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1.23.2012

Il y a des moments si merveilleux..

J'ai passé par une gamme d'émotions assez impressionnante la semaine dernière. Un weekend à me faire planer, à me faire rêver puis, un mercredi tragique, destructeur. Je vis sans cesse dans le questionnement de ne pas savoir où j'en suis, ce que j'attend ou ce que je veux vraiment de ma relation de couple, si je suis la cause de cet éclat de verre dans la passion qui semblait si bien nous animer moi et mon amoureux.

Et je lisais les statuts des autres. Les autres; ces femmes de qui j'aime apprendre, que j'aime lire, que j'aime aimer, dans les moindres détails de leurs récits.

Je me rends compte qu'une fois la bulle d'amour -dans laquelle je me complaisais- fracassée, il ne reste plus que la peur de l'abandon. Et je préfère ne pas regarder en bas.


Je suis affectée par vos deuils, petits et grands, de la vie quotidienne, des rencontres illicites, des relations émergentes auxquelles nous, femme infidèles, nous aimons nous donner corps et âme, sans regarder autour. Je suis touchée de voir la force qui se dégage de vos comptes-rendus, de votre victoire personnelle sur vos émotions au quotidien. Je suis impressionnée de voir à quelle rigueur vous pouvez vouer vos sentiments négatifs et présenter un sourire à votre entourage, tentant de ne laisser rien paraître.


Je sais que tout n'est pas perdu pour moi, pour mon couple, pour mon petit nid douillet... mais les nuits sont longues et froides depuis quelques jours, et j'ignore si je veux poursuivre dans la voie du poly-amour encore longtemps...




Mamz'elle J

1.16.2012

Voyage au fond de l'antre..

Inspirée par l'un de mes lecteurs qui m'a si gentiment fait parvenir un mail la semaine dernière, j'avais envie de vous partager un récit...  à vous de deviner si c'est de la fiction, ou non! ;)


°°°


La chambre de l'hôtel était au 3ième étage, là où la vue splendide sur la ville donne un cachet particulier aux rencontres bestiales dont j'avais envie ces derniers temps. L'automne projetait ses couleurs sur les rues, les bâtiments, les visages maussades des citadins. Ce matin-là, j'avais un immense mal de tête, quelques griffes sur le dos et un parfum musqué sur la peau.. Les draps étaient fripés, le fauteuil d'appoint gisait au beau milieu de la pièce et sur l'accoudoir était resté une traînée de sperme séché.. Trois verres traînaient sur la table de chevet, avec la bouteille de mousseux toujours dans le seau à glace, mais vidée jusqu'à la dernière goutte. Comme moi.

...Il n'avait fallu que 25 minutes entre le message d'invitation et la réponse que j'avais lancée à mon amant. J'avais envie de lui. J'étais seule pour la soirée, je voulais sortir prendre l'air un peu.. Nous nous étions donné rendez-vous au Café Du Monde pour 19h30, ayant envie d'une bonne bouffe, d'un bon vin et de bons fous rire comme nous avons l'habitude d'avoir. Ce soir-là, la température était anormalement fraîche, et ce même si le mercure nous avait donné un bon confort toute la semaine. Armée de mon écharpe, de ma belle robe noire et de mon sac à main, je suis embarquée dans un taxi pour joindre mon mâle dans le Vieux-Port, ne m'inquiétant pas du plaisir que j'aurais durant la soirée..

Arrivée à destination, je le vois qui m'attend à l'entrée du restaurant. Vêtu d'un belle chemise et d'un pull de laine par dessus, il arbore fièrement la barbe et est tout sourire. Je ne l'avais pas vu aussi beau depuis des semaines..  Il me fait donc bien plaisir de l'embrasser sur la joue d'abord, puis.. lentement nos lèvres se touchent, se puisent et, dans une étreinte amoureuse, je l'entends me dire que je lui ai manqué. Il sent si bon. Il est si doux, et pourtant si affectueux... je sens que je ne laisserai pas repartir sans lui avoir tout donné de mon énergie ce soir.. quitte à le prendre de court et lui offrir sur un plateau d'argent, mon corps, ma chatte et mon dévouement.

Le souper se passe bien. L'attente des entrées a fait place à une discussion sur notre quotidien puis, plus le repas avançait, plus je tentais de dissimuler mon désir de le baiser... nos pieds s'étaient déja trouvé sous la table. Nos yeux se parlaient d'eux même.. puis, partie me refaire une beauté après le dessert, monsieur en a profité pour passer un coup de fil à l'Hôtel PUR pour nous réserver une petite chambre pour la nuit. Tout cela sans que je ne le sache...

Après avoir insisté pour payer la totalité de la facture, nous avons entrepris une petite marche sur le bord de la marina. Les voiliers semblaient tellement luxueux et donnaient tellement l'envie de partir à la dérive que nous nous sommes assis sur le bord du quai et avons commencé à chanter quelques ballades.. nos mains se cherchaient, puis dès qu'elles se sont trouvées, ce fût ses lèvres qui s'approchèrent de ma nuque, ensuite sa jambe de ma cuisse et son corps au complet couché sur le mien.. La soirée était éclairée de la pleine lune, la brise du Port rendait nos étreintes plus chaudes et rapprochées encore..

Quand le temps fut venu de repartir, je l'ai invité à m'accompagner chez-moi, où une belle bouteille de rosé nous attendait. Ne disant pas un mot sur sa manigance, il me fit signe de la tête, et monta dans sa voiture après m'avoir ouvert la porte à la façon d'un gentleman..

Il prit une cravate qui traînait sur le siège arrière et me banda les yeux, me faisant jurer ma confiance envers lui. J'ai tout de suite embarqué dans son petit jeu sans même me demander ce qui adviendrait de ma soirée...Après quelques minutes à peine à rouler, il stationna l'auto et m'en fit descendre. C'est à ce moment que je venais de réaliser que j'allais enfin passer toute une nuit avec lui, enfin. Nous sommes montés à la chambre, franchissant maintenant 3 étages dans l'élévateur sans même se quitter des yeux, et si tôt la porte refermée, nous nous sommes jetés dessus comme deux bêtes sauvages.  Je sentais sa main qui allait de mes fesses à ma chatte déjà affolée, sa bouche passer de ma bouche à mon cou, et je retenais sa tête tant bien que mal, passant les doigts dans ses cheveux grisonnants, refusant de me laisser aller aussi rapidement. Mais ce fut peine perdue, puisque je savais d'ors et déja que je n'aurais pas le contrôle sur le tempo de cette baise succulente et bestiale.

Je n'ai eu le temps que de jeter mon sac à main au sol que rapidement, monsieur retirait ma robe et me laissait à demi-nue sur le seuil de la chambre. Je portais mes souliers rouges à imitation de peau de serpent, avec une guêpière et un slip assortis. Un long collier fait d'anneaux de métal et de diamants glissait entre mes seins, laissant sur ma peau un frisson. Mon parfum, activé par les hormones qui me dominaient totalement, avait pris sa facette plus affriolante et plus enivrante que jamais.  J'avais terriblement envie de lui faire subir le même traitement.. j'ai donc détaché sa ceinture et, laissant tomber au sol son pantalon propre j'ai aperçu sa queue fièrement dressée devant moi. Je cherchais à combattre cette envie de la lécher, de l'absorber dans ma bouche comme une vraie salope, celle qu'il me sait être. Mais je n'ai pas eu besoin de me retenir trop longtemps, déjà il poussait sur mon cou pour que je descendes à ses genoux, lui offrir le traitement si gentiment mérité.

Après avoir humecté le bout de son gland bien rougi d'excitation, je m'amusais à étirer ma salive de mes lèvres à sa queue comme il aime que je fasse. Le regardant droit dans les yeux, je lui permet quelques fois de me gifler la joue en me traitant de traînée, ce qui tendait à m'exciter à un niveau supérieur. Puis, peu à peu, plus aucun contrôle sur mes mouvements. Il a pris ma tête entre ses mains et s'amusait à m'enfoncer son pieu jusqu'à la garde au fond de la gorge, sentant mes muscles se resserrer autour de sa queue. Il la baisait bien ma bouche. Les larmes me coulaient de chaque côtés du visage et j'avais les mains bien croisées dans le dos, signe de ma soumission complète. Et puis, quand il en a eu assez, il m'a relâcher un peu.

Redevenu doux comme un agneau, il est parti dans un coin de la pièce avec son cellulaire en main. Pendant ce temps, je suis allée éponger ce qui me restait d'eye-liner et tout sourire, je suis revenue, toujours armée de mes souliers à talons, sur le lit où il m'attendait, couché et offert, tout à fait nu. Loin d'être dominatrice au lit, je me suis permis de le mettre un peu à mes ordres.. après m'être blotti entre ses jambes, j'ai recommencé à lécher sa queue, la mouillant bien de ma salive et laissant couler le fluide sur toute la longueur de sa verge, j'ai commencé à le masser doucement..

Bientôt, ma langue s'est jointe à la partie de plaisir et voyant qu'il avait peine à retenir son orgasme, j'ai changé de tactique.. j'ai délaissé sa queue un instant et j'ai commencé à lui lécher les bourses, l'aine.. puis, j'ai atteins son petit trou tout refermé pour aller le caresser un peu..

J'aime prodiguer cette caresse à un homme. Sur lui, c'est tellement un charme! Je l'entendais ronronner à mesure que ma langue se faufilait entre ses fesses. Je lui attrapais les bourses d'une main tandis que je léchais l'espace entre son cul et ses couilles rasées. Je le voyais grimacer, au bord de la jouissance, au bord du point de non-retour.. puis, j'ai activé ma main sur sa verge, pour déclencher le plaisir absolu.

Il a pris d'un coup ma tête entre ses mains et m'a carrément entré sa verge au fond de la gorge, me la retenant fermement pour que j'avale toute sa semence chaude et texturée d'un seul coup..

Lorsque je me suis relevée, manquant visiblement d'air, j'ai toussé un peu et mes yeux se sont vite fermés. Encore une fois, je venais de dépasser une limite.. et j'aimais le sentiment de fierté que je lisais dans ses yeux.
Après quelques minutes de relaxation, où j'étais collée sur son corps, à jouer dans les boucles de son torse, on entendit frapper à la porte. Je savais, d'un coup d'oeil, ce qui m'attendait. Je savais tellement..

Déja quelques mois que je lui parlais d'un fantasme que j'entretenais. Celui de faire l'amour avec deux hommes. J'avais envie qu'on ne s'occupe que de moi, de tout de moi. D'un bond, il me remit la cravate sur les yeux, me fit m'asseoir dans le fauteuil d'appoint, il est donc allé ouvrir la porte, nu comme un ver.

Assise pourtant assez près d'eux, je n'ai entendu que de petits murmures entre les deux hommes, une bouteille avait été déposée sur la table en verre de l'entrée. puis plus rien. Mon amant a inséré un disque de musique «loundge» pendant que son ami se dévêtait lentement à côté de moi.. je l'entendais me murmurer à quel point il avait envie de baiser une belle chienne comme moi, qu'il avait envie que je garde en mémoire le souvenir de cette soirée sans pour autant savoir qui il était..

J'ai senti sa main soupeser mon seins gauche, puis, le droit. J'ai senti ensuite, une autre paire de main ouvrir mes cuisses et une langue se frayer un chemin jusqu'à mon antre, déja terriblement humide et odorant. Puis, une autre paire de main me fit me tourner la tête vers la droit pour ma mettre au bord des lèvres une queue de calibre plus intense que la première à laquelle j'avais eu droit auparavant. Je la pris en bouche sans broncher, laissant le vin et la musique faire effet. Je sentais la langue habile de mon amant tournoyer autour de mon clito en feu, l'aspirant et le suçant sans gêne, avec une passion et un désir de me faire monter au 8ieme ciel indescriptible... Puis, il ouvrit encore davantage ma jambe et me la posa su rle bord du fauteuil. Je me suis retrouvée assise un peu à l'oblique et, penchant ma tête vers l'arrière, je pouvais laisser ma gorge bien ouverte à la queue qui prenait plaisir sous ma langue avide. Je sentais mon homme insérer quelques phalanges dans ma chatte terriblement excitée. Quand le temps fut venu, il entra presque sa main et d'un mouvement rapide et maintenu, il a réussi à me faire exploser sur le fauteuil, laissant sa main et une parti du tapis trempées de ma mouille. J'étais à bout de souffle déja que les hommes ont changé de place. Me faisant me mettre à genoux sur le fauteuil, face au dossier, l'un d'eux a pu tantôt pénétrer ma petite chatte offerte, tantôt lécher mon cul pointé, pendant que l'autre attrapait ma crinière de cheveux longs pour contrôler ma bouche autour de sa verge. Je gémissait de coups de bassins tous plus profonds et dilatants les uns que les autres. J'aurais voulu crier ma jouissance comme j'ai l'habitude de le faire, mais impossible avec une queue dans la bouche. J'arrivais tout de même à faire assez de bruit pour recevoir une gifle sur une fesse de temps en temps pour me calmer. Mes souliers encore accrochés à mes pieds me donnaient le sentiment d'une vedette de la porn, tandis que la situation incroyable dans laquelle je me retrouvais me donnait envie d'enlever mon bandeau pour découvrir le secret..


Je me suis retrouvée avec ma mouille partout sur le corps, couchée sur le lit, à me faire pilonner par un des deux hommes pendant que l'autre embrassait mes seins et mon cou.. Puis, il m'ont prise chacun leur tour, dans la chatte et dans la bouche sans arrêt pendant près d'une demi-heure avant que mon amant me dise de me mettre à quatre pattes sur le lit. J'ai pu sucer les queues de mes deux amants de la soirée tour à tour, parfois en même temps, j'ai pu les prendre en mains toutes les deux et me délecter de leurs saveurs si différentes.. Puis, le copain de mon amant m'a fait me remettre à genoux sur le fauteuil afin de terminer sa baise comme bon lui semblait.. alors qu'il me pilonnait fièrement, il m'agrippa à la gorge, tirant mes cheveux et   me couvrant de termes tous plus sauvages et bestiaux les uns que les autres, il pu jouir dans le creux de mes reins, étendant sa semence entre mes fesses du bout de sa queue pour me souiller. Puis, ce fut le tour de mon amant de venir déverser son flot de spermes sur moi... il me fit me mettre à genoux sur le tapis alors qu'il prit place dans le fauteuil, et, contrôlant encore une fois le mouvement de ma tête, il a pu s'insérer complètement dans ma gorge. À sa première giclée de sperme, j'en étais à reprendre mon souffle et le liquide blanchâtre est allé s'étendre sur l'accoudoir du fauteuil... tout le reste, je l'ai avalé. Je demandais encore.. Je me délectais de cette semence si chaude et consistante.


L'ami de mon amant se rhabilla vite. Après avoir bu une coupe de mousseux qu'il nous avait si gentiment apporté, il avait pris la poudre d'escampette. Mon amant m'a enlevé le bandeau que quelque minutes après son départ. Je me souviens encore de sa voix, de sa peau, de son odeur, de sa queue... son goût, sa texture..

Le reste de la nuit, nous avons profité de la chambre a bon escient. Après avoir fait l'amour passionnément, au petit matin, mon amant a pris sa douche et est reparti à la maison, me laissant dormir dans les draps que nous avons souillé avec tellement de plaisir...

Un deux pour un comme je les aime!


Mamz'Elle J xx

1.09.2012

Les Fêtes signées Mamz'elle J

Rebonsoir à tous, toutes et chacuns!
C'est terminé Noël! Depuis un petit bout déja, me direz-vous. Je viens tout juste de défaire le sapin alors, je me sens encore dans l'ambiance un tout petit peu..

Comme à chaque début d'année, j'ai l'occasion de me retrouver en famille, à festoyer avec des gens que j'apprécient beaucoup et cette année, rien de nouveau sous le soleil, j'ai pu célébrer de la même façon.

Les résolutions prises, reste plus qu'à respecter à la lettre (jusqu'au moins au 15 janvier! Hihi!) et puis voilà!

Cette année, j'ai envie de mettre à exécution tous les conseils reçus des hommes de ma vie. J'ai envie de me prendre ne main une fois pour toutes et de mener à termes tous mes projets en me fixant de petits objectifs atteignables. J'ai envie de développer bien des idées, de faire quelques explorations professionnelles, de retourner aux études pour enfin m'ouvrir les portes que je regardais sans avoir les clés pour accéder à l'envers du décor. À la fin de l'année dernière, j'ai engagé déja de grands changements dans ma vie, après avoir passé plus d'un an à ma totale liberté, avec les choix et les inconvénients que cela m'a apporté. Mais je ne suis plus la même fille, et bien entendu, avec le recul, je me suis fait du sang d'encre pour rien à propos de bien des choses..

Je suis retombée sur mes deux pieds et il ne me reste qu'à aller de l'avant.

Cette année, je vous souhaite bien entendu beaucoup de santé, de l'amour et de la prospérité, mais je vous souhaite également de vous réaliser, de vous découvrir, de vous écouter, de prendre soin de cette personne qui doit être à la première place de votre coeur; VOUS.

Merci d'être toujours aussi fidèles, de m'écrire en si grand nombre pour prendre de mes nouvelles ou m'exposer vos situations afin de discuter, de correspondre. Vos messages me font chaud au coeur.
Je vous envoie un immense baisers, à vous toutes et toutes!


ET BONNE ANNÉE 2O12!!



Mamz'Elle J xx

12.24.2011

Joyeux Noël mes coquins!

Demain Noël. Qu'Allez-vous déguster? Une belle queue toute dure, ou une jolie chatte épilée et lustrée de cyprine. Qu'allez-vous découvrir sous le sapin? Un petit sac cadeau rempli de papier de couleurs et de morceaux de lingerie féminine.. un parfum musqué, une cravate de soie, de jolis boutons de manchettes pour les hommes d'affaires toujours d'un chic incomparable..

Aurez-vous un peu de temps pour votre amant, votre maitresse, entre deux réception chez la belle-famille? Découvrirez-vous un couple friand qui baisera sauvagement sur l'évier de la salle de bain d'en haut? Apercevrez-vous un petit bout de dentelle des bas auto-fixants de votre belle-soeur qui, aguichante comme jamais, se penchera pour ramasser sa serviette de table tombée par hasard..


Jouerez-vous les stars, maquillée de façon unique et coiffée à la perfection? Opterez-vous pour une robe moulante pour enrober vos formes et mettre vos seins bien ronds et fermes en valeurs? Porterez-vous vos bottes les plus hautes et sexy?


Noël est l'occasion de se rapprocher des êtres chers et qui vous sont importants, mais c'est aussi une période de réjouissances et une opportunité de vous la jouer un peu moins sérieux qu'au quotidien.. alors, mon souhait pour les Fêtes sera le suivant: HAVE FUN! Amusez-vous en grand! Faites des folies! Gâtez-vous!

On n'a qu'une seule vie. Et qui plus est, vous êtes en vacances! Alors..

Joyeux temps des Fêtes à vous tous et toutes. xxx



Mamz'Elle J

12.13.2011

Cher petit Papa-Noël.

Toi tu sais trop bien que j’ai été sage cette année, dis-moi?!
C’est que j’en suis à mon bilan de l’année, et je me demandais si certains de mes actes avaient été trop peu enviables pour que je me passe de cadeaux cette année, ou si au contraire, je me contenterais de châtiments en office à mon comportement de jeune femme un peu trop perverse…
Crois-tu que si je demande un ensemble de sous-vêtements en dentelle, jaune pâle et garni de petites boucles blanches, je l’obtiendrai? Je sais, le Père-Noël ne reçoit évidemment pas ce genre de demande de la part des enfants, mais il me fera peut-être une faveur à moi! Tu sais, j’ai été gentille. Chaque monsieur qui s’est déversé dans ma bouche cette année a eu droit à un traitement spécial, j’ai toujours été obéissante, soumise et je me suis toujours donnée beaucoup de mal à trouver comment rendre mes amants heureux. J’ai toujours bien nettoyé leurs queues de ma salive, et après qu’ils m’aient baisé la gorge en fixant mes yeux remplis de larmes et mes joues rougies, j’ai toujours tout avalé, sans en échapper une goutte. Je me suis toujours assurée de leur confort dans ma chatte, prenant soin de bien m’épiler et de me poudrer pour donner douceur et parfum à chacun de mes ébats. Je me suis toujours assurée également de plaire à tous leurs sens, de mettre le doigt sur ce qui rendrait le moment spécial, de leur faire parvenir par exemple, une photo inopinée sur laquelle on voit mes fesses bien écartées et ma chatte coulante se présenter à leur yeux, à leur langue… Toujours un petit mot de reconnaissance après chaque baise, torride ou douce, une petite pensée à des moments plus difficiles ou au contraire, très joyeux.
Cette année, je crois avoir été une bonne fille. J’ai suivi à la lettre les recommandations de Laigle concernant ses désirs envers moi. Je lui ai fait vivre ses premiers ébats avec une femme-fontaine. Je l’ai trempé jusqu’à la chair, je l’ai fait sourire de bonheur comme jamais auparavant. Je lui ai fait découvrir ma collection de vibrateurs, avec lesquels nous avons cumulé les orgasmes simultanés. Je l’ai sucé dans une cabine d’essayage au MEXX, je l’ai laissé ma baiser à La Vie en Rose, je l’ai invité deux fois à l’hôtel pour qu’il me découvre, il a dormi deux fois chez-moi. Tu vois, ce sont des valeurs de partage, de don de soi et d’hospitalité dont j’ai fais preuve, hihi!
Sincèrement, cette année, il y a eu de petits épisodes où je n’étais pas fière, où j’ai fait preuve d’égoïsme et où j’ai pensé qu’à moi. Par exemple, toutes ces fois où je suis allée travailler avec des boules chinoises bien insérées dans ma chatte toute moite et où j’allais passer quelques minutes par jour dans les toilettes du restaurant pour me soulager de tout ce désir de me faire prendre sur une table, à l’abri des regards. Bien entendu, je suis quand même professionnelle alors je n’aurais jamais osé amener mon ancien collègue hyper-sexy avec moi pour lui montrer ce à quoi je m’appliquais dans l’intimité de ma pause-café… Aussi, je dois confesser toutes ces fois où je suis allée me promener en ville complètement nue sous ma jupe courte et ma camisole de satin préférée. Que des bijoux pour me vêtir. Toutes ces fois où j’ai mis mes «fuck-me boots» pour aller à l’épicerie, que pour me rouler les hanches et mettre en valeur mes seins qui ne tendaient qu’à sortir de mon corsage. Toutes ces fois où assise dans le bus en fin de journée le vendredi, j’avais dans les oreilles des écouteurs-boutons qui m’envoyaient à l’oreille des MP3 érotiques dans lesquels je me plaisais à entendre des femmes jouir de toutes leurs force, à imaginer les traces de doigts sur leurs peaux brûlantes, leurs fesses marquées par ses fessées si excitantes. Je me rappelle toutes ces fois où je trainais mes jouets dans mon sac à bandoulière alors que j’aurais pu les échapper et montrer au monde entier à quel point je ne suis qu’une petite pécheresse. Ces matins où nous recevions les beaux-parents à déjeuner et où j’adorais m’adonner à mes petits plaisirs dans la douche quelques minutes avant leur arrivée et où je montais à la cuisine avec un «buttplug» dans le cul et un petit gode dans la chatte, sans petite culotte, sous une robe soleil juste assez évasée pour qu’on n’y voit rien..
À bien y penser, je suis peut-être un peu trop pécheresse pour recevoir quoi que ce soit pour Noël cette année. J’ai bien peur que les années à venir ne soient pas lucratives non plus; les années se suivent et me rendent de plus en plus vicieuse.
Peut-être que je ne mériterais qu’un traitement de remise à soumission pour calmer mes envies de queues bien dures et de me faire pilonner en permanence. Peut-être que Mr.G devrait m’apprendre à contrôler mes fantasmes, à me contraindre à son pouvoir, à ses désirs, à ses pulsions à nouveau. Peut-être qu’avec ma gueule entre ses mains, un bâillon entre les dents et une laisse au cou, j’aurais moins tendance à laisser glisser mes mains sous ma robe lorsque je suis seule dans le café où je vais souvent. Peut-être que Laigle pourrait tout aussi bien calmer mon attitude de petite salope avide de sexe. Ou peut-être qu’au contraire il va m’encourager à enfin réaliser mon fantasme de me retrouver au lit avec une autre femme, toute en forme, toute en sensualité et avec un désir intense de me faire vivre des instants magiques et m’initiant aux plaisirs féminins partagés… Mes doigts plongés dans une chatte ruisselante de femme en chaleur et demandant des orgasmes à perpétuité, ma bouche qui parcourrait ses seins généreux, mordillerait ses tétons au passage, soupèserait ces deux masses si sensuelles et empreintes de plaisir me ferait probablement trop d’effet pour vouloir arrêter à la fin de la nuit.
Ah! Finalement, à confesser tout cela, c’est clair que je n’aurai pas de cadeaux cette année. Je suis bien trop salope.
Tu veux bien me l’offrir, ta queue, pour me consoler?

12.07.2011

Cadeau de Noël; suggestions?

Alors, quel serait le plus beau des cadeaux de Noël à offrir à l'amant de mon coeur?

Laissez-vous aller...

11.29.2011

Pour vous sentir plus près.. et avoir presque l'exclusivité..

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;)

Mamz'elle J

11.28.2011

Magasinage coquin et pause-gâteries

Ce weekend, j’ai eu l’occasion de visiter (encore!) la super boutique Planet X. Je sais, j’ai une méga collection de jouets coquins, ma bibliothèque est bien remplie de romans érotiques et je tiens ce blog depuis un peu plus de 2 ans. Mais je n’avais jamais osé acheter de film, DVD ou VHS pour les moins technologiques. Donc, ma visite ainsi qu’un petit certificat-cadeau aidant, mon regard s’est arrêté sur l’étalage des DVD, tous plus pervers les uns que les autres. En regardant les images, mon chum n’a pu s’empêcher quelques farfelues blagues de bas étage, comme tous les hommes dans les même conditions je suppose.. bref, je prenais ma visite au sérieux. Et puis, j’en ai choisi quelques uns pour un triage. Puis, les pochettes décorées de petites chattes suintantes et de belles grosses queues bien plantées dans des culs ouverts et offerts, je les aurais toutes prises. Alors, j’suis allée dans le vintage. Je n’avais pas eu l’occasion de le visionner avant aujourd’hui. J’avais ajouté à mes achats un beau dildo transparent de bonne taille, ce qui m’a permis de m’amuser un peu.. Je sentais que j’allais avoir un peu de plaisir. Pas que j’aime regarder de la «porn», en fait, j’ai l’imagination bien assez fertile pour me donner des images équivoques d’habitude, mais je voulais tenter de voir si j’aurais un attirance pour les vidéos..

Installée sur mon lit, en pantalon de yoga, j’ai inséré le disque dans mon ordinateur. Le générique débute, je sors mon nouvel ami du tiroir. Rapidement, je sens monter en moi une vague de désir.. je tente de la contrôler du mieux que je le peux. Puis, je regarde le film avec intérêt, mais je me rends bien vite compte que le déroulement du scénario ne m’exciterait peut-être pas. 9 filles au beau milieu d’un salon qui font un concours pour impressionner des spectateurs, puis, une contorsionniste qui arrive à se lécher la chatte en se tenant en boule sur ses mains, puis c’est le tour d’une demoiselle qui s’excite avec une comparse en s’enfonçant un double dildo en «jelly».. et ça se poursuit. Un film de cul sans scénario, c’est difficile d’embarquer. Donc bon, j’ai baissé l’écran de mon PC pour continuer d’entendre les voix déchaînées des demoiselles et je me faisais mes propres images. Ce fut un délice. Je sentais ma chatte s’offrir, s’ouvrir sur le gland de mon jouet désormais tout trempé. C’est sans douleur et sans problème que j’ai pu le faufiler entre mes cuisses, dans mon antre ruisselant et totalement servi. Je sentais les nervures exagérées chatouiller les parois de mon sexe, se glisser en moi toujours plus profondément, me défoncer carrément à un certain moment, en mouvement de saccades. Je chatouillais mon clito tout gonflé par moment, mais je devais de restreindre ces caresses puisque je sentais l’orgasme approcher et je ne voulais pas atteindre l’extase tout de suite.. je me suis donné un moment, suis allée chercher un petit vibrateur que j’ai inséré dans mon petit trou avide et désireux de se faire donner du plaisir aussi, et j’ai recommencer le manège, avec plus de vigueur et de force. 2 minutes de cet intense jeu ont servi à me faire décoller du lit, à me faire mordre la lèvre inférieure et à faire crisper tous les muscles de mon corps. Je suis restée étendue un moment sur mon lit quand mon téléphone à sonné.. Laigle me textait. Le sens du «timing» qu’il a cet homme!
Pour me rétablir, j’ai dégusté un macaron à la saveur de crème brûlée, offert par mon amant ce weekend. Je tenterai de me tenir tranquille pour les prochains jours, question de donner un peu de repos à cette petite chatte serrée qui commence à trouver que j’abuse un peu des queues cet temps-ci..

Je l’ai toujours dit; le sexe et le sucre sont mes deux péchés mignons. :P

11.27.2011

Le Sexe Gingembre aux couleurs de Noël

Après moultes discussions,
j'ai demandé à mon amant à quel genre de galipettes il avait droit dans le lit de l'Officielle. Il me dit: «Du soft, pas de fla-fla.. »
Je lui réponds: «On peut qualifier ça de sexe vanille, au fond.. »

Ce matin, après un nuit trop torride, où j'ai dû laver le couvre-lit au beau milieu de la nuit, nous avons concerté pour trouver un descriptif de nos ébats..

Le Sexe Gingembre.

Une pointe plus épicée, et Dieu seul sait à quel point ça nous va bien! ..

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Rencontrer un amant à l'improviste quand aucun plan n'est fait pour le weekend, ça se fait quand même bien. Mais à 36 heures d'avis, au beau milieu d'un weekend très rempli, c'est autre chose... Laigle était de passage à Québec pour le weekend et souhaitait ardemment que l'on puisse passer la nuit ensemble. Fidèle qu'à moi-même, j'ai élaboré quelques sorties d'urgence à ma planification, mais j'ai dû travailler fort...

J'ai quand même trouvé du temps à ma plage horaire, non sans peine puisque je planifiais cette fin de semaine depuis près d'un mois.. Disons que ma situation personnelle actuelle concernant mon emploi me permettait de me sortir un peu de mon «planning» et de passer un nuit à mon «pied à terre» de la Vieille Capitale.
Laigle est venu me rejoindre vers 20h30 à mon studio. On avait une soirée et un nuit ensemble, et je tenais à passer du temps de qualité, discuter et pas seulement passer ma soirée à le sucer ou à ma faire pilonner à quattre pattes sur mon lit, devant la fenêtre du 3ième étage de mon bloc. Donc, il a posé ses valises, quelques salutations d'arrivée, une discussion rapide et nous retournons à l'extérieur. Marchant sur Grande-Allée, nous nous sommes arrêtés au Second Cup, lieu de prédilection de mes échanges virtuels avec lui et avons chacun pris un café latté avant de repartir main dans la main vers le Parlement. La soirée était plutôt fraiche, il avait froid. Pas moi. Isolation naturelle oblige.. :) Monsieur tenait à m'embrasser devant le Parlement.. Ce fut chose faite. Puis, ma curiosité m'a apporté jusqu'au Carré d'Youville, où nous sommes allés voir les patineurs défiler sous le rythme d'une chanson bien connue des Classels, bien choisie d'ailleurs pour l'instant!

J'ai la fâcheuse habitude de poser beaucoup de question dans la vie. Ma curiosité, oui, mais ma soif d'en apprendre sur les autres, sur la vie, sur moi-même m'apporte cette tempête de questions à chaque fois que je rencontre quelqu'un de qui j'en aurais à apprendre. Je lui ai donc demandé de me révéler selon lui, ma plus grande qualité et mon plus gros défaut. Il m'a surprise, je vous l'avoue. Je m'attendais à «Ta douceur, ou ta gentillesse, ou ta générosité», réponses que j'ai généralement de la part de mes proches. Mais non, j'ai eu droit à quelque chose de plus réfléchi, plus original, que je n'avais jamais entendu auparavant.

J'aime me faire surprendre parfois.
Je n'aime pas les surprises, mais les réponses sorties d'un raisonnement pareil, ça me touche énormément.

Nous sommes repartis vers la maison, et monsieur n'a pas manqué de me faire rire alors que nous marchions sur la célèbre St-Jean. Face à face avec une borne-fontaine alors que j'étais en train de parler du Drague, j'ai éclaté de rire littéralement. Arrivés à la maison, ce fut bref avant que nos mains se découvrent. Avant que nos peaux se fondent l'une sur l'autre. Je l'attendais sur le lit, vêtue que d'un petit boxer de dentelle diaphane de couleur bleu royal, les cheveux libres et un sourire coquin aux lèvres. La chaleur de sa main sur mon dos me réconforte tellement... Il dégage beaucoup de chaleur mon amant!


Les ébats qui ont suivi étaient super, comme chaque fois. J'avais pour l'occasion sorti mon tout nouveau jouet (Ma collection est telle que, ça ne tient plus dans un seul tirroir.. !) mais nous ne nous en sommes pas servi durant la première partie de la nuit.


J'aime me sentir possédée, ce n'est plus un secret. J'étais dans mon élément quand il m'a couchée sur le dos, la tête au bord du lit et qu'il me léchait la chatte pendant que je léchais avidement sa queue dressée. Il baisait ma gorge, me caressait, m'insérait quelques phalanges et se retirait. Ça suffisait à me rendre folle. Quand il a finalement pénétré ma petit chatte toute serrée mais ô combien innondée, j'ai cru mourrir de bonheur. Il ne s'est pas fait prier pour allégrement pilonner mes fesses, tirer mes cheveux ou me prendre au cou quand il le voulait. Pour couronner le tout, monsieur a voulu me voir jouir encore. Depuis qu'il me sait femme-fontaine, son désir de me voir exploser de cyprine et de liquide le rend fou. Il s'est bien gâté hier. Pas moins d'une heure à m'insérer presque sa main en entier dans l'antre, à laisser ses doigts caresser mon point G et me faire me tordre dans tous les sens sur le lit. Une heure!.. Je pensais m'évanouir à la fin, tant je n'avais plus aucune énergie, mais encore cet ardent désir de jouir encore et encore.. Il a trouvé sa façon bien à lui de me faire décoller du lit, et pervers comme il est, il n'a pas fini de me surprendre....

Pour les prochaines rencontres, je lui réserve quelques surprises.. il m'a fait part d'un désir qu'il avait au lit, alors je l'initierai comme il se doit.


Noël approche. Ça ne sera pas un cadeau.. ;)

11.18.2011

Ma nuit à l'hotel, partie 2

Le soleil s’est couché bien vite cette journée-là. Nous étions à la chambre depuis le milieu de l’après-midi, et le rideau était ouvert. Jettant un œil de temps en temps, je voyais s’Assombrir le ciel et les phares de la ville éclairaient en moi des désirs intenses.. Nous nous sommes un instant rapprochés de la fenêtre de la chambre, j’avais les seins nus. Qu’une petite culotte de dentelle noire pour ma vêtir, nous observions les gens en bas, regardions les fenêtres des chambres d’à côté pour y trouver un scénario alléchant peut-être. Rien. Rien que mon reflet et le sien, collés et lumineux sur la vitrine de notre douillet petit nid. Il me tenait dans ses bras, j’avais sa bouche à mon oreille, son torse sur mon dos et sa queue sur mes reins. Pendant quelques secondes, j’ai fermé les yeux sans qu’il ne se rendre compte, pour savourer et encrypter ce moment au plus profond de moi. Sa chaleur, sa douceur, son odeur et sa présence me donnait des ailes. Je me sentais si protégée et aimée. Un moment extraordinaire, en toute simplicité.
Nous avons soupé couchés sur les draps, se racontant mille histoires, ses passages télé à mes anciens fantasmes jeune fille à l’endroit d’un étudiant en théologie.. Il m’a parlé de ses beaux-parents, je lui ai parlé de mon emploi.. Le temps a passé si vite. On n’avait pas ouvert la bouteille de rouge que déjà, je me sentais défaillir. Quelques incidents plutôt comiques plus tard, une conversation des plus profondes et intimes et des baisers fougueux, la soirée tirait à sa fin.. Mon bel aigle devait regagner le nid familial, dorloter les petits et trouver des anecdotes de «party» à la mère des jolis petits rejetons. Il a pris sa douche, j’étais sur le lit, mon verre de vin à la main et je le regardais se savonner. Seul un mur de verre nous séparait.. Je l’ai tout de même convaincu de venir jouir dans ma gorge une dernière fois (pour la route!), ce qu’il accepta… Après ce moment exquis, mon amant à mis les voiles..Ce n’est pas sans chagrin que j’ai enfilé un chandail et que je l’ai regardé repartir. Une soirée d’anniversaire plutôt passionnelle. J’étais seule, j’avais pour moi une chambre d’hôtel confortable et chaleureuse.. j’ai éteins les lumières, ai ramassé ce qui restait d’éclats de verre sur le plancher et me suis douchée à la lumière du foyer.. L’eau à la plus haute température que je pouvais tolérer, je me laissais entraînée à revoir ces images, à ressentir le flot d’émotions que me procure la jouissance en sa compagnie et par la force des choses, j’ai du aller chercher mon vibrateur dans mon sac. Je n’avais jamais porté attention à la chose, mais la douche se trouve toujours sur le mur du corridor..Sous le jet, je ne pouvais retenir mes gémissements, non pas poussés par envie d’ajouter une touche plus sensuelle, mais bien réels et sentis. La vapeur de l’eau suffisait à étancher le bruit du petit moteur puissant et la tête de mon «rabbit» dansait sur mon clitoris en feu. J’ai joui, dos au mur de la douche, les cheveux mouillés, emmêlés et collés au visage, les yeux fermés et les paupières crispées, sous l’eau qui se déversait sur mon corps rougit de plaisir et de chaleur. Je me suis mise à pleurer… c’est ce qui m’arrive quand je ressens trop d’émotions. Et malgré que ça fasse un bon bout de temps que cela ne m’était plus arrivé, cette fois-ci, je me suis repris en grand. J’ai remis de la musique, du jazz, me suis couchée sous les draps en fixant le foyer jusqu’à ce que mes paupières ne me coupent du monde réel et que ma nuit tombe.

J’ai dormi comme un bébé. Au matin, mon copain me textait pour m’inviter à déjeuner et me demandait de le rejoindre pour 11h. J’ai donc sauté dans mes bas et ma robe pour regagner mon appartement, question d’avoir un peu de temps pour me remaquiller et me coiffer du mieux que je le pouvais. J’avais des boucles dans les cheveux, trop de volume, ce qui me restait de crayon me donnait l’air d’un raton. La classe! J’ai fait ce que j’ai pu pour camoufler le tout et après avoir réglé la chambre, j’ai appelé un taxi.

Pendant les 25 minutes de trajet, j’ai du répondre au mignon chauffeur qui avait remarqué mon sourire mystérieux pendant que je relisais une dernière fois les textos de mon amant avant de les supprimer. Un dialogue qui avait l’air de :
(Lui) On dirait que tu as pas beaucoup dormi.. t’as peut-être fêté hier toi!?
(Moi) Ouais, j’ai peut-être fêté (clin d’oeil) .. ou peut-être pas!
- Oh, alors il a dû être chanceux cet homme. À moins que tu ne te sois pas contenté de deux seuls corps, haha!
J’ai souri.
-Tu es célibataire?
-Non, pas du tout. Je suis en couple depuis près de 3 ans.
- Et qu’est-ce qu’il fait ton copain ce matin, pourquoi tu prends un taxi seule?
-Mon copain, il a probablement dormi comme un bébé toute la nuit. Présentement, il doit être à la maison à travailler sur ses projets personnels et on va se voir plus tard. Je prends un taxi seule parce que je retourne à mon studio faire un peu de lavage avant d’aller le rejoindre pour le déjeuner.
Et à ce même moment, la chanson Femme libérée débute à la radio.. Je n’ai pu retenir un immense sourire et regardant par la fenêtre. Lui, plus une seule question. Juste un regard qui disait : J’ai tout compris et je garderai le secret.


Arrivée chez-moi, il m’offre de m’aider à monter ma valise. Je déclin l’offre. Il me remet sa carte et me dit de l’appeler si j’ai besoin d’un chauffeur privé, peu importe les circonstances. Il a des yeux magnifiques, mais pas l’attitude que j’espère d’un chauffeur privé, haha..
Je lui offre un généreux pourboire et il repart sans mot dire.
C’est une soirée que je ne vais jamais oublier, doublement significative.


Joyeux anniversaire encore, Laigle.

xxx

11.09.2011

Ma nuit à l'Hôtel..Partie 1

On est samedi matin. Un soleil immense éclaire ma ville encore endormie. Les feuilles virevoltent sur un trottoir déja orangé, la petite brise de novembre qui laisse sa trace frisquette dans une fenêtre entrouverte.. il est 6 heures et je suis debout. Je prends ma douche, me fais un masque au concombre.. je lis des revues à potin­. Une vraie journée pour MOI. vers 8 heures, alors que je tourne en rond dans mon studio, j'enfile un pantalon, mes bottes à talons et un chemisier, des bijoux originaux et éclatants. Un peu de mascara et hop, dehors! Pas d'horaire fixe, pas de rendez-vous en AM, je peux aller marcher sur les allées de Québec, et m'Arrêter où j'en ai envie. La rue Cartier m'appelle. Je me dirige vers le boutique Un Coin Du Monde. J'aime aller jeter un oeil dans ce petit cocon de découvertes! Mes yeux s'arrêtent sur un mur de cartes de souhaits. J'ai choisi la carte d'Anniversaire de mon amant ici. Je les prendrais toutes! Mais je me contiens et mes emplettes terminées, je me dirige vers mon café préféré.. Un cappuccino à la main, je lis le journal en pensant à ma soirée qui s'en vient. Je me sens nerveuse, mais j'ai terriblement envie de laisser aller tous stress pour me concentrer sur le calme, la paix intérieur.. et le goût ABSOLUMENT divin de cet espresso français! Miam! Une heure passe, je sais l'actualité de fond en comble, ou presque! Remettant mes gants, mon manteau, je croise un ami avec sa copine. Il me fait signe de la main et m'invite à son souper de crémaillère le soir-même. Je me dis réellement désolée de devoir décliner, mais je lance une invitation pour le week-end suivant. Le coeur rempli de joie, je passe à la pharmacie, à la SAQ et je regagne mon domicile. Je choisis les vêtements que je désire mettre pour ce soir. Mon choix s'arrête sur une robe que j'ai portée une fois, avec un bas-filet et bien évidemment mes bottes à talons! Quand l'heure arrive, mon sac est prêt avec mes 2 bouteilles de vin et je me rends à l'hôtel. Mon amant me dit qu'il est en route, qu'il a hâte de me voir.. C'est tellement partagé, s'il savait. Je sens de petits piccottements dans mon bas ventre.. je suis engourdie par la passion et le désir de le voir me pilonner.. penses à autre chose, Mamz'elle J. Tu rougis!

Arrivée à la chambre, je me dévêtis.. du moins, mon manteau et mes gants! J'installe mon PC et pars ma compilation fétiche, celle dont j'ai fait un exemplaire-résumé à mon joli Laigle. Des airs de SIA, Bran Van 3000, Black Keys, Cantoma, Brazilian Girls, etc. Mes talons claquent sur le plancher de bois. Le foyer suffit à me faire sourire. J'ouvre grands les rideaux, la lumière du jour éclaire mon petit nid érotique. Je prend quelques iunstants pour m'allonger sur le lit, et je texte mon amant pour savoir où il en est. Il me dit qu'il est en bas. Le coeur veut me sortir de la poitrine, j'hésite entre rester ici ou descendre. Après quelques minutes, j'entends ses pas sur le seuil, comme j'avais mis le loquet, je vais ouvrir. Il me blesse, hihi! Non, à peine..

Disons que j'ai commencé la rencontre en riant un peu. Puis, sérieuse comme pas une, je le fixais. J'avais envie de faire durer cet instant. Vous savez, l'instant où l'on hésite. On hésite entre l'embrasser fougueusement sur la bouche, ou à peine toucher ses lèvres entre des baisers sur ses joues. On hésite entre prendre ses mains dans les nôtres ou trouver refuge dans son pantalon. On hésite entre le déshabiller de hâte pour le coucher sur les draps ou le laisser enlever son manteau seul en le regardant, en comtemplant sa beauté.. j'ai choisi l'option 2.

Nos bouches jointes, nos mains également, nous nous disions combien nous nous étions manqué.. Les nouvelles prises de la vie ont vite fait place à une tempête de désirs et petit à petit, la soirée avançait comme ça. La bouteille de Prosseco ouverte, le tête me tournait. J'ai réalisé que j'étais encore à jeun!.. mais quelle nouille veut boire de l'alcool à jeun.. à part moi! Haha.. Je devenais horny, et je devinais que sa main sur ma cuisse, caressant mes bas avait une envie aussi de torrides instants.

De fil en aiguilles, ma robe s'est envollée et sa chemise du même coup. Ses boutons de manchette ont trouvé leur nid pendant que ses doigts cherchaient le mien. Il me léchait comme promis, durant de longues minutes, d'une langue experte et chercheuse. Je sentais sa main prendre mes fesses, mes cuisses fermement.. glisser sortir de ma chatte brûlante.. j'avais des étoiles dans les yeux, la tête dans les nuages et je me sentais comme au 7ieme ciel. Bref, je ne m'appartenais plus. Et je n'aurais voulu revenir à moi..

Après quelques minutes à me pilonner comme un déchaîné, il enfonça 4 doigts en moi, et de son autre main, aggrippa ma gorge, me coupa le souffle. À cet instant, un violent orgasme me propulsa dans un univers parallèle et j'ai joui comme jamais.. Ma mouille partout sur le lit, sur son bras, sa chemise.. l'édredon en était recouvert et j'étais sous le choc, sous l'emprise de mes émotions mélangées.. Je ne savais plus rien. Ni mon nom, ni l'endroit où j'étais. J'esayais de parler, mais je n'avais plus de voix. Jamais auparavant, je n'avais connu d'aussi intenses sensations, jamais je n'avais eu droit à un regard aussi perçant, à des mains aussi bienfaitrices. Jamais je n'avais osé m'imaginer que ces gestes et paroles m'étaient destinées. Je n'ai bientôt plus été capable de supporter ces pulsions, ces désirs qui montaient en moi comme une montée de lave dans un volcan, je n'ai pu retenir ces mots qui criaient dans ma tête, mais qui restaient au creux de mes poumons, à me déchirer l'abdomen. J'ai joui dans un écho sourd, mes cris de plaisirs résonnaient dans la chambre, sur le mur de verre de la douche, sur la vitre du foyer qui nous faisait office de décor romantique et je ne contrôlais plus les soubresauts de mon corps frémissant et assallit de spasmes immensément libérateurs. Je n'avais plus aucune tension, plus aucune douleur.. d'ailleurs, plus aucune sensation en mon être. J'étais devenue un être extrérieur à moi, une sorte d'entité qui ne faisait que jouir et rejouir encore, ne se donnant même pas la peine de se remettre des chocs et des montagnes russes de plaisir. J'avais l'impression de me voir, couchée sur le lit, les genoux relevés, et la tête de Laigle entre les jambes. Je ne sentais pas ses 4 doigts en moi, non, je les regardais me pilonner dans un mouvement rageur et déterminé à me faire mouiller tous les draps. Je regardais mon amant forcer, respirer très fort et en avoir le visage rouge et couvert de sueur, se donnant de plus en plus férocement, afin de me voir déverser ce liquide tant attendu et si excitant.

Après m'être remise de mes émotions, il est venu m'embrasser, sourire aux lèvres comme s'il avait vu naître un enfant. Les yeux pétillants, il n'en croyait rien. Et moi, comme à chaque fois qu'il m'a été donné de vivre de pareils moments, je suis sur un nuage. Perdus entre deux oreillers, j'ai les cheveux en bataille, mon mascara coule sur ma joue, je sens mon coeur battre comme un tambour et mon corps repus, désireux de calme et de repos, je le regarde avec mes yeux de reconnaissance, de désir mais aussi remplis d'amour. Je me sens bien, je me sens gênée, je me sens humide.. je me relève et me demande ce qui s'est passé...

11.06.2011

Déverse-toi dans ma gorge et je te dirai «Bon Anniversaire»

Bien assise au joli bureau de travail au bord de la fenêtre de ma chambre, je regarde la splendide vue de Québec que j'ai de mon Hôtel. Une coupe de vin rouge, la seule qui reste, je profite du foyer allumé juste à côté qui met une ambiance chaleureuse dans cette chambre où la climatisation semble un peu mélangée..!
Mon amant vient de me quitter pour regagner le domicile familial à deux heures d'ici où sa marmaille l'attend, et de mon côté, après une douche chaude je me glisserai sous les draps blancs pour me remémorer les doux souvenirs qui me remontent en tête. Ce fut un anniversaire un peu moins pimpant que prévu puisque nous avons préféré le «roomservice» à la sortie au resto prévue. Un prosseco et une bouteille de rouge au goût fruité ont complété la soirée entre «amoureux» que l'on s'était planifié.

Dès son arrivée, beau comme un Dieu et portant son parfum qui me fait voir des étoiles, il m'a marqué! D'abord parce qu'il m'a écrasé le doigt dans le loquet de la porte de chambre, mais aussi parce qu'après si longtemps sans avoir quelques heures avec lui, j'avais envie d'explorer son corps comme un pays sans limite. J'avais le goût de profiter de sa bouche, de l'embrasser à outrance, de le caresser jusqu'à la fatigue et de tout connaître ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie depuis la dernière excursion dans la Vie en Rose.

Le temps passe toujours trop vite. Nous avions tout de même 5 heures ensemble, c'est louable! Mais parfois, je me dis que même si j'avais 4 jours avec lui, je trouverais quand même triste son départ..

Laigle s'est pointé tout sourire dans la chambre d'Hôtel, son sac à la main et les cheveux en bataille. Sans oublier ses nouveaux souliers! Croquable. Sexy. Il portait même la cravate et les accessoires que je lui avait offert à Noël passé! Bref, pas mal de mon goût. Tout de suite, nos mains se sont trouvées, nos bouches se sont embrassées et la soirée était amorçée..

Je portais ma petite robe violet avec mes «fuck-me boots» à talons de 5 pouces et un bas filet noir.En dessous, un joli corset de dentelle noire ainsi que la petite culotte assortie. Cheveux (maintenant noirs!) remontés en chignon urbain, maquillée simplement mais mes yeux bien définis, j'ai tenté de lui faire comprendre à quel point j'avais hâte qu'il arrive. Les compliments dits, nous nous sommes attardés à notre projet principal avec assez d'entrain; célébrer! Descendus à la réception chercher deux verres à vin, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je devais me retenir. Étant dans ma ville, qui sait qui je pourrais croiser!.. c'est surtout une question de discrétion dans le crime.. haha!

Nous avons regagné la chambre, le prosseco coulait à flot, si bien que je me suis retrouvée avec les effets au corps plus vite que je ne le croyais. C'est probablement que j'étais presqu'à jeûn.. il n'a donc eu aucun problème à me faire me coucher sur le lit, écarter les cuisses et le laisser me pénétrer la chatte de ses doigts entreprenants. Lui qui rêvait de me voir éjaculer, il a fait le saut lorsque dans un élan d'excitation, sa main sur ma gorge et l'autre dans mon antre, je me suis mise à gicler à en mouiller sa chemise. Les lèvres de Laigle se sont étirées en un sourire magnifique; visiblement il était excité!

Le temps de reprendre nos esprits et nous avons recommencé à nous dire des conneries.. avec un peu d'alcool dans le sang et avec plein de questions en tête, tout le monde sait que j'ai la «jasette» facile! Parle parle, jase jase.. on baise maintenant? Jusqu'au fond de mon ventre, il me pilonnait la chatte dans une fougue intense..

Après le souper, un peu de visionnement de spectacle d'humour, l'écoute de quelques chansons dont Breathe Me de la splendide Sia, une discussion sur un avenir à moyen terme et une planification de notre prochain rendez-vous, Laigle allait remettre ses vêtement pour repartir vers sa banlieue de Montréal quand je lui ai demandé de bien vouloir déverser sa semence dans ma bouche avant de me quitter.. j'ai eu droit à une explosion de sperme sur le visage et les bras, après m'être fait baiser laq gorge à grand coups de bassin. J'étais aux anges, littéralement.

Il a pris une douche rapide, je le regardais couchée sur le lit avec ma coupe à la main, au travers de la baie vitrée qui nous séparait. Ses belles cuisses bien musclées, ses fesses rebondies, sa bouille de comique, il me faisait rire, mais surtout, me donnait envie de lui en voler une bouchée de son popotin parfait! Il m'a vaporisé un peu de son parfum dans le cou, et a mis les voiles avec son sac.

À son départ, je n'ai plus ni robe, ni corset, ni bottes.. même mes cheveux sont en bataille et j'ai l'air d'un épouvantail, mais je suis très heureuse de sa visite malgré tout.

Et j'ai décidé de dormir ici.. après tout, je l'ai pour la nuit cette chambre! ;)

11.01.2011

À quoi je pense..

..à ma belle chambre d'hotel, à Québec, réservée pour samedi soir, et au charmant prince qui m'y accompagnera, pour son plus grand plaisir..

Un anniversaire, ça se fête en grand, je l'ai toujours dit!

10.23.2011

Les jours de pluie..

Vous avez bien remarqué que ces temps-ci, Mère Nature ne semble pas satisfaire par son teint gris. De mon côté du moins, tous les plans de petites excursions en pleine-air que je m'étais faits sont tombés à l'eau depuis 3 semaines, faute de belle température. On fait quoi pour pallier à la situation? Ordinairement, une fille aime bien faire le tour des centres d'achats, ou rester à la maison à popotter, ou en profiter pour réduire la liste de tâches à faire du côté ménager. Bon, après avoir fait tout ça... il ne reste plus grand chose à faire, qui ne coûte pas un bras et qui satisfait mon envie de bouger. Eh bien, c'est là qu'arrive le temps de baiser. Oui oui, baiser par des jours de pluie, c'est terriblement romantique, absolument orgasmique et ça ne coûte pas un sous. Quand mon chum est assis dans le bureau, à faire la compabilité de sa compagnie, ou à élaborer sa liste de contact, revoir son agenda ou écrire à des clients, j'aime arriver derrière lui, avec deux verres de vin à la main, écarter ses jambes pour glisser mon genou entre ses cuisses et lui embrasser le cou pour lui dire; «Je crois bien que tu as travaillé assez fort pour aujourd'hui.. allez, tu mérites que je te gâtes un peu..» Alors, je me mets à genoux devant lui, défait son pantalon et commence d'une main de maître à lui caresser la verge. Parfois, le moment est mal choisi, alors je repars avec ma coupe et je vais à la chambre, toute seule. Je choisi alors mon vibrateur préféré parmi ma collection et je me couche doucement sur le lit, jouant tout plein d'image de mes expériences passées, de moments torrides que j'ai eu la chance de vivre avec mes amants ou en solitaire, et je me laisse aller à mes envies, allant et venant dans ma petite chatte totalement humidifiée par les circonstances. Et puis, quand l'envie de regarder un petit vidéo au même moment me prend, je puise dans la collection de mon copain, et j'en choisi un très excitant où 3 demoiselles se bécottent le clito en gémissant trop fort. À tous coups, je suis emportée par la vague de l'ivresse, un orgasme dévastateur qui me fait rougir de la tête aux pieds.. et l'autre jour, ne m'étant pas rendu compte de la présence de mon amoureux sur le pas de la porte, je lui ai pffert sans le savoir un petit spectacle, avec un vibrateur dans la chatte et un autre dans le cul. Miam. J'ai eu droit à une baiser du tonnerre par la suite, sûrement pour me faire comprendre que la chaleur humaine de deux corps qui se frottent l'un sur l'autre est d'autant plus jouissive qu'un engin de latex bien enfoncé dans le con. Et après les baises, je prend une douche et je n'ai plus envie de me rhabiller.

Disons que depuis quelques semaines, je ne prends plus trop la peine de me vêtir à la maison. J'ai toujours eu un petit côté exhibitionniste; mon lit est sur le bord de la fenêtre à mon appartement. Quand je reçois mon amant, tous mes voisins peuvent nous voir.. et ça ne me fait pas un pli. J'aime me promener nue à la maison. Une impression de liberté, d'épanouissement, de douceur qui fait en sorte que je ne me sens ni pressée, ni étouffée. Quand je sais que je n'ai pas de plan défini, j'aime bien me prélasser un peu dans mon lit au réveil, prendre une bonne douche chaude, m'assécher un rester nue, pour le plaisir, pour ne pas me casser la tête, pour relaxer. J'aime m'étendre sur le sofa, sur ma couverture de cachemire et lire un bon livre avec un café noir, en sentant ma peau nue sur le tissus. Écouter SIA doucement pendant que je fais mon maquillage. Évidemment, je n'en suis pas à laver les fenêtres les seins à l'air! D'ailleurs, ce serait trop..

.. mais avouez que c'est un sentiment intérieur tout autre, que de se savoir dans un costume d'Ève à la maison!

Une aventure sensorielle intéressante, qui nous fait percevoir notre environnement différemment.

10.15.2011

La lourde tâche d'être mon amant.


Être mon amant, c’est accepter que parfois je me sens nulle, et qu’en d’autres occasions, j’aie envie de prendre les devants pour m’amuser. Ça signifie que j’ai besoin de ton point de vue d’homme sur des questionnements que j’ai. Être mon amant, c’est faire partie de ma vie, pas seulement de mes rêves torrides et c’est aussi se présenter à moi comme un homme avant une verge. Être mon amant, c’est accepter que j’aie parfois envie de me coller, de boire un café doucement en jasant de projets et d’idées folle.. et accepter également que je ne suis pas à perpétuité la bête de sexe que je suis la plupart du temps. Être mon amant, c’est entrer dans mon univers, me baiser avec frénésie, respecter que j’aie envie de me faire prendre à la gorge au moment de l’orgasme, de me faire sucer le clito jusqu’à jouir sur tes lèvres. C’est prendre part à mon jeu quand je me promène dans la rue avec toi, sans aucune culotte et les seins en évidence. C’est apprécier me laisser te déguster le bout du gland jusqu’à ce que tu n’en puisses plus d’attendre la suite. Être mon amant, c’est me regarder dans les yeux au moment de défaillir, d’aimer m’éjaculer dans la bouche, sur les seins, sur le ventre.. pétrir mes cuisses en public, me glisser des mots terriblement allumants dans des endroits où je ne m’attendrais à rien de moins. C’est me répéter 1oo fois par jours à quel point mes fesses te font bander, que ma peau est la plus douce que tu aies touchée, que mes yeux sont les plus magnifiques que tu aies vus. Être mon amant.. c’est deviner que j’aime mon café noir, que l’odeur du thym me rebute, que je craque pour des couilles rasées, que j’aime me faire baiser la gorge, me faire pénétrer la bouche à en pleurer et que j’adore lécher tes doigts après que tu les aies insérer dans les tréfonds de ma chatte.

Et ce que j’admire chez-toi, c’est que tu as compris le rôle qui t’étais réservé dans mon quotidien. Tu as su réaliser la place que je t’accorder dans mon cœur, tout ce que j’étais prête à t’offrir, l’amour que je te portais. Tu as su m’aider à me relever dans mes moments de tristesse, et partager mes joies. Tu as su avec moi, décupler les moments de bonheur afin de les rendre mémorables et plus encore, tu as su m’apprendre à trouver le plaisir dans chaque choses. Tu m’as enseigné à être une meilleure personne, à faire face à mes échecs ou à mes travers, en ne me jugeant pas, en t’extasiant devant mes qualités plutôt qu’en me ramenant aux yeux mes défauts.

Merci d’être mien. Être mon amant.. c’est un jeu que tu joues à la perfection.

XxX

Mamz’elle J

10.11.2011

Revirement de situation

Je sais, vous allez me dire qu'après un mois sans billet, je suis revenue vous faire la promesse de publier plus souvent mais je ne suis pas très assidue.. J'ai reçu des dizaines de courriels de votre part me mentionnant que mon retour était apprécié et que votre charmante salope avait réussi à faire revivre votre pantalon. Grand bien vous fasse mes chéris! Je suis à la composition d'autres billets mais ne peut les mettre en ligne tout de suite, donc attendez-vous à d'autres histoires totalement bandantes pour les semaines à venir!


-***-

Comme je m'étais lancé un défi l'an dernier, un mois avant Noël qui consistait à me faire jouir deux fois par jour pendant un mois, j'ai eu envie de réitérer la tradition, mais différemment.

J'ai donc initié mon copain à mon projet. À prime abords, pas tellement convaincu que cela pourrait lui plaire (Je le connais tellement..) il m'a dit vouloir tenter sa chance, mais ne croirait pas tenir le coupr pendant un mois. Alors, les modifications se sont avérées urgentes.

Le nouveau projet pour cette année; Jouir à 10 endroits inusités avant Noël, préférablement dans des villes différentes. Et comme j'avais déja une idée en tête de ce que je voulais, j'ai planifié un petit weekend, question de garnir mon port-folio photo dans Charlevoix avec mon amoureux cette fin de semaine. Vous avez des endroits à me suggérer dans cette belle région?
Écrivez-moi!


Ma journée de travail commence très bientôt, je dois aller «spotter» quelques clients sexy. C'est fou comme l'automne me réveille la libido! Pas question de tomber en hibernation pour moi cet hiver.. je me réchaufferai bien coquinement!


Bonne journée mes pervers préférés!


XxX

Mamz'elle J

9.29.2011

Le chevalier noir à la rescousse de sa belle ou Comment baiser incognito chez La Vie en Rose

Le soleil était si beau cette journée-là. Un chaud samedi de septembre comme on les aime. Quand les feuilles vertes de l'été n'ont pas fuis la rudesse de l'automne..

Cela faisait une semaine que je répétais à mon amant que j'avais très envie de le revoir. TRÈS ENVIE. J'ai donc planifié une petite escapade dans sa région..
Je me suis retrouvée à magasiner au Carrefour de la Rive-Sud avec un besoin de bijoux, de lingerie et de baiser. La rencontre avait été orchestrée durant la semaine, mais je n'ai eu la confirmation de sa venue le matin même. Un homme marié avec une aussi belle et grosse famille, difficile de s'éclipser en douce..

Vers 11h, je reçois un message texte me disant: Viens me rejoindre au Winners.
Je ne me serais pas fait attendre si je ne m'étais pas perdu au milieu de l'immense magasin qu'est le IKEA. Beau, mais grand. Et trouver une sortie sans faire le tour du magasin; impossible! Finalement, sous ma panique, mon beau chevalier noir est venu me secourir...

Peu de temps après, nous voilà à la Vie en Rose à essayer de trouver une façon subtil de se sauver dans une cabine d'essayage. Mais bien évidemment, passionnée de lingerie que je suis, j'ai pris la peine de remplir les mains de mon charmant adonis de soutien-gorge.. la vendeuse n'y a vu que du feu.

Aussitôt le pied mis dans la cabine, les cintres sur les crochets, même pas la peine d'essayer quoi que ce soit; nous n'étions pas là pour ça. Nos lèvres ce sont retrouvées, nos mains se cherchaient et rapidement, mes genoux ont touché le sol.. évidemment, par souci de temps, mon amant n'avait pas enfilé de boxer, plus pratique lors de petits jeux furtifs tels que les nôtres. Laigle m'a enfoncé sa queue dans la bouche et je me suis regalée de son offrande. Quel délice que de passer ma langue sur chaque centimètres de son pieu, tout en caressant ses fesses et le regardant dans les yeux..et la meilleure partie, c'est bien quand il m'enfonce sa queue au fond de la gorge; c'est plaisant à souhait, autant pour moi que pour lui.


Il adore baiser ma gorge, entendre le son de ma salive qui lubrifie sa queue et mes larmes au bord des yeux.. À chaque fois, je sens que ma chatte se gonfle, se mouille et s'ouvre en un rien de temps.. Comme le rideau qui nous faisait office de porte à ma boutique de lingerie chouchou ne semblait pas aider à s'offrir et s'ouvrir à fond, nous avons donc décidé de sortir et d'aller se réfugier dans le MEXX juste un peu plus loin. Je ne pouvais pas quitter la boutique sans acheter un petit quelque chose, et comme tout était en solde..! ;)
J'ai donc acheté un joli corset dentelé, orné de porte-jarretelles et.. Laigle a aperçu deux petites choses qui pourraient m'intéresser; une paire de gants de satin et un éventail de plumes.. Voilà ce qui a constitué un petit cadeau à moi de moi!


Direction MEXX, monsieur se prend 3 ou 4 paires de pantalons au plus vite et m'entraîne dans les cabines d'essayage mixtes, avec de belles portes qui se ferment cette fois-ci. en bonne salope que je suis, j'avais traîné deux jouets à piles dans mon sac à main.. aussitôt enfermés dans la minuscule pièce, témoin de notre désir mutuel, j'ai donc sorti mon petit vibrateur serti de strass et ai caressé ma chatte sou ma jupe un moment.. pendant ce temps, Laigle passait ses douces mains sur mon corps, me laissant humer son odeur tellement excitante de M7. Je croyais rêver.


Vous épargnant quelques détails, je vous laisse deviner ce qui s'ensuivit. Monsieur s'est fait lécher la queue et moi, défoncé la chatte. Tout bonnement, joues rougies, nous nous sommes dirigées vers l'extérieur de la boutique, avons été passer quelques minutes dans son auto à se caresser et se répéter les mêmes mots depuis bientôt un an..

Quand fut le temps de partir, un baiser d'aurevoir et je me suis réfugiée dans une boutique de bijoux.. ça finit bien une journée et ça fait oublier la peine!

Définitivement, j'ai bien caché l'essentiel de ma journée à mon retour à la maison. Et bien entendu, mon sourire spontané et mon foulard imprégné de son odeur ne voulaient ABSOLUMENT rien dire! ;)


La suite dans un autre billet mes coquins!


Mamz'Elle J
xxx

9.25.2011

. : : . . .BULLE DE NOSTALGIE . . . : : .

Visiblement, le Général Tao du Asia n'a pas été un succès. Peut-être le gâteau au chocolat a pu racheter la mise!..

Mais je garde le goût de tes lèvres encré en moi, les réclamant encore et encore... sur les miennes, sur ma chatte, sur mes seins. Doucement ou pas, fais-moi frémir encore comme tu sais le faire..

Tour guidé de la Ville, Tire-bouchon et autres plaisirs coupable..

Encore une fois, une rencontre préparée minutieusement quelques semaine avant le jour J entre moi et mon bel amant…Ses excuses pour découcher de la maison familiale sont un peu épuisées, donc, il fallait trouver absolument une bonne raison de partir pour une journée entière et une nuit, sans éveiller de soupçons… Heureusement, Laigle a un bon ami qui, travaillant pour Xerox lui avait réservé une chambre au réputé Concorde.. Du moins, c’est ce que pense madame!

Après avoir bordé la marmaille, monsieur mon amant s’est engagé sur la route afin de venir me retrouver au beau milieu de la nuit. Une très délicate attention que de venir dormir collé contre moi, passer enfin une nuit ensemble... Depuis la St-Valentin au MUST, ça n’était pas arrivé. Qui plus est, monsieur n’était pas seul à l’Hôtel cette fois-là... disons que la situation était cocasse!

Donc, me gardant à l’affût du trajet de deux heures séparant nos demeures, je demeurais rivée à mon téléphone, ayant les papillons au ventre depuis trois jours. À son arrivée, j’avais préparé, fidèle à mon habitude, une bouteille de blanc au froid, et j’avais aussi achetée une bouteille de rouge au cas où. Deux verres étaient disposés sur la table de la salle à manger, mon parfum embaumait la pièce. Vers minuit dix, j’entends enfin sonner, je descends l’escalier du bloc appartement à la hâte, tellement excitée de le savoir tout près de moi. On remonte doucement, monsieur regarde mes jambes pendant que je monte juste devant lui avec mes «shorts» de pyjama… Oui, je sais que vous allez me dire que ce n’est pas une tenue très soignée que d’accueillir un homme aussi important en pyjama, camisole, pantoufles et foulard au cou. Par contre, comme il faisait nuit et que j’avais passé tout de même quelques heures à roupiller avant l’arrivée de mon amant, j’avais préféré ne pas me changer de vêtements. De toutes façons, il s’en est foutu.. alors bon!

On n’était pas arrivés au troisième étage que déjà mon envie de lui sauter au cou se faisait sentir. J’avais tellement envie de l’embrasser, goûter ses lèvres et surtout, sentir son odeur… Elle me fait tant d’effet depuis la première rencontre! Je crois que je vais m’acheter la bouteille petit format de M7 seulement pour la vaporiser dans mes draps afin de le sentir toujours près de moi... Son sac déposé à l’entrée n’avait plus aucune importance, ses souliers avaient trouvé refuge dans un coin de la chambre et sa chemise à carreaux n’est pas restée très longtemps sur son magnifique corps. Laigle a ce talent de me faire oublier tout le reste quand il est avec moi. Exit la job, les cours, les projets. Exit la famille et les difficultés de la vie. Il n’y a que lui et moi. C’est tout. Je profite de chacun de ces moments avec tellement d’insistance.

Cela faisait déjà un petit bout de temps que nous n’avions eu l’occasion de se voir. Laigle était venu visiter mon appartement, m’apportant un cadeau de crémaillère très joli! Le genre d’ornement hyper zen, épuré mais qui fait un terrible coup d’œil.

Quelques chandelles étaient disposées sur ma table de nuit. À elles seules, elles pouvaient éclairer toute la pièce.. Je ne voyais qu’une partie de son visage, éclairée par la lueur des bougies, il était tellement sexy. Mes mains se sont perdues sous sa chemise à carreaux et j’ai éclaté dans un fou rire. C’est un réflexe que j’ai quand je suis nerveuse. Laigle appelle cela des «giggles»..  Pour déboucher la bouteille de vin, quelle ne fut pas l’aventure du siècle.

J’avais décidé de le faire, mais au moment où je m’apprêtais à sortir le bouchon de la bouteille avec ce que j’appelle le tire-bouchon «bonhomme», la partie centrale s’est arrachée de l’instrument. Donc, par tous les moyens du monde, cherchons comment la retirer de là..Pousser? Trop compliqué et on ne veut pas de petits copeaux de liège dans le vin.. Tirer? Oui, mais comment? Pince à sourcil, couteau à pain, couteau de boucherie, tout y est passé.. finalement, une fourchette a pu faire la job!. Vingt minutes ouvrir une bouteille de vin. Aoutche!

Après avoir pris des nouvelles de chacun des enfants, de la femme de monsieur et de son doigt récemment blessé, j’ai entrepris de l’amener au lit, question de le détendre.. Étendu sur l’édredon, il avait l’air d’un Dieu Grec. Lentement, mes mains se sont mises à le caresser, ma bouche a trouvé la piste de sa peau nue, sur laquelle glissaient mes ongles doucement, laissant de petites traces à peine apparentes… Je me sentais féline. Monsieur Laigle tentait de m’étreindre, mais je me reculais.. je clouais ses mains au dessus de sa tête, je contrôlais ses envies… puis après l’avoir fait languir pendant plus d’une heure, j’ai pris sa belle queue saillante dans ma bouche, sur ma langue qui chavirait autour de son gland bien gonflé… je léchais ses couilles et y allait même de quelques excès d’audace, mon index allant se perdre sous ses fesses, à effectuer quelques caresses qui m’avaient l’air fort intéressantes. Une heure à jouer ainsi avec sa verge gonflée à bloc, quand monsieur a décider de déverser sa semence dans ma gorge, je me suis empressée de tout prendre sans broncher. J’aime tellement ce moment, l’apogée du plaisir, le paroxysme de l’excitation, quand un homme jouit, son membre en saccade qui tremble sur ma langue et son souffle se transformant en cri de satisfaction, souvent accompagné de mot très élogieux, je vous jure.. ;)
Quand nous nous sommes rendus compte de l’heure qu’il était, nous ne nous sommes pas fait prier pour prendre la direction des rêves.. Le lendemain matin nous attendait une compétition de vélo, sur la Grande-Allée à deux pas de mon loft, pour le plus grand plaisir des yeux de mon amant.. mais aussi pour cueillir des preuves de sa présence sur place. Quelques photos cellulaire, regards autour et nous avons décidé de nous trouver un resto pour casser la croûte ensemble. Nous nous sommes donc rendus au réputé restaurant Savini avec le sourire aux lèvres. Accueillis par James Monti, le propriétaire en personne, nous avons pu prendre place sans réservation dans le restaurant qui allait se bonder plus tard. Au deuxième plancher, la vue sur le bar était superbe, fenêtres ouvertes, ambiance festive et les serveurs aux petits soins, je me sentais tellement bien… Après avoir commandé notre breuvage, chacun un verre de blanc, les entrées de fromage bocconccini sur lit de tomates fraiches et de basilic étaient rafraichissantes et bien appréciées! Nous nous dévorions des yeux.. mon attention ne se portait plus que sur ses lèvres, nos mains cherchaient celles de l’autre, de sourire en regards, nous nous sommes engagés sur une conversation tournant autour des blogues que nous visitions, de nos projets à moyen et longs termes, du voyage relativement récent de monsieur et de mes envies de retourner sur les bancs d’école, entre autre.

Ses conseils sont toujours simples mais concrets. Il me guide sur la bonne route, me fait réfléchir, me nourrit. J’aime l’écouter pendant de nombreuses minutes, toujours attentive, à prendre des notes mentales et à le questionner. J’aime l’entendre me raconter ses expériences, ses projets, sa vie familiale, ses fantasmes et ses envies. J’aime être avec lui. J’aime tout de lui..

Le repas terminé, nous sommes retournés sur Grande-Allée.. j’avais envie de marcher un peu aux environs, prendre sa main en public dans cette ville si petite et où les chances de tomber sur une connaissance sont tellement élevées. Je me foutais de tout cela cette journée-là. À marcher sur la rue Cartier, je lui ai montré ma confiserie préférée, ma pâtisserie favorite, ma boutique de déco intérieure, mon resto de sushis chouchou, et la biscuiterie où je lui prends quelques surprises à l’occasion. Revenus à la maison, je savais que la fin approchait… et honnêtement, je déteste cet instant où ses yeux se figent, ils pendent leur chaleur et redeviennent ceux de l’homme marié qui doit retourner à sa marmaille. Alors, j’ai pris sa bouteille de parfum, en ai vaporisé sur mes draps, pour garder son odeur… L’heure filait et je devais moi aussi partir bientôt pour retrouver mon copain. Donc, les adieux se sont faits comme à l’habitude; sur le pas de la porte, moi les yeux pleins d’eau, lui à compatir.. dernier baiser, eh hop! Laigle s’est envolé.

Le temps de m’habiller un peu et de boire un grand verre d’eau, on sonne à la porte. J’ouvre. Il était là, revenu pour m’embrasser fougueusement, m’agripper une fesse et me tirer un grand sourire… et il est reparti pour une dernière fois, une programme de la course de vélo à la main..
Je n’ai jamais autant apprécié le temps passé avec lui que durant cette journée et demie.

9.21.2011

Mes prochains billets en quelques mots!

À venir dans le prochain billet:

Mon magasinage chez Mexx, Comment baiser dans des salles d'essayage de la Vie en Rose,
La venue de mon amant à Québec et À la recherche de la chatte expérimentatrice.

C'est à ne pas manquer, restez à l'affût!