Rechercher dans ce blog..

9.12.2012

L'Amant Mystère se dévoile au Confessionnal de Mamz'elle J


source: amantmystere.com

L'Amant Mystère fait courrir les foules 
sur son blogue coquin dédié aux femmes.Il y fait l'éloge de la femme de couleur, nous ennivre avec la description de ses fantasmes d'homme en pleine possession de sa vie de célibataire! Le Don Juan de la blogosphère sexy du Québec se raconte en quelques questions.. 




1) On veut une idée globale de l'homme derrière l'avatar. Décris-toi en référant une personnalité connue.
Visage : Selon une amie, je ressemble au jeune Rob Lowe avec 20 lbs de plus… Les yeux, le menton et le regarde intello… Peu importe ce que ça veut dire!

Corps : Heu, tellement ordinaire… Alors je vais répondre : « Le premier gars de 200lbs et de 6 pieds que vous croisez dans la rue, mais avec un gros pénis. » Je ne suis pas vraiment musclé, bref j’ai la shape de Robin William.

Personnalité : WOW! Dans la vraie vie, je suis vraiment unique en mon genre, je n’ai demandé à plusieurs personnes et ils sont tous incapables de me comparer à une personnalité connue. Je suis d’une nature calme et discrète. J’aime être en contrôle d’une situation et toujours avoir une longueur d’avance sur ce qui m’entoure. Je suis aussi procrastinateur et têtu. J’ai beaucoup d’humour et j’aime divertir les gens. Je suis séducteur, parfois maladroit, mais ça fait partie de mon charme. Une fois mon piège tendu il est impossible de s’en échapper, mais encore faut’ il que je réussisse à le tendre. Je suis un amant passionné et un peu dominateur.


2) La phrase quétaine qui t'a fait ramener la plus belle fille chez toi?
Les phrases quétaines ne ramènent pas de belles filles à la maison!
L’alcool ramène des belles filles à la maison.
Le charme ramène des belles filles à la maison.
Mon gros pénis pendant une danse collée ramène des belles filles à la maison.
Mes yeux ramènent des belles filles à la maison.
Mais les phrases quétaines ne ramènent pas de belles filles à la maison!

3) Ton fantasme ultime pas encore réalisé?
Un trip à 3, c’est vraiment quelque chose que j’aimerais faire, mais l’occasion ne s’est jamais présentée. J’en ai souvent parlé sur mon blogue, mais j’aimerais aussi beaucoup coucher avec une Asiatique. Ce sont des filles qui m’attirent beaucoup, mais je suis très mauvais pour les séduire, ça ne marche jamais… Il a y surement une question d’égo dans ce fantasme-là!

4) Pourquoi avoir choisi ce pseudo?
Au début, je séduisais des filles sur Twitter avec mon vrai nom, quand mon patron de l’époque à commencer à me suivre je me suis dit que ce n’était pas forcément une bonne idée. J’ai donc créé le compte @amantmasque, ce qui sonne horrible, car Twitter n’autorise pas les « é » dans les pseudo… C’est ainsi qu’après 2 semaines @amantmystere est né. Quelques mois plus tard, un blogue est venu compléter le tout

5) Tu as toutes les femmes de tes rêves à tes pieds ce soir. Tu dois en choisir 3 pour la nuit. Qui sont-elles et pourquoi?
C’est le moment de faire une plogue? J’ai une section dédiée uniquement pour ça sur mon blogue!

Rihanna
Pour pouvoir toujours gagner une discussion avec mes amis!
Ami : Ma pelouse est tellement plus verte que la tienne
Moi : Oui, mais moi j’ai couché avec Rihanna!

En plus m’avez-vous vu la paire de fesses sur cette fille, le modèle de course! Bonus : Elle à l’air d’une sacrée cochonne!

Kat Deluna
C’est mon petit côté latin qui me fait la choisir (note : mon père est mexicain). C’est un fantasme de longue date pour moi. Elle bouge tellement bien dans ces vidéoclips. Ces fesses d’enfer, son regard intense et son visage angélique me font fondre.

Mariposa (Infid’elle)
Sérieusement, je n’ai aucune idée qui elle est ni à quoi elle ressemble. Elle est si mystérieuse, mais chacun de ces textes me donne une intense érection. Elle est un peu intimidante pour moi, le calibre de ces amants est fou! Comment rivaliser avec des hommes qui semblent si parfaits… Mais je présume qu’il y a un peu d’enflures littéraires. Bref, une nuit avec Mariposa ce serait génial! C’est une invitation? Peut-être.

(Ouh! Une invitation!.. )


Confessionnal Express
T'es un gars de fesses ou de seins?
Question impossible! Ça dépend beaucoup de la fille, chez certaines ce sont les fesses qui m’excite, chez d’autres les seins. Disons que chez 60 % c’est les fesses.

Ton endroit par excellence pour une baise «hot»

À 17 ans j’aurais répondu le petit boisé derrière l’école secondaire, mais maintenant je dirais un hôtel un peu trash, ça ajoute au plaisir! ;-)

Un doggy ou une fellation 

Doggy all the way! Je ne suis pas un homme qui aime vraiment les fellations. Certains diront que c’est que je n’ai jamais connue une bonne suceuse. Peut-être.

Ton top 3 des fantasmes a réalisé avant tes 30 ans?
Baiser une Asiatique est en ce moment au haut de ma liste de priorité, c’est une affaire d’honneur! Ce n’est pas vrai que je vais avoir échoué à séduite toute celle qui auront croisé mon chemin.


Deuxièmement, je te dirais qu’un trip à trois (ou plus) est quelque chose que j’aimerais vraiment essayer. Je suis un peu craintif, mais c’est une limite que j’aimerais bien repousser.
Finalement, je voudrais bien jouer au dominateur dans du BDSM. J’aime déjà être un peu dominateur au lit, mais repousser l’expérience à l’extrême ça doit être intéressant. Mais je doute sérieusement que j’en devienne un fan.

Ton blogue coquin préféré ces temps-ci?
Je pourrais répondre l’infi-d’elle, mais j’aimerais bien faire une plogue pour quelqu’un de moins connu alors je vais répondre celui de Chocopoire. J’aime beaucoup son style 

Un lien sur une vidéo xxx selon tes goûts?

J’aime et je partage beaucoup l’intensité de l’acteur dans cette vidéo. Je partage aussi ces talents d’acteur (dialogue super crédible). Comme lui le plaisir de ma partenaire passe avant tout et je me donne à fond au lit.

Tu aimes la lingerie?
Elle ne reste jamais bien longtemps en place avec moi. Je suis plutôt un amateur de corps nu. Le corps de la femme est tellement magnifique que je n’ai pas besoin de lingerie pour m’émoustiller. C’est cependant une délicate attention que je prends le temps d’admirer.

Une star internationale que tu refuserais de toucher?
Lady Gaga… Weird! C’est un peu trop pour moi… De plus, je ne la trouve pas très belle.

 Une star internationale qui tu attacherais à ton lit pendant une nuit torride?

Mis à part Rihanna, probablement Kim Kardashian! Mais quel cul! Cependant, je crois que ces fesses seraient beaucoup plus jolies avec un peu de sperme dessus… Mais c’est mon avis. ;-)

LA chanson par excellence pour la baise?
Je ne suis pas très musical comme gars, je laisse habituellement mademoiselle s’occuper de ce détail. Mais selon moi Skin de Rihanna est un hit… Probablement à cause de la voix de Rihanna qui me turn on… OK j’ai mentionné son nom trop souvent dans cette entrevue, ça devient awkward... 
 Décris en 3 mots l'auteure de ce blogue
Fesses, Freaky, Sexphone ;-)



Merci beaucoup à l'Amant Mystère de s'être prêté au jeu! En attendant les confidences de ma prochaine victime, passez faire un tour sur le blogue de John Myst! 

Bonne soirée mes coquins!




Mamz'elle J xx

9.06.2012

Mariposa passe aux aveux ; Confessional de Mamz'Elle J


La première personne que je voulais voir passer à travers ce questionnaire, c'est bien Mariposa! Avec ses anecdotes toujours terriblement délirantes et un vécu sexuel pareil, je ne pouvais pas passer à côté! Pour ouvrir le bal, voilà ses révélations, sommes toutes, assez coquines! On ne s'attendait à moins.. 



On la connait passionnée, épicurienne et spontanée. On la sait très confiante et capable de tout pour séduire un homme qui lui plairait. Elle se raconte sur son blogue, sous toutes facettes et en toute intimité (devant ses 250000 lecteurs!). J'ai nommé; Mariposa.

 

Mariposa, raconte-moi ta plus grosse folie sexy.
Juste avant de rencontrer mon mari, j'avais environ 20ans, j'étais sortie en boite de nuit avec des amis. La soirée étant bien arrosée, un ami à moi commence à me doigter sous ma jupe. J'en mouille instantanément. Un autre copain qui voit toute la scène se passer sous ses yeux décide de m'embrasser pendant que son ami continuait de me procurer du plaisir avec ses doigts. Ensuite, un 3e s'est approché ...
Finalement, on est parti moi et 4 de mes copains à l'hôtel où l'on a baisé à 5. J'étais la seule fille et j'avais 4 beaux mecs que pour moi. C'était sublime. J'avais les 2 mains, la bouche et la chatte toujours bien occupée. On a tellement aimé cela qu'on a refait la même chose pendant 3 semaines de suite ! hahaha!

Si tu avais à passer une nuit sexy avec 3 acteurs sexys québécois, qui serraient-ils?
Acteur ?! Hmm... Bonne question. T'aurais dit «Chanteur» que je t'aurais répondu sans hésiter le beau Martin Léon qui a un je ne sais quoi qui me fait trop mouiller. (J'ai eu la chance de le rencontrer à quelques reprises et j'ai même eu un contrat de photographie qui m'a donné l'honneur de pouvoir l'immortaliser ... miaaaooowwww!!!) 
MARTIN LÉON
(Crédit Photo-Sylvain Dumais)

Bon, revenons à nos moutons... Acteur Québécois:
C'est drôle parce qu'on me dit souvent que mon mari ressemble à ces 2 acteurs : 
1-Guillaume Lemay-Thivierge
2-Claude Legault
en 3- je te dirais Marc-André Grondin

(Note: Son mari est à croquer, avec des yeux .. GLT est un pichou à côté de son Alexandre. Mouhaha..)
Ton fantasme ultime pas encore réalisé?

Vraiment ultime: Me faire ligoter et qu'un couple profite de moi à fond. Que je sois à leur merci... un détail la fille porterait probablement un strap-on et l'homme serait en complet-cravate et utiliserait sa cravate pour m'attacher au lit.

(Elle sait tellement comment imager un fantasme cette femme, lol.)

 
Ton top 3 des albums que tu écouterais en boucle durant une nuit torride. 

Mon top: Sade , l'album Lovers Rock

En 2e: L'Album double compilation Buddha Bar VI (Pas mal tous les Buddha Bar sont hot pour baiser)

En 3e: J'hésite entre l'album Beautiful Tomorrow de Blue Six et l'album Simple Things du groupe Zero 7

Raconte-nous un moment hyper embarrassant lors d'une rencontre avec un amant? En détails; qui, quoi, où?

La journée où Tristan était venu me reconduire chez-moi. C'était ma mère qui gardait la petite, mon mari était à l'extérieur de la ville. Juste au moment de quitter le véhicule de mon amant, je l'embrasse fougueusement une dernière fois et qui je ne vois pas qui me regarde à travers la vitre du véhicule!?!?! .... Ma mère!!! Par chance, elle fut super discrète et ne m'a jamais posé de questions ou fait de commentaires!! hahahaha!

(Tu as triché un peu là! Tu nous a déja raconté ça sur ton blogue! :P )

CONFESSIONNAL-EXPRESS

Qui embrasse le mieux? Guillaume
Qui a le meilleur parfum? Guillaume
Les plus beaux yeux? Éric
Les lèvres les plus sexy? Guillaume

Le plus habile au lit? Guillaume et Tristan
La monture la plus impressionnante? Guillaume

Le plus «en tous points» dans tes critères d'homme parfait? Éric

(Un méchant pétard, mesdames.. ;) )



Le plus différent de toi? Tristan, point de vue personnalité et valeurs en général mais par contre, on trippait sur les mêmes choses; La musique, la photographie, les parfums ... etc...
Sinon, je te dirais Guillaume, avec qui j'avais pas tant de points communs point de vue passions et passe-temps, mais on s'accordait point de vue valeurs personnelles et opinions politiques.

Le plus tendre/romantique? Sans contredit Guillaume. Il y a Antoine que j'apprends à connaître, qui a une grosse tendance «loverboy» aussi....

Le plus fougueux? J'hésite entre Tristan et Éric.

Le pire coup? Patrick, mon ancien ami du secondaire qui habite maintenant Québec....
Il puait de la gueule et j'ai fait semblant de jouir pour m'en débarasser au plus vite et c'est peu dire. Depuis, il continue de vouloir me revoir quand il vient à Montréal... J'ai fini par lui dire que j'étais rendue aux femmes pour qu'il me laisse tranquille tellement il comprenait pas les messages subtils de refus que je lui envoyais ! Haha! J'ai ris pendant des jours!

Celui qui t'a le plus surprise, côté personnalité? Charles, aka Complice #1 ... Les conversations que j'avais avec lui me manquent parfois...

°°°°°

Merci beaucoup de t'être prêtée au jeu!

La semaine prochaine au Confessionnal de Mamz'elle J: 
L'Amant Mystère nous confie ses secrets sexy! ;)

Nouveauté: Chronique «Confessions»

Eh oui, une nouveauté voit le jour sur cette plate-forme!
J'ai décidé d'abuser de mes contacts pour vous permettre de connaitre un peu plus les personnages du web et leur faire dire des secrets.. 

Chaque semaine, vous aurez la chance de découvrir en 5 questions à développement + une section «confessions en rafale», le Confessionnal de Mamz'elle J.

Source;  http://www.infid-elle.com
Cette semaine; Mariposa se dévoile!

En attendant la venue de cet article mystérieux, vous pouvez allez lire son  BLOGUE absolument divin!



..à tout de suite! ;)




Mamz'elle J xx

9.05.2012

S'abonner à mon blogue; Facile, Gratuit & Terriblement excitant!

Vous aimez mes récits chauds et aimeriez encore davantage les recevoir directement sur votre boite de courriel ou sur votre téléphone intelligent?


Alors, ABONNEZ-VOUS!!!

8.30.2012

Mon blogue dans l'univers du fantasme

J'ai l'impression d'avoir écrit cet éditorial des milliers de fois. Déjà, avant même d'aller au vif du sujet, je sais que ma corde sensible va se mettre à vibrer..

Et si je ne tournais pas autour du pot, je vous avouerais, chers lecteurs, que j'ai mis sur la Toile ce blogue avant tout pour moi. Pour écrire et faire découvrir aux gens ayant un peu le même mode de vie que moi mes sentiments à l'égard de la vie. À l'égard de ce qui me rend heureuse et ce qui me fait de la peine, ce qui me fait pleurer ou rire, ce que j'ai envie de tenter ou ce que je garde en moi comme un bourgeon de rose attendant son soleil pour éclore. Ça m'a permis de faire de belles et bonnes rencontres, certes, mais ce n'était pas mon but. Par ce site, je voulais laisser aller mes désirs ainsi que mes mots sur des thèmes inépuisables et commun à tous. La sexualité. La vie. L'amour. La haine. Le goût du risque. Bien sur, j'ai eu des commentaires désagréables, d'autre carrément haineux. Mais j'avais toujours en tête que j'écrivais d'abord et avant tout pour moi. Alors de là, je laissais passer les opinions désobligeantes et me concentrais sur mon plaisir. Je ne veux pas appeler ça de l'égoïsme.

Au risque de décevoir des centaines de lecteurs, je vous l'annonce en exclusivité aujourd'hui, près de 80% de mes récits ne sont jamais arrivés. Ils résident par contre au fond de mon imaginaire, puisque même s'ils ne se sont pas produits, ils font partis de mes fantasmes. Tous mes textes sont tirés d'une pulsion que j'ai alimentée jusqu'à la rendre crédible, suffisamment imagée et détaillée afin d'être prête à être lue par d'autres que moi. Ceux qui me connaissent bien savent reconnaître les textes faisant mention de la vie de la véritable personne qui se trouve derrière l'écran. Ce sont souvent les textes qui ont été les plus critiqués, au sens où on me jugeait pour mes envies et fantaisies qui sont parfois mal vues ou tout simplement taboues dans certains foyers. Parfait, je vies bien avec le fait que peu d'entre vous aimez le BDSM ou avez déja vécu une expérience en lien avec cet aspect plus mal-aimé du sexe. Voyant que mes fidèles lecteurs me suivaient toujours mais avaient envie de lire quelque chose de plus «soft» ou «normal», j'ai décidé de me lancer dans l'écriture plus romanesque, d'histoires ficelées dans un optique plus concret et réalisable, tentant de divertir la masse populaire qui voulait entendre parler de triolisme, de plans à 4, de baise entre filles ou de lingerie.

Je ne crois pas avoir fait de ce blogue mon journal intime. Je ne crois pas avoir écrit les billets dans l'ordre où je les aurais vécu, selon mes désirs du moment ou même pour attirer l'attention de prospect pour me joindre dans mon fantasme. Je m'amuse ici et sur Twitter, à créer un phénomène d'attraction sur mes pages pour mon propre plaisir, mais aussi pour le vôtre. Plus j'ai de visiteurs, plus j'ai envie d'écrire. Plus j'ai envie d'écrire, plus je varie mes histoires et ça attire de nouvelles personnes qui me suggèrent des idées, etc.
Mais au bout du compte, le choix de poursuivre ou non ce blogue me revient de droit. Y afficher ce que je veux me revient également.

Si j'écris ici que j'ai envie de me faire prendre par 3 hommes à la fois, ça ne signifie pas que je lance une perche au lectorat masculin. De même pour les scénario avec une autre demoiselle ou autre. Il ne s'agit pas de me montrer ouverte et même très «à la recherche», il s'agit me mettre sur table une partie de ce que je suis, mélangée à une partie de ce à quoi je pense parfois..

J'arrive où je veux en venir. Je ne veux pas avoir à me justifier devant personne de faire des choix pour moi, pour ma propre vie et mon propre bonheur. Je ne veux pas avoir à prouver ce que je suis, ce que je vaux ou ce vers quoi j'aspire. Alors je ne veux plus avoir à m'expliquer d'écrire ce que j'écris sur mon blogue, ni d'avoir à m'excuser de choisir le vocabulaire ou les images ou même les thèmes d'écriture que je choisis. Dans la même veine, j'ai décidé que je me recentrais sur moi et au risque de perdre mon lectorat, je reprendrai le contrôle de mes pages.


Alors aux 5 ou 6 lecteurs qui m'écrivent sans arrêt pour m'insulter ou pour questionner mes choix de vie ou de mots, ça ne sert à rien de vous donner tant de mal à me haïr. Aux autres qui font de la désinformation, ou qui pensent me connaitre, qui croient que mon personnage de Mamz'elle J et moi, la véritable MOI sommes en tous points pareilles, alors vous vous trompez grassement.

Je choisis mes batailles dans la vie pour avancer. Celle-là n'en fait plus partie..


Ups and Downs. Love and Fear. Sex and Domination.

I woke up sweating last night .. I dreamed that you were grabbing my hair to fuck me as if your life depended on it. As if I was the last person you would have given your semen before dying.. You'll never know how much I love to spend time with you, to feel you heat, to taste your lips, to lick you cock.. You'll never even imagine how I feel about these moments in your arms; when you kiss me softly just before you bully my pussy, when you whisper some tender words to my ear and then you smothering me. I love it. Ups and Downs. Love and Fear. Vanilla Sex and Domination. You really spin my head, mister... 

8.28.2012

Laigle au Centre-Ville de la Métropole.

Laigle a eu une pensée pour moi ce midi, lors de sa balade au Centre-Ville de Montréal.
Il sait à quel point j'aime l'ambiance et la déco de la Ste-Catherine en saison estivale.

Voilà donc ses photos:














Merci pour la pensée, xxx

À la limite du non-retour...

On avait prévu de se voir à peine quelques jours plus tôt. Dans une extrême urgence, on avait envie de se revoir. Six heures approchaient, je revenais du travail à peine et déjà je devais faire le nécessaire pour qu'il ne voit pas mon empressement à bien présenter mon «chez-moi» un peu en bordel. Quand j'ai entendu l'intercom, mon coeur a failli fendre en deux. Puis, une minute plus tard, il faisait son entrée. C'est étonnant, le naturel avec lequel on se côtoie. On s’assoit sur le sofa et on se met à discuter vacances. Il me parle de sa location de condo à Tremblant, mais je l'écoute à peine. Je regarde sa bouche invitante, ses yeux qui me fixent et je me demande à quel instant sera le moment de lui sauter dessus. Bien entendu, ma mère m'a bien élevée. Je le laisse terminer et lui offre à boire...

Mais je n'ai pas le temps de me lever du sofa que déja, j'ai mes lèvres collées aux siennes et les mains dans ses cheveux. Je n'en pouvais plus de patienter depuis plus de 3 mois.. j'avais terriblement envie de lui. Lui de moi. Un véritable aimant agissait entre nous.

Dès mes mains posées sur son corps, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, à l'embrasser, le caresser, lui avouer à quel point j'avais hâte de le revoir, à quel point il m'avait manqué. Je sentais sa queue se gonfler sous ma chatte toujours dans ma culotte de dentelle noire, pendant qu'il glissait ses doigts derrière mes cuisses et jusque sous le tissus. J'avais déjà la chatte trempée et une énergie du diable pour lui montrer à quel point il me manquait. J'aurais fait n'importe quoi..

Je l'ai embrassé partout. Du cou aux aines, j'avais envie de laisser mon odeur, de marquer ma trace, de lui laisser savoir ma présence bien après mon départ. Après avoir couvert son torse de baisers, il s'est masturbé avec mes seins, ses yeux dans les miens. Cochon à souhaits.. ;)

Il m'a présenté son membre à l'entrée de ma bouche. J'avais la langue qui démangeait de me l'insérer au fond de la gorge, jusqu'à la suffocation s'il le fallait, pour le rendre fou. Ma bouche ne me suffisait pas, il fallait que je le caresse à deux mains. Ma salive donnait à cette fellation un côté plus salope, plus impliquée. J'avais son pieu qui me pilonnait la gorge, faisant faire des soubresauts à mon système digestifs, mais ô mon Dieu, j'aurais passé ma vie avec sa queue sur ma langue. Puis ce fut son tour de prendre bien soin de moi. À genoux sur le sofa, dos à lui, je lui ai présenté ma chatte, bien cambrée, afin qu'il s'y insère sans misère et sans gène. Il m'a pilonné comme ça pendant deux ou trois éternités, agrippant mes cheveux et mes hanches, mais le moment culminant fut quand il prit ma tête pour la ramener par derrière, à la limite de la blessure, et en prenant bien ma gorge, m'a inséré sa queue, grosse et large, dans ma chatte toute serrée et chaude. Ce fut un moment d'extase. Il me retenait avec une telle vigueur à la gorge que je me suis sentie partir, perdre conscience.. Juste à temps, je me suis réveillée. Il avait déjà fait le tour du sofa et laissait danser son gland sur ma lèvre alors que j'étais toujours endormie.


Plusieurs fois encore il m'a pris par la gorge, à une ou deux mains, à ma demande. Je voulais repousser mes limites à fond, sans bien les connaitre. Il m'a serrée et étouffée, à la limite du non-retour, quand parfois même je sentais qu'il ne voulait pas serrer davantage... Je me sentais partir - mes yeux se fermaient, puis mes oreilles se bouchaient- puis revenir, parfois avec sa queue dans ma chatte, d'autres fois avec ses doigts qui me dilataient. J'ai giclé sur lui en un instant de plaisir, sa main toujours sur ma gorge, alors que la faible lumière du salon éclairait la chambre. J'en aurais voulu encore et encore...  mais il devait partir. J'ai eu un plaisir immense encore ce soir-là..





8.24.2012

Nostalgie de ma Soumission : Jamais avant, on ne m'avait appelé «ma salope»

J'ai toujours cru au hasard.

Vous savez, deux personnes qui se retrouvent exactement au même endroit, au même moment, peu importe les circonstances qui font que ces deux personnes en question sont là. L'instant où les regards se croisent,  où le temps s'arrête une seconde mais qui paraît en être une ou deux éternités. La conversation s'engage, le courant passe, les joues se touchent et s'alignent les gestes de plus en plus intimes jusqu'à ce que les draps déferlent sous les intenses coïts de deux amants qui se trouvent.

La chimie entre deux amoureux d'une nuit est si intense qu'avant même d'avoir posé les lèvres sur celles de l'autre, vous vous sentez vivre. Vous avez le coeur qui s'emballe à la vue de son sourire, vous détaillez son corps, sentez son odeur et avez envie d'enfouir le nez dans ses cheveux.. Je me souviens de mon premier coup de foudre. Il était beau. Le charisme d'un acteur de cinéma. Toutes les filles, même les femmes de mon coin l'avaient dans la mire. Pour une raison que j'ignore, une complicité s'est créée entre lui et moi, si bien que j'avais, sans le vouloir, rendu les filles de mon âge envieuses. Je le revois souvent. Il habite toujours dans la ville qui m'a vue naître. J'ai revécu quelques fois le «feeling» intense d'une rencontre qui allait me marquer.

Je vous raconte une histoire vécue.

Je n'avais aucune intention de trouver un homme pour me faire tourner la tête sous la force d'un orgasme. De toutes façons, c'est rarement quand on cherche véritablement, que l'on trouve ce qu'on attend.

 Si nous nous sommes rencontrés lui et moi, c'est par l'entremise d'une personne que je n'ai même jamais vue en personne. Pour une raison que j'ignore, nous avons échangé pendant quelque temps. Ses intentions ont été claires depuis le premier jour. De mon côté, j'avais divulgué mon âge au premier mail.

http://www.google.ca/imgres?um=1&hl=en&biw= 
Lors de notre première rencontre, il avait décidé de tout. Mon habillement, ma position, la direction de mon regard. C'était la première fois que je rencontrais un homme que je n'avais jamais, jamais vu avant. Si au début, il était clairement établi que je n'avais pas le droit de le regarder dans les yeux durant toute notre rencontre. J'étais non seulement débutante dans le sexe, dans les sentiments réciproques mais aussi dans l'univers de la soumission. Jamais auparavant on ne m'avait appelé «ma salope». Jamais auparavant on ne m'avait pris les cheveux pour mieux me retenir sur le lit. Jamais on ne m'avait fait laver une queue du gland aux couilles, jamais on ne m'avait fait dévorer un cul d'homme, les genoux relevés au menton. Jamais on ne m'avait fait pousser un pieu dans ma gorge jusqu'à ce que j'en pleure de suffocation. Jamais on ne m'avait mordu les mamelons jusqu'à la cloque d'eau 3 jours plus tard. On ne m'avait jamais fait mettre les mains derrière mon dos pendant que je tirais la langue pour me faire serrer les seins par deux mains puissantes et avides de chair.

J'avais lu des tonnes de récits érotiques sur la soumission. J'avais depuis longtemps ce sentiment qui m'habitait au delà de mon imagination, de mes fantasme d'être à la merci d'un homme autoritaire. J'avais  repensé des centaines de fois à ma première pénétration adultère en tant que soumise. Je savais que j'allais devoir apprendre, cheminer et devenir celle qu'il allait vouloir revoir. Je ne voulais pas que cette soirée reste dans ma tête comme un flop, comme une perte de temps de la part des deux amants.


Le premier soir, j'étais sous le choc. Je ne voulais plus jamais le revoir. Mais il a réussit à faire grandir en moi la volonté de recommencer, sans me pousser, sans chercher à me convaincre de devenir son sac à foutre par excellence.

J'ai toujours cru que ça prenait une soumise pour comprendre une soumise. Pour comprendre comment une insulte terrible pour l'une peut devenir une grande grâce pour une autre.. difficile à comprendre et à respecter.

J'ai connu l'homme derrière le Maître au fil de nos rencontres, durant nos confessions sur l'oreiller. Quand nous avions terminé nos petits jeux, quand j'avais finalement eu la permission d'avaler sa semence ainsi que la salive que j'étirais du bout de sa queue à ma bouche, quand il m'abreuvais à même mon verre, quand il prenait soin de moi, qu'il essuyait mes yeux pleins de larmes, nos regards se soutenant, nous nous étendions nus sur mon lit et passions un bon moment à discuter de sa petite famille, de son travail et de ses projets d'avenir. On a parlé de ma vie, mes études qui se poursuivaient et de mon entourage. Toujours un verre de vin à la main.

J'ai eu l'extrême chance de tomber sur un homme merveilleux. J'aurais pu tomber sur le pire sans-coeur au monde, qui m'aurait mise à terre, se serait vidé sur moi et m'aurais laissé me détruire en prenant personnel et au pied de la lettre toutes ces insultes lancées à mon endroit pendant qu'il m'aurait défoncé à m'en faire perdre conscience, sous douleur et souffrance. Mais il a pris le temps de m'expliquer, de m'écouter et de m'enseigner. Je ne crois pas que j'en suis arrivée à mes limites. Ça fait terriblement longtemps que je n'ai pas eu droit à son traitement. Je ne vous cacherai pas que bien honnêtement, ça me manque beaucoup.

Je crois que c'est ce qui a sauvé mon fantasme; connaître l'Homme avant le Maître. Ça doit être ce qui le fait vivre encore. Et encore....et encore.




8.22.2012

Le Souper Presque Parfait, partie 2


'insérais 3 doigts à la fois dans sa chatte que je pilonnais de la main droite tandis que mon pouce et mon index écartaient ses fesses pour que je puisse lécher son beau petit cul. J'aimais encore plus donner le plaisir que de le recevoir. J'ai pris conscience de son véritable «guts» à la seconde où elle a inséré 2 doigts dans mon cul, bien lubrifié de ma mouille qui s'y infiltrait et 4 dans ma chatte luisante. Elle avait trouvé comment me plaire. Mes gémissement et mes spasmes de plaisir se faisaient bien descriptifs du plaisir que je prenais à ce moment. C'est surtout quand elle s'est levée pour aller chercher son vibrateur et un dildo «jelly» sur un harnais que j'ai compris qu'elle ne voudrait plus s'arrêter..

Nous entendions nos amis chanter en bas. C'était affreux. Ils n'avaient aucun talent mais tant que personne ne viendrait nous chercher en haut, ça nous allait quand même comme fond sonore. Ça étouffait assez bien notre jouissance, jusqu'à ce que...


-----

Jimmy frappe à la porte. Sachant que ni moi, ni Sarah sommes dans les parages lors d'un karaoké et que la porte de la chambre est fermée depuis un bon quart d'heure, il y a quelques indices qu'un homme peut percevoir. D'habitude, nous sommes les premières à agripper le micro pour chantonner sur un Tina Turner alors que tout le monde nous gueule de verser de la bière sur nos T-Shirts. C'est bien normal que Monsieur Jimmy se pose des questions.

Nous sommes étendues sur le lit, n'osant pas répondre à la porte. Dans la position où nous sommes, il serait difficile de camoufler ce plaisir que l'on se donnait il y a quelques instants à peine. Nous restons silencieuses. Il frappe encore. Mais cette fois-ci, il sort une carte de crédit de son porte-feuille et la glisse dans la fente de la porte comme un bandit expérimenté et à l'ouverture de la porte, quelle ne fut pas sa surprise de nous voir toutes deux nues, à se caresses du bout de la langue, les doigts bien enfouis dans le sexe de l'autre. À en voir ses yeux, il ne s'attendait pas à ça.

Il entre et referme vite la porte derrière lui. Dans la pénombre, on le voit à peine. Sa peau se fond à la noirceur, mais on voit bien ses yeux.

Toujours figées, nous restons là à le regarder pendant qu'il est figé.
Il nous regarde et bafouille, l'alcool aidant. Il nous demande ce qu'on fait. On lui fait comprendre que c'est pourtant évident. C'est alors que Sarah lui dit; «Prouve-moi donc que tu aimes les chattes, pendant que t'es ici.»

Alors Jimmy s'avance vers le lit.Sarah se relève un peu et embrasse Jimmy langoureusement avant de l'agripper par la tignasse et de lui planquer la bouche contre ma chatte ruisselante. Il la lèche comme si sa vie en dépendait alors que Sarah défait sa ceinture et baisse son pantalon en même temps que son boxer. L'érection qu'affiche Jim est solide comme le roc, longue et assez invitante pour que Sarah passe les politesses. Elle empoigne sa queue dans sa main et commence à le lécher de bas en haut, ne voulant pas s'arrêter. Pendant ce temps, je suis toujours couchée sur le dos, sur le lit alors que Jimmy a trouvé l'accès à ma chatte, y insérant 2 de ses gros doigts et il continue de tournoyer autour de mon clitoris. Je suis tellement excitée que je pense m'évanouir. Alors qu'elle se lève pour monter sur le lit, Sarah se couche sur l'édredon, parallèlement à moi pour recevoir à son tour le traitement de faveur que sa chatte lui réclame. Jimmy passe d'une chatte à l'autre, ses doigts restant toujours dans nos fentes, nous baisant de ses mains pas du tout synchronisées mais tellement magiques. Nous jouissons toutes les deux dans de petits cris et nos cuisses se referment sur les bras de notre homme. Il prend Sarah, la place à 4 pattes au pied du lit et, humectant le gland de son beau pénis, il commence à travailler son petit cul serré. Elle roule les yeux vers l'arrière. La vicieuse. Elle me fait signe d'approcher d'elle et je me place dans la même position pour qu'elle puisse lécher mon cul aussi. Sa langue est chaude, douce, inépuisable. Elle force un peu, parvient à me tirer un frisson qui me monte le long de la colonne et laisse Jimmy s'occuper de moi. Il se couche sur le lit et me fais monter sur lui. Il me défonce la chatte comme s'il n'avait jamais eu l'occasion de le faire avant, empoignant mes seins de ses mains fermes et destructrices.. Pendant ce temps, ma copine enfile un harnais auquel elle installe le dildo en «jelly» de tout à l'heure et vient se placer derrière moi. Oh.. je sens que je vais hurler.

Sarah fait entrer son dildo dans mon cul à l'aide d'un peu de lubrifiant. Je suis cambrée sur Jimmy pendant que je sens entrer chaque centimètres de l'objet entre mes fesses. J'ai envie de pleurer. Ça fait mal. Sarah a surestimé ma capacité à absorber la douleur et le calibre de son dard est intense. À ce moment précis, elle passe son bars autour de mes hanches et vient appuyer un ouf vibrant sur mon clitoris afin que la douleur fasse place à mon plaisir. Ça donne l'effet escompté. Jimmy peut à peine se contenir dans ma chatte alors que j'en veux plus. Il commence à se sentir vraiment à l'étroit alors qu'elle a réussi à dilater suffisamment mon muscle pour entrer le diamètre complet à plus de 5 pouces dans mon petit trou. Je prend en main l'oeuf, je l'appuie sur mon clito et je sens monter en moi la jouissance la plus grandiose. Je sens un véritable torrent d'émotion m'envahir. J'ai envie de crier mon bonheur mais elle m'agrippe par les cheveux et met une main sur ma bouche. Il n'en fallait pas plus pour que je jouisse en une série de spasmes violents. Jimmy suit l'instant d'après.

Nous nous reposons un instant avant de satisfaire Sarah. Je me couche encore une fois sur le dos et l'invite à approcher sa chatte de ma bouche alors que Jimmy lui enfonce le dildo dans la chatte. Je la lèche, je la goûte, je suce son bourgeon et aspire tout le nectar que m'apporte son excitation. Il la pilonne plus encore et elle finit par s'affaler sur mon corps. Je continue à donner quelques coups de langue pendant son orgasme, afin de prolonger un peu plus le moment d'extase. Quand elle a repris ses esprits, Jimmy est rhabillé et parti à la salle de bain. Je suis toujours là, nue sur le lit avec elle.

Elle remet ses vêtements et moi les miens. Et sans établir de tactique, nous descendons l'escalier pour rejoindre les autres au salon. Le karaoké est déjà fini. Quel dommage.

C'est à la seconde où j'allais demander à tout le monde si je servais la sangria que Xavier vient me dire: Alors, t'as réussi à relever ton défi?
-Quel défi?
-Celui que tu as reçu quand Sarah est montée avec toi en haut?
-Hein?
-Oui, Sarah t'a fait monter pour te présenter ton défi. Chacun de nous doit relever un défi ce soir pour gagner une nuit avec nous au chalet dans un mois!


Et en glissant la main dans ma poche de jean, je sors un petit papier disant;

Défi: Nommer la couleur de sous-vêtements de 2 personnes de sexe différents présentes ici sans qu'ils s'en rendent compte.

Je réponds à Xavier: Ah! Oui!.. Alors noir pour Jim et Rose pour Sarah.

...et c'est là qu'il a compris ce qui se passait réellement dans la chambre.









8.21.2012

Billets «Demandes spéciales»

J'ai décidé de lancer un appel sur Twitter auprès de mes «suiveux» afin de savoir ce qu'ils aimeraient lire sur mon blogue. Ce soir, je ferai donc un melting-pot de ces demandes.

Je commence avec les demandes de MoiJustePourElle:
1) Suggestion à ton dernier tweet. J'aimerais lire, histoire sur ta ''première': pipe,jouissance,relation anale, masturbation, fille/fille...Alors j'irai dans le sens de ma première relation anale.. en bref.

Alors, j'avais jamais été très intriguée à l'idée d'avoir une queue entre les fesses avant ce soir de mai 2010. J'avais 19 ans à l'époque. Une belle soirée où on avait beaucoup bu (comme à presque chaque fois où j'ai tenté de la nouveauté) et où on avait eu un souper avec des amis où la discussion est devenu olé olé! Nous sommes atterris sur le sujet du sexe anal, des relations échangistes et de la baise en public. Le soir, de retour à la maison éméchés mais la libido au tapis, nous avons filé sous la douche et nous sommes savonnés mutuellement. Déjà sous la douche, nous avions commencé les caresses et quelques pénétrations afin de nous mettre en état de désir intéressant.  Sortis de la douche, nous nous sommes étendus dans le lit, j'avais sa queue dans ma bouche et lui les mains dans mes cheveux. Quand sa queue fut gonflée et prête à bien me pilonner, j'ai glissé à l'oreille de mon copain que j'avais envie d'essayer autre chose. Quand il a comprit de quoi j'avais envie, j'ai senti ses yeux s'ouvrir. Il en avait envie aussi. Je me suis couchée sur le dos. Il a sorti mon plus petit vibrateur, avec des diamants à la base et de forme effilée ainsi que l'huile de la table de chevet. Et comme à l'habitude, quand mon copain se sent extrêmement cochon, il m'arrose d'huile de bébé et me masse du cou aux pieds.. puis, quand il s'est mis à donner plus d'attention au creux de mes reins, au dedans de mes cuisses mais ce soir là, il a davantage travailler mon petit trou afin d'y enfiler un doigt, puis deux. Il y allait doucement, prenait bien son temps et quand il a senti que j'étais prête, il m'a enfilé mon vibro. Après quelques va-et-vient de mon jouet dans mon cul, il a inséré son membre dans ma chatte hyper-trempée. Il me baisait en faisant aller mon vibro en même temps. J'avais la main sur la chatte et je me branlais le clito. J'aurais pu jouir de cette façon si monsieur avait pas décidé, pour mon plus grand plaisir, de prendre la place du jouet en moi. Au début, les premières minutes furent lentes et bien dosées. Plus le temps avançait, plus je me sentais bien. La douleur faisait place au plaisir et je prenais réellement mon pied. Ça n'a pas duré longtemps encore. Quelques secondes et mon copain se retirait de mon cul pour jouir sur mes reins.. j'ai aimé la douceur avec laquelle on a débuté, j'ai aimé le «feeling» différent, l'excitation différente ainsi que la position adoptée. Je m'en mords toujours les lèvres. Depuis, nous le refaisons souvent. J'aime bien appuyer le petit lapin de mon vibro «rabbit» sur mon petit bourgeon et jouir sous les coups de bassins violents de mes amants..

2) Montrer 
5 images full sexe représentant tes perversions les plus secrètes..... 
Perversion °1; Analinctus. Quand mon homme prend le temps de bien lécher mon petit trou,  d'y mettre du sien, d'ajouter de la folie et des accessoires, je suis aux anges. Et si ça finit en orgasmes saccadés, alors je vote pour.

La lingerie est une perversion assez connue chez-moi.  Je rêve au jour  où je pourrai entrer dans une boutique de lingerie de toutes sortes, cuir, latex, dentelle ou autre et tout essayer au gré de mon envie.
Le gang-band où je serai aux genoux de 3 hommes arrivera un jour.  6 c'est un peu trop.. hihi!
Le «facesitting» est un fantasme chez mes amants. Je n'ai jamais tenté la chose mais ça m'intrigue beaucoup.
Au Grand Plaisir de mon amant Mr.G, mon fantasme absolu reste encore d'être soumise et restreinte, tous les sens et les membres. Hmmm..
__________________________

Puis, les demandes de Mariposa.

Parler de ma vie depuis Laigle et de mes coquineries de l'été


Ma vie depuis Laigle va bien. En fait, nous ne nous sommes pas revus depuis un petit bout. En fait, pas depuis la rupture.. nous sommes restés tout de même en excellents termes. Vous savez, nous ne pourrions pas laisser 2 ans de relation amant-maitresse s'effacer. Il n'y a aucune date d'échéance sur un couple et nous avons cru que c'était préférable de poursuivre malgré notre accrochage, pour voir ce qu'il nous restait à vivre ensemble. J'ai encore des sentiments pour lui, il en a toujours pour moi. Je ne sais pas quand sera notre prochaine rencontre, notre prochaine baise, nos prochains cadeaux anonyme dans nos boites aux lettres respectives. Je laisse le tout aller. Y a que la vie qui sait de quoi est fait notre avenir..


Mes coquineries. Ouff... c'est de loin l'été le plus occupé de ma vie entière. Je ne suis pas à la maison environ 80% du temps. Promotion au travail, projets qui m'occupent la tête, beaucoup de voyagement, du Québec-Montréal chaque semaine, toujours aux études à temps partiel pour la deuxième année, entrainement et développement d'un projet musical qui m'occuperait tout l'hiver aussi.. Bref, pas trop le temps pour les coquineries. En fait j'ai un weekend prévu pour les coquineries. Septembre approche à grands pas. Mon hotel est réservé, mes quelques jours off sont planifiés et j'aimerais beaucoup profiter de l'occasion pour faire découvrir des nouveaux trucs à mon couple. À travers ça, je reste en contact avec mon amant, si jamais une occasion en or se présentait... j'ai très hâte de le voir et j'ai l'impression que nous aurons encore quelques semaines d'attente avant de se revoir. On reste à l'affût.





Alors voilà. Ça complète ce billet. Mais j'attends toujours vos suggestions.
Que voulez-vous lire? Que voulez-vous que je vous dévoile?

Allez... vous ne saurez rien si vous n'osez pas. ;)


Bonne soirée mes coquins! xxx


8.12.2012

Mon fantasme du mois d'août



On se retrouvera un peu par hasard, à l'écart des regards. L'alcool aidant, nous nous laisserons tenter par un goût de l'aventure. Je la regarderai dans les yeux et tu comprendras. Elle me prendra par la main et m'amènera sur le sofa. Nous nous assoirons face à face et débuterons par un jeu de doigts sur la jambe de l'autre. J'aurai l'audace de relever sa cuisse sur la mienne afin d'écarter un peu ses jambes et libérer l'accès à sa chatte épilée. Ma main glissera sur son bas auto-fixant, de sa cheville à la mi-cuisses, tout en l'embrassant du bout des lèvres. Sa main se faufilera dans mon soutien-gorge et agrippera un de mes sein. Elle le massera doucement, pinçant de temps à autres le bout de mon mamelon pour augmenter l'intensité de mon excitation. Ma robe commencera à me déranger alors que sa jupe à taille-haute se fera facultative pour la suite des choses..

http://chacha-bi-fashion.skyrock.com/2703487248-lesbienne.html


Une fois les vêtements envolés, nous serons toutes deux au beau milieu du salon vêtues de culottes, de soutien-gorge et elle aura gardé son porte-jarretelle et ses bas, pour mon plus grand plaisir. Nous aurons recommencé à nous embrasser, plus passionnément cette fois. La tête me tournera un peu, mais j'aurais terriblement envie de poursuivre l'aventure. Son parfum fruité envahira mes narines et si je ne me retiendrais pas, j'irais tout de suite enfoncer 3 doigts dans sa chatte sans plus attendre. Mais il me faudra savourer le moment.



J'en perdrai des bouts sous l'effet du vin. Au moment où je reprendrai conscience de mon état, je serai couchée sur le sofa alors qu'elle aura un genou de chaque côté de ma tête. Elle me présentera sa chatte à ma bouche avide et tout de suite, je sentirai l'effluve de sa cyprine, je verrai l'humidité de son antre et je voudrai tout goûter. J'aspirerai avec un plaisir fou ce jus offert à ma langue, je lécherai sans perdre une goutte, m'agrippant à ses fesses pour l'approcher de moi un peu davantage. Ses lèvres, son clitoris, son petit trou serré deviendront mon terrain de jeu. J'aspirerai son clito entre mes lèvres délicatement et juste au moment où elle sera mouillée comme jamais, je laisserai glisser un doigt sur sa fente pour mouiller le bout de mon index. Je goûterai à sa mouille avec délectation, puis je replongerai deux doigts dans sa chatte serrée, faisant un va-et-vient qui la fera défaillir. Je la sentirai se redresser un peu afin que je la pilonne un peu plus profondément. À cet instant précis, je sentirai son corps se saisir, se secouer de spasmes, mes doigts resteront dans sa fente et j'aspirerai le fruit de sa jouissance..

Ces temps-ci, j'y pense très sérieusement. Ça me suit jour et nuit. J'aimerais bien trouver celle qui m'accordera ce bonheur..

7.09.2012

Des lectures inspirantes, des fantasmes à explorer..

J'ai lu récemment deux des trois romans de la trilogie Fifty Shades of Grey et je me suis totalement laissé emporter par des scènes de sexe intenses ou le plaisir des deux personnages était palpable et surprenant. Et je vous dis surprenant puisque des fantasmes auxquels je n'avais même jamais réfléchi sont apparus en moi suite à cette lecture. Voilà donc de quoi sera fait le prochain fantasme à réaliser.

_______________________________________


Nous irons tous trois au resto, moi, toi et lui. Après une soirée plutôt arrosée où vous laisserez glisser vos mains sur mes cuisses couvertes de nylon, nous déciderons d'aller à l'hôtel où nous attendra la plus grande suite. La chambre devra être insonorisée et prête à accueillir nos plaisirs à tous trois.


Dès mon arrivée, tu me feras ôter ma robe, pour ne rester vêtue que de mes bottes hautes ainsi que de mes bas de nylons échancrés à la croupe. Tu détacheras mes cheveux qui tomberont en vagues sur mon dos et me fera me tenir dos à vous deux pendant que tu attacheras mes poignets ensembles et glissera dans mes oreilles des écouteurs-boutons. Lentement, tu m'amèneras vers le lit où tu attacheras aussi mes chevilles de façon à mettre mon sexe à portée de main pour vous deux. Dans mes oreilles jouera de la musique classique, de style plutôt «trance» en trame de fond, ce qui me permettra de m'évader dans ma tête. Tu mettras la musique à fond et glissera un bandeau sur mes yeux afin que je ne vois rien du tout. Pour compléter la mise en place de nos baise mémorable, tu augmentera le chauffage à la chambre pour qu'il atteigne les 30° et la magie s'occupera du reste.

Couchée sur le lit, je serai sous votre emprise, mais je n'aurai pas à m'inquiéter, vous ne me ferez aucun mal. Vous me laisserez languir sur le lit pendant un instant et quand vous reviendrez, je serai déjà totalement en sueur et mouillée. Alors, vous étendrez de l'huile partout sur mon corps, lentement, de vos quatre mains habiles pendant que dans mes oreilles la musique continuera d'essayer de me distraire, en insistant sur ma chatte parfaitement épilée. Vous n'entendrez pas ma musique et en échange, je ne m'entendrai pas jouir.

Quand vous aurez bien couvert mon corps, l'un de vous viendra poser son sexe sur mes lèvres tandis que l'autre portera un vibrateur sur mon clito. J'ouvrirai grand la bouche, mais ne bougerai pas la tête. Ainsi, ce sera à toi de baiser ma gorge. Tu iras doucement afin que je sente en moi entrer chaque centimètres de ton membre dans ma gorge. Lui, pendant ce temps, laissera de côté le vibrateur pour approcher ses mains de ma chatte. Au début, il caressera du bout des doigts mes lèvres et essuiera ma mouille sur ma cuisse. Plus le temps passera, plus il sera insistant. Ce seront bientôt deux ou même trois doigts qui dilateront ma chatte offerte mais serrée, lentement mais profondément. Tu continueras de baiser ma gorge en laissant ta main caresser mes cheveux, mes seins, mon cou... 


Au bout de quelques minutes, vous changerez de place et je sentirai monter le degré de difficulté. La chaleur de la chambre rendra nos corps humides et totalement abandonnés. Ta main finira entre mes cuisses, suivie de ta langue pendant que Lui, à genoux de chaque côtés de ma tête, laissera sa queue valser sur ma langue pour que son gland chatouille mon palet. Tes doigts exploreront différemment que les siens et bien sur, tu ne laisseras pas le vibrateur sur le pied du lit très longtemps. Couchée là, je sentirai un ou deux doigts dilater mon petit trou alors que notre ami sera plus insistant dans ma bouche. Relevant ma tête, il empoignera mes cheveux pour en faire un chignon qu'il tiendra de sa main gauche pendant qu'il s'appuiera de son autre main sur le mur au dessus du lit. Comme sa queue est beaucoup moins imposante que la tienne, je pourrai aisément respirer entre chaque pénétration de ma gorge. Je me sentirai faiblir sous les caresses de ton index dans mon cul alors que tu inséreras le vibrateur dans ma chatte, la faisant aller d'un rythme encore soutenable. Tu ajouteras de l'huile, sachant fort bien que tu auras besoin de beaucoup de lubrification.

De mon côté, je commencerai à gémir de plaisir. Mais je ne pourrai contrôler mes élans de plaisir parce que je ne m'entendrai pas. Avec un peu plus d'intensité, tu dilateras ma chatte jusqu'à y entrer 4 doigts et notre compagnon ira te rejoindre..

http://www.femina.fr/
Il se couchera sur le ventre au pied du lit pendant que tu seras à genoux du côté gauche de mon corps. Pendant que tu t'activeras à insérer tes doigts plus rapidement et profondément dans ma chatte, il fera aller les siens dans mon cul. Je pourrai sentir vos doigts se toucher parfois à travers la paroi entre mes deux cavités baisables. Puis, il insérera deux doigts de plus en moi. À ce moment, ta main gauche avancera vers ma gorge pour m'exciter encore davantage et tu laisseras ta main se serrer un peu plus sur ma peau. Tu calculeras la pression à mettre afin de me faire atteindre le climax comme tu sais si bien le faire, tu courberas le bout des doigts et stimuleras mon point G alors que notre ami pilonnera à fond mon cul bien serré autour de sa main. J'exploserai de jouissance alors que je voudrai serrer les cuisses, attraper ta main ou même vous regarder sans le pouvoir. La musique me rendra folle, je rugirai comme une lionne en cage alors que vous continuerez encore quelques minutes, me vidant de mon énergie. Quand j'aurai enfin repris mes esprits, vous libérerez mes mains et mes chevilles, enlèverez mes écouteurs et vous me laisserez m'agenouiller au bord du lit, les mains dans le dos, pour vous sucer tour à tour, mes yeux dans les vôtres. Juste avant que vous ne vous laissiez aller à jouir dans ma bouche, je monterai à nouveau sur le lit, me mettrai à quatre pattes et vous demanderai de me prendre intensément l'un après l'autre, en tenant mes cheveux pendant que je sucerai celui qui n'aura pas le plaisir de ma chatte.


Vous me jouirez sur les seins comme tous bons pervers, et vous essuierez la queue sur mes bas...

La nuit sera chaude, alors qu'on reprendra dans la douche, devant la fenêtre et peut-être dans la piscine sur le toit...

Ma première lingerie




Depuis toujours, j'ai toujours aimé tout ce qui avait un attrait sexuel, de près ou de loin.


Très tôt, j'ai découvert les pages de magazines de ma maman où on faisait un «Spécial Lingerie» et la première lingerie que j'ai acheté, je m'en souviendrai toujours.


À l'époque, ma mère et moi allions magasiner trois fois par an, dont une fois au début des classes. Comme je travaillais et que j'avais accumulé un peu d'argent et qu'elle ma laissait une certaine liberté concernant ma façon de le dépenser, je pouvais faire ce que j'en voulais. Cette journée-là, j'avais dit à ma mère que j'allais passer un peu de temps dans le rayon des articles scolaires pendant qu'elle magasinait des vêtements. Mais j'ai piqué à travers des kiosques FiveStar et j'étais allée au rayon de la lingerie. J'avais 14 ans. J'étais entourée de femmes de tous âges qui tenaient entre leurs doigts des tissus fins, sexy. J'adorais regarder les pièces et imaginer de quoi j'aurais l'air une fois adulte dans les morceaux sexy. Bien sur, je ne savais pas trop par où commencer et je voulais faire mon achat rapidement avant que ma mère ne veuille me rejoindre et qu'elle ne me trouve pas. 


J'ai agrippé un peu rapidement un ensemble super joli. Le soutien-gorge était rembourré, d'un joli blanc pur serti de petites pierres sur la bordure du haut et le tissus était ramagé de rose pâle. Le haut était agencé avec un string qui était décoré d'une jolie boucle au dos à la jonction des tissus juste au dessus des fesses. Je n'avais même pas pris le temps d'essayer, et par chance il était de la bonne grandeur. 


Quand je suis arrivée chez-moi, ma mère n'en savait toujours rien. J'étais pressée après ma douche d'enfiler la lingerie.. en fait, je me sentais plutôt excitée à l'idée de porter cet ensemble. Je me sentais fébrile. J'avais très hâte de voir si j'allais avoir l'air d'une femme comme dans les magazines que je regardais.


Ma constatation était que je me sentais différente. J'avais l'impression d'être à mille lieues de l'adolescente que j'étais dans mon quotidien. Tout avait un sens différent. Je me demandais comment je me sentirais d'aller en classe avec cette lingerie sous mon uniforme. 

J'ai essayé. Un certain vendredi matin, après avoir conservé mon ensemble dans le papier de soie pendant tout le reste des vacances, j'ai finalement enfilé la culotte et le soutien-gorge sous un pantalon et une chemise.

J'ai passé la journée à me demander si les gens allaient s'apercevoir du changement, pas par espoir de compliments, grand Dieu non. Par inquiétude. Je n'avais tellement pas l'habitude de sortir de mes soutien-gorge plus qu'ordinaires et mes culottes garçonne de coton si confortables mais pas du tout sexy. J'avais peur qu'on me dise: «Tu mets de la lingerie pour venir à l'école? Tu te prends pour une pute ou quoi?»


Toute la journée, je sentais ma poitrine bien à sa place, je soignais ma posture, j'avais une confiance que je n'avais pas ou très peu. Au fond de moi, je savais que j'allais finir par aimer porter des dessous un peu moins ordinaires!



Je savais que le port de ces pièces m'excitait beaucoup. Je sentais les papillons au fond de mon ventre, j'avais très envie d'aller me cacher dans les toilettes pour aller passer mon doigt le long de ma fente. J'aurais voulu constater mon excitation de jeune femme qui découvre sa sexualité. J'ai pensé des tonnes de fois à ce que les profs auraient pensé de mon comportement de petite rebelle qui portait de la lingerie en classe. Je constate qu'avec le recul, j'étais déjà beaucoup plus provocatrice que je ne pensais l'être. Je serrais les cuisses pour bien sentir le tissus glisser sur ma peau. Je sentais mes fesses nues sous le tissus du pantalon et ça attisait mon feu intérieur.


Je constate également avec le recul que si j'avais eu un peu plus de cran, j'aurais poussé l'audace vraiment plus loin.




En revenant à la maison, j'ai eu un flash. Ma mère allait faire le lavage et trouver mes dessous, puis me questionner.. et peut-être refuser que je les porte. Je les ai donc nettoyé à la main et caché dans le fond d'un tiroir.


http://www.agentprovocateur.com/
Un soir, je suis revenue de l'école et suis allée dans ma chambre pour enfiler ma lingerie. Elle n'était plus à sa place. Dans un stress certain, j'étais allée demander à ma mère si elle avait vu ou pris mes vêtements..
Quand elle m'a dit qu'elle me trouvait trop jeune pour porter ce genre de vêtements, je me rappelle lui avoir fait un discours sur la confiance en moi, en lui promettant que je n'allais pas le porter pour aller à l'école.




Alors pendant des mois, je ne l'ai pas porté. Mais combien de fois j'aurais aimé l'enfiler pour aller à l'église, dans des soupers de famille, pour dormir?




Quand j'ai eu un âge plus raisonnable, le magasinage de la rentrée s'est fait plus en solitaire. Je choisissais mes morceaux et j'adorais déambuler à travers les allées de lingerie luxueuse, les tissus riches et les modèles plus seyants. À l'âge de 16 ans, à l'occasion de Noël, j'étais allée toute seule chez La Vie en Rose. Pour la toute première fois, je me retrouvais devant quelque chose de plus sexuel que pratique. Je découvrais les déshabillés, les bas, les gants, les nuisettes et porte-jarretelles. Ma curiosité a été piquée cette journée-là. Et mon intérêt pour l'esthétisme du sexe aussi.


Depuis ce temps, j'ai accumulé les morceaux. J'ai pu avoir l'aide d'une amie corsetière pour m'apprendre le rudiment du dessous. J'ai enfilé dentelles, soie, satin, cuir, coton et le polyester. Du soutien-gorge classique au corset lacé jusqu'à la culotte taille-haute. C'est une de mes activités de magasinage favorite. Pour chaque occasion spéciale, pour me féliciter ou tout simplement pour le «feeling» magique que donne la lingerie sous un vêtement chic, lors d'une soirée mondaine ou lors d'une journée grise, je me paie le luxe d'un «kit» neuf.

Les soirées sont plus chaudes quand je laisse entrevoir un soutien-gorge de dentelle par un bouton ouvert d'une chemise ajustée. Quand j'enfile une jupe taille-haute avec un joli bas et une culotte spéciale agencée à mon haut, je me sens coquine. Personne ne s'en plaint!







Et vous, quel est votre rapport à la lingerie?

6.26.2012

Ce que j'aime de moi-même

Je ne suis pas du tout du genre à aimer chaque parcelle de ma personne.
Surtout pas physiquement. J'essaie très fort de me convaincre qu'il y a pire. Mais il y a mieux, bien entendu.
J'arrive à trouver des super avantages à être ce que je suis; J'ai des yeux magnifiques qui me valent une demi-douzaines de compliments chaque jours; bien que j'aie un caractère fort, j'ai de la facilité à bien m'entendre avec tout le monde; je suis une personne versatile qui peut aussi bien se retrouver dans la pire débauche que dans la salle de bal la plus chic; j'ai une culture générale pouvant m'aider à tenir une conversation acceptable durant un long moment et j'ai un talent artistique qui me permet de laisser ma trace partout où je vais.

Ce que j'aime aussi de moi-même, c'est que j'ai deux façades à ma personne. Et plusieurs seront d'accord avec moi; je suis à la fois la fille la plus timide et réservée du monde lorsque les «spot-lights» ne sont pas sur moi, mais la plus excentrique et loufoque quand je suis le centre d'attention. Je peux être hyper discrète et passer inaperçue lorsque la situation l'impose, ou jouer la carte de la confiance et avoir du feu dans les yeux en d'autres circonstances.

Cela m'a permis de travailler dans différents domaines, de me faire des amis venant de milieux carréments distincts ou de jouer à des jeux dangereux avec les hommes..

J'aimais, par exemple, mon air inoffensif et un peu naïf quand je tombais face à face avec mon client préféré à mon ancien emploi. Il était avocat dans un firme bien connue ici à Québec. Environ 39 ans, il habitait une jolie maison non loin de mon ancien appartement, près du Parc où j'allais passer mes après-midi à étudier et à boire mon latté hebdomadaire le jeudi. Monsieur M.F. passait chaque matin après le gym, chercher son café-crème, prenait la peine de revenir me voir au comptoir pour me souhaiter une bonne journée et repartait en se retournant. Mes collègues le trouvaient «telllllllement» craquant avec ses yeux d'un bleu clair et perçant, sa cravate toujours super bien agencée à sa chemise et son parfum d'homme... Je crois que mes pommettes passaient au rouge écarlate quand il passait le hall du resto, mais j'arrivais à contrôler cette excitation et à redescendre les deux pieds sur Terre pour l'aborder. Ce que personne d'autre ne faisait.

Mes collègues balbutiaient comme des adolescentes, se sauvaient ou restaient à l'écart, espérant un sourire.

Un jour, il m'a dit: «Tu sais ce que j'aime de toi? Ton authenticité. La façon que tu as de regarder les gens direct dans les yeux. Mais encore plus. L'équilibre entre le mystère et l'envie de dévoiler qui tu es vraiment. Ici, tout le monde a l'air de se cacher et de jouer la carte du faux-professionnalisme pour ne pas aborder véritablement les gens.»

En 6 mois à le voir de façon quasi-quotidienne, j'aurais jamais osé imaginer qu'il me dirait quelque chose d'aussi percutant. Comme si j'avais fini par laisser tomber ma carapace de gêne qui me retenait de lui montrer qu'il ne me laissait pas de glace et que ça avait éveillé quelque chose entre lui et moi. Avant que je ne quitte le travail, je ne l'avais pas revu pendant presque 3 semaines. Puis, mon ancien collègue m'a mise au courant hier, que Monsieur M.F. me saluait et me souhaitait tout le succès que je méritais.

Je ne suis pas tellement difficile à trouver sur Facebook, vu mon nom très unique au monde. Estomaquée ce soir, en revenant du travail, je tombe sur un petit mot gentil en Message Privé:

  «(MON NOM),
quel nom sublime. Une poésie. J'ai réalisé que je pouvais prendre mon premier café à la maison tous les matins en évitant le line-up épouvantable du (NOM DU RESTO), mais j'ai aussi réalisé que j'allais le chercher pour te connaître davantage, pour percer le mystère (MON NOM). Il m'aurait fallu bien plus que ces quelques mois, j'en suis sûr, mais je crois avoir découvert quelque chose de très secret en toi. J'espère un jour recroiser ces yeux par hasard, ici à Québec ou ailleurs et y lire encore quelques lignes.

(SON NOM)»

-----------

Là, je suis chez moi. Bien entendu, me connaissant, je savais que j'allais sauter de joie en lisant ce message! Je suis folle comme un balai, j'en reviens tout simplement pas encore. Mais, je me demande si je devrais lui répondre. Je me demande aussi vers quel genre de réponse je dois m'orienter.

Si je prenais pour acquis que ma réponse est la toute dernière chance que j'ai de lui laisser savoir ma véritable nature. Si je prenais pour acquis que mon message sera la dernière opportunité de lui laisser savoir sans filtre, sans sous-entendu qui je suis et ce que je veux, alors, est-ce que j'oserais lui dévoiler ma deuxième vie?

Ou est-ce que je devrais le remercier simplement et sans artifices et espérer que lui-même fasse le pas pour me joindre?

Alors là, je suis un peu foutue.


Mais ce que j'aime de moi-même, c'est que je suis totalement imprévisible et impulsive!

...la vie s'occupera du reste.

6.18.2012

Le désamour d'une maîtresse

C'était un mardi après-midi. Chaud. 31° dans mon petit appartement en plein soleil, où le lit épongeait nos corps suants aussi bien que nos larmes. Où la musique du clocher de l'église résonnait contre les fenêtres ouvertes, se mêlant à notre épais silence rempli de chagrin. J'aurais eu envie de te serrer contre moi, mais la chaleur tuait mon désir. J'aurais eu envie de jouer dans tes cheveux, fièrement assise sur ton pieu et me laisser bercer par l'oscillation de ton corps, soumis, sous les puissants battements de ton coeur. Peu après 16  heures, notre histoire a véritablement pris fin. Je me surprends à me demander si c'en aurait été tout autant si j'avais loué une chambre d'hôtel, où l'air climatisé nous aurait laissé un peu de confort, avec un lit plus grand et plus invitant. Je me surprends à me demander si c'en aurait été tout autant si nous n'avions pas été dans mon logis, noyés dans mon quotidien, si j'avais eu un autre environnement que celui dans lequel je me tue à réfléchir à ma vie depuis si longtemps. Je me suis dit que nous avions fait le tour, que la passion était partie et que nous avions été au bout de notre histoire. Je me croyais prête à faire le deuil de l'homme que tu avais été pour moi. Je me pensais à l'abri de la vague d'émotion qui m'a sidérée quand tu as refermé la porte de ton auto avant de me lancer un dernier regard. Je me pensais capable de passer par dessus la peine que j'ai eu d'apprendre que ma confiance avait été durement trahie. J'ai surestimé mes capacités émotionnelles, et sous-estimé les sentiments que j'avais pour toi. 

Mercredi matin, au réveil, dans mon lit à peine défait, j'ai senti ton parfum. Je me suis remise à pleurer. Combien de temps va durer cette torture? Combien d'autre objets, souvenirs, endroits, vins ou parfums vais-je encore prendre comme un poignard au coeur, en pensant à nous? Sur combien de lettres de toi vais-je m'arrêter en faisant mes boites, pressée de relire et d'analyser le bonheur que nous vivions à l'époque? 

Je ne peux pas effacer cette année et demi en un clin d'oeil, c'est vrai. Je prends conscience de la chose à mesure que les jours passent et que je vois que les heures passées à penser à toi diminuent. Mais, aussi graduellement, j'ai peur que ça dure encore une trop longue éternité..

6.13.2012

La Raison d'Être de Mamz'elle J

Mamz'elle J a vu le jour suite à son entrée dans le monde de la soumission, et pas le fait même, dans le monde de l'adultère. Ce blog est né d'une envie de raconter mes histoires, réelles ou fictives, mes fantasmes vécus ou non, et de découvrir des lecteurs de partout à travers le monde dont le style de vie s'apparentait au mien. Si au tout début, celui qui me faisait vibrer - Mr.G - m'alimentait en fantasmes et en histoires, ce fut par la suite Moi Laigle qui s'est glissé sous ma peau pour me faire vivre des instants de plaisir. Je n'ai jamais regretté d'avoir raconté mes «feelings» ni même les détails les plus intimes parce que j'avais la certitude qu'en relisant ce blog, plusieurs semaines - mois- années plus tard, c'est ce qui ferait revivre les souvenirs de façon plus profonde. Je n'ai jamais eu honte de mon mode de vie, ni de confier mes sentiments pour ces deux hommes à tout-va puisque je sentais si fort le désir de vivre ces relations jusqu'au bout qu'il n'était que naturel pour moi de leur dévoiler mes pensées par le biais de mes billets.

Mon verre toujours à moitié, ma dentelle et ton parfum.
J'ai vécu l'éclatement d'un coeur dévoué à son Maître. J'ai connu la peur de tout perdre - ma vie personnelle, ma deuxième vie, mes acquis, la face, la confiance de tous ceux que j'aimais - à la découverte de Mamz'elle J. J'ai connu l'envie de tout foutre en l'air, de délaisser ce monde qui m'attirait et attisait mon côté plus sauvage et curieux par simple crainte d'être découverte et reconnue. La vie m'a pourtant envoyé une quantité de signes pour me faire voir que la majeure partie de l'aventure «Mamz'elle J» donnait un bien-être intense à celle que je suis sous l'anonymat. Les rencontres sensuelles, les sentiments impliqués, les immenses joies, les jeux coquins, les lettres manuscrites relues mille fois avant le dodo, les cadeaux livrés à ma porte, mes lectures et sorties en compagnie de ceux que j'ai aimé sont à jamais gravés en moi. Indélébiles.

Ce matin, un numéro inconnu apparaît sur l'afficheur de mon téléphone. Ces temps-ci, des numéros des 4 coins de la Ville figurent sur mon téléphone, je ne m'attends à rien ni à personne à chaque fois que ma sonnerie se fait entendre. Je réponds. Je l'entends dire mon nom. Une voix étrange.. mais pas inconnue. Mon instinct s'est tût. Moi aussi. Je l'écoutais, mais je ne l'entendais pas. Jusqu'à ce qu'il me dise: «Le mieux, c'est qu'on arrête ça là.»

Entre le moment où je publie l'article et son arrivée chez-moi hier, 24 heures exactement ont passées. J'suis passée pas la gamme d'émotions, y ai fait des allers-retours, suis restée scotchée dans le côté plus pastel que sombre, mais j'y retourne pour apprivoiser la douleur.

Entre le moment où je publie l'article et son annonce foudroyante, 3 semaines et ça me brûle encore la chair.

Aujourd'hui, 13 juin, c'est fini.




..C'est pas réel tout ça. J'y crois pas.
Je ne veux plus aimer si ça fait si mal.