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11.29.2011

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;)

Mamz'elle J

11.28.2011

Magasinage coquin et pause-gâteries

Ce weekend, j’ai eu l’occasion de visiter (encore!) la super boutique Planet X. Je sais, j’ai une méga collection de jouets coquins, ma bibliothèque est bien remplie de romans érotiques et je tiens ce blog depuis un peu plus de 2 ans. Mais je n’avais jamais osé acheter de film, DVD ou VHS pour les moins technologiques. Donc, ma visite ainsi qu’un petit certificat-cadeau aidant, mon regard s’est arrêté sur l’étalage des DVD, tous plus pervers les uns que les autres. En regardant les images, mon chum n’a pu s’empêcher quelques farfelues blagues de bas étage, comme tous les hommes dans les même conditions je suppose.. bref, je prenais ma visite au sérieux. Et puis, j’en ai choisi quelques uns pour un triage. Puis, les pochettes décorées de petites chattes suintantes et de belles grosses queues bien plantées dans des culs ouverts et offerts, je les aurais toutes prises. Alors, j’suis allée dans le vintage. Je n’avais pas eu l’occasion de le visionner avant aujourd’hui. J’avais ajouté à mes achats un beau dildo transparent de bonne taille, ce qui m’a permis de m’amuser un peu.. Je sentais que j’allais avoir un peu de plaisir. Pas que j’aime regarder de la «porn», en fait, j’ai l’imagination bien assez fertile pour me donner des images équivoques d’habitude, mais je voulais tenter de voir si j’aurais un attirance pour les vidéos..

Installée sur mon lit, en pantalon de yoga, j’ai inséré le disque dans mon ordinateur. Le générique débute, je sors mon nouvel ami du tiroir. Rapidement, je sens monter en moi une vague de désir.. je tente de la contrôler du mieux que je le peux. Puis, je regarde le film avec intérêt, mais je me rends bien vite compte que le déroulement du scénario ne m’exciterait peut-être pas. 9 filles au beau milieu d’un salon qui font un concours pour impressionner des spectateurs, puis, une contorsionniste qui arrive à se lécher la chatte en se tenant en boule sur ses mains, puis c’est le tour d’une demoiselle qui s’excite avec une comparse en s’enfonçant un double dildo en «jelly».. et ça se poursuit. Un film de cul sans scénario, c’est difficile d’embarquer. Donc bon, j’ai baissé l’écran de mon PC pour continuer d’entendre les voix déchaînées des demoiselles et je me faisais mes propres images. Ce fut un délice. Je sentais ma chatte s’offrir, s’ouvrir sur le gland de mon jouet désormais tout trempé. C’est sans douleur et sans problème que j’ai pu le faufiler entre mes cuisses, dans mon antre ruisselant et totalement servi. Je sentais les nervures exagérées chatouiller les parois de mon sexe, se glisser en moi toujours plus profondément, me défoncer carrément à un certain moment, en mouvement de saccades. Je chatouillais mon clito tout gonflé par moment, mais je devais de restreindre ces caresses puisque je sentais l’orgasme approcher et je ne voulais pas atteindre l’extase tout de suite.. je me suis donné un moment, suis allée chercher un petit vibrateur que j’ai inséré dans mon petit trou avide et désireux de se faire donner du plaisir aussi, et j’ai recommencer le manège, avec plus de vigueur et de force. 2 minutes de cet intense jeu ont servi à me faire décoller du lit, à me faire mordre la lèvre inférieure et à faire crisper tous les muscles de mon corps. Je suis restée étendue un moment sur mon lit quand mon téléphone à sonné.. Laigle me textait. Le sens du «timing» qu’il a cet homme!
Pour me rétablir, j’ai dégusté un macaron à la saveur de crème brûlée, offert par mon amant ce weekend. Je tenterai de me tenir tranquille pour les prochains jours, question de donner un peu de repos à cette petite chatte serrée qui commence à trouver que j’abuse un peu des queues cet temps-ci..

Je l’ai toujours dit; le sexe et le sucre sont mes deux péchés mignons. :P

11.27.2011

Le Sexe Gingembre aux couleurs de Noël

Après moultes discussions,
j'ai demandé à mon amant à quel genre de galipettes il avait droit dans le lit de l'Officielle. Il me dit: «Du soft, pas de fla-fla.. »
Je lui réponds: «On peut qualifier ça de sexe vanille, au fond.. »

Ce matin, après un nuit trop torride, où j'ai dû laver le couvre-lit au beau milieu de la nuit, nous avons concerté pour trouver un descriptif de nos ébats..

Le Sexe Gingembre.

Une pointe plus épicée, et Dieu seul sait à quel point ça nous va bien! ..

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Rencontrer un amant à l'improviste quand aucun plan n'est fait pour le weekend, ça se fait quand même bien. Mais à 36 heures d'avis, au beau milieu d'un weekend très rempli, c'est autre chose... Laigle était de passage à Québec pour le weekend et souhaitait ardemment que l'on puisse passer la nuit ensemble. Fidèle qu'à moi-même, j'ai élaboré quelques sorties d'urgence à ma planification, mais j'ai dû travailler fort...

J'ai quand même trouvé du temps à ma plage horaire, non sans peine puisque je planifiais cette fin de semaine depuis près d'un mois.. Disons que ma situation personnelle actuelle concernant mon emploi me permettait de me sortir un peu de mon «planning» et de passer un nuit à mon «pied à terre» de la Vieille Capitale.
Laigle est venu me rejoindre vers 20h30 à mon studio. On avait une soirée et un nuit ensemble, et je tenais à passer du temps de qualité, discuter et pas seulement passer ma soirée à le sucer ou à ma faire pilonner à quattre pattes sur mon lit, devant la fenêtre du 3ième étage de mon bloc. Donc, il a posé ses valises, quelques salutations d'arrivée, une discussion rapide et nous retournons à l'extérieur. Marchant sur Grande-Allée, nous nous sommes arrêtés au Second Cup, lieu de prédilection de mes échanges virtuels avec lui et avons chacun pris un café latté avant de repartir main dans la main vers le Parlement. La soirée était plutôt fraiche, il avait froid. Pas moi. Isolation naturelle oblige.. :) Monsieur tenait à m'embrasser devant le Parlement.. Ce fut chose faite. Puis, ma curiosité m'a apporté jusqu'au Carré d'Youville, où nous sommes allés voir les patineurs défiler sous le rythme d'une chanson bien connue des Classels, bien choisie d'ailleurs pour l'instant!

J'ai la fâcheuse habitude de poser beaucoup de question dans la vie. Ma curiosité, oui, mais ma soif d'en apprendre sur les autres, sur la vie, sur moi-même m'apporte cette tempête de questions à chaque fois que je rencontre quelqu'un de qui j'en aurais à apprendre. Je lui ai donc demandé de me révéler selon lui, ma plus grande qualité et mon plus gros défaut. Il m'a surprise, je vous l'avoue. Je m'attendais à «Ta douceur, ou ta gentillesse, ou ta générosité», réponses que j'ai généralement de la part de mes proches. Mais non, j'ai eu droit à quelque chose de plus réfléchi, plus original, que je n'avais jamais entendu auparavant.

J'aime me faire surprendre parfois.
Je n'aime pas les surprises, mais les réponses sorties d'un raisonnement pareil, ça me touche énormément.

Nous sommes repartis vers la maison, et monsieur n'a pas manqué de me faire rire alors que nous marchions sur la célèbre St-Jean. Face à face avec une borne-fontaine alors que j'étais en train de parler du Drague, j'ai éclaté de rire littéralement. Arrivés à la maison, ce fut bref avant que nos mains se découvrent. Avant que nos peaux se fondent l'une sur l'autre. Je l'attendais sur le lit, vêtue que d'un petit boxer de dentelle diaphane de couleur bleu royal, les cheveux libres et un sourire coquin aux lèvres. La chaleur de sa main sur mon dos me réconforte tellement... Il dégage beaucoup de chaleur mon amant!


Les ébats qui ont suivi étaient super, comme chaque fois. J'avais pour l'occasion sorti mon tout nouveau jouet (Ma collection est telle que, ça ne tient plus dans un seul tirroir.. !) mais nous ne nous en sommes pas servi durant la première partie de la nuit.


J'aime me sentir possédée, ce n'est plus un secret. J'étais dans mon élément quand il m'a couchée sur le dos, la tête au bord du lit et qu'il me léchait la chatte pendant que je léchais avidement sa queue dressée. Il baisait ma gorge, me caressait, m'insérait quelques phalanges et se retirait. Ça suffisait à me rendre folle. Quand il a finalement pénétré ma petit chatte toute serrée mais ô combien innondée, j'ai cru mourrir de bonheur. Il ne s'est pas fait prier pour allégrement pilonner mes fesses, tirer mes cheveux ou me prendre au cou quand il le voulait. Pour couronner le tout, monsieur a voulu me voir jouir encore. Depuis qu'il me sait femme-fontaine, son désir de me voir exploser de cyprine et de liquide le rend fou. Il s'est bien gâté hier. Pas moins d'une heure à m'insérer presque sa main en entier dans l'antre, à laisser ses doigts caresser mon point G et me faire me tordre dans tous les sens sur le lit. Une heure!.. Je pensais m'évanouir à la fin, tant je n'avais plus aucune énergie, mais encore cet ardent désir de jouir encore et encore.. Il a trouvé sa façon bien à lui de me faire décoller du lit, et pervers comme il est, il n'a pas fini de me surprendre....

Pour les prochaines rencontres, je lui réserve quelques surprises.. il m'a fait part d'un désir qu'il avait au lit, alors je l'initierai comme il se doit.


Noël approche. Ça ne sera pas un cadeau.. ;)

11.18.2011

Ma nuit à l'hotel, partie 2

Le soleil s’est couché bien vite cette journée-là. Nous étions à la chambre depuis le milieu de l’après-midi, et le rideau était ouvert. Jettant un œil de temps en temps, je voyais s’Assombrir le ciel et les phares de la ville éclairaient en moi des désirs intenses.. Nous nous sommes un instant rapprochés de la fenêtre de la chambre, j’avais les seins nus. Qu’une petite culotte de dentelle noire pour ma vêtir, nous observions les gens en bas, regardions les fenêtres des chambres d’à côté pour y trouver un scénario alléchant peut-être. Rien. Rien que mon reflet et le sien, collés et lumineux sur la vitrine de notre douillet petit nid. Il me tenait dans ses bras, j’avais sa bouche à mon oreille, son torse sur mon dos et sa queue sur mes reins. Pendant quelques secondes, j’ai fermé les yeux sans qu’il ne se rendre compte, pour savourer et encrypter ce moment au plus profond de moi. Sa chaleur, sa douceur, son odeur et sa présence me donnait des ailes. Je me sentais si protégée et aimée. Un moment extraordinaire, en toute simplicité.
Nous avons soupé couchés sur les draps, se racontant mille histoires, ses passages télé à mes anciens fantasmes jeune fille à l’endroit d’un étudiant en théologie.. Il m’a parlé de ses beaux-parents, je lui ai parlé de mon emploi.. Le temps a passé si vite. On n’avait pas ouvert la bouteille de rouge que déjà, je me sentais défaillir. Quelques incidents plutôt comiques plus tard, une conversation des plus profondes et intimes et des baisers fougueux, la soirée tirait à sa fin.. Mon bel aigle devait regagner le nid familial, dorloter les petits et trouver des anecdotes de «party» à la mère des jolis petits rejetons. Il a pris sa douche, j’étais sur le lit, mon verre de vin à la main et je le regardais se savonner. Seul un mur de verre nous séparait.. Je l’ai tout de même convaincu de venir jouir dans ma gorge une dernière fois (pour la route!), ce qu’il accepta… Après ce moment exquis, mon amant à mis les voiles..Ce n’est pas sans chagrin que j’ai enfilé un chandail et que je l’ai regardé repartir. Une soirée d’anniversaire plutôt passionnelle. J’étais seule, j’avais pour moi une chambre d’hôtel confortable et chaleureuse.. j’ai éteins les lumières, ai ramassé ce qui restait d’éclats de verre sur le plancher et me suis douchée à la lumière du foyer.. L’eau à la plus haute température que je pouvais tolérer, je me laissais entraînée à revoir ces images, à ressentir le flot d’émotions que me procure la jouissance en sa compagnie et par la force des choses, j’ai du aller chercher mon vibrateur dans mon sac. Je n’avais jamais porté attention à la chose, mais la douche se trouve toujours sur le mur du corridor..Sous le jet, je ne pouvais retenir mes gémissements, non pas poussés par envie d’ajouter une touche plus sensuelle, mais bien réels et sentis. La vapeur de l’eau suffisait à étancher le bruit du petit moteur puissant et la tête de mon «rabbit» dansait sur mon clitoris en feu. J’ai joui, dos au mur de la douche, les cheveux mouillés, emmêlés et collés au visage, les yeux fermés et les paupières crispées, sous l’eau qui se déversait sur mon corps rougit de plaisir et de chaleur. Je me suis mise à pleurer… c’est ce qui m’arrive quand je ressens trop d’émotions. Et malgré que ça fasse un bon bout de temps que cela ne m’était plus arrivé, cette fois-ci, je me suis repris en grand. J’ai remis de la musique, du jazz, me suis couchée sous les draps en fixant le foyer jusqu’à ce que mes paupières ne me coupent du monde réel et que ma nuit tombe.

J’ai dormi comme un bébé. Au matin, mon copain me textait pour m’inviter à déjeuner et me demandait de le rejoindre pour 11h. J’ai donc sauté dans mes bas et ma robe pour regagner mon appartement, question d’avoir un peu de temps pour me remaquiller et me coiffer du mieux que je le pouvais. J’avais des boucles dans les cheveux, trop de volume, ce qui me restait de crayon me donnait l’air d’un raton. La classe! J’ai fait ce que j’ai pu pour camoufler le tout et après avoir réglé la chambre, j’ai appelé un taxi.

Pendant les 25 minutes de trajet, j’ai du répondre au mignon chauffeur qui avait remarqué mon sourire mystérieux pendant que je relisais une dernière fois les textos de mon amant avant de les supprimer. Un dialogue qui avait l’air de :
(Lui) On dirait que tu as pas beaucoup dormi.. t’as peut-être fêté hier toi!?
(Moi) Ouais, j’ai peut-être fêté (clin d’oeil) .. ou peut-être pas!
- Oh, alors il a dû être chanceux cet homme. À moins que tu ne te sois pas contenté de deux seuls corps, haha!
J’ai souri.
-Tu es célibataire?
-Non, pas du tout. Je suis en couple depuis près de 3 ans.
- Et qu’est-ce qu’il fait ton copain ce matin, pourquoi tu prends un taxi seule?
-Mon copain, il a probablement dormi comme un bébé toute la nuit. Présentement, il doit être à la maison à travailler sur ses projets personnels et on va se voir plus tard. Je prends un taxi seule parce que je retourne à mon studio faire un peu de lavage avant d’aller le rejoindre pour le déjeuner.
Et à ce même moment, la chanson Femme libérée débute à la radio.. Je n’ai pu retenir un immense sourire et regardant par la fenêtre. Lui, plus une seule question. Juste un regard qui disait : J’ai tout compris et je garderai le secret.


Arrivée chez-moi, il m’offre de m’aider à monter ma valise. Je déclin l’offre. Il me remet sa carte et me dit de l’appeler si j’ai besoin d’un chauffeur privé, peu importe les circonstances. Il a des yeux magnifiques, mais pas l’attitude que j’espère d’un chauffeur privé, haha..
Je lui offre un généreux pourboire et il repart sans mot dire.
C’est une soirée que je ne vais jamais oublier, doublement significative.


Joyeux anniversaire encore, Laigle.

xxx

11.09.2011

Ma nuit à l'Hôtel..Partie 1

On est samedi matin. Un soleil immense éclaire ma ville encore endormie. Les feuilles virevoltent sur un trottoir déja orangé, la petite brise de novembre qui laisse sa trace frisquette dans une fenêtre entrouverte.. il est 6 heures et je suis debout. Je prends ma douche, me fais un masque au concombre.. je lis des revues à potin­. Une vraie journée pour MOI. vers 8 heures, alors que je tourne en rond dans mon studio, j'enfile un pantalon, mes bottes à talons et un chemisier, des bijoux originaux et éclatants. Un peu de mascara et hop, dehors! Pas d'horaire fixe, pas de rendez-vous en AM, je peux aller marcher sur les allées de Québec, et m'Arrêter où j'en ai envie. La rue Cartier m'appelle. Je me dirige vers le boutique Un Coin Du Monde. J'aime aller jeter un oeil dans ce petit cocon de découvertes! Mes yeux s'arrêtent sur un mur de cartes de souhaits. J'ai choisi la carte d'Anniversaire de mon amant ici. Je les prendrais toutes! Mais je me contiens et mes emplettes terminées, je me dirige vers mon café préféré.. Un cappuccino à la main, je lis le journal en pensant à ma soirée qui s'en vient. Je me sens nerveuse, mais j'ai terriblement envie de laisser aller tous stress pour me concentrer sur le calme, la paix intérieur.. et le goût ABSOLUMENT divin de cet espresso français! Miam! Une heure passe, je sais l'actualité de fond en comble, ou presque! Remettant mes gants, mon manteau, je croise un ami avec sa copine. Il me fait signe de la main et m'invite à son souper de crémaillère le soir-même. Je me dis réellement désolée de devoir décliner, mais je lance une invitation pour le week-end suivant. Le coeur rempli de joie, je passe à la pharmacie, à la SAQ et je regagne mon domicile. Je choisis les vêtements que je désire mettre pour ce soir. Mon choix s'arrête sur une robe que j'ai portée une fois, avec un bas-filet et bien évidemment mes bottes à talons! Quand l'heure arrive, mon sac est prêt avec mes 2 bouteilles de vin et je me rends à l'hôtel. Mon amant me dit qu'il est en route, qu'il a hâte de me voir.. C'est tellement partagé, s'il savait. Je sens de petits piccottements dans mon bas ventre.. je suis engourdie par la passion et le désir de le voir me pilonner.. penses à autre chose, Mamz'elle J. Tu rougis!

Arrivée à la chambre, je me dévêtis.. du moins, mon manteau et mes gants! J'installe mon PC et pars ma compilation fétiche, celle dont j'ai fait un exemplaire-résumé à mon joli Laigle. Des airs de SIA, Bran Van 3000, Black Keys, Cantoma, Brazilian Girls, etc. Mes talons claquent sur le plancher de bois. Le foyer suffit à me faire sourire. J'ouvre grands les rideaux, la lumière du jour éclaire mon petit nid érotique. Je prend quelques iunstants pour m'allonger sur le lit, et je texte mon amant pour savoir où il en est. Il me dit qu'il est en bas. Le coeur veut me sortir de la poitrine, j'hésite entre rester ici ou descendre. Après quelques minutes, j'entends ses pas sur le seuil, comme j'avais mis le loquet, je vais ouvrir. Il me blesse, hihi! Non, à peine..

Disons que j'ai commencé la rencontre en riant un peu. Puis, sérieuse comme pas une, je le fixais. J'avais envie de faire durer cet instant. Vous savez, l'instant où l'on hésite. On hésite entre l'embrasser fougueusement sur la bouche, ou à peine toucher ses lèvres entre des baisers sur ses joues. On hésite entre prendre ses mains dans les nôtres ou trouver refuge dans son pantalon. On hésite entre le déshabiller de hâte pour le coucher sur les draps ou le laisser enlever son manteau seul en le regardant, en comtemplant sa beauté.. j'ai choisi l'option 2.

Nos bouches jointes, nos mains également, nous nous disions combien nous nous étions manqué.. Les nouvelles prises de la vie ont vite fait place à une tempête de désirs et petit à petit, la soirée avançait comme ça. La bouteille de Prosseco ouverte, le tête me tournait. J'ai réalisé que j'étais encore à jeun!.. mais quelle nouille veut boire de l'alcool à jeun.. à part moi! Haha.. Je devenais horny, et je devinais que sa main sur ma cuisse, caressant mes bas avait une envie aussi de torrides instants.

De fil en aiguilles, ma robe s'est envollée et sa chemise du même coup. Ses boutons de manchette ont trouvé leur nid pendant que ses doigts cherchaient le mien. Il me léchait comme promis, durant de longues minutes, d'une langue experte et chercheuse. Je sentais sa main prendre mes fesses, mes cuisses fermement.. glisser sortir de ma chatte brûlante.. j'avais des étoiles dans les yeux, la tête dans les nuages et je me sentais comme au 7ieme ciel. Bref, je ne m'appartenais plus. Et je n'aurais voulu revenir à moi..

Après quelques minutes à me pilonner comme un déchaîné, il enfonça 4 doigts en moi, et de son autre main, aggrippa ma gorge, me coupa le souffle. À cet instant, un violent orgasme me propulsa dans un univers parallèle et j'ai joui comme jamais.. Ma mouille partout sur le lit, sur son bras, sa chemise.. l'édredon en était recouvert et j'étais sous le choc, sous l'emprise de mes émotions mélangées.. Je ne savais plus rien. Ni mon nom, ni l'endroit où j'étais. J'esayais de parler, mais je n'avais plus de voix. Jamais auparavant, je n'avais connu d'aussi intenses sensations, jamais je n'avais eu droit à un regard aussi perçant, à des mains aussi bienfaitrices. Jamais je n'avais osé m'imaginer que ces gestes et paroles m'étaient destinées. Je n'ai bientôt plus été capable de supporter ces pulsions, ces désirs qui montaient en moi comme une montée de lave dans un volcan, je n'ai pu retenir ces mots qui criaient dans ma tête, mais qui restaient au creux de mes poumons, à me déchirer l'abdomen. J'ai joui dans un écho sourd, mes cris de plaisirs résonnaient dans la chambre, sur le mur de verre de la douche, sur la vitre du foyer qui nous faisait office de décor romantique et je ne contrôlais plus les soubresauts de mon corps frémissant et assallit de spasmes immensément libérateurs. Je n'avais plus aucune tension, plus aucune douleur.. d'ailleurs, plus aucune sensation en mon être. J'étais devenue un être extrérieur à moi, une sorte d'entité qui ne faisait que jouir et rejouir encore, ne se donnant même pas la peine de se remettre des chocs et des montagnes russes de plaisir. J'avais l'impression de me voir, couchée sur le lit, les genoux relevés, et la tête de Laigle entre les jambes. Je ne sentais pas ses 4 doigts en moi, non, je les regardais me pilonner dans un mouvement rageur et déterminé à me faire mouiller tous les draps. Je regardais mon amant forcer, respirer très fort et en avoir le visage rouge et couvert de sueur, se donnant de plus en plus férocement, afin de me voir déverser ce liquide tant attendu et si excitant.

Après m'être remise de mes émotions, il est venu m'embrasser, sourire aux lèvres comme s'il avait vu naître un enfant. Les yeux pétillants, il n'en croyait rien. Et moi, comme à chaque fois qu'il m'a été donné de vivre de pareils moments, je suis sur un nuage. Perdus entre deux oreillers, j'ai les cheveux en bataille, mon mascara coule sur ma joue, je sens mon coeur battre comme un tambour et mon corps repus, désireux de calme et de repos, je le regarde avec mes yeux de reconnaissance, de désir mais aussi remplis d'amour. Je me sens bien, je me sens gênée, je me sens humide.. je me relève et me demande ce qui s'est passé...

11.06.2011

Déverse-toi dans ma gorge et je te dirai «Bon Anniversaire»

Bien assise au joli bureau de travail au bord de la fenêtre de ma chambre, je regarde la splendide vue de Québec que j'ai de mon Hôtel. Une coupe de vin rouge, la seule qui reste, je profite du foyer allumé juste à côté qui met une ambiance chaleureuse dans cette chambre où la climatisation semble un peu mélangée..!
Mon amant vient de me quitter pour regagner le domicile familial à deux heures d'ici où sa marmaille l'attend, et de mon côté, après une douche chaude je me glisserai sous les draps blancs pour me remémorer les doux souvenirs qui me remontent en tête. Ce fut un anniversaire un peu moins pimpant que prévu puisque nous avons préféré le «roomservice» à la sortie au resto prévue. Un prosseco et une bouteille de rouge au goût fruité ont complété la soirée entre «amoureux» que l'on s'était planifié.

Dès son arrivée, beau comme un Dieu et portant son parfum qui me fait voir des étoiles, il m'a marqué! D'abord parce qu'il m'a écrasé le doigt dans le loquet de la porte de chambre, mais aussi parce qu'après si longtemps sans avoir quelques heures avec lui, j'avais envie d'explorer son corps comme un pays sans limite. J'avais le goût de profiter de sa bouche, de l'embrasser à outrance, de le caresser jusqu'à la fatigue et de tout connaître ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie depuis la dernière excursion dans la Vie en Rose.

Le temps passe toujours trop vite. Nous avions tout de même 5 heures ensemble, c'est louable! Mais parfois, je me dis que même si j'avais 4 jours avec lui, je trouverais quand même triste son départ..

Laigle s'est pointé tout sourire dans la chambre d'Hôtel, son sac à la main et les cheveux en bataille. Sans oublier ses nouveaux souliers! Croquable. Sexy. Il portait même la cravate et les accessoires que je lui avait offert à Noël passé! Bref, pas mal de mon goût. Tout de suite, nos mains se sont trouvées, nos bouches se sont embrassées et la soirée était amorçée..

Je portais ma petite robe violet avec mes «fuck-me boots» à talons de 5 pouces et un bas filet noir.En dessous, un joli corset de dentelle noire ainsi que la petite culotte assortie. Cheveux (maintenant noirs!) remontés en chignon urbain, maquillée simplement mais mes yeux bien définis, j'ai tenté de lui faire comprendre à quel point j'avais hâte qu'il arrive. Les compliments dits, nous nous sommes attardés à notre projet principal avec assez d'entrain; célébrer! Descendus à la réception chercher deux verres à vin, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je devais me retenir. Étant dans ma ville, qui sait qui je pourrais croiser!.. c'est surtout une question de discrétion dans le crime.. haha!

Nous avons regagné la chambre, le prosseco coulait à flot, si bien que je me suis retrouvée avec les effets au corps plus vite que je ne le croyais. C'est probablement que j'étais presqu'à jeûn.. il n'a donc eu aucun problème à me faire me coucher sur le lit, écarter les cuisses et le laisser me pénétrer la chatte de ses doigts entreprenants. Lui qui rêvait de me voir éjaculer, il a fait le saut lorsque dans un élan d'excitation, sa main sur ma gorge et l'autre dans mon antre, je me suis mise à gicler à en mouiller sa chemise. Les lèvres de Laigle se sont étirées en un sourire magnifique; visiblement il était excité!

Le temps de reprendre nos esprits et nous avons recommencé à nous dire des conneries.. avec un peu d'alcool dans le sang et avec plein de questions en tête, tout le monde sait que j'ai la «jasette» facile! Parle parle, jase jase.. on baise maintenant? Jusqu'au fond de mon ventre, il me pilonnait la chatte dans une fougue intense..

Après le souper, un peu de visionnement de spectacle d'humour, l'écoute de quelques chansons dont Breathe Me de la splendide Sia, une discussion sur un avenir à moyen terme et une planification de notre prochain rendez-vous, Laigle allait remettre ses vêtement pour repartir vers sa banlieue de Montréal quand je lui ai demandé de bien vouloir déverser sa semence dans ma bouche avant de me quitter.. j'ai eu droit à une explosion de sperme sur le visage et les bras, après m'être fait baiser laq gorge à grand coups de bassin. J'étais aux anges, littéralement.

Il a pris une douche rapide, je le regardais couchée sur le lit avec ma coupe à la main, au travers de la baie vitrée qui nous séparait. Ses belles cuisses bien musclées, ses fesses rebondies, sa bouille de comique, il me faisait rire, mais surtout, me donnait envie de lui en voler une bouchée de son popotin parfait! Il m'a vaporisé un peu de son parfum dans le cou, et a mis les voiles avec son sac.

À son départ, je n'ai plus ni robe, ni corset, ni bottes.. même mes cheveux sont en bataille et j'ai l'air d'un épouvantail, mais je suis très heureuse de sa visite malgré tout.

Et j'ai décidé de dormir ici.. après tout, je l'ai pour la nuit cette chambre! ;)

11.01.2011

À quoi je pense..

..à ma belle chambre d'hotel, à Québec, réservée pour samedi soir, et au charmant prince qui m'y accompagnera, pour son plus grand plaisir..

Un anniversaire, ça se fête en grand, je l'ai toujours dit!