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10.23.2013

La boniche contre le vampire, partie 5..

La porte ne s’était pas refermée que déjà j’avais les mains à son cou pour l’embrasser avec la fougue qu’il avait eue une heure auparavant. À la lecture de ses textos torrides, ma chatte s’était enflammée. Une sensation exquise, mais qui menait aussi à un désir bien présent. Mathieu me caressait frénétiquement les seins, les hanches, les fesses avec l’assiduité de l’amant qui ne veut rien manquer.

J’avais glissé mon album de The Mynabirds dans ma chaîne stéréo et j’avais sorti une bouteille de mousseux du frigo juste avant qu’il n’arrive.
Je lui ai enlevé sa cape à la vitesse de l’éclair. Il voulait le contrôle mais ne m’empêchait pourtant pas de prendre l’initiative. Alors j’ai fini par prendre les devants et détacher sa chemise rapidement, détaché sa ceinture et baissé ses pantalons sur mon plancher. Il a enlevé ses souliers rapidement, les envoyant valser plus loin dans mon hall d’entrée et a ôté ses bas avant de s’adosser au mur. Et ses mains dans mes cheveux ont suffi à me faire m’agenouiller, la bouche à la hauteur de son membre toujours dans son sous-vêtement.


Je le sentais tellement dur à travers le tissu de spandex de son boxer. Son sexe avait l’air gigantesque. Ma main semblait toute petite lorsque je laissais glisser mes ongles sur la tige de sa verge. Comme si sa queue cherchait à s’extirper de son sous-vêtement, de mon côté je cherchais à le laisser dans son marasme érotique le plus longtemps possible. C’est ainsi que je promenais mon nez et mes lèvres, expirant parfois une ou deux bouffées d’air chaud pour lui faire perdre la tête. Quand on y pense, ce genre de nuit ne se présente pas souvent.. alors raison de plus pour en profiter.
Ma main caressait tantôt ses couilles, tantôt ses fesses que je prenais plaisir à pétrifier. Je ne me lassais pas de la douceur de son boxer et pourtant j’avais hâte de découvrir l’objet de mes désirs. Adossé au mur, je l’entendais gémir, respirer si fort qu’il me paraissait essoufflé. Il était tellement beau ainsi offert à moi. J’en demandais pas plus…

Au moment où j’ai passé les mains derrière lui pour tirer sur l’élastique de son sous-vêtement, il m’a regardé en souriant. Petite pause. Et j’ai repris avec encore plus d’ambition. Plus de volonté. Et j’ai découvert sa verge. Proportionnelle à sa taille. Bien dressée, bien droite. Un gland parfaitement dessiné, luisant, bleuté. Appétissant.. Son boxer retiré, j’ai pris sa queue de ma main droite et je l’ai relevée pour insinuer ma langue sur ses bourses. D’une lampée douce, je l’ai caressé doucement puis je suis remontée jusqu’à son gland, du bout de la langue, en le regardant droit dans les yeux. Je le sentais heureux. Excité. Je le sentais délicieusement offert et en confiance. De lui émanait un bonheur perceptible d’être là, devant moi et de ne demander qu’un peu de plaisir. Il avait trouvé sa muse pour une nuit hors de l’ordinaire.
Toujours habillée de ma robe de boniche, je le masturbais de ma meilleure main. Avec un mouvement ferme mais pas trop rapide. Lorsque j’ai entouré son gland de mes lèvres humides, j’ai senti tout son corps se détendre d’un coup. Mes mains caressaient son torse et son ventre. Sa peau était chaude. Je laissais mes ongles glisser sur son épiderme et je le sentais frissonner.
Je tenais sa verge de ma petite main pendant que je tentais d’en faire entrer la plus grande partie dans ma bouche. À force d’effort et de salive, j’ai fini par la faire coulisser habilement jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il tenait ma tête pour que je le garde plus longtemps. À ce moment-là, j’avais la ferme impression que c’est moi qui le contrôlait. Son plaisir ne dépendait que de mon bon vouloir. Mais je voulais tellement..

Je l’ai sucé durant de nombreuses minutes et il voyait bien à quel point j’y prenait autant plaisir que lui. J’alternais entre une prise plus serrée, plus profonde, des coups de langue sur son frein et j’enroulais ma langue autour de son beau gland bien lisse. Sa large queue remplissait bien ma petite bouche et mes mains s’amusaient à aller pétrir son cul ou masser ses couilles.

Ça a duré un petit moment d’éternité.

Puis, je me suis relevée. C’est à ce moment qu’il m’a retourné face contre le mur et m’a coincé entre ce dernier et son corps. Écartant mes cuisses d’un mouvement du genou, sa main gauche appuyé contre ma tête pour me retenir au mur et l’autre main a trouvé mon sein. Il le palpait, tantôt avec tendresse, tantôt avec plus de violence. Cette même main a détaché les cordons de mon tablier derrière mon dos et une fois fait il a soulevé ma robe et l’a passé par-dessus ma tête s’aidant de son autre main. J’étais maintenant en sous-vêtement et en soulier verni, sous sa tutelle. Il a tiré un peu mes hanches vers l’arrière et m’a demandé de m’éloigner du mur, d’écarter les jambes plus amplement et de me maintenir au mur à l’aide de mes mains. Je devais rentrer le ventre et lui présenter mes fesses. Tout ceci m’amusait beaucoup. Il s’est alors éloigné de moi, est allé sur la table du salon chercher un verre de mousseux et est revenu la coupe à la main. Il restait là à me regarder alors que je voulais sentir le contact de sa main sur moi, avec douceur ou pas. L’important pour moi était qu’il me touche. Je sentais encore son après-rasage. Je goûtais encore sa queue. Si je fermais les yeux, j’arrivais à sentir ses lèvres dans mon cou..

Mais il ne bougeait pas. Il buvait de petites gorgées bien fraîches, ne me quittant pas des yeux. Le premier geste qu’il a fait a été de replacer une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.

«Je ne pourrais jamais te faire de mal, même si ton corps me le demandais. J’ai tellement rêvé de te voir habillée comme ça. Positionnée comme ça. Offerte à moi comme tu l’es ce soir…»

Il s’est approché de moi et a laissé glisser sa verge sur ma fesse pendant qu’il détachait d’une main les agrafes de mon soutien-gorge. Il a tiré un peu mon épaule pour que je puisse retirer le vêtement et je me suis remise dans ma position initiale. Celle qu’il semblait beaucoup apprécier.

Il a laissé tomber quelques centilitres de son vin sur mon dos. Je sentais le liquide froid couler contre ma colonne, sur ma chute de reins puis être absorbé par le tissu de ma culotte. De bas en haut il a léché le sillon laissé par le spiritueux, caressant du bout des doigts mes seins libres. Tous mes sens étaient en éveil. Il m’a fait boire une gorgée de son breuvage en appuyant sa coupe sur mes lèvres. Puis il est venu s’abreuver à même ma bouche. Comme je me laissais griser par le caractère  extrêmement érotique de la situation, j’étais en pleine confiance, je lui donnais tout le contrôle dont il avait envie.

La bête s’est réveillée en lui et sans m’en attendre, il a laissé tomber une puissante main sur mon cul offert. J’ai gloussé un tout petit peu. Puis une autre. Je souriais.
Il trouvait ça très excitant.

«C’est exactement l’image que je me faisais de toi ma belle.. »

Il a détaché mes cheveux tranquillement, en jouant un peu dedans par la même occasion. Je sentais les soubresauts de sa queue appuyée contre mes reins. Ce sexe chaud qui ne m’avait pas encore explorée. Il a enroulé mes longs cheveux en une natte qu’il tenait fermement de sa main droite. Il tirait un peu sur mes cheveux, pour me redresser le dos. Pour me faire sentir sa présence autoritaire. Pas une once d’appréhension en moi. Puis, il a glissé le majeur le long de mes fesses jusqu’à mon entrecuisse. Puis s’est infiltré sous le tissu délicat et terriblement trempé de ma culotte. Je l’ai entendu gémir de plaisir. De satisfaction. De désir. J’ai à ce moment senti couler un léger filet de mouille jusque sur ma cuisse. Dans cette position, ce n’est pas moi qui avais le contrôle de toute façon.  Et j’adore ne pas avoir le contrôle sur mon plaisir.. Il a laissé tomber mes cheveux pour m’enlever ma culotte. Quand il l’a glissée jusqu’à la moitié de mes cuisses, je sentais le petit courant d’air frais entre mes jambes. Comme j’avais enfilé ma culotte par-dessus mon porte-jarretelle, il avait le grand plaisir de me laisser la pièce de ma lingerie qui l’excitait le plus. Plutôt que de m’enlever ma culotte de façon, disons, traditionnelle, Mathieu me l’a tout simplement déchirée sur le corps. J’ai entendu rugir la bête en lui quand il a brisé le tissu trempé. Puis, il est retourné glisser un doigt le long de ma fente. Ma chatte ne suffisait plus à contenir mon jus. Je coulais comme une fontaine  de cyprine. Il a imprégné ses doigts et est venu les porter à ma bouche pour me les faire lécher. Puis, il s’est agenouillé derrière moi. Je sentais son nez chatouiller l’arrière de mes cuisses alors que ses mains caressaient mon dos et mes fesses. Puis ce fut le tour de sa langue de laisser un sillon de l’arrière de ma jambe au haut de ma fesse. Je mourrais d’envie de sentir s’enfoncer en moi ses doigts larges et plutôt longs. Le sentir pistonner ma chatte à me faire jouir sur sa main.



On amorçait ma phase de découverte entre de nouvelles mains..




Mamz'elle J xx

1 commentaire:

  1. Tu écris toujours merveilleusement bien...!!!
    je pense que je mouille autant que toi dans ton histoire....

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