Demain Noël. Qu'Allez-vous déguster? Une belle queue toute dure, ou une jolie chatte épilée et lustrée de cyprine. Qu'allez-vous découvrir sous le sapin? Un petit sac cadeau rempli de papier de couleurs et de morceaux de lingerie féminine.. un parfum musqué, une cravate de soie, de jolis boutons de manchettes pour les hommes d'affaires toujours d'un chic incomparable..
Aurez-vous un peu de temps pour votre amant, votre maitresse, entre deux réception chez la belle-famille? Découvrirez-vous un couple friand qui baisera sauvagement sur l'évier de la salle de bain d'en haut? Apercevrez-vous un petit bout de dentelle des bas auto-fixants de votre belle-soeur qui, aguichante comme jamais, se penchera pour ramasser sa serviette de table tombée par hasard..
Jouerez-vous les stars, maquillée de façon unique et coiffée à la perfection? Opterez-vous pour une robe moulante pour enrober vos formes et mettre vos seins bien ronds et fermes en valeurs? Porterez-vous vos bottes les plus hautes et sexy?
Noël est l'occasion de se rapprocher des êtres chers et qui vous sont importants, mais c'est aussi une période de réjouissances et une opportunité de vous la jouer un peu moins sérieux qu'au quotidien.. alors, mon souhait pour les Fêtes sera le suivant: HAVE FUN! Amusez-vous en grand! Faites des folies! Gâtez-vous!
On n'a qu'une seule vie. Et qui plus est, vous êtes en vacances! Alors..
Joyeux temps des Fêtes à vous tous et toutes. xxx
Mamz'Elle J
Vous avez envie de savoir ce qui se passe dans la tête d'une petite salope?.. Connaître les pensées, les fantasmes.. les faits et gestes dans la vie de celle que je suis.. ..attention, la lecture entraîne des effets immédiats;vous demeurerez accro!
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12.24.2011
12.13.2011
Cher petit Papa-Noël.
Toi tu sais trop bien que j’ai été sage cette année, dis-moi?!
C’est que j’en suis à mon bilan de l’année, et je me demandais si certains de mes actes avaient été trop peu enviables pour que je me passe de cadeaux cette année, ou si au contraire, je me contenterais de châtiments en office à mon comportement de jeune femme un peu trop perverse…
Crois-tu que si je demande un ensemble de sous-vêtements en dentelle, jaune pâle et garni de petites boucles blanches, je l’obtiendrai? Je sais, le Père-Noël ne reçoit évidemment pas ce genre de demande de la part des enfants, mais il me fera peut-être une faveur à moi! Tu sais, j’ai été gentille. Chaque monsieur qui s’est déversé dans ma bouche cette année a eu droit à un traitement spécial, j’ai toujours été obéissante, soumise et je me suis toujours donnée beaucoup de mal à trouver comment rendre mes amants heureux. J’ai toujours bien nettoyé leurs queues de ma salive, et après qu’ils m’aient baisé la gorge en fixant mes yeux remplis de larmes et mes joues rougies, j’ai toujours tout avalé, sans en échapper une goutte. Je me suis toujours assurée de leur confort dans ma chatte, prenant soin de bien m’épiler et de me poudrer pour donner douceur et parfum à chacun de mes ébats. Je me suis toujours assurée également de plaire à tous leurs sens, de mettre le doigt sur ce qui rendrait le moment spécial, de leur faire parvenir par exemple, une photo inopinée sur laquelle on voit mes fesses bien écartées et ma chatte coulante se présenter à leur yeux, à leur langue… Toujours un petit mot de reconnaissance après chaque baise, torride ou douce, une petite pensée à des moments plus difficiles ou au contraire, très joyeux.
Cette année, je crois avoir été une bonne fille. J’ai suivi à la lettre les recommandations de Laigle concernant ses désirs envers moi. Je lui ai fait vivre ses premiers ébats avec une femme-fontaine. Je l’ai trempé jusqu’à la chair, je l’ai fait sourire de bonheur comme jamais auparavant. Je lui ai fait découvrir ma collection de vibrateurs, avec lesquels nous avons cumulé les orgasmes simultanés. Je l’ai sucé dans une cabine d’essayage au MEXX, je l’ai laissé ma baiser à La Vie en Rose, je l’ai invité deux fois à l’hôtel pour qu’il me découvre, il a dormi deux fois chez-moi. Tu vois, ce sont des valeurs de partage, de don de soi et d’hospitalité dont j’ai fais preuve, hihi!
Sincèrement, cette année, il y a eu de petits épisodes où je n’étais pas fière, où j’ai fait preuve d’égoïsme et où j’ai pensé qu’à moi. Par exemple, toutes ces fois où je suis allée travailler avec des boules chinoises bien insérées dans ma chatte toute moite et où j’allais passer quelques minutes par jour dans les toilettes du restaurant pour me soulager de tout ce désir de me faire prendre sur une table, à l’abri des regards. Bien entendu, je suis quand même professionnelle alors je n’aurais jamais osé amener mon ancien collègue hyper-sexy avec moi pour lui montrer ce à quoi je m’appliquais dans l’intimité de ma pause-café… Aussi, je dois confesser toutes ces fois où je suis allée me promener en ville complètement nue sous ma jupe courte et ma camisole de satin préférée. Que des bijoux pour me vêtir. Toutes ces fois où j’ai mis mes «fuck-me boots» pour aller à l’épicerie, que pour me rouler les hanches et mettre en valeur mes seins qui ne tendaient qu’à sortir de mon corsage. Toutes ces fois où assise dans le bus en fin de journée le vendredi, j’avais dans les oreilles des écouteurs-boutons qui m’envoyaient à l’oreille des MP3 érotiques dans lesquels je me plaisais à entendre des femmes jouir de toutes leurs force, à imaginer les traces de doigts sur leurs peaux brûlantes, leurs fesses marquées par ses fessées si excitantes. Je me rappelle toutes ces fois où je trainais mes jouets dans mon sac à bandoulière alors que j’aurais pu les échapper et montrer au monde entier à quel point je ne suis qu’une petite pécheresse. Ces matins où nous recevions les beaux-parents à déjeuner et où j’adorais m’adonner à mes petits plaisirs dans la douche quelques minutes avant leur arrivée et où je montais à la cuisine avec un «buttplug» dans le cul et un petit gode dans la chatte, sans petite culotte, sous une robe soleil juste assez évasée pour qu’on n’y voit rien..
À bien y penser, je suis peut-être un peu trop pécheresse pour recevoir quoi que ce soit pour Noël cette année. J’ai bien peur que les années à venir ne soient pas lucratives non plus; les années se suivent et me rendent de plus en plus vicieuse.
Peut-être que je ne mériterais qu’un traitement de remise à soumission pour calmer mes envies de queues bien dures et de me faire pilonner en permanence. Peut-être que Mr.G devrait m’apprendre à contrôler mes fantasmes, à me contraindre à son pouvoir, à ses désirs, à ses pulsions à nouveau. Peut-être qu’avec ma gueule entre ses mains, un bâillon entre les dents et une laisse au cou, j’aurais moins tendance à laisser glisser mes mains sous ma robe lorsque je suis seule dans le café où je vais souvent. Peut-être que Laigle pourrait tout aussi bien calmer mon attitude de petite salope avide de sexe. Ou peut-être qu’au contraire il va m’encourager à enfin réaliser mon fantasme de me retrouver au lit avec une autre femme, toute en forme, toute en sensualité et avec un désir intense de me faire vivre des instants magiques et m’initiant aux plaisirs féminins partagés… Mes doigts plongés dans une chatte ruisselante de femme en chaleur et demandant des orgasmes à perpétuité, ma bouche qui parcourrait ses seins généreux, mordillerait ses tétons au passage, soupèserait ces deux masses si sensuelles et empreintes de plaisir me ferait probablement trop d’effet pour vouloir arrêter à la fin de la nuit.
Ah! Finalement, à confesser tout cela, c’est clair que je n’aurai pas de cadeaux cette année. Je suis bien trop salope.
Tu veux bien me l’offrir, ta queue, pour me consoler?
C’est que j’en suis à mon bilan de l’année, et je me demandais si certains de mes actes avaient été trop peu enviables pour que je me passe de cadeaux cette année, ou si au contraire, je me contenterais de châtiments en office à mon comportement de jeune femme un peu trop perverse…
Crois-tu que si je demande un ensemble de sous-vêtements en dentelle, jaune pâle et garni de petites boucles blanches, je l’obtiendrai? Je sais, le Père-Noël ne reçoit évidemment pas ce genre de demande de la part des enfants, mais il me fera peut-être une faveur à moi! Tu sais, j’ai été gentille. Chaque monsieur qui s’est déversé dans ma bouche cette année a eu droit à un traitement spécial, j’ai toujours été obéissante, soumise et je me suis toujours donnée beaucoup de mal à trouver comment rendre mes amants heureux. J’ai toujours bien nettoyé leurs queues de ma salive, et après qu’ils m’aient baisé la gorge en fixant mes yeux remplis de larmes et mes joues rougies, j’ai toujours tout avalé, sans en échapper une goutte. Je me suis toujours assurée de leur confort dans ma chatte, prenant soin de bien m’épiler et de me poudrer pour donner douceur et parfum à chacun de mes ébats. Je me suis toujours assurée également de plaire à tous leurs sens, de mettre le doigt sur ce qui rendrait le moment spécial, de leur faire parvenir par exemple, une photo inopinée sur laquelle on voit mes fesses bien écartées et ma chatte coulante se présenter à leur yeux, à leur langue… Toujours un petit mot de reconnaissance après chaque baise, torride ou douce, une petite pensée à des moments plus difficiles ou au contraire, très joyeux.
Cette année, je crois avoir été une bonne fille. J’ai suivi à la lettre les recommandations de Laigle concernant ses désirs envers moi. Je lui ai fait vivre ses premiers ébats avec une femme-fontaine. Je l’ai trempé jusqu’à la chair, je l’ai fait sourire de bonheur comme jamais auparavant. Je lui ai fait découvrir ma collection de vibrateurs, avec lesquels nous avons cumulé les orgasmes simultanés. Je l’ai sucé dans une cabine d’essayage au MEXX, je l’ai laissé ma baiser à La Vie en Rose, je l’ai invité deux fois à l’hôtel pour qu’il me découvre, il a dormi deux fois chez-moi. Tu vois, ce sont des valeurs de partage, de don de soi et d’hospitalité dont j’ai fais preuve, hihi!
Sincèrement, cette année, il y a eu de petits épisodes où je n’étais pas fière, où j’ai fait preuve d’égoïsme et où j’ai pensé qu’à moi. Par exemple, toutes ces fois où je suis allée travailler avec des boules chinoises bien insérées dans ma chatte toute moite et où j’allais passer quelques minutes par jour dans les toilettes du restaurant pour me soulager de tout ce désir de me faire prendre sur une table, à l’abri des regards. Bien entendu, je suis quand même professionnelle alors je n’aurais jamais osé amener mon ancien collègue hyper-sexy avec moi pour lui montrer ce à quoi je m’appliquais dans l’intimité de ma pause-café… Aussi, je dois confesser toutes ces fois où je suis allée me promener en ville complètement nue sous ma jupe courte et ma camisole de satin préférée. Que des bijoux pour me vêtir. Toutes ces fois où j’ai mis mes «fuck-me boots» pour aller à l’épicerie, que pour me rouler les hanches et mettre en valeur mes seins qui ne tendaient qu’à sortir de mon corsage. Toutes ces fois où assise dans le bus en fin de journée le vendredi, j’avais dans les oreilles des écouteurs-boutons qui m’envoyaient à l’oreille des MP3 érotiques dans lesquels je me plaisais à entendre des femmes jouir de toutes leurs force, à imaginer les traces de doigts sur leurs peaux brûlantes, leurs fesses marquées par ses fessées si excitantes. Je me rappelle toutes ces fois où je trainais mes jouets dans mon sac à bandoulière alors que j’aurais pu les échapper et montrer au monde entier à quel point je ne suis qu’une petite pécheresse. Ces matins où nous recevions les beaux-parents à déjeuner et où j’adorais m’adonner à mes petits plaisirs dans la douche quelques minutes avant leur arrivée et où je montais à la cuisine avec un «buttplug» dans le cul et un petit gode dans la chatte, sans petite culotte, sous une robe soleil juste assez évasée pour qu’on n’y voit rien..
À bien y penser, je suis peut-être un peu trop pécheresse pour recevoir quoi que ce soit pour Noël cette année. J’ai bien peur que les années à venir ne soient pas lucratives non plus; les années se suivent et me rendent de plus en plus vicieuse.
Peut-être que je ne mériterais qu’un traitement de remise à soumission pour calmer mes envies de queues bien dures et de me faire pilonner en permanence. Peut-être que Mr.G devrait m’apprendre à contrôler mes fantasmes, à me contraindre à son pouvoir, à ses désirs, à ses pulsions à nouveau. Peut-être qu’avec ma gueule entre ses mains, un bâillon entre les dents et une laisse au cou, j’aurais moins tendance à laisser glisser mes mains sous ma robe lorsque je suis seule dans le café où je vais souvent. Peut-être que Laigle pourrait tout aussi bien calmer mon attitude de petite salope avide de sexe. Ou peut-être qu’au contraire il va m’encourager à enfin réaliser mon fantasme de me retrouver au lit avec une autre femme, toute en forme, toute en sensualité et avec un désir intense de me faire vivre des instants magiques et m’initiant aux plaisirs féminins partagés… Mes doigts plongés dans une chatte ruisselante de femme en chaleur et demandant des orgasmes à perpétuité, ma bouche qui parcourrait ses seins généreux, mordillerait ses tétons au passage, soupèserait ces deux masses si sensuelles et empreintes de plaisir me ferait probablement trop d’effet pour vouloir arrêter à la fin de la nuit.
Ah! Finalement, à confesser tout cela, c’est clair que je n’aurai pas de cadeaux cette année. Je suis bien trop salope.
Tu veux bien me l’offrir, ta queue, pour me consoler?
Mes Confessions
Je suis une salope qui écrit au Père-Noël
12.07.2011
Cadeau de Noël; suggestions?
Alors, quel serait le plus beau des cadeaux de Noël à offrir à l'amant de mon coeur?
Laissez-vous aller...
Laissez-vous aller...
Mes Confessions
Je suis une salope généreuse à l'approche des Fêtes
11.29.2011
Pour vous sentir plus près.. et avoir presque l'exclusivité..
N'hésitez pas à vous abonner au flux RSS, pour recevoir le billet directement dans votre boite de messagerie courriel!
;)
Mamz'elle J
;)
Mamz'elle J
11.28.2011
Magasinage coquin et pause-gâteries
Ce weekend, j’ai eu l’occasion de visiter (encore!) la super boutique Planet X. Je sais, j’ai une méga collection de jouets coquins, ma bibliothèque est bien remplie de romans érotiques et je tiens ce blog depuis un peu plus de 2 ans. Mais je n’avais jamais osé acheter de film, DVD ou VHS pour les moins technologiques. Donc, ma visite ainsi qu’un petit certificat-cadeau aidant, mon regard s’est arrêté sur l’étalage des DVD, tous plus pervers les uns que les autres. En regardant les images, mon chum n’a pu s’empêcher quelques farfelues blagues de bas étage, comme tous les hommes dans les même conditions je suppose.. bref, je prenais ma visite au sérieux. Et puis, j’en ai choisi quelques uns pour un triage. Puis, les pochettes décorées de petites chattes suintantes et de belles grosses queues bien plantées dans des culs ouverts et offerts, je les aurais toutes prises. Alors, j’suis allée dans le vintage. Je n’avais pas eu l’occasion de le visionner avant aujourd’hui. J’avais ajouté à mes achats un beau dildo transparent de bonne taille, ce qui m’a permis de m’amuser un peu.. Je sentais que j’allais avoir un peu de plaisir. Pas que j’aime regarder de la «porn», en fait, j’ai l’imagination bien assez fertile pour me donner des images équivoques d’habitude, mais je voulais tenter de voir si j’aurais un attirance pour les vidéos..
Installée sur mon lit, en pantalon de yoga, j’ai inséré le disque dans mon ordinateur. Le générique débute, je sors mon nouvel ami du tiroir. Rapidement, je sens monter en moi une vague de désir.. je tente de la contrôler du mieux que je le peux. Puis, je regarde le film avec intérêt, mais je me rends bien vite compte que le déroulement du scénario ne m’exciterait peut-être pas. 9 filles au beau milieu d’un salon qui font un concours pour impressionner des spectateurs, puis, une contorsionniste qui arrive à se lécher la chatte en se tenant en boule sur ses mains, puis c’est le tour d’une demoiselle qui s’excite avec une comparse en s’enfonçant un double dildo en «jelly».. et ça se poursuit. Un film de cul sans scénario, c’est difficile d’embarquer. Donc bon, j’ai baissé l’écran de mon PC pour continuer d’entendre les voix déchaînées des demoiselles et je me faisais mes propres images. Ce fut un délice. Je sentais ma chatte s’offrir, s’ouvrir sur le gland de mon jouet désormais tout trempé. C’est sans douleur et sans problème que j’ai pu le faufiler entre mes cuisses, dans mon antre ruisselant et totalement servi. Je sentais les nervures exagérées chatouiller les parois de mon sexe, se glisser en moi toujours plus profondément, me défoncer carrément à un certain moment, en mouvement de saccades. Je chatouillais mon clito tout gonflé par moment, mais je devais de restreindre ces caresses puisque je sentais l’orgasme approcher et je ne voulais pas atteindre l’extase tout de suite.. je me suis donné un moment, suis allée chercher un petit vibrateur que j’ai inséré dans mon petit trou avide et désireux de se faire donner du plaisir aussi, et j’ai recommencer le manège, avec plus de vigueur et de force. 2 minutes de cet intense jeu ont servi à me faire décoller du lit, à me faire mordre la lèvre inférieure et à faire crisper tous les muscles de mon corps. Je suis restée étendue un moment sur mon lit quand mon téléphone à sonné.. Laigle me textait. Le sens du «timing» qu’il a cet homme!
Pour me rétablir, j’ai dégusté un macaron à la saveur de crème brûlée, offert par mon amant ce weekend. Je tenterai de me tenir tranquille pour les prochains jours, question de donner un peu de repos à cette petite chatte serrée qui commence à trouver que j’abuse un peu des queues cet temps-ci..
Je l’ai toujours dit; le sexe et le sucre sont mes deux péchés mignons. :P
Installée sur mon lit, en pantalon de yoga, j’ai inséré le disque dans mon ordinateur. Le générique débute, je sors mon nouvel ami du tiroir. Rapidement, je sens monter en moi une vague de désir.. je tente de la contrôler du mieux que je le peux. Puis, je regarde le film avec intérêt, mais je me rends bien vite compte que le déroulement du scénario ne m’exciterait peut-être pas. 9 filles au beau milieu d’un salon qui font un concours pour impressionner des spectateurs, puis, une contorsionniste qui arrive à se lécher la chatte en se tenant en boule sur ses mains, puis c’est le tour d’une demoiselle qui s’excite avec une comparse en s’enfonçant un double dildo en «jelly».. et ça se poursuit. Un film de cul sans scénario, c’est difficile d’embarquer. Donc bon, j’ai baissé l’écran de mon PC pour continuer d’entendre les voix déchaînées des demoiselles et je me faisais mes propres images. Ce fut un délice. Je sentais ma chatte s’offrir, s’ouvrir sur le gland de mon jouet désormais tout trempé. C’est sans douleur et sans problème que j’ai pu le faufiler entre mes cuisses, dans mon antre ruisselant et totalement servi. Je sentais les nervures exagérées chatouiller les parois de mon sexe, se glisser en moi toujours plus profondément, me défoncer carrément à un certain moment, en mouvement de saccades. Je chatouillais mon clito tout gonflé par moment, mais je devais de restreindre ces caresses puisque je sentais l’orgasme approcher et je ne voulais pas atteindre l’extase tout de suite.. je me suis donné un moment, suis allée chercher un petit vibrateur que j’ai inséré dans mon petit trou avide et désireux de se faire donner du plaisir aussi, et j’ai recommencer le manège, avec plus de vigueur et de force. 2 minutes de cet intense jeu ont servi à me faire décoller du lit, à me faire mordre la lèvre inférieure et à faire crisper tous les muscles de mon corps. Je suis restée étendue un moment sur mon lit quand mon téléphone à sonné.. Laigle me textait. Le sens du «timing» qu’il a cet homme!
Pour me rétablir, j’ai dégusté un macaron à la saveur de crème brûlée, offert par mon amant ce weekend. Je tenterai de me tenir tranquille pour les prochains jours, question de donner un peu de repos à cette petite chatte serrée qui commence à trouver que j’abuse un peu des queues cet temps-ci..
Je l’ai toujours dit; le sexe et le sucre sont mes deux péchés mignons. :P
Mes Confessions
Je suis une salope qui en a encore à apprendre
11.27.2011
Le Sexe Gingembre aux couleurs de Noël
Après moultes discussions,
j'ai demandé à mon amant à quel genre de galipettes il avait droit dans le lit de l'Officielle. Il me dit: «Du soft, pas de fla-fla.. »
Je lui réponds: «On peut qualifier ça de sexe vanille, au fond.. »
Ce matin, après un nuit trop torride, où j'ai dû laver le couvre-lit au beau milieu de la nuit, nous avons concerté pour trouver un descriptif de nos ébats..
Le Sexe Gingembre.
Une pointe plus épicée, et Dieu seul sait à quel point ça nous va bien! ..
------------------------------
Rencontrer un amant à l'improviste quand aucun plan n'est fait pour le weekend, ça se fait quand même bien. Mais à 36 heures d'avis, au beau milieu d'un weekend très rempli, c'est autre chose... Laigle était de passage à Québec pour le weekend et souhaitait ardemment que l'on puisse passer la nuit ensemble. Fidèle qu'à moi-même, j'ai élaboré quelques sorties d'urgence à ma planification, mais j'ai dû travailler fort...
J'ai quand même trouvé du temps à ma plage horaire, non sans peine puisque je planifiais cette fin de semaine depuis près d'un mois.. Disons que ma situation personnelle actuelle concernant mon emploi me permettait de me sortir un peu de mon «planning» et de passer un nuit à mon «pied à terre» de la Vieille Capitale.
Laigle est venu me rejoindre vers 20h30 à mon studio. On avait une soirée et un nuit ensemble, et je tenais à passer du temps de qualité, discuter et pas seulement passer ma soirée à le sucer ou à ma faire pilonner à quattre pattes sur mon lit, devant la fenêtre du 3ième étage de mon bloc. Donc, il a posé ses valises, quelques salutations d'arrivée, une discussion rapide et nous retournons à l'extérieur. Marchant sur Grande-Allée, nous nous sommes arrêtés au Second Cup, lieu de prédilection de mes échanges virtuels avec lui et avons chacun pris un café latté avant de repartir main dans la main vers le Parlement. La soirée était plutôt fraiche, il avait froid. Pas moi. Isolation naturelle oblige.. :) Monsieur tenait à m'embrasser devant le Parlement.. Ce fut chose faite. Puis, ma curiosité m'a apporté jusqu'au Carré d'Youville, où nous sommes allés voir les patineurs défiler sous le rythme d'une chanson bien connue des Classels, bien choisie d'ailleurs pour l'instant!
J'ai la fâcheuse habitude de poser beaucoup de question dans la vie. Ma curiosité, oui, mais ma soif d'en apprendre sur les autres, sur la vie, sur moi-même m'apporte cette tempête de questions à chaque fois que je rencontre quelqu'un de qui j'en aurais à apprendre. Je lui ai donc demandé de me révéler selon lui, ma plus grande qualité et mon plus gros défaut. Il m'a surprise, je vous l'avoue. Je m'attendais à «Ta douceur, ou ta gentillesse, ou ta générosité», réponses que j'ai généralement de la part de mes proches. Mais non, j'ai eu droit à quelque chose de plus réfléchi, plus original, que je n'avais jamais entendu auparavant.
J'aime me faire surprendre parfois.
Je n'aime pas les surprises, mais les réponses sorties d'un raisonnement pareil, ça me touche énormément.
Nous sommes repartis vers la maison, et monsieur n'a pas manqué de me faire rire alors que nous marchions sur la célèbre St-Jean. Face à face avec une borne-fontaine alors que j'étais en train de parler du Drague, j'ai éclaté de rire littéralement. Arrivés à la maison, ce fut bref avant que nos mains se découvrent. Avant que nos peaux se fondent l'une sur l'autre. Je l'attendais sur le lit, vêtue que d'un petit boxer de dentelle diaphane de couleur bleu royal, les cheveux libres et un sourire coquin aux lèvres. La chaleur de sa main sur mon dos me réconforte tellement... Il dégage beaucoup de chaleur mon amant!
Les ébats qui ont suivi étaient super, comme chaque fois. J'avais pour l'occasion sorti mon tout nouveau jouet (Ma collection est telle que, ça ne tient plus dans un seul tirroir.. !) mais nous ne nous en sommes pas servi durant la première partie de la nuit.
J'aime me sentir possédée, ce n'est plus un secret. J'étais dans mon élément quand il m'a couchée sur le dos, la tête au bord du lit et qu'il me léchait la chatte pendant que je léchais avidement sa queue dressée. Il baisait ma gorge, me caressait, m'insérait quelques phalanges et se retirait. Ça suffisait à me rendre folle. Quand il a finalement pénétré ma petit chatte toute serrée mais ô combien innondée, j'ai cru mourrir de bonheur. Il ne s'est pas fait prier pour allégrement pilonner mes fesses, tirer mes cheveux ou me prendre au cou quand il le voulait. Pour couronner le tout, monsieur a voulu me voir jouir encore. Depuis qu'il me sait femme-fontaine, son désir de me voir exploser de cyprine et de liquide le rend fou. Il s'est bien gâté hier. Pas moins d'une heure à m'insérer presque sa main en entier dans l'antre, à laisser ses doigts caresser mon point G et me faire me tordre dans tous les sens sur le lit. Une heure!.. Je pensais m'évanouir à la fin, tant je n'avais plus aucune énergie, mais encore cet ardent désir de jouir encore et encore.. Il a trouvé sa façon bien à lui de me faire décoller du lit, et pervers comme il est, il n'a pas fini de me surprendre....
Pour les prochaines rencontres, je lui réserve quelques surprises.. il m'a fait part d'un désir qu'il avait au lit, alors je l'initierai comme il se doit.
Noël approche. Ça ne sera pas un cadeau.. ;)
j'ai demandé à mon amant à quel genre de galipettes il avait droit dans le lit de l'Officielle. Il me dit: «Du soft, pas de fla-fla.. »
Je lui réponds: «On peut qualifier ça de sexe vanille, au fond.. »
Ce matin, après un nuit trop torride, où j'ai dû laver le couvre-lit au beau milieu de la nuit, nous avons concerté pour trouver un descriptif de nos ébats..
Le Sexe Gingembre.
Une pointe plus épicée, et Dieu seul sait à quel point ça nous va bien! ..
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Rencontrer un amant à l'improviste quand aucun plan n'est fait pour le weekend, ça se fait quand même bien. Mais à 36 heures d'avis, au beau milieu d'un weekend très rempli, c'est autre chose... Laigle était de passage à Québec pour le weekend et souhaitait ardemment que l'on puisse passer la nuit ensemble. Fidèle qu'à moi-même, j'ai élaboré quelques sorties d'urgence à ma planification, mais j'ai dû travailler fort...
J'ai quand même trouvé du temps à ma plage horaire, non sans peine puisque je planifiais cette fin de semaine depuis près d'un mois.. Disons que ma situation personnelle actuelle concernant mon emploi me permettait de me sortir un peu de mon «planning» et de passer un nuit à mon «pied à terre» de la Vieille Capitale.
Laigle est venu me rejoindre vers 20h30 à mon studio. On avait une soirée et un nuit ensemble, et je tenais à passer du temps de qualité, discuter et pas seulement passer ma soirée à le sucer ou à ma faire pilonner à quattre pattes sur mon lit, devant la fenêtre du 3ième étage de mon bloc. Donc, il a posé ses valises, quelques salutations d'arrivée, une discussion rapide et nous retournons à l'extérieur. Marchant sur Grande-Allée, nous nous sommes arrêtés au Second Cup, lieu de prédilection de mes échanges virtuels avec lui et avons chacun pris un café latté avant de repartir main dans la main vers le Parlement. La soirée était plutôt fraiche, il avait froid. Pas moi. Isolation naturelle oblige.. :) Monsieur tenait à m'embrasser devant le Parlement.. Ce fut chose faite. Puis, ma curiosité m'a apporté jusqu'au Carré d'Youville, où nous sommes allés voir les patineurs défiler sous le rythme d'une chanson bien connue des Classels, bien choisie d'ailleurs pour l'instant!
J'ai la fâcheuse habitude de poser beaucoup de question dans la vie. Ma curiosité, oui, mais ma soif d'en apprendre sur les autres, sur la vie, sur moi-même m'apporte cette tempête de questions à chaque fois que je rencontre quelqu'un de qui j'en aurais à apprendre. Je lui ai donc demandé de me révéler selon lui, ma plus grande qualité et mon plus gros défaut. Il m'a surprise, je vous l'avoue. Je m'attendais à «Ta douceur, ou ta gentillesse, ou ta générosité», réponses que j'ai généralement de la part de mes proches. Mais non, j'ai eu droit à quelque chose de plus réfléchi, plus original, que je n'avais jamais entendu auparavant.
J'aime me faire surprendre parfois.
Je n'aime pas les surprises, mais les réponses sorties d'un raisonnement pareil, ça me touche énormément.
Nous sommes repartis vers la maison, et monsieur n'a pas manqué de me faire rire alors que nous marchions sur la célèbre St-Jean. Face à face avec une borne-fontaine alors que j'étais en train de parler du Drague, j'ai éclaté de rire littéralement. Arrivés à la maison, ce fut bref avant que nos mains se découvrent. Avant que nos peaux se fondent l'une sur l'autre. Je l'attendais sur le lit, vêtue que d'un petit boxer de dentelle diaphane de couleur bleu royal, les cheveux libres et un sourire coquin aux lèvres. La chaleur de sa main sur mon dos me réconforte tellement... Il dégage beaucoup de chaleur mon amant!
Les ébats qui ont suivi étaient super, comme chaque fois. J'avais pour l'occasion sorti mon tout nouveau jouet (Ma collection est telle que, ça ne tient plus dans un seul tirroir.. !) mais nous ne nous en sommes pas servi durant la première partie de la nuit.
J'aime me sentir possédée, ce n'est plus un secret. J'étais dans mon élément quand il m'a couchée sur le dos, la tête au bord du lit et qu'il me léchait la chatte pendant que je léchais avidement sa queue dressée. Il baisait ma gorge, me caressait, m'insérait quelques phalanges et se retirait. Ça suffisait à me rendre folle. Quand il a finalement pénétré ma petit chatte toute serrée mais ô combien innondée, j'ai cru mourrir de bonheur. Il ne s'est pas fait prier pour allégrement pilonner mes fesses, tirer mes cheveux ou me prendre au cou quand il le voulait. Pour couronner le tout, monsieur a voulu me voir jouir encore. Depuis qu'il me sait femme-fontaine, son désir de me voir exploser de cyprine et de liquide le rend fou. Il s'est bien gâté hier. Pas moins d'une heure à m'insérer presque sa main en entier dans l'antre, à laisser ses doigts caresser mon point G et me faire me tordre dans tous les sens sur le lit. Une heure!.. Je pensais m'évanouir à la fin, tant je n'avais plus aucune énergie, mais encore cet ardent désir de jouir encore et encore.. Il a trouvé sa façon bien à lui de me faire décoller du lit, et pervers comme il est, il n'a pas fini de me surprendre....
Pour les prochaines rencontres, je lui réserve quelques surprises.. il m'a fait part d'un désir qu'il avait au lit, alors je l'initierai comme il se doit.
Noël approche. Ça ne sera pas un cadeau.. ;)
11.18.2011
Ma nuit à l'hotel, partie 2
Le soleil s’est couché bien vite cette journée-là. Nous étions à la chambre depuis le milieu de l’après-midi, et le rideau était ouvert. Jettant un œil de temps en temps, je voyais s’Assombrir le ciel et les phares de la ville éclairaient en moi des désirs intenses.. Nous nous sommes un instant rapprochés de la fenêtre de la chambre, j’avais les seins nus. Qu’une petite culotte de dentelle noire pour ma vêtir, nous observions les gens en bas, regardions les fenêtres des chambres d’à côté pour y trouver un scénario alléchant peut-être. Rien. Rien que mon reflet et le sien, collés et lumineux sur la vitrine de notre douillet petit nid. Il me tenait dans ses bras, j’avais sa bouche à mon oreille, son torse sur mon dos et sa queue sur mes reins. Pendant quelques secondes, j’ai fermé les yeux sans qu’il ne se rendre compte, pour savourer et encrypter ce moment au plus profond de moi. Sa chaleur, sa douceur, son odeur et sa présence me donnait des ailes. Je me sentais si protégée et aimée. Un moment extraordinaire, en toute simplicité.
Nous avons soupé couchés sur les draps, se racontant mille histoires, ses passages télé à mes anciens fantasmes jeune fille à l’endroit d’un étudiant en théologie.. Il m’a parlé de ses beaux-parents, je lui ai parlé de mon emploi.. Le temps a passé si vite. On n’avait pas ouvert la bouteille de rouge que déjà, je me sentais défaillir. Quelques incidents plutôt comiques plus tard, une conversation des plus profondes et intimes et des baisers fougueux, la soirée tirait à sa fin.. Mon bel aigle devait regagner le nid familial, dorloter les petits et trouver des anecdotes de «party» à la mère des jolis petits rejetons. Il a pris sa douche, j’étais sur le lit, mon verre de vin à la main et je le regardais se savonner. Seul un mur de verre nous séparait.. Je l’ai tout de même convaincu de venir jouir dans ma gorge une dernière fois (pour la route!), ce qu’il accepta… Après ce moment exquis, mon amant à mis les voiles..Ce n’est pas sans chagrin que j’ai enfilé un chandail et que je l’ai regardé repartir. Une soirée d’anniversaire plutôt passionnelle. J’étais seule, j’avais pour moi une chambre d’hôtel confortable et chaleureuse.. j’ai éteins les lumières, ai ramassé ce qui restait d’éclats de verre sur le plancher et me suis douchée à la lumière du foyer.. L’eau à la plus haute température que je pouvais tolérer, je me laissais entraînée à revoir ces images, à ressentir le flot d’émotions que me procure la jouissance en sa compagnie et par la force des choses, j’ai du aller chercher mon vibrateur dans mon sac. Je n’avais jamais porté attention à la chose, mais la douche se trouve toujours sur le mur du corridor..Sous le jet, je ne pouvais retenir mes gémissements, non pas poussés par envie d’ajouter une touche plus sensuelle, mais bien réels et sentis. La vapeur de l’eau suffisait à étancher le bruit du petit moteur puissant et la tête de mon «rabbit» dansait sur mon clitoris en feu. J’ai joui, dos au mur de la douche, les cheveux mouillés, emmêlés et collés au visage, les yeux fermés et les paupières crispées, sous l’eau qui se déversait sur mon corps rougit de plaisir et de chaleur. Je me suis mise à pleurer… c’est ce qui m’arrive quand je ressens trop d’émotions. Et malgré que ça fasse un bon bout de temps que cela ne m’était plus arrivé, cette fois-ci, je me suis repris en grand. J’ai remis de la musique, du jazz, me suis couchée sous les draps en fixant le foyer jusqu’à ce que mes paupières ne me coupent du monde réel et que ma nuit tombe.
J’ai dormi comme un bébé. Au matin, mon copain me textait pour m’inviter à déjeuner et me demandait de le rejoindre pour 11h. J’ai donc sauté dans mes bas et ma robe pour regagner mon appartement, question d’avoir un peu de temps pour me remaquiller et me coiffer du mieux que je le pouvais. J’avais des boucles dans les cheveux, trop de volume, ce qui me restait de crayon me donnait l’air d’un raton. La classe! J’ai fait ce que j’ai pu pour camoufler le tout et après avoir réglé la chambre, j’ai appelé un taxi.
Pendant les 25 minutes de trajet, j’ai du répondre au mignon chauffeur qui avait remarqué mon sourire mystérieux pendant que je relisais une dernière fois les textos de mon amant avant de les supprimer. Un dialogue qui avait l’air de :
(Lui) On dirait que tu as pas beaucoup dormi.. t’as peut-être fêté hier toi!?
(Moi) Ouais, j’ai peut-être fêté (clin d’oeil) .. ou peut-être pas!
- Oh, alors il a dû être chanceux cet homme. À moins que tu ne te sois pas contenté de deux seuls corps, haha!
J’ai souri.
-Tu es célibataire?
-Non, pas du tout. Je suis en couple depuis près de 3 ans.
- Et qu’est-ce qu’il fait ton copain ce matin, pourquoi tu prends un taxi seule?
-Mon copain, il a probablement dormi comme un bébé toute la nuit. Présentement, il doit être à la maison à travailler sur ses projets personnels et on va se voir plus tard. Je prends un taxi seule parce que je retourne à mon studio faire un peu de lavage avant d’aller le rejoindre pour le déjeuner.
Et à ce même moment, la chanson Femme libérée débute à la radio.. Je n’ai pu retenir un immense sourire et regardant par la fenêtre. Lui, plus une seule question. Juste un regard qui disait : J’ai tout compris et je garderai le secret.
Arrivée chez-moi, il m’offre de m’aider à monter ma valise. Je déclin l’offre. Il me remet sa carte et me dit de l’appeler si j’ai besoin d’un chauffeur privé, peu importe les circonstances. Il a des yeux magnifiques, mais pas l’attitude que j’espère d’un chauffeur privé, haha..
Je lui offre un généreux pourboire et il repart sans mot dire.
C’est une soirée que je ne vais jamais oublier, doublement significative.
Joyeux anniversaire encore, Laigle.
xxx
Nous avons soupé couchés sur les draps, se racontant mille histoires, ses passages télé à mes anciens fantasmes jeune fille à l’endroit d’un étudiant en théologie.. Il m’a parlé de ses beaux-parents, je lui ai parlé de mon emploi.. Le temps a passé si vite. On n’avait pas ouvert la bouteille de rouge que déjà, je me sentais défaillir. Quelques incidents plutôt comiques plus tard, une conversation des plus profondes et intimes et des baisers fougueux, la soirée tirait à sa fin.. Mon bel aigle devait regagner le nid familial, dorloter les petits et trouver des anecdotes de «party» à la mère des jolis petits rejetons. Il a pris sa douche, j’étais sur le lit, mon verre de vin à la main et je le regardais se savonner. Seul un mur de verre nous séparait.. Je l’ai tout de même convaincu de venir jouir dans ma gorge une dernière fois (pour la route!), ce qu’il accepta… Après ce moment exquis, mon amant à mis les voiles..Ce n’est pas sans chagrin que j’ai enfilé un chandail et que je l’ai regardé repartir. Une soirée d’anniversaire plutôt passionnelle. J’étais seule, j’avais pour moi une chambre d’hôtel confortable et chaleureuse.. j’ai éteins les lumières, ai ramassé ce qui restait d’éclats de verre sur le plancher et me suis douchée à la lumière du foyer.. L’eau à la plus haute température que je pouvais tolérer, je me laissais entraînée à revoir ces images, à ressentir le flot d’émotions que me procure la jouissance en sa compagnie et par la force des choses, j’ai du aller chercher mon vibrateur dans mon sac. Je n’avais jamais porté attention à la chose, mais la douche se trouve toujours sur le mur du corridor..Sous le jet, je ne pouvais retenir mes gémissements, non pas poussés par envie d’ajouter une touche plus sensuelle, mais bien réels et sentis. La vapeur de l’eau suffisait à étancher le bruit du petit moteur puissant et la tête de mon «rabbit» dansait sur mon clitoris en feu. J’ai joui, dos au mur de la douche, les cheveux mouillés, emmêlés et collés au visage, les yeux fermés et les paupières crispées, sous l’eau qui se déversait sur mon corps rougit de plaisir et de chaleur. Je me suis mise à pleurer… c’est ce qui m’arrive quand je ressens trop d’émotions. Et malgré que ça fasse un bon bout de temps que cela ne m’était plus arrivé, cette fois-ci, je me suis repris en grand. J’ai remis de la musique, du jazz, me suis couchée sous les draps en fixant le foyer jusqu’à ce que mes paupières ne me coupent du monde réel et que ma nuit tombe.
J’ai dormi comme un bébé. Au matin, mon copain me textait pour m’inviter à déjeuner et me demandait de le rejoindre pour 11h. J’ai donc sauté dans mes bas et ma robe pour regagner mon appartement, question d’avoir un peu de temps pour me remaquiller et me coiffer du mieux que je le pouvais. J’avais des boucles dans les cheveux, trop de volume, ce qui me restait de crayon me donnait l’air d’un raton. La classe! J’ai fait ce que j’ai pu pour camoufler le tout et après avoir réglé la chambre, j’ai appelé un taxi.
Pendant les 25 minutes de trajet, j’ai du répondre au mignon chauffeur qui avait remarqué mon sourire mystérieux pendant que je relisais une dernière fois les textos de mon amant avant de les supprimer. Un dialogue qui avait l’air de :
(Lui) On dirait que tu as pas beaucoup dormi.. t’as peut-être fêté hier toi!?
(Moi) Ouais, j’ai peut-être fêté (clin d’oeil) .. ou peut-être pas!
- Oh, alors il a dû être chanceux cet homme. À moins que tu ne te sois pas contenté de deux seuls corps, haha!
J’ai souri.
-Tu es célibataire?
-Non, pas du tout. Je suis en couple depuis près de 3 ans.
- Et qu’est-ce qu’il fait ton copain ce matin, pourquoi tu prends un taxi seule?
-Mon copain, il a probablement dormi comme un bébé toute la nuit. Présentement, il doit être à la maison à travailler sur ses projets personnels et on va se voir plus tard. Je prends un taxi seule parce que je retourne à mon studio faire un peu de lavage avant d’aller le rejoindre pour le déjeuner.
Et à ce même moment, la chanson Femme libérée débute à la radio.. Je n’ai pu retenir un immense sourire et regardant par la fenêtre. Lui, plus une seule question. Juste un regard qui disait : J’ai tout compris et je garderai le secret.
Arrivée chez-moi, il m’offre de m’aider à monter ma valise. Je déclin l’offre. Il me remet sa carte et me dit de l’appeler si j’ai besoin d’un chauffeur privé, peu importe les circonstances. Il a des yeux magnifiques, mais pas l’attitude que j’espère d’un chauffeur privé, haha..
Je lui offre un généreux pourboire et il repart sans mot dire.
C’est une soirée que je ne vais jamais oublier, doublement significative.
Joyeux anniversaire encore, Laigle.
xxx
Mes Confessions
Je suis une salope qui jouit à l'Hotel
11.09.2011
Ma nuit à l'Hôtel..Partie 1
On est samedi matin. Un soleil immense éclaire ma ville encore endormie. Les feuilles virevoltent sur un trottoir déja orangé, la petite brise de novembre qui laisse sa trace frisquette dans une fenêtre entrouverte.. il est 6 heures et je suis debout. Je prends ma douche, me fais un masque au concombre.. je lis des revues à potin. Une vraie journée pour MOI. vers 8 heures, alors que je tourne en rond dans mon studio, j'enfile un pantalon, mes bottes à talons et un chemisier, des bijoux originaux et éclatants. Un peu de mascara et hop, dehors! Pas d'horaire fixe, pas de rendez-vous en AM, je peux aller marcher sur les allées de Québec, et m'Arrêter où j'en ai envie. La rue Cartier m'appelle. Je me dirige vers le boutique Un Coin Du Monde. J'aime aller jeter un oeil dans ce petit cocon de découvertes! Mes yeux s'arrêtent sur un mur de cartes de souhaits. J'ai choisi la carte d'Anniversaire de mon amant ici. Je les prendrais toutes! Mais je me contiens et mes emplettes terminées, je me dirige vers mon café préféré.. Un cappuccino à la main, je lis le journal en pensant à ma soirée qui s'en vient. Je me sens nerveuse, mais j'ai terriblement envie de laisser aller tous stress pour me concentrer sur le calme, la paix intérieur.. et le goût ABSOLUMENT divin de cet espresso français! Miam! Une heure passe, je sais l'actualité de fond en comble, ou presque! Remettant mes gants, mon manteau, je croise un ami avec sa copine. Il me fait signe de la main et m'invite à son souper de crémaillère le soir-même. Je me dis réellement désolée de devoir décliner, mais je lance une invitation pour le week-end suivant. Le coeur rempli de joie, je passe à la pharmacie, à la SAQ et je regagne mon domicile. Je choisis les vêtements que je désire mettre pour ce soir. Mon choix s'arrête sur une robe que j'ai portée une fois, avec un bas-filet et bien évidemment mes bottes à talons! Quand l'heure arrive, mon sac est prêt avec mes 2 bouteilles de vin et je me rends à l'hôtel. Mon amant me dit qu'il est en route, qu'il a hâte de me voir.. C'est tellement partagé, s'il savait. Je sens de petits piccottements dans mon bas ventre.. je suis engourdie par la passion et le désir de le voir me pilonner.. penses à autre chose, Mamz'elle J. Tu rougis!
Arrivée à la chambre, je me dévêtis.. du moins, mon manteau et mes gants! J'installe mon PC et pars ma compilation fétiche, celle dont j'ai fait un exemplaire-résumé à mon joli Laigle. Des airs de SIA, Bran Van 3000, Black Keys, Cantoma, Brazilian Girls, etc. Mes talons claquent sur le plancher de bois. Le foyer suffit à me faire sourire. J'ouvre grands les rideaux, la lumière du jour éclaire mon petit nid érotique. Je prend quelques iunstants pour m'allonger sur le lit, et je texte mon amant pour savoir où il en est. Il me dit qu'il est en bas. Le coeur veut me sortir de la poitrine, j'hésite entre rester ici ou descendre. Après quelques minutes, j'entends ses pas sur le seuil, comme j'avais mis le loquet, je vais ouvrir. Il me blesse, hihi! Non, à peine..
Disons que j'ai commencé la rencontre en riant un peu. Puis, sérieuse comme pas une, je le fixais. J'avais envie de faire durer cet instant. Vous savez, l'instant où l'on hésite. On hésite entre l'embrasser fougueusement sur la bouche, ou à peine toucher ses lèvres entre des baisers sur ses joues. On hésite entre prendre ses mains dans les nôtres ou trouver refuge dans son pantalon. On hésite entre le déshabiller de hâte pour le coucher sur les draps ou le laisser enlever son manteau seul en le regardant, en comtemplant sa beauté.. j'ai choisi l'option 2.
Nos bouches jointes, nos mains également, nous nous disions combien nous nous étions manqué.. Les nouvelles prises de la vie ont vite fait place à une tempête de désirs et petit à petit, la soirée avançait comme ça. La bouteille de Prosseco ouverte, le tête me tournait. J'ai réalisé que j'étais encore à jeun!.. mais quelle nouille veut boire de l'alcool à jeun.. à part moi! Haha.. Je devenais horny, et je devinais que sa main sur ma cuisse, caressant mes bas avait une envie aussi de torrides instants.
De fil en aiguilles, ma robe s'est envollée et sa chemise du même coup. Ses boutons de manchette ont trouvé leur nid pendant que ses doigts cherchaient le mien. Il me léchait comme promis, durant de longues minutes, d'une langue experte et chercheuse. Je sentais sa main prendre mes fesses, mes cuisses fermement.. glisser sortir de ma chatte brûlante.. j'avais des étoiles dans les yeux, la tête dans les nuages et je me sentais comme au 7ieme ciel. Bref, je ne m'appartenais plus. Et je n'aurais voulu revenir à moi..
Après quelques minutes à me pilonner comme un déchaîné, il enfonça 4 doigts en moi, et de son autre main, aggrippa ma gorge, me coupa le souffle. À cet instant, un violent orgasme me propulsa dans un univers parallèle et j'ai joui comme jamais.. Ma mouille partout sur le lit, sur son bras, sa chemise.. l'édredon en était recouvert et j'étais sous le choc, sous l'emprise de mes émotions mélangées.. Je ne savais plus rien. Ni mon nom, ni l'endroit où j'étais. J'esayais de parler, mais je n'avais plus de voix. Jamais auparavant, je n'avais connu d'aussi intenses sensations, jamais je n'avais eu droit à un regard aussi perçant, à des mains aussi bienfaitrices. Jamais je n'avais osé m'imaginer que ces gestes et paroles m'étaient destinées. Je n'ai bientôt plus été capable de supporter ces pulsions, ces désirs qui montaient en moi comme une montée de lave dans un volcan, je n'ai pu retenir ces mots qui criaient dans ma tête, mais qui restaient au creux de mes poumons, à me déchirer l'abdomen. J'ai joui dans un écho sourd, mes cris de plaisirs résonnaient dans la chambre, sur le mur de verre de la douche, sur la vitre du foyer qui nous faisait office de décor romantique et je ne contrôlais plus les soubresauts de mon corps frémissant et assallit de spasmes immensément libérateurs. Je n'avais plus aucune tension, plus aucune douleur.. d'ailleurs, plus aucune sensation en mon être. J'étais devenue un être extrérieur à moi, une sorte d'entité qui ne faisait que jouir et rejouir encore, ne se donnant même pas la peine de se remettre des chocs et des montagnes russes de plaisir. J'avais l'impression de me voir, couchée sur le lit, les genoux relevés, et la tête de Laigle entre les jambes. Je ne sentais pas ses 4 doigts en moi, non, je les regardais me pilonner dans un mouvement rageur et déterminé à me faire mouiller tous les draps. Je regardais mon amant forcer, respirer très fort et en avoir le visage rouge et couvert de sueur, se donnant de plus en plus férocement, afin de me voir déverser ce liquide tant attendu et si excitant.
Après m'être remise de mes émotions, il est venu m'embrasser, sourire aux lèvres comme s'il avait vu naître un enfant. Les yeux pétillants, il n'en croyait rien. Et moi, comme à chaque fois qu'il m'a été donné de vivre de pareils moments, je suis sur un nuage. Perdus entre deux oreillers, j'ai les cheveux en bataille, mon mascara coule sur ma joue, je sens mon coeur battre comme un tambour et mon corps repus, désireux de calme et de repos, je le regarde avec mes yeux de reconnaissance, de désir mais aussi remplis d'amour. Je me sens bien, je me sens gênée, je me sens humide.. je me relève et me demande ce qui s'est passé...
Arrivée à la chambre, je me dévêtis.. du moins, mon manteau et mes gants! J'installe mon PC et pars ma compilation fétiche, celle dont j'ai fait un exemplaire-résumé à mon joli Laigle. Des airs de SIA, Bran Van 3000, Black Keys, Cantoma, Brazilian Girls, etc. Mes talons claquent sur le plancher de bois. Le foyer suffit à me faire sourire. J'ouvre grands les rideaux, la lumière du jour éclaire mon petit nid érotique. Je prend quelques iunstants pour m'allonger sur le lit, et je texte mon amant pour savoir où il en est. Il me dit qu'il est en bas. Le coeur veut me sortir de la poitrine, j'hésite entre rester ici ou descendre. Après quelques minutes, j'entends ses pas sur le seuil, comme j'avais mis le loquet, je vais ouvrir. Il me blesse, hihi! Non, à peine..
Disons que j'ai commencé la rencontre en riant un peu. Puis, sérieuse comme pas une, je le fixais. J'avais envie de faire durer cet instant. Vous savez, l'instant où l'on hésite. On hésite entre l'embrasser fougueusement sur la bouche, ou à peine toucher ses lèvres entre des baisers sur ses joues. On hésite entre prendre ses mains dans les nôtres ou trouver refuge dans son pantalon. On hésite entre le déshabiller de hâte pour le coucher sur les draps ou le laisser enlever son manteau seul en le regardant, en comtemplant sa beauté.. j'ai choisi l'option 2.
Nos bouches jointes, nos mains également, nous nous disions combien nous nous étions manqué.. Les nouvelles prises de la vie ont vite fait place à une tempête de désirs et petit à petit, la soirée avançait comme ça. La bouteille de Prosseco ouverte, le tête me tournait. J'ai réalisé que j'étais encore à jeun!.. mais quelle nouille veut boire de l'alcool à jeun.. à part moi! Haha.. Je devenais horny, et je devinais que sa main sur ma cuisse, caressant mes bas avait une envie aussi de torrides instants.
De fil en aiguilles, ma robe s'est envollée et sa chemise du même coup. Ses boutons de manchette ont trouvé leur nid pendant que ses doigts cherchaient le mien. Il me léchait comme promis, durant de longues minutes, d'une langue experte et chercheuse. Je sentais sa main prendre mes fesses, mes cuisses fermement.. glisser sortir de ma chatte brûlante.. j'avais des étoiles dans les yeux, la tête dans les nuages et je me sentais comme au 7ieme ciel. Bref, je ne m'appartenais plus. Et je n'aurais voulu revenir à moi..
Après quelques minutes à me pilonner comme un déchaîné, il enfonça 4 doigts en moi, et de son autre main, aggrippa ma gorge, me coupa le souffle. À cet instant, un violent orgasme me propulsa dans un univers parallèle et j'ai joui comme jamais.. Ma mouille partout sur le lit, sur son bras, sa chemise.. l'édredon en était recouvert et j'étais sous le choc, sous l'emprise de mes émotions mélangées.. Je ne savais plus rien. Ni mon nom, ni l'endroit où j'étais. J'esayais de parler, mais je n'avais plus de voix. Jamais auparavant, je n'avais connu d'aussi intenses sensations, jamais je n'avais eu droit à un regard aussi perçant, à des mains aussi bienfaitrices. Jamais je n'avais osé m'imaginer que ces gestes et paroles m'étaient destinées. Je n'ai bientôt plus été capable de supporter ces pulsions, ces désirs qui montaient en moi comme une montée de lave dans un volcan, je n'ai pu retenir ces mots qui criaient dans ma tête, mais qui restaient au creux de mes poumons, à me déchirer l'abdomen. J'ai joui dans un écho sourd, mes cris de plaisirs résonnaient dans la chambre, sur le mur de verre de la douche, sur la vitre du foyer qui nous faisait office de décor romantique et je ne contrôlais plus les soubresauts de mon corps frémissant et assallit de spasmes immensément libérateurs. Je n'avais plus aucune tension, plus aucune douleur.. d'ailleurs, plus aucune sensation en mon être. J'étais devenue un être extrérieur à moi, une sorte d'entité qui ne faisait que jouir et rejouir encore, ne se donnant même pas la peine de se remettre des chocs et des montagnes russes de plaisir. J'avais l'impression de me voir, couchée sur le lit, les genoux relevés, et la tête de Laigle entre les jambes. Je ne sentais pas ses 4 doigts en moi, non, je les regardais me pilonner dans un mouvement rageur et déterminé à me faire mouiller tous les draps. Je regardais mon amant forcer, respirer très fort et en avoir le visage rouge et couvert de sueur, se donnant de plus en plus férocement, afin de me voir déverser ce liquide tant attendu et si excitant.
Après m'être remise de mes émotions, il est venu m'embrasser, sourire aux lèvres comme s'il avait vu naître un enfant. Les yeux pétillants, il n'en croyait rien. Et moi, comme à chaque fois qu'il m'a été donné de vivre de pareils moments, je suis sur un nuage. Perdus entre deux oreillers, j'ai les cheveux en bataille, mon mascara coule sur ma joue, je sens mon coeur battre comme un tambour et mon corps repus, désireux de calme et de repos, je le regarde avec mes yeux de reconnaissance, de désir mais aussi remplis d'amour. Je me sens bien, je me sens gênée, je me sens humide.. je me relève et me demande ce qui s'est passé...
Mes Confessions
Je suis une salope qui jouit à l'Hotel
11.06.2011
Déverse-toi dans ma gorge et je te dirai «Bon Anniversaire»
Bien assise au joli bureau de travail au bord de la fenêtre de ma chambre, je regarde la splendide vue de Québec que j'ai de mon Hôtel. Une coupe de vin rouge, la seule qui reste, je profite du foyer allumé juste à côté qui met une ambiance chaleureuse dans cette chambre où la climatisation semble un peu mélangée..!
Mon amant vient de me quitter pour regagner le domicile familial à deux heures d'ici où sa marmaille l'attend, et de mon côté, après une douche chaude je me glisserai sous les draps blancs pour me remémorer les doux souvenirs qui me remontent en tête. Ce fut un anniversaire un peu moins pimpant que prévu puisque nous avons préféré le «roomservice» à la sortie au resto prévue. Un prosseco et une bouteille de rouge au goût fruité ont complété la soirée entre «amoureux» que l'on s'était planifié.
Dès son arrivée, beau comme un Dieu et portant son parfum qui me fait voir des étoiles, il m'a marqué! D'abord parce qu'il m'a écrasé le doigt dans le loquet de la porte de chambre, mais aussi parce qu'après si longtemps sans avoir quelques heures avec lui, j'avais envie d'explorer son corps comme un pays sans limite. J'avais le goût de profiter de sa bouche, de l'embrasser à outrance, de le caresser jusqu'à la fatigue et de tout connaître ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie depuis la dernière excursion dans la Vie en Rose.
Le temps passe toujours trop vite. Nous avions tout de même 5 heures ensemble, c'est louable! Mais parfois, je me dis que même si j'avais 4 jours avec lui, je trouverais quand même triste son départ..
Laigle s'est pointé tout sourire dans la chambre d'Hôtel, son sac à la main et les cheveux en bataille. Sans oublier ses nouveaux souliers! Croquable. Sexy. Il portait même la cravate et les accessoires que je lui avait offert à Noël passé! Bref, pas mal de mon goût. Tout de suite, nos mains se sont trouvées, nos bouches se sont embrassées et la soirée était amorçée..
Je portais ma petite robe violet avec mes «fuck-me boots» à talons de 5 pouces et un bas filet noir.En dessous, un joli corset de dentelle noire ainsi que la petite culotte assortie. Cheveux (maintenant noirs!) remontés en chignon urbain, maquillée simplement mais mes yeux bien définis, j'ai tenté de lui faire comprendre à quel point j'avais hâte qu'il arrive. Les compliments dits, nous nous sommes attardés à notre projet principal avec assez d'entrain; célébrer! Descendus à la réception chercher deux verres à vin, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je devais me retenir. Étant dans ma ville, qui sait qui je pourrais croiser!.. c'est surtout une question de discrétion dans le crime.. haha!
Nous avons regagné la chambre, le prosseco coulait à flot, si bien que je me suis retrouvée avec les effets au corps plus vite que je ne le croyais. C'est probablement que j'étais presqu'à jeûn.. il n'a donc eu aucun problème à me faire me coucher sur le lit, écarter les cuisses et le laisser me pénétrer la chatte de ses doigts entreprenants. Lui qui rêvait de me voir éjaculer, il a fait le saut lorsque dans un élan d'excitation, sa main sur ma gorge et l'autre dans mon antre, je me suis mise à gicler à en mouiller sa chemise. Les lèvres de Laigle se sont étirées en un sourire magnifique; visiblement il était excité!
Le temps de reprendre nos esprits et nous avons recommencé à nous dire des conneries.. avec un peu d'alcool dans le sang et avec plein de questions en tête, tout le monde sait que j'ai la «jasette» facile! Parle parle, jase jase.. on baise maintenant? Jusqu'au fond de mon ventre, il me pilonnait la chatte dans une fougue intense..
Après le souper, un peu de visionnement de spectacle d'humour, l'écoute de quelques chansons dont Breathe Me de la splendide Sia, une discussion sur un avenir à moyen terme et une planification de notre prochain rendez-vous, Laigle allait remettre ses vêtement pour repartir vers sa banlieue de Montréal quand je lui ai demandé de bien vouloir déverser sa semence dans ma bouche avant de me quitter.. j'ai eu droit à une explosion de sperme sur le visage et les bras, après m'être fait baiser laq gorge à grand coups de bassin. J'étais aux anges, littéralement.
Il a pris une douche rapide, je le regardais couchée sur le lit avec ma coupe à la main, au travers de la baie vitrée qui nous séparait. Ses belles cuisses bien musclées, ses fesses rebondies, sa bouille de comique, il me faisait rire, mais surtout, me donnait envie de lui en voler une bouchée de son popotin parfait! Il m'a vaporisé un peu de son parfum dans le cou, et a mis les voiles avec son sac.
À son départ, je n'ai plus ni robe, ni corset, ni bottes.. même mes cheveux sont en bataille et j'ai l'air d'un épouvantail, mais je suis très heureuse de sa visite malgré tout.
Et j'ai décidé de dormir ici.. après tout, je l'ai pour la nuit cette chambre! ;)
Mon amant vient de me quitter pour regagner le domicile familial à deux heures d'ici où sa marmaille l'attend, et de mon côté, après une douche chaude je me glisserai sous les draps blancs pour me remémorer les doux souvenirs qui me remontent en tête. Ce fut un anniversaire un peu moins pimpant que prévu puisque nous avons préféré le «roomservice» à la sortie au resto prévue. Un prosseco et une bouteille de rouge au goût fruité ont complété la soirée entre «amoureux» que l'on s'était planifié.
Dès son arrivée, beau comme un Dieu et portant son parfum qui me fait voir des étoiles, il m'a marqué! D'abord parce qu'il m'a écrasé le doigt dans le loquet de la porte de chambre, mais aussi parce qu'après si longtemps sans avoir quelques heures avec lui, j'avais envie d'explorer son corps comme un pays sans limite. J'avais le goût de profiter de sa bouche, de l'embrasser à outrance, de le caresser jusqu'à la fatigue et de tout connaître ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie depuis la dernière excursion dans la Vie en Rose.
Le temps passe toujours trop vite. Nous avions tout de même 5 heures ensemble, c'est louable! Mais parfois, je me dis que même si j'avais 4 jours avec lui, je trouverais quand même triste son départ..
Laigle s'est pointé tout sourire dans la chambre d'Hôtel, son sac à la main et les cheveux en bataille. Sans oublier ses nouveaux souliers! Croquable. Sexy. Il portait même la cravate et les accessoires que je lui avait offert à Noël passé! Bref, pas mal de mon goût. Tout de suite, nos mains se sont trouvées, nos bouches se sont embrassées et la soirée était amorçée..
Je portais ma petite robe violet avec mes «fuck-me boots» à talons de 5 pouces et un bas filet noir.En dessous, un joli corset de dentelle noire ainsi que la petite culotte assortie. Cheveux (maintenant noirs!) remontés en chignon urbain, maquillée simplement mais mes yeux bien définis, j'ai tenté de lui faire comprendre à quel point j'avais hâte qu'il arrive. Les compliments dits, nous nous sommes attardés à notre projet principal avec assez d'entrain; célébrer! Descendus à la réception chercher deux verres à vin, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je devais me retenir. Étant dans ma ville, qui sait qui je pourrais croiser!.. c'est surtout une question de discrétion dans le crime.. haha!
Nous avons regagné la chambre, le prosseco coulait à flot, si bien que je me suis retrouvée avec les effets au corps plus vite que je ne le croyais. C'est probablement que j'étais presqu'à jeûn.. il n'a donc eu aucun problème à me faire me coucher sur le lit, écarter les cuisses et le laisser me pénétrer la chatte de ses doigts entreprenants. Lui qui rêvait de me voir éjaculer, il a fait le saut lorsque dans un élan d'excitation, sa main sur ma gorge et l'autre dans mon antre, je me suis mise à gicler à en mouiller sa chemise. Les lèvres de Laigle se sont étirées en un sourire magnifique; visiblement il était excité!
Le temps de reprendre nos esprits et nous avons recommencé à nous dire des conneries.. avec un peu d'alcool dans le sang et avec plein de questions en tête, tout le monde sait que j'ai la «jasette» facile! Parle parle, jase jase.. on baise maintenant? Jusqu'au fond de mon ventre, il me pilonnait la chatte dans une fougue intense..
Après le souper, un peu de visionnement de spectacle d'humour, l'écoute de quelques chansons dont Breathe Me de la splendide Sia, une discussion sur un avenir à moyen terme et une planification de notre prochain rendez-vous, Laigle allait remettre ses vêtement pour repartir vers sa banlieue de Montréal quand je lui ai demandé de bien vouloir déverser sa semence dans ma bouche avant de me quitter.. j'ai eu droit à une explosion de sperme sur le visage et les bras, après m'être fait baiser laq gorge à grand coups de bassin. J'étais aux anges, littéralement.
Il a pris une douche rapide, je le regardais couchée sur le lit avec ma coupe à la main, au travers de la baie vitrée qui nous séparait. Ses belles cuisses bien musclées, ses fesses rebondies, sa bouille de comique, il me faisait rire, mais surtout, me donnait envie de lui en voler une bouchée de son popotin parfait! Il m'a vaporisé un peu de son parfum dans le cou, et a mis les voiles avec son sac.
À son départ, je n'ai plus ni robe, ni corset, ni bottes.. même mes cheveux sont en bataille et j'ai l'air d'un épouvantail, mais je suis très heureuse de sa visite malgré tout.
Et j'ai décidé de dormir ici.. après tout, je l'ai pour la nuit cette chambre! ;)
Mes Confessions
Je suis une salope qui célèbre son amant :)
11.01.2011
À quoi je pense..
..à ma belle chambre d'hotel, à Québec, réservée pour samedi soir, et au charmant prince qui m'y accompagnera, pour son plus grand plaisir..
Un anniversaire, ça se fête en grand, je l'ai toujours dit!
Un anniversaire, ça se fête en grand, je l'ai toujours dit!
Mes Confessions
Je suis une salope qui célèbre son amant :)
10.23.2011
Les jours de pluie..
Vous avez bien remarqué que ces temps-ci, Mère Nature ne semble pas satisfaire par son teint gris. De mon côté du moins, tous les plans de petites excursions en pleine-air que je m'étais faits sont tombés à l'eau depuis 3 semaines, faute de belle température. On fait quoi pour pallier à la situation? Ordinairement, une fille aime bien faire le tour des centres d'achats, ou rester à la maison à popotter, ou en profiter pour réduire la liste de tâches à faire du côté ménager. Bon, après avoir fait tout ça... il ne reste plus grand chose à faire, qui ne coûte pas un bras et qui satisfait mon envie de bouger. Eh bien, c'est là qu'arrive le temps de baiser. Oui oui, baiser par des jours de pluie, c'est terriblement romantique, absolument orgasmique et ça ne coûte pas un sous. Quand mon chum est assis dans le bureau, à faire la compabilité de sa compagnie, ou à élaborer sa liste de contact, revoir son agenda ou écrire à des clients, j'aime arriver derrière lui, avec deux verres de vin à la main, écarter ses jambes pour glisser mon genou entre ses cuisses et lui embrasser le cou pour lui dire; «Je crois bien que tu as travaillé assez fort pour aujourd'hui.. allez, tu mérites que je te gâtes un peu..» Alors, je me mets à genoux devant lui, défait son pantalon et commence d'une main de maître à lui caresser la verge. Parfois, le moment est mal choisi, alors je repars avec ma coupe et je vais à la chambre, toute seule. Je choisi alors mon vibrateur préféré parmi ma collection et je me couche doucement sur le lit, jouant tout plein d'image de mes expériences passées, de moments torrides que j'ai eu la chance de vivre avec mes amants ou en solitaire, et je me laisse aller à mes envies, allant et venant dans ma petite chatte totalement humidifiée par les circonstances. Et puis, quand l'envie de regarder un petit vidéo au même moment me prend, je puise dans la collection de mon copain, et j'en choisi un très excitant où 3 demoiselles se bécottent le clito en gémissant trop fort. À tous coups, je suis emportée par la vague de l'ivresse, un orgasme dévastateur qui me fait rougir de la tête aux pieds.. et l'autre jour, ne m'étant pas rendu compte de la présence de mon amoureux sur le pas de la porte, je lui ai pffert sans le savoir un petit spectacle, avec un vibrateur dans la chatte et un autre dans le cul. Miam. J'ai eu droit à une baiser du tonnerre par la suite, sûrement pour me faire comprendre que la chaleur humaine de deux corps qui se frottent l'un sur l'autre est d'autant plus jouissive qu'un engin de latex bien enfoncé dans le con. Et après les baises, je prend une douche et je n'ai plus envie de me rhabiller.
Disons que depuis quelques semaines, je ne prends plus trop la peine de me vêtir à la maison. J'ai toujours eu un petit côté exhibitionniste; mon lit est sur le bord de la fenêtre à mon appartement. Quand je reçois mon amant, tous mes voisins peuvent nous voir.. et ça ne me fait pas un pli. J'aime me promener nue à la maison. Une impression de liberté, d'épanouissement, de douceur qui fait en sorte que je ne me sens ni pressée, ni étouffée. Quand je sais que je n'ai pas de plan défini, j'aime bien me prélasser un peu dans mon lit au réveil, prendre une bonne douche chaude, m'assécher un rester nue, pour le plaisir, pour ne pas me casser la tête, pour relaxer. J'aime m'étendre sur le sofa, sur ma couverture de cachemire et lire un bon livre avec un café noir, en sentant ma peau nue sur le tissus. Écouter SIA doucement pendant que je fais mon maquillage. Évidemment, je n'en suis pas à laver les fenêtres les seins à l'air! D'ailleurs, ce serait trop..
.. mais avouez que c'est un sentiment intérieur tout autre, que de se savoir dans un costume d'Ève à la maison!
Une aventure sensorielle intéressante, qui nous fait percevoir notre environnement différemment.
Disons que depuis quelques semaines, je ne prends plus trop la peine de me vêtir à la maison. J'ai toujours eu un petit côté exhibitionniste; mon lit est sur le bord de la fenêtre à mon appartement. Quand je reçois mon amant, tous mes voisins peuvent nous voir.. et ça ne me fait pas un pli. J'aime me promener nue à la maison. Une impression de liberté, d'épanouissement, de douceur qui fait en sorte que je ne me sens ni pressée, ni étouffée. Quand je sais que je n'ai pas de plan défini, j'aime bien me prélasser un peu dans mon lit au réveil, prendre une bonne douche chaude, m'assécher un rester nue, pour le plaisir, pour ne pas me casser la tête, pour relaxer. J'aime m'étendre sur le sofa, sur ma couverture de cachemire et lire un bon livre avec un café noir, en sentant ma peau nue sur le tissus. Écouter SIA doucement pendant que je fais mon maquillage. Évidemment, je n'en suis pas à laver les fenêtres les seins à l'air! D'ailleurs, ce serait trop..
.. mais avouez que c'est un sentiment intérieur tout autre, que de se savoir dans un costume d'Ève à la maison!
Une aventure sensorielle intéressante, qui nous fait percevoir notre environnement différemment.
Mes Confessions
Je suis une salope exhibitionniste un brin..
10.15.2011
La lourde tâche d'être mon amant.

Être mon amant, c’est accepter que parfois je me sens nulle, et qu’en d’autres occasions, j’aie envie de prendre les devants pour m’amuser. Ça signifie que j’ai besoin de ton point de vue d’homme sur des questionnements que j’ai. Être mon amant, c’est faire partie de ma vie, pas seulement de mes rêves torrides et c’est aussi se présenter à moi comme un homme avant une verge. Être mon amant, c’est accepter que j’aie parfois envie de me coller, de boire un café doucement en jasant de projets et d’idées folle.. et accepter également que je ne suis pas à perpétuité la bête de sexe que je suis la plupart du temps. Être mon amant, c’est entrer dans mon univers, me baiser avec frénésie, respecter que j’aie envie de me faire prendre à la gorge au moment de l’orgasme, de me faire sucer le clito jusqu’à jouir sur tes lèvres. C’est prendre part à mon jeu quand je me promène dans la rue avec toi, sans aucune culotte et les seins en évidence. C’est apprécier me laisser te déguster le bout du gland jusqu’à ce que tu n’en puisses plus d’attendre la suite. Être mon amant, c’est me regarder dans les yeux au moment de défaillir, d’aimer m’éjaculer dans la bouche, sur les seins, sur le ventre.. pétrir mes cuisses en public, me glisser des mots terriblement allumants dans des endroits où je ne m’attendrais à rien de moins. C’est me répéter 1oo fois par jours à quel point mes fesses te font bander, que ma peau est la plus douce que tu aies touchée, que mes yeux sont les plus magnifiques que tu aies vus. Être mon amant.. c’est deviner que j’aime mon café noir, que l’odeur du thym me rebute, que je craque pour des couilles rasées, que j’aime me faire baiser la gorge, me faire pénétrer la bouche à en pleurer et que j’adore lécher tes doigts après que tu les aies insérer dans les tréfonds de ma chatte.
Et ce que j’admire chez-toi, c’est que tu as compris le rôle qui t’étais réservé dans mon quotidien. Tu as su réaliser la place que je t’accorder dans mon cœur, tout ce que j’étais prête à t’offrir, l’amour que je te portais. Tu as su m’aider à me relever dans mes moments de tristesse, et partager mes joies. Tu as su avec moi, décupler les moments de bonheur afin de les rendre mémorables et plus encore, tu as su m’apprendre à trouver le plaisir dans chaque choses. Tu m’as enseigné à être une meilleure personne, à faire face à mes échecs ou à mes travers, en ne me jugeant pas, en t’extasiant devant mes qualités plutôt qu’en me ramenant aux yeux mes défauts.
Merci d’être mien. Être mon amant.. c’est un jeu que tu joues à la perfection.
XxX
Mamz’elle J
Mes Confessions
Je suis une salope qui a très envie de lui..
10.11.2011
Revirement de situation
Je sais, vous allez me dire qu'après un mois sans billet, je suis revenue vous faire la promesse de publier plus souvent mais je ne suis pas très assidue.. J'ai reçu des dizaines de courriels de votre part me mentionnant que mon retour était apprécié et que votre charmante salope avait réussi à faire revivre votre pantalon. Grand bien vous fasse mes chéris! Je suis à la composition d'autres billets mais ne peut les mettre en ligne tout de suite, donc attendez-vous à d'autres histoires totalement bandantes pour les semaines à venir!
-***-
Comme je m'étais lancé un défi l'an dernier, un mois avant Noël qui consistait à me faire jouir deux fois par jour pendant un mois, j'ai eu envie de réitérer la tradition, mais différemment.
J'ai donc initié mon copain à mon projet. À prime abords, pas tellement convaincu que cela pourrait lui plaire (Je le connais tellement..) il m'a dit vouloir tenter sa chance, mais ne croirait pas tenir le coupr pendant un mois. Alors, les modifications se sont avérées urgentes.
Le nouveau projet pour cette année; Jouir à 10 endroits inusités avant Noël, préférablement dans des villes différentes. Et comme j'avais déja une idée en tête de ce que je voulais, j'ai planifié un petit weekend, question de garnir mon port-folio photo dans Charlevoix avec mon amoureux cette fin de semaine. Vous avez des endroits à me suggérer dans cette belle région?
Écrivez-moi!
Ma journée de travail commence très bientôt, je dois aller «spotter» quelques clients sexy. C'est fou comme l'automne me réveille la libido! Pas question de tomber en hibernation pour moi cet hiver.. je me réchaufferai bien coquinement!
Bonne journée mes pervers préférés!
XxX
Mamz'elle J
-***-
Comme je m'étais lancé un défi l'an dernier, un mois avant Noël qui consistait à me faire jouir deux fois par jour pendant un mois, j'ai eu envie de réitérer la tradition, mais différemment.
J'ai donc initié mon copain à mon projet. À prime abords, pas tellement convaincu que cela pourrait lui plaire (Je le connais tellement..) il m'a dit vouloir tenter sa chance, mais ne croirait pas tenir le coupr pendant un mois. Alors, les modifications se sont avérées urgentes.
Le nouveau projet pour cette année; Jouir à 10 endroits inusités avant Noël, préférablement dans des villes différentes. Et comme j'avais déja une idée en tête de ce que je voulais, j'ai planifié un petit weekend, question de garnir mon port-folio photo dans Charlevoix avec mon amoureux cette fin de semaine. Vous avez des endroits à me suggérer dans cette belle région?
Écrivez-moi!
Ma journée de travail commence très bientôt, je dois aller «spotter» quelques clients sexy. C'est fou comme l'automne me réveille la libido! Pas question de tomber en hibernation pour moi cet hiver.. je me réchaufferai bien coquinement!
Bonne journée mes pervers préférés!
XxX
Mamz'elle J
Mes Confessions
je suis une salope qui a des envies parfois étranges
9.29.2011
Le chevalier noir à la rescousse de sa belle ou Comment baiser incognito chez La Vie en Rose
Le soleil était si beau cette journée-là. Un chaud samedi de septembre comme on les aime. Quand les feuilles vertes de l'été n'ont pas fuis la rudesse de l'automne..
Cela faisait une semaine que je répétais à mon amant que j'avais très envie de le revoir. TRÈS ENVIE. J'ai donc planifié une petite escapade dans sa région..
Je me suis retrouvée à magasiner au Carrefour de la Rive-Sud avec un besoin de bijoux, de lingerie et de baiser. La rencontre avait été orchestrée durant la semaine, mais je n'ai eu la confirmation de sa venue le matin même. Un homme marié avec une aussi belle et grosse famille, difficile de s'éclipser en douce..
Vers 11h, je reçois un message texte me disant: Viens me rejoindre au Winners.
Je ne me serais pas fait attendre si je ne m'étais pas perdu au milieu de l'immense magasin qu'est le IKEA. Beau, mais grand. Et trouver une sortie sans faire le tour du magasin; impossible! Finalement, sous ma panique, mon beau chevalier noir est venu me secourir...
Peu de temps après, nous voilà à la Vie en Rose à essayer de trouver une façon subtil de se sauver dans une cabine d'essayage. Mais bien évidemment, passionnée de lingerie que je suis, j'ai pris la peine de remplir les mains de mon charmant adonis de soutien-gorge.. la vendeuse n'y a vu que du feu.
Aussitôt le pied mis dans la cabine, les cintres sur les crochets, même pas la peine d'essayer quoi que ce soit; nous n'étions pas là pour ça. Nos lèvres ce sont retrouvées, nos mains se cherchaient et rapidement, mes genoux ont touché le sol.. évidemment, par souci de temps, mon amant n'avait pas enfilé de boxer, plus pratique lors de petits jeux furtifs tels que les nôtres. Laigle m'a enfoncé sa queue dans la bouche et je me suis regalée de son offrande. Quel délice que de passer ma langue sur chaque centimètres de son pieu, tout en caressant ses fesses et le regardant dans les yeux..et la meilleure partie, c'est bien quand il m'enfonce sa queue au fond de la gorge; c'est plaisant à souhait, autant pour moi que pour lui.
Il adore baiser ma gorge, entendre le son de ma salive qui lubrifie sa queue et mes larmes au bord des yeux.. À chaque fois, je sens que ma chatte se gonfle, se mouille et s'ouvre en un rien de temps.. Comme le rideau qui nous faisait office de porte à ma boutique de lingerie chouchou ne semblait pas aider à s'offrir et s'ouvrir à fond, nous avons donc décidé de sortir et d'aller se réfugier dans le MEXX juste un peu plus loin. Je ne pouvais pas quitter la boutique sans acheter un petit quelque chose, et comme tout était en solde..! ;)
J'ai donc acheté un joli corset dentelé, orné de porte-jarretelles et.. Laigle a aperçu deux petites choses qui pourraient m'intéresser; une paire de gants de satin et un éventail de plumes.. Voilà ce qui a constitué un petit cadeau à moi de moi!
Direction MEXX, monsieur se prend 3 ou 4 paires de pantalons au plus vite et m'entraîne dans les cabines d'essayage mixtes, avec de belles portes qui se ferment cette fois-ci. en bonne salope que je suis, j'avais traîné deux jouets à piles dans mon sac à main.. aussitôt enfermés dans la minuscule pièce, témoin de notre désir mutuel, j'ai donc sorti mon petit vibrateur serti de strass et ai caressé ma chatte sou ma jupe un moment.. pendant ce temps, Laigle passait ses douces mains sur mon corps, me laissant humer son odeur tellement excitante de M7. Je croyais rêver.
Vous épargnant quelques détails, je vous laisse deviner ce qui s'ensuivit. Monsieur s'est fait lécher la queue et moi, défoncé la chatte. Tout bonnement, joues rougies, nous nous sommes dirigées vers l'extérieur de la boutique, avons été passer quelques minutes dans son auto à se caresser et se répéter les mêmes mots depuis bientôt un an..
Quand fut le temps de partir, un baiser d'aurevoir et je me suis réfugiée dans une boutique de bijoux.. ça finit bien une journée et ça fait oublier la peine!
Définitivement, j'ai bien caché l'essentiel de ma journée à mon retour à la maison. Et bien entendu, mon sourire spontané et mon foulard imprégné de son odeur ne voulaient ABSOLUMENT rien dire! ;)
La suite dans un autre billet mes coquins!
Mamz'Elle J
xxx
Cela faisait une semaine que je répétais à mon amant que j'avais très envie de le revoir. TRÈS ENVIE. J'ai donc planifié une petite escapade dans sa région..
Je me suis retrouvée à magasiner au Carrefour de la Rive-Sud avec un besoin de bijoux, de lingerie et de baiser. La rencontre avait été orchestrée durant la semaine, mais je n'ai eu la confirmation de sa venue le matin même. Un homme marié avec une aussi belle et grosse famille, difficile de s'éclipser en douce..
Vers 11h, je reçois un message texte me disant: Viens me rejoindre au Winners.
Je ne me serais pas fait attendre si je ne m'étais pas perdu au milieu de l'immense magasin qu'est le IKEA. Beau, mais grand. Et trouver une sortie sans faire le tour du magasin; impossible! Finalement, sous ma panique, mon beau chevalier noir est venu me secourir...
Peu de temps après, nous voilà à la Vie en Rose à essayer de trouver une façon subtil de se sauver dans une cabine d'essayage. Mais bien évidemment, passionnée de lingerie que je suis, j'ai pris la peine de remplir les mains de mon charmant adonis de soutien-gorge.. la vendeuse n'y a vu que du feu.
Aussitôt le pied mis dans la cabine, les cintres sur les crochets, même pas la peine d'essayer quoi que ce soit; nous n'étions pas là pour ça. Nos lèvres ce sont retrouvées, nos mains se cherchaient et rapidement, mes genoux ont touché le sol.. évidemment, par souci de temps, mon amant n'avait pas enfilé de boxer, plus pratique lors de petits jeux furtifs tels que les nôtres. Laigle m'a enfoncé sa queue dans la bouche et je me suis regalée de son offrande. Quel délice que de passer ma langue sur chaque centimètres de son pieu, tout en caressant ses fesses et le regardant dans les yeux..et la meilleure partie, c'est bien quand il m'enfonce sa queue au fond de la gorge; c'est plaisant à souhait, autant pour moi que pour lui.
Il adore baiser ma gorge, entendre le son de ma salive qui lubrifie sa queue et mes larmes au bord des yeux.. À chaque fois, je sens que ma chatte se gonfle, se mouille et s'ouvre en un rien de temps.. Comme le rideau qui nous faisait office de porte à ma boutique de lingerie chouchou ne semblait pas aider à s'offrir et s'ouvrir à fond, nous avons donc décidé de sortir et d'aller se réfugier dans le MEXX juste un peu plus loin. Je ne pouvais pas quitter la boutique sans acheter un petit quelque chose, et comme tout était en solde..! ;)
J'ai donc acheté un joli corset dentelé, orné de porte-jarretelles et.. Laigle a aperçu deux petites choses qui pourraient m'intéresser; une paire de gants de satin et un éventail de plumes.. Voilà ce qui a constitué un petit cadeau à moi de moi!
Direction MEXX, monsieur se prend 3 ou 4 paires de pantalons au plus vite et m'entraîne dans les cabines d'essayage mixtes, avec de belles portes qui se ferment cette fois-ci. en bonne salope que je suis, j'avais traîné deux jouets à piles dans mon sac à main.. aussitôt enfermés dans la minuscule pièce, témoin de notre désir mutuel, j'ai donc sorti mon petit vibrateur serti de strass et ai caressé ma chatte sou ma jupe un moment.. pendant ce temps, Laigle passait ses douces mains sur mon corps, me laissant humer son odeur tellement excitante de M7. Je croyais rêver.
Vous épargnant quelques détails, je vous laisse deviner ce qui s'ensuivit. Monsieur s'est fait lécher la queue et moi, défoncé la chatte. Tout bonnement, joues rougies, nous nous sommes dirigées vers l'extérieur de la boutique, avons été passer quelques minutes dans son auto à se caresser et se répéter les mêmes mots depuis bientôt un an..
Quand fut le temps de partir, un baiser d'aurevoir et je me suis réfugiée dans une boutique de bijoux.. ça finit bien une journée et ça fait oublier la peine!
Définitivement, j'ai bien caché l'essentiel de ma journée à mon retour à la maison. Et bien entendu, mon sourire spontané et mon foulard imprégné de son odeur ne voulaient ABSOLUMENT rien dire! ;)
La suite dans un autre billet mes coquins!
Mamz'Elle J
xxx
Mes Confessions
Je suis une salope qui cherche à pimenter sa vie sexuelle
9.25.2011
. : : . . .BULLE DE NOSTALGIE . . . : : .
Visiblement, le Général Tao du Asia n'a pas été un succès. Peut-être le gâteau au chocolat a pu racheter la mise!..
Mais je garde le goût de tes lèvres encré en moi, les réclamant encore et encore... sur les miennes, sur ma chatte, sur mes seins. Doucement ou pas, fais-moi frémir encore comme tu sais le faire..
Mais je garde le goût de tes lèvres encré en moi, les réclamant encore et encore... sur les miennes, sur ma chatte, sur mes seins. Doucement ou pas, fais-moi frémir encore comme tu sais le faire..
Tour guidé de la Ville, Tire-bouchon et autres plaisirs coupable..
Encore une fois, une rencontre préparée minutieusement quelques semaine avant le jour J entre moi et mon bel amant…Ses excuses pour découcher de la maison familiale sont un peu épuisées, donc, il fallait trouver absolument une bonne raison de partir pour une journée entière et une nuit, sans éveiller de soupçons… Heureusement, Laigle a un bon ami qui, travaillant pour Xerox lui avait réservé une chambre au réputé Concorde.. Du moins, c’est ce que pense madame!
Après avoir bordé la marmaille, monsieur mon amant s’est engagé sur la route afin de venir me retrouver au beau milieu de la nuit. Une très délicate attention que de venir dormir collé contre moi, passer enfin une nuit ensemble... Depuis la St-Valentin au MUST, ça n’était pas arrivé. Qui plus est, monsieur n’était pas seul à l’Hôtel cette fois-là... disons que la situation était cocasse!
Donc, me gardant à l’affût du trajet de deux heures séparant nos demeures, je demeurais rivée à mon téléphone, ayant les papillons au ventre depuis trois jours. À son arrivée, j’avais préparé, fidèle à mon habitude, une bouteille de blanc au froid, et j’avais aussi achetée une bouteille de rouge au cas où. Deux verres étaient disposés sur la table de la salle à manger, mon parfum embaumait la pièce. Vers minuit dix, j’entends enfin sonner, je descends l’escalier du bloc appartement à la hâte, tellement excitée de le savoir tout près de moi. On remonte doucement, monsieur regarde mes jambes pendant que je monte juste devant lui avec mes «shorts» de pyjama… Oui, je sais que vous allez me dire que ce n’est pas une tenue très soignée que d’accueillir un homme aussi important en pyjama, camisole, pantoufles et foulard au cou. Par contre, comme il faisait nuit et que j’avais passé tout de même quelques heures à roupiller avant l’arrivée de mon amant, j’avais préféré ne pas me changer de vêtements. De toutes façons, il s’en est foutu.. alors bon!
On n’était pas arrivés au troisième étage que déjà mon envie de lui sauter au cou se faisait sentir. J’avais tellement envie de l’embrasser, goûter ses lèvres et surtout, sentir son odeur… Elle me fait tant d’effet depuis la première rencontre! Je crois que je vais m’acheter la bouteille petit format de M7 seulement pour la vaporiser dans mes draps afin de le sentir toujours près de moi... Son sac déposé à l’entrée n’avait plus aucune importance, ses souliers avaient trouvé refuge dans un coin de la chambre et sa chemise à carreaux n’est pas restée très longtemps sur son magnifique corps. Laigle a ce talent de me faire oublier tout le reste quand il est avec moi. Exit la job, les cours, les projets. Exit la famille et les difficultés de la vie. Il n’y a que lui et moi. C’est tout. Je profite de chacun de ces moments avec tellement d’insistance.
Cela faisait déjà un petit bout de temps que nous n’avions eu l’occasion de se voir. Laigle était venu visiter mon appartement, m’apportant un cadeau de crémaillère très joli! Le genre d’ornement hyper zen, épuré mais qui fait un terrible coup d’œil.
Quelques chandelles étaient disposées sur ma table de nuit. À elles seules, elles pouvaient éclairer toute la pièce.. Je ne voyais qu’une partie de son visage, éclairée par la lueur des bougies, il était tellement sexy. Mes mains se sont perdues sous sa chemise à carreaux et j’ai éclaté dans un fou rire. C’est un réflexe que j’ai quand je suis nerveuse. Laigle appelle cela des «giggles».. Pour déboucher la bouteille de vin, quelle ne fut pas l’aventure du siècle.
J’avais décidé de le faire, mais au moment où je m’apprêtais à sortir le bouchon de la bouteille avec ce que j’appelle le tire-bouchon «bonhomme», la partie centrale s’est arrachée de l’instrument. Donc, par tous les moyens du monde, cherchons comment la retirer de là..Pousser? Trop compliqué et on ne veut pas de petits copeaux de liège dans le vin.. Tirer? Oui, mais comment? Pince à sourcil, couteau à pain, couteau de boucherie, tout y est passé.. finalement, une fourchette a pu faire la job!. Vingt minutes ouvrir une bouteille de vin. Aoutche!
Après avoir pris des nouvelles de chacun des enfants, de la femme de monsieur et de son doigt récemment blessé, j’ai entrepris de l’amener au lit, question de le détendre.. Étendu sur l’édredon, il avait l’air d’un Dieu Grec. Lentement, mes mains se sont mises à le caresser, ma bouche a trouvé la piste de sa peau nue, sur laquelle glissaient mes ongles doucement, laissant de petites traces à peine apparentes… Je me sentais féline. Monsieur Laigle tentait de m’étreindre, mais je me reculais.. je clouais ses mains au dessus de sa tête, je contrôlais ses envies… puis après l’avoir fait languir pendant plus d’une heure, j’ai pris sa belle queue saillante dans ma bouche, sur ma langue qui chavirait autour de son gland bien gonflé… je léchais ses couilles et y allait même de quelques excès d’audace, mon index allant se perdre sous ses fesses, à effectuer quelques caresses qui m’avaient l’air fort intéressantes. Une heure à jouer ainsi avec sa verge gonflée à bloc, quand monsieur a décider de déverser sa semence dans ma gorge, je me suis empressée de tout prendre sans broncher. J’aime tellement ce moment, l’apogée du plaisir, le paroxysme de l’excitation, quand un homme jouit, son membre en saccade qui tremble sur ma langue et son souffle se transformant en cri de satisfaction, souvent accompagné de mot très élogieux, je vous jure.. ;)
Quand nous nous sommes rendus compte de l’heure qu’il était, nous ne nous sommes pas fait prier pour prendre la direction des rêves.. Le lendemain matin nous attendait une compétition de vélo, sur la Grande-Allée à deux pas de mon loft, pour le plus grand plaisir des yeux de mon amant.. mais aussi pour cueillir des preuves de sa présence sur place. Quelques photos cellulaire, regards autour et nous avons décidé de nous trouver un resto pour casser la croûte ensemble. Nous nous sommes donc rendus au réputé restaurant Savini avec le sourire aux lèvres. Accueillis par James Monti, le propriétaire en personne, nous avons pu prendre place sans réservation dans le restaurant qui allait se bonder plus tard. Au deuxième plancher, la vue sur le bar était superbe, fenêtres ouvertes, ambiance festive et les serveurs aux petits soins, je me sentais tellement bien… Après avoir commandé notre breuvage, chacun un verre de blanc, les entrées de fromage bocconccini sur lit de tomates fraiches et de basilic étaient rafraichissantes et bien appréciées! Nous nous dévorions des yeux.. mon attention ne se portait plus que sur ses lèvres, nos mains cherchaient celles de l’autre, de sourire en regards, nous nous sommes engagés sur une conversation tournant autour des blogues que nous visitions, de nos projets à moyen et longs termes, du voyage relativement récent de monsieur et de mes envies de retourner sur les bancs d’école, entre autre.
Ses conseils sont toujours simples mais concrets. Il me guide sur la bonne route, me fait réfléchir, me nourrit. J’aime l’écouter pendant de nombreuses minutes, toujours attentive, à prendre des notes mentales et à le questionner. J’aime l’entendre me raconter ses expériences, ses projets, sa vie familiale, ses fantasmes et ses envies. J’aime être avec lui. J’aime tout de lui..
Le repas terminé, nous sommes retournés sur Grande-Allée.. j’avais envie de marcher un peu aux environs, prendre sa main en public dans cette ville si petite et où les chances de tomber sur une connaissance sont tellement élevées. Je me foutais de tout cela cette journée-là. À marcher sur la rue Cartier, je lui ai montré ma confiserie préférée, ma pâtisserie favorite, ma boutique de déco intérieure, mon resto de sushis chouchou, et la biscuiterie où je lui prends quelques surprises à l’occasion. Revenus à la maison, je savais que la fin approchait… et honnêtement, je déteste cet instant où ses yeux se figent, ils pendent leur chaleur et redeviennent ceux de l’homme marié qui doit retourner à sa marmaille. Alors, j’ai pris sa bouteille de parfum, en ai vaporisé sur mes draps, pour garder son odeur… L’heure filait et je devais moi aussi partir bientôt pour retrouver mon copain. Donc, les adieux se sont faits comme à l’habitude; sur le pas de la porte, moi les yeux pleins d’eau, lui à compatir.. dernier baiser, eh hop! Laigle s’est envolé.
Le temps de m’habiller un peu et de boire un grand verre d’eau, on sonne à la porte. J’ouvre. Il était là, revenu pour m’embrasser fougueusement, m’agripper une fesse et me tirer un grand sourire… et il est reparti pour une dernière fois, une programme de la course de vélo à la main..
Je n’ai jamais autant apprécié le temps passé avec lui que durant cette journée et demie.
Après avoir bordé la marmaille, monsieur mon amant s’est engagé sur la route afin de venir me retrouver au beau milieu de la nuit. Une très délicate attention que de venir dormir collé contre moi, passer enfin une nuit ensemble... Depuis la St-Valentin au MUST, ça n’était pas arrivé. Qui plus est, monsieur n’était pas seul à l’Hôtel cette fois-là... disons que la situation était cocasse!
Donc, me gardant à l’affût du trajet de deux heures séparant nos demeures, je demeurais rivée à mon téléphone, ayant les papillons au ventre depuis trois jours. À son arrivée, j’avais préparé, fidèle à mon habitude, une bouteille de blanc au froid, et j’avais aussi achetée une bouteille de rouge au cas où. Deux verres étaient disposés sur la table de la salle à manger, mon parfum embaumait la pièce. Vers minuit dix, j’entends enfin sonner, je descends l’escalier du bloc appartement à la hâte, tellement excitée de le savoir tout près de moi. On remonte doucement, monsieur regarde mes jambes pendant que je monte juste devant lui avec mes «shorts» de pyjama… Oui, je sais que vous allez me dire que ce n’est pas une tenue très soignée que d’accueillir un homme aussi important en pyjama, camisole, pantoufles et foulard au cou. Par contre, comme il faisait nuit et que j’avais passé tout de même quelques heures à roupiller avant l’arrivée de mon amant, j’avais préféré ne pas me changer de vêtements. De toutes façons, il s’en est foutu.. alors bon!
On n’était pas arrivés au troisième étage que déjà mon envie de lui sauter au cou se faisait sentir. J’avais tellement envie de l’embrasser, goûter ses lèvres et surtout, sentir son odeur… Elle me fait tant d’effet depuis la première rencontre! Je crois que je vais m’acheter la bouteille petit format de M7 seulement pour la vaporiser dans mes draps afin de le sentir toujours près de moi... Son sac déposé à l’entrée n’avait plus aucune importance, ses souliers avaient trouvé refuge dans un coin de la chambre et sa chemise à carreaux n’est pas restée très longtemps sur son magnifique corps. Laigle a ce talent de me faire oublier tout le reste quand il est avec moi. Exit la job, les cours, les projets. Exit la famille et les difficultés de la vie. Il n’y a que lui et moi. C’est tout. Je profite de chacun de ces moments avec tellement d’insistance.
Cela faisait déjà un petit bout de temps que nous n’avions eu l’occasion de se voir. Laigle était venu visiter mon appartement, m’apportant un cadeau de crémaillère très joli! Le genre d’ornement hyper zen, épuré mais qui fait un terrible coup d’œil.
Quelques chandelles étaient disposées sur ma table de nuit. À elles seules, elles pouvaient éclairer toute la pièce.. Je ne voyais qu’une partie de son visage, éclairée par la lueur des bougies, il était tellement sexy. Mes mains se sont perdues sous sa chemise à carreaux et j’ai éclaté dans un fou rire. C’est un réflexe que j’ai quand je suis nerveuse. Laigle appelle cela des «giggles».. Pour déboucher la bouteille de vin, quelle ne fut pas l’aventure du siècle.
J’avais décidé de le faire, mais au moment où je m’apprêtais à sortir le bouchon de la bouteille avec ce que j’appelle le tire-bouchon «bonhomme», la partie centrale s’est arrachée de l’instrument. Donc, par tous les moyens du monde, cherchons comment la retirer de là..Pousser? Trop compliqué et on ne veut pas de petits copeaux de liège dans le vin.. Tirer? Oui, mais comment? Pince à sourcil, couteau à pain, couteau de boucherie, tout y est passé.. finalement, une fourchette a pu faire la job!. Vingt minutes ouvrir une bouteille de vin. Aoutche!
Après avoir pris des nouvelles de chacun des enfants, de la femme de monsieur et de son doigt récemment blessé, j’ai entrepris de l’amener au lit, question de le détendre.. Étendu sur l’édredon, il avait l’air d’un Dieu Grec. Lentement, mes mains se sont mises à le caresser, ma bouche a trouvé la piste de sa peau nue, sur laquelle glissaient mes ongles doucement, laissant de petites traces à peine apparentes… Je me sentais féline. Monsieur Laigle tentait de m’étreindre, mais je me reculais.. je clouais ses mains au dessus de sa tête, je contrôlais ses envies… puis après l’avoir fait languir pendant plus d’une heure, j’ai pris sa belle queue saillante dans ma bouche, sur ma langue qui chavirait autour de son gland bien gonflé… je léchais ses couilles et y allait même de quelques excès d’audace, mon index allant se perdre sous ses fesses, à effectuer quelques caresses qui m’avaient l’air fort intéressantes. Une heure à jouer ainsi avec sa verge gonflée à bloc, quand monsieur a décider de déverser sa semence dans ma gorge, je me suis empressée de tout prendre sans broncher. J’aime tellement ce moment, l’apogée du plaisir, le paroxysme de l’excitation, quand un homme jouit, son membre en saccade qui tremble sur ma langue et son souffle se transformant en cri de satisfaction, souvent accompagné de mot très élogieux, je vous jure.. ;)
Quand nous nous sommes rendus compte de l’heure qu’il était, nous ne nous sommes pas fait prier pour prendre la direction des rêves.. Le lendemain matin nous attendait une compétition de vélo, sur la Grande-Allée à deux pas de mon loft, pour le plus grand plaisir des yeux de mon amant.. mais aussi pour cueillir des preuves de sa présence sur place. Quelques photos cellulaire, regards autour et nous avons décidé de nous trouver un resto pour casser la croûte ensemble. Nous nous sommes donc rendus au réputé restaurant Savini avec le sourire aux lèvres. Accueillis par James Monti, le propriétaire en personne, nous avons pu prendre place sans réservation dans le restaurant qui allait se bonder plus tard. Au deuxième plancher, la vue sur le bar était superbe, fenêtres ouvertes, ambiance festive et les serveurs aux petits soins, je me sentais tellement bien… Après avoir commandé notre breuvage, chacun un verre de blanc, les entrées de fromage bocconccini sur lit de tomates fraiches et de basilic étaient rafraichissantes et bien appréciées! Nous nous dévorions des yeux.. mon attention ne se portait plus que sur ses lèvres, nos mains cherchaient celles de l’autre, de sourire en regards, nous nous sommes engagés sur une conversation tournant autour des blogues que nous visitions, de nos projets à moyen et longs termes, du voyage relativement récent de monsieur et de mes envies de retourner sur les bancs d’école, entre autre.
Ses conseils sont toujours simples mais concrets. Il me guide sur la bonne route, me fait réfléchir, me nourrit. J’aime l’écouter pendant de nombreuses minutes, toujours attentive, à prendre des notes mentales et à le questionner. J’aime l’entendre me raconter ses expériences, ses projets, sa vie familiale, ses fantasmes et ses envies. J’aime être avec lui. J’aime tout de lui..
Le repas terminé, nous sommes retournés sur Grande-Allée.. j’avais envie de marcher un peu aux environs, prendre sa main en public dans cette ville si petite et où les chances de tomber sur une connaissance sont tellement élevées. Je me foutais de tout cela cette journée-là. À marcher sur la rue Cartier, je lui ai montré ma confiserie préférée, ma pâtisserie favorite, ma boutique de déco intérieure, mon resto de sushis chouchou, et la biscuiterie où je lui prends quelques surprises à l’occasion. Revenus à la maison, je savais que la fin approchait… et honnêtement, je déteste cet instant où ses yeux se figent, ils pendent leur chaleur et redeviennent ceux de l’homme marié qui doit retourner à sa marmaille. Alors, j’ai pris sa bouteille de parfum, en ai vaporisé sur mes draps, pour garder son odeur… L’heure filait et je devais moi aussi partir bientôt pour retrouver mon copain. Donc, les adieux se sont faits comme à l’habitude; sur le pas de la porte, moi les yeux pleins d’eau, lui à compatir.. dernier baiser, eh hop! Laigle s’est envolé.
Le temps de m’habiller un peu et de boire un grand verre d’eau, on sonne à la porte. J’ouvre. Il était là, revenu pour m’embrasser fougueusement, m’agripper une fesse et me tirer un grand sourire… et il est reparti pour une dernière fois, une programme de la course de vélo à la main..
Je n’ai jamais autant apprécié le temps passé avec lui que durant cette journée et demie.
Mes Confessions
Je suis une salope qui vis d'intenses moments..
9.21.2011
Mes prochains billets en quelques mots!
À venir dans le prochain billet:
Mon magasinage chez Mexx, Comment baiser dans des salles d'essayage de la Vie en Rose,
La venue de mon amant à Québec et À la recherche de la chatte expérimentatrice.
C'est à ne pas manquer, restez à l'affût!
Mon magasinage chez Mexx, Comment baiser dans des salles d'essayage de la Vie en Rose,
La venue de mon amant à Québec et À la recherche de la chatte expérimentatrice.
C'est à ne pas manquer, restez à l'affût!
9.13.2011
Au Hasard Des Jours
Au hasard des jours, tu es débarqué dans ma vie
Des lueurs de chandelles et des désirs bien enfouis
Sous la forme d’un oiseau rare, agrippant; mon cœur infidèle
Mes bonheurs éphémères et mes fantaisies cachées
Tu as ouvert ma porte selon mes directives,
Ni trop tôt, ni trop vite.. juste un peu trop grande
Assez pour qu’à ton départ, je puisse vouloir t’y suivre
Tu t’es blotti en moi, comme si ta place y avait toujours été
Une journée de décembre où le froid était lourd,
Où la matinée glaciale s’étirant, se laissait désirer
Tout autant que le feu charnel qui consumait mon corps
La musique des sens nous battait une lente mesure
Des mains se baladaient sur des corps nus, des cœurs se chevauchaient
Et les pas de la danse devinrent vite évidente luxure
Impossible de dire quand finira la chanson
Dans une heure, dans un mois ou un an, sans trop de hâte
Il n’en tiendra qu’à nous de se fondre à l’émotion
Que parcours notre chair lorsque nos êtres s’emboitent
Chaque rencontre passionnelle est nouvelle séduction
À cette histoire qui dure depuis des mois, mais qui recommence
Qui nous tient en haleine, le désir en éruption
Si je regarde à l’horizon, j’y retrouve la lumière de ton regard
Quand à l’apogée de l’extase, nos corps succombent
Quand nous entoure une aura de satisfaction palpable
Ta main sur ma nuque, mes lèvres sur ta joue..
Des lueurs de chandelles et des désirs bien enfouis
Sous la forme d’un oiseau rare, agrippant; mon cœur infidèle
Mes bonheurs éphémères et mes fantaisies cachées
Tu as ouvert ma porte selon mes directives,
Ni trop tôt, ni trop vite.. juste un peu trop grande
Assez pour qu’à ton départ, je puisse vouloir t’y suivre
Tu t’es blotti en moi, comme si ta place y avait toujours été
Une journée de décembre où le froid était lourd,
Où la matinée glaciale s’étirant, se laissait désirer
Tout autant que le feu charnel qui consumait mon corps
La musique des sens nous battait une lente mesure
Des mains se baladaient sur des corps nus, des cœurs se chevauchaient
Et les pas de la danse devinrent vite évidente luxure
Impossible de dire quand finira la chanson
Dans une heure, dans un mois ou un an, sans trop de hâte
Il n’en tiendra qu’à nous de se fondre à l’émotion
Que parcours notre chair lorsque nos êtres s’emboitent
Chaque rencontre passionnelle est nouvelle séduction
À cette histoire qui dure depuis des mois, mais qui recommence
Qui nous tient en haleine, le désir en éruption
Si je regarde à l’horizon, j’y retrouve la lumière de ton regard
Quand à l’apogée de l’extase, nos corps succombent
Quand nous entoure une aura de satisfaction palpable
Ta main sur ma nuque, mes lèvres sur ta joue..
Mes Confessions
Je suis une salope qui s'ennuie..
Une envie de reprendre l'écriture; le réveil émotionnel de Mamz'elle J
Ce matin, je suis assise à un petit Café de Grande-Allée. Entourée de fonctionnaires qui prennent des pauses beaucoup trop longue, je m'amuse à visiter des blogs crus et sexy pendant que je vois des yeux se tourner vers mon écran d'ordinateur. J'ai décidé, ayant une demi-journée de congé, de m'habiller relax, dans mon style habituel, casquette et foulard, jupe et débardeur et de sortir prendre l'air.. mon appartement m'envoie des désirs inconscients, me donne envie de baiser comme jamais.
Mais aujourd'hui, j'en désire qu'un seul.. et il sait de qui je parle..
Mon café me donne de l'inspiration, un flot de mot se bousculent dans ma tête, entre mon coeur et mes pensées coquines. Mais je me sens trop sérieuse pour céder à cet intérêt qu'ont mes fantasmes à sortir au grand jour pour s'aligner sur la page blanche devant moi. Non. Aujourd'hui, je rend hommage à mes sentiments pour cet homme -beau bonhomme!- qui me fait être dans la lune comme nul autre jour.
***
Après des heures troublantes à travers lesquelles je viens de passer, ayant vu défiler les images de ta peau, de ton visage rieur et illuminé de tendresse, ayant croisé ces yeux, t’ayant désiré avec la force d’un vent de chaleur immense me poussant à la sensualité, je pense à toi. Toujours couchée dans mes draps, nue, je pousse l’audace jusqu’à chercher ton nom sur mon téléphone, appuyer sur la touche assignée à ta photo et à débuter une petite conversation avec toi, te faisant mention de mes plans pour les prochains jours, t’invitant à t’y joindre… j’ai l’impression de flotter sur un nuage en percevant ton bonheur ainsi que ta réponse. J’ai déjà hâte de retrouver ton corps, d’y passer les doigts, de sentir son odeur et d’en embrasser chaque millimètre doucement, en souvenir de cette dernière fois. Je sais que pour toi, ça ne fait pas si longtemps… mais pour moi, c’est déjà une éternité..
Vivement qu’on se revoit très bientôt. Tu me manques..
Mamz’elle J
Mais aujourd'hui, j'en désire qu'un seul.. et il sait de qui je parle..
Mon café me donne de l'inspiration, un flot de mot se bousculent dans ma tête, entre mon coeur et mes pensées coquines. Mais je me sens trop sérieuse pour céder à cet intérêt qu'ont mes fantasmes à sortir au grand jour pour s'aligner sur la page blanche devant moi. Non. Aujourd'hui, je rend hommage à mes sentiments pour cet homme -beau bonhomme!- qui me fait être dans la lune comme nul autre jour.
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Après des heures troublantes à travers lesquelles je viens de passer, ayant vu défiler les images de ta peau, de ton visage rieur et illuminé de tendresse, ayant croisé ces yeux, t’ayant désiré avec la force d’un vent de chaleur immense me poussant à la sensualité, je pense à toi. Toujours couchée dans mes draps, nue, je pousse l’audace jusqu’à chercher ton nom sur mon téléphone, appuyer sur la touche assignée à ta photo et à débuter une petite conversation avec toi, te faisant mention de mes plans pour les prochains jours, t’invitant à t’y joindre… j’ai l’impression de flotter sur un nuage en percevant ton bonheur ainsi que ta réponse. J’ai déjà hâte de retrouver ton corps, d’y passer les doigts, de sentir son odeur et d’en embrasser chaque millimètre doucement, en souvenir de cette dernière fois. Je sais que pour toi, ça ne fait pas si longtemps… mais pour moi, c’est déjà une éternité..
Vivement qu’on se revoit très bientôt. Tu me manques..
Mamz’elle J
***
Mes Confessions
Je suis une salope qui a très envie de lui..
4.22.2011
Bad Ovila, ou comment apprendre à laisser passer la vie..
Ceci est un billet spécial, ui à la base aurait mieux fait de se retrouver sur mon autre blogue, celui un peu plus personnel et nommé «La Petite Vie Trop Sage de MamZ'Elle J» mais j'ai choisi de l'apposer ici pour des raisons qui me sont chères.
J'aurais le goût d'être heureuse ce weekend, aux grands souhaits de mon ami Crapules;
«Bad Ovila, Bad Ovila»
J'ai pas 4o ans. J'en ai 2o. Tout juste. Mais même si c'était possible, je ne voudrais pas accélérer ma vie, sous prétexte que j'aurais peut-être quelques avantages. Je me vois parcontre à 4o ans, avec la maturité et la «conscience» que je possède présentement, à mon âge. De 2o à 4o, il y a encore toute une vie. Toute MA vie. L'âge n'a jamais été vraiment un source de malaise entre moi et les gens. Quand ils me donnent l'occasion de leur dévoiler un peu qui je suis, ceux-ci laissent tomber le voile de l'âge et se centrent davantage sur l'âme de la petite brune aux yeux verts.
Si j'ai cette façon d'aborder la peine que je vis à ce jour, pour les diverses raisons qui l'ont créé, c'est entre autre parce que j'ai eu l'occasion de vivre des situations semblables par le passé. J'ai compris que de m'attacher à des fausses roses, ça laissait des épines au coeur et une odeur de mal-être.
Pas besoin de consolation. Ce ne sont que des mots, réflétant mes états d'esprit passagers...
Ce billet m'a permis de me prouver une chose; au fond de mon coeur, la petite fille du village a bien changé depuis. Pour le mieux, je l'espère. Mais, ce que j'ai réussi de mieux dans mon développement, c'est d'apprendre à me respecter. À partir de là, tout s'imbrique.
Et c'est pour ça que je vous ai dis adieu...et que je ferai la même chose avec Lui..
Mes Confessions
Je suis une salope sensible
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