejoint ma langue aux abords de son cul, où d'un mouvement circulaire, je la prépare à accueillir un doigt. Je recueille un peu de sa cyprine et glisse tout lentement mon pouce dans sa petite rose, qui se referme sur ma phalange à peine insérée. Je suce son clitoris et bougeant lentement ma main devenue jouet, pour l'habituer à ma présence et faire monter son plaisir.
Elle grogne. Visiblement, elle apprécie.

Je continue mon parcours, lui bouffant la chatte avec appétit et baisant son cul d'une main déterminée pendant que je l'écoute crier. Ma main libre plonge d'abord sous l'eau de la baignoire où je me trouve à genoux, pour ensuite atteindre mon sexe ouvert et réclamant un peu d'attention. mon index glisse le long de ma fente et je l'insère avec une facilité déconcertante en moi.

Le ressortant de l'eau, c'est dans sa grotte que j'irai plonger mes doigts. d'abord deux, pour la stimuler en lui laissant connaître le plaisir d'avoir deux orifices investis en même temps. Un troisième doigt.
J'accélère. De plus en plus vite. Je la sens vibrer comme jamais encore.

Et elle pousse un gémissement qui traduit son plaisir. Elle branle énergiquement son petit bourgeon pendant que je lui baise littéralement la chatte et le cul en même temps et elle jouit enfin sous mes yeux.

Elle est si belle. Son sourire veut tout dire.
Je sens les soubresauts de son sexe sur mes phalanges, que je laisse en elle et qui semblent encerclées dans un étau puissant. Elle tressaille encore, victime de cet orgasme qui la dévaste. Elle essaie de parler. Rien de très audible ni très articulé, mais un regard brillant et une respiration bruyante.

Un moment particulièrement spécial. Je crois qu'elle a aimé.. et moi dont!

J'ai envie de recommencer, juste pour la voir jouir à nouveau.
L'entendre à nouveau.
La sentir à nouveau.. 


Je retire mon pouce, puis mes doigts de sa jolie chatte. Je les approche de sa bouche et elle les lèche doucement, un à un.

Je l'adore déjà..


Et la soirée ne faisait que commencer..





Mamz'Elle J xxx

2.14.2014

Du Chocolat.. Des bulles.. Du plaisir.

Je l'attendais depuis un bon moment, ce jour où j'allais l'avoir pour moi toute seule. Mais en même temps, j'aime bien partager..

J'avais déjà mis un peu ses sens en éveil, en évoquant mon envie de la coucher sur les draps, de parcourir son corps en embrassant toutes les parcelles de peau qu'elle m'aurait offert, en périphérie de sa jolie robe à pois et de ses bottes hautes. J'allais passer mes doigts dans ses cheveux, caresser du bout des ongles ses bras, son cou, sa mâchoire, déposer mes lèvres sur sa clavicule, la naissance de ses seins, ses lèvres.. J'allais goûter son parfum, apprécier le frottement de nos jambes nylonnées pendant que je la chevaucherais pour déboutonner le haut de sa robe ajustée sur sa poitrine. Je me voyais déjà la fixer de mon regard le plus désireux en laissant libre court à mon envie de la dévorer des pieds à la tête. Déjà, j'avais la sensation de mes mains sur ses cuisses, retenant le mouvement ascendant qui m'amènerait à une source de chaleur intime que je convoitais depuis trop longtemps. Ma bouche chercherait son souffle, ou ce qui en restait, afin d'approcher suffisamment pour que nos langues se goûtent, délicatement, avec la douceur dont deux femmes avides de sensualité sont capables.

Je fantasmais sur cette image depuis que j'avais découvert qui elle était. Depuis que j'avais découvert autre chose que sa belle, trop belle, délicieusement invitante poitrine sur son avatar de réseau social.. J'étais écahie par sa bouche. Ses lèvres pulpeuses. Son oeil séducteur. Sa stature, toujours confiante, toujours en contrôle, rassurante. Je me suis mise à imaginer quels sons elle poussait lorsqu'elle faisait l'amour, quelle lingerie elle portait lorsqu'elle voulait se sentir femme, quelles coquineries elle appréciait particulièrement au lit.

De retour dans mon imaginaire, je savais qu'elle était une femme délicieuse, mais qui plus est, elle était gourmande. Et ça me plaisait. Ça présageait surtout qu'elle était une personne très ouverte, généreuse et qui aimait se griser de tous les plaisirs gustatifs les plus pervers.

Je voyais bien ses formes, dans la pénombre de la chambre éclairée aux lampions, où j'avais pris soin de mettre au frais un bonne bouteille de bulles et quelques chocolats de ma confection. Un plateau de fruits rouges était déposé sur le bord du grand bain à remous où trônait  une montagne de mousse aux arômes musquées. Je la désirais follement. Toute les fibres de mon corps ne revendiquaient qu'elle.

Couchées sur le lit, je me suis mise à l'embrasser tendrement. Je la caressais, jouais dans ses cheveux, portais à ma bouche son sein tendre pour en mordiller le mamelon. Sa poitrine se soulevait. Je l'entendais expirer, j'entendais son plaisir dans chaque bouffée d'air qui s'extirpait de son corps.
Elle était si belle.  

Je l'ai attirée vers le grand bain. Je la regardais s'y avancer avec grâce, exhibant toute sa splendeur et son charisme par sa démarche de louve. Elle était ma proie. Plongeant un pied, puis l'autre dans l'eau, elle s'est assise dans le coin du bain et je l'ai rejoint sans attendre. C'est là que le jeu a commencé..




À suivre


Mamz'Elle J xx






2.12.2014

Défi de lecteur; La fois où j'ai pris mes jambes à mon cou

Déjà quelques semaines, voire quelques mois que cette curiosité était née en moi. Il m'avait fait sourire par l'entremise d'un réseau social, me disant à la hâte que j'étais son pendant féminin. Un peu le même humour, le même bagage de vie, les mêmes intérêts, nous nous étions trouvé des points communs, mais surtout des points d'encrages ayant donné lieu à des conversations tout sauf osées. Bien avant de parler de ces sujets que l'on aborde souvent lorsque l'état d'ébriété se fait sentir, nous avions connu le côté humain de chacun et nous étions apprécié. Nous cherchions à garder le mystère sur nos identités et à nous garder le plus de secrets possibles concernant notre quotidien afin de ne pas provoquer les choses. Et je dois avouer que c'était la première fois que quelqu'un ayant un fort intérêt pour Jade ne souhaitait pas au moins voir mon visage en photo.

Le temps avançait, et comme nous habitions la même ville, les occasions de se croiser restaient tout de même fréquentes. Longtemps je me suis demandée si je devais aller au bout de cette curiosité.
J'ai décidé de moi-même briser le charme. De lui donner rendez-vous. Provoquer la rencontre. Me mettre à risque et voir ce que ça allait donner.

Il était 21h. Je revenais du travail et avais envie de prendre un verre. Je lui ai envoyé un message, qu'il a lu instantanément, et auquel il a répondu par l'affirmative. Comme s'il n'attendait que ça. Il a pris le taxi, avait une course d'environ 20 minutes à faire. Si habituellement je me sens en confiance avec des inconnus, cette fois-ci, je n'avais aucun repère. Aucun. Jamais su son nom, jamais vu son visage, jamais eu son numéro de téléphone, encore moins son adresse.

Je ne savais même pas à qui j'allais avoir affaire.

Tout à coup, les papillons dans mon ventre se sont transformé en stress.
Je me souviens, à mes premiers rendez-vous avec Laigle, j'appelais ma mère pour l'avertir de mon horaire coquin parce que je voulais que quelqu'un sache où et avec qui je me trouvais en cas d'urgence.

Cette fois-ci, personne ne savait, pas même mon amant.

Je gardais mon calme.
Il est entré dans le pub.
Démarche assurée, look soigné, chemise rouge et petit veston sport. Il avait les cheveux en bataille et une barbe de deux ou trois jours qui lui donnait une gueule à faire fondre homme et femme sans plus dire. Un sourire à faire craquer.
On s'est reconnus tout de suite. Il est venu se présenter à moi, et j'ai senti son parfum, fraîchement atomisé sur sa peau basané. Il s'appelait Carl . Je ne lui ai pas donné mon vrai nom. Petite retenue s'imposant. Je n'avais pas encore tout à fait combattu la petite peur légitime qui s'était frayé un chemin à ma Raison.

Il s'est assis à côté de moi, a commandé deux Stingers - drinks lui rappelant ses premières soirées à l'insue des parents dans son sous-sol de St-Émile- et nous avons commencé à nous faire la conversation. Il disait qu'il venait de quitter son emploi stable pour un contrat de 3 mois en Nouvelle-Zélande pendant lequel toute sa famille et lui allaient être logés et nourris dans un hôtel de luxe où ils auraient accès au penthouse. Il disait qu'il était heureux que je l'invite ce soir-là puisqu'il partait le lendemain en fin d'après-midi. Il m'expliquait qu'il venait de finir ses valises, que sa femme devait les rejoindre demain à Montréal pour le départ et qu'en attendant ce sont ses parents qui gardaient les deux jeunes garçons alors il avait le champ totalement libre pour venir me rejoindre.

Le temps a passé. Les regards langoureux, les mains curieuses et légères allaient et venaient sur les cuisses de l'un et l'autre. Bientôt, les doigts de Carl ont trouvé le chemin jusqu'à ma nuque. Il approchait son nez de mon cou, laissant au passage quelques baisers en douceur. Je raclais sa mâchoire de mes ongles, mordillant ma lèvre en signe de désir, je massais sa cuisse et approchais ma main de son aine que pour le plaisir de le regarder rougir, perdre ses mots, bafouiller et rire..

C'est là qu'il est devenu dingue; tous les mots en lien avec le sexe auxquels je n'avais pas été confronté sont tombés en un quart d'heure. Il me lançait des phrases plutôt crues, salaces, à la limite de l'obscène. Si au début, tout son petit jeu m'échauffait, l'alcool faisant son effet sur mon corps fatigué de sa journée, je me suis mise à craindre un peu qu'il soit le pire pervers de l'histoire et que je me retrouve dans une situation délicate ou dangereuse.

Après tout ce que je lui avais mentionné sur moi, il avait pris de notes j'en suis sûre, il a trouvé le bon chemin pour me remettre en confiance et rendre le jeu à son apogée assez rapidement.

Nous étions assis au bout du bar, dans un coin sombre où personne ne regarde. Les serveurs étaient débordés et le petit trio de jazz qui jouait juste devant attirait l'attention des clients ailleurs que sur nous.

Alors que je ne contrôlais plus trop ce que je faisais, je me suis mise à lui mordiller le lobe de façon coquine, en le laissant glisser sa main sous ma jupe cintrée, ses doigts caressant doucement la longueur de ma cuisse, ma laissant languir sous l'attente de quelque chose de plus. D'une caresse appuyée, d'un geste plus franc, d'un doigt particulièrement aventureux, mais même en me tortillant, je ne pouvais pas satisfaire mon besoin. Ma pulsion.

Je massais à travers de son pantalon l'énorme bosse qui semblait prendre de plus en plus de volume, gonfler sous ma main assurée et mon regard de jeune perverse. Je me serais pliée à tous ces désirs, une véritable connection nous liant. Je sentais à son regard qu'il avait envie de moi. Qu'il avait le contrôle. Qu'il ferait tout pour me baiser.. Mais j'ai décidé de prendre un peu le contrôle.. et ça a changé le jeu un peu..

Je lui disais promptement; «Allez, caresse-moi la chatte, tu y es presque.. fais-moi jouir ici, tout de suite, au milieu de tous ces gens..»

Mais plus j'implorais ses caresses, plus il reculait. Plus il était lent. Plus il était désintéressé. J'en avais pourtant tellement envie et il le savait. Il le sentait. Il m'entendait l'implorer, le supplier d'atteindre mon sexe pour me lester de cette terrible envie de jouir..

Voyant après quelques minutes qu'il s'amusait trop et que son seul vrai plaisir était de me voir me tordre de délire sur mon banc.. sans avoir la véritable intention d'aller plus loin, j'ai discrètement enlevé ma culotte sous ma jupe, l'ai glissé à mes pieds, j'ai pris mon sac à main, me suis levée en et lui ai laissé un faux numéro sur le sous-verre de son drink et ma culotte dans la poche de son veston sans même qu'il ne s'en rende compte.

Y a pas que les demoiselles qui jouent à être agaçes, messieurs!..



Mamz'elle J xx