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1.17.2014

Notre petit secret

Ce n’est pas un secret.
Ça doit faire au moins un an que je te le répète. Un jour, j’entrerai dans ta business, te lancerai un regard pervers en me déhanchant comme la pire des salopes, je marcherai l’allée des stylos-billes en sachant déjà que tu me suivras.. J’entrerai dans les toilettes des dames. La porte aussitôt fermée, mon manteau ira s’abattre sur le comptoir de la vanité, je décoifferai mes cheveux et attendrai les secondes défilantes qui t’amèneront jusqu’à moi. J’entendrai les pentures grincer sous l’effet de ta poussée, te verrai apparaître et barrer la porte derrière toi. Sans attendre que je t’adresse un bonjour de courtoisie, tes mains se jetteront sur mes seins, ta bouche se collera à le mienne et nous nous embrasserons de façon tellement instinctive et animale que je me contrôlerai plus le débit sanguin qui affluera dans mes veines. Ta langue forcera mes lèvres à s’ouvrir, tes doigts chercheront les boutons de mon chemisier pendant que j’approcherai encore davantage ta nuque de ma main agressive. Tu me pousseras contre le mur en relevant ma cuisse couverte de nylon le long de ta jambe pour te donner un accès à mon entre-cuisse. Tu sentiras déjà la chaleur de ma chatte bouillante que je tente de contenir depuis mon arrivée dans le stationnement. Ta bouche cherchera à engloutir mon sein droit, que tu auras sorti, affamé, de mon soutien-gorge le plus chic. Nul besoin de te dire que je n’aurai pas pris le temps d’agencer la culotte qui va avec.. je préfère de loin le commando et ses avantages.

Mains aventurières que je possède, j’aurai déjà trouvé la façon idéale de détacher ta ceinture d’une main pendant que j’agripperai ta fesse gauche de l’autre, te rapprochant de moi. Cette journée-là, je porterai mes talons, non seulement pour me faire une plus belle jambe, mais surtout pour que tu puisses me baiser debout, avec un accès à ma chatte plus facile et plus excitant. Mes mamelons durcis sous l’emprise de tes dents et de ta langue pulseront d’excitation presque qu’au même rythme que le sang qui gonflera ta verge bien durcie.

Nous aurons un maximum de 5 minutes, pour ne pas que tes employés te cherchent et découvrent ton petit manège. Pas le temps pour les préliminaires. De toute façon, je suis déjà prête à accueillir tout ce que tu auras à me donner depuis mon entrée dans le magasin.
La main dans mes cheveux, tu m’ordonneras de me retourner en embrassant mon cou et en me faisant me courber sur le comptoir. J’écarterai les cuisses et je cambrerai les hanches pour que tu puisses jeter un œil au torrent de cyprine qui suinte de mon sexe. Tu découvriras du même coup mon bijoux anal, qui remplira ma rose et décorera le territoire en te procurant, plus tard, un feeling que tu n’auras jamais eu avant. Tu y passeras un doigt ou deux pour vérifier mon état et recueillir mon jus que tu étendras sur ta queue pour la mouiller un peu. Prenant mes hanches à deux mains, fermement, tu t’enfonceras en moi sans plus attendre, à un rythme dément et avec vigueur.  Je te sentirai en transe durant de longues secondes, cherchant à retenir ton trop-plein d’excitation. Je t’entendrai râler, rugir du fond de ta gorge pendant qu’approchant le haut de ton corps, tu attraperas mes seins comme s’ils étaient ta propriété. Je geindrai comme une vraie petite cochonne, n’aidant pas à ton sentiment de perte de contrôle. Je saurai à ta respiration que la jouissance sera presque là… D’une main libre, tu branleras mon clito de façon énergique et efficace que je serai à mon tour envahit de cette envie de jouir. Là. Maintenant.
Ton sperme remplissant ma chatte, je jouirai sur ta queue pendant ses derniers soubresauts.
Dernier coup de bassin avant de te retirer, je sentirai ton corps faiblir sur le mien. Dans de longues expirations qui dureront quelques secondes, nous sentirons cette complicité et cette satisfaction commune, avant de rire de bon cœur de ce qui vient de se passer.

Je me rhabillerai rapidement, t’embrassant au passage. Je quitterai la salle de bain la première, à la recherche d’une babiole inutile dans une rangée de magasin que j’aurai empruntée par souci de camouflage.

Tu remonteras ton pantalon de travail en attachant ta ceinture, sortant de la salle de bain une ou deux minutes plus tard, pour ma laisser le temps de me rendre à la caisse.
De retour devant la porte de ton bureau, tu me lanceras le plus beau des sourire alors que la caissière, ne se doutant pas de ce qui bouille en moi, me remettra ma facture et mon sac.

Je partirai, tu retourneras à tes dossiers et nous n’en reparlerons plus..


Et ça, ça restera notre secret! 



Mamz'elle J xx

1 commentaire:

  1. Oh ! J'aimerais travailler là !
    T'en portes de jolis coQuins de bijoux, Mamz'elle J <3<3<3

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