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6.10.2013

Réveille-matin

J'ai ouvert les yeux ce matin. Tranquille et légèrement ensoleillée, apparence de neige à l'horizon.
Après avoir glissé mon tiroir de lingerie pour y trouver mon plus bel ensemble de dentelle noire, je me suis dirigée vers ma garde-robe pour remettre ma nouvelle robe. Ceinturon de satin, veston noir et hautes bottes de velours noire à talon aiguille.. Tout était prêt, il me restait qu'à prendre une douche et déjeuner avant de débuter ma journée. 

J'entre dans la douche, laissant ma longue robe de chambre en satin, inspiration kimono-japonais argent, tomber sur le sol de céramique de ma salle de bain. Réglant l'eau à une température plus chaude que la normale des gens, je laisse la porcelaine de la douche s'empreindre de la chaleur de l'eau avant d'y entrer. Je jette un oeil dans le mirroir; un regard de feu. Encore une autre soirée où j'ai oublié de me démaquilller les yeux. Ce matin, je me sens invincible. Et même si je couve un rhume depuis deux jours et que j'ai l'impression d'avoir une feuille de papier sablé au fond de la gorge, j'affiche un sourire brillant et motivateur..

J'abaisse d'un cran la température de l'eau.. Et j'y entre le bout d'un pied. Puis, tout le reste de la jambe et je sens ruisseler l'eau sur ma peau encore à jeûn d'expérience aujourd'hui. Rejettant la tête par derrière, je laisse mes cheveux s'abreuver de ces milliers de gouttes découlant de la pomme de le douche. en fermant les yeux, plein d'images me viennent en tête, dont celles de la dernière fois où j'avais amené mon jouet hydrofuge avec moi.. j'agite les bras et étend l'eau sur mes épaules, sur mes bras, et remonte à mes seins. Ils me semblent lourds, ronds.. fermes. J'aime les toucher sous l'eau. Les soulever, les prendre en mains, les coller l'un contre l'autre et sentir s'écouler la mousse sur mon bijoux.. J'étire donc le bras vers la bouteille de savon pour le corps, comme à l'habitude contenant de petites perles de beurre de karité pour adoucir mon grain de peau et qui me rend délicieuse à sentir (M'a-t-on dit..!) Je me savonne le haut de la poitrine, puis les bras.. puis les seins que je prend plaisir à frotter, je joue un peu avec eux.. puis je redescends vers le ventre, les cuisses, je lève une jambe puis l'autre.. je me rince et nettoie mes cheveux.. une routine habituelle,mais à laquelle j'ajoute un mouvement plus long, plus langoureux.. 

Lorsque je sors, un frisson me parcours.. j'aime bien m'enfermer dans la douche et ne sentir que la vapeur d'eau atteindre mon nez, mes paupières.. je n'aime pas vraiment avoir froid. Je me recouvre d'une grande serviette de bain, le temps d'essorrer mes cheveux, de les brosser pour les démêler et enlever l'excès d'eau. Je me dirige d'un pas décidé vers ma chambre, dans laquelle joue un air plutôt apaisant.. le CD que j'ai l'habitude d'écouter durant mes séances de Taï-Chi et de Yoga a fini par se retrouver en lecture dans mon carousel de chaîne stéréo. J'allume un bâton d'encens pour mettre une ambiance plus posée.. puis je me sèche les cheveux en y mettant le plus de volume possible. J'allume le fer à lisser et me dirige vers la partie détente de mon petit cocon pour me vêtir.

J'enfile la culotte en premier. Un culotte de style garçonne, avec un détail de satin qui donne une touche coquine à l'ensemble. Puis, j'enfile le soutien-gorge. J'aggraffe et je me retourne vers le miroir pour ajuster la bretelle.. 
Je lisse mes cheveux, section par section. et je me maquille. Les yeux, les joues, la bouche.. Je fouille dans ma collection de bijoux et glisse une bague à mon doigt, des boucles à mes oreilles et un bracelet à mon poignet. 

Je regarde du coin de l'oeil mon ami le vibro, et ma montre.. il me reste bien un bon vingt minutes avant de partir pour mon unique cours de la journée. Je laisse tomber le sac à main, les livres et le manteau pour aller me blottir à nouveau sur mon lit, vibro à la main. Je sais comment me toucher, à quel endroit et en combien de temps je peux jouir avec mon instrument. Je me restreint à un orgasme. Un seul. Puis je pars.. Je me caresse par dessus ma robe, je la remonte sur mes hanches.. j'abaisse ma petite culotte et passe un doigt sur ma chatte.. déja mouillée.. je l'agite sur mon clito gonflé à bloc et  je me laisse aller à travers mon imaginaire, voyant des corps se fondre l'un dans l'autre, observant les mains et les yeux d'un homme qui n'aurait pour but que celui de me faire atteindre le 7ieme ciel.. Quand je met en marche mon vibro rose, rien ne serait me tirer un sourire plus beau.. je lui frotte la tête sur ma fente inondée et pousse un peu, pour laisser un peu de mon jus sur la première partie de la verge de silicone.. puis, je recommence. La vibration, pourtant à un niveau assez bas, me semble infernale. Mon état d'excitation et tel que je sens que si je le réapproche de mon antre, il ne faudra que quelques secondes avant l'atteinte du Plaisir.. ce que je ne veux pas. Pas cette fois. J'attends. Une minute. Deux minutes.. puis, je me sens d'attaque. J'y replonge mon compagnon de jeu, qui y sauce sa verge plus facilement que jamais et je m'adonne à un plaisir certain. J'en frémis, mes orteils se crispent au bout de mes pieds. Je me sens absorbée par mes pensées perverses, mes idées secrètes, mes fantasmes les plus osés. Je sens que je vais atteindre le point de non retour... et je le fais aller un peu plus vite, une peu plus brusquement, un peu plus loin.. Un spasme vient me chercher. Une extase éphémère se passe.. Je profite de la contraction de mes muscles pour récupérer un peu de l'ère dans laquelle je suis. Sentiment de bien-être mêlé à de la déception que ça ne puisse pas durer quelques secondes de plus, cet état de décontraction.. Mais je récupère vite et bien. 

Je lèche mes doigts, en coquine que je suis. Puis, je nettoie le jouet, le remet sous l'oreiller et.. tant qu'à être en état de les recevoir, j'insère en moi les boules de geisha que je vois dans le tiroir de jouets.. il me reste 5 minutes.

Demain. Je ferai la même chose.. mais sans les sous-vêtements...






Mamz'elle J xx

6.08.2013

Au Bal Masqué, dernière partie

Toujours couchée entre deux corps, entre deux mondes, entre l'envie de me coucher et dormir contre la chaleur de ces mâles à demi nus et celle de laisser la nuit filer en ne me préoccupant que de mon envie de jouir et rejouir, je reprends un peu mes esprits. respire profondément malgré un corps comprimant mes organes internes.. je suis à bout de souffle quand les deux hommes reprennent leur chorégraphie jouissive. Je les sens bien à travers la paroi séparant mon cul de ma chatte devenue inondée de ma cyprine abondante. Je les sens coulisser avec tellement de facilité et d'exaltation que je deviens bientôt sur le point de laisser un autre torrent de spasme m'envahir. Mon Préféré passe deux mains de chaque côtés de ma tête, relevant le haut de mon corps et m'approchant de lui. Il colle son torse contre mon dos, me serre contre lui, et descend les doigts jusqu'à mes mamelons en les pinçant entre pouces et index. Je crois qu'il a deviné que j'aime un peu me faire challenger..

C'est alors que ses coups de bassin se font plus forts, plus rapides, plus puissants. Je le sens me limer le cul, appuyant de plus en plus son corps contre le mien. Il passe alors son bras droit sur ma taille, son bras gauche autour de mes épaules. Le partenaire du dessous savoure le spectacle de mes yeux qui s'allument comme autant d'étoiles, alors que les coups de bassin harmonisés entre moi et mon compagnon de derrière suffisent à son plaisir dans ma cavité lustrée et humide au possible.

Il glisse son nez sur ma nuque. Son souffle à la racine de mes cheveux est un vent d'extase. Il resserre sa prise. Il me murmure; «Ça t'a excitée de baiser trois inconnus toute une nuit, salope? Ça t'a fait mouiller trois belles queues dans tous tes trous? Je sais que ça t'allume de perdre le contrôle comme ça. Ce n'est plus toi qui l'a le contrôle présentement. Tu sais que je peux faire ce que je veux avec toi. Et je sais quoi faire pour te faire jouir.. je le sais plus que tu ne le penses.»

À chaque coups de bassin, je me sens sur le bord du précipice.. je pourrais me laisser aller d'une seconde à l'autre, mais je veux faire durer le plaisir. Mes yeux se remplissent d'eau. Les efforts mentaux sont plus que difficiles, mais j'y arriverai. Plus il serre, plus j'en ai envie. Et il me devine à un point tel qu'il me pilonne toujours plus fort. Je m'entends crier sans pouvoir m'arrêter ou me taire, comme une pulsion trop forte qu'on ne peut retenir. Mes respirations sont devenues nécessaires et il serrait toujours. Une clé de bras que je lui ai laissé faire. Il connaissait sa force. Mon partenaire du dessous a joui le premier. Je le sentais vouloir me rentrer sa queue jusqu'au dernier centimètre possible alors qu'il laissait jaillir de longues giclées de foutre dans mon ventre. J'ai joui presque tout de suite après, la tête vers l'arrière prise entre un torse et un avant-bras étouffant. Je toussotais un peu et cherchais mon air tout en gémissant encore des spasmes musculaires qui s'opéraient dans mon sexe coulant. Je me souviens avoir vu des étoiles après que mon Préféré s'est retiré pour me jouir partout dans le dos et sur les fesses.

Et il a glissé presque tout de suite 3 doigts dans ma chatte pour me faire jouir une dernière fois. Je sentais le foutre du précédent sur sa main. Le dos arqué, je le dirigeais pour qu'il trouve bien mon poing G et le stimule à fond. Le dernier sexe masculin à m'avoir baisé avait déjà fait un bon travail de stimulation, mais il fallait encore la meilleure position, la meilleure technique.. Je me retourne sur le dos, couchée sur le drap devenu linceul, sa main s'est infiltré entre mes cuisses avec un fort désir de ne jamais me faire oublier cet instant. Il a trouvé assez rapidement!
Je sentais monter en moi l'assaut de cette jouissance avec plus de puissance que jamais. Les deux autres hommes sont venus se placer de chaque côtés de ma tête et se masturbaient frénétiquement au dessus de mon corps alors que je me faisais défoncer la chatte de ses gros et longs doigts.

J'ai senti sortir la vague. Après une bonne minute à me stimuler, il est sorti une giclée de mon éjaculation , pendant que ma peau accueillait le sperme des deux pervers qui assistaient au spectacle de ma jouissance. Comme si mon âme sortait de mon corps, mon dernier orgasme m'a secoué comme aucun autre avant. J'ai crié comme une salope en délire, avant de perdre la carte. L'espace-temps devient pour moi secondaire. J'ai mouillé le tiers du lit en squirtant.

 J'ouvre à demi les paupières et le vois tout sourire. Les deux autres sont en sueur et me fixent en souriant aussi. Je constate que tout le monde est heureux.

Mais il est temps d'enlever les masques.. Et je découvre de bien belles choses... un genre de soirées qui attirent vraiment des gens de tous les milieux.. et il me semble en reconnaître 2 assez facilement..


Fin.

Mamz'elle J xx

6.02.2013

Au Bal Masqué, neuvième partie

D'où je suis, je n'ai presque aucune liberté de mouvement. Pas que je m'en plaigne, je suis remplie de deux belles queues bien dures qui me labourent la chatte et le cul avec une synchronicité rarement égalée. J'ai affaire à deux experts. Je sens monter un grand frisson le long de ma colonne, et ne peux m'empêcher de regarder le seul partenaire ne faisant pas partie de notre trio, assis sur la chaise, boire son vin avec une pointe de fierté et d'assurance. Il ne se touche même pas et pourtant je vois littéralement le sang s'infiltrer de plus en plus dans les cavités de son glaive bleuté. Je gémis, mordillant ma lèvre, étouffant quelques uns de mes cris dans la clavicule chaude et douce de l'homme investissant ma chatte. Ils sont doux, attentifs aux moindres de mes gémissements. Mon Préféré semble en transe en baisant bien mon cul serré. Je le sens refermer sa prise sur le haut de mes cuisses, pour me prendre un peu plus fermement, avec plus de puissance et de profondeur. C'est bien la première fois qu'un homme me donne ce feeling de plénitude, aucune inquiétude, aucune fausse pudeur. Mon autre amant semble apprécier le spectacle de mes yeux qui brillent de désir et d'excitation, au moins aussi mouillés que ma chatte ruisselante. Je passerais deux ou trois éternités ainsi accroupie à me faire prendre avec cette délicatesse. Un moment de quiétude entre deux orages. Les deux hommes reprennent du poil de la bête, alors qu'ils ajoutent un peu plus de fougue à leur coups de hanches. Je hurle d'une légère douleur, mais surtout d'un intense plaisir. C'est lorsque l'homme sous moi a pris mes seins dans sa bouche et que  mon Préféré a glissé un doigt sous mon bassin pour venir me branler le clito que j'ai joui dans un râle très intense et long. Pendant quelques secondes, je ne savais plus où j'étais ni avec qui j'étais. Une chose était certaine; je ne voulais pas en arrêter là.



Mamz'elle J xx

5.29.2013

Au Bal Masqué, huitième partie

Il cachait son côté bestial cet homme.
Mais je ne m'en plaignais pas.

Premier assaut, alors que je suis à quatre pattes au dessus de son érection digne d'une merveille du monde, il agrippe ma nuque et me pousse à l'avaler encore plus. Je tombe littéralement et je sens sa queue transpercer ma gorge, venir s'appuyer sur mon pharynx et m'étouffer. Un haut le coeur. Je me relève brusquement en toussotant, surprise de la réaction de mon corps. Il me regarde profondément, me gifle encore. « Je t'ai dit de te relever?»

Il reprend mes cheveux entre ses doigts et revient à la charge en m'ordonnant de garder la bouche bien ouverte pour qu'il puisse entendre le bruit que fait ma gorge autour de son sexe. Ça semble beaucoup l'exciter. Il tient ma tête, baise ma bouche comme il le ferait pour ma chatte, sans pudeur, sans douceur. Je sens ma salive s'écouler à petites gouttes sur son aine, puis sur le drap. Bientôt, la quantité de salive s'accentue.

«Prends la petite goutte de liquide sur le bout de ma queue et joue avec. Étire-la de tes lèvres à mon gland et je ne veux pas que tu en échappe la moindre parcelle.»

Je m'exécute, appuyant mon regard dans le sien. Laissant s'étirer à l'infini cette goutte translucide et je m'applique à le rendre hyper fier et excité. Quand il en a eu assez, il me dit «Ok salope, lèche-la et vient m'embrasser. Je veux goûter aussi.»

Il embrasse merveilleusement bien. Un délice. Je le laisse prendre possession de mes seins comme s'ils ne m'appartenaient plus. Il prend sa coupe de vin, l'approche de mes lèvres et me fait boire. Me sourit. Me fais sentir femme et désirée. Je vois du coin de l'oeil les deux autres compagnons, les yeux hagards, la bouche ouverte, les mains astiquant les membres fièrement durcis. un délice pour les sens. Il me fait m'agenouiller au bord du lit., dépose mes mains sur le matelas.

Je le sens s'éloigner de moi, il cherche le vibro de tout à l'heure. Il écarte mes cuisses. Du coup, l'un des deux autres hommes se lève et vient prendre place devant moi, à genoux. Je ne peux résister à sa queue devant mon visage. Je le prends, le suce comme si ma vie en dépendait. Je sens s'appuyer sur ma chatte le vibro et dans mon excitation habituelle, je suis déjà sur le point de jouir. Il me le donne. M'ordonne de me l'appuyer sur le clito et de ne pas jouir.

Mais le jeu prend une forme très intense, lorsque je sens une ceinture de cuir sous ma gorge.
Oh. Mon excitation prend des allures de panique. Mon préféré, toujours assis sur la chaise, se relève, vient nous rejoindre sur le champ. Peut-être pour mieux me protéger advenant une situation dangereuse.

Je sens l'amant investi de sa ceinture derrière moi, passant la main sur mon cul offert. Il tient la ceinture avec une main de fer. Il recule un peu ma gorge pour me faire sentir sa présence et son pouvoir peut-être.. Il est calme, aucune animosité. Sa main remonte à mon dos, mon épaule, redescends sur ma croupe, doucement, caressant mon épiderme. Puis, dans le silence le plus complet, une main s'abat sur ma fesse. Clap!

Je geins. La queue dans ma bouche devient ma préoccupation pour enrayer la douleur. Je continue de sucer comme la salope que je suis pendant que mes yeux se remplissent de larmes. L'homme qui remplit ma bouche me flatte le front, comme pour me rassurer. Ça fonctionne. Pour un temps.
Clap! Encore une fessée, sur l'autre côté cette fois-ci. Puis trois autres. Clap clap clap!

Toujours plus fort. Dans ma position, j'ai l'impression qu'il y met toute sa force. J'ai du mal à me tenir fermement sur la main qu'il me reste. Il tire la ceinture vers l'arrière. Je suis à bout de nerfs. Je déglutis difficilement, toute mon attention maintenant focussée sur la douleur de mon cul.

Jusqu'ici, je m'étais interdis de crier, ou même de laisser entrevoir la douleur que j'éprouvais sous quelque forme que ce soit. Mais lorsque sa dernière fessée se fait sentir, je laisse un petit cri de douleur transpercer le silence. J'en peux plus. Je suis à bout de souffle. Sa ceinture me lacère la peau. Il passe sa main doucement sur mes rougeurs.. puis descends vers l'arrière de mes cuisses.. Il passe un doigt de long de ma fente. Je suis vraiment très très mouillée. Je me surprends à être si humide. Lui même me le fait savoir, lorsqu'il recueille un peu plus de mon jus pour venir l'essuyer sur ma langue.

«Suce-moi les doigts. Nettoie ta mouille. Vois comme tu goûtes bon.»

Je m'exécute. Docile. La ceinture toujours trop appuyée. Les yeux mi-clos.
Je me sens souillée. Il glisse ensuite ces deux même doigts bien profondément dans ma chatte. Bonheur éphémère. Il les ressort et les glisses sur mon petit trou serré, qui s'ouvre et se dilate sous ses caresses circulaires. Pour un moment, je me sens bien. Je ressens le calme. Les trois hommes sont tout près. Mon préféré se branle à mes côtés, l'autre est dans ma bouche, le troisième s'occupe de mon cul. Mes larmes ne coulent plus.

Je sens le bout de la queue de mon tortionnaire forcer l'entrée de mon cul.
Il a l'air plus que déterminé à y entrer. Et je ne peux l'empêcher de toutes façons.
Où cela nous mènera? Je commence à avoir un peu peur...


Pour me faire oublier la force de sa grosse queue qui s'insère en moi, il me griffe la cuisse.
Suffisamment fort pour que je sentes une douleur aigüe. Je devine qu'il est allé fort, quand je sens un peu de sang s'écouler sur ma cuisse.. puis sur mon genou.. Il sort de mon petit trou. Ça est y, je ne respire plus suffisamment bien. Il relâche la ceinture. Je me sens revivre, littéralement. Il se recule et fait le tour du lit pour retourner s'asseoir sur son fauteuil, fier d'avoir bien préparé le terrain à autre chose..


Je me lève un peu du lit.. Pendant ce temps, l'homme à genou se glisse sur le dos et me prend par les hanches pour que je m'empale sur son sexe. Enfin un peu de tranquillité.
Je le sens me faire l'amour doucement. Il essuie le sang qui coule encore de ma blessure sur le drap. Prends mes seins dans ses mains. Je descends mon corps contre sa poitrine. Et c'est mon préféré qui vient juste derrière moi, debout au bord du lit, un peu de lubrifiant sur la queue et il s'insère facilement dans mon cul. Comme une chorégraphie, les deux membres glissent en moi en laissant un frisson monter le long de ma colonne. Je ne ressens que du plaisir. Pur. Simple. Je me sens remplie. Je me sens salope. Mais je me sens bien..



Et les coups de hanches continuent..






Mamz'elle J xxx











5.21.2013

Au Bal Masqué, septième partie.

Le dernier survivant de la soirée se laisse désirer on dirait.

Pendant que les deux autres complices dans le vice semblant vouloir reprendre des forces armés de leur verres de vin, je reste sur le lit, plus vivante que jamais, déterminée à faire jouir le troisième amant avec plus de force que jamais.

Je suis toujours à quatre pattes. Toujours offerte. Toujours prête pour de nouvelles aventure.
Jusqu'ici, aucun des jouets que j'avais soigneusement disposés dans un petit coffret sur une des tables de chevet n'a été utilisé. Bien entendu, je ne voulais pas qu'aucun de mes nouveaux amis ne se sentent rejeté que j'utilise un vibro ou un plug plutôt que son engin plein de vitalité pour faire le travail. Mais nous voilà, deux, sur un lit trop grand pour deux corps, et je dois avouer qu'à mesure que mes seins se gonflent de désir, je deviens de plus en plus insatiable. Je suis comme ça.

Je glisse à l'oreille de mon ami que j'ai très envie de tenter quelque chose.
J'avance lentement sur le lit jusqu'à atteindre le coffret en question, et y choisis un vibrateur plutôt simple.
Ligne droite, bon diamètre, il vibre à sa plus grande intensité, suffisamment pour me faire décoller en moins de deux. Les piles sont neuves. Du plaisir à venir..

Je lui tend l'objet. Sa réaction me laisse perplexe; a-t-il déjà utilisé ce genre de trucs?
Tout de suite s'allume à son oeil la petite étincelle que j'attendais. Celle de la complicité. Celle de l'envie de pousser l'audace. Je suis à genou sur le lit, approche les lèvres pour l'embrasser doucement. J'écarte un peu les cuisses, étire mon bras et atteins sa queue bien durcie. Je la prend entre mes doigts, laissant glisser de haut en bas, lentement, mais avec une pression ferme. J'agrippe sa nuque pour le rapprocher de moi, il répond bien, en rendant encore plus langoureux ce baiser profond et appuyé. À son tour d'étirer le bras afin de venir appuyer la tête du vibro sur ma chatte. Mes yeux se ferment, je me sens mordiller ma lèvre, ma tête s'abaisse vers l'arrière.

Il me gifle. Fort.

Je reste surprise. Sur le coup, je suis très déstabilisée. Je passe la main sur ma joue, il me prend le pognet, m'empêchant de le faire. Il me lance; «Garde les yeux ouverts. Je veux voir monter en toi l'orgasme. Et pas avant que je te l'autorise.»

Je reste de glace. Mais je souris intérieurement. Wow.
Ses yeux parlent. Me disent que ce soir, j'aurai beau être rebelle, faire à ma tête, il ne me laissera pas le contrôle. Mais je serai heureuse, ils me le promettent.

Sur ces mots, il s'assoit sur le lit, me fait signe de venir goûter sa queue. Et j'approche avec envie et délectation. Ma langue touche son gland brûlant, que j'aspire sporadiquement, entre deux lentes caresses de sa verge. Nos peaux se trouvent enfin. Ses mains dans mes cheveux, en un mélange de désir, de contrôle, d'obsession. Je le sens soupirer à chaque fois que s'agite mon organe buccal sur son glaive. Il ne prédisait pas avoir tant besoin de concentration pour résister. Je devine que son but est de toucher à la fine ligne qui sépare le plaisir de l'orgasme et qu'il jouera avec ma patience jusqu'à ce que je n'en puisse plus de le supplier de me laisser exploser. Ses ongles s'infiltrent dans mon cou, sur mon épaule.. il me rappelle qu'il est là. Et que c'est lui qui mène le bal..


Ça commence vraiment bien cette bataille torride et bestiale qui s'annonce entre nous deux.
La violence du désir. Les ecchymoses de la passion animale. Le drap blanc restera-t-il blanc?
J'en doute.



On le perlera de bien des choses. La perfection de la soirée jusqu'ici s'en trouvera changée.
Mais, dans l'imperfection se trouve toute la liberté du laisser-aller total.



À suivre.



Mamz'elle J xx

5.17.2013

Au Bal Masqué, sixième partie

J'y suis.

Je suis exactement dans le mood orgasme. Mon corps n'arrive plus à se retenir, mon dos s'arque sur le lit devenu humide sous les 4 corps excités présents dans la chambre. Je sens que perlent les gouttes de sueur sur mes tempes alors que mes ongles sont plantés dans les draps, à les agripper comme pour me retenir de partir au 7ieme ciel. Mes orteils se crispent. Ma bouche s'entrouvre. J'ouvre à peine les yeux et les images que j'ai de la réalité sont poignantes et sublimes. Je vois les pupilles de mon amant préféré s'allumer à la vue de l'effet qu'a sur moi son emprise à ma gorge, alors que de sa main gauche il se branle au dessus de mes seins. Son foutre chaud coule de mes mamelons à mes côtes et terminent leur course sur le drap. Quelques gouttes ont fusé jusqu'à mes lèvres et sur la main de l'autre complice. L'homme qui me caresse le cul est couché au pied du lit, a deux doigts insérés dans mon petit trou et sourit bêtement en me pénétrant doucement. De sa main libre, il se masturbe lui aussi, mais tout doucement. Il me lance un «Allez salope, jouis pour nous!»

Celui qui s'occupait de mon clito a trouvé sa place sur le lit, côté droit, attentif et franchement surpris de la puissance de l'orgasme qui me tiraille. Quatre de ses doigts sont toujours en moi, à me pistonner comme s'il avait mis toute son énergie vitale à me faire crier comme la pire des salopes. Il mord un peu mon ventre, en regardant toujours mon visage probablement déformé par la montée de cette secousse jouissive le long de ma colonne. Son mouvement profond, franc et vif déclenche une vague inattendue dans mon bas ventre, prêt à laisse sortir une marée de mon jus pendant que de secondes en secondes, la main de l'autre homme se resserre sur ma gorge jusqu'à me couper le souffle. Je cries de bonheur, je me tortille, tentant de contenir un peu les sons que je propulse même involontairement alors que je sens un un relâchement extrême de tout mon corps. Le draps est complètement mouillé. Mon éjaculation était si puissante que je me sens vidée. Tous trois me regardent. Un qui m'a jouit dessus. L'autre qui continue sa caresse en me regardant reprendre mes esprits. Et le troisième, souriant comme pas un, qui se lève, glisse un doigt sur ma bouche pour que je lèche un peu de mon offertoire sensuel. J'ai chaud. Je n'ai plus d'énergie, mais j'ai tellement envie de plus.


J'ai envie de me lover contre un corps chaud. De m'assoupir sur les chairs tendres d'un des hommes pendant qu'il me jouerait dans les cheveux.

Mais on en a voulu autrement.. Et comme je ne suis pas en état de contrarier personne, je me laisse faire.



Mon préféré se retire pour aller finir de boire sa coupe de vin sur l'un des fauteuils.
Toujours couchée sur le dos, je suis encore dans un état second. Je halète sur un fond musical de DJ Cam, tentant de reprendre une respiration convenable. L'adonis couché au pied du lit se relève, bois une gorgée de sa coupe posée sur le plancher, s'approche de ma chatte, la queue à la main, prêt à me l'enfiler. Le volume de son engin aurait pu me faire peur en temps normal, mais je sais qu'à ce moment-ci, je suis tellement mouillée que je l'accueillerai avec facilité et plaisir. sous le regard pervers de l'autre mâle qui se trouve toujours à mes côtés, je me fais tranquillement pénétrer. Je mords involontairement ma lèvre inférieure. L'instant d'après, une queue pousse sur mes lèvres afin de s'introduire dans ma bouche. J'empoigne fermement la fesse de l'individu pour l'approcher de ma langue. je lèche les quelques gouttes de liquide qui perlent au bout de son gland, en savourant le goût particulier de sa belle queue, franchement appétissante. Il investit ma bouche, s'amuse à donner quelques coups de bassin aux moments où je reprend une bouffée d'air, pour me faire savoir que c'est à lui que je dois penser en premier. Je fais tout en mon possible pour le rendre fier d'être parmi nous et lui aspire la chair comme il n'aurait jamais été sucé auparavant. Je lui lance des regards pervers, juste assez cochons pour l'exciter un peu plus, pour lui faire comprendre que j'aime me faire traiter comme une pute, que j'aime la situation présente. Je deviens le jouet de 3 super beaux hommes aux attributs fort attirants, pourquoi je me priverais de mon petit côté givré après tout!


J'arrête ma fellation un moment et me retourne à quatre pattes, pour laisser un champ plus libre à l'amant qui s'occupe terriblement bien de ramoner mon entrejambe tout coulant et confortable. Je le sens m'écarter les cuisses pour voir s'insérer en moi à chaque coup de butoir, sa queue de bon calibre. Il m'attrape par les hanches et s'en donne à coeur joie alors qu'il mouille de sa salive son pouce et l'approche une fois de plus de mon petit trou pour en masser le pourtour. Un vrai cochon. Je détourne la tête et nous échangeons un regard complice. Je reprends ma fellation avec encore plus de désir, encore plus de perversité. Je lèche les couilles de mon collègue dans le vice me faisant face les cuisses un peu écartées, y applique tout mon talent et mon envie de le faire se déverser dans ma bouche. Je me sens vraiment très allumée. Je crache sur sa queue pour la lubrifier encore plus. Je lèche mon doigt pour bien l'humecter et le glisse jusqu'à son cul pour le caresser durant ma pipe. Il ronronne, passant les doigts dans mes cheveux, laissant sa main presser contre ma nuque pour une meilleure profondeur. C'est lorsque j'insère un deuxième doigt qu'il échappe une longue giclée de sperme dans mon palet. Et je lui fais l'honneur de bien enfoncer sa queue au fond de ma gorge pour lui donner la sensation qu'il baise ma tête. Dans de longs râles, parfois terminés en soupirs, il jouit bruyamment en se retenant à mes épaules pour mieux rester à genoux.

Une fois que j'ai bien tout avalé, il essuie les légères gouttes de sa semence restées à la commissure de mes lèvres et me les fais lécher au bout de son doigt. Il retourne lui aussi profiter du reste du spectacle, bien calé dans son fauteuil, sa coupe à la main.

Il en reste toujours un qui n'a pas joui. Il tient le coup, le petit coquin..


...voyons voir s'il résistera à ça.



À suivre



Mamz'Elle J xx




5.16.2013

Au Bal Masqué, cinquième partie



Généralement, j’aime qu’on prenne le contrôle, non seulement sur moi mais aussi sur la situation. J’aime me sentir portée sur l’envie de mon ou ma partenaire, mais ce soir, je ne voulais pas de ça. Je voulais avoir le plein contrôle sur tous les aspects.  Mais en même temps, je ne peux me soustraire à ce charmant et allumant état d’exaltation dans lequel je suis, à être comblée corps et âme par 6 mains, 3 queues, 3 bouches, la chaleur de tout ce harem d’adonis qui n’ont d’yeux que pour moi, je me dis que finalement, les laisser écrire le scénario de ce délicieux et terriblement intense moment ne serait pas non plus un faux pas.

Le temps passe, le désir s’accentue, les parfums embaument la pièce où flotte une odeur de sexe, de sueur, de plaisir. Je suis toujours sur le point de jouir, je gémis intensément en sentant glisser en moi une main presqu’entière sans difficulté. Des doigts inconnus branlent mon clito en feu, tellement gonflé d’excitation que je pourrais exploser seulement qu’avec un souffle sur la chatte. Me retenir devient difficile. Mon complice préféré sort sa queue de ma bouche et se branle au dessus de mon visage. Je lui demande d’attendre avant d’expulser sa semence sur mes joues devenues écarlates. Il me regarde profondément, prends ma gorge entre ses doigts et serre un peu. Ça y est. Il a trouvé mon point sensible. Ma véritable zone érogène. Je perds totalement le contrôle de tout. Du temps. De l’espace. Comment a-t-il deviné?

Il ne sait pas qu’il vient de réveiller la bête en moi.. ni qu’arrive l’orage sur ce lit encore en mode «préliminaire». On vient de passer à l’étape suivante.



Mamz’elle J xx

5.14.2013

Au Bal Masqué, quatrième partie

Mes hommes portent toujours leurs masques. Je ne perçois de leur visages que leur mâchoires et leurs yeux mais c'est bien suffisant pour m'exciter et me faire frémir.

Alors que le souffle chaud du premier candidat me chatouille l'entre-cuisse et que je sens sa langue longer le tissus qui sépare ses papilles de mes lèvres intimes, je sens la présence d'un autre homme à mes côtés. Il a eu le courage de se lever de son fauteuil avant même que je l'y invite! Petit vicieux.. c'est moi qui commande cette soirée. Et c'est aussi pour cette raison qu'il aura affaire à moi..

Mais je reste calme et concentrée sur sa belle queue qui se tient maintenant à quelques centimètres de mon visage. Il a mis un genou sur le rebord du lit et tient son sexe à la base, pointant ma bouche de son gland appétissant. Il me regarde prendre mon plaisir alors que je sens l'index de mon premier complice repousser le tissus imprégné de ma mouille sur le côté de ma chatte. J'étire le bras vers ce pieu et l'approche de mes lèvres. Ma langue frétillante le lèche sur toute sa longueur. J'ai les yeux fermés et je tente de m'imprégner de son goût à la fois salé, mais aussi un peu terreux. Mais une chaleur émane de cette tige de chair qui coulisse maintenant dans ma bouche gourmande. Je laisse ma salive enduire mon nouveau bonbon, pour le permettre de se complaire éventuellement dans ce milieu chaud, humide et confortable qu'est ma gorge.

Le spectacle se passe devant le troisième homme, toujours assis sur sa chaise, les yeux fixés sur le jeu qui se passe devant lui. Je ne vois que sa main droite bouger, caresser son pénis sur le point d'exploser tant il est excité. Il se mord la lèvre, cherche à ne manquer aucun détail du spectacle, attentif mais de moins en moins patient.

Les minutes passent, je sens que mon premier adonis insère deux, puis trois doigts dans ma chatte trempée.

Je demande au seul homme à ne pas figurer à la scène de s'approcher. Mon premier ordre: il doit lécher les doigts de celui qui, jusqu'à tout récemment avait entrepris de me fouiller l'antre. Un regard de peur, puis un relâchement. Je leur avais bien dit qu'ils devaient être ouverts à tout. Tout, incluant quelques contacts modérés entre eux. Je ne suis pas du genre à leur faire peur ni à les dépraver contre leur envie, mais de les faire repousser leurs limites rend le plaisir encore plus complet. Pour tout le monde.
Et les charmants adonis veulent tellement me faire plaisir, veulent tellement me plaire coûte que coûte. Alors.. le scénario se poursuit.

Il prend plaisir à me regarder dans les yeux en léchant les doigts de son collègue. Et ça me donne presque des chaleurs. J'ai maintenant 3 sexes érigés et gonflés à bloc, que pour moi, à portée de mains, de langue, de chatte..  pourquoi je m'en priverais?

Mon préféré s'avance encore plus près, passe un genou de l'autre côté de ma tête et enfonce son sexe dans ma bouche. Pendant que ma main gauche a agrippé le sexe du premier homme, c'est la langue et les doigts du deuxième qui tourbillonnent en moi. Sans y aller trop fermement, il sait exactement où me caresser dès les premiers instants.. Je sens sa langue descendre le long de ma fente, jusqu'à s'infiltrer à mon petit trou bien serré.. Il s'attarde à ma région pudique pendant que l'homme aux yeux trop bleu baise ma bouche doucement. Je sais qu'il aime entendre mon souffle se couper quand il franchit la barrière de ma gorge. Je sais que ça l'allume de me voir ainsi, sous son emprise en quelques sortes, alors que je me fais lécher le cul par un inconnu. Ma main n'a pas arrêté ses caresses sur le dernier arrivé. Je maintiens la cadence, tout en variant la pression de mes phalanges sur son pieu. Ce dernier sait exactement ce dont j'ai envie.
Et il me le démontrera quelques instants plus tard...

J'aime sentir mon chouchou me prendre la tête. Passer une main sous ma nuque, prendre mes cheveux, en tendre les racines, planter ses ongles dans mon cou. J'aime sentir sa queue toucher le fond de ma gorge, juste avant le gapping, juste avant qu'il ne soit trop tard et que je l'expulse. Le temps de m'y habituer et ce sera un problème que je n'aurai plus. Je me suis entraîné durant tellement de mois pour me débarrasser de mon gag reflex avec mon premier amant qu'il est devenu facile pour moi de passer par dessus. Mais ça, mon partenaire dans le vice ne le sait pas.. Pas encore du moins...

Je le laisse aller et venir, étirer ma salive de mes lèvres au bout de son engin. Il prend un malin plaisir à laisser  sa queue s'enfoncer dans le fin fond de ma bouche, en regardant s'infiltrer sa chair tendre centimètres après centimètres, par fierté ou par plaisir, je ne sais pas.. mais je lis dans ses yeux qu'il cherche à conserver le moment dans ses souvenirs.

Je sens à peu près au même moment deux doigts caresser mon aine, et je sais que ces doigts n'appartiennent pas au petit vicieux qui s'occupe déjà de mon cul. Peut-être par manque d'attention ou par désir inévitable, le deuxième homme, celui dont je tient la queue, a décidé de caresser encore ma chatte. Et je sens mon plaisir grandir en moi, alors que tous mes orifices ont maintenant trouvé un bon samaritain pour les servir.

Je ne veux pas libérer ma jouissance tout de suite. Mais il devient plus que clair que je dois remédier à la situation.

Et messieurs, même en sachant que celle qui dirigeait cette soirée c'est moi, ont réussi à prendre un peu le dessus...


Humm. Mais je leur ai  réservé le traitement choc.
Et ils le découvriront dans quelques minutes, juste après que j'aie enfin profité pleinement de ce petit jeu à 4..


À suivre...





Mamz'Elle J xx






 

Au Bal Masqué, troisième partie

Pour le deuxième candidat, il fallait que je vérifie quelque chose..

Son regard trop bleu, ses cuisses fermes, ses fesses parfaites me faisaient déjà fondre d'envie. C'est sans parler de sa queue bien dressée, épilée à la perfection, son gland bien dessiné et luisant... ça donnait franchement le goût de me mettre tout de suite à genoux devant lui, mais je devais me contenir un peu. C'est avec beaucoup d'effort que j'ai réussi à garder mon air impassible et que je lui ai demandé d'approcher un peu de ma bouche. Il avait une bouche large, des lèvres pulpeuses et une mâchoire carrée. Une belle gueule. Son regard en disait long sur son désir et il fallait maintenant qu'il me démontre son talent. Je voulais vérifier de quelle façon il embrassait.

J'ai senti son parfum, Acqua Di Parma, s'infiltrer de mes narines à mon échine quand il a penché la tête un peu vers la droite pour mieux joindre ses lèvres aux miennes.  Un baiser plus doux et tendre qu'attendu. Mais tellement prenant. Nos langues se caressaient doucement, j'avais empoigné sa nuque afin de le rapprocher davantage. À ce moment, j'aurais voulu qu'il glisse un doigt jusque sous ma culotte pour chatouiller mon petit bourgeon totalement éclot. Je me sentais faiblir. Je me sentais mouiller. Mon entre-cuisse se réchauffait.. mes joues aussi.

Le test passé, je lui ai fait un clin d'oeil. Et il a vite compris qu'il serait mon favori pour la soirée..


Le troisième candidat avait tout de l'homme hyper-sexuel. Un regard bestial, des mains puissantes, un sexe défiant les lois de la gravité, de bonne longueur, saillant, attractif, invitant. Cheveux en bataille, fraîchement rasé, il sentait l'homme. Le vrai. Il avait le corps d'un homme qui s'entraîne 6 fois semaine, pas nécessairement le genre d'homme que je regarde habituellement, mais un charme naturel émanait de cet être. Je ne voyais aucun autre des hommes alignés devant moi comme candidat potentiel. Les 7 autres auraient de toutes façon toutes les autres femmes à leur disposition, si le désir se faisait sentir de les baiser, pour le reste de la soirée..

De mon côté, j'ai amené les 3 adonis avec moi dans une autre pièce.
La chambre, grande et à l'éclairage tamisé, offrait une vue directe sur les buildings en lumière du Vieux-Port.
3 fauteuils étaient placés autour du grand lit king sur lequel un drap plat blanc était disposé avec quelques coussins gris et rouges.

Je me suis allongée sur le lit en faisant signe aux messieurs de prendre place dans leurs fauteuils respectifs.
D'ici, je pouvais détailler du regard toutes les facettes de leurs corps, de leurs visages, je lisais dans leurs regards et y percevais de bien belles choses.

Alors que je les regardais depuis quelques secondes sans dire un mot, je me suis mise à tester leur patience. Doucement, j'ai fait courir un doigt sur ma clavicule, léchant mes lèvres dans un mouvement langoureux. J'ai caressé le tissus de mon corsage, en insistant sur les courbes de ma silhouette, doucement, sans mouvement brusques. Il m'arrivait d'accrocher le regard dans celui d'un de mes partenaires de jeu, tentant d'attiser le feu qui brûlait déjà dans son abdomen. Ma main a descendu plutôt rapidement jusqu'à ma chatte, que je devinais déjà tellement trempée et prête. Mon index s'est dirigé vers ma fente, y a recueillis un peu de ma mouille et je l'ai approché de ma bouche pour goûter mon propre nectar.. Deux des trois hommes avaient la main sur leur sexe et se caressaient doucement tandis que l'autre exerçait un contrôle sur lui-même qui me fascinait. Il s'agissait du premier candidat choisi. J'ai répété le geste, fouillant mon antre pour récolter un peu plus de cyprine et j'ai fait signe à cet homme d'approcher.

Lentement, il s'est levé, appuyant son regard sur mes lèvres, montant sur le lit et il a léché mes doigts de façon délicate. Sa langue caressait mon doigt, léchant tout le jus qui s'y trouvait. Assidu à sa tâche, il m'a conquise. Je me suis couchée sur les coussins pendant qu'il léchait l'intérieur de ma jambe. Sa tête a tôt atteint la cible et alors que j'avais toujours ma culotte, il a entrepris de lécher goutte à goutte les centilitres de mouille absorbé par le tissus.

La chaleur et l'habileté de sa langue me déconcertaient. Ses doigts n'avaient pas encore joint les caresses que j'allais exploser sous l'emprise de ses talents...

Mais quelque chose a retardé un peu mes élans de plaisirs. Un parfum, une présence. Rien pour stopper complètement mon envie de jouir. Seulement, une autre opportunité s'offrait à moi...




À suivre..



Mamz'Elle J xx

5.08.2013

Au Bal Masqué, deuxième partie.


Alors que l'alcool coulait à flôts et que la tension coquine semblait gagner l'ensemble des invités, le DJ a annoncé mon arrivée. Tout en douceur, un maître de cérémonie me tenant par le bras, façon «gentleman» m'a conduite au centre de la pièce. Tout au long de mon parcours, je lançais des regards autour de moi. Tout était comme imaginé. Les convives avaient revêtus à merveille leurs plus beaux vêtements. Les couleurs, la chaleur de la pièce, les effluves me donnaient envie d'accélérer la découverte. Mais je me retenais. J'allais devoir franchir les étapes unes à unes. Et j'allais m'en délecter.

J'avais choisi de me présenter sous mon prénom, celui de Jade. Je me sentais confiante, en pleine forme, avec une énergie sexuelle à son comble. Je rêvais déjà à ce moment où j'allais devoir choisir mes invités VIP.  Je me doutais que ce serait plutôt difficile, puisqu'à ce moment précis, je les désirais tous. Tous. Sans exception. Quand ma présentation fut terminée, j'ai pris un verre aussi et les invités venaient se présenter à moi. Plusieurs femmes étaient très en beauté ce soir-là! Je voyais défiler des jambes très longues, des fesses parfaites, des seins toujours soutenus à la perfection par des ensemble de déshabillés à couper le souffle. Mais de toutes les personnes présentes dans la pièce, c'est moi que l'on désirait. C'est moi qui attirait les regards d'envie, par mon attitude, par le contexte, par les sourires incontrôlables que je faisais, les rires communicatifs que je laissais aller. Je resplendissais le bonheur, la confiance. Je me démarquais par mon habillement. Je me démarquais par ma présence. Par mon parfum qui, poussé par les phéromones, émanait de mon corps d'une façon jusque là inhabituelle. J'étais dans mon élément.


J'ai eu l'occasion de poser mes yeux sur des décolletés splendides, des pantalons de laine grise qui me renvoyaient des images pas très catholiques. J'y devinais des sexes tendus, des attributs sublimes, des invitations à engloutir ces queues entières et comme j'étais celle qui commandait en cette soirées de luxure, j'ai décidé que ce serait la première d'une longue série de perversités.

Alors que je me tenais au centre de la pièce, on a annoncé le début des festivités. L'un des maîtres de cérémonie m'a passé un masque sur les yeux. Les dix hommes que j'avais présélectionnés sont sortis de la pièce, ont enlevé leur pantalons et sont revenus devant moi. Lorsque j'ai enlevé le masque, je devais en choisir trois parmi les dix qui auraient le droit de me toucher. Devant tout le monde. À leur guise. Aucune limite imposée.

Je devais choisir ces hommes par leur attributs physiques. Tout ce qui me plaisait chez un homme se trouvait devant moi; une belle queue seyante, de jolies fesses rebondies, de belles épaules carrées, une mâchoire découpée.. Je n'en voyais pas plus. Et il ne m'en fallait pas davantage, pour que mes yeux s'arrêtent sans trop attendre sur les trois candidats de mon choix.

Déjà, leurs sexes au garde-à-vous me donnaient envie de m'agenouiller devant eux et les prendre en bouche les uns après les autres. Et j'en avais le droit! C'était ma soirée!

J'allais devoir annoncer aux trois élus de façon plutôt suggestives que je les avais sélectionné pour le prochain round.

Lentement, sur mes escarpins vertigineux, je ne suis approchée en laissant ma main parcourir tantôt un torse, tantôt un ventre, glissant le bout de mon gant de satin prune sur leurs peaux lisses. Je lançais des regards aguicheurs aux inconnus et à mesure qu'il répondaient à mes appels à la baise, je voyais leurs glands rougir et gonfler jusqu'à ne plus pouvoir.

Mes trois futurs complices réagissaient à merveille. Personne ne se doutait encore du choix final. J'effleurai alors le sexe tendu du premier..

Un homme comme je les aime.
Visage plutôt carré, des traits assez durs, barbe de plusieurs jours.
Au bas du corps de de spécimens, une queue non-circoncise, de large et de grandeur moyenne.
Elle se présentait d'ailleurs à moi dans une position plutôt invitante, mais ce qui m'avait séduite, c'est la légère goutte de liquide pré-éjaculatoire qui pointait tout au bout de son gland.
J'approche le nez de son corps.. parfum plutôt musqué, aux effluves de poivre, de chêne, de cuir, ravive en moi l'envie de m'approcher si près de lui que nos peaux ne formeront qu'une.
Je l'embrasse doucement sur les lèvres. Lui glisse à l'oreille qu'il peut rester ici.
Je sens se dessiner un sourire sur ses lèvre pleines et charnues..

Le premier candidat choisi, il n'en resterait que deux. J'avais déjà une idée de qui serait le deuxième. Mais.. je devais vérifier une chose...






....à suivre






5.07.2013

Au Bal masqué, première partie.

Un beau soir, début septembre, nous sommes réunis dans un grand condo très moderne du Vieux-Montréal avec une immense terrasse adjacente à l'appartement. La vue est imprenable et l'ambiance est à son comble.
La soirée a commencé vers 22h, alors que la musique de type «lounge» embaumait la pièce du hall au balcon. Les invités entraient, habillés selon le code prescrit. Et si les vêtements se devaient d'être noirs, gris ou jaune, les visages se devaient d'être couverts.. et tout le monde devait être parfumé.

J'avais au préalable choisi une quinzaine d'invités à partir de profils plutôt brefs, chez les hommes; caractéristiques physiques telles la taille, le poids, la taille du sexe et le parfum. Ces messieurs pouvaient être accompagnés, mais ce n'était pas obligatoire. Ils connaissaient les grandes lignes de la soirée, mais je souhaitais aussi, et surtout, qu'ils gardent en tête que tout pouvaient arriver, tant aux hommes qu'aux femmes. Ils et elles devaient garder l'esprit ouvert.

À la porte, on distribuait le vin aux invités. Mes maîtres de cérémonie avaient de beaux habits gris , qui leur dessinait des fesses parfaites et une chemise blanche. Le tout rehaussé d'accessoires jaune, pour s'harmoniser au reste des convives.

De très grands sofas étaient soigneusement placés afin d'accueillir les participants à la soirée. Bientôt, nous en sommes arrivés à trente personnes environ et nous avons décidé de débuter.

Depuis leur arrivée, personne n'avait eu l'opportunité de me voir. Tout ce temps, j'étais dans une pièce fermée où je finissais de me préparer. Pendant qu'une copine terminait ma coiffure, j'enfilait mes bas et les attachait sur les jarretelles de mon corsage de couleur prune, serti de petites pierres du rhin et de légères chaînes au niveau des seins. Une culotte assortie venait compléter mon habillement affriolant. J'avais enfilé mes plus beaux escarpins à bouts ouverts, noirs avec un détail de dentelle sur le soulier. De longues boucles d'oreilles scintillantes venait encadrer mon visage, parfaitement maquillé. Mes yeux étaient en valeur plus que jamais, sous le fard ambré et les faux-cils que l'on m'avait installé en début de soirée. J'avais envie de profiter de toute cette soirée inoubliable et j'avais délégué les préparatifs de mon look à deux excellents professionnels. Même chose pour la musique et la décoration. Chaque détail comptait et je voulais que tout, absolument tout soit parfait.

Le stress me gagnait un peu plus chaque secondes. Je visualisais depuis des semaines cette nuit de frivolités, de perversité, de délices. Je m'étais fait des attentes très hautes, surtout sachant que les profils choisis me donnaient une encore meilleure raison d'espérer que ce soit magique. Moins de dix minutes avant mon entrée en scène. J'entendais des rires, des murmures de l'autre côté de la porte. Je savais que déjà, les convives faisaient connaissance et étaient excités. Mais.. je n'avais pas encore dit mon premier mot...



4.30.2013

Un fond sonore à vos gémissements?


Parce que chacune des journées où je ne suis que Jade, j'ai d'autres occupations que de baiser sans arrêt et jouir à tout rompre. J'ai aussi des passions et je souhaiterais les partager un peu plus avec vous. 

Certains lecteurs m'ont déja posé la question à savoir quelle était ma musique favorite pour baiser.



Je me suis dit que je vous ferais une petite capsule «Making Out Music» avec mes chansons, mes artistes préférés pour vous donner une idée.

D'abord, je choisis la musique en fonction de la saison, du mood, du partenaire.. J'ai tendance à mettre des sonorités plus lourdes et brutes lors des saisons froides, parfois ça donne une ambiance plus intimiste, un cocon plus confortable. L'été, je choisis des chanson un peu plus «up tempo», avec des rayons de soleil plein la partition ou avec un petit côté feutré.

C'est certain que la raison première de ma sélection sera le genre de moment à venir. Si je vois Laigle , je ne choisirai probablement pas la même musique que si je voyais Mr.G! La musique ne doit pas être là que comme fond sonore. Inévitablement, elle donnera un sens au moment, un tempo et une ambiance. Alors il faut donner un peu de charme au décor avec les bonnes chansons!

Comme je n'aime pas tellement la musique très commerciale ou les remix de chanson jazzy, ma sélection d'artiste sera plus du type Indie Rock, Folk, Triphop, Bluegrass, même parfois presque symphonique.. il se peut que vous n'aimiez pas ce genre de sonorités. :) En tel cas, Mariposa vous a déja concoqueté d'excellents mix qu'il vaut la peine de se procurer! 

Voilà donc quelques artistes que j'affectionne, classifiés par saison!
Faites-moi part de vos suggestions et de vos commentaires! 


Printemps
Iron and Wine : J'adore vraiment leurs arrangements. La guitare est omniprésente, mélange de mellow rock et d'Indie Pop comme je l'aime. Je vous recommande Boy With A Coin

Eliott Smith: Défunt chanteur.. mais j'adore son oeuvre. Toujours d'un réconfort cet homme. 
John Mayer: Sa réputation n'est plus à faire. Un auteur touchant et profond, un musicien accompli. Je vous propose Your Body Is A Wonderland
Augustana: Groupe que m'a fait découvrir Mr.G, mon premier amant. Une super découverte musicale, leur dernier album m'a fait planer durant des heures à écouter la pluie dans mon lit. Je vous réfère donc à la chanson qui me les a fait connaître, On The Other Side

Été
Coldplay: Des sons planants, des rythmes qui inspirent l'amour.. 
Belle & Sebastian: Si vous ne connaissez pas encore ce groupe, il vaut la peine de vous procurer leur dernier album. Un délice du début à la fin. Voilà un extrait juste pour vous! :)
Dido: Vous ne connaissez pas Dido? Certains? Voilà son plus grand succès, mais prenez la peine de fouiller un peu dans les chanson de son album Safe Trip Home.
Feist: Leslie de son prénom. Une canadienne remplie de talents qui nous chantonne ses succès depuis quelques années. Voilà une chanson que j'adore, Bittersweet melodies

Automne et Hiver
Sharon Van Etten: Très mélodieux. Une guitare. Une voix. Simple mais efficace. La chanson Much More Than That.
Philippe Philipps: Parce que je l'adore, tout simplement. :) Gone, gone, gone
Portishead: Planant, idéal pour envouter votre homme avant de l'étendre sur le dos et lui faire l'amour de façon torride.. Un aperçu? Wandering Stars
The Shins: Je vous donne une version live de September. C'est un groupe que j'aime parce que leurs ballades m'inspirent un corps à corps et leurs chansons plus rythmées m'inspirent un roadtrip à tous coups! :)


Voilà donc ma playlist pour les moments à deux.. ou trois.. ou plus! 
Sinon, je vous fait aussi part des suggestions de mes lecteurs en vrac: David Bowie, The Black Keys, RadioHead, Barry White, Pink Floyd, Justin Timberlake, King Of Leons et les albums Buddha Bar et Cafe Del Mar. 


Sur ce, bonne séance de minouchage mes poussins! :)



Mamz'elle J xx


4.29.2013

Un fantasme pas tout à fait catholique..


Il fait soleil, un beau 24 degrés réchauffe nos peaux d’amants qui se rencontrent après déjà trop longtemps. Après avoir pris deux thés glacés à la brûlerie du coin, nous nous dirigeons vers un parc où des dizaines de retraités prennent déjà place armés de leurs journaux et de leurs livres de sudoku. Laigle me prend la main doucement pendant que nous marchons sur le trottoir bordant la rue commerciale du centre-ville. Je porte une jupe plutôt courte et un léger bas avec un t-shirt ample et un foulard à pois. J’ai pris soin ce matin-là de me parfumer selon son désir, c'est-à-dire avec le parfum qu’il m’a offert, délicate attention de sa part, lors de sa dernière visite à Québec en mars.. Nous prenons finalement place sur un banc de parc tout juste devant l’église St-Roch, et je lance aux pigeons des miettes de mon muffin en ricanant comme une fillette. Je me sens bien et je n’ai peur de rien contre lui, même entourée d’un monde qui est mien, dans mon quartier au milieu d’un danger de croiser mes amis, mes proches, mes collègues.. j’en arrive à oublier que notre couple non-officiel et aussi un couple illicite.. 

Laigle connait ma passion pour les églises. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que nous nous retrouvons devant  ce chef d’œuvre d’architecture et pourtant, chaque fois le petit frisson est le même.. je sais qu’un jour que je serai près du Christ à un point tel que je lui jouirai dans l’oreille à travers une grille de confessionnal…
Il lui arrive de passer une main sur ma cuisse, la laisser se perdre un peu sous ma jupe, écarter délicatement et un tout petit peu mes jambes afin d’avoir un accès éventuel  à la chaleur de ma chatte, et il aime bien me lancer ce regard profond et coquin, rempli de promesse et de désir.. Ce n’est visiblement pas le soleil qui me rougit les joues aujourd’hui. Je bois mon thé en le regardant, je sais quels sont ses plans et je me laisse aller totalement. Je sens durcir mes seins. J’envisage l’option de lui prendre la main et de l’amener chez-moi à toute vitesse pour qu’il me prenne sauvagement sur le sofa. Mais c’est lui qui me tend la sienne. Son sourire me dit tout et rien en même temps. Je ferme les yeux et je me lance.. 



Que croyez-vous qu'il arrivera à la suite de ce début d'histoire.. 

Défis personnels, orgasmes et autres péchés

Près de deux semaines après la parution de mon dernier billet, il s'est passé quelques petites aventures dans ma vie de femme poly-amoureuse. Aujourd'hui, je concentrerai le billet sur la visite de mon Aigle vendredi dernier sous forme de confession d'un secret que j'ai gardé pour moi depuis la semaine dernière..

Chaque fois c'est un scénario à recommencer. On trouve un arrangement sur une date possible, on regarde chacun de notre côté si l'on peut se permettre une escapade, généralement c'est pour lui que c'est plus compliqué mais on finit toujours par arriver à une journée. Et cette journée est aussitôt encerclée sur mon calendrier. Parfois entre l'arrangement et la journée du rendez-vous, il peux s'écouler des jours, des semaines, parfois des mois. Puis, la hâte nous gagne.

Chaque fois, c'est une occasion de reprendre où nous avions laissé la dernière fois. Et je dois avouer que la dernière fois, ce fut plus que coquin. Il nous faut arriver à nous exciter suffisamment durant les jours qui précèdent pour que lorsque nos yeux se croisent, le feu prenne et nous fasse vaciller.

La semaine dernière, dans l'attente de Laigle, nous avons trouver le moyen de nous démontrer notre excitation à l'idée de se voir prochainement. Je lui ai envoyé deux lettres, par la poste -old school- et il a fait de même... et plus encore. 


Laigle a pris le temps de m'écrire de délicats mots, couchés sur un papier délicat et mignon, dans sa calligraphie personnelle et son choix de vocabulaire je dirais, assez kinky. Il avait également joint à son envoi une petite pince USB sur laquelle il m'avait caché quelques cadeaux.. ouh! La satisfaction que j'avais de voir défiler sous mes yeux ces images toutes plus éloquentes les unes que les autres, les extraits audio particulièrement coquins et un petit bonbon au goût de gingembre à la bouche.. ce soir-là, j'ai pris mon bain en visionnant les vidéos témoignant de ses fantasmes du moment en nous imaginant explorer les raccoins de nos êtres désireux d'exploration et de découvertes..



Suite à cette soirée où je me suis fait plaisir -il faut voir les tweets que j,ai publiés après la-dite séance de baignade! ;) - je me suis donné 4 défis à réaliser lors de notre rencontre du vendredi. Mais je ne lui en ai pas glissé un mot. Je ne voulais pas qu'il collabore à ma réussite en me laissant des chances! Il est suffisamment gentil pour le faire. Mais je voulais me donner de petites raisons supplémentaires de le laisser sur une note particulièrement bonne en cette fin de dure semaine.. 




****


Il est arrivé peu avant 10h à la maison. J'étais assise sur mon sofa à lire ma TL quand l'émetteur a sonné. Pincement au coeur, puis nervosité. J'ouvre, il monte. Je sens déjà son parfum alors qu'il est au 2ième étage.  Je remarque en ouvrant la porte que j'ai encore mes bas blancs dans les pieds alors que je suis en robe...oups! 

Il entre. Cravate et chemise bleue. Cheveux en broussaille. Toujours aussi beau. Regard toujours aussi pétillant. Je l'aime. C'est sur. Je le constate encore plus quand je le vois en chair et en os, à moins de 2 mètres de moi. Il est à peine entré qu'on s'embrasse comme si nous ne nous étions pas vus depuis des mois. Nos langues se trouvent, se dégustent, s'apprivoisent, se disent des milliers de mots d'amour. Je succombe à son parfum. il a quelque chose de très addictif et de réconfortant ce M7. Je m'accroche à son cou pendant qu'il relève ma robe pour caresser ma peau.. sa main trouve mon dos, mes fesses, il plonge les doigts entre mes cuisses et ne découvre pas de culotte.. qu'une chatte déjà prête à accueillir son pieu bien dressé sous son beau pantalon propre.



Et le défi 1 se relève, alors que je le déshabille avant qu'il n'ait enlevé ma robe. Il se retrouve alors nu comme un ver dans le hall d'entrée de mon appartement, alors que je le caresse en faisant trop attention de ne pas laisser ma main toucher son sexe.. il m'embrasse, fougueux et excité et j'empoigne fermement sa verge au moment où il abaisse la fermeture éclair de ma robe. Puis, vient le tour de mon soutien gorge de se détacher et rapidement, sans s'annoncer, Laigle me pénètre sans ménagement. Je suis tellement excitée que je sens ma chatte couler le long de ma fesse alors que je suis assise sur le dos su sofa et que mon homme me fait face, debout juste devant. Il m'excite. je lui demande d'arrêter et l'amène plutôt dans ma chambre.. 

Il me lance littéralement sur mon lit et me suit de près. Sa queue trouve encore l'entrée de ma chatte et il continue son travail acharné à me faire jouir. Défi 2. Il doit être le premier homme à me faire atteindre l'orgasme à mon appartement. J'ai eu quelques occasions d'y arriver depuis que j'y habite, mais je lui avais promis de lui laisser l'opportunité de le faire pour la première fois.. Alors, défi 2 réalisé avec brio! Et plus d'une fois! ;)


Le défi 3 consistait en lui faire vivre une chose avec moi pour la première fois. 
Et franchement, j'ai cherché toute la semaine à savoir ce que j'aurais pu lui faire vivre mais la vie s'est occupée de ce troisième défi d'elle-même. Après que Laigle m'ait pris en levrette, il s'est effondré sur moi, son sexe toujours dans ma chatte après l'orgasme et y est resté étendu. Durant toute sa période réfractaire, mon chéri a gardé cette position confortable. Quelques minutes ont suffit avant que je sente se durcir sa belle queue à l'intérieur de mes cuisses et qu'il me besogne encore et encore et encore..  


Cette journée-là, je ne compte plus les fois où je me suis dit que le paradis sur Terre était au Centre-Ville de Québec, assurément au dernier étage d'un bloc appartement. 

Nous avons beaucoup parlé. Un peu partout, d'un peu n'importe quoi. 
Il m'a dévoilé des trucs de sa vie que je ne savais pas encore, je lui en ai dit de la mienne que je n'avais jamais su lui dire avant. À un certain moment, je me suis endormie une vingtaine de minutes dans ses bras. Il m'a candidement avoué qu'il avait dormi plus en cuillère avec moi qu'avec sa femme dans sa vie. Ce fut un moment plutôt touchant! :)

Durant la dernière heure, il s'est occupé de moi à merveille. Le défi 4 était qu'il arrive à me faire jouir avec un  de mes jouets. Réalisation exquise, alors qu'avec quelques doigts en moi en plus de la vibration de mon We-Vibe sur mon clito devenu déclencheur d'orgasmes instantané, il m'a fait défaillir plus de 4 fois sur l'édredon. 
Une jouissance qui m'a valu un large sourire de mon amant chéri ainsi que quelques larmes de ma part.. Tellement libérateur. 

4 heures qui sont passées en coup de vent. 4 heures parmi les plus belles que nous ayons eues en un peu plus de 2 ans ensemble.. Je me sentais si près de lui, si amoureuse, comme si le temps s'arrêtait pour tout le reste et me permettait de vivre le moment de grâce en compagnie de l'homme qui faisait battre mon coeur et mouiller ma chatte en cet après-midi d'avril. J'aurais voulu pour rien au monde être ailleurs à ce moment-là, ni être avec personne d'autre.

Je chéri ces moments en sachant très bien que rien n'est éternel. 
Rien, sauf peut-être la battement de mon coeur à la vue de ses yeux verts et de ses fesses croquables.. 


Merci, Laigle. je t'aime.

Mamz'elle J xx

4.16.2013

Confession d'une shopaholic amoureuse

Chaque fois que je sens monter en moi le sentiment de manque de lui, j'en suis toujours à magasiner des forfaits hôtel  sur internet pour un long weekend à se minoucher et à reprendre nos longs mois dans se voir, avec un sourire au visage. Jusqu'à la seconde où je réalise que ça fonctionnera pas.

#MustGoHomeSucks

4.11.2013

Cher Laigle



Je n'ai jamais cru que l'amour pouvait durer toujours. 
Je n'ai jamais pensé que tout dans la vie se faisait sans effort et sans conséquences.
Je n'ai jamais été totalement à l'aise à dire «Je t'aime» à quelqu'un depuis mon dernier chum. 
Je n'ai jamais cherché à fonder des amitiés superficielles, ni à m'embarquer avec n'importe qui n'importe quand.
Je n'ai jamais eu envie de remplacer ceux que j'aime par envie d'autre chose.
Je n'ai jamais osé imaginer ma vie sans toi.. même dans nos pires moments. Même dans les pires conversations, les disputes, les échanges de courriels froids. 




Il est arrivé un moment dans ma vie où j'ai pensé mettre fin à nous deux. Peut-être que ça t'es déjà passé par la tête aussi. Tu le sais que je ne suis pas parfaite et j'ai longtemps cru que si je me montrais entièrement sous mon vrai jour, tu allais prendre les jambes à ton cou et t'enfuir. Je sais que ton désir le plus cher est de connaître l'étendue de mon «darkside» et tu sais également que même moi parfois, je ne vis pas nécessairement très bien avec tous les aspects coquins de ma personnalité. J'apprends à me découvrir au même rythme que je me dévoile. Il y a deux ans, quand nous nous sommes connus, je n'aurais pas pensé que de tels fantasmes allaient surgir comme ça, sans crier gare, dans mon imaginaire de jeune femme. Parfois, je dois  'avouer que ça me fait peur. J'aimerais pouvoir faire ma psychanalyse, comprendre pourquoi et comment j'en suis arrivée là. Plus j'apprivoise mes envies, plus j'en découvre d'autres. C'est une roue sans fin. C'est un petit diable sur mon épaule. C'est un paradis auquel je tente d'accéder à chaque instant sans vraiment me demander où ça me mène. 

Quelque part, j'ai le sentiment que j'ai eu un cheminement autodidacte et que tout ce que je n'ai su te dire par peur d'abandon ou que tu te demandes quelle genre de folle j'étais pour avoir des idées aussi farfelues, je l'ai imaginé et vécu d'une façon ou d'une autre. Et en évoluant dans les méandres de mon côté sombre, je t'ai un peu perdu. J'en prends conscience maintenant. J'en ai en fait pris conscience graduellement, au fil du temps, au fil des secrets que j'ai révélé ici, mais dont je ne t'avais jamais parlé. 

Je comprends que ce lien de confiance entre nous a été éméché, je sais combien il peut être difficile de découvrir mes confidences ici, racontés à des milliers de personnes alors qu'à toi, je n'en avais jamais glissé mot. La perspective d'être ici de façon quasi-anonyme, d'avoir le sentiment de me cacher derrière mon personnage pour mieux mettre en lumière ce que je suis vraiment me donnait le courage qu'il me manquait pour te confier mes élans de fantasmagorie. Je t'avais promis de m'ouvrir davantage,  de laisser ma peur de côté quelques instants pour me confier à toi. Mais c'est un long cheminement ça,  mon amour. Un long cheminement que je ne réussirai peut-être pas à terminer, tu le sais fort bien. 

Je vis un complexe de la putain et de la madonne, mais à l'inverse. 
Je choisis avec qui j'ai envie d'être la putain. Je choisis avec qui j'ai envie d'être la madonne. Et si à l'origine, ma relation avec toi avait une base assez forte de mon côté putain, maintenant j'ai inconsciemment le réflexe de vouloir te protéger de ce côté de moi. Comme si mon amour pour toi avait tellement pris d'ampleur dans ma vie que je n'avais plus envie que tu me vois telle que j'étais quand tu es tombé amoureux de moi. Comme si je n'avais plus le goût d'être pour toi une petite cochonne que tu peux baiser dans le cul sur un drap blanc d'hôtel chic. Comme si je croyais que tu allais m'aimer plus, m'aimer plus longtemps, m'aimer mieux si j'étais seulement et simplement une femme normale, sans déviance sexuelle, sans envie de plaire, sans fantasme sexuel mal vus de la société alors que moi et mon personnage, on forme un tout pour tout le reste du monde. 

Et si je n'ai plus la folie d'être la putain pour mon amant, alors comment est-ce que je peux assumer ce que je suis et ce que j'ai fait au point de vouloir t'ouvrir tout grand mon jardin secret sans honte, sans gêne, sans malaise? 

J'ai parfois un sentiment de bonheur si grand quand je réalise que je me suis accrochée à toi corps et âme et que je t'aime comme j'aimerais un amoureux, un fiancé, un mari. Je me réjouis de voir à quel point j'ai fait du chemin entre le moment où tu m'as avoué que tu m'aimais, sur Skype, un certain soir d'hiver.. Quand je pleurais à chaudes larmes parce que je ne voulais pas que tu m'aimes. Je voulais que tu te contentes de me baiser quand tu en avais l'occasion. Je voulais que tu te permettes de me tirer les cheveux et de me mordre le dos quand tu me baisais par derrière. Je voulais que tu aies l'accès libre à ma gorge et à mes seins quand bon te semblait. Mais je ne voulais pas que tu tombes amoureux. Je n'ai rien fait pour ça. Je ne voulais pas.. parce que j'avais peur qu'un jour, tu ne me vois plus de la même façon. Parce que je me disais qu'à partir du moment où tu allais t'attacher au point de me lancer des «je t'aime» trop naturellement, tu ne voudrais plus me faire mal. Tu ne voudrais plus baiser ma gorge comme tu baises ma chatte, tu ne voudrais plus serrer mes hanches en me pilonnant, tu ne voudrais plus laisser libre cours à tes fantasmes par envie de me protéger. J'avais peur que tu changes d'attitude, que tu veuilles de moi comme une amante à qui on fait l'amour doucement, silencieusement. Une amante à qui on fait l'amour-vanille, avec tendresse et baisers dans les cheveux.
Et tu sais que je ne veux pas de ça. 

J'avais peur que tu découvres un jour que je ne suis pas simple. Que je ne me comprends pas moi-même la plupart du temps et que de me faire attacher ou étrangler m'aura donné les orgasmes les plus intenses de ma vie. J'avais peur que tu te rendes compte que mon monde imaginaire ressemble plus à une déchéance où je lèche des queues à perpétuité, qu'à un paradis avec des poneys et des fleurs aux couleurs pimpantes. J'avais peur que tu ne veuilles pas embarquer avec moi sur ce long voyage au pays de la découverte. Que tu te lasses de mes rêves d'orgies et de sexe torride. 

..et finalement, des deux, c'est moi qui ai eu le plus peur. J'ai peur de ce que je suis, de ce qu'il me reste à découvrir, au fond.. 


Pardonne-moi mon amour.


Je t'aime. Retiens-moi de prendre la fuite avec mes secrets.

Ta Zorra, 
Mamz'Elle J xx

4.08.2013

L’inconnu ne fait pas toujours peur - Défi de Lecteur



Il m'arrive de lancer des perches à mes lecteurs afin de savoir de quoi ils auraient envie que je parle, quel genre d'histoires les feraient rêver, quels fantasmes je n'ai jamais avouer. Parfois, ça me donne des idées de billets, parfois ça me fait un peu penser à mon vécu, à mes désirs, aux histoires que j'adore lire venant des autres auteurs érotiques,mais que je n'ai pas encore expérimenté.

Et de ça, je compose des billets de blogue qui parfois avortent. Parfois, je me dévoile un peu trop pour les publier sans en changer quelques détails par soucis d'anonymat ou par protection pour mes partenaires. 
Je ne vous avoue pas tout. Parfois, j’invente des bribes de mes histoires afin de les rendre plus divertissantes, plus sur naturelles, moins personnelles peut-être.. et à l’ouverture de ce blogue, je m’étais dit que l’idéal serait de ne pas identifier lesquels de mes billets seraient entièrement imaginés ou vécus. Je n’ai toujours pas dérogé de ma règle si bien que parfois, les courriels de lecteurs me demandant si le contenu d’un billet est véritable ou non me surprennent.

Cette fois, je ferai la même chose. À vous de deviner si c’est un récit vécu ou totalement inventé.
Et, pour vous donner un indice, je vous dirai que 3 seules personnes au monde m’incluant moi sommes au courant de la vraie réponse.. Voilà une histoire d'inconnu, de fantasme et d'envie de déroger des règles..



Attention, c'est trash.




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Ce matin-là, il m’avait texté pour me dire qu’il allait être à Québec dans l’heure. Mes indications furent simples; il devait se stationner au coin de ma rue et attendre dans son auto. Quant à moi, j’avais un plan. Cet inconnu voulait ma chatte et j’étais en manque d’émotions fortes. Pourquoi ne pas jouer les opportunistes?

J’ai enfilé un bas nylon chatoyant sous une robe plutôt courte, de petits escarpins et un manteau mi-long. Un soutien-gorge à motif léopard et une culotte de dentelle. Mais plus excitant encore, un jouet. J’avais glissé dans mon con mon We-Vibe et avais conservé dans ma poche la petite manette afin de pouvoir lui remettre à mon entrée dans la voiture. 

J’avais laissé mes cheveux libres, mi-frisottés et j’avais maquillé mes yeux d’un trait de traceur noir et un mascara allongeant me faisait des yeux de biche absolument irrésistibles. Mon cellulaire vibra et j’y vis son message-texte : 
«Je suis en bas».

La folle aventure commença à ce moment..

À peine entrée dans la luxueuse voiture de monsieur, je me suis assise et sans dire un mot j’ouvris les cuisses, lui laissant l’accès à ma chaleur, à mon humidité. Je me sentais femme, je me sentais excitée et je me sentais surtout plus salope que je ne l’avais jamais été. Le plan, il le connaissait. Ce jour-là, j’étais sa pute. Et j’avais envie d’oser.. et d’aller très loin pour m’amuser. Je lui ai tendu la manette et il comprit qu’il avait le champ libre sur ses fantasmes.

Nous avons pris la route. Toujours offerte, je faisais la bonne chienne qui, sans dire un mot, le laissait me tripoter les seins sous mon décolleté de robe, me masser les cuisses, je le laissais glisser ses doigts entre mes jambes pour frotter contre ma culotte déjà tellement mouillée.. je me sentais faiblir, j’aimais mon rôle. Il jouait bien le sien. 

Ses doigts pinçaient mes mamelons avec fermeté et avidité. Je l’entendais me complimenter sur ma docilité et mon aisance, sur mon odeur, sur mes cheveux. Mais je n’étais pas là pour les compliments. Je n’avais pas envie de l’écouter essayer de me séduire. Si moi je jouais à la pute sans attachement, il devait faire la même chose.  

Après quelques minutes de route, nous voilà devant un motel de bas étage. Un des pires motel de la ville en fait. Le temps que monsieur paie la chambre, je restais dans l’auto à me branler le clito, à vouloir embaumer sa voiture de mes parfums de pute. Qu’il se souvienne de ce moment, seul et unique, juste en inspirant profondément. Il revient avec la clé. Se stationne devant la porte de notre petit bordel. J’ouvre la porte pendant qu’il remonte ma robe sur ma fesse droite afin de caresser le nylon de mes jambes et je le sens déjà tout dur contre moi. Je savais que mon plan l’excitait. Mais je n’avais aucune envie que j’étais au moins mille fois plus excitée que lui.



Entrés dans le motel, il m’a demandé d’enlever mon manteau pendant qu’il se mettait à l’aise devant moi. Le fixant directement dans les yeux, je me suis dévêtue. Il a enlevé lui-même ma robe.
Le lit était dans un piteux état. Les draps dataient. La peinture était sale, les coins de murs auraient eu besoin de nettoyage. L’odeur du «vieux», la déco des années ’80, les poils sur l’édredon n’auguraient rien de bien romantique. Et c’était parfait. Parfaitement trash. Comme j’avais envie que ça se passe. 

Il a arraché l’édredon du lit, m’a fait me pencher au dessus, m’appuyant sur les mains alors qu’il passait les mains sur mes hanches, mon dos, qu’il empoignait mes cheveux doucement pour ma rappeler son rôle, le mien. 
Après quelques secondes, il s’est assis sur la chaise juste à côté du lit, a baissé son pantalon et m’a ordonné de lui lécher la queue de ma meilleure langue. Alors que je lui caressais le gland du bout d’une langue frétillante et que ma main lui caressait les couilles, il a poussé sa queue dans ma gorge en grognant de l’astiquer mieux que ça. 

Je le prenais dans ma gorge, avec une envie profonde qu’il recommence. Qu’il me crie de le sucer comme une vraie pute. Quand il en a eu assez, au bord de la jouissance, il m’a repoussée et m’a fait me mettre à 4 pattes sur le lit, dos à lui. Bien entendu, j’avais toujours mon jouet dans la chatte et sa vibration avait continué à m’exciter pendant que je lui taillais sa pipe. Quand il ma l’a enlevé, j’ai étouffé un gloussement. J’étais dans un tel état que de sentir sa main se glisser contre mon clito aurait suffit à me faire exploser. Je sentais ma mouille couler contre mes cuisses largement ouvertes, le cul pointé vers lui pour le mettre en appétit. Mais je n’étais pas là pour mon plaisir, mais bien pour le sien. 



Après avoir enfilé un condom, il s’est inséré en moi avec une facilité évidente... Quelques aller-retours et il est sorti, a inséré 2 doigts dans ma chatte afin de recueillir un peu de ma cyprine qu’il m’a étendue sur le cul afin de me préparer à le recevoir éventuellement.. . Alors que sa queue me pilonnait la chatte, il inséra ses 2 doigts dans mon cul. 
«Quelle bonne pute.. tu te rends compte que tu as deux de mes doigts dans le cul pendant que je te baise? Je sens ma queue à travers la paroi..»



Quand il a empoigné mes hanches pour me pilonner encore plus intensivement, je me retenais de crier. J’ai mordu ma lèvre. Pas question de lui laisser savoir que j’aimais ça. Il me parlait, mais j’étais dans un autre monde, occupée à me délecter de mon fantasme réalisé quand tout à coup, il a pris une grosse poignée de mes cheveux pour me ramener contre lui et me glisser à l’oreille : «Je vais jouir dans ta gorge et tu vas tout avaler, échappes-en pas une goutte.»
Il s’est alors retiré puis il s’est couché sur le dos tout en gardant mes cheveux dans sa main et m’a calé la gorge sur son pieu. Je gardais la bouche grande ouverte alors qu’il baisait ma gorge avec facilité jusqu’à la jouissance, où mes lèvres se sont refermées afin de pouvoir l’enserrer un peu plus fort. 



J’ai avalé toute sa semence comme il me l’avait demandé, avec un sentiment de fierté, mais aussi de dégoût. Je savais que cela faisait tout autant partie du jeu... 
Après cette baise, le défi n’était qu’à moitié relevé. Il fallait maintenant que je renfile mes bas alors que mon entre-cuisse était encore trempé et suintant,  ma robe sans remettre mon soutien-gorge et que l’on reprenne la route. Il a essuyé ses doigts pleins de mouiller sur ma fourche et m’a fait léché le reste sur l’autoroute.
Nous sommes repartis du motel à peine 40 minutes plus tard alors que je sentais le sexe et que je devais aller passer une entrevue pour un nouvel emploi.. 


Trash à souhait. 

Je vous ai choqué? Hihi.. 

Mamz'Elle J xx




4.03.2013

Inspiration Hot Bath Time


À la demande de John Doe, fier tweep de ma TL et lecteur assidu du blog, je vous donne un aperçu de ce que pourrait être une soirée relaxe mais coquine..



Inspirée par mon ami @eros_univers , j'ai repris contact avec les plaisirs de prendre un bon bain chaud avant d'aller au lit, ou en revenant du travail quand le retour se fait plutôt tardif. J'aime prendre le temps de tamiser les lumières de la salle de bain, verser une bonne quantité de bain moussant que m'a offert Mariposa, entendre couler l'eau presque bouillante et respirer les bonnes effluves de baies d'hiver qui embaument la salle de bain du sous-sol. 

Je prends la peine de me choisir quelques pistes musicales qui inspirent à la relaxation et à la détente. Quelques pièces d'une de mes artiste préférées, Elsiane . Et ensuite, je me laisse porter...

http://erosenverge.tumblr.com/page/5
Lentement, je glisse hors de mon peignoir que je laisse tomber par terre derrière moi et j'attache mes cheveux longs avec une pince pour plus de confort. J'aime le moment où je touche l'eau savonneuse du bout du pied pour en vérifier la température. Doucement s'infiltre ma jambe droite, puis la gauche.. Je m'enfonce dans ce nouveau cocon presque liquoreux alors que montent déjà les parfums à mon nez. Mes cuisses touchent la surface de l'eau et je m’assoies enfin.. j'adosse mon cou à un petit coussin et je joue dans la mousse pendant que mes yeux se ferment sur des images coquines. Assez souvent, j'amène avec moi mon téléphone, question de pouvoir déguster des yeux les jolies photos que mon ami dépose sur Twitter.. il y a toujours une tellement sensualité, un érotisme et une source d'excitation intarissable qui se dégage de ces clichés.. 

Il arrive qu'un main plonge sous l'abondante mousse pour aller caresser mes chairs détendues par la chaleur de l'eau. Ma peau devient encore plus sensible et je ressens encore plus efficacement mes effleurements. Je caresse ma jambe, du genou à ma hanche, doucement, je me garde d,aller tout de suite vers ma chatte.. quand j'en ai terriblement envie, alors je relève la jambe sur le côté du bain et laisse les vaguelettes venir s'échouer sur mon aine. C'est fou à quel point en état d'excitation, tout peut devenir une source de plaisir. 
Mes doigts ne cherchent pas longtemps avant de découvrir mon petit terrain de jeu complètement mouillé. J'ai plonge le bout d'un doigt, en caressant tous les coins possibles, en m'attardant sur les parties plus réceptives et en glissant parfois le doigt jusqu'entre mes fesses relevées. En quelques minutes à peine, je peux arriver à jouir assez fortement pour déclencher un raz-de-marée dans le bain! Mais je me garde quelques fois pour une possible suite, un après-bain encore plus excitant... 

..je me sèche et vous raconte la suite! 



Mamz'elle J xx