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11.29.2013

Mon Cadeau de Noël, partie 3..

La langue de mon amant se fait douce sur le corps de la belle. Je me tiens, là, derrière elle et lui caresse la poitrine, soupesant chacun de ses seins, en lui pinçant doucement les mamelons. Sa tête rejetée par l'arrière, elle pousse de petits gémissements fort excitants. J'approche un doigt de sa chatte, contourne sa zone sensible en lui caressant l'aine, les fesses au passage. Mon amant poursuit son manège, embrassant chaque partie du bas du corps de notre complice féminine. Nous sentons tous les trois que la tension est à son comble. Elle veut jouir, son corps le réclame. Et je n'ai pas envie d'attendre.

Je suis la première à initier le contact charnel avec elle. Alors que je lui caresse les seins d'une main, mes doigts atteignent l'entrée humide de sa chatte. Elle est déjà hyper coulante. Aucun doute sur son degré d'excitation.. Je cueille un peu de son nectar du bout du doigt, effleurant au passage son clitoris bien érigé. Je remonte à sa bouche, lui effleure les lèvres. Le plus naturellement du monde, elle tire la langue et emprisonne mon doigt entre ses lèvres charnues. Elle est si belle à voir, dans sa sensualité évidente. Je souris à la vue de cette douce image d'une femme pleinement en contrôle de son excitation. Ses mains jouent dans les cheveux de mon amant. Il ne se fait pas prier longtemps, avant de faufiler sa langue entre les lèvres mouillées et luisantes de sa chatte en ébullition. C'est un gémissement digne de mention qui s'échappe de sa délicieuse bouche. J'ai envie de l'embrasser. La langue de mon amant a maintenant été rejoint de ses doigts. D'où je suis, je me peux qu'être absorbée par les soubresauts de plaisir que ressent la belle sous l'audace des caresses de mon amant.. qui est devenu nôtre. La tensions de ses phalanges dans les cheveux de notre homme s'accentue au rythme des mouvements langoureux. Je le sens totalement plongé dans ce beau projet que nous avons, celui de lui faire vivre des sensations jusqu'ici inégalées..

Lorsqu'elle est sur le point de jouir, je l'attire vers moi pour l'embrasser.
Pas question qu'un orgasme la terrasse tout de suite.
Nous nous embrassons passionnément, pendant que Laigle se relève pour nous caresser chacune notre tour..

Je fais s'asseoir mon amie sur le fauteuil et lui relève une jambe sur un accoudoir. L'obscurité révèle parfois bien plus que la lumière. Je la sens parfaitement à l'aise, offerte et désireuse de sentir mes lèvres s'occuper d'elle à mon tour..


Mais c'est vrai, il reste encore un personnage qui n'a pas participé.. hum!..

Ça ne saurait tarder..




Mamz'elle J xx

11.27.2013

Mon cadeau de Noël, partie 2



Je suis sur le lit et j'attends que quelqu'un se présente, mais tous gardent le silence. J'ai encore la cravate sur les yeux. J'entends les talons de ma copine sur le planche de bois qui sépare la salle de bain du grand lit, elle s'avance vers moi. Elle me fixe. D’un regard vif. Elle s’approche du lit, y déposant un genou, le corps bien droit. Comme pour chauffer un peu les invités masculins, elle joue dans mes cheveux et laisse glisser sa main sur mon épaule, en embrassant mon cou. J'ai les sens en éveil… elle prend ma coupe de champagne, la porte à mes lèvres, en verse tout doucement quelques centilitres dans ma bouche. Elle pose le verre sur la table de chevet et ce sont maintenant ses lèvres qui m'abreuvent..

Dans un jeu de langue exquis et tout en finesse, nous nous embrassons devant les deux hommes, amusés et excités par le spectacle. Elle détache la cravate de mes yeux, laissant la lumière s'infiltrer jusqu'à ma pupille, laissant paraître mon regard extrêmement allumé et rempli de désir. Je me lève du lit, empoigne avec délicatesse la nuque de mon amie, j’approche ma bouche de la sienne à nouveau et nous commençons à nous toucher. J'atteins de la main droite le haut de son dos, en glissant tout doucement vers son corsage, dont j'apprécie les courbes du bout des doigts. Elle a déjà abaissé une bretelle de ma robe et embrasse doucement le début de mon sein. Son parfum plutôt boisé me parvient comme une tonne de brique. Peut-être que ses phéromones amplifient l'odeur délicieuse qui lui sied à merveille. L’un des deux hommes a déjà commencé à détacher ses boutons de manchette et sa pince à cravate afin de se mettre à l’aise, tandis que l’autre boit son verre en nous observant attentivement. Les frissons nous parcourent moi et ma complice, alors qu’en un clin d’œil je la convaincs de se laisser aller…

Le champagne semble avoir aidé ses inhibitions à s’envoler quelques minutes, le temps que la soirée prenne son envol sous des airs plutôt coquins. Je laisse glisser ma main jusqu’à la chute de ses reins, pétris l’une de ses fesses bien découpée et je la sens soupirer de plaisir. Les secondes passent, nos langues se caressent. Nos mains explorent les corps, soupèsent les seins,  profitent de la douceur des peaux nues, parfumées et hydratées. Ma bouche se perd, délaissant ses lèvres pour retrouver ses épaules, sa clavicule, son décolleté. Je l’entends gémir tout doucement. J’aime qu’elle y prenne plaisir.

J’ai déjà détaché son corsage. L’ai déposé sur le lit.
Sa poitrine forte, mais pourtant tellement ferme et pleine, surgit à mes yeux comme la plus belle des surprises. Ses seins ronds et parfaitement dessinés se soulèvent au rythme de ses respirations de la belle, qui semble aux anges. J’empoigne à pleine main son sein droit pendant que ma main gauche se promène sur son ventre, ses hanches, effleurant la bande de taille satinée de sa jupe qu’elle porte maintenant seule.

L’invité s’est assis sur le petit fauteuil dans le coin de la chambre tandis que mon amant est venu me rejoindre dans cette aventure de découverte et de plaisir. Alors que je continue de délester les vêtements de ma belle amie, mon amant s’est déjà agenouillé sur le plancher afin de caresser ses jambes toutes de nylon recouvertes, laissant remonter ses doigts habiles de son mollet au haut de sa cuisse. Je le vois bander à vue d’œil. Il a relevé la jupe de ma copine jusqu’à sa taille, laissant apparaître ses fesses nues et blanches à la lumière tamisée de la chambre. Du bout de sa langue, il dessine un délicieux chemin de son genou à sa fesse, lui faisant soupirer un plaisir certain. Juste un peu plus haut sur son corps, les pointes de ses tétons sont érigées et appellent au plaisir. Je lèche ses seins, mordille ses mamelons de façon très douce, écoutant le langage corporel de mon élégante complice.  Comblée par 4 mains et 2 langues s’occupant de son corps aux formes parfaites,  je la vois sourire et se laisser aller. Je lui fais boire une ou deux gorgées de champagne, de la façon dont elle l’a fait pour moi, portant la coupe à ses lèvres. Je l’embrasse à nouveau pour sentir ce nectar frais sur sa langue douce.

Je détache sa jupe, question de nous épargner les contorsions pour ce qui vient. La pièce de vêtement glisse sur ses hanches, atteignant le plancher où mon amant la récupère pour la joindre au corsage sur le lit. La peau rougie de désir de mon amie combinée à l’atmosphère feutrée et invitante de la chambre ne fait qu’amplifier les envies.

Un fauteuil est aussi disposé de notre côté de la chambre et ne sert à rien pour le moment. J’entraîne mon amie jusqu’à l’endroit où il est disposé et lui relève un genou de façon à ce qu’un de ses pieds prenne place au bord de la chaise, pour laisser libre cours à nos envies. Elle répond à merveille. Je la contourne, allant apprécier la vue sur sa croupe, regardant ses bas chatoyer sous la lueur des chandelles. Quelle vue magnifique. Quelle femme. Tout en douceur, je lui caresse les fesses, le dos, la nuque, embrassant son cou, glissant les doigts dans ses cheveux soyeux.  Le parcours de mes phalanges reprend, sur ses bras, sa taille, ses cuisses… je n’ose pas la toucher tout de suite, même si j’entends d’ici son corps me crier son envie de se libérer sous un orgasme foudroyant.

Mon amant a pris place, de nouveau à genou, mais cette fois, devant elle. Son nez est à peine à quelques centimètres de sa chatte partiellement épilée et je sais qu’il contient son envie d’aller y plonger le nez tout de suite. Mais lui et moi savons que le plus grand des plaisirs naît de l’attente…


11.26.2013

Mon cadeau de Noël

À un certain moment, j'ai cru que mon plan allait flancher.
J'avais pris ma journée de congé et j'étais déjà dans la chambre depuis deux bonnes heures, à préparer la pièce avec de multiples accessoires, chandelles et parfum, à régler le chauffage à une température confortable, faire couler un bain rempli de mousse, et faire jouer un album loundge à faire s'embuer d'elles-même les fenêtres.

J'avais revêtu ma robe noire décolletée avec un bas de soie couleur chair et un soulier ouvert. À mes oreilles brillaient deux petits diamants sur une monture d'or et j'avais enfilé un longue et fine chaîne en or qui passait autour de mon cou et allait s'attacher au bas du profond décolleté de la robe, en poursuivant la courbe de mes seins à la perfection.

À la mi-décembre comme ça, il est fréquent de voir se dessiner une petite tempête à l'horizon. Mais celle qui est prévue pour ce soir et cette-nuit me donne déjà un peu froid dans le dos. Mes invités devraient déjà être arrivés mais je n'ai aucun signe de vie. J'ouvre une bouteille et me verse un verre de champagne. Moi aussi j'ai quelque chose à fêter après tout!


Quelques minutes plus tard alors que j'en suis aux tous derniers préparatifs, j'entend frapper à la porte. Elle se tient devant moi, vêtue de son manteau d'hiver et de sa tuque. Il faut dire que ça casse un peu avec l'ambiance feutrée et intimiste de la Suite, mais je sais qu'elle n'en a pas pour longtemps à être vêtue comme ça. Deux becs sur les joues, les bagages entrés et les bottes enlevées, on se parle un peu de notre journée, me félicite pour le choix de la suite et me fait remarquer le beau paysage qui se dessine sur Québec avec la belle neige folle qui tombe. C'est vrai! Je n'ai même pas pris le temps de regarder dehors. La vue sur la ville me relaxe. Au même moment, il me texte. «J'arrive dans 20 minutes, xx»


«Il», c'est celui à qui je prépare une surprise. Parce que c'est bientôt Noël. Mais surtout parce que notre plan est simple; on se fait une soirée à 4. Je trouve la femme, il me trouve l'homme. Un bon plan, avec lequel je suis tout à fait en accord. J'avais déjà une idée en tête pour celle que j'ai choisie.
Une amie de longue date avec qui je m'entend bien et qui m'a déjà glissé un mot sur ses envies d'essayer à plusieurs.. les soirées bien arrosées ont ça de bon; les confessions sexy de fin de nuit!


Elle se sauve rapidement sous la douche, apportant avec elle un petit sac; sa trousse de la parfaite petite coquine. Elle me dit que le temps de se préparer, elle en a elle aussi pour environ 20-25 minutes.
Je lui sers un verre et la laisse se préparer pendant que je signe la carte de souhaits que j'ai acheté à mon amant..


Le plus drôle dans tout ça, c'est la situation générale de la soirée. Je trouve une amie pour partager une soirée à 4. Cette amie est au courant du nombre de personnes qui sera là, mais ne connait pas les convives. De son côté, mon amant a invité un homme susceptible de me faire passer une belle nuit et qui m'est inconnu, mais les deux mâles ne savent pas qui est mon amie. Il y a une grande part de mystère, qui met la table à une grande part de jouissance selon moi.


À peine 15 minutes plus tard, j'entend à nouveau cogner à la porte. Je sais que c'est lui..
Je replace mes cheveux du bout d'un doigt et fonce vers la porte pour lui répondre. Il est habillé chic et suivi d'une valise à roulette enneigée. Je suis saut au cou, de façon évidente je lui démontre que je suis très heureuse de le voir. Il sourit, il sens bon. Il a mis une cravate.. il veut vraiment me faire craquer.


Il enlève son manteau et me le tend pour que je l'accroche au cintre. Au moment où je lui tourne le dos et m'accroche les hanches et rapproche sa bouche de mon cou. Il a bien remarqué que quelqu'un d'autre se trouve dans la Suite, mais il n,en a rien à faire. Je sens déjà la boss toute dure dans son pantalon se frotter sur ma fesse. Je gémis un petit peu lorsque sa main remonte à mon sein. Ma tête bascule vers l'arrière. Je sens que si j'avais une culotte, elle serait déjà inondée. C'est ce qui explique que je n'en porte pas..


Son téléphone sonne. Il sourit.
Il répond. Ne fait que donner le numéro de chambre, raccroche.
J'ai une surprise pour toi. Mais il faut que je te bande les yeux avec ma cravate pour que ce soit une vrai belle surprise..

Je lui fait totalement confiance. Je le sens nouer la cravate derrière ma tête, sur mes cheveux trop soyeux pour qu'elle tienne sans effort. Je ne vois plus rien. Il me fait boire une gorgée du champagne, m'embrasse et m'amène m'asseoir sur le lit.

Le troisième et dernier invité arrive. J'entend les deux hommes se souhaiter bonsoir, se serrer la main et chuchoter discrètement. Il semble se dévêtir de ses vêtements d'hiver et  il vient me rejoindre, prendre connaissance de la petite salope à la tête de ce projet. Il glisse un doigt sur mon sein, sous le tissus de ma robe, passe son nez sur mes cheveux. Je l'imagine assez grand. Quand sa joue frotte contre la mienne et qu'il vient me dire bonsoir, je constate qu'il est fraîchement rasé et qu'il sent La nuit de l'homme d'Yves St-Laurent
Je souris légèrement.. Mon amant s'approche du lit avec deux coupes dans les mains. Il lui en tend une.
«C'est notre cadeau de Noël ça?» lance-t-il.
Pendant ce temps, ma copine qui a fini de se préparer, sort de la salle de bain dans sa jupe satinée et son corsage orné de dentelles et de fermetures-éclair, qui lui donne un look chic et un brin rebelle.
Les deux hommes ne disent plus un mot, absorbés par le spectacle du déhanchement de mon amie qui a pris soin de relever ses cheveux pour accueillir les doux baisers sur sa nuque, un peu plus tard..


Ça commence drôlement bien notre soirée ça!

Cheers! ...la suite plus tard!


Mamz'elle J xx

11.21.2013

Bientôt 3 ans..

Une nuit passée avec toi et je m'élève sur un nuage de bonheur pendant des jours.
Un lundi bien ordinaire qui se termine sur un lit douillet, couvert de draps blancs, de ton parfum, de nos deux corps.
D'une envie réciproque de faire s'arrêter le temps.
De juste profiter de nos précieuses heures, qui se termineront inévitablement au petit matin.
Oublier que la vie existe.
Oublier que nous avons des obligations chacun de notre côté.
Oublier le travail, les amis, la famille et mettre notre union illicite en lumière.
Ne penser qu'à nous. Ne penser qu'à jouir.
Jouir de notre liberté contrôlée. Jouir de nos mains, nos bouches, nos caresses. Jouir à en perdre la tête.
Jouir comme si c'était les derniers instants de nos vies.
Parce qu'on ne sait pas.

Nos choix sont risqués mon chéri. On pourrait bien devoir mettre fin à tout ça et rayer nos pulsions d'un coup, seulement parce que la vie est ainsi faite. Alors, profitons l'un de l'autre. Comme si nos vies en dépendaient.

À chaque rencontre la même histoire. Une tonne de souvenirs coquins. Un foulard rempli de ton odeur.
Les marques sur ma peau, de ta main crispée sur mon dos, de tes orgasmes jusqu'à l'excès. De nos passages à vides, nos bouffées d'air entre deux plongées, nos précipices amoureux difficiles à éviter.



Je t'aime, tu sais..
Il y a eu un 1er décembre en 2010.
Il y en aura encore un bientôt..

Mamz'elle J xx

11.12.2013

La boniche contre le vampire, partie 7

Désaltérée, couchée sur le torse de Mathieu, je reprenais une respiration normale pendant qu'il me jouait dans les cheveux. Je sentais ma chatte pulser de temps à autre, je serrais les cuisses pour ressentir un tout petit peu de l'orgasme qui venait de me traverser en une vague monstrueuse. J'aimais sentir qu'il se rapprochait. Je traçais un petit chemin de son ventre à son épaule, du bout des doigts, ne laissant que le frisson d'une caresse attentive sur son épiderme. Je l'entendais presque sourire de satisfaction alors que j'étais un peu perdue dans ma bulle et que ma main a naturellement trouvé son chemin jusqu'à son sexe, qui reprenait très lentement vigueur. Je voyais sa verge se gorger de sang. Coucher sur le côté comme je l'étais, sa main avait atteint le bas de mon dos et le début de ma fesse. Je sentais sa main glisser sur la courbe de ma hanche lentement. Je caressait son aine. Mes ongles embrassaient la peau du haut de sa cuisse, et je perdais mes phalanges entre ses cuisses de temps en temps.. Quand j'ai vu sa belle queue suffisamment durcie pour qu'elle tienne dans ma main, je me suis mis à le masturber lentement et doucement. Je faisais coulisser sa belle verge entre mes doigts, avec une légère flexion du poignet et une prise ferme. Ses doigts s'inséraient entre mes fesses pendant ce temps, et il s'amusait à faire bouger le jouet que j'avais encore en moi, depuis quelques minutes déjà. Je m'appliquais à bien caresser sa queue. Je portais attention à sa respiration, à ses gestes incontrôlables de bassin. Il savait que j'avais le contrôle et que j'allais en profiter.. Je sentais sur ma joue son coeur battre, son souffle s'accélérer et je l'entendais déglutir. Il semblait plus qu'excité et ça m'allait parfaitement. Je me suis glissée jusqu'au pied du lit, ma main fuyant sous ses fesses et la langue sur ses belles couilles que le léchait tout en continuant de le masturber énergiquement. Je laissais également glisser ma langue jusqu'à son petit trou de temps en temps, que j'excitais un peu afin de rendre l'expérience plus euphorique. Puis, j'ai poussé l'audace jusqu'à en insérer un complètement en continuant de pomper sa belle queue en incluant un jeu de poignet synchronisé avec ma langue. Je le sentais respirer fort. Gémir. Il m'excitait tellement. Quand il a glissé ses doigts dans mes cheveux en me répétant de ne pas m'arrêter, j'ai su qu'il était sur le point de jouir sur ma langue. J'ai mis encore un peu plus d'énergie, le regardant fixement droit dans les yeux. Et je l'ai senti succomber..

En de longs jets, il a joui dans ma bouche. Sa semence chaude et presque sucrée était exquise. J'ai léché les petites gouttes qui m'avaient échappé puis suis remontée à sa bouche l'embrasser tendrement.

Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre jusqu'au petit matin. Quand je me suis réveillée, il était là à me regarder en asséchant ses cheveux puisqu'il sortait de la douche.
Je souriais, encore un peu endormie...

On a baisé une dernière fois, plus tendrement que le reste de la nuit. Puis, s'est rhabillé pendant que je savonnais mon corps dans la pièce d'à côté. Quand je suis sortie de la salle de bain dans ma robe de chambre de dentelle noire, vêtue dessous que d'une culotte de dentelle rouge, il était sur le pas de la porte.
C'était la fin..


Il m'a pris dans ses bras, embrassant mon cou au passage, et il m'a dit; »Merci pour la magnifique nuit. C'était juste parfait. Je ne m'attendais à rien, mais je n'aurais pas pu imaginer mieux.. »
- Merci à toi. C'est très drôle comme situation..
- Mouais. Je sais. Moi aussi je trouve ça un peu bizare. Tu sais que depuis que je te connais, tu ne cesses de me surprendre avec tes capacités et tes talents cachés? en me faisant un clin d'oeil.
- Tu ne pouvais pas savoir que tu débarquais chez ton employée la plus cochonne non plus.
- Je m'en doutais un peu quand même, haha!

J'ai souri.
- À ce sujet, je ne voudrais pas que tu penses que je couche avec mes employées. C'est la première et la seule fois que ça arrivera. Premièrement parce que je ne crois pas que quelqu'un arrivera à me faire passer une plus belle nuit.. mais aussi parce que..
- Parce que quoi?
- Parce que je ne suis plus ton patron. Hier quand tu es partie du party, j'ai fait l'annonce que j'allais être muté dans un autre bureau. Tes vacances commencent demain et à ton retour, je serai déjà parti. C'est entre autre ce qui explique ma venue ici. Je n'aurais jamais fait ça si j'étais resté avec l'équipe. Je ne peux pas baiser avec une employée.

- Ça veut dire qu'on ne se verra plus?
- Ça veut dire ça, oui. On aura l'occasion de se revoir, mais pas sur les lieux de travail.
- Ah.. voyons le positif, I didn't fuck with the payroll.
- Je dois me sauver..
- Oui. D'accord, vas-y.


Et après le baiser d'au revoir, il est parti. Je souriais.
Le nombre de sextos qu'on s’envoie depuis Halloween pour que nos journées de travail soient moins tristes.. je pense que je lui manque. ;)


Et voilà, mon party est terminé!
Y aura-t-il une suite? J'en sais rien.. mais le souvenir que j'en ai est si beau que je me contente de fantasmer sur ce qu'on a eu.



Mamz'elle J xx