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6.29.2010

Proposal, Tried 2 ou Mes 9o minutes de plaisir de la semaine..

.. il y eut une attente, puis une réponse.

Une réponse positive, que je n'attendais plus.


Chaque fois, c'est pareil.. les papillons qui me parcourent le corps à m'en faire frémir, le sourire racoleur et les joues rougies, je l'attends à l'entrée, impatiente de sentir son musc.. D'embrasser ses lèvres et de passer ma main sur sa nuque chaude.. Chaque fois l'envie de caresser ses belles fesses tendres et d'en prendre une croquée.. de le déshabiller sur place, d'arracher ses boutons de chemise parfois tellement durs à détacher d'une seule main..


Nous n'avions pas beaucoup de temps.. mais je ne le savais pas. C'est une bonne chose, en fin de compte, puisque je prends la peine de profiter du moment encore plus intensément.


D'abord à parler travail, de mes activités sociales, de cadeaux reçus de mon Officiel, de mon air particulièrment coquin, ensuite à se coller de plus en plus.. puis les baisers, puis la chemise rose de chez Tristan qui se soulève entre deux boutons, laissant entrer mes doigts qui se glissent sur sa peau douce et ses abdos définis... c'était parti pour une belle séance encore une fois.

Nous étions sur mon lit, les lumières allumées au maximum- ce que je ne comprends pas, puisque selon mes dires, j'aime bien baiser dans le noir. Ça atténue les complexes..- quand il a commencé à caresser mes jambes. Quand monsieur s'est aperçu que je ne portais pas de petite culotte (surprise!..) il s'en est allé dernière moi pour soulever ma jupe et porter un doigt à ma chatte déjà moite.. puis ce fut sa langue, douce et précise, que je recevais sur mon clito gonflé.. J'aime tellement sa façon de me lécher, sa manière bien à lui de satisfaire tous mes points sensibles au plaisir quand il est sur le territoire offensif, hihi!.. Il léchait mon cul, ma chatte.. j'avais la tête dans l'oreiller, à fermer les yeux pour l'imaginer, pour arrêter le temps l'espace de quelques secondes afin de décupler l'excitation.. Il a commencé à me fouiller la chatte de son pouce, en m'assénant des coups durs et profonds.. j'étais entre deux mondes.. À me pistonner comme ça, quelques coups de plus et je jouissais sur sa main.. mais il s'est arrêté pour venir m'enfouir son membre au fond de mon antre.. quand il s'est ensuite couché sur ma pile d'oreillers, il m'a demandé de le prendre dans ma bouche.. (Comme s'il avait à me le demander! je me jetterais dessus sans même la permission de le faire..)Puis, sa belle queue dans ma gorge, il me parlait.. comme un maître parle à sa soumise, à sa soubrette. Il m'ordonnait de bien me l'enfoncer, de le sucer et d'ouvrir grand ma bouche pour qu'il puisse entendre le bruit que faisait sa verge s'insérant dans ma gorge quand il me baisait la bouche.. j'en avais les larmes aux yeux, le souffle coupé..



Quand je suis montée sur lui, ce fut la douleur qui m'envahit.. Je sentais sa mâchoire se refermer sur ma peau, ses dents mordre mes seins.. J'avais mal. Je ne ressentais plus le plaisir de sa queue dans ma chatte... Je ne pensais qu'aux futures excuses que j'aurais à inventer pour que mon Officiel ne se doute de rien.. (il ne se doute pas un seul instant que je le fais cocu depuis 6 mois.. mais j'en suis tellement amoureuse..) Et puis, je me consolais un peu.. En me disant que mon coeur et mon corps ont fini par accepter de laisser entrer Mr.G dans ma vie.. Je ne pleure plus lorsqu'il part.. et quand il me défonce à m'en fendre les entrailles, je n'ai presque plus mal.. Bref, rien à comparer avec les premières rencontres.



Et, est venu le temps de me prêter au jeu que j'aime le plus; lui caresser le cul pendant qu'il est dans ma bouche. Humm.. et quand ma langue arrive à se frayer un chemin vers son petit trou, et que je peux le lécher et le déguster, je suis aux anges. Une fois de plus.. Humm..



Il a joui dans ma bouche. J'ai tout avaler, comme le fruit d'un travail que j'étais fière d'avoir accompli, ne laissant aucune trace. Je déteste les bévues..

..et comme toujours (non, pas toujours.. une fois je ne l'ai pas fait...) je me suis mise à pleurer, couchée à ses côtés, ma tête collée à son bras.. Je tremblais, je paniquais.. j'avais froid, soif, peur.. et puis, il m'a fait entendre des chansons.. douces et torturantes.. puis, la crise passée, on s'est collés à nouveau pendant un moment, avant qu'il m'annonce qu'il devait partir.. Je n'ai pas pu le retenir, comme je l'avais fait la dernière fois.. à mon grand désarroi, mais je vais le rappeler bientôt. Je ne peux plus attendre aussi longtemps entre chaque rencontre. Je ferai de la place à mon horaire de fou pour lui. Je lui ferai des surprises. Je lui en donnerai des orgasmes, je lui en ferai des promesses.. Il me manque. Je ne peux pas lui en demander beaucoup, j'en suis conciente, mais si je pouvais partager quelques soirs de plus avec lui, ce serait si bon..


Un jour, je serai capable de le faire s'insérer au complet dans ma gorge, de tirer la langue pour atteindre ses couilles.. un jour. C'est mon projet pour l'été. En être capable. -À INSÉRER DANS MON PLAN TRIENNAL-

...et dire que, pendant cette heure et demi, ma seule et unique pensée autre que lui se portait vers la fenêtre ouverte d'où mon proprio trop mignon aurait pu me voir.. accroupie avec le cul pointé, la langue de mon amant dans ma fente trempée.. je suis sure qu'il aurait aimé y être aussi.. De toutes façons, même s'il ne nous a pas vus, j'ai gémi assez fort pour qu'il m'entende..

Allez, je me sauve.. j'ai encore envie de lui.. donc je vais aller m'amuser avec mes amis pour faire changement..

Puis je vais dormir dans son odeur.. J'ai hâte de partager mon lit avec mon amant, l'espace de quelques heures de nuit...

6.22.2010

Se faire prendre, les petites culottes aux genoux..

Misère! J'suis pas dûe ces temps-ci pour planifier ma vie.. je dois dépanner plein de monde, et biensûr, dans un tout autre ordre d'idées, mes projets prennent l'eau plus souvent qu'autrement..


Inopinément, on me demande de travailler plus tard aujourd'hui. Beaucoup plus tard.
Comme j'avais prévu une soirée avec mon amant-maître, remplie de surprises et de moments plus tendres, j'ai dû remettre le rendez-vous qui devait se tenir ce soir... bien entendu, j'avais beaucoup de peine, et une immense déception de devoir reporter une soirée qui me tenait autant à coeur, et qui plus est, allait me permettre de laisser s'échapper le stress des derniers temps.. comme j'avais une belle journée de congé en plus, il faut dire que la soirée aurait été idéale et la matinée de demain, délicieuse.

J'ai dû annuler.

Et hier, sans trop m'y attendre, je rentre chez-moi après 2 jours de «je-ne-suis-jamais-dans-mon-appart-et-obligée-de-courrir-toujours-partout-ces-temps-ci.» et, je m'aperçois qu'il manque des meubles que mon propriétaire d'immeuble m'avait prêtés pour décorer ma somptueuse demeure.. mais le truc, c'est que les meubles en question étaient dans ma chambre et que, ces temps-là vu ma poussée d'hormones sexuelles, J'ai tendance à laisser traîner mes jouets un peu partout.. mon vibrateur sur ma couverture de semi-cachemire, mon dildo sur ma table de chevet. Mon chapelet de perles en latex bleu pour soulager mon petit trou trop en manque lors de mes plaisirs solitaires.. la bouteille de lube sur le plancher à côté du lit..

..il n'étais pas supposé d'être dans ma chambre. Mais maintenant, je sais qu'il sait que je suis une salope, et je pense qu'il pense que je sais qu'il sait que je sais qu'il est venu mettre son nez dans mes affaires quand je n'étais pas là.. et qu'il a une vision peut-être différente de moi.

Zut alors. Et il avait affaire ailleurs dans l'appart, dans une pièce où je laisse traîner mes dizaines de déshabillés en attendant de repeindre mon garde-robe; il a pris tous mes vêtements et les a ramenés dans ma chambre, sur le plancher de bois (!).. Allô l'intimité!

Mais bon.. qu'il sache que je suis une salope, je m'en fout un peu.. je dirais même que ça ajoute du piquant dans ma «relation» avec lui.. parce que, perso, je le trouve absolument craquant cet homme, mi-trentaine, musclé et intelligent comme pas un. Si ça peut lui envoyer une image indécente, je ne pourrai rien y faire.. que peut-être profiter de ce changement de vision sur moi.

Au nombre de fois où j'ai baisé chez-moi, en criant à pleins poumons ma jouissance avec mon amant, ou avec mon Officiel, où chaque fois que je me donne du plaisir en solitaire et que je ne me gêne pas pour dévoiler vocalement l'étendue de mon bonheur, je sais qu'il entend... je dirais même que parfois, il écoute. Oui oui! Avec certitude, j'affirme! Quand il joue du piano, et que soudainement il s'arrête durant nos ébats à moi et mon Officiel, et qu'il ne recommence qu'à la toute fin de la baise, il y a lieu d'avoir des questions à se poser. Une fois, alors que j'étais prise par derrière debout, face au mur du petit corridor de l'entrée, il est venu chez moi. en entendant la serrure dans la porte, je me suis vite dépêchée à courrir vers la chambre, nue.. mais, il me semble que cette fois-là encore, je criais assez fort que Monsieur le Proprio aurait dû entendre dans les escaliers et attendre un peu qu'on ait fini.

À moins qu'il aurait voulu que je joue avec sa verge à lui aussi.. que je le passe sur mes lèvres et que je l'assène de coups de langues fatals, qu'il me rougisse le derrière jusqu'à ce que je sois punie pour me promener nue dans l'appart le matin en sortant de la douche, pour laisser flotter un désir de l'avoir au fond de moi, juste une fois.. sentir son torse trop musclé, ses mains trop fortes s'aggriper à mes hanches, et le faire jouir dans des souffles qui lui auraient coûté la vie.. (je blague!) mais.. du moins, qui auraient fait en sorte que j'aurais eu sa visite beaucoup plus souvent.. mais dans l'intimité de ma chambre..

et puis, si ça peut faire baisser le prix de mon appart un peu trop au dessus de mes moyens, ça ne peut pas nuire!

6.17.2010

DOSSIER Fantasmes de soumission ;Suite de mes confessions

Voilà une suite de mon billet précédent.

Bonne lecture et délectation de mes confessions..

***

Il s'est passé quelques semaines avant que l'on ne se revoit.

Cette fois-ci, c'était ma faute. J'étais embourbée de travaux et études de toutes sortes, et comme je travaillais 25 heures sur 4 jours, j'avais du mal à concilier ma vie de femme, de blonde et d'amante.. en plus de ma vie de soumise. Mais j'ai tenté du mieux que je pouvais pour me libérer..

Les rencontres se sont déroulées chez-moi, dans le confort de mon lit... pas trop confortable. En fait, par mesure préventive de doutes de mon copain, ou même pour un meilleure confort psychologique quand j'allais dormir ou faire l'amour avec mon Officiel, je choisissais chaque fois de draper mon futon avec un jeté et quelques oreillers confortables, ledit futon déplié en lit double, pour les occasions de ses visites. Donc, oui, on sent les barres de bois à travers du coussin, mais bon.. et une fois, alors que je me sentais l'âme à vouloir des caresses plus chaudes, plus douces, nous nous sommes exécuté dans mon lit.. le «lit conjugal».. un lit simple, confortable tout de même et où pour dormir à deux, on doit se coller.. mais bon. revenons à nos moutons.

La troisième soirée, ce fut à la limite du magique.
Il est arrivé chez moi vers 7h, une soirée non planifiée. On s'était parlé durant l'après-midi, en blaguant.. en se disant qu'on s'ennuyait l'un de l'autre.. comme à l'habitude.
Les rires, les larmes.. la routine quoi!.

Je suis si heureuse en sa compagnie..

Depuis le début de notre relation, on a cheminé beaucoup par messages Internet. Je lui étalais mes états d'âme par courriel, mes joies, peines, situations problématiques, questionnements, et en homme au caractère humain extraordinaire, il a toujours trouvé le temps de me répondre, de me rassurer, de me faire me sentir à l'aise et c'est de cette façon qu'il a gagné ma confiance.

Les toutes premières fois où j'ai eu à assumer mon rôle, ce fut psychologiquement très très difficile. J'avais hâte à son arrivée, j'aimais ses caresses.. mais quand venait le temps de me mettre à genoux pour accueillir sa verge sur mes lèvres, dans ma bouche.. dans ma gorge, je me sentais emprisonnée.. j'avais peur. Peur de tout. Au fait, la plus grande peur que j'avais ne le concernait même pas. C'est que je n'étais pas seule à l'appart, et je cherchais à attirer le moins possible l'attention des autres filles de ma colocation. J'aimais qu'il baise ma bouche, qu'il me frappe les seins, qu'il me les morde, qu'il ma crache sur le décolleté en étendant le tout afin que je sois sienne à part entière. Quand il se couchait sur mon lit, sur le dos.. et que j'avais à la prendre dans ma bouche en entier.. mais je n'y arrivais pas. Je n'y arrive toujours pas. Il me dit que bientôt, je devrais être en mesure de m'enfoncer son pieu dans la gorge et aller lécher ses couilles du bout de la langue.. je me demande sincèrement s'il rêve.. parce que, perso, j'crois pas en être capable. Je lui léchais la queue, les couilles.. et quand l'envie me prenait, j'allais jusqu'à passer la langue sur son petit trou, tout serré. J'aime tant faire ça. J'aime l'entendre râler de plaisir lorsque ma salive coule autour de sa petite rose, que ses fesses se crispent sous mes coups de langue.. j'aime jeter un oeil entre ses cuisses, pour regarder l'expression de son visage.. Il est tellement beau, mon Maître. Je suis fière de pouvoir me compter dans sa vie.

Ce soir-là, on était dans mon lit simple. On était concients des heures qui passaient.. on a baisé sur le lit, sur le sofa.. par terre.. je me souviens être à quatre pattes sur le plancher de céramique froid et dur.. il m'a fait me pencher encore plus, et m'a prise par derrière, lui debout au dessus de moi. J'étais en extase, réellement. Je sentais ses coups de bassin juste assez creux pour ne pas craindre la douleur, et j'avais tellement envie de mon petit vibrateur sur mon clito.. quand la soirée a approchée la fin après une baise sensuelle et pleine d'intensité émotionnelle, collés sur le lit, il s'est levé pour retourner à la maison. J'ai du lui annoncer qu'il s'était fié toute la soirée ;a mon réveil, et que celui-ci avait presque une heure d'avance.. J'ai donc sorti mon ami a batteries.. et je me suis caressée. Il était à genoux au pied du lit, à se masturber en me fixant.. je fesais aller et venir dans ma chatte juteuse et chaude mon jouet de silicone. Je sentais que j'alais jouir.. il m'y encourageait. Quand j'ai repris mes esprits, il est venu baiser ma bouche, et j'ai dû tout boire.. J'ai adoré cette soirée.

Il est reparti. J'ai dû sourire bêtement toute la journée le lendemain, parce que toute la nuit, cet instant d'éternité a joué et rejoué dans ma tête..

On ne se voit pas si souvent, ça me désole. Si ce n'était que de moi, que je possédais tout mon temps, tous les jours et que c'était possible, je pourrais passer mon temps nue, à me mettre dans un état second qui ferait en sorte que je mouillerais à chaque brise entre mes cuisses, à attendre
son retour vers moi afin de me défoncer la chatte pour son plus grand plaisir. J'aime de plus en plus me sentir utilisée. J'aime ne plus avoir de contrôle. J'aime me perdre dans les désirs de mon Maître.

Si seulement il le savait..

6.16.2010

Difficile d'être une bonne salope au quotidien..

Hier, j'ai voulu préparer une belle soirée à mon copain.

Moi-même, finissant une semaine de travail éprouvante, je m'étais motivée à mettre de l'énergie afin de trouver un beau petit déshabillé et une bonne bouteille de rosé, ainsi qu'un bon poisson pour donner un charme à notre unique soirée en amoureux de la semaine.

Mais arrivée à mon appartement hier soir après le travail, je me suis rendu compte de tous les trucs que j'avais à faire avant qu'il n'arrive.. C'était le pur bordel dans ma chambre, ma valise n'était pas prête et il fallait que je passe sous la douche. Il ne me restait que 45 minutes pour tout accomplir. Donc, je ne me suis pas donnée le temps de relaxer avant de reprendre la route pour aller dans notre charmant petit nid douillet..

À la maison, nous avons discuté de nos projets pour l'été, jeté un oeil sur les programmations des évènements auxquels nous aimerions participer, et avons aussi parlé des dates idéales pour mes deux semaines de vacances de cette année.

Et, étant couchée sur le lit, mes seins avaient une apparence tout à fait sublime, couverts de ma crème ultra hydratante avec petits brillants or. La lumière de la fin de journée était parfaite, et je me sentais bien. Les cheveux encore mouillés, une petite camisole toute mignonne et mes jeans préférés, sans sous-vêtements aucun, j'avais envie de caresses. Généralement, je n'ai pas à demander avant d'obtenir ce genre de calins. Mais hier soir, j'ai dû travailler fort et très longtemps.

..et lui aussi.

Je me sentais vraiment mal. Je vous raconte.

J'étais sur le lit quand je lui ai demandé de bouffer ma chatte. Je sais qu'il n'a pas l'habitude de trop apprécier (je ne sais vraiment pas pourquoi), mais moi, j'adore ça. Et comme je n'y ai droit qu'une fois par mois tout au plus, je me suis dis que je ne perdais rien à lui demander. Donc, il s'est exécuté.. au tout début, la chaleur de sa langue épaisse me donnait des frissons. J'adorais les caresses qu'il me prodiguait... mais le temps passait, et je n'arrivais pas à avoir assez de plaisir pour me libérer du désir de jouir qui m'habitait.. Il a relevé la tête en me demandant: «As-tu envie de ma queue?» Je lui ai dit: «Non. Je veux ta bouche.» Il s'est remis à la tâche. Il m'a encore demandé la même question.. Je lui ai répondu la même chose. Mais quand la troisième fois il m'a questionné, turn off total. J'étais frustrée et triste, je sentais que ça ne lui tentait pas du tout de continuer.. il se plaignait des crampes au bras, à force de retenir le bas de son corps.. mal de dos..

J'avais tellement envie d'être fâchée, de lui dire que toutes ces fois où je l'ai englouti dans la voiture durant nos longues heures de routes, à genoux sur le siège, à absorber les écarts de vitesse en essayent de retenir mes maux de coeurs d'avoir la tête dans ses culottes plutôt que de regarder bien sagement en avant, de toutes ces fois où je l'ai gâté dans la nature, à genoux dans les branches, les racines et les roches, où j'avais des crampes à la mâchoire, des maux de genoux et les bras morts, chaque fois qu'il avait envie de moi sur le sofa du salon, et où je devais le chevaucher et bouger en fou, quand j'avais les jambes mortes et qui tremblaient, je ne me suis jamais, jamais, jamais plaint. Toujours à me préoccuper de son plaisir, lui donner une ambiance paisible et propice à l'excitation et à sa jouissance.
Et puis, il le sait depuis un an, que je suis longue à faire jouir.

On a parlé. Je lui ai demandé de partir de la chambre, que j'allais prendre le temps de me calmer, et qu'il pouvait aller commencer le souper.

On s'est repris plus tard, et j'ai fait comme à l'habitude; tout. Après l'avoir sucé longuement, pour mon plaisir autant que le sien, et l'avoir caressé partout, je suis montée sur lui.. J'ai bien du monter et descendre pendant au moins 10 minutes, l'embrassant et lui caressant la nuque comme il aime. À un certain moment, il a décidé de me prendre les hanches pour mieux m'enfoncer. Un coup de trop. Le coup qui m'a fait monter les larmes aux yeux de douleurs, et qui l'a fait jouir. Quand j'ai recommencé à retourver mes esprit, et que j'ai voulu recommencer mes mouvements de bassin, il m'a arrêté sèchement et m'a dit; «Tu peux aller dans la douche, j'ai déja joui.»

Et moi?! Non.

..Ça doit bien faire 3 mois que je ne jouis pas quand on baise. Ça lui prend 5 minutes, il m'éjacule dans le bas du dos.. et quand j'ai le goût que ce soit mon tour, il est trop fatigué ou trop occupé..

Bref. Je suis triste. Insatisfaite. Je m'ennuie au lit. La bouteille de vin ne s'est jamais bue. Le déhabillé a toujours son étiquette de prix. Je n'ai pas soupé et je regrette de ne pas avoir amené mes vibrateurs avec moi. Blah..

6.07.2010

Fantasme de soumission..

À une époque pas si lointaine, j'entretenais une relation -aventure- avec un homme de 16 ans mon aîné.. j'étais sa soubrette, sa soumise, sa muse, sa petite chienne adorée... il était mon péché, mon maître, mon mentor et ma lumière..

Durant les 3 mois qu'ont duré nos rencontres, j'ai mis les pieds dans l'univers de la soumission, sans tabou, sans attente, ni même en me préoccupant de mes valeurs attaquées de plein fouet par les gestes posés à mon égard. Je me suis laissée entrainer dans cet océan de sensations avec cet homme.. cette soie.. ce soleil à qui je me donnais corps et âme.. J'ai envie de vous partager cette aventure.. en voilà quelques bribes, au cours des prochaines semaines..

Notre première rencontre fut l'une des plus «secouantes» et choquantes de ma vie. Non seulement j'avais en moi un sentiment de dévouement intense, mais j'avais envie de pousser mes limites, quitte à en établir de nouvelles.. Je l'ai vu arriver dans l'entrebaillement de ma porte, habillé chiquement; pantalon propre noir, chemise en velours pressé rouge vin.. les yeux brillants, cheveux placés, sourire illuminateur. Déja à cet instant, je savais que j'allais difficilement pouvoir me passer du regard qu'il posa sur moi.

Ce fut une période où j'ai grandi intérieurement, où j'ai trouvé ce qui me manquait pour m'accpeter, pour m'appécier, physiquement et psychologique. Où j'ai compris à quel point j'étais une personne extraordinaire, et que je comptais pour quelqu'un. Il fallait maintenant que je compte pour moi-même.

Même si à l'origine, j'ai toujours eu une sexualité un peu différente de ce que je juge «normal» pour une jeune femme de mon âge, il m'était d'un grand bonheur de pouvoir partager mes fantasmes et mes expériences avec un homme respectueux et tellement adorable, que j'en suis tombée sous le charme. Des mots d'une tendresse et d'une sensibilité comme j'en ai jamais vus, une peau soyeuse, à la douceur rare, des yeux d'un bleu azur, à s'y noyer sans retenue.. un charme d'enfer et une présence réconfortante et apaisante tout autant qu'autoritaire et imposante, j'étais aux anges. Un lond et tendre échange de courriels, de messages vocaux et de conversations internet nous a permis de nous apprendre, de nous deviner, de nous plaire.. voilà donc le produit de ma découverte. La découverte de mes désirs, de son corps.. d'un amour inoubliable.. et d'une soumission qui me fait mouiller seulement qu'à y penser.

°°°°
Le 8 janvier 2009, deuxième rencontre, j'ai fait de plus amples connaissances avec l'Homme.. autour d'un plateau de sushis, verre de vin blanc à la main.. je savourait le délice, ainsi que ses paroles.. avant de passer au lit..
Une soirée riche en émotions.. j'ai versé des larmes comme jamais auparavant, de joie, de peine.. de découragement.. de douleur mêlée au plaisir..
J'avais ce membre entre mes mains. Il me parrait énorme chaque fois. C'est tout ce que je retiens de fois en fois; la douleur que me procure les coups de bassin de mon Maître. Je peux à peine me concentrer sur mon plaisir, je ne pense qu'à ça.
Mais lorsque je le lèche, je le suçotte, je le suce.. j'ai une exaltation dans les yeux, une telle fierté de pouvoir posséder l'instant d'une petite éternité de son corps.. de sa peau. Je me sens femme, je me sens libre.. je n'ai plus aucun contrôle sur mon propre corps.
°°
Il arrive à moi.. la tête basse, les yeux au sol, je regarde ses pieds.. la marquetrie.. je ne sais pas quoi dire, je me tais. Les mains derrière le dos, les cheveux libres et chaussée de mes talons, je ne fais qu'attendre. La porte de ma chambre se referme.. son odeur remplis mes narines, effluves d'homme.. de mâle.. je sens son souffle sur mon cou.. il fait le tour de moi, lentement. Il me regarde.. Je tire un sourire, je me sens terriblement gênée.. Il hume mon odeur, le nez sur ma nuque.. il prend mes mains dans les siennes. Décharges électriques. Des images se bousculent dans ma tête. J'ai envie de lui. Mais j'ai honte.
Honte de vouloir expérimenter ce désir. Honte d'aimer me faire brasser. Honte de vouloir en arriver à me faire frapper, me faire insulter, me faire régresser. Honte d'avoir fait appel à un autre homme pour me faire voir l'envers de l'amour tendre et passionnel. J'ai tord.
La première minute avance trop lentement. Je ne sais pas à quoi m'attendre. Dois-je l'appeller Maître, le regarder dans les yeux? Lui offrir un verre? Me taire?. Je me tais. Il se tiens derrière moi. Il frotte sa queue bandé, toujours enfermée dans son pantalon, sur mes mains jointes. Il me fait me mettre à genoux. Déja, je fais la découverte de son membre imposant. J'ai envie de le prendre dans ma bouche,mais je n'ose.. Il ne me l'a pas demandé.
Il ne me le demandera pas. Il m'ouvrira lui-même la bouche pour s'y insérer. Je m'active du mieux que je le peux. N'ayant pas beaucoup d'expérience, je ne sais pas si ça lui plait.. Moi-même, je ne me plais pas particulièrement dans cette position...
Il me relève. me fais me mettre à quatre pattes sur mon sofa. Un coup de bassin. Je retins mon souffle. J'ai envie de crier ma douleur. Je ne suis pas seule chez moi.. et pour ma pas attirer l'attention, je souffre en silence. Un deuxième. Je fonds en larmes.. Il me lance des insanités. Je les prends personnel. J'ai envie de le mettre dehors. De lui botter les fesses.. En fait non. J,ai juste envie de le tuer. Ni vu, ni connu. Il me fait mal. Il me détruit. Il m'anéanti.
Quand il part, deux heures plus tard, je ne suis plus moi.
«Plus jamais.. plus jamais je ne veux le revoir.»
Quatre heures plus tard, je décante la situation. Je ne sais plus où j'en suis.
Trois semaines plus tard, je l'accueilles.. avec plus de hâte que jamais..

6.04.2010

Vacances humides à la campagne

Cela fait deux jours que je suis libre de travail dans ce petit bistro.. j'ai pris deux jours de congé pour pouvoir en profiter dans la charmante demeure de mon copain, à la campagne.


En tant que petite fille campagnarde, native d'un petit village en pleine nature, je ne pouvais espérer mieux. Ce qui m'a décue un peu, c'est qu'il a plu pendant ces deux journées.. Voila donc deux jours que j'ai l'immense bonheur de respirer l'air frais en attendant le retour à la maison de mon cher petit amoureux, cuisinant un petit plat pour le souper.. mais ce que j'aime par dessus tout, c'est de me trimbaler dans la cuisine, vêtue proprement; jupe et décolleté, avec bijoux mettant en valeur les pièces.. mais en dessous.. rien.
Rien ou presque. Frotter les fenêtres de la maison en bas de nylon et en talons hauts n'aura jamais rendu l'activité plus excitante!

J'aurais aimé à ce moment pouvoir profiter des plaisirs de mes boules de geicha.. mais je me suis contrôlée un peu. Il fait avouer que j'aime bien mettre du piquant dans les instants quotidiens, surtout en couple, où la routine prend si souvent le dessus.. mais si ce n'était que de moi, je baiserais partout, tout le temps; j'aurais un jouet en permanence dans la chatte ou un doigt sur le clito même en attendant à la caisse de la pharmacie.. Non, j'exagère!

Au retour du boulot de mon homme, je l'accueillais, un verre de blanc à la main, et une nuisette de dentelle pour me couvrir les formes.. Un bon souper, un dessert qui allait venir,j'avais fait couler un bain chaud, moussant et parfumé pour nous y tremper. La relaxation totale.. couchée sur lui, dans l'eau.. la musique d' Imogen Heap en sourdine.. Même dans les instants se douceur, j'aime penser à des choses tellement perverses.. j'avais envie qu'il me prenne là, maintenant.. je caressait sa queue de ma main droite, derrière mon dos, en lui disant à quel point j'avais envie de me faire baiser.. de me faire défoncer.. j'avais une telle tension sexuelle (j'étais aussi tendue que son membre dans ma main, d'ailleurs!) que je ne pouvais pas penser clairement à autre chose.. mais, il m'a dit d'attendre à plus tard..

On est sortis du bain, il m'a asséchée, et je me caressais les seins devant lui, avec mon regard un peu coquin.. J'ai l'habitude d'arriver à mes fins si facilement. Mais je crois qu'il avait décidé de me résister ce soir-là.

On est montés au salon, devant un film.. il avait la tête sur mes genoux, je caressait ses cheveux.. je descendais le long de sa nuque. J'ai fermé les yeux à plusieurs reprises, afin d'imaginer ce que serait ma baise avant le dodo.. Je l'imaginais baiser ma bouche, absorber les coups de bassins avec mon cou, quand j'aurais eu sa queue au fin fond de ma gorge, coups qu'il me donnerait à son attente de l'orgasme en saccades et dans un râle si intense..

Sans parler de ses lèvres sur ma petite chatte qui devait, à ce moment être trempée. Moi qui mouille si vite et si abondamment.. j'ai l'impression que je pourrais inonder les couvertures avant même de commencer les préliminaires parfois.. Je voulais sentir sa langue darder sur mon clito déja si gonflé, le sentir me l'aspirer et vouloir ses doigts qui jouent en moi à m'en faire perdre la tête. J'avais envie de me faire lécher le cul, à en soupirer de bonheur, à quatre pattes à la tête du lit pendant que monsieur se toucherait la verge.. j'avais envie de plein d'accessoires.. je me sentais vraiment «horny». Comme pas souvent je ne l'ai été en fait..

Quand je lui ai demandé de me baiser en levrette, j'ai vu dans ses yeux s'allumer des petites étoiles de pervers.. il est allé me chercher mon vibrateur, me l'a fourré dans la chatte et a effectuer un va et vient à me faire gémir comme une petite pute. le petit lapin sur mon bourgeon, je ne voulais qu'éclater de jouissance tellement j'étais au paroxysme de l'excitation.. J'ai senti qu'il allait exaucer mes voeux les plus chers.. ses doigts se sont approché de mon petit trou, qu'il a travaillé pendant un bon moment. Puis, quand il s'est insérer en moi.. j'ai voulu mourir de plaisir.. J'avais toujours mon vibrateur dans la chatte. Le sentiment d'être remplie, d'avoir les orifices complètement soumis.. j'adore.. il a alors entamer un va-et-vient pendant que je m'activais à me chatouiller le clito avec le petit lapin vibrant.. j'ai pas pu durer plus que 2 minutes. J'ai jouis dans un cri de plaisir intense, -le point G trop stimulé par tous ces bons coups de bites dans mon intérieur- ce qui a provoqué chez mon copain un orgasme tout aussi foudroyant.. quand j'ai senti sa semence venue se loger sur la courbe de mes hanches, j'ai eu un petit sourire..

J'avais encore envie de sexe toute la nuit.. j'aurais pris au moins deux autre queue dans ma bouche tour à tour, mais c'était trop demandé pour l'énergie que mon copain avait à ce moment..

N'empêche que j'ai eu bien du plaisir.. Le lendemain matin, ce fut à moi de le réveiller, la verge entre mes lèvres, ma langue s'entortillant autour de son beau gland gorgé de sang.. mes yeux dans les siens.. mon doigt dans ma chatte.. mais nous avons été dérangés par ma belle-mère qui arrivait pour déjeuner..

..avant de la rejoindre dans la cuisine, je me suis glissé un plug de bonne taille dans le petit trou, et j'ai inséré mes boules de geicha dans ma petite chatte encore tellement humide. Sous ma robe rose pâle, jamais déjeuner en famille n'aura été rempli d'envies..

À la fin dela visite.. laissez-moi vous dire que l'îlot de la cuisine en a accueillis des positions.. Aoutche!

6.01.2010

Mélodie Nelson, cette Femme..

Je viens tout juste de tourner la dernière page de ce roman qui me fait sourire depuis 4 jours. Wow! Rempli d'anecdotes tirées d'une vie d'escorte, comme le titre le dit- cette autobiographie m'aura fait vouloir me réveiller la nuit pour dévorer les pages..

J'en retiens que du positif. Ça m'a permis de m'évader et d'imaginer plein de scénarios, de costumes, de lieux..

..ça donne un peu envie de s'amuser, non!?

Une journée à Fantasmer sur le voisin..

Tous les jours depuis bientôt un mois, je sors de mon bloc appartement, le démarche racoleuse et les lèvres lustrées en jettant un oeil chez le voisin..

Tout a commencé l'an passé, quand je suis arrivée ici. Déménagée avec deux copines, je me suis installée tranquillement, défaisant des boites la nuit.. Comme je ne voulais pas accumuler les piles de cartons, j'allais souvent les porter au recyclage. Les bacs étant derrière le bloc, je me devais de passer devant sa terrasse pour y aller. Un bon soir, il était là, assis sur le rebord de la main courante de l'escalier, à fumer une cigarette, un verre de vin à la main. LE voisin.. La seule BMW dans le stationnement.. au milieu d'une dizaine de voiture européennes économiques.. Le seul BBQ super équipé de tous les balcons du bloc.. Je ne connais pas les détails de sa vie. Mais je m'imagine tellement de choses.. hihi! Il ne m'a pas lâché du regard. Pas une seconde. Il me fixait le cul, bien entendu.. Comment être plus sexy qu'avec un t-shirt bleu poudre plein de peinture, deux tresses de prépubaire, un foulard aux cheveux, une paire de pantalons de yoga qui donne des fesses remontées et galbées, aucun sous-vêtements en dessous?!.. (Eh! ON NE ME JUGE PAS! Y a-t'il vraiment d'entre vous qui se font une beauté en plein milieu de la nuit pour ranger des chaudrons dans des armoires!)

Je pars tôt le matin pour travailler. Presque tous les jours, il est sur le-dit balcon, à fumer sa clope et à parler en anglais au cellulaire super fort, avec assurance et un accent assez audible. Je le soupçonne de se pointer dehors seulement pour regarder mon p'tit cul se balader sur le trottoir en talons hauts, trimbalant des lunettes de soleil au visage et un iPod dans les oreilles.. je ne vais tout de même pas lui laisser croire que je le regarde..

Mais en fait,oui. Je le regarde. Un bien bel homme, musclé et viril. Une mâchoire carrée, cheveux en broussaille. Environ dans le début trentaine, bien entretenu comme on dit.. Très souvent en pantalons propres et chemise parfaitement agencée, soulier de cuir verni brun.. et des lèvres pulpeuses à souhait. Le fantasme de toute fille un peu cochonne qui se respecte.. Je ne sais pas pourquoi, mais un homme, beau ou pas, qui s'habille en veston-chemise-pantalon propre mérite un coup d'oeil de ma part.. ces chers professionnels font partie de la gamme de fantasmes qui m'habite.) Séduire un homme d'affaire, un avocat ou un médecin est toujours tellement un beau jeu)

Les regards aguichants, mouvements de hanches légèrement accentués à la démarche, craque de seins en évidence.. Maquillage et coiffure parfaitement soignés et attitude sensuelle; comment cela ne peut-il pas fonctionner? Si ça peut fonctionner sur tout autre type d'homme, ça doit bien valoir au moins un léger coup de coeur pour l'un de ceux que j'affectionne un peu plus..

Revenons-en à mon voisin.
Hier matin, le soleil semblait vouloir se pointer. Le mercure indiquait presque 20 degrés et j'avais envie de laisser ma veste à la maison. Comme je devais filer pour être au travail à 8h30, je suis partie de chez-moi vers 7h20.. en sortant de chez moi, il se trouvait sur le trottoir à faire les cent pas, tout en parlant assez fort au cellulaire. Un sourire s'est pointé dans mon visage.. et en coquine que je suis, je me suis dis; Pourquoi ne pas pousser un peu plus la «luck» vers quelque chose de plus.. horny?

Je déambulais jusqu'à lui avec assurance dans les yeux, fixant son beau p'tit cul, ajusté dans ses pantalons noirs. Puis, il s'est retourné vers moi en entendant le bruit de mes talons sur le trottoir- sans doute il les a reconnu, depuis le temps qu'il m'observe aller et venir tous les jours..- Quand j'en fus à voir son visage à quelque mètres plus près, j'ai enlevé mes lunettes soleil, et j'ai repoussé mes longs cheveux derrière mes épaules.. Je le voyais rougir.. J'ai passé devant lui, roulant les hanches, et en lui faisant un clin d'oeil et gardant mes yeux dans les siens ensuite.. mais ma main, sans que je puisse la contrôler est partie en sa direction.. et mon index est allé s'appuyer sur le rebord de sa hanche, juste avant de redescendre au niveau de sa verge.. j'ai effleuré le pantalon et j'ai continué mon chemin, en indépendante que je suis..

Sur le coup, je me suis dit que mon subconscient refoulait mes désirs depuis trop longtemps, et que ce n'était pas si grave. D'un autre côté, j'aurais seulement qu'à ne plus établir ni contact visuel, ni physique pour les prochaines fois avec lui..

Mais toute la journée, j'ai eu la sensation de pouvoir revivre le moment.. En fermant les yeux, je pouvais à nouveau toucher le lainage de ses pantalons.. distinguer la forme de sa verge, revoir mon regard d'homme mâle et autoritaire se poser sur moi.. et je ne pouvais que penser à ce qu'aurait été ma matinée si je n'avais pas eu à me rendre travailler de toute urgence.. Il aurait rattrappé ma main, et m'aurait tiré vers lui. En relâchant l'étreinte de mon bras, il aurait remonté sa main sur le côté de mon bassin, et puis sur mon sein gauche, jusqu'à remonter à ma nuque.. passant sa main dans mon cou, il m'aurait alors ramassé une poignée de cheveux à la base de mon cou, et l'aurait serré assez fort pour pouvoir contrôler ma tête.. Fixant toujours mon regard, il m'aurait demandé de lui faire mes excuses, tout en rangeant son cellulaire dans la poche de son pantalon, en allant chercher mon autre main, qu'il aurait déposé sur son membre tout dur d'excitation, à travers le tissus. Hummm.. Je lui aurait fait des excuses, mes yeux dans les siens, avec un regard coquin et une moue de jeune fille innocente.. et j'aurais massé la bosse raide tout doucement.. Je l'imagine, se perdre dans ma craque de seins, décorée d'un petit bijoux de diamants.. Approcher sa main, et m'empoigner un sein après l'autre, les saisissant bien, et approcher ses lèvres de ma clavicule..

J'aurais tant aimé que ce fantasme ait lieu.. Qu'il m'amène avec juste assez de rudesse derrière le bloc, sur sa table de pique-nique familiale, à me faire me pencher sur la table, à avoir une vue imprenable sur mes cuisses nues et le début de mes fesses sous ma jupe relevée.. je sentirais ma petite culotte de dentelle rose bonbon s'humidifier peu à peu, et j'aurais commencé à me débattre un tout petit peu, seulement pour sentir son autorité.. Il se serait avancé vers moi, frottant son gros membre en érection, toujours dans son pantalon, sur mes fesses merveilleusement bien bombées et puis, amenant mes mains derrière mon dos, il m'aurait donné la fessée sur le bord de la table, sous un rayon de soleil naissant dans le ciel de la ville..

Puis.. il aurait caressé ma peau me laissant dans la même position.. passant sa main de l'arrière de mes genoux à mes cuisses.. jusqu'à l'intérieur de mes cuisses.. et ses doigts se seraient faufilé vers mon entrejambe tout chaud, tout mouillé, si accueillant.. et, frôlant ma petite chatte parfaitement épilée et douce ,et écartant ma culotte, il aurait chatouillé mon petit bourgeon déjà rempli de sang.. j'aurais gémi un peu.. et tout à coup, il m'aurais entré 2 doigts dans la chatte, en me pistonnant toujours plus fort, toujours plus creux.. j'aurais geins comme une petite salope, une vraie.. jusqu'à être trop près de la jouissance pour m'y laisser prendre..
Il aurait approché ses doigts de ma bouche, m'aurait fait goûter ma mouille et m'aurait relâchée pour que je parte travailler..

..en me disant; «Ne reviens pas trop tard encore ce soir, j'ai pas terminé avec toi.. »