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12.11.2013

Mon cadeau de Noël, partie 6

Lorsque nous nous sommes relevées de notre position à genoux elle et moi, j’avais envie de continuer à explorer son corps. Sitôt sur mes pieds, je me suis remise à l’embrasser passionnément. Je goûtais encore le foutre de Xavier sur sa langue, m’amusant à la caresser de la mienne. Ma bouche s’est longuement attardée à la sienne également, tandis que je me laissais bercer par les battements de mon cœur qui s’accentuaient à mesure que les secondes passaient. Nos seins gonflés à bloc, non mamelons érigés s’entrechoquaient dans nos mouvements délicats, et parfois ma main allait en pétrir un entre une caresse sur sa fesse et une sur sa joue. J’adorais le mélange de délicatesse et de fougue de notre échange charnel. Le véritable but de tout ça était de faire plaisir aux deux messieurs qui n’avaient d’yeux que pour nous, et encore…

Laigle commençait drôlement à avoir envie de s’occuper de moi. Et moi donc.. il m’a donc volée à notre belle complice et m’a entrainée sur le lit pour m’embrasser à son tour. Baiser délicieux, imprégné de sa tendresse habituelle. Son parfum exquis a atteint ma tête, déjà un peu envahie de bulles et de fantasmes..
Nous avons fait comme si personne d’autre n’était dans la chambre. Nous nous sommes touché, léché, caressé, mordillé, nous sommes parlé de façon plutôt crue et en avons même profité pour accentuer le plaisir.  Il a sorti d’un petit écrin de velours une paire de pince-mamelons serties de jolies billes de couleur. Je n’avais jamais eu la chance d’expérimenter ce genre de doux supplice ave lui. J’ai poussé un tout petit cri quand il a relâché la pression sur la première pince afin de la fixer à mon sein. Douleur délicieuse. Puis la deuxième, après avoir longuement léché et sucé mon mamelon pour le faire durcir encore plus que ce qu’il était. Il m’a fait boire une autre gorgé de bulles pendant qu’il me bandait les yeux à nouveau.. Et il a étendu une nouvelle couverture sur le lit. Une couverture doublée.  J’ai senti quelque chose de froid entourer mon poignet droit. Laigle avait un plan figurez-vous donc..
 Après m’avoir attaché les mains à la tête du lit à l’aide de deux paires de menottes de métal hyper lourdes qui ne ressemblaient pas du tout au genre de truc qu’on vend dans les sexshop, il a pris deux longues bandes de ruban en latex rose, les a enroulé autour de mes chevilles et ensuite  fixé au pied du lit. J’étais à présent offerte à tous, mais totalement dans l’inconnu.

Une odeur que j’adore s’est infiltrée à mon nez. Une odeur qui éveille en moi des envies de masturbation chaque fois que je la sens. Une odeur d’huile à massage..
Laigle en a versé quelques gouttes dans ses mains avant de les frotter vigoureusement pour réchauffer l’huile et a laissé glisser sa main sur ma cuisse ouverte. Remontant à mes seins, il m’a glissé quelques mots pervers à l’oreille. Je pouvais presque l’entendre sourire. J’adore cette impression qu’on a un sens de la communication à ce point aigu l’un pour l’autre.
J’ai senti ensuite une trainée d’huile couler sur mon ventre, mes seins, mes jambes, mon aine. Les mains de Laigle étendre la-dite substance.. et deux autres mains le rejoindre..  hmm..



Mamz’elle J xx

2 commentaires:

  1. Ca ne se dit pas pour une fille...Mais ma langue traîne par terre!
    Et lape une flaQue...

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  2. Délicieux univers ... à suivre en buvant du champagne

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