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2.22.2013

Le fantasme du stationnement revu et corrigé

Quand le défi d'écriture se transforme en inspiration.. J'ai décidé de poursuivre l'écriture sur l'ébauche de fantasme que j'avais en tête lors du dernier défi d'écriture.

Voilà la version longue du texte, incluant la première partie du billet précédent à laquelle j'ai ajouté des détails et la suite.

Je suis au petit café que je fréquente toujours lors de mes journées de congé. Le plan est bien établi. À 12h45, il m’appelle un taxi et je dois monter à l’intérieur sans dire un mot. De là, il m’appellera pour me donner l'adresse que je dicterai au chauffeur et je devrai rester en ligne avec lui.
..Je lui ai donné mon numéro de cellulaire. Je suis assise sur le siège arrière de l’auto. Je porte une jupe et un chemisier blanc, sous lesquels je ne porte aucun sous-vêtement mis à part un collant diaphane. C’est la règle.  J’ai revêtu un manteau noir par-dessus, ai enfilé ma paire de gants de cuir et j’ai un grand foulard bleu enroulé autour de mon cou.

Lui, il m’attend à destination, installé dans sa voiture et est impatient de mettre la main sur moi.

Tout le long du trajet, je ne dois pas dire autre chose que «oui monsieur »et «non monsieur» aux questions qu’il me posera.


 Bien entendu, mon  inconnu s’affaire à me chauffer, ayant mis en trame de fond des cris de jouissance de femmes dans le système de son de sa voiture. Je suis déjà tellement excitée que si ce manège dure encore longtemps,  j’aurai mouillé et taché mon collant avant-même d’avoir atteint le point de rencontre!  Plus je fais de chemin, plus il me dit à quel point il a envie de me baiser dans sa voiture, il me décrit chaque geste qu'il a envie que je pose, me demande au passage si je suis excitée, si j’ai envie de me faire défoncer en bonne et due forme.. Je ne réponds que par la phrase convenue, mais j’aurais tellement envie d’en dire plus.je tremble. Je sais que nous y serons bientôt.  Nous nous engageons sur le dernier boulevard et quelques kilomètres seulement nous séparent. Je me tortille sur mon banc à la recherche d'un tout petit peu de plaisir, les mouvements de mes cuisses suffiraient à me faire jouir sur ce siège, mais je n'ai pas le droit.. Je sens mes seins pointer sur mon chemisier. Le tissus caresse mes mamelons érigés. Vivement que quelqu'un les soulage d'une langue humide et chercheuse.

Il m’a donné rendez-vous dans un stationnement non loin de son travail. Il ne sait pas à quoi je ressemble, je ne sais pas à quoi m’attendre, nous sommes donc au même pied d’égalité.  Je ne connais que sa voix. Cette voix qui me chavire.. que j’ai envie d’entendre au creux de mon oreille.  À 13h pile, je sors du taxi. Il me regarde, je le sais. Je l'entends respirer plus bruyamment dans son téléphone. Il me fait me tourner d’un demi-tour et me nomme sa plaque et la couleur de l’auto. Je repère sa voiture. Plus je marche vers l’auto, plus mon cœur bat la chamade, mais plus je ressens en moi cette excitation, cette envie de découverte et de danger, plus je sens que ma chatte s’humidifie. Ma bouche est asséchée,  j’ai les yeux dans l’eau. Je souris dans un mélange de peur, de stress, d'attente. Jamais je n’ai ressenti une telle émotion. 

La peur mélangée à la pulsion sexuelle. Un mélange étonnant. Réactif. Sublime.

La vitre de derrière est teintée, je ne peux pas voir à l’intérieur. Mais lui me voit. Depuis que j’ai mis le pied hors du taxi, il continue de me parler et m’observe. J’entends toujours les gémissements, mais ils se perdent dans les mots de l’homme qui me fait mouiller en abondance dans ce collant que je devine vraiment très humide, presque inconfortable. Un frisson parcourt mon dos quand j’ouvre la portière avant droite pour m’asseoir à l’intérieur. Je reste en silence parmi les bruits des gémissements, ma respiration semble saccadée, j'ai du mal à rester concentrée sur mon rôle. Je ne vois pas mon homme. Il n’est pas du côté conducteur. Il est assis derrière moi, et respire relativement fort.  Je n’ai pas le droit de me retourner et il me le répète de sa voix autoritaire et si près. Bientôt, il me passe un bandeau sur les yeux, le noue derrière ma tête sans se préoccuper de mes cheveux et pose un baiser sur ma tête. Je sens mon cœur battre comme jamais. Il descend de la voiture et passe devant. Dès lors, il se retourne vers moi, son parfum me fait vibrer toute entière. Je le sens particulièrement excité et fébrile. Sa main atteint mes cheveux qu’il caresse doucement, embrassant mes tempes, mes joues. Son nez effleure le mien. Il glisse alors sa main sous mon foulard et mon manteau pour vérifier si j’ai respecté la règle. Il me touche avec tellement de doigté, avec sensibilité, avec intensité.. je ressens son envie et son excitation à travers ses doigts. Je ne sais toujours pas de quoi il a l'air. Je l'imagine grand, au teint pâle, cheveux clairs.. je ne connais que ses yeux. Verts. Un vert profond. Un regard qui parle de lui-même..

Il me lance à l'oreille, en défaisant les boutons de mon manteau: «Te sens-tu en confiance?»
-Oui monsieur.
-Ça t'arrive souvent de rencontrer des inconnus dans les stationnements déserts de la ville sans savoir à qui tu as affaire?

-Non, c'est la première fois, dis-je, frissonnante.
-Tu sais que maintenant que tu es dans ma voiture, les portières barrées et en ma présence, tu ne pourrais pas te sauver malgré ton bon vouloir.
-Oui, je le sais.
-Je ne te ferai aucun mal.. nous allons avoir bien du plaisir par contre.. laisse-moi t'explorer..

Et comme s'il scrutait à la loupe chacune de mes réactions, il commence à frôler ma peau avec douceur et délicatesse. Il caresse mes seins du bout des doigts, pinçant un mamelon à la fois afin de me faire grimaçer un peu. Il prend un temps fou à examiner chacune de mes expressions faciales et de mes petits cris étouffés par ma lèvre inférieure mordillée..
Un long moment -aussi bien dire une éternité- se passe avant que sa
 main s'approche de ma cuisse.. je tremble comme une feuille, mais quand je ressens sa chaleur sur ma peau, si près de mon sexe qui demande à être touché, le temps s'arrête. Je sens sa main s'insinuer entre mes jambes. Il écarte délicatement mes cuisses, dépose mon pied gauche sur le bord des porte-gobelets et une effluve de mon plaisir certain se dégage de mon entrejambe.. Je suis sur le bord d'implorer mer et mondes pour qu'il me touche enfin, pour qu'il s'attarde à mon petit bourgeon tout gonflé, perdu dans une cascade de mouille. Sa main assurée s'en rapproche et l'atteint enfin. Je laisse tomber un soupir de soulagement, pendant que je le sens sourire à pleines dents.

Je sens son pouce qui commence à s'agiter sur mon clito bien dur à travers mon bas-collant terriblement trempé.. l'abondance de ma mouille le fait grogner.. et le plaisir commence dès lors, alors que d'un trait, il perce un trou dans le tissus diaphane et y insère le doigt afin de caresser de plus près.

«T'es tellement mouillée, j'en reviens pas.. c'est moi qui te fait cet effet-là?»

-Oui monsieur.
-Tu sais ce que j'ai envie de faire de toi.. tu seras mon petit jouet pour l'après-midi. Pendant que j'appelle au bureau pour confirmer mon absence, tu vas engloutir mon sexe et je ne veux pas t'entendre faire un seul son. Tu te débrouilles particulièrement bien jusqu'à présent..
-Oui, je le ferai monsieur.

Il ouvre sa braguette et en sort un beau sexe bien ferme, il ferme alors la radio et téléphone à sa réceptionniste. Une toute petite conversation d'à peine 30 secondes pour lui dire d'annuler tous ses rendez-vous du reste de la journée.

Pendant ce temps, je me délecte de son sexe bien dur sur ma langue et le mouille du mieux que je peux de ma salive. Je sens le haut de mes cuisses luisant de ma mouille qui continue de se faire sentir. L'excitation est à son paroxysme alors que l'homme me joue dans les cheveux en me félicitant de mes talents de suceuse. J'ai toujours le bandeau sur les yeux et ne peut me repérer. Peut-être y a-t-il 3 ou 4 de ses amis dehors à nous regarder mais à la rigueur, cette pensée m'excite encore un peu plus. Pendant que j'astique sa queue, il me passe la main dans le dos, me donne des frissons et me parle doucement. Ma langue s'attarde à son gland bien gonflé alors que je caresse ses couilles de ma main droite. Il me demande de me rasseoir après quelques minutes, plaidant qu'il a trop envie de jouir mais qu'il doit attendre.


Je reprend ma position et il couche le siège pour que je sois allongée.. de là, il reprend les caresse à l'entrée de ma chatte hyper mouillée et y passe beaucoup de temps. J'aurais envie de diriger sa main, mais impossible... Il trouve quand même la façon de me faire jouir quand à 3 doigts dans ma chatte, j'explose dans un cri déchirant le silence de l'habitacle. Il prend une bonne poignée de mes cheveux et embarque sur moi pour me pénétrer d'un trait. Après à peine quelques minutes à me pilonner, il jouit en saccade sur mon chemisier et m'embrasse passionnément avant de m'enlever mon bandeau..


Mamz'elle J xx


2 commentaires:

  1. Encore, encore, j'en veux encore, jusqu'à ce que tu le quitte, qu'il te laisse quitter sa voiture. N'a-t-il pas concelleé toute son après-midi???

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  2. Oh la la, je suis toute excitée par ce récit. Me faire prendre par un inconnu est un gros fantasmes, mais je ne me crois pas capable de jouer le jeu avec un homme dont je ne connais pas le visage (j'aurais trop peur d'être déçue physiquement).

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