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8.28.2012

À la limite du non-retour...

On avait prévu de se voir à peine quelques jours plus tôt. Dans une extrême urgence, on avait envie de se revoir. Six heures approchaient, je revenais du travail à peine et déjà je devais faire le nécessaire pour qu'il ne voit pas mon empressement à bien présenter mon «chez-moi» un peu en bordel. Quand j'ai entendu l'intercom, mon coeur a failli fendre en deux. Puis, une minute plus tard, il faisait son entrée. C'est étonnant, le naturel avec lequel on se côtoie. On s’assoit sur le sofa et on se met à discuter vacances. Il me parle de sa location de condo à Tremblant, mais je l'écoute à peine. Je regarde sa bouche invitante, ses yeux qui me fixent et je me demande à quel instant sera le moment de lui sauter dessus. Bien entendu, ma mère m'a bien élevée. Je le laisse terminer et lui offre à boire...

Mais je n'ai pas le temps de me lever du sofa que déja, j'ai mes lèvres collées aux siennes et les mains dans ses cheveux. Je n'en pouvais plus de patienter depuis plus de 3 mois.. j'avais terriblement envie de lui. Lui de moi. Un véritable aimant agissait entre nous.

Dès mes mains posées sur son corps, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, à l'embrasser, le caresser, lui avouer à quel point j'avais hâte de le revoir, à quel point il m'avait manqué. Je sentais sa queue se gonfler sous ma chatte toujours dans ma culotte de dentelle noire, pendant qu'il glissait ses doigts derrière mes cuisses et jusque sous le tissus. J'avais déjà la chatte trempée et une énergie du diable pour lui montrer à quel point il me manquait. J'aurais fait n'importe quoi..

Je l'ai embrassé partout. Du cou aux aines, j'avais envie de laisser mon odeur, de marquer ma trace, de lui laisser savoir ma présence bien après mon départ. Après avoir couvert son torse de baisers, il s'est masturbé avec mes seins, ses yeux dans les miens. Cochon à souhaits.. ;)

Il m'a présenté son membre à l'entrée de ma bouche. J'avais la langue qui démangeait de me l'insérer au fond de la gorge, jusqu'à la suffocation s'il le fallait, pour le rendre fou. Ma bouche ne me suffisait pas, il fallait que je le caresse à deux mains. Ma salive donnait à cette fellation un côté plus salope, plus impliquée. J'avais son pieu qui me pilonnait la gorge, faisant faire des soubresauts à mon système digestifs, mais ô mon Dieu, j'aurais passé ma vie avec sa queue sur ma langue. Puis ce fut son tour de prendre bien soin de moi. À genoux sur le sofa, dos à lui, je lui ai présenté ma chatte, bien cambrée, afin qu'il s'y insère sans misère et sans gène. Il m'a pilonné comme ça pendant deux ou trois éternités, agrippant mes cheveux et mes hanches, mais le moment culminant fut quand il prit ma tête pour la ramener par derrière, à la limite de la blessure, et en prenant bien ma gorge, m'a inséré sa queue, grosse et large, dans ma chatte toute serrée et chaude. Ce fut un moment d'extase. Il me retenait avec une telle vigueur à la gorge que je me suis sentie partir, perdre conscience.. Juste à temps, je me suis réveillée. Il avait déjà fait le tour du sofa et laissait danser son gland sur ma lèvre alors que j'étais toujours endormie.


Plusieurs fois encore il m'a pris par la gorge, à une ou deux mains, à ma demande. Je voulais repousser mes limites à fond, sans bien les connaitre. Il m'a serrée et étouffée, à la limite du non-retour, quand parfois même je sentais qu'il ne voulait pas serrer davantage... Je me sentais partir - mes yeux se fermaient, puis mes oreilles se bouchaient- puis revenir, parfois avec sa queue dans ma chatte, d'autres fois avec ses doigts qui me dilataient. J'ai giclé sur lui en un instant de plaisir, sa main toujours sur ma gorge, alors que la faible lumière du salon éclairait la chambre. J'en aurais voulu encore et encore...  mais il devait partir. J'ai eu un plaisir immense encore ce soir-là..





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