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3.26.2012

Mots-Clé

Y avait ça dans les mots-clés de recherche de mon site.


« campagnarde naive arrive chez cousine cochonne »



T'as trouvé ce que tu cherchais? ;)








3.25.2012

++ L'indiscrétion, du bout des doigts. ++

Un avantage à aller au cinéma en après-midi, c'est que les cinéphiles de soirée n'y sont pas. À partir de là, une multitude d'autres avantages s'ajoutent.

J'avais promis à mon copain de le rejoindre aussitôt le travail terminé. Cette journée-là, je faisais un remplacement de dernière minute, mais je savais que j'allais pouvoir me pousser beaucoup plus tôt que prévu. Je m'étais rendue au Cinéma Cartier, petit établissement où on ne diffuse que des films à auditoire très petit. Et pour cause, les films diffusés ont un public-cible disons.. assez restreint. Qui se lève un bon matin en se disant; «Tiens tiens, si j'allais voir un film allemand sous-titré en hébreux en ce bel après-midi printanier?» Certainement pas moi...

Je reçois, vers 13h45 un texto de mon chum, me disant qu'il doit rencontrer un client dans un café du coin. Il sera donc en retard à notre rendez-vous. Bon. Alors, je me réfugie chez Pinoche, pour consoler ma peine dans les bonbons et décide d'aller jeter un oeil chez Sillons, pour me procurer le (pas si) nouveau de Dumas.

Puis, sa rencontre est terminée. Dévorant ma poignée de jujubes, je vais le rejoindre au guichet du Brunet et il me demande ce qu'on fait. J'ai envie de lui dire; On file chez-moi et on baise à tout rompre, voyons! Mais.. je lui dit; J'ai vu qu'on diffusait un film pas trop mal en haut.. on y va? J'arrive à le convaincre sans trop de manœuvre.

Il paie à la billetterie. Deux fois rien. Il ne sait pas tout le plaisir qu'on aura à ne rien comprendre de cette histoire morne qui jouera devant nos yeux. On s’assoit dans la première rangée. Le film est commencé, mais personne d'autre ne figure autour. Finalement, on parle de notre semaine plus qu'on ne regarde le film. Je continue de manger des bonbons quand, en en prenant un, il l'échappe sur mon banc, et le bonbon s'infiltre entre mes cuisses.. par réflexe je crois, il étire sa main pour le ramasser quand, en remontant, il découvre mon absence de culotte sous ma jupe d'écolière.. Tout de suite, la chaleur de sa paume me fait plaisir. Jetant un oeil rapide autour, il continue d'effleurer cette chatte épilée tout en fixant mes yeux. «Tu sais, ce n'est pas parce qu'il fait 15° dehors qu'il te faut te mettre à te déshabiller pour te promener dans la ville.» Ma sucette me servait bien... la léchant à pleine langue, me croyant probablement un peu infantilisée, je me suis mise à frotter ma cuisse de ma main droite, tout en m'excusant faussement à son endroit pour la grossière indécence que je venais de commettre. (Insérer ici un clin d'oeil éloquent.)


Je le sentais devenir plus dur à force de masser sa verge à travers son jeans. Il était visiblement gêné, mais aussi très excité... j'ai la chance d'avoir ce qu'on appelle une «perte d'inhibition contrôlée» quand je me fais bourrer en public. Je me suis déjà fait baiser par mon amant sur la table de cuisine qui faisait face à la terrasse alors que la porte était toute grande ouverte.. et puis bon.

Quand je sens qu'il est temps de faire de mon plaisir le sien, je trouve le moment de m'agenouiller opportun.

Et je sentais l'intérieur de mes cuisses s'humidifier à chaque secondes.. je frottais mes jambes ensemble, discrètement, question d'exciter mon petit bouton un peu davantage.. j'avais tellement envie de jouir, là, à cet endroit, à ce moment.

Son regard croisa mon jeu de jambes, devenant un peu moins subtil, j'imagine.. il tira donc ma cuisse droite un peu, pour avoir l'espace nécessaire pour y glisser un doigt,, puis deux.. je descendais les fesses sur mon siège à mesure que son appétit le faisait devenir plus insistant.. son pouce valsait, enduit de cyprine sur mon clito bien gonflé.. je me retenais de faire du bruit, tenant ma sucette au bout de ma langue.. d'un coup, sans trop m'avertir, il a introduit 3 doigts et avec force, il me baisait la chatte de sa main, pendant que j'étais au bord de l'agonie, la tête renversée sur le dossier de mon banc, prête à déverser le jus de mon plaisir sur le tapis du cinéma juste dessous.. j'arrivais à peine à me contenir, et mon chum, voyant que je me retenais, a redoubler de vigueur, m'a pris la tête pour approcher mon oreille de sa bouche et m'a dit : «T'avais juste à pas faire ta petite salope. La prochaine fois, tu y penseras deux fois avant de t'exhiber comme ça. Allez, jouis, mouille le tapis..» Alors, j'ai littéralement explosé et en un spasme intense, j'ai mouiller non seulement le tapis.. mais aussi l'avant-bras de mon copain, comme un relâchement de tout le plaisir que je ne me donnais pas le droit d'avoir.

Mon copain s'essuyait les mains partout sur mes cuisses, me couvrait de mon plaisir, laissant des traces de ma jouissance sur mon corps, m'exposant au regard des gens que nous allions croiser dehors. Quand j'ai repris mes esprits, mon copain avait déjà sorti sa queue de son pantalon et attendais que je penche la tête pour le lécher avidement. Comme chaque fois que j'ai joui, ma faim de l'autre augmente et entre le moment où j'ai ouvert l'oeil et le moment où je me retrouvais à genoux devant lui, quelques secondes à peine sont passées.

Dès lors, ma main caressant sa verge aidait d'un mouvement rotatif à caresser toutes les parcelles de son sexe. Ma langue valsait sur mon gland, insérant au passage sa queue complète jusqu'au fond de ma gorge. Je m'amusais à être la bonne salope que je suis, et parfois, ma main se rendait sous ma jupe pour recueillir un peu de ma cyprine pour l'étendre sur son sexe au passage. Je me goûtais, je le goûtais.. j'ai sérieusement pris mon pied.

Cet après-midi-là, j'ai fais une pipe à mon chum en plein milieu du cinéma. Nous ne sommes certainement pas les premiers et non plus les derniers. Mais, il m'en parle encore.. «Une chance qu'on était seuls.. imagine.»

..et il ne sait toujours pas que le jeune homme en régie était lui, bien présent dans la salle.

2.28.2012

Falling In Love Is Hard on Knees - Une histoire d'Aerosmith

Il s'en est fallu d'une rencontre. Un petit bar à chansonnier, là où tout le monde est déjà allé faire un petit tour ici à Québec. Mes amis m'y avaient traîné pour me changer les idées et là-bas, un autre groupe de connaissances nous avait joint. Ce soir-là, la musique était particulièrement bonne. Moi qui adore les groupes des années '80, j'étais servie! J'avais passé les 3 mois d'avant à nager dans les pensées un peu morbides de la fille qui venait de se faire jeter et j'en avais assez de me remémorer tout ça. Ce soir-là, armée de mon khôl sur les yeux et d'un décolleté, de mon nouveau corps présenté sur des talons hauts, j'avais fait fureur auprès de mes «chums». Pour la première fois depuis si longtemps, j'avais abandonné mes «joggings» et ma veste, ma casquette habituelle et mes bas de laine. Véritablement, je ne suis tellement pas féminine au quotidien. Mais durant cette période de déprime, j'avais carrément laissé tomber tout sens esthétique.

Mais ce soir-là, ça me tentait de sortir. J'avais passé la journée à prendre un soin attentif de mes cheveux, choisir mes vêtements et tant qu'à faire, pourquoi ne pas aussi oser les sous-vêtements sexy... il y a si longtemps que je m'étais sentie désirable, observée, voulue. Ma mémoire n'avait gardé enregistré en moi, que les mots qu'avait prononcé mon ancien copain, des termes peu élogieux et extrêmement destructeurs.. J'en suis arrivée à croire que je n'étais en fait que le reflet qu'il m'envoyait de moi-même.

J'avais envie de changer d'air, d'aller voir ailleurs si j'y étais.
Je m'étais bien entourée. Quelques bonnes amies toujours prêtes pour le fun, un charmant bonhomme du nom de Jonathan pour me tenir compagnie et pour «noter» les fesses des mâles qui se jetteraient à nos pieds, et un solide gaillard au cas où on recroiserait le Trou Duc..


J'avais visiblement réussi à cacher mes cernes sous les yeux, ma peau usée par les larmes et la sécheresse de mon appartement dans lequel je gardais le chauffage à 27° pour me réchauffer mieux que ses bras ne l'avaient fait. J'avais réussi à appliquer, de ma main encore un peu tremblotante, du vernis à ongle violet. Mes yeux s'étaient ornés de milles étincelles et de 4 couches de mascara épaississant tandis que j'avais appliqué un peu de «blush» sur mes joues. Mes cheveux bruns méchés de blond devenus longs sous l'emprise de mon élastique, avaient été détachés, frisottés et venaient tomber sur mes épaules, décorés par une pince scintillante. J'avais mis les boucles d'oreilles reçues par mon père à mon dernier anniversaire avec lui. Je me vêtissais donc de sa protection du même coup. Lorsque le temps est venu d'enfiler mes vêtements, je me suis juré de laisser à la maison les pensées négatives et d'aller de l'avant. J'avais acheté de la lingerie en matinée, simplement pour reprendre goût à la séduction. Mon soutien-gorge était accroché à mon crochet de salle de bain, encore sur le cintre. Je le regardais et le trouvais vraiment magnifique. D'un vert émeraude garni de dentelle noire, avec une petite décoration de cristal entre les seins. Sur la culotte, un ruban noir de satin garnissait la taille et se joignait aux extrémités par le même cristal qu'au bustier. Une amie à moi qui travaillait dans le rayon de la lingerie chez La Baie me l'avait offert à moitié prix. J'avais choisi un joli chemisier de style oriental, tout en satin et un peu transparent de marque Alfani, avec manche évasée et grande ouverture sur le col, pour laisser entrevoir mon nouveau bijou de lingerie.


J'avais enfilé un pantalon-cigarette et des talons de couleur chair, comme la tendance le voulait. Pour la première fois depuis longtemps, je me regardais et j'avais un look d'enfer. Mes 3 derniers mois à ne pas manger m'avaient donné une silhouette pas si mal! Mais, pas question de continuer ce martyr. J'avais le ventre qui criait ma faim et ma bouche qui refusait d'ouvrir.

Je suis sortie de l'appartement avec un «trench coat» et ma bourse. Dehors, le printemps avait installé sa chaleur pour de bon et c'était exaltant d'avoir en moi cette belle sensation de respirer de l'air frais, enfin!
Mon taxi m'attendait au coin du stationnement. Montée à bord, j'ai appelé mes amies pour leur faire part de mon arrivée dans 10 minutes environ et la tête dans les nuages, je me suis engagée envers moi-même à me faire plus souvent ce genre de journée.



Au bar, on affichait presque complet. Heureusement que le rassemblement pour ma «sortie de ma tanière» nous donnait quelques places juste devant la scène, sinon la soirée serait tombée à l'eau. Là-bas, quelques 20 personnes m'attendaient pour fêter mon retour à la vie! Je suis entrée comme une star! J'étais accueillie par cette horde de fêtards déjà sur la sangria! J'ai reçu des caresses de bienvenue de tout le monde. Ça m'a tellement fait chaud au coeur.

La soirée avançait bien. La première partie du spectacle principal avait été bonne, des hits de Metallica et des Cowboys Fringants avaient mis le feu dans la place! J'en étais à mon 2e verre de sangria et j'en avais déjà les pommettes rouges! Le deuxième groupe s'est installé tranquillement. Derrière la fumée de la machine à glace sèche qui s'était brisée durant la première partie, 5 gars branchaient des guitares, cherchaient des pics de guitares et des pédales à distorsions perdues dans je ne sais lequel de leurs coffres. Dans un élan de spontanéité, un de mes amis est parti au pas de course demander au chanteur de bien vouloir souligner ma présence à la foule et de nous jouer une chanson de mes préférées..


Puis, quand à 22h30, le premier accord a retenti, les présentations furent faites. J'ai à ce moment entendu le fabuleux accord de «RÉ» du début de Sweet Child ô Mine, ma tête s'est retourné vers le guitariste et nos yeux se sont croisé. Je le regardais, il me fixait. Deux imbéciles qui souriaient à tout rompre, ne regardant que l'autre, oubliant tout.. Et moi donc!



Il se donnait à fond sur sa guitare, faisant un solo du tonnerre et saluant la foule de sa fougue, le pied sur le moniteur et la passion au fond des tripes. La première heure fut résolument «rock» comme je les aime!


À la pause, il est venu me parler. M'apportant une pinte de rousse et gardant sa bouteille d'eau minérale, il est venu me souhaiter «bon retour à la vie» personnellement, s’asseyant près de moi et me fixant le fond du regard à chaque mot. Je buvais ma sangria en tentant de le faire se détendre un peu, j'en profitais pour laisser planer le doute sur ma situation maritale, sur mes envies charnelles et même sur mon identité. Après un bon 40 minutes à rire et à se raconter nos histoires de bar, il a dû retourner sur scène. Quand il est parti, m'invitant à chanter avec eux durant la deuxième partie, je ne savais ce que ça allait entraîner. Je ne sais par quel phénomène il savait que je chantais. L'invitation lancée, la chanson choisie et la tonalité donnée, le décompte avant  le début du fun se faisait sentir.

Vers minuit, quand il m'a invité à monter sur scène, je sentais le sang bouillir dans mes veines. La scène était, il y a si peu longtemps, l'endroit où je me sentais le mieux au monde. Mon «comeback» à la réalité m’entraînait sur de dangereux excès de plaisir ce soir-là! Le micro en main, l'envie de faire lever les foules, notre version plutôt «rock» de Crazy D'Aerosmith a eu l'effet escompté. Ma chanson terminée, je voyais les étoiles dans ses yeux, ébloui, terrassé, bouche-bée. D'un clin d'oeil, je suis repartie vers ma gang sous les applaudissements de l'assistance..

Il s'est passé quelques heures entre le moment où je suis descendue de scène et le moment où je me souviens avoir dans ma bouche la queue du guitariste dont j'égare encore le nom, Martin je crois. Un accès privilégié aux loges VIP. Et là, j'ai compris que ça voulait dire «Very Impressive Penis».

Tout dur sous ma langue, la bête de Martin devait atteindre ma gorge avant même que je ne ferme les lèvres sur sa tige. Ma petite main faisait à peine le tour de sa verge tandis qu'il passait ses longs doigts dans ma crinière toute frisée pour me baiser la bouche avec encore plus de vigueur. Mes yeux tout brillants lui faisaient voir à quel point j'étais excitée. J'avais tellement envie qu'il m'arrache mes vêtements sur un des coffres remplis de fils et de matériel électronique, qu'il me fasse sentir que son seul désir est de me baiser bestialement, nos vêtements étendus à la grandeur de la loge, et que mes cris résonnent sur les murs de pierre décoratifs.  J'avais tellement envie de baiser. De façon animale. De façon physique. Pas besoin de savoir le nom, le numéro ni le nom de la mère de mon adonis. J'avais juste besoin d'un bonne grosse queue en moi, me défonçant la chatte comme nul autre, laissant ses doigts s'insérer dans la bouche, dans mon cul, récupérer le jus de ma chatte et l'essuyer aux commissures de mes lèvres pour que je me goûte encore et encore.. J'avais juste envie de me sentir baisable. Pas belle, ni désirable, ni même magnifique. Non. Baisable. J'ai fait s'asseoir Martin sur le fauteuil de cuir et je l'ai enjambé pour avoir main mise sur sa belle érection. Me laissant aller, la tête derrière et la bouche entrouverte, je me déchaînais sous le plaisir des caresses reçues par Martin.  J'ai joui dans un spasme déchirant. Je sentais la queue de Martin recevoir les contraction des muscles de ma chatte, pendant que je m’agrippais à ses épaules et à ses hanches, le souffle court et les yeux fermés.

Je me suis rhabillée en vitesse. Lui pareil.
On s'est laissé en deux becs sur les joues. Il m'avait donné son numéro, sur l'enveloppe du condom extra-large utilisé. Ouache. Un vrai musicien...

Sa tournée s'arrêtait à Québec que 2 mois plus tard... aussi belle fut sa queue, je n'avais aucune intention de le revoir. Apparemment, monsieur avait eu un véritable coup de coeur pour moi, qu'il voulait remettre ça! Moi, j'avais pris mon pied avec beaucoup de plaisir, mais je ne voulais pas d'homme dans ma vie, aucun. Pas même l'ombre d'un parfum de mâle dans mes draps ou les traces de ses boxers dans mon lavage.

Mais quel plaisir! ;)


Et vous, quel fut votre plus beau one night?




Mamz'elle J

2.26.2012

Lettre de Laigle - 24 février 2o12

Je voudrais te voir sur le lit, tes mains en avant, ta tête enfoncée dans l’oreiller, les fesses pointées vers le haut, la chatte en attente qui dégouline 
Moi derrière toi qui te regarde m'attendre.
Tu attendrais pour voir si je te touche avec mes doigts, ma bouche ou ma queue.
Moi je regardrais ta chatte avec tant d'envie.
L’envie d'y enfouir ma langue, mon sexe ou mes doigts....
Ton envie serait visible, le mien aussi
Je verrais le bout de mes doigts te caresser doucement, en t’effleurant
Mes 2 mains prendraient part aux caresses
Je me servirais de mes 2 mains pour t'écarter les jambes
Pour t'écarter les fesses
Pour t'écarter les lèvres
Mes lèvres se colleraient aux tiennes

Je te regarderais la tête abandonnée sur l'oreiller
Tes mains attachées en avant, qui ne cherchent plus à changer de place
Mes mains parcourraient tes cuisses, ton entre-jambe
Une main se fraierait un chemin jusqu'à ton clito
L'autre main irait doucement caresser la partie la plus intime de ton magnifique cul
Ensuite, mes mains se mettraient à valser ensembles
Valser avec un rythme aussi excitant pour ton clito que pour ta petite rose
Une danse douce et subtile
Puis des mouvements avec plus de tension
Je sentirais ton clito si gonflé, ta chatte si mouillée, ton cul si excité
Mes mouvements sur ton clito seraient plus soutenus.
J'attendrais ces petits gémissements de plaisirs
Je chercherait à aller trouver tes profondeurs et cela m'exciterait
M'exciter au point ou il faut que je te pénètre
Je m'enfilerais en toi
Je m’enfilerais si facilement dans ta chatte si humide
Je serais en extase au premier coup de bassin
Ma main qui a laissé ton clito te prendrait par la hanche pour guider mes coups
Je pourrais te tirer fort sur mon pieu afin d'atteindre le fond de tes entrailles
Te donner des coups de basin.
Te tirer vers moi pour que tes fesses claquent sur mon ventre
Mon doigt qui est encore dans ta rose et qui bat la cadence avec mon corps
Plus les coups pleuvent et plus tes fluides se déversent
Plus les eaux pleuvent, plus mon excitation est grande
Je te baiserais avec ardeur
À essayer de t'enfoncer la tête au travers de l'oreiller jusqu'au mur
À plonger ma queue dans tes profondeurs les plus intimes

Je serais sur le point de jouir
Je te retournerais en vitesse sur le dos
Les mains encore attachées au dessus de la tete
Je m'approcherais de toi en te regardant dans le yeux
J'approcherais mon gland de ta bouche ouverte, en attente
En attente de mon gland qui serait sur le point d'exploser
C’est à ce moment que j'expulserais ma semence dans ta bouche
Tu capterais tout ce que j'aspergerais
Comme une bonne petite salope
Comme ma petite salope préférée...

2.19.2012

Le premier homme de ma vie à m'avoir fait connaître l'orgasme, la main à la gorge..

Ce soir là, j'ai du dire «adieu» à l'un, et «je t'aime» à l'autre. Je m'étais retrouvée dans la pénombre de mon appartement, dans une solitude frappante, avec quelques bières blondes et un surplus d'émotions.
Ce soir-là, j'ai entouré la date sur mon calendrier, ce fut la dernière fois que je lui ai écrit.
J'ai omis certains détails. J'ai omis les plus importants. Les plus frappants. Les plus empreints de cette foule de sentiments à son égard, puisque pour lui, j'étais devenue de l'histoire ancienne, une baise, une ancienne amante un trou.. ou deux. Ce soir-là, assise sur le pied de mon lit, j'étais à mi-chemin entre l'engourdissement de mon taux d'alcool en montée grandissante et mon insuffisance respiratoire causé par les pleurs qui ne voulaient plus s'arrêter..

Ce soir-là, j'ai réalisé que je n'avais plus aucun autre argument à donner, aucune autre excuse à fournir, que je n'avais plus à me demander ce à quoi tenait ce lien entre moi et lui. J'avais reçu un courriel assez clair, direct, qui allait droit au coeur. Il me disait qu'il en avait assez de moi, de mes invitations, de son impression de toujours se sentir le bouche-trou quand je l'appelais pour le voir pensant que ce n'était que parce que les autres ne pouvait pas se libérer pour moi. Pauvre lui... s'il savait. S'il savait à quel point ce n'était pas du tout ça, à quel point les imprévus de la vie sont faits ainsi et que je respectais maintenant mes envies. Et puis, j'ai ouvert une autre bière.

Ce soir-là, je me suis dit que j'étais juste trop conne, que je ne méritais pas de me faire du mal pour une relation qui ne m'apporterait jamais de bonheur, une relation à laquelle j'avais mis plus d'espoir que l'autre parti l'avait fait..  je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais je ne devais pas m'en vouloir non plus.

Pourquoi je pleurais? Je suis une grande sentimentale, je sais. En dépit du fait que j'avais eu maintes et maintes fois le coeur en miettes à cause d'incidents tellement pas graves de ce genre auparavant, rendez-vous remis, actes manqués, gardienne indisponible, visite de la famille - ses imprévus à lui, quoi! - je me suis juste remis les yeux dans les orbites; ça allait finir par se terminer ainsi de toutes façons. L'un ou l'autre en aurait marre des rencontres prévues que pour baiser ou encore des attentes inégales de l'un face à l'autre. Un parti en couple et qui ne cherche pas de relation rigide en à-côté, un parti célibataire qui ne veut absolument aucun engagement, peu importe la nature de la relation.

Ce soir-là, après mes 4 bières et mon estomac qui me criait à l'aide,  j'ai compris que c'était sans issue. Je devais accepter sa déception et si j'avais été impulsive et émotionnelle, je lui aurait certainement écrit un long courriel, lui racontant le pourquoi du comment, les mille raisons qui faisaient en sorte que je préférais attendre, remettre, replanifier... mais je ne crois pas qu'il l'aurait lu. Je ne crois pas qu'il aurait apprécié. Je crois juste que pendant ces deux belles années où j'ai fais des pas de géant au niveau personnel et émotionnel, il est passé dans ma vie comme chaque personnes que j'ai laissé entrer dans mon petit «club sélecte» mais qui n'y sont pas restés par manque d'intérêt ou par cheminement de vie différent. Il a laissé une trace bien sur indélébile, il m'a appris énormément sur les relations humaines, sur la façon d'aborder les défis de la vie et du quotidien. Il m'a appris à ne pas craindre mes limites et à équilibrer mes capacités à mes envies.

Il m'a tout appris, a été le premier homme de ma vie à me faire connaître l'orgasme, la main à la gorge. Il m'a fait comprendre qu'il ne fallait pas chercher à enterrer ces envies, ces pulsions, ces désirs un peu tabous de la société. Il m'a appris à me laisser aller, à avoir confiance quand je m'abandonne à quelqu'un. Il m'a laissé cette envie de poursuivre dans l'univers du SM, ayant été le premier Maître que j'ai connu. Indéniable que je me souviendrai toujours de qui je fus la petite salope pour la première fois. Je me souviendrai à jamais du premier à m'avoir baiser la gorge, à avoir élargi mon cul, à avoir laissé des marques de dents sur la peau de mes seins.

Je ne suis pas amère. J'ai mes raisons, qu'il ne voudrait pas entendre. Il les a déjà entendues. Il ne les aime pas.. je sais pas. Il n'y en a plus d'argument de toutes façons. Le manque de temps ou d'énergie, le travail, la famille, la mortalité, la maladie, les périodes d'indispositions féminines.. Chaque imprévu ayant fait parti des raisons a suscité une réaction différente; indifférence, déception, colère, compréhension et accommodement.

Je repense à ces soirées où l'on avait tellement de plaisir. Les sourires auxquels j'ai eu droit, les discussions, les conseils, les anecdotes et les récits qu'il m'a racontés resteront dans ma mémoire. Je cherchais une aventure et un peu d'attention; j'ai reçu une liaison de deux ans et beaucoup de bonheur.

Je sais que tu lis ceci présentement. Je sais que tu te reconnais. Ce n'est pas que je range les armes, mais je crois que tu as raison. C'est la fin..


Merci pour tout, mon jambon préféré. Je ne t'oublierai jamais.



J

2.11.2012

Aimer à temps partiel.

Le temps est une ressource irrécupérable et non-réutilisable.
L'amour est une ressource infinie et adaptable à tous types de relations.

Je suis là, à courir tous les jours, entre 3 emplois, 55-60 heures par semaine, à me démener pour patrons et collègues entre heures supplémentaires et remplacements, comme on ne le ferait pas pour moi.

D'un autre côté, on est là à m'aimer, à vouloir me voir, me parler, me sentir, me baiser.. on m'écrit de jolies lettres, de jolis mots, on m'envoie de petits clins d'oeil, des messages textes pour me dire allo, pour me souhaiter une bonne journée, pour me donner rendez-vous. Et de mon côté, je n'ai même pas la force de répondre. Évidemment, ça me rend triste. Depuis combien de temps je n'ai pas eu une vraie conversation, une véritable discussion avec Moi Laigle? Depuis combien de semaines je ne l'ai pas vu? Ça se compte en mois à présent. C'est réellement une période de ma vie où je vois les efforts mis depuis un an, récompensés. J'ai eu des réponses positives à plusieurs de mes projets, j'en suis à en faire de nouveaux avec des nouvelles connaissances, de nouveaux amis dans un nouvel environnement. Je me lève à 4h45 le matin pour ne revenir à la maison que vers 22h le soir. J'ai à peine le temps de profiter des quelques jours de congé que j'ai par mois, pendant lesquels je me claque une journée de cuisine pour les lunches, une journée de lavage et une journée de courses.. J'aimerais être à 100% de mon temps avec vous. Avec Toi Laigle. J'aimerais, comme avant, que l'on se parle toute la soirée sans arrêt, que l'on s'écrive 3 fois par jour, que l'on se voit plus souvent. À nos débuts, on s'était juré que les weekends étaient réservés à nos familles, nos amis, notre petite intimité. Rapidement, on a commencé à se voir le jour, le soir.. les weekends quelques fois. Je sais qu'il n'y a rien que l'on ne puisse pas faire.

Même chose pour mon lecteur assidu de Québec qui m'invite depuis 3 semaines déja, dans l'espoir de me rencontrer, mettre un visage sur un nom. J'aimerais de tout coeur aller prendre un café avec lui, mais je suis over-bookée et à chaque fois où il propose des trucs spontanés, je suis en route vers le travail, ou je fais un remplacement de dernière minute. Sérieusement, j'espère qu'il ne prend pas personnel mes refus constants, c'est tellement hors de mon contrôle.

J'aimerais reprendre contact avec des anciens amis, anciens collègues, mon premier amant pour discuter un peu, lui demander conseil sur une foule de projets, mais quand pourrais-je?..

Quand je dois prévoir mes rencontres familiales plus d'un mois d'avance, c'est que mon horaire me tue à petit feu.

Ce billet, lecteurs qui m'écrivez en grand nombre,visait à m'excuser sincèrement de déserter le blogue, de déserter le Net, de déserter vos vies. Je suis désolée de mon silence. J'essaierai de vous trouver du temps, ne serait-ce que pour vous exciter le temps de quelques lignes vite envoyées.

Merci de votre compréhension. Je vous adore.


Mamz'elle J

1.23.2012

Il y a des moments si merveilleux..

J'ai passé par une gamme d'émotions assez impressionnante la semaine dernière. Un weekend à me faire planer, à me faire rêver puis, un mercredi tragique, destructeur. Je vis sans cesse dans le questionnement de ne pas savoir où j'en suis, ce que j'attend ou ce que je veux vraiment de ma relation de couple, si je suis la cause de cet éclat de verre dans la passion qui semblait si bien nous animer moi et mon amoureux.

Et je lisais les statuts des autres. Les autres; ces femmes de qui j'aime apprendre, que j'aime lire, que j'aime aimer, dans les moindres détails de leurs récits.

Je me rends compte qu'une fois la bulle d'amour -dans laquelle je me complaisais- fracassée, il ne reste plus que la peur de l'abandon. Et je préfère ne pas regarder en bas.


Je suis affectée par vos deuils, petits et grands, de la vie quotidienne, des rencontres illicites, des relations émergentes auxquelles nous, femme infidèles, nous aimons nous donner corps et âme, sans regarder autour. Je suis touchée de voir la force qui se dégage de vos comptes-rendus, de votre victoire personnelle sur vos émotions au quotidien. Je suis impressionnée de voir à quelle rigueur vous pouvez vouer vos sentiments négatifs et présenter un sourire à votre entourage, tentant de ne laisser rien paraître.


Je sais que tout n'est pas perdu pour moi, pour mon couple, pour mon petit nid douillet... mais les nuits sont longues et froides depuis quelques jours, et j'ignore si je veux poursuivre dans la voie du poly-amour encore longtemps...




Mamz'elle J

1.16.2012

Voyage au fond de l'antre..

Inspirée par l'un de mes lecteurs qui m'a si gentiment fait parvenir un mail la semaine dernière, j'avais envie de vous partager un récit...  à vous de deviner si c'est de la fiction, ou non! ;)


°°°


La chambre de l'hôtel était au 3ième étage, là où la vue splendide sur la ville donne un cachet particulier aux rencontres bestiales dont j'avais envie ces derniers temps. L'automne projetait ses couleurs sur les rues, les bâtiments, les visages maussades des citadins. Ce matin-là, j'avais un immense mal de tête, quelques griffes sur le dos et un parfum musqué sur la peau.. Les draps étaient fripés, le fauteuil d'appoint gisait au beau milieu de la pièce et sur l'accoudoir était resté une traînée de sperme séché.. Trois verres traînaient sur la table de chevet, avec la bouteille de mousseux toujours dans le seau à glace, mais vidée jusqu'à la dernière goutte. Comme moi.

...Il n'avait fallu que 25 minutes entre le message d'invitation et la réponse que j'avais lancée à mon amant. J'avais envie de lui. J'étais seule pour la soirée, je voulais sortir prendre l'air un peu.. Nous nous étions donné rendez-vous au Café Du Monde pour 19h30, ayant envie d'une bonne bouffe, d'un bon vin et de bons fous rire comme nous avons l'habitude d'avoir. Ce soir-là, la température était anormalement fraîche, et ce même si le mercure nous avait donné un bon confort toute la semaine. Armée de mon écharpe, de ma belle robe noire et de mon sac à main, je suis embarquée dans un taxi pour joindre mon mâle dans le Vieux-Port, ne m'inquiétant pas du plaisir que j'aurais durant la soirée..

Arrivée à destination, je le vois qui m'attend à l'entrée du restaurant. Vêtu d'un belle chemise et d'un pull de laine par dessus, il arbore fièrement la barbe et est tout sourire. Je ne l'avais pas vu aussi beau depuis des semaines..  Il me fait donc bien plaisir de l'embrasser sur la joue d'abord, puis.. lentement nos lèvres se touchent, se puisent et, dans une étreinte amoureuse, je l'entends me dire que je lui ai manqué. Il sent si bon. Il est si doux, et pourtant si affectueux... je sens que je ne laisserai pas repartir sans lui avoir tout donné de mon énergie ce soir.. quitte à le prendre de court et lui offrir sur un plateau d'argent, mon corps, ma chatte et mon dévouement.

Le souper se passe bien. L'attente des entrées a fait place à une discussion sur notre quotidien puis, plus le repas avançait, plus je tentais de dissimuler mon désir de le baiser... nos pieds s'étaient déja trouvé sous la table. Nos yeux se parlaient d'eux même.. puis, partie me refaire une beauté après le dessert, monsieur en a profité pour passer un coup de fil à l'Hôtel PUR pour nous réserver une petite chambre pour la nuit. Tout cela sans que je ne le sache...

Après avoir insisté pour payer la totalité de la facture, nous avons entrepris une petite marche sur le bord de la marina. Les voiliers semblaient tellement luxueux et donnaient tellement l'envie de partir à la dérive que nous nous sommes assis sur le bord du quai et avons commencé à chanter quelques ballades.. nos mains se cherchaient, puis dès qu'elles se sont trouvées, ce fût ses lèvres qui s'approchèrent de ma nuque, ensuite sa jambe de ma cuisse et son corps au complet couché sur le mien.. La soirée était éclairée de la pleine lune, la brise du Port rendait nos étreintes plus chaudes et rapprochées encore..

Quand le temps fut venu de repartir, je l'ai invité à m'accompagner chez-moi, où une belle bouteille de rosé nous attendait. Ne disant pas un mot sur sa manigance, il me fit signe de la tête, et monta dans sa voiture après m'avoir ouvert la porte à la façon d'un gentleman..

Il prit une cravate qui traînait sur le siège arrière et me banda les yeux, me faisant jurer ma confiance envers lui. J'ai tout de suite embarqué dans son petit jeu sans même me demander ce qui adviendrait de ma soirée...Après quelques minutes à peine à rouler, il stationna l'auto et m'en fit descendre. C'est à ce moment que je venais de réaliser que j'allais enfin passer toute une nuit avec lui, enfin. Nous sommes montés à la chambre, franchissant maintenant 3 étages dans l'élévateur sans même se quitter des yeux, et si tôt la porte refermée, nous nous sommes jetés dessus comme deux bêtes sauvages.  Je sentais sa main qui allait de mes fesses à ma chatte déjà affolée, sa bouche passer de ma bouche à mon cou, et je retenais sa tête tant bien que mal, passant les doigts dans ses cheveux grisonnants, refusant de me laisser aller aussi rapidement. Mais ce fut peine perdue, puisque je savais d'ors et déja que je n'aurais pas le contrôle sur le tempo de cette baise succulente et bestiale.

Je n'ai eu le temps que de jeter mon sac à main au sol que rapidement, monsieur retirait ma robe et me laissait à demi-nue sur le seuil de la chambre. Je portais mes souliers rouges à imitation de peau de serpent, avec une guêpière et un slip assortis. Un long collier fait d'anneaux de métal et de diamants glissait entre mes seins, laissant sur ma peau un frisson. Mon parfum, activé par les hormones qui me dominaient totalement, avait pris sa facette plus affriolante et plus enivrante que jamais.  J'avais terriblement envie de lui faire subir le même traitement.. j'ai donc détaché sa ceinture et, laissant tomber au sol son pantalon propre j'ai aperçu sa queue fièrement dressée devant moi. Je cherchais à combattre cette envie de la lécher, de l'absorber dans ma bouche comme une vraie salope, celle qu'il me sait être. Mais je n'ai pas eu besoin de me retenir trop longtemps, déjà il poussait sur mon cou pour que je descendes à ses genoux, lui offrir le traitement si gentiment mérité.

Après avoir humecté le bout de son gland bien rougi d'excitation, je m'amusais à étirer ma salive de mes lèvres à sa queue comme il aime que je fasse. Le regardant droit dans les yeux, je lui permet quelques fois de me gifler la joue en me traitant de traînée, ce qui tendait à m'exciter à un niveau supérieur. Puis, peu à peu, plus aucun contrôle sur mes mouvements. Il a pris ma tête entre ses mains et s'amusait à m'enfoncer son pieu jusqu'à la garde au fond de la gorge, sentant mes muscles se resserrer autour de sa queue. Il la baisait bien ma bouche. Les larmes me coulaient de chaque côtés du visage et j'avais les mains bien croisées dans le dos, signe de ma soumission complète. Et puis, quand il en a eu assez, il m'a relâcher un peu.

Redevenu doux comme un agneau, il est parti dans un coin de la pièce avec son cellulaire en main. Pendant ce temps, je suis allée éponger ce qui me restait d'eye-liner et tout sourire, je suis revenue, toujours armée de mes souliers à talons, sur le lit où il m'attendait, couché et offert, tout à fait nu. Loin d'être dominatrice au lit, je me suis permis de le mettre un peu à mes ordres.. après m'être blotti entre ses jambes, j'ai recommencé à lécher sa queue, la mouillant bien de ma salive et laissant couler le fluide sur toute la longueur de sa verge, j'ai commencé à le masser doucement..

Bientôt, ma langue s'est jointe à la partie de plaisir et voyant qu'il avait peine à retenir son orgasme, j'ai changé de tactique.. j'ai délaissé sa queue un instant et j'ai commencé à lui lécher les bourses, l'aine.. puis, j'ai atteins son petit trou tout refermé pour aller le caresser un peu..

J'aime prodiguer cette caresse à un homme. Sur lui, c'est tellement un charme! Je l'entendais ronronner à mesure que ma langue se faufilait entre ses fesses. Je lui attrapais les bourses d'une main tandis que je léchais l'espace entre son cul et ses couilles rasées. Je le voyais grimacer, au bord de la jouissance, au bord du point de non-retour.. puis, j'ai activé ma main sur sa verge, pour déclencher le plaisir absolu.

Il a pris d'un coup ma tête entre ses mains et m'a carrément entré sa verge au fond de la gorge, me la retenant fermement pour que j'avale toute sa semence chaude et texturée d'un seul coup..

Lorsque je me suis relevée, manquant visiblement d'air, j'ai toussé un peu et mes yeux se sont vite fermés. Encore une fois, je venais de dépasser une limite.. et j'aimais le sentiment de fierté que je lisais dans ses yeux.
Après quelques minutes de relaxation, où j'étais collée sur son corps, à jouer dans les boucles de son torse, on entendit frapper à la porte. Je savais, d'un coup d'oeil, ce qui m'attendait. Je savais tellement..

Déja quelques mois que je lui parlais d'un fantasme que j'entretenais. Celui de faire l'amour avec deux hommes. J'avais envie qu'on ne s'occupe que de moi, de tout de moi. D'un bond, il me remit la cravate sur les yeux, me fit m'asseoir dans le fauteuil d'appoint, il est donc allé ouvrir la porte, nu comme un ver.

Assise pourtant assez près d'eux, je n'ai entendu que de petits murmures entre les deux hommes, une bouteille avait été déposée sur la table en verre de l'entrée. puis plus rien. Mon amant a inséré un disque de musique «loundge» pendant que son ami se dévêtait lentement à côté de moi.. je l'entendais me murmurer à quel point il avait envie de baiser une belle chienne comme moi, qu'il avait envie que je garde en mémoire le souvenir de cette soirée sans pour autant savoir qui il était..

J'ai senti sa main soupeser mon seins gauche, puis, le droit. J'ai senti ensuite, une autre paire de main ouvrir mes cuisses et une langue se frayer un chemin jusqu'à mon antre, déja terriblement humide et odorant. Puis, une autre paire de main me fit me tourner la tête vers la droit pour ma mettre au bord des lèvres une queue de calibre plus intense que la première à laquelle j'avais eu droit auparavant. Je la pris en bouche sans broncher, laissant le vin et la musique faire effet. Je sentais la langue habile de mon amant tournoyer autour de mon clito en feu, l'aspirant et le suçant sans gêne, avec une passion et un désir de me faire monter au 8ieme ciel indescriptible... Puis, il ouvrit encore davantage ma jambe et me la posa su rle bord du fauteuil. Je me suis retrouvée assise un peu à l'oblique et, penchant ma tête vers l'arrière, je pouvais laisser ma gorge bien ouverte à la queue qui prenait plaisir sous ma langue avide. Je sentais mon homme insérer quelques phalanges dans ma chatte terriblement excitée. Quand le temps fut venu, il entra presque sa main et d'un mouvement rapide et maintenu, il a réussi à me faire exploser sur le fauteuil, laissant sa main et une parti du tapis trempées de ma mouille. J'étais à bout de souffle déja que les hommes ont changé de place. Me faisant me mettre à genoux sur le fauteuil, face au dossier, l'un d'eux a pu tantôt pénétrer ma petite chatte offerte, tantôt lécher mon cul pointé, pendant que l'autre attrapait ma crinière de cheveux longs pour contrôler ma bouche autour de sa verge. Je gémissait de coups de bassins tous plus profonds et dilatants les uns que les autres. J'aurais voulu crier ma jouissance comme j'ai l'habitude de le faire, mais impossible avec une queue dans la bouche. J'arrivais tout de même à faire assez de bruit pour recevoir une gifle sur une fesse de temps en temps pour me calmer. Mes souliers encore accrochés à mes pieds me donnaient le sentiment d'une vedette de la porn, tandis que la situation incroyable dans laquelle je me retrouvais me donnait envie d'enlever mon bandeau pour découvrir le secret..


Je me suis retrouvée avec ma mouille partout sur le corps, couchée sur le lit, à me faire pilonner par un des deux hommes pendant que l'autre embrassait mes seins et mon cou.. Puis, il m'ont prise chacun leur tour, dans la chatte et dans la bouche sans arrêt pendant près d'une demi-heure avant que mon amant me dise de me mettre à quatre pattes sur le lit. J'ai pu sucer les queues de mes deux amants de la soirée tour à tour, parfois en même temps, j'ai pu les prendre en mains toutes les deux et me délecter de leurs saveurs si différentes.. Puis, le copain de mon amant m'a fait me remettre à genoux sur le fauteuil afin de terminer sa baise comme bon lui semblait.. alors qu'il me pilonnait fièrement, il m'agrippa à la gorge, tirant mes cheveux et   me couvrant de termes tous plus sauvages et bestiaux les uns que les autres, il pu jouir dans le creux de mes reins, étendant sa semence entre mes fesses du bout de sa queue pour me souiller. Puis, ce fut le tour de mon amant de venir déverser son flot de spermes sur moi... il me fit me mettre à genoux sur le tapis alors qu'il prit place dans le fauteuil, et, contrôlant encore une fois le mouvement de ma tête, il a pu s'insérer complètement dans ma gorge. À sa première giclée de sperme, j'en étais à reprendre mon souffle et le liquide blanchâtre est allé s'étendre sur l'accoudoir du fauteuil... tout le reste, je l'ai avalé. Je demandais encore.. Je me délectais de cette semence si chaude et consistante.


L'ami de mon amant se rhabilla vite. Après avoir bu une coupe de mousseux qu'il nous avait si gentiment apporté, il avait pris la poudre d'escampette. Mon amant m'a enlevé le bandeau que quelque minutes après son départ. Je me souviens encore de sa voix, de sa peau, de son odeur, de sa queue... son goût, sa texture..

Le reste de la nuit, nous avons profité de la chambre a bon escient. Après avoir fait l'amour passionnément, au petit matin, mon amant a pris sa douche et est reparti à la maison, me laissant dormir dans les draps que nous avons souillé avec tellement de plaisir...

Un deux pour un comme je les aime!


Mamz'Elle J xx

1.09.2012

Les Fêtes signées Mamz'elle J

Rebonsoir à tous, toutes et chacuns!
C'est terminé Noël! Depuis un petit bout déja, me direz-vous. Je viens tout juste de défaire le sapin alors, je me sens encore dans l'ambiance un tout petit peu..

Comme à chaque début d'année, j'ai l'occasion de me retrouver en famille, à festoyer avec des gens que j'apprécient beaucoup et cette année, rien de nouveau sous le soleil, j'ai pu célébrer de la même façon.

Les résolutions prises, reste plus qu'à respecter à la lettre (jusqu'au moins au 15 janvier! Hihi!) et puis voilà!

Cette année, j'ai envie de mettre à exécution tous les conseils reçus des hommes de ma vie. J'ai envie de me prendre ne main une fois pour toutes et de mener à termes tous mes projets en me fixant de petits objectifs atteignables. J'ai envie de développer bien des idées, de faire quelques explorations professionnelles, de retourner aux études pour enfin m'ouvrir les portes que je regardais sans avoir les clés pour accéder à l'envers du décor. À la fin de l'année dernière, j'ai engagé déja de grands changements dans ma vie, après avoir passé plus d'un an à ma totale liberté, avec les choix et les inconvénients que cela m'a apporté. Mais je ne suis plus la même fille, et bien entendu, avec le recul, je me suis fait du sang d'encre pour rien à propos de bien des choses..

Je suis retombée sur mes deux pieds et il ne me reste qu'à aller de l'avant.

Cette année, je vous souhaite bien entendu beaucoup de santé, de l'amour et de la prospérité, mais je vous souhaite également de vous réaliser, de vous découvrir, de vous écouter, de prendre soin de cette personne qui doit être à la première place de votre coeur; VOUS.

Merci d'être toujours aussi fidèles, de m'écrire en si grand nombre pour prendre de mes nouvelles ou m'exposer vos situations afin de discuter, de correspondre. Vos messages me font chaud au coeur.
Je vous envoie un immense baisers, à vous toutes et toutes!


ET BONNE ANNÉE 2O12!!



Mamz'Elle J xx

12.24.2011

Joyeux Noël mes coquins!

Demain Noël. Qu'Allez-vous déguster? Une belle queue toute dure, ou une jolie chatte épilée et lustrée de cyprine. Qu'allez-vous découvrir sous le sapin? Un petit sac cadeau rempli de papier de couleurs et de morceaux de lingerie féminine.. un parfum musqué, une cravate de soie, de jolis boutons de manchettes pour les hommes d'affaires toujours d'un chic incomparable..

Aurez-vous un peu de temps pour votre amant, votre maitresse, entre deux réception chez la belle-famille? Découvrirez-vous un couple friand qui baisera sauvagement sur l'évier de la salle de bain d'en haut? Apercevrez-vous un petit bout de dentelle des bas auto-fixants de votre belle-soeur qui, aguichante comme jamais, se penchera pour ramasser sa serviette de table tombée par hasard..


Jouerez-vous les stars, maquillée de façon unique et coiffée à la perfection? Opterez-vous pour une robe moulante pour enrober vos formes et mettre vos seins bien ronds et fermes en valeurs? Porterez-vous vos bottes les plus hautes et sexy?


Noël est l'occasion de se rapprocher des êtres chers et qui vous sont importants, mais c'est aussi une période de réjouissances et une opportunité de vous la jouer un peu moins sérieux qu'au quotidien.. alors, mon souhait pour les Fêtes sera le suivant: HAVE FUN! Amusez-vous en grand! Faites des folies! Gâtez-vous!

On n'a qu'une seule vie. Et qui plus est, vous êtes en vacances! Alors..

Joyeux temps des Fêtes à vous tous et toutes. xxx



Mamz'Elle J

12.13.2011

Cher petit Papa-Noël.

Toi tu sais trop bien que j’ai été sage cette année, dis-moi?!
C’est que j’en suis à mon bilan de l’année, et je me demandais si certains de mes actes avaient été trop peu enviables pour que je me passe de cadeaux cette année, ou si au contraire, je me contenterais de châtiments en office à mon comportement de jeune femme un peu trop perverse…
Crois-tu que si je demande un ensemble de sous-vêtements en dentelle, jaune pâle et garni de petites boucles blanches, je l’obtiendrai? Je sais, le Père-Noël ne reçoit évidemment pas ce genre de demande de la part des enfants, mais il me fera peut-être une faveur à moi! Tu sais, j’ai été gentille. Chaque monsieur qui s’est déversé dans ma bouche cette année a eu droit à un traitement spécial, j’ai toujours été obéissante, soumise et je me suis toujours donnée beaucoup de mal à trouver comment rendre mes amants heureux. J’ai toujours bien nettoyé leurs queues de ma salive, et après qu’ils m’aient baisé la gorge en fixant mes yeux remplis de larmes et mes joues rougies, j’ai toujours tout avalé, sans en échapper une goutte. Je me suis toujours assurée de leur confort dans ma chatte, prenant soin de bien m’épiler et de me poudrer pour donner douceur et parfum à chacun de mes ébats. Je me suis toujours assurée également de plaire à tous leurs sens, de mettre le doigt sur ce qui rendrait le moment spécial, de leur faire parvenir par exemple, une photo inopinée sur laquelle on voit mes fesses bien écartées et ma chatte coulante se présenter à leur yeux, à leur langue… Toujours un petit mot de reconnaissance après chaque baise, torride ou douce, une petite pensée à des moments plus difficiles ou au contraire, très joyeux.
Cette année, je crois avoir été une bonne fille. J’ai suivi à la lettre les recommandations de Laigle concernant ses désirs envers moi. Je lui ai fait vivre ses premiers ébats avec une femme-fontaine. Je l’ai trempé jusqu’à la chair, je l’ai fait sourire de bonheur comme jamais auparavant. Je lui ai fait découvrir ma collection de vibrateurs, avec lesquels nous avons cumulé les orgasmes simultanés. Je l’ai sucé dans une cabine d’essayage au MEXX, je l’ai laissé ma baiser à La Vie en Rose, je l’ai invité deux fois à l’hôtel pour qu’il me découvre, il a dormi deux fois chez-moi. Tu vois, ce sont des valeurs de partage, de don de soi et d’hospitalité dont j’ai fais preuve, hihi!
Sincèrement, cette année, il y a eu de petits épisodes où je n’étais pas fière, où j’ai fait preuve d’égoïsme et où j’ai pensé qu’à moi. Par exemple, toutes ces fois où je suis allée travailler avec des boules chinoises bien insérées dans ma chatte toute moite et où j’allais passer quelques minutes par jour dans les toilettes du restaurant pour me soulager de tout ce désir de me faire prendre sur une table, à l’abri des regards. Bien entendu, je suis quand même professionnelle alors je n’aurais jamais osé amener mon ancien collègue hyper-sexy avec moi pour lui montrer ce à quoi je m’appliquais dans l’intimité de ma pause-café… Aussi, je dois confesser toutes ces fois où je suis allée me promener en ville complètement nue sous ma jupe courte et ma camisole de satin préférée. Que des bijoux pour me vêtir. Toutes ces fois où j’ai mis mes «fuck-me boots» pour aller à l’épicerie, que pour me rouler les hanches et mettre en valeur mes seins qui ne tendaient qu’à sortir de mon corsage. Toutes ces fois où assise dans le bus en fin de journée le vendredi, j’avais dans les oreilles des écouteurs-boutons qui m’envoyaient à l’oreille des MP3 érotiques dans lesquels je me plaisais à entendre des femmes jouir de toutes leurs force, à imaginer les traces de doigts sur leurs peaux brûlantes, leurs fesses marquées par ses fessées si excitantes. Je me rappelle toutes ces fois où je trainais mes jouets dans mon sac à bandoulière alors que j’aurais pu les échapper et montrer au monde entier à quel point je ne suis qu’une petite pécheresse. Ces matins où nous recevions les beaux-parents à déjeuner et où j’adorais m’adonner à mes petits plaisirs dans la douche quelques minutes avant leur arrivée et où je montais à la cuisine avec un «buttplug» dans le cul et un petit gode dans la chatte, sans petite culotte, sous une robe soleil juste assez évasée pour qu’on n’y voit rien..
À bien y penser, je suis peut-être un peu trop pécheresse pour recevoir quoi que ce soit pour Noël cette année. J’ai bien peur que les années à venir ne soient pas lucratives non plus; les années se suivent et me rendent de plus en plus vicieuse.
Peut-être que je ne mériterais qu’un traitement de remise à soumission pour calmer mes envies de queues bien dures et de me faire pilonner en permanence. Peut-être que Mr.G devrait m’apprendre à contrôler mes fantasmes, à me contraindre à son pouvoir, à ses désirs, à ses pulsions à nouveau. Peut-être qu’avec ma gueule entre ses mains, un bâillon entre les dents et une laisse au cou, j’aurais moins tendance à laisser glisser mes mains sous ma robe lorsque je suis seule dans le café où je vais souvent. Peut-être que Laigle pourrait tout aussi bien calmer mon attitude de petite salope avide de sexe. Ou peut-être qu’au contraire il va m’encourager à enfin réaliser mon fantasme de me retrouver au lit avec une autre femme, toute en forme, toute en sensualité et avec un désir intense de me faire vivre des instants magiques et m’initiant aux plaisirs féminins partagés… Mes doigts plongés dans une chatte ruisselante de femme en chaleur et demandant des orgasmes à perpétuité, ma bouche qui parcourrait ses seins généreux, mordillerait ses tétons au passage, soupèserait ces deux masses si sensuelles et empreintes de plaisir me ferait probablement trop d’effet pour vouloir arrêter à la fin de la nuit.
Ah! Finalement, à confesser tout cela, c’est clair que je n’aurai pas de cadeaux cette année. Je suis bien trop salope.
Tu veux bien me l’offrir, ta queue, pour me consoler?

12.07.2011

Cadeau de Noël; suggestions?

Alors, quel serait le plus beau des cadeaux de Noël à offrir à l'amant de mon coeur?

Laissez-vous aller...

11.29.2011

Pour vous sentir plus près.. et avoir presque l'exclusivité..

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;)

Mamz'elle J

11.28.2011

Magasinage coquin et pause-gâteries

Ce weekend, j’ai eu l’occasion de visiter (encore!) la super boutique Planet X. Je sais, j’ai une méga collection de jouets coquins, ma bibliothèque est bien remplie de romans érotiques et je tiens ce blog depuis un peu plus de 2 ans. Mais je n’avais jamais osé acheter de film, DVD ou VHS pour les moins technologiques. Donc, ma visite ainsi qu’un petit certificat-cadeau aidant, mon regard s’est arrêté sur l’étalage des DVD, tous plus pervers les uns que les autres. En regardant les images, mon chum n’a pu s’empêcher quelques farfelues blagues de bas étage, comme tous les hommes dans les même conditions je suppose.. bref, je prenais ma visite au sérieux. Et puis, j’en ai choisi quelques uns pour un triage. Puis, les pochettes décorées de petites chattes suintantes et de belles grosses queues bien plantées dans des culs ouverts et offerts, je les aurais toutes prises. Alors, j’suis allée dans le vintage. Je n’avais pas eu l’occasion de le visionner avant aujourd’hui. J’avais ajouté à mes achats un beau dildo transparent de bonne taille, ce qui m’a permis de m’amuser un peu.. Je sentais que j’allais avoir un peu de plaisir. Pas que j’aime regarder de la «porn», en fait, j’ai l’imagination bien assez fertile pour me donner des images équivoques d’habitude, mais je voulais tenter de voir si j’aurais un attirance pour les vidéos..

Installée sur mon lit, en pantalon de yoga, j’ai inséré le disque dans mon ordinateur. Le générique débute, je sors mon nouvel ami du tiroir. Rapidement, je sens monter en moi une vague de désir.. je tente de la contrôler du mieux que je le peux. Puis, je regarde le film avec intérêt, mais je me rends bien vite compte que le déroulement du scénario ne m’exciterait peut-être pas. 9 filles au beau milieu d’un salon qui font un concours pour impressionner des spectateurs, puis, une contorsionniste qui arrive à se lécher la chatte en se tenant en boule sur ses mains, puis c’est le tour d’une demoiselle qui s’excite avec une comparse en s’enfonçant un double dildo en «jelly».. et ça se poursuit. Un film de cul sans scénario, c’est difficile d’embarquer. Donc bon, j’ai baissé l’écran de mon PC pour continuer d’entendre les voix déchaînées des demoiselles et je me faisais mes propres images. Ce fut un délice. Je sentais ma chatte s’offrir, s’ouvrir sur le gland de mon jouet désormais tout trempé. C’est sans douleur et sans problème que j’ai pu le faufiler entre mes cuisses, dans mon antre ruisselant et totalement servi. Je sentais les nervures exagérées chatouiller les parois de mon sexe, se glisser en moi toujours plus profondément, me défoncer carrément à un certain moment, en mouvement de saccades. Je chatouillais mon clito tout gonflé par moment, mais je devais de restreindre ces caresses puisque je sentais l’orgasme approcher et je ne voulais pas atteindre l’extase tout de suite.. je me suis donné un moment, suis allée chercher un petit vibrateur que j’ai inséré dans mon petit trou avide et désireux de se faire donner du plaisir aussi, et j’ai recommencer le manège, avec plus de vigueur et de force. 2 minutes de cet intense jeu ont servi à me faire décoller du lit, à me faire mordre la lèvre inférieure et à faire crisper tous les muscles de mon corps. Je suis restée étendue un moment sur mon lit quand mon téléphone à sonné.. Laigle me textait. Le sens du «timing» qu’il a cet homme!
Pour me rétablir, j’ai dégusté un macaron à la saveur de crème brûlée, offert par mon amant ce weekend. Je tenterai de me tenir tranquille pour les prochains jours, question de donner un peu de repos à cette petite chatte serrée qui commence à trouver que j’abuse un peu des queues cet temps-ci..

Je l’ai toujours dit; le sexe et le sucre sont mes deux péchés mignons. :P

11.27.2011

Le Sexe Gingembre aux couleurs de Noël

Après moultes discussions,
j'ai demandé à mon amant à quel genre de galipettes il avait droit dans le lit de l'Officielle. Il me dit: «Du soft, pas de fla-fla.. »
Je lui réponds: «On peut qualifier ça de sexe vanille, au fond.. »

Ce matin, après un nuit trop torride, où j'ai dû laver le couvre-lit au beau milieu de la nuit, nous avons concerté pour trouver un descriptif de nos ébats..

Le Sexe Gingembre.

Une pointe plus épicée, et Dieu seul sait à quel point ça nous va bien! ..

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Rencontrer un amant à l'improviste quand aucun plan n'est fait pour le weekend, ça se fait quand même bien. Mais à 36 heures d'avis, au beau milieu d'un weekend très rempli, c'est autre chose... Laigle était de passage à Québec pour le weekend et souhaitait ardemment que l'on puisse passer la nuit ensemble. Fidèle qu'à moi-même, j'ai élaboré quelques sorties d'urgence à ma planification, mais j'ai dû travailler fort...

J'ai quand même trouvé du temps à ma plage horaire, non sans peine puisque je planifiais cette fin de semaine depuis près d'un mois.. Disons que ma situation personnelle actuelle concernant mon emploi me permettait de me sortir un peu de mon «planning» et de passer un nuit à mon «pied à terre» de la Vieille Capitale.
Laigle est venu me rejoindre vers 20h30 à mon studio. On avait une soirée et un nuit ensemble, et je tenais à passer du temps de qualité, discuter et pas seulement passer ma soirée à le sucer ou à ma faire pilonner à quattre pattes sur mon lit, devant la fenêtre du 3ième étage de mon bloc. Donc, il a posé ses valises, quelques salutations d'arrivée, une discussion rapide et nous retournons à l'extérieur. Marchant sur Grande-Allée, nous nous sommes arrêtés au Second Cup, lieu de prédilection de mes échanges virtuels avec lui et avons chacun pris un café latté avant de repartir main dans la main vers le Parlement. La soirée était plutôt fraiche, il avait froid. Pas moi. Isolation naturelle oblige.. :) Monsieur tenait à m'embrasser devant le Parlement.. Ce fut chose faite. Puis, ma curiosité m'a apporté jusqu'au Carré d'Youville, où nous sommes allés voir les patineurs défiler sous le rythme d'une chanson bien connue des Classels, bien choisie d'ailleurs pour l'instant!

J'ai la fâcheuse habitude de poser beaucoup de question dans la vie. Ma curiosité, oui, mais ma soif d'en apprendre sur les autres, sur la vie, sur moi-même m'apporte cette tempête de questions à chaque fois que je rencontre quelqu'un de qui j'en aurais à apprendre. Je lui ai donc demandé de me révéler selon lui, ma plus grande qualité et mon plus gros défaut. Il m'a surprise, je vous l'avoue. Je m'attendais à «Ta douceur, ou ta gentillesse, ou ta générosité», réponses que j'ai généralement de la part de mes proches. Mais non, j'ai eu droit à quelque chose de plus réfléchi, plus original, que je n'avais jamais entendu auparavant.

J'aime me faire surprendre parfois.
Je n'aime pas les surprises, mais les réponses sorties d'un raisonnement pareil, ça me touche énormément.

Nous sommes repartis vers la maison, et monsieur n'a pas manqué de me faire rire alors que nous marchions sur la célèbre St-Jean. Face à face avec une borne-fontaine alors que j'étais en train de parler du Drague, j'ai éclaté de rire littéralement. Arrivés à la maison, ce fut bref avant que nos mains se découvrent. Avant que nos peaux se fondent l'une sur l'autre. Je l'attendais sur le lit, vêtue que d'un petit boxer de dentelle diaphane de couleur bleu royal, les cheveux libres et un sourire coquin aux lèvres. La chaleur de sa main sur mon dos me réconforte tellement... Il dégage beaucoup de chaleur mon amant!


Les ébats qui ont suivi étaient super, comme chaque fois. J'avais pour l'occasion sorti mon tout nouveau jouet (Ma collection est telle que, ça ne tient plus dans un seul tirroir.. !) mais nous ne nous en sommes pas servi durant la première partie de la nuit.


J'aime me sentir possédée, ce n'est plus un secret. J'étais dans mon élément quand il m'a couchée sur le dos, la tête au bord du lit et qu'il me léchait la chatte pendant que je léchais avidement sa queue dressée. Il baisait ma gorge, me caressait, m'insérait quelques phalanges et se retirait. Ça suffisait à me rendre folle. Quand il a finalement pénétré ma petit chatte toute serrée mais ô combien innondée, j'ai cru mourrir de bonheur. Il ne s'est pas fait prier pour allégrement pilonner mes fesses, tirer mes cheveux ou me prendre au cou quand il le voulait. Pour couronner le tout, monsieur a voulu me voir jouir encore. Depuis qu'il me sait femme-fontaine, son désir de me voir exploser de cyprine et de liquide le rend fou. Il s'est bien gâté hier. Pas moins d'une heure à m'insérer presque sa main en entier dans l'antre, à laisser ses doigts caresser mon point G et me faire me tordre dans tous les sens sur le lit. Une heure!.. Je pensais m'évanouir à la fin, tant je n'avais plus aucune énergie, mais encore cet ardent désir de jouir encore et encore.. Il a trouvé sa façon bien à lui de me faire décoller du lit, et pervers comme il est, il n'a pas fini de me surprendre....

Pour les prochaines rencontres, je lui réserve quelques surprises.. il m'a fait part d'un désir qu'il avait au lit, alors je l'initierai comme il se doit.


Noël approche. Ça ne sera pas un cadeau.. ;)

11.18.2011

Ma nuit à l'hotel, partie 2

Le soleil s’est couché bien vite cette journée-là. Nous étions à la chambre depuis le milieu de l’après-midi, et le rideau était ouvert. Jettant un œil de temps en temps, je voyais s’Assombrir le ciel et les phares de la ville éclairaient en moi des désirs intenses.. Nous nous sommes un instant rapprochés de la fenêtre de la chambre, j’avais les seins nus. Qu’une petite culotte de dentelle noire pour ma vêtir, nous observions les gens en bas, regardions les fenêtres des chambres d’à côté pour y trouver un scénario alléchant peut-être. Rien. Rien que mon reflet et le sien, collés et lumineux sur la vitrine de notre douillet petit nid. Il me tenait dans ses bras, j’avais sa bouche à mon oreille, son torse sur mon dos et sa queue sur mes reins. Pendant quelques secondes, j’ai fermé les yeux sans qu’il ne se rendre compte, pour savourer et encrypter ce moment au plus profond de moi. Sa chaleur, sa douceur, son odeur et sa présence me donnait des ailes. Je me sentais si protégée et aimée. Un moment extraordinaire, en toute simplicité.
Nous avons soupé couchés sur les draps, se racontant mille histoires, ses passages télé à mes anciens fantasmes jeune fille à l’endroit d’un étudiant en théologie.. Il m’a parlé de ses beaux-parents, je lui ai parlé de mon emploi.. Le temps a passé si vite. On n’avait pas ouvert la bouteille de rouge que déjà, je me sentais défaillir. Quelques incidents plutôt comiques plus tard, une conversation des plus profondes et intimes et des baisers fougueux, la soirée tirait à sa fin.. Mon bel aigle devait regagner le nid familial, dorloter les petits et trouver des anecdotes de «party» à la mère des jolis petits rejetons. Il a pris sa douche, j’étais sur le lit, mon verre de vin à la main et je le regardais se savonner. Seul un mur de verre nous séparait.. Je l’ai tout de même convaincu de venir jouir dans ma gorge une dernière fois (pour la route!), ce qu’il accepta… Après ce moment exquis, mon amant à mis les voiles..Ce n’est pas sans chagrin que j’ai enfilé un chandail et que je l’ai regardé repartir. Une soirée d’anniversaire plutôt passionnelle. J’étais seule, j’avais pour moi une chambre d’hôtel confortable et chaleureuse.. j’ai éteins les lumières, ai ramassé ce qui restait d’éclats de verre sur le plancher et me suis douchée à la lumière du foyer.. L’eau à la plus haute température que je pouvais tolérer, je me laissais entraînée à revoir ces images, à ressentir le flot d’émotions que me procure la jouissance en sa compagnie et par la force des choses, j’ai du aller chercher mon vibrateur dans mon sac. Je n’avais jamais porté attention à la chose, mais la douche se trouve toujours sur le mur du corridor..Sous le jet, je ne pouvais retenir mes gémissements, non pas poussés par envie d’ajouter une touche plus sensuelle, mais bien réels et sentis. La vapeur de l’eau suffisait à étancher le bruit du petit moteur puissant et la tête de mon «rabbit» dansait sur mon clitoris en feu. J’ai joui, dos au mur de la douche, les cheveux mouillés, emmêlés et collés au visage, les yeux fermés et les paupières crispées, sous l’eau qui se déversait sur mon corps rougit de plaisir et de chaleur. Je me suis mise à pleurer… c’est ce qui m’arrive quand je ressens trop d’émotions. Et malgré que ça fasse un bon bout de temps que cela ne m’était plus arrivé, cette fois-ci, je me suis repris en grand. J’ai remis de la musique, du jazz, me suis couchée sous les draps en fixant le foyer jusqu’à ce que mes paupières ne me coupent du monde réel et que ma nuit tombe.

J’ai dormi comme un bébé. Au matin, mon copain me textait pour m’inviter à déjeuner et me demandait de le rejoindre pour 11h. J’ai donc sauté dans mes bas et ma robe pour regagner mon appartement, question d’avoir un peu de temps pour me remaquiller et me coiffer du mieux que je le pouvais. J’avais des boucles dans les cheveux, trop de volume, ce qui me restait de crayon me donnait l’air d’un raton. La classe! J’ai fait ce que j’ai pu pour camoufler le tout et après avoir réglé la chambre, j’ai appelé un taxi.

Pendant les 25 minutes de trajet, j’ai du répondre au mignon chauffeur qui avait remarqué mon sourire mystérieux pendant que je relisais une dernière fois les textos de mon amant avant de les supprimer. Un dialogue qui avait l’air de :
(Lui) On dirait que tu as pas beaucoup dormi.. t’as peut-être fêté hier toi!?
(Moi) Ouais, j’ai peut-être fêté (clin d’oeil) .. ou peut-être pas!
- Oh, alors il a dû être chanceux cet homme. À moins que tu ne te sois pas contenté de deux seuls corps, haha!
J’ai souri.
-Tu es célibataire?
-Non, pas du tout. Je suis en couple depuis près de 3 ans.
- Et qu’est-ce qu’il fait ton copain ce matin, pourquoi tu prends un taxi seule?
-Mon copain, il a probablement dormi comme un bébé toute la nuit. Présentement, il doit être à la maison à travailler sur ses projets personnels et on va se voir plus tard. Je prends un taxi seule parce que je retourne à mon studio faire un peu de lavage avant d’aller le rejoindre pour le déjeuner.
Et à ce même moment, la chanson Femme libérée débute à la radio.. Je n’ai pu retenir un immense sourire et regardant par la fenêtre. Lui, plus une seule question. Juste un regard qui disait : J’ai tout compris et je garderai le secret.


Arrivée chez-moi, il m’offre de m’aider à monter ma valise. Je déclin l’offre. Il me remet sa carte et me dit de l’appeler si j’ai besoin d’un chauffeur privé, peu importe les circonstances. Il a des yeux magnifiques, mais pas l’attitude que j’espère d’un chauffeur privé, haha..
Je lui offre un généreux pourboire et il repart sans mot dire.
C’est une soirée que je ne vais jamais oublier, doublement significative.


Joyeux anniversaire encore, Laigle.

xxx

11.09.2011

Ma nuit à l'Hôtel..Partie 1

On est samedi matin. Un soleil immense éclaire ma ville encore endormie. Les feuilles virevoltent sur un trottoir déja orangé, la petite brise de novembre qui laisse sa trace frisquette dans une fenêtre entrouverte.. il est 6 heures et je suis debout. Je prends ma douche, me fais un masque au concombre.. je lis des revues à potin­. Une vraie journée pour MOI. vers 8 heures, alors que je tourne en rond dans mon studio, j'enfile un pantalon, mes bottes à talons et un chemisier, des bijoux originaux et éclatants. Un peu de mascara et hop, dehors! Pas d'horaire fixe, pas de rendez-vous en AM, je peux aller marcher sur les allées de Québec, et m'Arrêter où j'en ai envie. La rue Cartier m'appelle. Je me dirige vers le boutique Un Coin Du Monde. J'aime aller jeter un oeil dans ce petit cocon de découvertes! Mes yeux s'arrêtent sur un mur de cartes de souhaits. J'ai choisi la carte d'Anniversaire de mon amant ici. Je les prendrais toutes! Mais je me contiens et mes emplettes terminées, je me dirige vers mon café préféré.. Un cappuccino à la main, je lis le journal en pensant à ma soirée qui s'en vient. Je me sens nerveuse, mais j'ai terriblement envie de laisser aller tous stress pour me concentrer sur le calme, la paix intérieur.. et le goût ABSOLUMENT divin de cet espresso français! Miam! Une heure passe, je sais l'actualité de fond en comble, ou presque! Remettant mes gants, mon manteau, je croise un ami avec sa copine. Il me fait signe de la main et m'invite à son souper de crémaillère le soir-même. Je me dis réellement désolée de devoir décliner, mais je lance une invitation pour le week-end suivant. Le coeur rempli de joie, je passe à la pharmacie, à la SAQ et je regagne mon domicile. Je choisis les vêtements que je désire mettre pour ce soir. Mon choix s'arrête sur une robe que j'ai portée une fois, avec un bas-filet et bien évidemment mes bottes à talons! Quand l'heure arrive, mon sac est prêt avec mes 2 bouteilles de vin et je me rends à l'hôtel. Mon amant me dit qu'il est en route, qu'il a hâte de me voir.. C'est tellement partagé, s'il savait. Je sens de petits piccottements dans mon bas ventre.. je suis engourdie par la passion et le désir de le voir me pilonner.. penses à autre chose, Mamz'elle J. Tu rougis!

Arrivée à la chambre, je me dévêtis.. du moins, mon manteau et mes gants! J'installe mon PC et pars ma compilation fétiche, celle dont j'ai fait un exemplaire-résumé à mon joli Laigle. Des airs de SIA, Bran Van 3000, Black Keys, Cantoma, Brazilian Girls, etc. Mes talons claquent sur le plancher de bois. Le foyer suffit à me faire sourire. J'ouvre grands les rideaux, la lumière du jour éclaire mon petit nid érotique. Je prend quelques iunstants pour m'allonger sur le lit, et je texte mon amant pour savoir où il en est. Il me dit qu'il est en bas. Le coeur veut me sortir de la poitrine, j'hésite entre rester ici ou descendre. Après quelques minutes, j'entends ses pas sur le seuil, comme j'avais mis le loquet, je vais ouvrir. Il me blesse, hihi! Non, à peine..

Disons que j'ai commencé la rencontre en riant un peu. Puis, sérieuse comme pas une, je le fixais. J'avais envie de faire durer cet instant. Vous savez, l'instant où l'on hésite. On hésite entre l'embrasser fougueusement sur la bouche, ou à peine toucher ses lèvres entre des baisers sur ses joues. On hésite entre prendre ses mains dans les nôtres ou trouver refuge dans son pantalon. On hésite entre le déshabiller de hâte pour le coucher sur les draps ou le laisser enlever son manteau seul en le regardant, en comtemplant sa beauté.. j'ai choisi l'option 2.

Nos bouches jointes, nos mains également, nous nous disions combien nous nous étions manqué.. Les nouvelles prises de la vie ont vite fait place à une tempête de désirs et petit à petit, la soirée avançait comme ça. La bouteille de Prosseco ouverte, le tête me tournait. J'ai réalisé que j'étais encore à jeun!.. mais quelle nouille veut boire de l'alcool à jeun.. à part moi! Haha.. Je devenais horny, et je devinais que sa main sur ma cuisse, caressant mes bas avait une envie aussi de torrides instants.

De fil en aiguilles, ma robe s'est envollée et sa chemise du même coup. Ses boutons de manchette ont trouvé leur nid pendant que ses doigts cherchaient le mien. Il me léchait comme promis, durant de longues minutes, d'une langue experte et chercheuse. Je sentais sa main prendre mes fesses, mes cuisses fermement.. glisser sortir de ma chatte brûlante.. j'avais des étoiles dans les yeux, la tête dans les nuages et je me sentais comme au 7ieme ciel. Bref, je ne m'appartenais plus. Et je n'aurais voulu revenir à moi..

Après quelques minutes à me pilonner comme un déchaîné, il enfonça 4 doigts en moi, et de son autre main, aggrippa ma gorge, me coupa le souffle. À cet instant, un violent orgasme me propulsa dans un univers parallèle et j'ai joui comme jamais.. Ma mouille partout sur le lit, sur son bras, sa chemise.. l'édredon en était recouvert et j'étais sous le choc, sous l'emprise de mes émotions mélangées.. Je ne savais plus rien. Ni mon nom, ni l'endroit où j'étais. J'esayais de parler, mais je n'avais plus de voix. Jamais auparavant, je n'avais connu d'aussi intenses sensations, jamais je n'avais eu droit à un regard aussi perçant, à des mains aussi bienfaitrices. Jamais je n'avais osé m'imaginer que ces gestes et paroles m'étaient destinées. Je n'ai bientôt plus été capable de supporter ces pulsions, ces désirs qui montaient en moi comme une montée de lave dans un volcan, je n'ai pu retenir ces mots qui criaient dans ma tête, mais qui restaient au creux de mes poumons, à me déchirer l'abdomen. J'ai joui dans un écho sourd, mes cris de plaisirs résonnaient dans la chambre, sur le mur de verre de la douche, sur la vitre du foyer qui nous faisait office de décor romantique et je ne contrôlais plus les soubresauts de mon corps frémissant et assallit de spasmes immensément libérateurs. Je n'avais plus aucune tension, plus aucune douleur.. d'ailleurs, plus aucune sensation en mon être. J'étais devenue un être extrérieur à moi, une sorte d'entité qui ne faisait que jouir et rejouir encore, ne se donnant même pas la peine de se remettre des chocs et des montagnes russes de plaisir. J'avais l'impression de me voir, couchée sur le lit, les genoux relevés, et la tête de Laigle entre les jambes. Je ne sentais pas ses 4 doigts en moi, non, je les regardais me pilonner dans un mouvement rageur et déterminé à me faire mouiller tous les draps. Je regardais mon amant forcer, respirer très fort et en avoir le visage rouge et couvert de sueur, se donnant de plus en plus férocement, afin de me voir déverser ce liquide tant attendu et si excitant.

Après m'être remise de mes émotions, il est venu m'embrasser, sourire aux lèvres comme s'il avait vu naître un enfant. Les yeux pétillants, il n'en croyait rien. Et moi, comme à chaque fois qu'il m'a été donné de vivre de pareils moments, je suis sur un nuage. Perdus entre deux oreillers, j'ai les cheveux en bataille, mon mascara coule sur ma joue, je sens mon coeur battre comme un tambour et mon corps repus, désireux de calme et de repos, je le regarde avec mes yeux de reconnaissance, de désir mais aussi remplis d'amour. Je me sens bien, je me sens gênée, je me sens humide.. je me relève et me demande ce qui s'est passé...

11.06.2011

Déverse-toi dans ma gorge et je te dirai «Bon Anniversaire»

Bien assise au joli bureau de travail au bord de la fenêtre de ma chambre, je regarde la splendide vue de Québec que j'ai de mon Hôtel. Une coupe de vin rouge, la seule qui reste, je profite du foyer allumé juste à côté qui met une ambiance chaleureuse dans cette chambre où la climatisation semble un peu mélangée..!
Mon amant vient de me quitter pour regagner le domicile familial à deux heures d'ici où sa marmaille l'attend, et de mon côté, après une douche chaude je me glisserai sous les draps blancs pour me remémorer les doux souvenirs qui me remontent en tête. Ce fut un anniversaire un peu moins pimpant que prévu puisque nous avons préféré le «roomservice» à la sortie au resto prévue. Un prosseco et une bouteille de rouge au goût fruité ont complété la soirée entre «amoureux» que l'on s'était planifié.

Dès son arrivée, beau comme un Dieu et portant son parfum qui me fait voir des étoiles, il m'a marqué! D'abord parce qu'il m'a écrasé le doigt dans le loquet de la porte de chambre, mais aussi parce qu'après si longtemps sans avoir quelques heures avec lui, j'avais envie d'explorer son corps comme un pays sans limite. J'avais le goût de profiter de sa bouche, de l'embrasser à outrance, de le caresser jusqu'à la fatigue et de tout connaître ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie depuis la dernière excursion dans la Vie en Rose.

Le temps passe toujours trop vite. Nous avions tout de même 5 heures ensemble, c'est louable! Mais parfois, je me dis que même si j'avais 4 jours avec lui, je trouverais quand même triste son départ..

Laigle s'est pointé tout sourire dans la chambre d'Hôtel, son sac à la main et les cheveux en bataille. Sans oublier ses nouveaux souliers! Croquable. Sexy. Il portait même la cravate et les accessoires que je lui avait offert à Noël passé! Bref, pas mal de mon goût. Tout de suite, nos mains se sont trouvées, nos bouches se sont embrassées et la soirée était amorçée..

Je portais ma petite robe violet avec mes «fuck-me boots» à talons de 5 pouces et un bas filet noir.En dessous, un joli corset de dentelle noire ainsi que la petite culotte assortie. Cheveux (maintenant noirs!) remontés en chignon urbain, maquillée simplement mais mes yeux bien définis, j'ai tenté de lui faire comprendre à quel point j'avais hâte qu'il arrive. Les compliments dits, nous nous sommes attardés à notre projet principal avec assez d'entrain; célébrer! Descendus à la réception chercher deux verres à vin, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je devais me retenir. Étant dans ma ville, qui sait qui je pourrais croiser!.. c'est surtout une question de discrétion dans le crime.. haha!

Nous avons regagné la chambre, le prosseco coulait à flot, si bien que je me suis retrouvée avec les effets au corps plus vite que je ne le croyais. C'est probablement que j'étais presqu'à jeûn.. il n'a donc eu aucun problème à me faire me coucher sur le lit, écarter les cuisses et le laisser me pénétrer la chatte de ses doigts entreprenants. Lui qui rêvait de me voir éjaculer, il a fait le saut lorsque dans un élan d'excitation, sa main sur ma gorge et l'autre dans mon antre, je me suis mise à gicler à en mouiller sa chemise. Les lèvres de Laigle se sont étirées en un sourire magnifique; visiblement il était excité!

Le temps de reprendre nos esprits et nous avons recommencé à nous dire des conneries.. avec un peu d'alcool dans le sang et avec plein de questions en tête, tout le monde sait que j'ai la «jasette» facile! Parle parle, jase jase.. on baise maintenant? Jusqu'au fond de mon ventre, il me pilonnait la chatte dans une fougue intense..

Après le souper, un peu de visionnement de spectacle d'humour, l'écoute de quelques chansons dont Breathe Me de la splendide Sia, une discussion sur un avenir à moyen terme et une planification de notre prochain rendez-vous, Laigle allait remettre ses vêtement pour repartir vers sa banlieue de Montréal quand je lui ai demandé de bien vouloir déverser sa semence dans ma bouche avant de me quitter.. j'ai eu droit à une explosion de sperme sur le visage et les bras, après m'être fait baiser laq gorge à grand coups de bassin. J'étais aux anges, littéralement.

Il a pris une douche rapide, je le regardais couchée sur le lit avec ma coupe à la main, au travers de la baie vitrée qui nous séparait. Ses belles cuisses bien musclées, ses fesses rebondies, sa bouille de comique, il me faisait rire, mais surtout, me donnait envie de lui en voler une bouchée de son popotin parfait! Il m'a vaporisé un peu de son parfum dans le cou, et a mis les voiles avec son sac.

À son départ, je n'ai plus ni robe, ni corset, ni bottes.. même mes cheveux sont en bataille et j'ai l'air d'un épouvantail, mais je suis très heureuse de sa visite malgré tout.

Et j'ai décidé de dormir ici.. après tout, je l'ai pour la nuit cette chambre! ;)

11.01.2011

À quoi je pense..

..à ma belle chambre d'hotel, à Québec, réservée pour samedi soir, et au charmant prince qui m'y accompagnera, pour son plus grand plaisir..

Un anniversaire, ça se fête en grand, je l'ai toujours dit!

10.23.2011

Les jours de pluie..

Vous avez bien remarqué que ces temps-ci, Mère Nature ne semble pas satisfaire par son teint gris. De mon côté du moins, tous les plans de petites excursions en pleine-air que je m'étais faits sont tombés à l'eau depuis 3 semaines, faute de belle température. On fait quoi pour pallier à la situation? Ordinairement, une fille aime bien faire le tour des centres d'achats, ou rester à la maison à popotter, ou en profiter pour réduire la liste de tâches à faire du côté ménager. Bon, après avoir fait tout ça... il ne reste plus grand chose à faire, qui ne coûte pas un bras et qui satisfait mon envie de bouger. Eh bien, c'est là qu'arrive le temps de baiser. Oui oui, baiser par des jours de pluie, c'est terriblement romantique, absolument orgasmique et ça ne coûte pas un sous. Quand mon chum est assis dans le bureau, à faire la compabilité de sa compagnie, ou à élaborer sa liste de contact, revoir son agenda ou écrire à des clients, j'aime arriver derrière lui, avec deux verres de vin à la main, écarter ses jambes pour glisser mon genou entre ses cuisses et lui embrasser le cou pour lui dire; «Je crois bien que tu as travaillé assez fort pour aujourd'hui.. allez, tu mérites que je te gâtes un peu..» Alors, je me mets à genoux devant lui, défait son pantalon et commence d'une main de maître à lui caresser la verge. Parfois, le moment est mal choisi, alors je repars avec ma coupe et je vais à la chambre, toute seule. Je choisi alors mon vibrateur préféré parmi ma collection et je me couche doucement sur le lit, jouant tout plein d'image de mes expériences passées, de moments torrides que j'ai eu la chance de vivre avec mes amants ou en solitaire, et je me laisse aller à mes envies, allant et venant dans ma petite chatte totalement humidifiée par les circonstances. Et puis, quand l'envie de regarder un petit vidéo au même moment me prend, je puise dans la collection de mon copain, et j'en choisi un très excitant où 3 demoiselles se bécottent le clito en gémissant trop fort. À tous coups, je suis emportée par la vague de l'ivresse, un orgasme dévastateur qui me fait rougir de la tête aux pieds.. et l'autre jour, ne m'étant pas rendu compte de la présence de mon amoureux sur le pas de la porte, je lui ai pffert sans le savoir un petit spectacle, avec un vibrateur dans la chatte et un autre dans le cul. Miam. J'ai eu droit à une baiser du tonnerre par la suite, sûrement pour me faire comprendre que la chaleur humaine de deux corps qui se frottent l'un sur l'autre est d'autant plus jouissive qu'un engin de latex bien enfoncé dans le con. Et après les baises, je prend une douche et je n'ai plus envie de me rhabiller.

Disons que depuis quelques semaines, je ne prends plus trop la peine de me vêtir à la maison. J'ai toujours eu un petit côté exhibitionniste; mon lit est sur le bord de la fenêtre à mon appartement. Quand je reçois mon amant, tous mes voisins peuvent nous voir.. et ça ne me fait pas un pli. J'aime me promener nue à la maison. Une impression de liberté, d'épanouissement, de douceur qui fait en sorte que je ne me sens ni pressée, ni étouffée. Quand je sais que je n'ai pas de plan défini, j'aime bien me prélasser un peu dans mon lit au réveil, prendre une bonne douche chaude, m'assécher un rester nue, pour le plaisir, pour ne pas me casser la tête, pour relaxer. J'aime m'étendre sur le sofa, sur ma couverture de cachemire et lire un bon livre avec un café noir, en sentant ma peau nue sur le tissus. Écouter SIA doucement pendant que je fais mon maquillage. Évidemment, je n'en suis pas à laver les fenêtres les seins à l'air! D'ailleurs, ce serait trop..

.. mais avouez que c'est un sentiment intérieur tout autre, que de se savoir dans un costume d'Ève à la maison!

Une aventure sensorielle intéressante, qui nous fait percevoir notre environnement différemment.