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2.27.2014

Du Chocolat.. Des Bulles.. Du Plaisir. Dernière partie.

Le restaurant est bondé, l’ambiance est bonne. Notre table est éloignée du reste des invités par un muret de pierre et quelques plantes. Un écran parfait pour se sentir un peu plus intime.
Nous commandons chacune un drink, en parlant tranquillement de nos derniers jours de travail. Premier constat, cette soirée nous tenait toutes deux en état d’attente et de motivation!

Je la regarde dans la lumière plutôt tamisée du resto. Elle rayonne. Son décolleté plongeant fait exploser les pensées impures de ma tête et je me mets à la caresser du regard. Si ce n’était que de moi, j’abandonnerais mon verre sur la table et je l’amènerais dans un coin obscure pour enfouir ma langue dans sa chatte et la faire juter de plaisir.

De son côté, elle sait l’effet qu’elle me fait, battant des cils de plus en plus sensuellement.
Le serveur revient et nous commandons nos plats ainsi qu’une bonne bouteille de blanc, bien frais.  

Tout au long du repas, nous parlons de sexe. Nous nous racontons des anecdotes cocasses, salaces, torrides, décevantes; bref, pour tous les goûts.

De temps en temps, je regarde le serveur passer à côté de notre table et un petit sourire s’étire au coin de ses lèvres. Je crois qu’il fait exprès pour venir rôder autour de notre petite bulle pour espionner nos conversations. En même temps, l’alcool faisant effet, nous surveillons de moins en moins notre ton de voix.

Lorsqu’il vient nous porter nos repas, il semble hypnotisé par la poitrine de ma copine, qui ne cache désormais plus du tout son côté cochon. Il la couvre de compliments, lui offre de la raccompagner à la chambre. Moi je ris aux larmes. Le jeunot y met tellement d’énergie, le pauvre… Mais bien que jeune, il n’est pas totalement naïf. Et elle, n’est pas totalement de glace.
Ça me fait m’imaginer différents scénarios.

Le repas se termine une heure plus tard. Je reçois le détail de la note, règle le tout et laisse un message de remerciement à l’endos de la facture…

Nous remontons à la chambre. Elle me laisse entrevoir la dentelle de son bas lorsqu’elle escalade le long escalier de l’hôtel. Ses reins appellent au sexe. Tout d’elle est imprégné d’un charisme désarmant.  Je vois d’ici qu’elle n’a plus sa culotte…

À la chambre, j’ouvre le champagne. Nous nous asseyons sur le lit, en rigolant. Nous portons un toast à notre belle réunion.

Sa main s’avance vers ma cuisse, caresse le nylon qui recouvre ma jambe, s’étire jusqu’à atteindre mon genou… Elle me fixe. Je fige. Son regard me paralyse.

Elle prend mon verre, le dépose sur la table de chevet, me couche sur le lit et m’embrasse. Ses lèvres sucrées se font pourtant tantôt douces, tantôt agressives. Elle me glisse à l’oreille : « Tu m’as si bien fait jouir tantôt, il faudrait bien que je te rende la pareille.»

Je souris.

Après peu de temps, ses doigts trouvent le chemin vers ma chatte ruisselante. Elle écarte un peu ma culotte et s’amuse à me branler avec vigueur mais sans jamais me laisser flancher. Nos robes prennent le chemin du plancher, je lui enlève ses escarpins, elle me déleste de tout sauf de mes bottes hautes, et mon corsage. Je me sens à peine gênée. J’ai les facultés affaiblies et je ne m’inquiète plus de mes complexes. Je vis le moment.

Nous faisons l’amour comme si nos corps se connaissaient depuis toujours, gardant notre lingerie pour le jeu.

Au bout de quelques minutes, nous entendons frapper à la porte.
Elle se demande vraiment qui cela peut bien être. De mon côté, je me doute bien. Mais tout de même surprise, je la suis parce que je veux avoir une vue imprenable sur la surprise qu’elle aura.

Elle ouvre et pousse un éclat de rire. Agrippant l’homme qui se trouve sur le seuil par le col de sa chemise et le pousse sur le mur du hall de la suite une fois entré. Je la regarde l’embrasser goulûment. Le pantalon de notre jeune homme est de plus en plus étroit au niveau de l’entrejambe. C’est mémorable de les voir.

Je les regarde. Je n’ose pas m’approcher. Elle se met à genoux devant lui, défait sa braguette et sot de son pantalon une queue de bon calibre. Même moi, j’en salive!
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour glisser son sexe entre ses lèvres, je l’entends déglutir. A-t-il déjà eu affaire à une femme de ce calibre auparavant?

De mon côté, je m’adosse au mur. Je joue la voyeuse. C’est plutôt excitant de la regarder fermer et ouvrir les yeux, faire coulisser sa bouche sur l’épais sexe de cet invité impromptu. Elle glisse de temps à autre une main entre ses cuisses, cherchant à se procurer encore plus de plaisir. Lorsqu’elle remonte sa main à la tâche, je la vois étendre sur l’engin sa propre mouille, pour se goûter. Le mouvement de sa main est constant, ses joues se creusent sous l’aspiration. Je la vois prendre autant de plaisir que lui durant cette pipe très cochonne. Je caresse mes seins, en pince les bouts… Je sens que ma chatte se réchauffe sous la vue des deux coquins et pourtant, je n’ai pas envie de briser cette complicité en allant les rejoindre. Bien que j’aie très envie que l’on salue le courage de cet étalon de 20 ans de belle façon.

Je continue de caresser mon sexe en travers de ma culotte de dentelle. Je la sens bien humide.. Mes doigts se trempent rapidement, le tissus ne suffisant plus à retenir mon plaisir.

Elle le masturbe énergiquement et le fait jouir sur ses seins. Portant un de ses doigts à sa bouche, elle lèche les quelques gouttes de semences qui sont atterries sur ses phalanges et se relève en lui embrassant la joue.

Le jeunot reste un peu bouche-bée alors qu’il remonte ses pantalons. Il a clairement eu droit à la fellation de sa vie. Nul doute.
Avant de partir, il fouille dans la poche de son pantalon..

Et il se tourne vers elle et lui dit : «Vous avez échappé ça sous votre table tout à l’heure.» et iIl lui tend sa petite culotte.


Je savais qu’elle l’avait fait exprès.
Et j’adore…


Notre nuit se poursuit. Un plaisir certain.
Un plaisir que j’aime de plus en plus vivre..





Mamz’elle J xx

2.20.2014

Du Chocolat.. Des Bulles.. Du Plaisir.. partie 4

Pas tellement nécessaire de vous répéter à quel point j’adorais la regarder. Elle semblait tellement sûre d’elle-même et en possession de ses moyens que je ne pouvais que la suivre dans ses lubies et faire en sorte que ça devienne notre moment.
Un très beau et mémorable souvenir d’ailleurs.

Elle a déposé au pied du lit le gode de verre plutôt stylisé afin de venir enjamber mon corps.
Chevauchée à la hauteur de mon visage par son intimité, une fois de plus offerte, je ne savais pas si je me devais de contenir mon envie de la lécher encore ou si je me foutais de ce que mon instinct me disait. Elle s’est penchée au dessus de moi en passant le premier anneau des menottes à mon poignet droit.

Le froid du matériau métallique me fit un peu frémir. Puis, après avoir enroulé la chaîne séparant les bracelets, elle a attaché mon deuxième bras à la tête du lit. Un sentiment d’être prisonnière du plaisir que j’adore.

Ma belle copine s’est alors mise à redescendre le long de mon corps, accompagnant son tracé de baisers, caresses et morsures légères. Tout pour mettre mes sens en éveil. Tout pour me rendre folle. Je ne souhaite toutefois pas fermer mes yeux. La regarder faire m’excite à un point tel que je suis trempée déjà. Elle masse ma poitrine, aspire un après l’autre mes seins entre ses sensuelles lèvres. Ses doigts se rendent à ma chatte, où elle trouve facilement et habilement le bouton déclencheur de plaisir, impatient de sentir son toucher et de se plier à ses caresses. Nul doute qu’elle sait s’y prendre avec l’intimité féminine. Ses mouvements se font lents et appuyés. J’ai du mal à contenir les gémissements et les expirations chargées de plaisir qui s’extirpent de ma gorge. Lorsque je sens la fraîcheur du gode se présenter à l’entrée de mon antre, je souris. J’appréhende. J’aime l’idée. J’ai hâte. Je frémis. Je suis dans tous mes états.

Elle le pousse en moi doucement. Tout doucement. Légère rotation alors qu’elle souhaite lubrifier de ma mouille abondante toute la longueur de l’objet. L’inclinaison est parfaite. La largeur de son jouet est  à point. Je suis envahie de ce grand frisson. Le frisson que ressens une femme lorsqu’elle s’abandonne enfin à son plaisir, laissant avec confiance son sort entre les mains de son ou sa partenaire de jeu. Elle semble y prendre plaisir au moins autant que moi.

Elle sait comment s’y prendre. Alors que d’une main elle fait coulisser l’objet dans les tréfonds de mon ventre, son autre main joint mon clitoris bien gonflé et luisant afin d’augmenter mes sources de plaisir. Je suis en transe. J’aurais envie de la toucher, de me prendre les seins, mais je ne peux qu’accueillir ce plaisir en me délectant de la vague qui approche à grands pas.

Elle y va plus frénétiquement. Je courbe mon bassin, mes seins se relèvent. Je me dresse sur mes talons, alors qu’elle baise ma chatte avec une envie visible de me faire exploser sur le lit.
Je sais ce qu’elle veut.

Mon point G est trop stimulé pour demeurer impassible devant ce désir intense de me faire mouiller le drap. Quelques autres coups de poignets et ça y est, je sens en moi monter l’orgasme, projetant quelques vagues de mon jus sur le drap et sur ses cuisses. Elle sourit, semble vouloir jouir avec moi et m’encourage à me laisser aller.

Elle me branle encore le clito alors que je suis sur le point de jouir une autre fois.
Je suis absolument vidée de mon énergie, mais j’ai tellement envie d’elle et de la surprendre encore une fois..

Je me laisse tomber sur le lit.

Elle approche le gode de ma bouche, nous le léchons en se regardant dans les yeux. J’adore goûter mon jus après l’orgasme. Je crois comprendre qu’elle aime bien le faire aussi..


Un long moment où nous avons pu profiter l’une de l’autre.
Nous finissions nos verres de champagne en discutant tranquillement.

Je me relève, file prendre une douche après qu’elle ait détaché mes poignets du lit.
Mes jambes en tremblent encore.

Nous avons rendez-vous au restaurant dans moins de 30 minutes.
Juste le temps de nous savonner, d’enfiler nos robes et nos lingeries les plus coquines et de descendre…







Mamz'elle J xxx

2.19.2014

Du chocolat.. Des Bulles.. et du Plaisir.. partie 3.

Je bouillonnais. J’avais envie d’elle plus que de n’importe quoi d’autre. Je la regardais encore sourire, elle semblait si légère et sur son nuage post-coïtal. Elle était lumineuse et inspirait le sexe. Elle respirait le sexe. Je respirais le sien. En transe. Je me suis assise de mon côté du spa, glissant une main le long de mon torse pour atteindre l’intérieur de mes cuisses. À la seule pression de mon doigt sur mon petit bourgeon, je ressentais un frisson intense me parcourant la colonne et la nuque. J’étais littéralement à fleur de peau et j’adorais cette sensation.

À ce moment, elle s’est glissée dans l’eau du bain, s’est assise juste en face de moi et s’est mise à me fixer sans parler. Pendant de nombreuses secondes, nous nous regardions dans la blanc des yeux, pour profiter du moment, ou pour donner un défi de contrôle implicite à l’autre. J’étais hypnotisée. Elle l’était tout autant. J’ai senti son pied monter le long de ma jambe, ses orteils glissaient sur ma peau avec douceur et envie. Me regardant continuellement, elle a atteint la cible. Ma chatte. J’ai senti sans peine son orteil se déposer entre les lèvres de mon sexe et y glisser avec facilité de haut en bas. Torturée par le plaisir, je me sentais terriblement allumée et impatiente. J’ai pris entre mes mains mes seins pour les caresser. Les pointes en étaient déjà dressées et bien réceptives.

Elle a continué de m’exciter de la pointe de son pied pendant de longues minutes. Je mordillais ma lèvre en fermant les yeux, tentant de me contenir au meilleur de ce que mon corps pouvait supporter.

Elle s’est levée, est venue s’installer debout devant moi et a passé une jambe par-dessus ma tête. Sa chatte offerte à ma bouche, juste à la bonne hauteur. Je l’ai prise contre mon visage sans attendre. Je l’ai bouffé comme si ma vie en dépendait. Comme jamais dans sa vie on ne lui avait montré de désir aussi fort. J’empoignais ses fesses d’une main, pour la rapprocher suffisamment de ma bouche pour encercler son sexe de mes lèvres, pour en perdre le souffle pendant que mon autre main s’affairait sur ma propre intimité. Deux doigts, puis trois se sont insérés en moi avec une facilité déconcertante. J’Aspirais son clitoris en le mordillant au passage, insérant un doigt entre ses fesses et tout à coup, je l’ai senti faiblir un peu alors que ses jambes furent prises de vibrations incontrôlables. J’ai cueillis son nectar sur mes lèvres et ma langue comme une offrande que je cherchais à garder que pour moi. Je l’ai léché. Avidement. Fouillant les recoins de son sexe à la recherche de son poison intime qui me rendait accro à elle.

Jamais auparavant je n’avais ressentis cette sensation intérieure.
Je cherchais tellement à me retenir de jouir sans elle, je voulais me garder pour ses doigts et sa bouche. C’est dans la chaleur de son haleine que je voulais me donner..

Je n’ai pas eu à attendre tellement longtemps.
Nous nous sommes levées. Enjambé la baignoire.
Elle a pris le chemin de sa boite à surprise alors que j’ai pris celui du lit. J’ai entendu un petit bruit métallique se cognant à quelque chose. Et lorsqu’elle s’est retournée vers moi, menottes et gode de verre à le main, j’ai senti mon ventre se tordre.


Je la voulais. Là. Maintenant.




À suivre..

Mamz'elle J xx

2.17.2014

Du Chocolat... Des Bulles.. du Plaisir.. partie 2

Assise au coin du bain à remous, elle avait les cheveux à moitié trempés, flottant dans l'eau savonneuse. Ses seins étaient déformés par les vagues de l'eau et par la lumière des bougies qui trônaient juste à côté de nous, laissant de leurs petites flammes s'éclairer la pièce et me laisser m'imprégner de cette image de la femme en totalité.

Je ferme les yeux et je ressens le moment.
Je ressens sa cuisse qui s'insinue entre mes jambes, mes mains qui s'agrippent à ses épaules pendant que je rejoins sa bouche en un baiser délicieux, doux et intense. Je ferme les yeux pour mieux savourer. J'aime le goût de ses lèvres. J'aime le grain de sa peau. J'aime la fraîcheur de son souffle, quand elle me demande de la caresser, mais surtout, j'aime deviner son côté déjanté quand elle se lève en me regardant du coin de l'oeil, pour s'asseoir sur le rebord de la baignoire..

Je la regarde faire, comme si elle se donnait en spectacle. Sans aucune gêne, elle pose ses fesses sur le coin et s'adosse au mur. Elle écarte ses cuisses et trouve encrage pour chacun de ses pieds de chaque côté du bain. Tout ce temps, je la vois se lécher les lèvres et je ne sais pas sur quoi je dois m'attarder. Mes yeux se posent sur le tableau qu'elle m'offre; un joli sexe épilé d'où perlent quelques gouttes d'eau et un peu de mousse restée collée à la peau de son ventre. Elle mène l'une de ses mains à sa poitrine, où elle dessine le contour d'un de ses mamelons, pinçant le bout de son sein en souriant et en reprenant de plus belle avec l'autre sein. Je suis hypnotisée. Elle me captive par sa grâce et son assurance. Ma sagesse et mon calme s'envolent et j'approche de son corps dangereusement. Je masse d'abord ses cuisses, léchant le bout devenu tout dur de son sein qui se soulève au rythme de son souffle. Je titille son mamelon comme j'aime qu'on me le fasse avant d'empoigner son autre sein de ma petite main qui manque évidemment de place pour tout couvrir. Je suis follement excitée de les soupeser, de la regarder, de sentir la fébrilité dans l'air. C'est évidemment sans trop attendre que je joins sa chatte de ma langue.. j'embrasse son ventre, glisse ma bouche à son aine et j'écarte ses lèvres de deux de mes doigts. Je découvre son sexe humide et coulant, un parfum enivrant et sexuel qui agit sur moi comme un aimant puissant. Je ne peux m'empêcher de refermer les lèvres sur son clitoris qu'elle m'offre en un long râle. Je fouille sa chatte. J'en goûte chaque centimètres, je la déguste tant et si bien qu'après quelques secondes à m'appliquer, je sens ses doigts maintenir ma tête sur son sexe.

Elle encre ses ongles dans mes cheveux et me colle la bouche à son antre avec tellement d'avidité que j'en perds le souffle. Je lui laisse sentir mes dents, accélère un peu le rythme de ma caresse sur son petit bouton jusqu'à sentir ses jambes frémir et tout son corps se tordre. Puis, je m'arrête. 


Je me décolle, la regarde, me lève un peu et l'embrasse. Elle peut maintenant goûter sa propre cyprine coulée à mes commissures et lécher ma langue ayant pris follement plaisir à la satisfaire.

J'y retourne, même manège. Je varie la vitesse, l'appui, la douceur et l'intensité et je l'amène à quelques reprises au bord du précipice sans jamais la laisser jouir. J'y prend un malin plaisir.

Je glisse une main sous sa fesse et change l'inclinaison de son bassin.
De cette façon, j'ai accès à toute son intimité et je dois avouer que j'ai hâte de la découvrir.

Je lape sa chatte, goûte son miel, j'étire parfois un petit filet de son jus de ma bouche à sa chatte, par plaisir, par perversité. Je lèche un peu encore, et je descends jusqu'à son cul, où je chatouille sa petite rose tout doucement. Elle se détend rapidement, s'abandonnant aux caresses appliquées de ma bouche et bientôt, je vois ses yeux se fermer et sa tête s'incliner vers l'arrière. J'adore la voir dans cet état.

Je la lèche, je mouille toutes ses cavités de ma salive mélangée à son jus et je m'amuse à lui couper le souffle.

Je pousse l'audace. Mon pouce rejoint ma langue aux abords de son cul, où d'un mouvement circulaire, je la prépare à accueillir un doigt. Je recueille un peu de sa cyprine et glisse tout lentement mon pouce dans sa petite rose, qui se referme sur ma phalange à peine insérée. Je suce son clitoris et bougeant lentement ma main devenue jouet, pour l'habituer à ma présence et faire monter son plaisir.
Elle grogne. Visiblement, elle apprécie.

Je continue mon parcours, lui bouffant la chatte avec appétit et baisant son cul d'une main déterminée pendant que je l'écoute crier. Ma main libre plonge d'abord sous l'eau de la baignoire où je me trouve à genoux, pour ensuite atteindre mon sexe ouvert et réclamant un peu d'attention. mon index glisse le long de ma fente et je l'insère avec une facilité déconcertante en moi.

Le ressortant de l'eau, c'est dans sa grotte que j'irai plonger mes doigts. d'abord deux, pour la stimuler en lui laissant connaître le plaisir d'avoir deux orifices investis en même temps. Un troisième doigt.
J'accélère. De plus en plus vite. Je la sens vibrer comme jamais encore.

Et elle pousse un gémissement qui traduit son plaisir. Elle branle énergiquement son petit bourgeon pendant que je lui baise littéralement la chatte et le cul en même temps et elle jouit enfin sous mes yeux.

Elle est si belle. Son sourire veut tout dire.
Je sens les soubresauts de son sexe sur mes phalanges, que je laisse en elle et qui semblent encerclées dans un étau puissant. Elle tressaille encore, victime de cet orgasme qui la dévaste. Elle essaie de parler. Rien de très audible ni très articulé, mais un regard brillant et une respiration bruyante.

Un moment particulièrement spécial. Je crois qu'elle a aimé.. et moi dont!

J'ai envie de recommencer, juste pour la voir jouir à nouveau.
L'entendre à nouveau.
La sentir à nouveau.. 


Je retire mon pouce, puis mes doigts de sa jolie chatte. Je les approche de sa bouche et elle les lèche doucement, un à un.

Je l'adore déjà..


Et la soirée ne faisait que commencer..





Mamz'Elle J xxx

2.14.2014

Du Chocolat.. Des bulles.. Du plaisir.

Je l'attendais depuis un bon moment, ce jour où j'allais l'avoir pour moi toute seule. Mais en même temps, j'aime bien partager..

J'avais déjà mis un peu ses sens en éveil, en évoquant mon envie de la coucher sur les draps, de parcourir son corps en embrassant toutes les parcelles de peau qu'elle m'aurait offert, en périphérie de sa jolie robe à pois et de ses bottes hautes. J'allais passer mes doigts dans ses cheveux, caresser du bout des ongles ses bras, son cou, sa mâchoire, déposer mes lèvres sur sa clavicule, la naissance de ses seins, ses lèvres.. J'allais goûter son parfum, apprécier le frottement de nos jambes nylonnées pendant que je la chevaucherais pour déboutonner le haut de sa robe ajustée sur sa poitrine. Je me voyais déjà la fixer de mon regard le plus désireux en laissant libre court à mon envie de la dévorer des pieds à la tête. Déjà, j'avais la sensation de mes mains sur ses cuisses, retenant le mouvement ascendant qui m'amènerait à une source de chaleur intime que je convoitais depuis trop longtemps. Ma bouche chercherait son souffle, ou ce qui en restait, afin d'approcher suffisamment pour que nos langues se goûtent, délicatement, avec la douceur dont deux femmes avides de sensualité sont capables.

Je fantasmais sur cette image depuis que j'avais découvert qui elle était. Depuis que j'avais découvert autre chose que sa belle, trop belle, délicieusement invitante poitrine sur son avatar de réseau social.. J'étais écahie par sa bouche. Ses lèvres pulpeuses. Son oeil séducteur. Sa stature, toujours confiante, toujours en contrôle, rassurante. Je me suis mise à imaginer quels sons elle poussait lorsqu'elle faisait l'amour, quelle lingerie elle portait lorsqu'elle voulait se sentir femme, quelles coquineries elle appréciait particulièrement au lit.

De retour dans mon imaginaire, je savais qu'elle était une femme délicieuse, mais qui plus est, elle était gourmande. Et ça me plaisait. Ça présageait surtout qu'elle était une personne très ouverte, généreuse et qui aimait se griser de tous les plaisirs gustatifs les plus pervers.

Je voyais bien ses formes, dans la pénombre de la chambre éclairée aux lampions, où j'avais pris soin de mettre au frais un bonne bouteille de bulles et quelques chocolats de ma confection. Un plateau de fruits rouges était déposé sur le bord du grand bain à remous où trônait  une montagne de mousse aux arômes musquées. Je la désirais follement. Toute les fibres de mon corps ne revendiquaient qu'elle.

Couchées sur le lit, je me suis mise à l'embrasser tendrement. Je la caressais, jouais dans ses cheveux, portais à ma bouche son sein tendre pour en mordiller le mamelon. Sa poitrine se soulevait. Je l'entendais expirer, j'entendais son plaisir dans chaque bouffée d'air qui s'extirpait de son corps.
Elle était si belle.  

Je l'ai attirée vers le grand bain. Je la regardais s'y avancer avec grâce, exhibant toute sa splendeur et son charisme par sa démarche de louve. Elle était ma proie. Plongeant un pied, puis l'autre dans l'eau, elle s'est assise dans le coin du bain et je l'ai rejoint sans attendre. C'est là que le jeu a commencé..




À suivre


Mamz'Elle J xx






2.12.2014

Défi de lecteur; La fois où j'ai pris mes jambes à mon cou

Déjà quelques semaines, voire quelques mois que cette curiosité était née en moi. Il m'avait fait sourire par l'entremise d'un réseau social, me disant à la hâte que j'étais son pendant féminin. Un peu le même humour, le même bagage de vie, les mêmes intérêts, nous nous étions trouvé des points communs, mais surtout des points d'encrages ayant donné lieu à des conversations tout sauf osées. Bien avant de parler de ces sujets que l'on aborde souvent lorsque l'état d'ébriété se fait sentir, nous avions connu le côté humain de chacun et nous étions apprécié. Nous cherchions à garder le mystère sur nos identités et à nous garder le plus de secrets possibles concernant notre quotidien afin de ne pas provoquer les choses. Et je dois avouer que c'était la première fois que quelqu'un ayant un fort intérêt pour Jade ne souhaitait pas au moins voir mon visage en photo.

Le temps avançait, et comme nous habitions la même ville, les occasions de se croiser restaient tout de même fréquentes. Longtemps je me suis demandée si je devais aller au bout de cette curiosité.
J'ai décidé de moi-même briser le charme. De lui donner rendez-vous. Provoquer la rencontre. Me mettre à risque et voir ce que ça allait donner.

Il était 21h. Je revenais du travail et avais envie de prendre un verre. Je lui ai envoyé un message, qu'il a lu instantanément, et auquel il a répondu par l'affirmative. Comme s'il n'attendait que ça. Il a pris le taxi, avait une course d'environ 20 minutes à faire. Si habituellement je me sens en confiance avec des inconnus, cette fois-ci, je n'avais aucun repère. Aucun. Jamais su son nom, jamais vu son visage, jamais eu son numéro de téléphone, encore moins son adresse.

Je ne savais même pas à qui j'allais avoir affaire.

Tout à coup, les papillons dans mon ventre se sont transformé en stress.
Je me souviens, à mes premiers rendez-vous avec Laigle, j'appelais ma mère pour l'avertir de mon horaire coquin parce que je voulais que quelqu'un sache où et avec qui je me trouvais en cas d'urgence.

Cette fois-ci, personne ne savait, pas même mon amant.

Je gardais mon calme.
Il est entré dans le pub.
Démarche assurée, look soigné, chemise rouge et petit veston sport. Il avait les cheveux en bataille et une barbe de deux ou trois jours qui lui donnait une gueule à faire fondre homme et femme sans plus dire. Un sourire à faire craquer.
On s'est reconnus tout de suite. Il est venu se présenter à moi, et j'ai senti son parfum, fraîchement atomisé sur sa peau basané. Il s'appelait Carl . Je ne lui ai pas donné mon vrai nom. Petite retenue s'imposant. Je n'avais pas encore tout à fait combattu la petite peur légitime qui s'était frayé un chemin à ma Raison.

Il s'est assis à côté de moi, a commandé deux Stingers - drinks lui rappelant ses premières soirées à l'insue des parents dans son sous-sol de St-Émile- et nous avons commencé à nous faire la conversation. Il disait qu'il venait de quitter son emploi stable pour un contrat de 3 mois en Nouvelle-Zélande pendant lequel toute sa famille et lui allaient être logés et nourris dans un hôtel de luxe où ils auraient accès au penthouse. Il disait qu'il était heureux que je l'invite ce soir-là puisqu'il partait le lendemain en fin d'après-midi. Il m'expliquait qu'il venait de finir ses valises, que sa femme devait les rejoindre demain à Montréal pour le départ et qu'en attendant ce sont ses parents qui gardaient les deux jeunes garçons alors il avait le champ totalement libre pour venir me rejoindre.

Le temps a passé. Les regards langoureux, les mains curieuses et légères allaient et venaient sur les cuisses de l'un et l'autre. Bientôt, les doigts de Carl ont trouvé le chemin jusqu'à ma nuque. Il approchait son nez de mon cou, laissant au passage quelques baisers en douceur. Je raclais sa mâchoire de mes ongles, mordillant ma lèvre en signe de désir, je massais sa cuisse et approchais ma main de son aine que pour le plaisir de le regarder rougir, perdre ses mots, bafouiller et rire..

C'est là qu'il est devenu dingue; tous les mots en lien avec le sexe auxquels je n'avais pas été confronté sont tombés en un quart d'heure. Il me lançait des phrases plutôt crues, salaces, à la limite de l'obscène. Si au début, tout son petit jeu m'échauffait, l'alcool faisant son effet sur mon corps fatigué de sa journée, je me suis mise à craindre un peu qu'il soit le pire pervers de l'histoire et que je me retrouve dans une situation délicate ou dangereuse.

Après tout ce que je lui avais mentionné sur moi, il avait pris de notes j'en suis sûre, il a trouvé le bon chemin pour me remettre en confiance et rendre le jeu à son apogée assez rapidement.

Nous étions assis au bout du bar, dans un coin sombre où personne ne regarde. Les serveurs étaient débordés et le petit trio de jazz qui jouait juste devant attirait l'attention des clients ailleurs que sur nous.

Alors que je ne contrôlais plus trop ce que je faisais, je me suis mise à lui mordiller le lobe de façon coquine, en le laissant glisser sa main sous ma jupe cintrée, ses doigts caressant doucement la longueur de ma cuisse, ma laissant languir sous l'attente de quelque chose de plus. D'une caresse appuyée, d'un geste plus franc, d'un doigt particulièrement aventureux, mais même en me tortillant, je ne pouvais pas satisfaire mon besoin. Ma pulsion.

Je massais à travers de son pantalon l'énorme bosse qui semblait prendre de plus en plus de volume, gonfler sous ma main assurée et mon regard de jeune perverse. Je me serais pliée à tous ces désirs, une véritable connection nous liant. Je sentais à son regard qu'il avait envie de moi. Qu'il avait le contrôle. Qu'il ferait tout pour me baiser.. Mais j'ai décidé de prendre un peu le contrôle.. et ça a changé le jeu un peu..

Je lui disais promptement; «Allez, caresse-moi la chatte, tu y es presque.. fais-moi jouir ici, tout de suite, au milieu de tous ces gens..»

Mais plus j'implorais ses caresses, plus il reculait. Plus il était lent. Plus il était désintéressé. J'en avais pourtant tellement envie et il le savait. Il le sentait. Il m'entendait l'implorer, le supplier d'atteindre mon sexe pour me lester de cette terrible envie de jouir..

Voyant après quelques minutes qu'il s'amusait trop et que son seul vrai plaisir était de me voir me tordre de délire sur mon banc.. sans avoir la véritable intention d'aller plus loin, j'ai discrètement enlevé ma culotte sous ma jupe, l'ai glissé à mes pieds, j'ai pris mon sac à main, me suis levée en et lui ai laissé un faux numéro sur le sous-verre de son drink et ma culotte dans la poche de son veston sans même qu'il ne s'en rende compte.

Y a pas que les demoiselles qui jouent à être agaçes, messieurs!..



Mamz'elle J xx







1.17.2014

Notre petit secret

Ce n’est pas un secret.
Ça doit faire au moins un an que je te le répète. Un jour, j’entrerai dans ta business, te lancerai un regard pervers en me déhanchant comme la pire des salopes, je marcherai l’allée des stylos-billes en sachant déjà que tu me suivras.. J’entrerai dans les toilettes des dames. La porte aussitôt fermée, mon manteau ira s’abattre sur le comptoir de la vanité, je décoifferai mes cheveux et attendrai les secondes défilantes qui t’amèneront jusqu’à moi. J’entendrai les pentures grincer sous l’effet de ta poussée, te verrai apparaître et barrer la porte derrière toi. Sans attendre que je t’adresse un bonjour de courtoisie, tes mains se jetteront sur mes seins, ta bouche se collera à le mienne et nous nous embrasserons de façon tellement instinctive et animale que je me contrôlerai plus le débit sanguin qui affluera dans mes veines. Ta langue forcera mes lèvres à s’ouvrir, tes doigts chercheront les boutons de mon chemisier pendant que j’approcherai encore davantage ta nuque de ma main agressive. Tu me pousseras contre le mur en relevant ma cuisse couverte de nylon le long de ta jambe pour te donner un accès à mon entre-cuisse. Tu sentiras déjà la chaleur de ma chatte bouillante que je tente de contenir depuis mon arrivée dans le stationnement. Ta bouche cherchera à engloutir mon sein droit, que tu auras sorti, affamé, de mon soutien-gorge le plus chic. Nul besoin de te dire que je n’aurai pas pris le temps d’agencer la culotte qui va avec.. je préfère de loin le commando et ses avantages.

Mains aventurières que je possède, j’aurai déjà trouvé la façon idéale de détacher ta ceinture d’une main pendant que j’agripperai ta fesse gauche de l’autre, te rapprochant de moi. Cette journée-là, je porterai mes talons, non seulement pour me faire une plus belle jambe, mais surtout pour que tu puisses me baiser debout, avec un accès à ma chatte plus facile et plus excitant. Mes mamelons durcis sous l’emprise de tes dents et de ta langue pulseront d’excitation presque qu’au même rythme que le sang qui gonflera ta verge bien durcie.

Nous aurons un maximum de 5 minutes, pour ne pas que tes employés te cherchent et découvrent ton petit manège. Pas le temps pour les préliminaires. De toute façon, je suis déjà prête à accueillir tout ce que tu auras à me donner depuis mon entrée dans le magasin.
La main dans mes cheveux, tu m’ordonneras de me retourner en embrassant mon cou et en me faisant me courber sur le comptoir. J’écarterai les cuisses et je cambrerai les hanches pour que tu puisses jeter un œil au torrent de cyprine qui suinte de mon sexe. Tu découvriras du même coup mon bijoux anal, qui remplira ma rose et décorera le territoire en te procurant, plus tard, un feeling que tu n’auras jamais eu avant. Tu y passeras un doigt ou deux pour vérifier mon état et recueillir mon jus que tu étendras sur ta queue pour la mouiller un peu. Prenant mes hanches à deux mains, fermement, tu t’enfonceras en moi sans plus attendre, à un rythme dément et avec vigueur.  Je te sentirai en transe durant de longues secondes, cherchant à retenir ton trop-plein d’excitation. Je t’entendrai râler, rugir du fond de ta gorge pendant qu’approchant le haut de ton corps, tu attraperas mes seins comme s’ils étaient ta propriété. Je geindrai comme une vraie petite cochonne, n’aidant pas à ton sentiment de perte de contrôle. Je saurai à ta respiration que la jouissance sera presque là… D’une main libre, tu branleras mon clito de façon énergique et efficace que je serai à mon tour envahit de cette envie de jouir. Là. Maintenant.
Ton sperme remplissant ma chatte, je jouirai sur ta queue pendant ses derniers soubresauts.
Dernier coup de bassin avant de te retirer, je sentirai ton corps faiblir sur le mien. Dans de longues expirations qui dureront quelques secondes, nous sentirons cette complicité et cette satisfaction commune, avant de rire de bon cœur de ce qui vient de se passer.

Je me rhabillerai rapidement, t’embrassant au passage. Je quitterai la salle de bain la première, à la recherche d’une babiole inutile dans une rangée de magasin que j’aurai empruntée par souci de camouflage.

Tu remonteras ton pantalon de travail en attachant ta ceinture, sortant de la salle de bain une ou deux minutes plus tard, pour ma laisser le temps de me rendre à la caisse.
De retour devant la porte de ton bureau, tu me lanceras le plus beau des sourire alors que la caissière, ne se doutant pas de ce qui bouille en moi, me remettra ma facture et mon sac.

Je partirai, tu retourneras à tes dossiers et nous n’en reparlerons plus..


Et ça, ça restera notre secret! 



Mamz'elle J xx

1.10.2014

Mon cadeau de Noël, dernière partie

Bientôt quatre mains caressent doucement ma peau devenue huileuse et glissante. Je les sens s’infiltrer sous mon dos, dans mon cou, entre mes seins. Mon ventre est la proie des mains de Laigle qui s’en donne à cœur joie de me faire languir. Je sens la tension qui l’habite. Je sais qu’il a aussi envie que moi de laisser aller ses doigts à des caresses bien appuyées sur mon sexe, mais il sait aussi que je le laisserai faire. Je profite de la douceur des mains de Xavier, qui semble découvrir un  corps pour la première fois.. il ne sait pas encore que ce qui m’excite n’a en fait rien à voir avec la tendresse et la langueur.

Je le sens pétrir mes seins de plus en plus fermement. Il me laisse sentir sa présence, son pouvoir, sa pulsion. Je sens également qu’il ne laissera pas passer l’occasion de me gratifier de sa queue pendant son massage à l’huile.. il s’agenouille de chaque côté de ma tête et laisse glisser son gland sur mes lèvres. J’ai toujours les yeux bandés. Je sens la chaleur de son membre sur mon nez, et je salive de savoir qu’il utilisera ma bouche..

Laigle a décidé de se la jouer plus osé que prévu.. moi qui croyait qu’il allait s’attarder `à ma chatte, il a plutôt choisi mon cul. Je sens ses doigts parcourir ma raie lentement, travailler un peu mon petit trou afin de bien se détendre. Pendant ce temps, la queue de Xavier se retrouve au complet dans ma bouche. Je laisse ma langue le faire frissonner un peu pendant que la douceur reste la tendance du moment. Il glisse facile hors de ma bouche, je suçote son gland et lèche les petites gouttes qui s’écoule de son sexe avec délectation. Mais ses mains en sont à agripper mes hanches, son doigt frotte mon clito négligemment et il finit par entrer 2 doigts dans ma chatte. Ainsi couchée sur le dos avec mes deux amants, je ne peux qu’espérer vivre le fantasme de toutes femmes qui baisent avec deux hommes; me faire pénétrer doublement.

Ils me font patienter. Ils jouent avec moi. Ils font monter en moi un orgasme terrassant et ils le savent. Xavier a trouvé mon point G et il s’amuse à le stimuler pendant  que Laigle écarte mes fesses en insérant 2 ou 3 doigts à la fois. Je me sens privilégiée mais aussi, et surtout, soumise à leurs désirs. Et j’adore ça. Xavier baise ma bouche un peu plus fort. Je le sens respirer fortement.  Son bassin au dessus de ma tête fait un mouvement circulaire, il se retient de jouir, je le sens.
Ça me donne une motivation supplémentaire pour lui montrer que j’ai encore du pouvoir, et je relève la tête afin de faire pénétrer son sexe directement dans ma gorge. Je fais quelques va-et-viens du plus profond que je le peux. Il grogne. Se retire.  Attrape ma joue en me disant «Ne me fais pas jouir tout de suite, petite salope, sinon je ne pourrai pas te donner ce que tu veux…»
Alors, il se replace à cheval au dessus de mon visage, mais il me présente plutôt son cul à lécher alors qu’il relève son sexe de sa main gauche.  Je le lèche d’abord d’une langue timide, puis je me fais plus insistante. Je sais qu’il adore ça.. mais jamais autant que moi.

Je suis toujours sur une pente ascendante avec un orgasme qui se fait de plus en plus près. Laigle griffe mes fesses, ouvre bien mes cuisses, récupère l’huile sur mon ventre pour l’étendre sur mon cul. Xavier chuchote à Laigle; «Ta maîtresse est la pire des salopes et je l’adore déjà.»

Je les entends étouffer un rire complice.

Xavier se relève. Il s’installe à côté de moi..
Je le sens insérer un quatrième doigt dans ma chatte. Je ne me retiendrai pas longtemps. Et Laigle qui en remet; «Prends sa gorge pendant que tu la doigtes. Elle adore ça jouir comme ça»

Je souris.

6 doigts me fouillent au total. D,un mouvement coordonné, je sens la main de Xavier me travailler alors que Laigle est concentré à me regarder me contenir du mieux que je le peux. Les mouvements se font de plus en plus rapide. Je sens cette jouissance partir de la pointe de mes pieds et monter le long de mes jambes. Un sentiment si fort que j’en ai une boule à la gorge. Xavier me serre la gorge, mais sans exagérer. Je le sens fébrile. Je sais que je vais exploser dans une seconde ou deux. Et Laigle giffle l’une de mes fesses. Une. Deux. Trois fois.

C’est l’extase. Je crie. Mes jambes tremblent et ma chatte laisse sortir une giclée de mon jus sur les avant-bras de mes deux cavaliers. Je les supplie de continuer. Les deux s’extasient devant le spectacle. J’entends le bruit de leurs mains qui frappent ma peau mouillée en me pénétrant. Je me tords de plaisir. Je mords ma lèvre inférieure, j’ai envie d’étouffer mon cri mais j’en suis incapable. Dans un long râle intense, je jouis comme jamais avant. Je sens ma chatte pulser sur les doigts de Xavier, ceux de Laigle continuent de s’insinuer entre les pulsations.

Je perds la notion du temps pendant un instant. Quand je reprends mes esprits, j’entend la voix d’une femme…


J’avais complètement oublié que mon amie était toujours là!
C’est son tour de s’installer sur ma bouche. Pendant que les mains de mes deux hommes reprennent le chemin vers mon extase, je sens sa chatte s’écraser contre ma bouche.  De ma langue, je lui chatouille le clito. Elle écarte bien ses lèvres pour que j’aie accès à tous les recoins de son intimité. Je la lèche et la déguste, en prenant bien soin de m’attarder aux endroits qui font frémir ses cuisses. Je bois sa mouille, mon nez accroche la paroi qui sépare sa chatte de son cul… Son cul. J’aimerais tant le lécher, le baiser..

Un deuxième orgasme semble monter en moi. Je gémis contre l’antre de ma belle complice qui tâte mes seins pendant que je la caresse de ma bouche gourmande.  Je me retiens de trop gémir, pour ne pas briser la cadence de mes coups de langue dans son sexe. J’insère ma langue en elle, je suce son clitoris, le mordille au passage.. chaque fois que je le touche, je la sens vibrer.

Je vais jouir. Je le sens. Encore une fois….

Ça y est. Les mains de mes amants s’entrechoquent au passage à leur rythme encore une fois si calculé. Je me tortille et la belle durant ce temps, prends la peine de bien écraser son sexe sur ma bouche de tout son poids, pour m’empêcher de respirer et s’assurer une jouissance elle aussi. Je gémis comme une chienne alors que ma chatte libère encore une fois le  fruit de mon orgasme fracassant. La belle au dessus de moi passe une main derrière son dos pour venir caresser son petit trou pendant que je la lape comme si ma vie en dépendait.

Je la sens jouir au dessus de moi, ses jambes frissonnent et elle se relève pour venir m’embrasser à pleine bouche. Nos langues se lèchent. Elle cueille sa cyprine sur mes lèvres, je lui partage avec grand plaisir sous le regard amusé de nos deux amis.

Puis, ils s’installent. Laigle prend son sexe de sa main gauche et regarde Xavier s’insérer dans ma chatte encore chaude et tellement humide. Je le sens entrer en moi. Son sexe plutôt large rempli à merveille cette chatte serrée et affamée de se faire baiser. Puis, c’est le tour de mon homme à pénétrer mon cul d’un mouvement lent et senti. Bientôt, mes deux complices reprennent leur cadence alors que la belle embrasse Xavier en laissant glisser ses doigts sur mon corps. Elle se retourne alors à quatre pattes, me faisant face, afin de laisse son cul et sa chatte libres à d’éventuels mains baladeuses.. Je caresse ses cheveux du mieux que je le peux. Les assauts des coups de hanches des deux hommes se font rapides et profonds. Après m’avoir bien préparée comme ils l’ont fait, nul besoin de vous dire que je n’en ai que pour une minute avant d’exploser une nouvelle fois, dans une voix gutturale et explosive. Xavier joint à son mouvement, une caresse sur mon clitoris.. Laigle n’en peut plus, il jouit en moi, continuant de me pénétrer d’une excitation palpable. Je sens son foutre me remplir.

Xavier sort de ma chatte et s’approche de ma bouche. Mon amie se joint à moi. Nos deux bouches le caresse, nos langues se frôlent et il est sur le point de jouir à son tour. D’une main assurée, mon amie le branle au dessus de nos visages et de nos seins et lorsqu’il pousse un cri bestial, nous nous retrouvons couvertes de sa semence chaude et liquide. Je lèche tout ce que je peux et mon amie s’occupe du reste..

Nous tombons tous de fatigue. Puis, nous nous levons, complice, les yeux encore plein de désir et de projets.. Nous relaxons un temps. Une petite heure où nous prendrons un verre tous les 4 ensemble dans le bain tourbillon au coin de la chambre.



Mon cadeau semble lui avoir plu.

Et vous?

12.11.2013

Mon cadeau de Noël, partie 6

Lorsque nous nous sommes relevées de notre position à genoux elle et moi, j’avais envie de continuer à explorer son corps. Sitôt sur mes pieds, je me suis remise à l’embrasser passionnément. Je goûtais encore le foutre de Xavier sur sa langue, m’amusant à la caresser de la mienne. Ma bouche s’est longuement attardée à la sienne également, tandis que je me laissais bercer par les battements de mon cœur qui s’accentuaient à mesure que les secondes passaient. Nos seins gonflés à bloc, non mamelons érigés s’entrechoquaient dans nos mouvements délicats, et parfois ma main allait en pétrir un entre une caresse sur sa fesse et une sur sa joue. J’adorais le mélange de délicatesse et de fougue de notre échange charnel. Le véritable but de tout ça était de faire plaisir aux deux messieurs qui n’avaient d’yeux que pour nous, et encore…

Laigle commençait drôlement à avoir envie de s’occuper de moi. Et moi donc.. il m’a donc volée à notre belle complice et m’a entrainée sur le lit pour m’embrasser à son tour. Baiser délicieux, imprégné de sa tendresse habituelle. Son parfum exquis a atteint ma tête, déjà un peu envahie de bulles et de fantasmes..
Nous avons fait comme si personne d’autre n’était dans la chambre. Nous nous sommes touché, léché, caressé, mordillé, nous sommes parlé de façon plutôt crue et en avons même profité pour accentuer le plaisir.  Il a sorti d’un petit écrin de velours une paire de pince-mamelons serties de jolies billes de couleur. Je n’avais jamais eu la chance d’expérimenter ce genre de doux supplice ave lui. J’ai poussé un tout petit cri quand il a relâché la pression sur la première pince afin de la fixer à mon sein. Douleur délicieuse. Puis la deuxième, après avoir longuement léché et sucé mon mamelon pour le faire durcir encore plus que ce qu’il était. Il m’a fait boire une autre gorgé de bulles pendant qu’il me bandait les yeux à nouveau.. Et il a étendu une nouvelle couverture sur le lit. Une couverture doublée.  J’ai senti quelque chose de froid entourer mon poignet droit. Laigle avait un plan figurez-vous donc..
 Après m’avoir attaché les mains à la tête du lit à l’aide de deux paires de menottes de métal hyper lourdes qui ne ressemblaient pas du tout au genre de truc qu’on vend dans les sexshop, il a pris deux longues bandes de ruban en latex rose, les a enroulé autour de mes chevilles et ensuite  fixé au pied du lit. J’étais à présent offerte à tous, mais totalement dans l’inconnu.

Une odeur que j’adore s’est infiltrée à mon nez. Une odeur qui éveille en moi des envies de masturbation chaque fois que je la sens. Une odeur d’huile à massage..
Laigle en a versé quelques gouttes dans ses mains avant de les frotter vigoureusement pour réchauffer l’huile et a laissé glisser sa main sur ma cuisse ouverte. Remontant à mes seins, il m’a glissé quelques mots pervers à l’oreille. Je pouvais presque l’entendre sourire. J’adore cette impression qu’on a un sens de la communication à ce point aigu l’un pour l’autre.
J’ai senti ensuite une trainée d’huile couler sur mon ventre, mes seins, mes jambes, mon aine. Les mains de Laigle étendre la-dite substance.. et deux autres mains le rejoindre..  hmm..



Mamz’elle J xx

12.07.2013

Mon Cadeau de Noël, partie 5..

Nous nous embrassons à pleine bouche moi et Xavier. Un baiser frisant l’obsessif, la passionnel. Nos langues se trémoussent. Nos respirations s’accentuent. J’empoigne ses fesses, caresse son dos, sors les ongles et joue dans ses cheveux.  Ma main descend jusqu’à son sexe, que je prends à plein main et je commence à le caresser délicieusement. Il gémit dans un râle excitant et me lance un regard pervers. Je me retrouve à genou en un rien de temps, à la sucer avec gourmandise et appétit. Ma langue s’enroule autour de son gland, je pousse sa queue aux tréfonds de ma gorge, cherchant à le faire bander plus encore. Un deepthroat dont il se souviendra longtemps. Il maintient ma tête bien en place et c’est son tour de dicter le rythme et la profondeur. Il tente de me mettre au défi. Veut connaitre jusqu’à quel point je serai capable d’avaler son sexe.  Ma volonté lui plait je crois…
Je sens s’approcher Laigle juste à côté de moi. Il tient sa queue et me la présente.
Moi voilà gratifiée de deux sexes gonflée de désir pour moi seule. Alors que je suce mon amant, ma main continue de caresser Xavier, qui se régale de me voir si comblée et désireuse d’endosser mon rôle de salope.
Je passe d’une queue à l’autre, étirant parfois ma salive entre les deux verges pour m’amuser. Ma bouche  chaude et mes lèvres bien mouillées se promènent sur deux corps que je veux absolument voir se secouer sur le mien plus tard. Je prends en main les deux sexes et détourne le regard vers notre amie qui se caresse à pleines mains et me regardant. Je l’invite à me rejoindre…
Deux hommes nus se retrouvent à la merci de deux bouches gourmandes.
Moi et mon amie léchons tantôt les queues bandés et les couilles mûres pour un orgasme délectable, et tantôt nous nous embrassons à pleines bouches et nous caressons les seins et les hanches. Délicieux moment de sensualité.. Puis, Xavier empoigne nos deux têtes et nous fais signe de nous approcher de son membre viril sur le point de l’explosion. Pendant que je m’occupe du gland de notre ami, ma complice lui lèche les bourses et rejoint ma langue. Dans un synchronisme excitant, nous astiquons la queue de notre ami en le regardant dans les yeux tout au long de notre tour de manège sexuel qui, quelques minutes plus tard, le conduit tout droit à une jouissance juteuse et perverse, alors qu’il jouit sur nos langues réunies juste avant que nous nous embrassions moi et mon amie.

Mais, il reste encore deux personnes à faire jouir ici dedans.
Et je suis l’une de ces personnes..
Visiblement, je suis en bonne compagnie pour réaliser mon désir..




Mamz’elle J xx

12.05.2013

Mon cadeau de Noël, partie 4

La cuisse relevée sur l'accoudoir du fauteuil, la belle me donne accès à son petit paradis et je suis impatiente de goûter son miel. Ma main masse sa cuisse, son aine, j'aime la faire patienter encore un peu, en promenant ma langue sur sa jambe, son ventre, caresser la rondeur de sa fesse détendue. Et je plonge..

Mes lèvres joignent sa chatte humide et invitante. Ma langue se dépose sur son petit capuchon, je la lèche. Je la mordille un peu. J'aime voir se recourber son dos à mesure que mes coups de langue se font plus insistants et que je fouille les recoins de son intimité. Je suis moi aussi, extrêmement excitée. La découverte d'un autre corps m'a toujours procuré beaucoup de plaisir extra-sensuel, et cette fois-ci, j'ai deux corps étrangers à découvrir..

Parlant du deuxième étranger, je tourne la tête vers lui à l'occasion, pour m'assurer de son confort, mais aussi pour implicitement l'intégrer à mon jeu coquin. Je vois ses yeux briller à la lueur des chandelles déposées sur la petite table non loin de son fauteuil. Il a son verre d'une main et la queue dans l'autre, il se caresse tout doucement.. Je l'invite à venir nous rejoindre..

Sitôt arrivé, il s'installe sur le côté droit du fauteuil et pendant que je fais jouir notre belle complice de mes doigts et lèvres, il lui frotte son gland bien luisant sur les lèvres. Elle ne me fait pas prier pour ouvrir la bouche et le prendre en entier. Notre nouvel amant, Xavier, lui caresse la joue et les cheveux, en signe d'appréciation. Toujours son verre à la main, il en laisse couler quelques gouttes entre ses seins. Je regarde couler doucement le liquide sucré sur le corps de notre complice qui semble apprécier le frisson qui lui procure la fraîcheur du vin. Lorsqu'il atteint enfin son ventre, je le lèche pour le recueillir, sans en perdre la moindre goutte. Un doigt s'insère dans sa chatte devenue toute moite et je sens s'approcher son orgasme à grand pas. Je me mets à sucer son clito, je pousse l'audace à insérer un doigt de plus, je le laisse glisser au rythme dicté par son bassin et l'entend gémir de plus en plus fort, de plus en plus frénétiquement. Je continue de lui donner le plus de plaisir que je le peux, tout en me retenant de regarder Xavier parce que je sais que j'aurai moi aussi envie de sucer son membre viril et bien dressé. Et elle continue à engloutir son sexe de sa bouche entière comme si elle voulait le faire jouir avant qu'elle même ne s'abandonne à cette vague immense de plaisir. Sa main libre rejoint ma tête, forçant ma bouche contre son sexe coulant, m'incitant à de dernières caresses tout aussi jouissives pour elle que pour moi.

Mais je réussis à la faire se tordre bien avant. Petite victoire personnelle.
Je recueille son nectar divin du bout des lèvres, du bout des doigts et j'approche ma main de la bouche de la douce qui semble repue, plus aucune force dans les muscles de ses jambes et les yeux à moitié ouverts..
Lorsque mes doigts approchent de ses lèvres, remplis de sa sève, elle les lèche doucement et la bouche de Xavier joint la sienne.


Puis la mienne.


Tout cela, sous le regard attentif de Laigle, couché sur le lit, se masturbant et attendant comme moi, la suite..


Mamz'elle J xx

11.29.2013

Mon Cadeau de Noël, partie 3..

La langue de mon amant se fait douce sur le corps de la belle. Je me tiens, là, derrière elle et lui caresse la poitrine, soupesant chacun de ses seins, en lui pinçant doucement les mamelons. Sa tête rejetée par l'arrière, elle pousse de petits gémissements fort excitants. J'approche un doigt de sa chatte, contourne sa zone sensible en lui caressant l'aine, les fesses au passage. Mon amant poursuit son manège, embrassant chaque partie du bas du corps de notre complice féminine. Nous sentons tous les trois que la tension est à son comble. Elle veut jouir, son corps le réclame. Et je n'ai pas envie d'attendre.

Je suis la première à initier le contact charnel avec elle. Alors que je lui caresse les seins d'une main, mes doigts atteignent l'entrée humide de sa chatte. Elle est déjà hyper coulante. Aucun doute sur son degré d'excitation.. Je cueille un peu de son nectar du bout du doigt, effleurant au passage son clitoris bien érigé. Je remonte à sa bouche, lui effleure les lèvres. Le plus naturellement du monde, elle tire la langue et emprisonne mon doigt entre ses lèvres charnues. Elle est si belle à voir, dans sa sensualité évidente. Je souris à la vue de cette douce image d'une femme pleinement en contrôle de son excitation. Ses mains jouent dans les cheveux de mon amant. Il ne se fait pas prier longtemps, avant de faufiler sa langue entre les lèvres mouillées et luisantes de sa chatte en ébullition. C'est un gémissement digne de mention qui s'échappe de sa délicieuse bouche. J'ai envie de l'embrasser. La langue de mon amant a maintenant été rejoint de ses doigts. D'où je suis, je me peux qu'être absorbée par les soubresauts de plaisir que ressent la belle sous l'audace des caresses de mon amant.. qui est devenu nôtre. La tensions de ses phalanges dans les cheveux de notre homme s'accentue au rythme des mouvements langoureux. Je le sens totalement plongé dans ce beau projet que nous avons, celui de lui faire vivre des sensations jusqu'ici inégalées..

Lorsqu'elle est sur le point de jouir, je l'attire vers moi pour l'embrasser.
Pas question qu'un orgasme la terrasse tout de suite.
Nous nous embrassons passionnément, pendant que Laigle se relève pour nous caresser chacune notre tour..

Je fais s'asseoir mon amie sur le fauteuil et lui relève une jambe sur un accoudoir. L'obscurité révèle parfois bien plus que la lumière. Je la sens parfaitement à l'aise, offerte et désireuse de sentir mes lèvres s'occuper d'elle à mon tour..


Mais c'est vrai, il reste encore un personnage qui n'a pas participé.. hum!..

Ça ne saurait tarder..




Mamz'elle J xx

11.27.2013

Mon cadeau de Noël, partie 2



Je suis sur le lit et j'attends que quelqu'un se présente, mais tous gardent le silence. J'ai encore la cravate sur les yeux. J'entends les talons de ma copine sur le planche de bois qui sépare la salle de bain du grand lit, elle s'avance vers moi. Elle me fixe. D’un regard vif. Elle s’approche du lit, y déposant un genou, le corps bien droit. Comme pour chauffer un peu les invités masculins, elle joue dans mes cheveux et laisse glisser sa main sur mon épaule, en embrassant mon cou. J'ai les sens en éveil… elle prend ma coupe de champagne, la porte à mes lèvres, en verse tout doucement quelques centilitres dans ma bouche. Elle pose le verre sur la table de chevet et ce sont maintenant ses lèvres qui m'abreuvent..

Dans un jeu de langue exquis et tout en finesse, nous nous embrassons devant les deux hommes, amusés et excités par le spectacle. Elle détache la cravate de mes yeux, laissant la lumière s'infiltrer jusqu'à ma pupille, laissant paraître mon regard extrêmement allumé et rempli de désir. Je me lève du lit, empoigne avec délicatesse la nuque de mon amie, j’approche ma bouche de la sienne à nouveau et nous commençons à nous toucher. J'atteins de la main droite le haut de son dos, en glissant tout doucement vers son corsage, dont j'apprécie les courbes du bout des doigts. Elle a déjà abaissé une bretelle de ma robe et embrasse doucement le début de mon sein. Son parfum plutôt boisé me parvient comme une tonne de brique. Peut-être que ses phéromones amplifient l'odeur délicieuse qui lui sied à merveille. L’un des deux hommes a déjà commencé à détacher ses boutons de manchette et sa pince à cravate afin de se mettre à l’aise, tandis que l’autre boit son verre en nous observant attentivement. Les frissons nous parcourent moi et ma complice, alors qu’en un clin d’œil je la convaincs de se laisser aller…

Le champagne semble avoir aidé ses inhibitions à s’envoler quelques minutes, le temps que la soirée prenne son envol sous des airs plutôt coquins. Je laisse glisser ma main jusqu’à la chute de ses reins, pétris l’une de ses fesses bien découpée et je la sens soupirer de plaisir. Les secondes passent, nos langues se caressent. Nos mains explorent les corps, soupèsent les seins,  profitent de la douceur des peaux nues, parfumées et hydratées. Ma bouche se perd, délaissant ses lèvres pour retrouver ses épaules, sa clavicule, son décolleté. Je l’entends gémir tout doucement. J’aime qu’elle y prenne plaisir.

J’ai déjà détaché son corsage. L’ai déposé sur le lit.
Sa poitrine forte, mais pourtant tellement ferme et pleine, surgit à mes yeux comme la plus belle des surprises. Ses seins ronds et parfaitement dessinés se soulèvent au rythme de ses respirations de la belle, qui semble aux anges. J’empoigne à pleine main son sein droit pendant que ma main gauche se promène sur son ventre, ses hanches, effleurant la bande de taille satinée de sa jupe qu’elle porte maintenant seule.

L’invité s’est assis sur le petit fauteuil dans le coin de la chambre tandis que mon amant est venu me rejoindre dans cette aventure de découverte et de plaisir. Alors que je continue de délester les vêtements de ma belle amie, mon amant s’est déjà agenouillé sur le plancher afin de caresser ses jambes toutes de nylon recouvertes, laissant remonter ses doigts habiles de son mollet au haut de sa cuisse. Je le vois bander à vue d’œil. Il a relevé la jupe de ma copine jusqu’à sa taille, laissant apparaître ses fesses nues et blanches à la lumière tamisée de la chambre. Du bout de sa langue, il dessine un délicieux chemin de son genou à sa fesse, lui faisant soupirer un plaisir certain. Juste un peu plus haut sur son corps, les pointes de ses tétons sont érigées et appellent au plaisir. Je lèche ses seins, mordille ses mamelons de façon très douce, écoutant le langage corporel de mon élégante complice.  Comblée par 4 mains et 2 langues s’occupant de son corps aux formes parfaites,  je la vois sourire et se laisser aller. Je lui fais boire une ou deux gorgées de champagne, de la façon dont elle l’a fait pour moi, portant la coupe à ses lèvres. Je l’embrasse à nouveau pour sentir ce nectar frais sur sa langue douce.

Je détache sa jupe, question de nous épargner les contorsions pour ce qui vient. La pièce de vêtement glisse sur ses hanches, atteignant le plancher où mon amant la récupère pour la joindre au corsage sur le lit. La peau rougie de désir de mon amie combinée à l’atmosphère feutrée et invitante de la chambre ne fait qu’amplifier les envies.

Un fauteuil est aussi disposé de notre côté de la chambre et ne sert à rien pour le moment. J’entraîne mon amie jusqu’à l’endroit où il est disposé et lui relève un genou de façon à ce qu’un de ses pieds prenne place au bord de la chaise, pour laisser libre cours à nos envies. Elle répond à merveille. Je la contourne, allant apprécier la vue sur sa croupe, regardant ses bas chatoyer sous la lueur des chandelles. Quelle vue magnifique. Quelle femme. Tout en douceur, je lui caresse les fesses, le dos, la nuque, embrassant son cou, glissant les doigts dans ses cheveux soyeux.  Le parcours de mes phalanges reprend, sur ses bras, sa taille, ses cuisses… je n’ose pas la toucher tout de suite, même si j’entends d’ici son corps me crier son envie de se libérer sous un orgasme foudroyant.

Mon amant a pris place, de nouveau à genou, mais cette fois, devant elle. Son nez est à peine à quelques centimètres de sa chatte partiellement épilée et je sais qu’il contient son envie d’aller y plonger le nez tout de suite. Mais lui et moi savons que le plus grand des plaisirs naît de l’attente…


11.26.2013

Mon cadeau de Noël

À un certain moment, j'ai cru que mon plan allait flancher.
J'avais pris ma journée de congé et j'étais déjà dans la chambre depuis deux bonnes heures, à préparer la pièce avec de multiples accessoires, chandelles et parfum, à régler le chauffage à une température confortable, faire couler un bain rempli de mousse, et faire jouer un album loundge à faire s'embuer d'elles-même les fenêtres.

J'avais revêtu ma robe noire décolletée avec un bas de soie couleur chair et un soulier ouvert. À mes oreilles brillaient deux petits diamants sur une monture d'or et j'avais enfilé un longue et fine chaîne en or qui passait autour de mon cou et allait s'attacher au bas du profond décolleté de la robe, en poursuivant la courbe de mes seins à la perfection.

À la mi-décembre comme ça, il est fréquent de voir se dessiner une petite tempête à l'horizon. Mais celle qui est prévue pour ce soir et cette-nuit me donne déjà un peu froid dans le dos. Mes invités devraient déjà être arrivés mais je n'ai aucun signe de vie. J'ouvre une bouteille et me verse un verre de champagne. Moi aussi j'ai quelque chose à fêter après tout!


Quelques minutes plus tard alors que j'en suis aux tous derniers préparatifs, j'entend frapper à la porte. Elle se tient devant moi, vêtue de son manteau d'hiver et de sa tuque. Il faut dire que ça casse un peu avec l'ambiance feutrée et intimiste de la Suite, mais je sais qu'elle n'en a pas pour longtemps à être vêtue comme ça. Deux becs sur les joues, les bagages entrés et les bottes enlevées, on se parle un peu de notre journée, me félicite pour le choix de la suite et me fait remarquer le beau paysage qui se dessine sur Québec avec la belle neige folle qui tombe. C'est vrai! Je n'ai même pas pris le temps de regarder dehors. La vue sur la ville me relaxe. Au même moment, il me texte. «J'arrive dans 20 minutes, xx»


«Il», c'est celui à qui je prépare une surprise. Parce que c'est bientôt Noël. Mais surtout parce que notre plan est simple; on se fait une soirée à 4. Je trouve la femme, il me trouve l'homme. Un bon plan, avec lequel je suis tout à fait en accord. J'avais déjà une idée en tête pour celle que j'ai choisie.
Une amie de longue date avec qui je m'entend bien et qui m'a déjà glissé un mot sur ses envies d'essayer à plusieurs.. les soirées bien arrosées ont ça de bon; les confessions sexy de fin de nuit!


Elle se sauve rapidement sous la douche, apportant avec elle un petit sac; sa trousse de la parfaite petite coquine. Elle me dit que le temps de se préparer, elle en a elle aussi pour environ 20-25 minutes.
Je lui sers un verre et la laisse se préparer pendant que je signe la carte de souhaits que j'ai acheté à mon amant..


Le plus drôle dans tout ça, c'est la situation générale de la soirée. Je trouve une amie pour partager une soirée à 4. Cette amie est au courant du nombre de personnes qui sera là, mais ne connait pas les convives. De son côté, mon amant a invité un homme susceptible de me faire passer une belle nuit et qui m'est inconnu, mais les deux mâles ne savent pas qui est mon amie. Il y a une grande part de mystère, qui met la table à une grande part de jouissance selon moi.


À peine 15 minutes plus tard, j'entend à nouveau cogner à la porte. Je sais que c'est lui..
Je replace mes cheveux du bout d'un doigt et fonce vers la porte pour lui répondre. Il est habillé chic et suivi d'une valise à roulette enneigée. Je suis saut au cou, de façon évidente je lui démontre que je suis très heureuse de le voir. Il sourit, il sens bon. Il a mis une cravate.. il veut vraiment me faire craquer.


Il enlève son manteau et me le tend pour que je l'accroche au cintre. Au moment où je lui tourne le dos et m'accroche les hanches et rapproche sa bouche de mon cou. Il a bien remarqué que quelqu'un d'autre se trouve dans la Suite, mais il n,en a rien à faire. Je sens déjà la boss toute dure dans son pantalon se frotter sur ma fesse. Je gémis un petit peu lorsque sa main remonte à mon sein. Ma tête bascule vers l'arrière. Je sens que si j'avais une culotte, elle serait déjà inondée. C'est ce qui explique que je n'en porte pas..


Son téléphone sonne. Il sourit.
Il répond. Ne fait que donner le numéro de chambre, raccroche.
J'ai une surprise pour toi. Mais il faut que je te bande les yeux avec ma cravate pour que ce soit une vrai belle surprise..

Je lui fait totalement confiance. Je le sens nouer la cravate derrière ma tête, sur mes cheveux trop soyeux pour qu'elle tienne sans effort. Je ne vois plus rien. Il me fait boire une gorgée du champagne, m'embrasse et m'amène m'asseoir sur le lit.

Le troisième et dernier invité arrive. J'entend les deux hommes se souhaiter bonsoir, se serrer la main et chuchoter discrètement. Il semble se dévêtir de ses vêtements d'hiver et  il vient me rejoindre, prendre connaissance de la petite salope à la tête de ce projet. Il glisse un doigt sur mon sein, sous le tissus de ma robe, passe son nez sur mes cheveux. Je l'imagine assez grand. Quand sa joue frotte contre la mienne et qu'il vient me dire bonsoir, je constate qu'il est fraîchement rasé et qu'il sent La nuit de l'homme d'Yves St-Laurent
Je souris légèrement.. Mon amant s'approche du lit avec deux coupes dans les mains. Il lui en tend une.
«C'est notre cadeau de Noël ça?» lance-t-il.
Pendant ce temps, ma copine qui a fini de se préparer, sort de la salle de bain dans sa jupe satinée et son corsage orné de dentelles et de fermetures-éclair, qui lui donne un look chic et un brin rebelle.
Les deux hommes ne disent plus un mot, absorbés par le spectacle du déhanchement de mon amie qui a pris soin de relever ses cheveux pour accueillir les doux baisers sur sa nuque, un peu plus tard..


Ça commence drôlement bien notre soirée ça!

Cheers! ...la suite plus tard!


Mamz'elle J xx

11.21.2013

Bientôt 3 ans..

Une nuit passée avec toi et je m'élève sur un nuage de bonheur pendant des jours.
Un lundi bien ordinaire qui se termine sur un lit douillet, couvert de draps blancs, de ton parfum, de nos deux corps.
D'une envie réciproque de faire s'arrêter le temps.
De juste profiter de nos précieuses heures, qui se termineront inévitablement au petit matin.
Oublier que la vie existe.
Oublier que nous avons des obligations chacun de notre côté.
Oublier le travail, les amis, la famille et mettre notre union illicite en lumière.
Ne penser qu'à nous. Ne penser qu'à jouir.
Jouir de notre liberté contrôlée. Jouir de nos mains, nos bouches, nos caresses. Jouir à en perdre la tête.
Jouir comme si c'était les derniers instants de nos vies.
Parce qu'on ne sait pas.

Nos choix sont risqués mon chéri. On pourrait bien devoir mettre fin à tout ça et rayer nos pulsions d'un coup, seulement parce que la vie est ainsi faite. Alors, profitons l'un de l'autre. Comme si nos vies en dépendaient.

À chaque rencontre la même histoire. Une tonne de souvenirs coquins. Un foulard rempli de ton odeur.
Les marques sur ma peau, de ta main crispée sur mon dos, de tes orgasmes jusqu'à l'excès. De nos passages à vides, nos bouffées d'air entre deux plongées, nos précipices amoureux difficiles à éviter.



Je t'aime, tu sais..
Il y a eu un 1er décembre en 2010.
Il y en aura encore un bientôt..

Mamz'elle J xx

11.12.2013

La boniche contre le vampire, partie 7

Désaltérée, couchée sur le torse de Mathieu, je reprenais une respiration normale pendant qu'il me jouait dans les cheveux. Je sentais ma chatte pulser de temps à autre, je serrais les cuisses pour ressentir un tout petit peu de l'orgasme qui venait de me traverser en une vague monstrueuse. J'aimais sentir qu'il se rapprochait. Je traçais un petit chemin de son ventre à son épaule, du bout des doigts, ne laissant que le frisson d'une caresse attentive sur son épiderme. Je l'entendais presque sourire de satisfaction alors que j'étais un peu perdue dans ma bulle et que ma main a naturellement trouvé son chemin jusqu'à son sexe, qui reprenait très lentement vigueur. Je voyais sa verge se gorger de sang. Coucher sur le côté comme je l'étais, sa main avait atteint le bas de mon dos et le début de ma fesse. Je sentais sa main glisser sur la courbe de ma hanche lentement. Je caressait son aine. Mes ongles embrassaient la peau du haut de sa cuisse, et je perdais mes phalanges entre ses cuisses de temps en temps.. Quand j'ai vu sa belle queue suffisamment durcie pour qu'elle tienne dans ma main, je me suis mis à le masturber lentement et doucement. Je faisais coulisser sa belle verge entre mes doigts, avec une légère flexion du poignet et une prise ferme. Ses doigts s'inséraient entre mes fesses pendant ce temps, et il s'amusait à faire bouger le jouet que j'avais encore en moi, depuis quelques minutes déjà. Je m'appliquais à bien caresser sa queue. Je portais attention à sa respiration, à ses gestes incontrôlables de bassin. Il savait que j'avais le contrôle et que j'allais en profiter.. Je sentais sur ma joue son coeur battre, son souffle s'accélérer et je l'entendais déglutir. Il semblait plus qu'excité et ça m'allait parfaitement. Je me suis glissée jusqu'au pied du lit, ma main fuyant sous ses fesses et la langue sur ses belles couilles que le léchait tout en continuant de le masturber énergiquement. Je laissais également glisser ma langue jusqu'à son petit trou de temps en temps, que j'excitais un peu afin de rendre l'expérience plus euphorique. Puis, j'ai poussé l'audace jusqu'à en insérer un complètement en continuant de pomper sa belle queue en incluant un jeu de poignet synchronisé avec ma langue. Je le sentais respirer fort. Gémir. Il m'excitait tellement. Quand il a glissé ses doigts dans mes cheveux en me répétant de ne pas m'arrêter, j'ai su qu'il était sur le point de jouir sur ma langue. J'ai mis encore un peu plus d'énergie, le regardant fixement droit dans les yeux. Et je l'ai senti succomber..

En de longs jets, il a joui dans ma bouche. Sa semence chaude et presque sucrée était exquise. J'ai léché les petites gouttes qui m'avaient échappé puis suis remontée à sa bouche l'embrasser tendrement.

Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre jusqu'au petit matin. Quand je me suis réveillée, il était là à me regarder en asséchant ses cheveux puisqu'il sortait de la douche.
Je souriais, encore un peu endormie...

On a baisé une dernière fois, plus tendrement que le reste de la nuit. Puis, s'est rhabillé pendant que je savonnais mon corps dans la pièce d'à côté. Quand je suis sortie de la salle de bain dans ma robe de chambre de dentelle noire, vêtue dessous que d'une culotte de dentelle rouge, il était sur le pas de la porte.
C'était la fin..


Il m'a pris dans ses bras, embrassant mon cou au passage, et il m'a dit; »Merci pour la magnifique nuit. C'était juste parfait. Je ne m'attendais à rien, mais je n'aurais pas pu imaginer mieux.. »
- Merci à toi. C'est très drôle comme situation..
- Mouais. Je sais. Moi aussi je trouve ça un peu bizare. Tu sais que depuis que je te connais, tu ne cesses de me surprendre avec tes capacités et tes talents cachés? en me faisant un clin d'oeil.
- Tu ne pouvais pas savoir que tu débarquais chez ton employée la plus cochonne non plus.
- Je m'en doutais un peu quand même, haha!

J'ai souri.
- À ce sujet, je ne voudrais pas que tu penses que je couche avec mes employées. C'est la première et la seule fois que ça arrivera. Premièrement parce que je ne crois pas que quelqu'un arrivera à me faire passer une plus belle nuit.. mais aussi parce que..
- Parce que quoi?
- Parce que je ne suis plus ton patron. Hier quand tu es partie du party, j'ai fait l'annonce que j'allais être muté dans un autre bureau. Tes vacances commencent demain et à ton retour, je serai déjà parti. C'est entre autre ce qui explique ma venue ici. Je n'aurais jamais fait ça si j'étais resté avec l'équipe. Je ne peux pas baiser avec une employée.

- Ça veut dire qu'on ne se verra plus?
- Ça veut dire ça, oui. On aura l'occasion de se revoir, mais pas sur les lieux de travail.
- Ah.. voyons le positif, I didn't fuck with the payroll.
- Je dois me sauver..
- Oui. D'accord, vas-y.


Et après le baiser d'au revoir, il est parti. Je souriais.
Le nombre de sextos qu'on s’envoie depuis Halloween pour que nos journées de travail soient moins tristes.. je pense que je lui manque. ;)


Et voilà, mon party est terminé!
Y aura-t-il une suite? J'en sais rien.. mais le souvenir que j'en ai est si beau que je me contente de fantasmer sur ce qu'on a eu.



Mamz'elle J xx






10.30.2013

La boniche contre le vampire.. partie 6

Il a longuement excité ma chatte jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Ses lèvres ont embrassé mes fesses, mes cuisses, mes reins, ses mains on massé mon aine sans qu’il ne s’approche de mon sexe. Il allait me rendre folle.. Mais je ne me donnais pas le droit de manquer une seconde de cette baise qui allait être la seule avec lui de toute ma vie. Je l’avais si longtemps désiré.. 

J’avais une main collée au mur pour me retenir, pendant que l’autre pétrissait mes seins. Je pinçais le bout de mes mamelons doucement, puis plus rudement et je recommençais. Pendant ce temps, le beau Mathieu continuait son manège jusqu’à ce que lui-même n’en puisse plus de tourner autour du pot. Sa main est passée entre mes cuisses et est venue s’appuyer directement sur ma chatte, Je sentais son pouce tournoyer autour de mon clito hyper mouillé et l’entendais gémir bruyamment. Visiblement, tout ce la l’excitait autant que moi sinon plus. 

Le son de ma chatte trempée sur sas doigts avaient multiplié mon excitation et je menaçais de jouir dans la seconde s’il continuait de me masturber aussi bien. Le front contre le mur, j’inhalais en gémissant, ne cessait de lui murmurer à quel point c’était bon. 

Il a glissé le bout d’un doigt dans ma chatte tout en léchant ma fesse. Ça m’a donné un petit répit, mais de très courte durée… un deuxième doigt, puis un troisième se sont faufilé graduellement en moi. Je savais que dans la position où j’étais, l’angle était parfait et ses doigts larges et plutôt longs allaient me faire exploser de jouissance. Il a alors passé son autre main et a branlé mon clito pendant qu’il me défonçait la chatte en me pistonnant de plus en plus fort. 

Je me souviens de sa réaction lorsque j’ai joui et que je me suis mis à «squirter». Le liquide coulait le long de son avant-bras, mon corps était secoué par cet orgasme si fort et délirant. Je ne pouvais plus contrôler les muscles de mon sexe qui cherchaient à emprisonner ses doigts en moi. Quand j’ai réussi à me calmer, pendant qu’il caressait encore tout doucement mon clito en me regardant, je me suis retournée pour le regarder.  Son sourire en disait long sur son état de satisfaction. J’ai su plus tard que c’était la première fois qu’il vivait une pareille chose «live». Que c’était un fantasme pour lui d’être un jour arrosé par une femme-fontaine. Je me suis mise à sourire et reprenais mes esprits quand il a recommencé à me pénétrer la chatte mais cette fois-ci, il y a ajouté une langue habile, insérée délicieusement entre mes fesses pour me caresser le petit trou bien réceptif. J’ai encore jouir sur son bras.  Il aimait tellement l’expérience qu’il s’est seulement contenté de prendre ma main après mon deuxième orgasme et m’a entraîné jusqu’à mon lit, m’y faisant me coucher pour continuer le plaisir. Il a doucement enlevé mes souliers, ne laissant sur moi que le reste de ma lingerie et m’a léché la chatte pendant dix bonnes minutes, faisant exprès pour s’arrêter lorsque j’étais presque sur le point de jouir.

Ma tête me criait de le supplier de me baiser, de me laisser crier et jouir de tout mon être. Mais je contrôlais mon désir et je n’ai eu qu’à attendre que quelques minutes supplémentaires pour ressentir encore une sensation de libération et de bien-être.. j’ai joui, crispant les muscles de mes jambes, agrippant les draps de mon lit sous les soubresauts de mon corps en transe. Je me souviens m’être mordu la lèvre juste avant qu’il n’insère deux doigts dans ma bouche pour me les faire lécher. C’était diaboliquement bon... Le début d’une belle nuit. Et ça n’a pas tempéré mes envies de lui, bien au contraire.. 


Je le désirais comme jamais. Ça se voyait dans mes yeux, ça se sentait en mon corps. Je ne voulais plus détacher ma bouche de la sienne. Nous nous embrassions comme deux amants passionnés. Je prenais ses cheveux entre mes doigts, ses fesses entre mes mains, comme si nos corps se connaissaient et se complaisaient ensemble. 

Je me suis couchée sur le ventre, dans mon lit et il est embarqué sur moi en insérant le bout de sa verge dans ma chatte bien lubrifiée. Je sentais se dilater mon sexe sous les centimètres de sa belle et épaisse queue qui glissaient entre mes cuisses. Ses lèvres réchauffaient mon cou pendant qu'il prenait d'une main ma chevelure en une natte en tirant un tout petit peu de temps en temps pour s'approprier mon attention. Il me faisait languir, n'insérant pas plus du tiers de son sexe à la fois, se retirant, caressant mon clitoris du bout de son gland bien mouillé. Il excitait tous mes sens, me laissait entendre son souffle tout près de mon oreille. Sentir son poids sur moi m'excitait. Je le sentais grogner à mesure qu'il pénétrait ma chatte serrée et coulante.. 

Puis, il s'est redressé en tenant toujours mes cheveux dans sa main. Je le sentais plus sauvage. Il maintenait un peu de son poids sur le bas de mon dos pendant qu'il me faisait relever la tête, du bout de ma natte.
Il a accéléré le mouvement. Je ne me suis jamais sentie remplie de la sorte. Comme si sa parfaite queue s'imbriquait parfaitement en moi, me faisant découvrir de nouveaux plaisirs, de nouvelles zones sensibles. Il coulissait en écartant parfois un peu mes fesses pour voir son sexe entrer et sortir de mon antre. Je le sentais parfois glisser un doigt le long des lèvres de mon sexe pour y recueillir un peu de cyprine, qu'il remontait à mon petit trou avant de tournoyer autour sans jamais s'y insérer.. Il ma faisait patienter. J'étais sous son joug.. Il m'a demandé ce que je cachais dans mon coffre au trésors, en pointant ma table de chevet du menton.. 

Sur ma table de chevet se trouve une grande boite remplie de jouets divers, des menottes, des accessoires et autre. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que j'avais une mine d'or de possibilités. 
Je l'ai vu sortir en premier lieu mes menottes et ensuite mon plug de la boite et lui ai souri.
«Tu souris en plus? Comment je pouvais me douter que mon employée préférée pouvait avoir une si belle collection de jouets coquins sur le bord de son lit.. Tu veux bien me dire à quoi celui-ci sert pendant que j'attache tes mains derrière ton dos?»

-C'est un plug en acier. 
-Mais encore.. 

Il savait autant que moi à quoi servait ce jouet. Mais mon attention était portée ailleurs. À mes poignets. Je sentais qu'il serrait les menottes pour s'assurer que je n'oublie pas que c'est lui qui contrôlait. Que j'étais à lui pour la nuit, à son service. 

- Insères-le dans mon cul..

- Wow Jade, t'es crue. Demande-le moi poliment au moins..
- S'il te plait Mathieu, insère-moi le plug..


Il a retiré sa queue de ma chatte et y a glissé le plug. J'ai senti un secousse quand le métal froid s'est collé contre mon clito. Une fois bien enduit de ma mouille, il l'a retiré, s'est réinséré en moi et a repris mes cheveux dans sa main, mais avec moins de délicatesse cette fois. Mes mouvements étaient restreints. Les mains dans le dos, couchée sur le ventre, je ne pouvais me relever que quand il tirait ma tête vers le haut à l'aide de mes cheveux.

Pendant ce temps le beau Mathieu, attentif, s'amusait à dilater et à retirer la pointe du jouet de mon anus.. 

Je sentais l'objet faire pression sur mon petit trou bien fermé. Pendant que Mathieu prenait possession de mes deux orifices, j'avais terriblement envie de passer une main sous mon corps pour me branler le clito. Dans la situation où j'étais, quelques secondes auraient suffit pour que je sois secouée d'un orgasme fulgurant. mais je ne pouvais pas et ça me prenait aux tripes.. 

Le plug a pris sa place tranquillement. Je sentais Mathieu faire coulisser sa queue en moi pour ressentir le poids de l'objet sur son sexe à travers l'étroite membrane de peau séparant mes deux trous bien pleins. 
Nouvelles sensations pour lui, je le sentais se concentrer pour ralentir la montée de son excitation. Après quelques instants à faire tourner la tête de l'objet dans mon cul, continuant ses pénétrations de plus en plus rapides, il a agrippé mes hanches et ses dents sont venues se souder à mon épaule.  Je le sentais bestial, déchaîné quand il a défoncé ma chatte avec la vigueur d'un homme possédé. Je ne pouvais rien faire d'autre que d'accueillir ses coups de boutoir avec envie de jouissance, alors que je sentais venir en moi l'orgasme du siècle, portée par des sensations encore jamais vécues et des envies plein la tête.. 

Mais avant que je ne succombe, il m'a retournée sur le dos. Toujours attachée, j'étais à sa merci et j'en étais très heureuse. Après avoir glissé une montagne d'oreillers sous mon bassin afin de relever ma chatte pour me pénétrer dans un angle encore plus osé, il a sorti mon petit stimulateur clitoridien de la boite à surprise.


«Tu sais que tu es parfaite? une parfaite petite cochonne. Je ne pensais jamais tomber sur un des pires perverses que j'ai rencontré de ma vie. 
- Tu veux que je sois la plus perverse, détache-moi tout de suite.
- Laisse-moi y réfléchir, j'aime trop avec le contrôle de ton plaisir.. 
- Fais-moi jouir Mathieu, j'en peux plus


Sans se faire prier, il a approché le stimulateur de mon clitoris bien gonflé et sensible et 4 doigts dans ma chatte. Sans plus attendre, dans l'angle parfait, il s'est mis à me pilonner la chatte de sa main pendant qu'il excitait mon clito et que dans mon cul était toujours prisonnier mon plug.
Je voulais mourir de jouissance. En à peine une minute, je me tordais sur le lit et je lâchais de petits cris aigus. Je n'ai pas su garder le contrôle de mon orgasme qui montait et j'ai encore joui en expulsant des centilitres de mouille partout sur le drap et sur le corps de mon amant de passage.. 


J'étais plus que vidée. Le meilleur orgasme que je n'aie jamais eu.
Je suis restée couchée ainsi pendant quelques minutes, incapable d'ouvrir l'oeil ou même de parler. 
Il est allé chercher un peu d'eau et le reste du vin pendant ce temps-là.. 


À son retour, je le regardais à travers de mes paupières à peine ouvertes.

«T'es si belle quand tu jouis, Jade.. je ne me fatigue pas de te faire crier.. »



Je devais reprendre mes esprits un instant. 

Un repos à peine plus long qu'une gorgée de vin..



À suivre

Mamz'elle J xx
















10.23.2013

La boniche contre le vampire, partie 5..

La porte ne s’était pas refermée que déjà j’avais les mains à son cou pour l’embrasser avec la fougue qu’il avait eue une heure auparavant. À la lecture de ses textos torrides, ma chatte s’était enflammée. Une sensation exquise, mais qui menait aussi à un désir bien présent. Mathieu me caressait frénétiquement les seins, les hanches, les fesses avec l’assiduité de l’amant qui ne veut rien manquer.

J’avais glissé mon album de The Mynabirds dans ma chaîne stéréo et j’avais sorti une bouteille de mousseux du frigo juste avant qu’il n’arrive.
Je lui ai enlevé sa cape à la vitesse de l’éclair. Il voulait le contrôle mais ne m’empêchait pourtant pas de prendre l’initiative. Alors j’ai fini par prendre les devants et détacher sa chemise rapidement, détaché sa ceinture et baissé ses pantalons sur mon plancher. Il a enlevé ses souliers rapidement, les envoyant valser plus loin dans mon hall d’entrée et a ôté ses bas avant de s’adosser au mur. Et ses mains dans mes cheveux ont suffi à me faire m’agenouiller, la bouche à la hauteur de son membre toujours dans son sous-vêtement.


Je le sentais tellement dur à travers le tissu de spandex de son boxer. Son sexe avait l’air gigantesque. Ma main semblait toute petite lorsque je laissais glisser mes ongles sur la tige de sa verge. Comme si sa queue cherchait à s’extirper de son sous-vêtement, de mon côté je cherchais à le laisser dans son marasme érotique le plus longtemps possible. C’est ainsi que je promenais mon nez et mes lèvres, expirant parfois une ou deux bouffées d’air chaud pour lui faire perdre la tête. Quand on y pense, ce genre de nuit ne se présente pas souvent.. alors raison de plus pour en profiter.
Ma main caressait tantôt ses couilles, tantôt ses fesses que je prenais plaisir à pétrifier. Je ne me lassais pas de la douceur de son boxer et pourtant j’avais hâte de découvrir l’objet de mes désirs. Adossé au mur, je l’entendais gémir, respirer si fort qu’il me paraissait essoufflé. Il était tellement beau ainsi offert à moi. J’en demandais pas plus…

Au moment où j’ai passé les mains derrière lui pour tirer sur l’élastique de son sous-vêtement, il m’a regardé en souriant. Petite pause. Et j’ai repris avec encore plus d’ambition. Plus de volonté. Et j’ai découvert sa verge. Proportionnelle à sa taille. Bien dressée, bien droite. Un gland parfaitement dessiné, luisant, bleuté. Appétissant.. Son boxer retiré, j’ai pris sa queue de ma main droite et je l’ai relevée pour insinuer ma langue sur ses bourses. D’une lampée douce, je l’ai caressé doucement puis je suis remontée jusqu’à son gland, du bout de la langue, en le regardant droit dans les yeux. Je le sentais heureux. Excité. Je le sentais délicieusement offert et en confiance. De lui émanait un bonheur perceptible d’être là, devant moi et de ne demander qu’un peu de plaisir. Il avait trouvé sa muse pour une nuit hors de l’ordinaire.
Toujours habillée de ma robe de boniche, je le masturbais de ma meilleure main. Avec un mouvement ferme mais pas trop rapide. Lorsque j’ai entouré son gland de mes lèvres humides, j’ai senti tout son corps se détendre d’un coup. Mes mains caressaient son torse et son ventre. Sa peau était chaude. Je laissais mes ongles glisser sur son épiderme et je le sentais frissonner.
Je tenais sa verge de ma petite main pendant que je tentais d’en faire entrer la plus grande partie dans ma bouche. À force d’effort et de salive, j’ai fini par la faire coulisser habilement jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il tenait ma tête pour que je le garde plus longtemps. À ce moment-là, j’avais la ferme impression que c’est moi qui le contrôlait. Son plaisir ne dépendait que de mon bon vouloir. Mais je voulais tellement..

Je l’ai sucé durant de nombreuses minutes et il voyait bien à quel point j’y prenait autant plaisir que lui. J’alternais entre une prise plus serrée, plus profonde, des coups de langue sur son frein et j’enroulais ma langue autour de son beau gland bien lisse. Sa large queue remplissait bien ma petite bouche et mes mains s’amusaient à aller pétrir son cul ou masser ses couilles.

Ça a duré un petit moment d’éternité.

Puis, je me suis relevée. C’est à ce moment qu’il m’a retourné face contre le mur et m’a coincé entre ce dernier et son corps. Écartant mes cuisses d’un mouvement du genou, sa main gauche appuyé contre ma tête pour me retenir au mur et l’autre main a trouvé mon sein. Il le palpait, tantôt avec tendresse, tantôt avec plus de violence. Cette même main a détaché les cordons de mon tablier derrière mon dos et une fois fait il a soulevé ma robe et l’a passé par-dessus ma tête s’aidant de son autre main. J’étais maintenant en sous-vêtement et en soulier verni, sous sa tutelle. Il a tiré un peu mes hanches vers l’arrière et m’a demandé de m’éloigner du mur, d’écarter les jambes plus amplement et de me maintenir au mur à l’aide de mes mains. Je devais rentrer le ventre et lui présenter mes fesses. Tout ceci m’amusait beaucoup. Il s’est alors éloigné de moi, est allé sur la table du salon chercher un verre de mousseux et est revenu la coupe à la main. Il restait là à me regarder alors que je voulais sentir le contact de sa main sur moi, avec douceur ou pas. L’important pour moi était qu’il me touche. Je sentais encore son après-rasage. Je goûtais encore sa queue. Si je fermais les yeux, j’arrivais à sentir ses lèvres dans mon cou..

Mais il ne bougeait pas. Il buvait de petites gorgées bien fraîches, ne me quittant pas des yeux. Le premier geste qu’il a fait a été de replacer une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.

«Je ne pourrais jamais te faire de mal, même si ton corps me le demandais. J’ai tellement rêvé de te voir habillée comme ça. Positionnée comme ça. Offerte à moi comme tu l’es ce soir…»

Il s’est approché de moi et a laissé glisser sa verge sur ma fesse pendant qu’il détachait d’une main les agrafes de mon soutien-gorge. Il a tiré un peu mon épaule pour que je puisse retirer le vêtement et je me suis remise dans ma position initiale. Celle qu’il semblait beaucoup apprécier.

Il a laissé tomber quelques centilitres de son vin sur mon dos. Je sentais le liquide froid couler contre ma colonne, sur ma chute de reins puis être absorbé par le tissu de ma culotte. De bas en haut il a léché le sillon laissé par le spiritueux, caressant du bout des doigts mes seins libres. Tous mes sens étaient en éveil. Il m’a fait boire une gorgée de son breuvage en appuyant sa coupe sur mes lèvres. Puis il est venu s’abreuver à même ma bouche. Comme je me laissais griser par le caractère  extrêmement érotique de la situation, j’étais en pleine confiance, je lui donnais tout le contrôle dont il avait envie.

La bête s’est réveillée en lui et sans m’en attendre, il a laissé tomber une puissante main sur mon cul offert. J’ai gloussé un tout petit peu. Puis une autre. Je souriais.
Il trouvait ça très excitant.

«C’est exactement l’image que je me faisais de toi ma belle.. »

Il a détaché mes cheveux tranquillement, en jouant un peu dedans par la même occasion. Je sentais les soubresauts de sa queue appuyée contre mes reins. Ce sexe chaud qui ne m’avait pas encore explorée. Il a enroulé mes longs cheveux en une natte qu’il tenait fermement de sa main droite. Il tirait un peu sur mes cheveux, pour me redresser le dos. Pour me faire sentir sa présence autoritaire. Pas une once d’appréhension en moi. Puis, il a glissé le majeur le long de mes fesses jusqu’à mon entrecuisse. Puis s’est infiltré sous le tissu délicat et terriblement trempé de ma culotte. Je l’ai entendu gémir de plaisir. De satisfaction. De désir. J’ai à ce moment senti couler un léger filet de mouille jusque sur ma cuisse. Dans cette position, ce n’est pas moi qui avais le contrôle de toute façon.  Et j’adore ne pas avoir le contrôle sur mon plaisir.. Il a laissé tomber mes cheveux pour m’enlever ma culotte. Quand il l’a glissée jusqu’à la moitié de mes cuisses, je sentais le petit courant d’air frais entre mes jambes. Comme j’avais enfilé ma culotte par-dessus mon porte-jarretelle, il avait le grand plaisir de me laisser la pièce de ma lingerie qui l’excitait le plus. Plutôt que de m’enlever ma culotte de façon, disons, traditionnelle, Mathieu me l’a tout simplement déchirée sur le corps. J’ai entendu rugir la bête en lui quand il a brisé le tissu trempé. Puis, il est retourné glisser un doigt le long de ma fente. Ma chatte ne suffisait plus à contenir mon jus. Je coulais comme une fontaine  de cyprine. Il a imprégné ses doigts et est venu les porter à ma bouche pour me les faire lécher. Puis, il s’est agenouillé derrière moi. Je sentais son nez chatouiller l’arrière de mes cuisses alors que ses mains caressaient mon dos et mes fesses. Puis ce fut le tour de sa langue de laisser un sillon de l’arrière de ma jambe au haut de ma fesse. Je mourrais d’envie de sentir s’enfoncer en moi ses doigts larges et plutôt longs. Le sentir pistonner ma chatte à me faire jouir sur sa main.



On amorçait ma phase de découverte entre de nouvelles mains..




Mamz'elle J xx