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6.24.2016

Vanier, quartier du vice; 2e partie

Pendant que les lueurs des lampadaires qui s'allumaient un à un dans le quartier le plus glauque de la capitale, Nadia a laissé tomber ses inhibitions aussi vite que son chandail de Nirvana.

Nous étions toujours à l'extérieur et la coquine se retrouvait le buste nu sous les lueurs des rues de Québec. Je sirotais mon verre de vin en repoussant le moment où j'allais prendre les devants pour glisser mes lèvres autour des auréoles de ses seins pâles. Le galbe attirait le compas de mon oeil, je dessinais la courbe de son épaule et caressais du regard sa clavicule où se nichait une petite croix dorée au bout d'une chaîne toute fine. Elle avait relevé les jambes pour les poser sur le bord de la rampe du balcon. J'aurais voulu à ce moment être le courant d'air qui s'infiltrait entre ses cuisses pour m'enduire de l'odeur intime de son sexe humide.

Mais pourquoi donc m'en priver.

Je me suis mise à genoux devant ce ha
mac, lui ai enlevé son jean, ai mis ses pieds sur mes épaules et j'ai cheminé chacune de ses jambes du bout des lèvres, de l'intérieur de son genou à son aine, en prenant bien mon temps.. Je percevais les frissons au sautillement de ses pieds de chaque côté de mon cou, pendant que mes doigts découvrait la douceur de la peau de sa poitrine, exposée à l'air frais de mai. Même si la soirée était la plus chaude depuis le début du mois, la brise faisait durcir ses pointes et les faisait se rendre plus qu'intéressées aux touchers divers que je leur appliquais.

Quand j'ai repoussé sa culotte sur le bord de sa chatte et que j'ai aspiré entre mes lèvres son bouton rose, érigé et sensible, j'ai senti une décharge presque électrique au niveau du mien. être à la merci des regards des voisins, des passants, du sien, entendre les sons de la ville, ne distinguer que ses gémissements les plus audibles mais sentir battre son coeur à travers sa peau suffisait à me mettre dans un état de hâte et de découverte comme rarement je l'avais été. Je la percevais à l'aise et abandonnée, totalement magnifique avec sa bouche entrouverte, illuminée.

Je voulais la garder sur le bord de flancher durant de longues minutes, allant jusqu'à embrasser et mordiller ses fesses pour abaisser la pression. Son jus intime devenait mon nectar et voila que j'avais perdu la notion du temps.. après de longue minute, nous nous sommes dirigées dans le salon, sur la carpette qui recouvrait son plancher de bois franc et avons dénudé ce qui restait de nos fringues avant de reprendre le jeu. Les rôles avaient changé. c'était maintenant mon intimité qui était au bon soins de mon hôte et je n'allais pas me lasser de sitôt de ces caresses... Quand elle a glissé ses doigts dans ma grotte, j'ai cru faillir sur la moquette. J'ai laissé se hisser jusqu'à ma gorge un grognement d'excitation venant du pas de mon échine. Connaissant mon intérêt pour les jeux à deux, alliant dix doigts de femme et quatre yeux curieux, je savais qu'en quelques seconde j'allais ma liquéfier devant tant de sensualité.

Nous avons alterné l'échange de bons gestes l'une envers l'autre, à en crier notre jouissance, jusqu'au matin où, à bout de souffle et d'énergie, nous avons ouvert les yeux sur une journée pluvieuse. Elle avait préparé des gaufres et des cafés au moment où je sortais de la douche entourée d'une grande serviette de bain. Une belle conversation menant à des joues rougies, lorsqu'elle m'a dit qu'elle ne comprenait pas que j'aie mentionné avoir besoin de quelqu'un pour m'initier à l'intimité uniquement féminine. Nous nous sommes ré-embrassé entre deux bouchées, les lèvres enduites de sirop d'érable. Je l'ai refait jouir, assise sur sa chaise, le pied sur le coin de la table, sa main dans mes cheveux encore mouillés. Après le déjeuner, je me suis rhabillée et suis repartie tout sourire pour faire mon quart de travail durant une soirée plutôt tranquille.. et qui m'a permis de jouer et rejouer des extraits en sons et images de toutes les positions dans lesquelles je la caressais et je la pénétrais de mes doigts et de ma langue.

Une belle.. belle nuit de luxure que nous n'avons finalement jamais remise.. seulement toutes les deux. Mais je ne vous raconte pas le rendez-vous suivant, où j'ai découvert l'existence de sa co-chambreuse d'occasion..


Mamz'Elle J xxx

2 commentaires:

  1. Bonjour douce et charmante salope :)

    Je ne connais ton blogue que depuis quelques jours, mais j'en ai presque fait le tour!
    Tes récits eveillent en moi toutes sortes de sentiments, des plus vicérauz aux plus coquins.
    Merci, et au plaisir de te lire et duscuter avec toi!
    M. C

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  2. En lisant ta petite histoire je me suis aperçu que mon boxer était trempé tellement tu m'a vite fait mouiller du gland j'ai rapidement gicler de longs jets mon foutre c'est rarement aussi vite fluidifier en si peu de temps merci pour ta qualité d' écriture j'ai jouie quasiment sans me branler juste par l' excitation psychique merci encore je regrette pas d'en avoir mis jusqu'à mon oreiller.

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