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10.30.2013

La boniche contre le vampire.. partie 6

Il a longuement excité ma chatte jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Ses lèvres ont embrassé mes fesses, mes cuisses, mes reins, ses mains on massé mon aine sans qu’il ne s’approche de mon sexe. Il allait me rendre folle.. Mais je ne me donnais pas le droit de manquer une seconde de cette baise qui allait être la seule avec lui de toute ma vie. Je l’avais si longtemps désiré.. 

J’avais une main collée au mur pour me retenir, pendant que l’autre pétrissait mes seins. Je pinçais le bout de mes mamelons doucement, puis plus rudement et je recommençais. Pendant ce temps, le beau Mathieu continuait son manège jusqu’à ce que lui-même n’en puisse plus de tourner autour du pot. Sa main est passée entre mes cuisses et est venue s’appuyer directement sur ma chatte, Je sentais son pouce tournoyer autour de mon clito hyper mouillé et l’entendais gémir bruyamment. Visiblement, tout ce la l’excitait autant que moi sinon plus. 

Le son de ma chatte trempée sur sas doigts avaient multiplié mon excitation et je menaçais de jouir dans la seconde s’il continuait de me masturber aussi bien. Le front contre le mur, j’inhalais en gémissant, ne cessait de lui murmurer à quel point c’était bon. 

Il a glissé le bout d’un doigt dans ma chatte tout en léchant ma fesse. Ça m’a donné un petit répit, mais de très courte durée… un deuxième doigt, puis un troisième se sont faufilé graduellement en moi. Je savais que dans la position où j’étais, l’angle était parfait et ses doigts larges et plutôt longs allaient me faire exploser de jouissance. Il a alors passé son autre main et a branlé mon clito pendant qu’il me défonçait la chatte en me pistonnant de plus en plus fort. 

Je me souviens de sa réaction lorsque j’ai joui et que je me suis mis à «squirter». Le liquide coulait le long de son avant-bras, mon corps était secoué par cet orgasme si fort et délirant. Je ne pouvais plus contrôler les muscles de mon sexe qui cherchaient à emprisonner ses doigts en moi. Quand j’ai réussi à me calmer, pendant qu’il caressait encore tout doucement mon clito en me regardant, je me suis retournée pour le regarder.  Son sourire en disait long sur son état de satisfaction. J’ai su plus tard que c’était la première fois qu’il vivait une pareille chose «live». Que c’était un fantasme pour lui d’être un jour arrosé par une femme-fontaine. Je me suis mise à sourire et reprenais mes esprits quand il a recommencé à me pénétrer la chatte mais cette fois-ci, il y a ajouté une langue habile, insérée délicieusement entre mes fesses pour me caresser le petit trou bien réceptif. J’ai encore jouir sur son bras.  Il aimait tellement l’expérience qu’il s’est seulement contenté de prendre ma main après mon deuxième orgasme et m’a entraîné jusqu’à mon lit, m’y faisant me coucher pour continuer le plaisir. Il a doucement enlevé mes souliers, ne laissant sur moi que le reste de ma lingerie et m’a léché la chatte pendant dix bonnes minutes, faisant exprès pour s’arrêter lorsque j’étais presque sur le point de jouir.

Ma tête me criait de le supplier de me baiser, de me laisser crier et jouir de tout mon être. Mais je contrôlais mon désir et je n’ai eu qu’à attendre que quelques minutes supplémentaires pour ressentir encore une sensation de libération et de bien-être.. j’ai joui, crispant les muscles de mes jambes, agrippant les draps de mon lit sous les soubresauts de mon corps en transe. Je me souviens m’être mordu la lèvre juste avant qu’il n’insère deux doigts dans ma bouche pour me les faire lécher. C’était diaboliquement bon... Le début d’une belle nuit. Et ça n’a pas tempéré mes envies de lui, bien au contraire.. 


Je le désirais comme jamais. Ça se voyait dans mes yeux, ça se sentait en mon corps. Je ne voulais plus détacher ma bouche de la sienne. Nous nous embrassions comme deux amants passionnés. Je prenais ses cheveux entre mes doigts, ses fesses entre mes mains, comme si nos corps se connaissaient et se complaisaient ensemble. 

Je me suis couchée sur le ventre, dans mon lit et il est embarqué sur moi en insérant le bout de sa verge dans ma chatte bien lubrifiée. Je sentais se dilater mon sexe sous les centimètres de sa belle et épaisse queue qui glissaient entre mes cuisses. Ses lèvres réchauffaient mon cou pendant qu'il prenait d'une main ma chevelure en une natte en tirant un tout petit peu de temps en temps pour s'approprier mon attention. Il me faisait languir, n'insérant pas plus du tiers de son sexe à la fois, se retirant, caressant mon clitoris du bout de son gland bien mouillé. Il excitait tous mes sens, me laissait entendre son souffle tout près de mon oreille. Sentir son poids sur moi m'excitait. Je le sentais grogner à mesure qu'il pénétrait ma chatte serrée et coulante.. 

Puis, il s'est redressé en tenant toujours mes cheveux dans sa main. Je le sentais plus sauvage. Il maintenait un peu de son poids sur le bas de mon dos pendant qu'il me faisait relever la tête, du bout de ma natte.
Il a accéléré le mouvement. Je ne me suis jamais sentie remplie de la sorte. Comme si sa parfaite queue s'imbriquait parfaitement en moi, me faisant découvrir de nouveaux plaisirs, de nouvelles zones sensibles. Il coulissait en écartant parfois un peu mes fesses pour voir son sexe entrer et sortir de mon antre. Je le sentais parfois glisser un doigt le long des lèvres de mon sexe pour y recueillir un peu de cyprine, qu'il remontait à mon petit trou avant de tournoyer autour sans jamais s'y insérer.. Il ma faisait patienter. J'étais sous son joug.. Il m'a demandé ce que je cachais dans mon coffre au trésors, en pointant ma table de chevet du menton.. 

Sur ma table de chevet se trouve une grande boite remplie de jouets divers, des menottes, des accessoires et autre. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que j'avais une mine d'or de possibilités. 
Je l'ai vu sortir en premier lieu mes menottes et ensuite mon plug de la boite et lui ai souri.
«Tu souris en plus? Comment je pouvais me douter que mon employée préférée pouvait avoir une si belle collection de jouets coquins sur le bord de son lit.. Tu veux bien me dire à quoi celui-ci sert pendant que j'attache tes mains derrière ton dos?»

-C'est un plug en acier. 
-Mais encore.. 

Il savait autant que moi à quoi servait ce jouet. Mais mon attention était portée ailleurs. À mes poignets. Je sentais qu'il serrait les menottes pour s'assurer que je n'oublie pas que c'est lui qui contrôlait. Que j'étais à lui pour la nuit, à son service. 

- Insères-le dans mon cul..

- Wow Jade, t'es crue. Demande-le moi poliment au moins..
- S'il te plait Mathieu, insère-moi le plug..


Il a retiré sa queue de ma chatte et y a glissé le plug. J'ai senti un secousse quand le métal froid s'est collé contre mon clito. Une fois bien enduit de ma mouille, il l'a retiré, s'est réinséré en moi et a repris mes cheveux dans sa main, mais avec moins de délicatesse cette fois. Mes mouvements étaient restreints. Les mains dans le dos, couchée sur le ventre, je ne pouvais me relever que quand il tirait ma tête vers le haut à l'aide de mes cheveux.

Pendant ce temps le beau Mathieu, attentif, s'amusait à dilater et à retirer la pointe du jouet de mon anus.. 

Je sentais l'objet faire pression sur mon petit trou bien fermé. Pendant que Mathieu prenait possession de mes deux orifices, j'avais terriblement envie de passer une main sous mon corps pour me branler le clito. Dans la situation où j'étais, quelques secondes auraient suffit pour que je sois secouée d'un orgasme fulgurant. mais je ne pouvais pas et ça me prenait aux tripes.. 

Le plug a pris sa place tranquillement. Je sentais Mathieu faire coulisser sa queue en moi pour ressentir le poids de l'objet sur son sexe à travers l'étroite membrane de peau séparant mes deux trous bien pleins. 
Nouvelles sensations pour lui, je le sentais se concentrer pour ralentir la montée de son excitation. Après quelques instants à faire tourner la tête de l'objet dans mon cul, continuant ses pénétrations de plus en plus rapides, il a agrippé mes hanches et ses dents sont venues se souder à mon épaule.  Je le sentais bestial, déchaîné quand il a défoncé ma chatte avec la vigueur d'un homme possédé. Je ne pouvais rien faire d'autre que d'accueillir ses coups de boutoir avec envie de jouissance, alors que je sentais venir en moi l'orgasme du siècle, portée par des sensations encore jamais vécues et des envies plein la tête.. 

Mais avant que je ne succombe, il m'a retournée sur le dos. Toujours attachée, j'étais à sa merci et j'en étais très heureuse. Après avoir glissé une montagne d'oreillers sous mon bassin afin de relever ma chatte pour me pénétrer dans un angle encore plus osé, il a sorti mon petit stimulateur clitoridien de la boite à surprise.


«Tu sais que tu es parfaite? une parfaite petite cochonne. Je ne pensais jamais tomber sur un des pires perverses que j'ai rencontré de ma vie. 
- Tu veux que je sois la plus perverse, détache-moi tout de suite.
- Laisse-moi y réfléchir, j'aime trop avec le contrôle de ton plaisir.. 
- Fais-moi jouir Mathieu, j'en peux plus


Sans se faire prier, il a approché le stimulateur de mon clitoris bien gonflé et sensible et 4 doigts dans ma chatte. Sans plus attendre, dans l'angle parfait, il s'est mis à me pilonner la chatte de sa main pendant qu'il excitait mon clito et que dans mon cul était toujours prisonnier mon plug.
Je voulais mourir de jouissance. En à peine une minute, je me tordais sur le lit et je lâchais de petits cris aigus. Je n'ai pas su garder le contrôle de mon orgasme qui montait et j'ai encore joui en expulsant des centilitres de mouille partout sur le drap et sur le corps de mon amant de passage.. 


J'étais plus que vidée. Le meilleur orgasme que je n'aie jamais eu.
Je suis restée couchée ainsi pendant quelques minutes, incapable d'ouvrir l'oeil ou même de parler. 
Il est allé chercher un peu d'eau et le reste du vin pendant ce temps-là.. 


À son retour, je le regardais à travers de mes paupières à peine ouvertes.

«T'es si belle quand tu jouis, Jade.. je ne me fatigue pas de te faire crier.. »



Je devais reprendre mes esprits un instant. 

Un repos à peine plus long qu'une gorgée de vin..



À suivre

Mamz'elle J xx
















10.23.2013

La boniche contre le vampire, partie 5..

La porte ne s’était pas refermée que déjà j’avais les mains à son cou pour l’embrasser avec la fougue qu’il avait eue une heure auparavant. À la lecture de ses textos torrides, ma chatte s’était enflammée. Une sensation exquise, mais qui menait aussi à un désir bien présent. Mathieu me caressait frénétiquement les seins, les hanches, les fesses avec l’assiduité de l’amant qui ne veut rien manquer.

J’avais glissé mon album de The Mynabirds dans ma chaîne stéréo et j’avais sorti une bouteille de mousseux du frigo juste avant qu’il n’arrive.
Je lui ai enlevé sa cape à la vitesse de l’éclair. Il voulait le contrôle mais ne m’empêchait pourtant pas de prendre l’initiative. Alors j’ai fini par prendre les devants et détacher sa chemise rapidement, détaché sa ceinture et baissé ses pantalons sur mon plancher. Il a enlevé ses souliers rapidement, les envoyant valser plus loin dans mon hall d’entrée et a ôté ses bas avant de s’adosser au mur. Et ses mains dans mes cheveux ont suffi à me faire m’agenouiller, la bouche à la hauteur de son membre toujours dans son sous-vêtement.


Je le sentais tellement dur à travers le tissu de spandex de son boxer. Son sexe avait l’air gigantesque. Ma main semblait toute petite lorsque je laissais glisser mes ongles sur la tige de sa verge. Comme si sa queue cherchait à s’extirper de son sous-vêtement, de mon côté je cherchais à le laisser dans son marasme érotique le plus longtemps possible. C’est ainsi que je promenais mon nez et mes lèvres, expirant parfois une ou deux bouffées d’air chaud pour lui faire perdre la tête. Quand on y pense, ce genre de nuit ne se présente pas souvent.. alors raison de plus pour en profiter.
Ma main caressait tantôt ses couilles, tantôt ses fesses que je prenais plaisir à pétrifier. Je ne me lassais pas de la douceur de son boxer et pourtant j’avais hâte de découvrir l’objet de mes désirs. Adossé au mur, je l’entendais gémir, respirer si fort qu’il me paraissait essoufflé. Il était tellement beau ainsi offert à moi. J’en demandais pas plus…

Au moment où j’ai passé les mains derrière lui pour tirer sur l’élastique de son sous-vêtement, il m’a regardé en souriant. Petite pause. Et j’ai repris avec encore plus d’ambition. Plus de volonté. Et j’ai découvert sa verge. Proportionnelle à sa taille. Bien dressée, bien droite. Un gland parfaitement dessiné, luisant, bleuté. Appétissant.. Son boxer retiré, j’ai pris sa queue de ma main droite et je l’ai relevée pour insinuer ma langue sur ses bourses. D’une lampée douce, je l’ai caressé doucement puis je suis remontée jusqu’à son gland, du bout de la langue, en le regardant droit dans les yeux. Je le sentais heureux. Excité. Je le sentais délicieusement offert et en confiance. De lui émanait un bonheur perceptible d’être là, devant moi et de ne demander qu’un peu de plaisir. Il avait trouvé sa muse pour une nuit hors de l’ordinaire.
Toujours habillée de ma robe de boniche, je le masturbais de ma meilleure main. Avec un mouvement ferme mais pas trop rapide. Lorsque j’ai entouré son gland de mes lèvres humides, j’ai senti tout son corps se détendre d’un coup. Mes mains caressaient son torse et son ventre. Sa peau était chaude. Je laissais mes ongles glisser sur son épiderme et je le sentais frissonner.
Je tenais sa verge de ma petite main pendant que je tentais d’en faire entrer la plus grande partie dans ma bouche. À force d’effort et de salive, j’ai fini par la faire coulisser habilement jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il tenait ma tête pour que je le garde plus longtemps. À ce moment-là, j’avais la ferme impression que c’est moi qui le contrôlait. Son plaisir ne dépendait que de mon bon vouloir. Mais je voulais tellement..

Je l’ai sucé durant de nombreuses minutes et il voyait bien à quel point j’y prenait autant plaisir que lui. J’alternais entre une prise plus serrée, plus profonde, des coups de langue sur son frein et j’enroulais ma langue autour de son beau gland bien lisse. Sa large queue remplissait bien ma petite bouche et mes mains s’amusaient à aller pétrir son cul ou masser ses couilles.

Ça a duré un petit moment d’éternité.

Puis, je me suis relevée. C’est à ce moment qu’il m’a retourné face contre le mur et m’a coincé entre ce dernier et son corps. Écartant mes cuisses d’un mouvement du genou, sa main gauche appuyé contre ma tête pour me retenir au mur et l’autre main a trouvé mon sein. Il le palpait, tantôt avec tendresse, tantôt avec plus de violence. Cette même main a détaché les cordons de mon tablier derrière mon dos et une fois fait il a soulevé ma robe et l’a passé par-dessus ma tête s’aidant de son autre main. J’étais maintenant en sous-vêtement et en soulier verni, sous sa tutelle. Il a tiré un peu mes hanches vers l’arrière et m’a demandé de m’éloigner du mur, d’écarter les jambes plus amplement et de me maintenir au mur à l’aide de mes mains. Je devais rentrer le ventre et lui présenter mes fesses. Tout ceci m’amusait beaucoup. Il s’est alors éloigné de moi, est allé sur la table du salon chercher un verre de mousseux et est revenu la coupe à la main. Il restait là à me regarder alors que je voulais sentir le contact de sa main sur moi, avec douceur ou pas. L’important pour moi était qu’il me touche. Je sentais encore son après-rasage. Je goûtais encore sa queue. Si je fermais les yeux, j’arrivais à sentir ses lèvres dans mon cou..

Mais il ne bougeait pas. Il buvait de petites gorgées bien fraîches, ne me quittant pas des yeux. Le premier geste qu’il a fait a été de replacer une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.

«Je ne pourrais jamais te faire de mal, même si ton corps me le demandais. J’ai tellement rêvé de te voir habillée comme ça. Positionnée comme ça. Offerte à moi comme tu l’es ce soir…»

Il s’est approché de moi et a laissé glisser sa verge sur ma fesse pendant qu’il détachait d’une main les agrafes de mon soutien-gorge. Il a tiré un peu mon épaule pour que je puisse retirer le vêtement et je me suis remise dans ma position initiale. Celle qu’il semblait beaucoup apprécier.

Il a laissé tomber quelques centilitres de son vin sur mon dos. Je sentais le liquide froid couler contre ma colonne, sur ma chute de reins puis être absorbé par le tissu de ma culotte. De bas en haut il a léché le sillon laissé par le spiritueux, caressant du bout des doigts mes seins libres. Tous mes sens étaient en éveil. Il m’a fait boire une gorgée de son breuvage en appuyant sa coupe sur mes lèvres. Puis il est venu s’abreuver à même ma bouche. Comme je me laissais griser par le caractère  extrêmement érotique de la situation, j’étais en pleine confiance, je lui donnais tout le contrôle dont il avait envie.

La bête s’est réveillée en lui et sans m’en attendre, il a laissé tomber une puissante main sur mon cul offert. J’ai gloussé un tout petit peu. Puis une autre. Je souriais.
Il trouvait ça très excitant.

«C’est exactement l’image que je me faisais de toi ma belle.. »

Il a détaché mes cheveux tranquillement, en jouant un peu dedans par la même occasion. Je sentais les soubresauts de sa queue appuyée contre mes reins. Ce sexe chaud qui ne m’avait pas encore explorée. Il a enroulé mes longs cheveux en une natte qu’il tenait fermement de sa main droite. Il tirait un peu sur mes cheveux, pour me redresser le dos. Pour me faire sentir sa présence autoritaire. Pas une once d’appréhension en moi. Puis, il a glissé le majeur le long de mes fesses jusqu’à mon entrecuisse. Puis s’est infiltré sous le tissu délicat et terriblement trempé de ma culotte. Je l’ai entendu gémir de plaisir. De satisfaction. De désir. J’ai à ce moment senti couler un léger filet de mouille jusque sur ma cuisse. Dans cette position, ce n’est pas moi qui avais le contrôle de toute façon.  Et j’adore ne pas avoir le contrôle sur mon plaisir.. Il a laissé tomber mes cheveux pour m’enlever ma culotte. Quand il l’a glissée jusqu’à la moitié de mes cuisses, je sentais le petit courant d’air frais entre mes jambes. Comme j’avais enfilé ma culotte par-dessus mon porte-jarretelle, il avait le grand plaisir de me laisser la pièce de ma lingerie qui l’excitait le plus. Plutôt que de m’enlever ma culotte de façon, disons, traditionnelle, Mathieu me l’a tout simplement déchirée sur le corps. J’ai entendu rugir la bête en lui quand il a brisé le tissu trempé. Puis, il est retourné glisser un doigt le long de ma fente. Ma chatte ne suffisait plus à contenir mon jus. Je coulais comme une fontaine  de cyprine. Il a imprégné ses doigts et est venu les porter à ma bouche pour me les faire lécher. Puis, il s’est agenouillé derrière moi. Je sentais son nez chatouiller l’arrière de mes cuisses alors que ses mains caressaient mon dos et mes fesses. Puis ce fut le tour de sa langue de laisser un sillon de l’arrière de ma jambe au haut de ma fesse. Je mourrais d’envie de sentir s’enfoncer en moi ses doigts larges et plutôt longs. Le sentir pistonner ma chatte à me faire jouir sur sa main.



On amorçait ma phase de découverte entre de nouvelles mains..




Mamz'elle J xx

La boniche contre le vampire, partie 4

J'étais assise dans mon taxi.
Je n’étais pas sortie de la cour de la salle de quilles que déjà, je lui avais envoyé un message texte.

«Mathieu,
 J’ai très envie aussi de te déchirer ton costume affreux de vampire de sur le dos.
Rejoins-moi à mon appartement.
Je n’enlèverai rien tant que tu n’y seras pas.. je te laisse le loisir de faire ce que tu veux de mon costume.

 Et de moi.

Je t’attends.


Jade xx»
 

Vingt secondes ont suffi pour qu'il me réponde. 
«J'arrive.»

J'ai eu peur. J'ai eu honte. Mais finalement, s'il acceptait mon invitation, je n'avais rien à craindre. Désormais, j'en étais certaine. Je le voulais plus que tout. Seulement pour la nuit. Pour soulager cette envie. Pour en finir avec nos non-dits, nos avances implicites, nos jeux de séduction. 

Il a attendu quelques minutes puis, c’était son tour de jouer au grand comédien au milieu de cette foule d’employés, s’excusant auprès de tous de devoir partir, feignant un mal de bloc à cause de la machine à glace sèche. Le party était trop bien parti pour que quelqu’un cherche à le questionner davantage et il s’est éclipsé lui aussi.
Il a pris à son tour le premier taxi qui passait par là et est venu me rejoindre à mon appartement. Durant son parcours entre la salle de quille et mon domicile, il m’envoyait des textos salaces, me donnait un aperçu de ce qu’il avait envie de me faire.

Sitôt arrivé en bas de mon bloc, il a appuyé sur mon numéro d’appartement. La porte était déjà débarrée. Il a monté les escaliers deux par deux jusqu’en haut où il est arrêté net devant ma porte entrouverte.

Il a figé. J’ai pensé qu’il regrettait. Qu’il se rendait compte qu’il ne pouvait pas faire ça. Que les 3 étages l’avaient raisonné. Mais au contraire.

«J’entre à une condition.»
-Oui, laquelle?
- Tu m’as dit que je pouvais faire tout ce que je voulais de toi?
- Oui Maitre.. lui dis-je avec un petit sourire
- C’est ce que je ferai..

J’ai ouvert la porte et commençait une nuit de débauche torride.
Et ça commençait drôlement à mon avantage..  




Mamz’elle J xx

Le boniche contre le vampire, partie 3

«Mathieu, arrête. »
-Excuse-moi Jade, je suis désolé.

-Non, c’est moi qui le suis. Je vais aller rejoindre les autres. Je pense que ce serait bien si on ne s’approchait plus ce soir.
-Je suis d’accord, mais je sais aussi que c’est impossible.  Je ne peux plus détacher mon regard du tien. Il se passe quelque chose et tu le sens comme moi.
-Oui, mais non. On ne peut pas faire ça.
-Ce que moi je peux faire ne te regarde pas du tout. Sauf dans ce cas-ci parce que c’est avec toi que je veux le faire..

 Après un long moment de silence, à le regarder vaguement, à combattre mon petit démon intérieur, je suis partie rejoindre les autres. Déjà, des équipes avaient été refaites et les festivités avaient repris bon train. 

J’ai dansé pendant près d’une heure avec les autres, en oubliant ce qui s’était passé précédemment, en essayant de remettre mes idées en place. Tout le monde avait l’air heureux! Les stroboscopes donnaient une dimension électrique à ce party d’Halloween et les plus rebelles jouaient à des jeux de calage avec des balles de pingpong sous les blacklights. 

Après un moment, j’en ai eu assez de me sentir épiée. De me sentir mal. De vouloir repousser mon envie de me déchaîner entre deux draps avec l’homme qui alimentait mes fantasmes les plus pervers de la soirée mais que je ne devais plus approcher...Je n,avais paspeur de lui ni de ses réactions. J’avais peur des miennes en fait. Je me retenais vraiment à deux mains pour ne pas l’entrainer dans les toilettes des hommes et l’embrasser sur-le-champ. Je brûlais d’envie de savoir ce que ses lèvres charnues cachaient. Je voulais deviner à quel endroit il allait glisser ses doigts en premier… L’odeur de son après-rasage restait imprégnée à mes sinus comme une marque d’ongles sur de la chair pâle... Mais je cachais tellement bien mon jeu.

Je me suis approchée de mon amie Sarah pour lui annoncer mon départ. 
«Je m’en vais chez moi finalement. Je paierai quand même ma partie de la chambre comme promis, mais comme il est tard et que je n’ai pas les facultés si affaiblies que ça, je vais rentrer en taxi.»

-Mais pourquoi? On vient presque juste d’arriver!
- Sarah, ça fait 4 heures qu’on est ici…

-Ah, ok, vu comme ça.. Mais tu as l’air en pleine forme et tu voulais tellement lâcher ton fou avec nous ce soir! Pourquoi tu ne restes pas encore un peu?
-Parce que je suis morte de fatigue. Et que j’ai un petit peu trop fait passer l’assurance qualité du punch! Disons que rien ne parait comme ça, mais la bouteille de vodka n’a pas servi qu’à diluer le jus.. De toute façon, j’ai un million de choses à faire demain alors aussi bien être en forme.


-Bon, alors bonne fin de soirée! Rentre bien..
-Bye Sarah, bonne soirée…

Et d’un signe de la main j’ai fait signe à tout le monde avant de quitter la salle de quille, mon cellulaire à la main. J’étais dans le lobby, mon manteau et ma bourse à mes pieds à regarder mes messages texte quand j’ai entendu mon patron dire tout haut en fermant la porte:

«Je reviens de dehors et il y a un taxi qui attend! Jade, dis-moi que tu ne pars pas tout de suite!»
-Oui, je suis crevée et je rentre.
-Moi je me donne la peine de venir ici et toi tu pars! Ça a valu la peine…
-Écoute, tu n’es certainement pas venu que pour me voir alors va continuer de t’amuser! La salle est pleine, la musique et bonne, tout le monde est en feu! C’est loin d’être fini! Amuse-toi bien!


Je suis sortie dehors et il m’a suivie.
Il m’a lancé un regard défiant.



Glissant sa main de mon épaule droite à ma clavicule, je le sentais épouser la bretelle puis le bonnet de mon soutien-gorge à travers ma robe. Sa main un peu tremblante effleurait parfaitement la courbe de mon sein, et ses yeux ne se détachaient pas des miens. Je pouvais deviner son pouls dans la façon qu’il avait d’appuyer le bout de son doigt juste ce qu’il fallait pour que je n’aie pas envie de le voir s’arrêter.  Il a approché son grand corps du mien. Une carrure imposante à côté de moi. Quelque chose de rassurant et de naturellement dominant. Une chaleur divine. Passant sa main gauche sur ma hanche pour s’appuyer sur l’un de mes reins, je l’ai senti m’attirer vers lui. 

Son nez flânait dans mes cheveux, sur ma nuque, sur mon épaule. Il couvrait de baiser ma peau frémissante. Il respirait à ma tempe, laissant ses lèvres m’effleurer les lobes..

«J’ai très envie de toi» qu’il m’a glissé en maintenant ma joue collée contre la sienne, dirigeant à merveille nos bouches en direction l’une de l’autre.

«Tu es si belle dans ta robe. J’ai vraiment envie de t’enlever une à une les pièces de ce magnifique costume.»
Sa main glissait maintenant contre ma fesse et arrivée au bas, il la pétrifiait doucement.

« J’ai envie de dégrafer ton soutien-gorge et de détacher chacune des attaches de tes magnifiques bas.. » Je fondais. Je fermais les yeux et gémissais déjà tout bas.. Son pouce glissait sur ma bouche, se glissait à peine entre mes lèvres, me donnait envie de le lécher du bout de la langue.

Il m’a embrassée. Comme si sa vie ne tenait qu’à ce baiser. Avec une intensité et une excitation que je ne lui connaissais pas. Que je ne lui aurais jamais attribuée. Je pensais à la possibilité que quelqu’un sorte. Je pensais à son statut, au mien.  À la suite. Je ne pouvais plus reculer. Mais je ne voulais pas non plus en rester là. Partir sans que le fantasme se poursuive, se concrétise, s’accomplisse. J’en étais là. 

J’avais froid. Mon manteau était tombé sur le sol avant même que je ne l’aie enfilé. 

«Jade, tu me rends fou.. »


Je me suis éloignée, apportant avec moi bourse et manteau dans le taxi qui allait m’amener chez moi. À travers la fenêtre du taxi, je le regardais. Je lui ai soufflé un baiser..

Mais je n’avais pas l’intention d’en rester là. 






Mamz’elle J xx

10.22.2013

La boniche contre le vampire, partie 2

Il m’attire contre lui un tout petit peu et me dit :

«Très bon ton punch! Faudrait que tu me montres comment on fait. »
-Oui, bien sur que je vais faire ça, Maitre!  que je lui lance à la blague avant de repartir
Mais je sens qu’il a effleuré exprès le tissu de ma robe au niveau de la taille, laissant sa main glisser le long de ma chute de rein lorsque je me suis éloignée.  Je sens bien la chimie qui opère. La même qui opère entre nous depuis des mois. Lors de nos échange au sujet du travail, de nos projets du weekend, lorsqu’on se fait des blague un peu salaces en ponctuant nos journées de clins d’œil. Il sait que je le trouve séduisant et que je fonds lorsqu’il me regarde droit dans les yeux. Et je sais qu’avec moi il n’a aucune pression à être ce qu’il a envie d’être. Entre nous, tout fonctionne naturellement. Il est le premier à qui je parle de mes interrogations, je suis la première à qui il offre des participations aux projets sociaux de l’entreprise. Ce soir est une occasion particulière. Parce que jamais nous n’avons encore eu à réagir à notre chimie avec quelques verres dans le nez et ça pourrait bien être dangereux.

De loin, je sais que mes amies me regardent, me guettent, sont attentives. J’ai peur que notre jeu de séduction ne paraisse aux yeux de tous et que notre secret inavoué nous devienne un obstacle…

Je dois tout faire pour l’éviter. Il le faut. Même si mon envie la plus profonde présentement serait de l’embrasser à lui faire plier les genoux. Je n’ai pas besoin de plus. Ça me prend aux tripes. Cet homme-là a un effet sur moi. Et il le sait. Mais comme je ne l’autorise pas à jouer «all in» il se résorbe et nous en sommes là.

Alors, je refais mon maquillage. Teint clair, yeux de poupée avec grand trait d’eye-liner liquide et des lèvres un peu rosées. Je remets un peu de fixatif à mon chignon encore parfaitement coiffé et replace mes bas un peu juste avant de repartir. L’un de mes bas est sur le point de se détacher alors, par réflexe, je remonte un côté de ma robe au haut de ma cuisse pour avoir accès à l’attache qui glisse au contact de mes doigts. Ces jarretelles-là ne sont définitivement pas conçues pour que je joue aux quilles avec. Je laisse ma main glisser sur le tissu diaphane et tellement doux de mon bas, mes doigts caressent la fibre du genou à ma cuisse pendant quelques secondes à peine. Je replace délicatement le ruban de dentelle du haut de mon bas dans l’attache et remets ma robe en place. C’est en me regardant dans le miroir que je vois mon patron adossé au cadrage de la porte, les bras croisés, me regardant :
«Tu as sorti ta plus belle lingerie? Ah non.. c’est vrai. Ta plus belle c’était définitivement celle de lundi dernier, lors de la réunion de gestion. J’ai un faible pour la dentelle blanche. Définitivement, ça détonne de ta personnalité rebelle cette couleur si pure.. »

Dans ma tête, je me disais «Eh merde! Jade, tu aurais dû être plus discrète.»
« Ça fait longtemps que tu es là?»
-Depuis que tu es arrivée je dirais. Je pensais venir apprendre la recette du punch, mais ce que j’ai vu m’a donné plus faim que soif..
-Je suis désolée. Je ne savais pas que tu étais là.
-Je me doutais que tu savais pas. Mais moi je ne me sentais pas particulièrement mal d’être là. Jade.. fais-tu exprès de me dévoiler tout ça ce soir?
-De te dévoiler quoi?
-Ton côté aguichant, tes bas, tes cheveux tout bien attachés, ton regard de braise. Tout!
-Non, du tout monsieur..
-Je t’ai dit, pas de monsieur. Ici je m’appelle Mathieu.
Tu peux, si tu veux, m’appeler Maitre comme tout à l’heure.. ça te fait sourire et moi ça me fait ..

À cet instant, il s’approche de moi, empoigne ma nuque et y passe les doigts, en restant pourtant trop éloigné pour que je puisse approcher de sa bouche. Il plonge ses yeux dans les miens.. plonge les ongles dans mes cheveux comme pour en sentir la douceur, la texture..
Mon point faible. Mes cheveux. Ma nuque. Je ne peux pas reculer en fait, je suis en transe. Je ne peux rien faire du tout sauf entendre la musique de l’autre côté. Sentir son après-rasage. Fermer les yeux et oublier la situation délicate. Me laisser emporter.

Mes jambes sont molles. Mes yeux se ferment, mon cœur accélère.
Je sens mes cuisses vouloir s’ouvrir, ma main remonte à son torse, où j’y appose le bout des doigts dans l’espoir de le repousser un peu mais au fond de moi, je n’en ai pas envie. Ses mains capables de force et de travail manuel sont si précises et attentionnées. Mes lèvres s’entrouvrent et j’y laisse échapper un tout petit gémissement. Il me contrôle tout à fait par la seule force de sa pensée..

Il resserre un  peu son emprise sur mon cou, tout en restant caressant et doux. Et moi je reste docile, silencieuse et réceptive. Je sais que je ne devrais pas le laisser faire. Il y a ce risque que tous les autres nous surprennent. Il y a le risque que tout change. Mais à ce moment précis, il y a surtout le risque que je ne puisse pas me refuser à lui et je sais bien que les choses s’enveniment. Je le sens, ce courant entre nous deux. Cette envie réciproque que l’on a peine à contenir. Je sens déjà ma chatte ruisseler dans ma culotte et la chaleur émaner de mon entre-jambe. Mais je reste saisie et silencieuse. Comme si ce moment avait duré une éternité alors qu’il n’avait duré que 5 ou 10 secondes..

Tout s’est passé tellement vite avant qu’il relâche mon cou. Avant que je réalise que je venais de me mettre à nue devant lui. Non en dénudant mon corps de ce costume devenu accessoire, mais en m’étant laissée emporter dans un flot d’excitation où mon imaginaire m’avait gagnée, en ayant laissé ce gémissement sortir de ma bouche, en ayant laissé paraître mon état de soumission à sa main si habile et volontaire.

Je m’étais trahie moi-même. Et il savait maintenant qui j’étais. Ce que j’aimais. Il connaissait mon point faible.. et il allait avoir du plaisir à me faire regretter d’en avoir tant montré..




À suivre



Mamz'elle J xx

10.20.2013

Aller-retour à Montréal

J'ai eu quelques occasions d'aller dans la métropole ces derniers temps mais des allers-retours un peu trop rapide pour pouvoir organiser des escapades torrides avec mon amant.. Et même si j'avais voulu, j'étais accompagnée de mon copain.. Mais il m'est arrivé toute une aventure quand même..

Laigle est au courant de mes déplacements de la journée. Tellement au courant que sans me le dire, il me suit jusqu'à mon premier rendez-vous, se cache dans un coin et espère que je le vois avant d'entrer en salle de réunion. Il me texte que la couleur de mon outfit me fait bien. Sur le moment, je panique. J'aimerais savoir où il est mais quand il me répond, il est déjà loin.. Deuxième plan; lui demander une suggestion-dîner pour s'y voir.. mais il dîne avec des collègues. À partir de là, j'oublie la possibilité de le voir mais je ne suis pas tellement triste parce qu'on pourra se parler plus tard. Ma journée va bien, je me promène sur Ste-Catherine avec mon chum et je texte mon amant sur nos plans, tout à coup..

Un peu plus tard, alors que je suis assise à ma table au restaurant avec ma pinte de rousse, mon regard se détourne et c'est à ce moment que je croise les yeux de mon bel amant au beau milieu du restaurant. Il est là. Devant moi. Il me regarde. M'implore en silence de le rejoindre aux toilettes du restaurant, où il s'adosse à la porte. Mais je suis prise au piège. Et mon chum me passe un commentaire sur un homme qui attend sur le mur depuis longtemps en regardant dans notre direction. Ce serait trop risqué de me lever et de le rejoindre. Beaucoup trop risqué.

Et faisant des signes on ne peut plus discrets à mon amant avec qui j'irais baiser dans la salle de bain de restaurant sul-le-champ si je n'avais pas la contrainte d'être accompagnée, il a fini par comprendre et s'Est sauvé pour retourner au bureau..

Je pensais à ce que je pourrais lui faire. Je pensais à me lever silencieusement, descendre l'escalier qui mène jusqu'à la salle de bain du restaurant en fixant directement mon bel amant tout en faisant mon chemin, y entrer sans le toucher pour ne pas éveiller de soupçons et compter sur sa discrétion pour la suite..

Il n'aurait fallu à ce moment qu'un léger effleurement de ma culotte de dentelle sous mon legging pour comprendre mon excitation. Je me sentais prête à recevoir son membre bien gonflé entre mes cuisses à peine décollées. J'avais envie qu'il me plaque contre le mur du cabinet de toilette pour prendre mes cheveux dans sa main, et sentir son souffle sur ma nuque alors qu'il m'enfilait sa queue dans la chatte en laissant frapper ses couilles contre ma chatte. J'en avais réellement envie.

Il a le don d'éveiller en moi cette petite bête jamais enfouie bien loin. Il sait mettre le doigt sur le bon bouton. Le seul à me procurer un effet si addictif. Si impressionnant d'un mot, d'un regard, d'un geste.

Il me connait. Mieux que moi.

Et il sait exactement comme ça aurait fini dans ce restaurant bondé de la Ste-Catherine, ce jeudi-là..




Mais j'aime penser qu'il a autant de plaisir que moi à imaginer...


Mamz'elle J xxx

La boniche contre le vampire..

Le party d'Halloween était organisé par une petit groupe de mes collègues de travail. Comme nous sommes environ 50 employés, il faut trouver une salle assez grande et s'entendre sur l'apport de chacun au party. Mais les convives vont avoir une surprise.. ils savent l'heure à laquelle il vont apprendre les détails de la soirée, mais ne savent pas l'endroit où il se trouvera. Et par un miracle inouï, mon boss sera présent. Lui qui ne veut jamais joindre les activités hors-travail..

Nous sommes vendredi 19h et dans quinze minutes, je recevrai le message Facebook m'annonçant à quel endroit je devrai me rendre pour le reste de la soirée. Comme il ne s'agit pas d'un party accompagné et que je prévois m'éclater en bonne et due forme, j'ai déjà réservé une chambre d'hôtel au centre-ville avec une amie et on se partage les frais. Tout le monde est heureux.

J'ai acheté un costume à peu de frais lors d'une vente de débarras chez un antiquaire qui possédait un petit studio photo. Entre les grosses robes avec 40 jupons et les corsages poussiéreux, j'ai trouvé un mignon costume de boniche, le petit tablier de dentelle et le bandeau assorti. Jolie robe noire lacée au dos pour aller dessous et le plumeau en prime. Pour une bagatelle, j'avais mis la main sur le genre de costume un peu vintage que j'aime bien, avec une touche d'histoire. Une fois le costume enfilé, je me sentais coquine. Une petite coupe cintrée, le tablier à la taille, j'imaginais mes longs cheveux remontés en un chignon un peu bohème et un petit soulier verni pour compléter l'ensemble. Seule chose; mes jambes nues en plein mois d'octobre me faisait un peu peur, d'autant plus que je ne connaissais pas du tout l'endroit dans lequel se déroulerait le party et que je devais m'attendre un peu à tout..

Je fouillais dans mes tiroirs à la recherche d'un nylon couleur chair, mais je ne trouvais que des collants noirs opaques. Je me disais que je ne pouvais pas mettre ça. Ça enlevait tout le charme de mon costume..
Mais est-ce que j'allais oser autre chose? En fouillant dans ma lingerie, je suis tombée sur une paire de bas de la couleur parfaite. Sauf que ces bas était mes bas auto-fixants hyper chers et je ne savais pas si l'occasion était bien choisie pour enfiler ce genre d'accessoire, étant donné la teneur en plaisir qu'il y allait avoir durant la soirée.

Faute de ne pas trouver autre chose, à part une paire de bas en filet qui me donnait l'air d'une pute à plumeau, j'ai enfilé les bas mais je me retrouvais aussi à devoir porter le porte-jarretelles qui allait aider au soutien. Je ne prendrais pas la chance de voir un de mes bas se dérouler pendant que je «shake» le cocktail par excellence de la soirée! Et comme j'avais le porte-jarretelle, pourquoi ne pas agencer le soutien-gorge. Bref, c'est avec un peu d'énervement et d'appréhension que je me suis rendue au party avec mon costume et tous les ajouts faits en apportant mon plumeau et mes achats en alcool pour faire mon punch, recette personnelle testée auprès de tous mes amis la veille.

J'ai reçu le message qui me dévoilait l'endroit. Une salle de quille sur le boulevard Charest à Québec.

Je ne connaissais pas le choix de costume de mes amies et priais pour ne pas me retrouver avec une autre boniche dans la salle. Déjà que j'allais devoir changer une partie de mon costume pour des souliers de quilles, on ne se cachera pas que ça allait déjà un peu perdre de sa magie.

Vers 20h30, tout le monde est là. On nous a autorisé l'accès à une salle adjacente pour ranger les manteaux et le bol à punch. Je suis là à compléter mon mélange d'alcool et de jus quand mon patron arrive pour déposer ses choses.

«Jade?»
- Ah.. allo! Terrifiant le costume! Le sang sur le bord de la bouche et tout, ça fait vraiment changement de la chemise propre et des pantalons pressés de la semaine!
- Oui hein! Je sais que tu aimes bien mon uniforme de travail, surtout quand j'ajoute mes boutons de manchette pied-de-poule, mais j'avais besoin de faire un peu changement.
- Qui t'a dit pour les boutons de manchette?
- J'ai mes sources..

Et là, j'ai rougi.

-Tu fais quoi au juste?
- Un petit punch d'Halloween! C'est ma contribution à la soirée. Tu veux goûter?
- Oui, mais j'espère que tu n'as rien mis d'aphrodisiaque dedans!
- Eum.. pourquoi, ce serait mal? lui répondis-je avec un clin d'oeil avant d'aller chercher un verre dans mon sac.

Les gorgées prises auparavant afin de doser la quantité de vodka à ajouter dans le breuvage ont commencé à faire leur chemin vers mes sens. Je me questionne vraiment à savoir comment il a pu savoir pour ma confession sur ses boutons de manchette mais en fait, ma plus grande inquiétude est de ne pas savoir s'il a su autre chose. Dieu sait que des pensées un peu cochonnes tournées vers mon patrons depuis cet été, j'en ai eu quelques unes. Je ne les ai pas toutes avouées. Mais parfois, j'ai laissé échapper quelques bribes et je ne les ai pas rattrapées à temps. Rien de tellement inavouable, mais bon.. On connait mon tempérament au travail!

Me relevant lentement, je jette un oeil vers mon patron qui me regarde aussi. Son oeil est brillant. Je ne sais pas si lui aussi a commencé son party personnel et se préparant à la maison. Une bière tranquillement bue en appliquant son fond de teint blanc sur sa mâchoire carrée. Puis, un dernier rhum 'n coke avant de partir.

Il me souriait. Je lui souriais. Il faut dire que ce pantalon lui fait une cuisse d'enfer et me fait remarquer que je distingue son sexe dans un rayon de lumière produit de l'autre côté de la pièce. Comme mon patron fait près d'un mètre et demi pour 110 kilos, que du muscle, j'imagine assez bien la taille de l'engin, mais je laisse passer la pensée grivoise parce que.. bah, c'est quand même mon patron.

- Alors, tu as un couvre-feu? lui ai-je demandé en lui versant un verre de punch.
- Non du tout. Mes parents habitent ici pas très loin en haute-ville mais sont partis pour le weekend alors je vais aller dormir chez-eux plutôt que de refaire une demi-heure de route. Je vais laisser l'auto ici et y aller en taxi. 
- Sage décision, monsieur le patron. 
- Jade, ici appelle-moi par mon nom. Je ne suis plus ton patron du moment où tu n'es pas payée. Mais tu peux m'appeler Maitre.. hahaha!

Je l'écoute rire et je me demande si ça, c'est une blague ou s'il connait aussi ce côté de moi.
- Cheers! À ton premier party avec les employés! Toi qui ne sors jamais de ton Lac-St-Charles, tu vas enfin savoir de quoi sont faits nos rassemblements!
- Ouin, ça a pas l'air chic quand j'entend parler de vos niaiseries. Mais bon.. j'ai hâte de voir à quel point la fille du punch supporte sa propre création! 

Je lui fais une moue boudeuse. Avec mes grands yeux de biche, j'arrive quand même à laisser paraître ma petite pointe d'excitation à me retrouver ici avec mes collègues préférées. Il étire sa main à ma joue;
-Ris donc un peu là! Tu sais bien que je niaise! 

Son clin d'oeil me fait changer d'attitude en un instant.
Je lui lance: Arrête de niaiser et amène donc le bol à punch que j'aille servir les invités!

Et il me répond: Oui ma belle petite ménagère, tout de suite.

Cette soirée ne sera pas de tout repos..


Tout le monde est ravi de le voir, il est occupé à converser avec plusieurs petits groupes. Les équipes se sont formées pour le championnat de quilles, mais plus la soirée avance, plus je dilue le punch avec un peu plus de rhum blanc et de jus fruités, et plus les gens semblent enivrés par l'alcool. Je suis en équipe avec mes trois collègues féminines préférées, mais pour les besoins de la cause, je dirais que je joue aux quilles avec BettyBoop, Lara Croft et la princesse Leia. Et vraiment, le soulier de quille défait absolument tous les costumes de l'assistance. On a réservé 7 allées de quilles et fait mettre de la musique électro. Les gens qui ne sont pas avec nous et qui jouaient tranquillement à l'autre bout de la salle se demande vraiment pourquoi nous sommes accoutrés de la sorte.

La partie est sur le point de terminer que je commence à avoir beaucoup de plaisir et à me dégourdir. Je ne suis pas bonne du tout aux quilles. J'ai une absence de capacité à viser lorsque j'ai bu. Je serais une conductrice médiocre sous l'effet de l'alcool et je remercie ma logique et mon sens du devoir de m'avoir inculqué la prudence du «Tolérance zéro».

Mais la vue de mon patron ne s'est pas embrouillée - il faut dire qu'un petit punch n'a pas ou que peu d'effet sur une pièce d'homme de sa trempe- et il me regarde toujours. Parfois il détourne le regard, mais nos yeux se croisent plus souvent qu'autrement. Il est assis à deux allées de la mienne, sur l'une des chaises de plastique tellement inconfortables attendant son tour pour jouer. Alors que je viens de faire un abat par hasard ou par un miracle que je ne saurais expliquer, j'ai le sourire aux lèvres et je saute sur place sans trop me soucier de ma robe de boniche. Et c'est quand je le regarde que je comprend que je lui ai révélé mes dessous sans le vouloir.. oups!

Je fais semblant de ne rien savoir et je continue à avoir du plaisir en me convainquant que c'est mieux pour moi de me tenir plus tranquille. La partie se termine déjà.. Et sur cette belle résolution, je me rends à la pièce d'à côté pour trouver ma bouteille d'eau et refaire un peu mon maquillage. En passant devant la salle de bain, mon patron m'accroche le bras et m'attire un tout petit peu contre lui. Il me regarde directement dans les yeux. Je m'attends à rien.

À rien de ce qui a pu se produire ce soir-là, du moins.

À suivre...



Mamz'elle J xx











10.19.2013

Le 9 à 5 des amants adultères, partie 3

La fin de l'après-midi s'est déroulé sous le signe du plaisir. Un plaisir exquis. Encore quelques orgasmes avec ses doigts enfoncés en moi, avec un vibrateur sur le clito et sa main contre ma clavicule, prête à serrer ma gorge tendrement..

Mon amant est l'un de seuls hommes de toute ma vie à savoir exactement le force à utiliser, le moment de le faire et mes zones sensibles. C'est si bon d'avoir une connexion si  facile avec quelqu'un.

Si parfois il me prend ma derrière en tenant mes cheveux d'une main et mes hanches de l'autre, si il préfère me surprendre alors que nous sommes étendus sur le dos, jambes entremêlés, avec un doigt fuyant jusqu'à ma chatte pour chatouiller mon intimité.. si il préfère me coucher sur le côté et se glisser à genoux entre mes cuisses pour me pénétrer bien profondément, je suis aux anges avec lui. Aucun besoin de phrases complètes. Quelques mots et on se comprend. C'est ce qui fait la force d'un coup-le adultère je crois; on apprend à communiquer de façon unique à défaut de toujours se voir..

Je vous épargne les aurevoirs.



Mamz'elle J xx

9.25.2013

Le 9 à 5 des amants adultères, partie 2


Les nylons faisait partie de l'habillement souhaité par mon bel amant, ainsi que la jupe et les talons. Les souliers étaient restés au pas de la porte, la jupe avait été habilement enlevée assez rapidement également. Mais les nylons, il avait choisi de me les laisser. J'étais assise au pied du lit, cuisses écartées et sa main me caressait avidement. Je sentais le courant d'air frais au travers du tissus que ma mouille imbibait totalement. C'est une étrange sensation que d'avoir le clitoris si sensible et d'avoir un tissus fin pour le séparer de la caresse et de la passion amoureuse de son amant. Expérience plus que concluante puisqu'à mon souvenir, je n'avais pas mouillé comme ça depuis belle lurette. Il faut dire que le jouet que j'avais entre les cuisses entre Gentilly et Trois-rivières a joué pour beaucoup, mais c'est un tout petit détail..


Mais je savais que je n'allais pas vouloir passer encore bien des minutes à ne pas sentir le véritable contact de la peau de mon Aigle sur ma chatte échauffée par tant de caresses.

Il me stimulait bien. Tellement que j'aurais pu fondre sur l'édredon. Mais le désir était trop fort de lui donner la permission de le briser un peu.. Pensant qu'il allait déchirer juste ce qu'il faut d'espace pour pouvoir me baiser, j'ai été extrêmement surprise de l'entendre déchirer en 3 pièces mes bas pour se laisser un accès plus que considérable à mon entre-jambe.

Un instant, j'ai pensé que je devrais rentrer à la maison les jambes nues. En début d'automne. L'air frisquet.
L'instant d'après, Laigle assaillait déjà mon antre de langoureux coups de hanches et sous son poids, je n'avais aucune envie de me défendre. Ça faisait déjà des semaines, des mois que je voulais le sentir en moi de la sorte, des semaines qu'il manquait à tout mon être, que son parfum s'était un peu effacé de mon nez. Il me fallait le voir. Un lundi de fin septembre, alors que tout notre monde pouvait ne former qu'un et que la terre pouvait s'arrêter de tourner. Après le premier round, je suis passée sous la douche et lui pareillement. Ensuite, nous avons discuté, enroulés dans les draps, nos corps lové l'un contre l'autre. Il me caressait du bout des doigts pendant que je le regardais n'ayant d'autre but que celui d'emmagasiner le plus de détails pour revenir à la maison plus tard avec un souvenir clair et précis de ma journée avec lui.

Le ton a changé quand est venu pour moi le temps de le faire parler.

L'un de mes derniers billets parlait de lui, de mes sentiments à l'égard de notre relation d'amant-amante qui dure depuis 3 ans.. de ce que nous n'avons jamais parlé, de ce sur quoi j'avais envie de me confier. De mes peurs. On repoussait depuis tellement de jours ses impressions sur sa lecture et je voulais savoir.
Alors on a parlé. Beaucoup parlé. C'est le genre de discussion qui fait peur. Au sens où c'est tellement profond que je ne sais pas dans quel état on en sortira... mais ma mère m'a appelé et ça a permis une fin de discourt plutôt directe.

Ma mère est au courant de ma relation avec mon bel amant.
Je lui ai dit que je n'étais pas à Québec, mais plutôt à Trois-Rivières avec un charmant jeune homme!
Elle a ri..


Les ébats ont repris. De plus belle.


 Je l'aime mon amant.




Je vous raconte la suite plus tard!

Mamz'elle J xxx

9.23.2013

Le 9 à 5 des amants adultères

Rendez-vous à l'hôtel lundi matin, à Trois-Rivières.
Mon trajet est soigneusement écrit sur un bout de papier dans mon sac à main.
Il m'a donné des instructions vestimentaires. J'ai fait la même chose.
Je pars juste après mon premier café, il est bientôt 9h.

La journée commence comme à l'habitude. Une longue route en auto pendant laquelle j'écoute mes chansons préférées, lunettes de soleil au visage et la tête déjà à destination.

Il fait beau, la route est magnifique, longeant le fleuve entre ma ville et notre lieu de rencontre. J'ai hâte de le retrouver. Depuis notre roadtrip dans les Cantons-De-L'Est, nous ne nous sommes pas revus et sa bouche me manque presque autant que son parfum musqué.Les occasions de se retrouver ensemble se font rares depuis quelques mois. Alors quand une journée entière se présente à moi et que ça convient à son horaire de «Superpapa», je prends la date en note et fais tout ce que je peux pour que l'on se voit.

Je suis largement au dessus des limites de vitesse sur la 132. Je vois passer le rouge des arbres, le vert des champs, le gris des toits. Tout me semble plus étincelant qu'à l'habitude, mais j'en déduis que ça doit être l'amour qui me fait voir tout différemment.

Le Pont Laviolette m'accueille, et les bras de mon prince ne sont qu'à quelques pas de la sortie du pont. La route m'a fait perdre la mémoire et je dois retourner à mon téléphone pour lire mes instructions:

Une fois dans le stationnement de l'hôtel, va au fond et contourne-le vers la droite.
Tu verras mon auto.
Texte-moi, je viendrai t'ouvrir.

Il est 10h20. Je ne vois ni son auto, ni le numéro de chambre. Alors je fais un tour de stationnement et alors que j'allais sortir de la cour pour perdre un peu de temps et attendant qu'il me réponde, on se croise dans l'entrée.

Je me stationne tout près de lui et je descends la fenêtre de ma voiture, tout sourire. Il n'approche pas, me salue en me disant qu'il n'est pas prêt! Oups.. j'ai peut-être fait la route un peu trop vite.
J'attends un instant dans mon auto, puis sous ses indications, je m'avance vers la porte de l'hôtel.

Mes règles sont suivies à merveille. À travers la porte de verre, je vois poindre un bel homme vêtu d'un costard super chic, avec boutons de manchette et souliers italiens. Pourrais-je être plus émoustillée par la vue de cet homme que je reconnais à peine? Il m'ouvre, je 'avance avec dans la main un paquet pour lui et mon sac à main. Au fond de mon ventre commencent à voler quelques papillons et dans mes yeux l'étincelle d'une excitation envoûtante.

On entre dans la chambre. L'ambiance est plutôt «cosy», le lit bien fait, les lumières allumées sur un abaissement de plafond. C'est joli et confortable. Mais je ne m'intéresse pas du tout au décor. J'ai devant moi un homme splendide avec un regard de feu qui m'attire à son cou comme si ça faisait mille ans qu'on ne s'était pas vus ni touchés. Je fonds littéralement à la vue de sa cravate. Nous nous embrassons, nous enlaçons, nous dévorons des yeux. Bientôt, je me retrouve assise sur le pied du lit pendant que debout devant moi, il me dévêt une pièce à la fois. J'arrive à lui enlever son veston, sa chemise ainsi que sa cravate, que je passe à mon cou presque tout de suite. Elle sent lui. Mon Aigle. Que je regarde comme un miracle. Comme un instant d'éternité dans ma vie qui va beaucoup trop vite. Je me retrouve qu'en nylon, sur le lit, sans culotte ni autre tissus. Ses doigts trouvent ma chatte, la caresse délicieusement.. en un rien de temps j'ai réussis à transpercer de ma mouille le fin tissus et les doigts humides, il caresse ma langue. J'aime tellement me goûter sur ses doigts.

La suite est prometteuse.. et comme j'ai envie de déguster mon plaisir en solitaire, je vous la raconte un peu plus tard..



Mamz'elle J xxx

9.04.2013

La période d'étude

Normalement, j’aurais tout simplement attendu d’être de retour à la maison avant de ma gratifier d’un orgasme nécessaire et tellement attendu. Mais cet après-midi-là je n’en pouvais plus. Durant ma période d’étude en classe, j’avais sélectionné sur mon iPod la liste de MP3 érotiques que je me garde pour les grandes occasions et j’en avais bien besoin. Je faisais semblant de lire, les yeux fixés sur une feuille de notes à plat sur ma table de travail. J’avais les yeux remplis d’eau tant j’étais concentrée à m’imaginer ses grands doigts caresser ma peau avec plus ou moins de douceur, je pouvais presque sentir ses phalanges s’enrouler autour de quelques mèches rebelles de mes cheveux libres et les tirer un tout petit peu derrière. J’avais une main entre les cuisses, contre mon bas nylon et mon autre bras reposait sur ma table pour n’éveiller aucun soupçon. Je fermais les yeux à quelques occasions, mais j’ai la capacité à rêver non seulement éveillée, mais aussi avec les yeux grands ouverts. Je te voyais, je te sentais. Ta chaleur contre mon dos, tes lèvres qui s’approchaient doucement de mon cou, y laissant glisser une respiration remplie de promesses… J’en étais à vouloir que ta main droite contourne mon épaule et vienne plonger dans ma chemise blanche déboutonnée juste à la limite de l’impardonnable pour une étudiante. Le bout de tes doigts glissait sur ma peau incroyablement douce, se frayant un chemin dans mon décolleté. Je te sentais effleurer mon épiderme de ma clavicule à la courbe de mon sein sous mon soutien-gorge pigeonnant. Mes mamelons étaient sans doute érigés à leur maximum à la mesure de mon imagination faisant office de film porno dans ma tête. Je sentais mes doigts faire leur petit mouvement sur mon bas, tout près de la jonction entre ma cuisse et ma chatte. Du moins le plus près dont je pouvais en être... Je sentais la chaleur émaner de mon entre-jambe et imaginais que c’était tes propres caresses au lieu des miennes.. J’aurais à ce moment voulu que tu me rejoignes dans un local inoccupé de l’aile F du collège, au quatrième étage, là où personne ne va jamais, pour suffire à mon désir de baiser et mouiller librement comme une vraie garce. Que mon jus te mouille les doigts à en couler sur ta main. Que mes bas portent l’odeur de mon sexe trempé pour le reste de la journée parce que tu aurais volé ma petite culotte pour la garder dans la poche de ton veston. Des images claires, précises, excitantes. De toi et de moi dans un endroit risqué. Dans un établissement où rien de sexuel n’est réellement permis. Mais où le fruit de mon imagination est aussi juteux que le tissus qui me garde juste assez espacé de l’orgasme que j’aurais été capable d’atteindre avec assez peu de difficulté malgré ma position, si le prof n’aurait pas donné le coup d’envoi à l’examen…  Le genre de scénario qui, exprimé dans une salle de cours, ferait rougir la majorité et bander le reste..


8.28.2013

J'aime la rentrée

Le cours magistral est plutôt plate. Pas tellement le genre de «3 heures» dans ma semaine qui m’amène à rester totalement éveillée et motivée. Tu nous présentes des diagrammes au tableau, des formules que je ne comprends pas vraiment. Le tableau périodique au mur n’est pour moi rien de plus qu’une palette de couleurs avec des chiffres illisibles d’ici. Je m’ennuie grave.. Je tente de rester alerte, mais rien n’y fait..

Je me mets alors à rêvasser. Dans ma tête, nous sommes maintenant 2, puis 3.. je repense à ces souvenirs voluptueux, à ces corps vacillants l’un sur l’autre alors que la musique et le vin nous grisaient. Alors que les dentelles avaient fait place à la peau nue.. Et je t’imagine dans la peau d’un des personnages de ma rêverie sensuelle, question d’alimenter de façon plus constructive ce cours interminable… Mes yeux s’arrêtent souvent sur ton jean, sur ta fourche. Je me plais à imaginer, à palper du regard, à mesurer intérieurement la longueur de ta verge, la largeur de ta belle queue. Je nous imagine à ton bureau, la porte entre-ouverte alors que tu me donnes des explications sur la matière que visiblement je n’aurai pas assimilée durant mes rêves éveillés. Quand je tenterai de sentir ton parfum. De t’effleurer la cuisse très subtilement. De te regarder directement dans les yeux te disant que le bruit dans le corridor nuit à ma concentration juste avant que tu fermes la porte..

Je me lève avec mon sac à main et me dirige vers la porte discrètement. Sous ma jupe se cache une culotte de dentelle que j’enlève juste avant de m’insérer un petit plug et mes boules chinoises. Oui, je les traîne toujours dans mon sac à main. Qui sait quand ça peut servir..

Je refais un peu mon maquillage, me coiffe un peu et défais un bouton de plus sur ma chemise de soie. Je dévoile un peu mon soutien-gorge rose pâle et son détail de dentelle noire.

Quand je reviens m’installer en classe, tu ne me regardes pas vraiment. Lorsque je m’assois, je fais un léger mouvement de hanche pour faire remonter un peu ma jupe. Pas trop. Mais assez pour que si ton regard vienne à se poser sur mes cuisses, tu chercherais à voir les millimètres qui te séparent de mon secret. Puis le jeu commence…

La demi-heure qui suit en est une de lutte. Une lutte pour avoir ton attention. Je veux que tu me regardes. Que tu découvres la courbe de mon sein à travers le tissu transparent de mon chemisier. Que tes  yeux flattent ma peau et cherche à savoir qui je suis…

Et comme tout homme, il me ne faudra pas plus de temps pour capturer ton attention, bijou précieux que je ne laisserai pas filer. Il te faudra descendre à mes cuisses, quand d’un mouvement lent je lèverai un peu la jambe droite pour caresser la gauche d’une peau douce et fraîchement épilée de la veille. Ton yeux découvrira mes orteils peints de rouge et ma chaîne de pied brillera sous un rayon des luminaires trop blancs du plafond.

Le but est atteint quand je sens brûler ma chatte d’excitation. Pas de dentelle pour retenir mon plaisir. À me dandiner sur ma chaise de la sorte, je fais bien rentrer et bouger le plug bien encré dans mon cul. J’adore. Je suis une vraie exhibitionniste. J’écarte un peu les jambes sans te regarder, faisant comme si je n’étais pas coupable de jouer à la salope. Dans la salle de classe, les élèves travaillent sur un exercice de calcul mais moi je fais semblant d’écrire. Je sais que tu me regardes. Je sais que tu me vois me mordiller la lèvre inférieure, fermer les yeux, respirer plus profondément et arquer les hanches..

Je relève la tête au bout d’un moment. Tu me regardes en plein dans les yeux. Tu souris un peu. Je me donne un air de petite fille et flanches finalement en te rendant un sourire. Tu as quelque chose dans l’œil qui me fait comprendre que tu sais.. Le genre de sourire qui me ment pas.. L’étincelle dans l’œil qui rend complice. Je continue de me déhancher un peu et mordant ma lèvre inférieure encore une fois, je feins une jouissance en fermant les yeux.. Je comprends que tu sens poindre la petite larme de l’homme excité. Mais pas au niveau de l’œil..



Mamz’elle J xx


8.27.2013

Petit blues d'automne..

On aurait pu habiter si près l’un de l’autre qu’en prenant nos cafés le matin, nous nous serions vus en pyjama sur nos balcons respectifs. Nous aurions pu avoir sensiblement le même âge, les mêmes aspirations, les même acquis, la même vie ou presque dans une banlieue de Montréal où tout le monde possède sa piscine et son tracteur à gazon. Nous aurions pu être issus du même rang social, avoir été à nos cours de psychologie universitaire ensemble, avoir assisté aux spectacles de fin d’année de nos enfants à la même école, roulant des yeux quand nous sentions arriver le concert de xylophone des plus jeunes… Mais la vie a décidé de nous faire croiser le chemin l’un de l’autre et pourtant, tout nous éloignerait si nous n’avions pas tissé une petite partie d’éternité ensemble. Je suis début vingtaine, fière habitante de la Capitale Nationale et je ne sais pas où le destin me traîne. Tu es début quarantaine, payeur de taxes scolaires quelque part de l’autre côté du fleuve, avec une femme et des enfants prodiges. 

Est-ce que ça a un sens tout ça? Est-ce qu’après 3 ans, notre couple illégitime est voué à un déclin tranquille, une perte de vitesse, le résultat d’une lâcheté des deux membres au profit de mieux, de plus beau, de plus grand, de plus «souvent».





Je ne crois pas. Les histoires d’amour entre deux êtres se voyant si peu souvent finissent toujours par échapper aux griffes de ce quotidien astringent, oui. Nous n’aurons jamais à faire face à une routine de Métro-Boulot-Dodo parce que nous n’habiterons jamais ensemble. Nous ne nous disputerons jamais pour savoir qui de nous deux devra se lever au petit matin pour donner à boire au nouveau-né… Nous n’aurons pas à faire face aux visites dans la belle-famille, aux soirées entre amis qui finissent mal, à la cohue du retour en classe de nos kids, pas plus qu’à la course contre la montre pour aller porter les enfants à leurs activités parascolaires à 6h le matin. Mais tu vois, si nous nous étions rencontrés il y a 20 ans de ça? Si j’avais eu ton âge, si tous les paramètres auraient été là, est-ce que je ne serais que ton amante?

Qui suis-je au fond, que la jeune femme que tu verras 8 fois par année, qui te videras les couilles jusqu’à la dernière goutte, qui te prêtera sa gorge et ses seins en échange de passion amoureuse et de baisers langoureux... Je ne doute pas de tes sentiments pour moi quand je dis ça.. ce n'est pas une provocation, mais plutôt un jeu de questions.. Est-ce que je resterai toute ma vie accrochée à toi comme mon cœur l’est présentement, à chercher partout une occasion de trouver le réconfort de ton parfum, du vert de tes yeux, du goût salé de la sueur sur ta peau après l’amour.. Vais-je rester celle qui au fond d’elle-même se sentira toujours comme la petite fille que tu prendras dans tes bras quelques heures par mois quand la vie nous sera généreuse, pour la rassurer et lui dire que tu l’aimes aussi, que je te manque, que tu voudrais qu’on se voit plus souvent mais que c'est pas facile avec tout le train-train et tout... 

À chaque fois que tu pars vers un autre ciel, mon bel oiseau, je me sens un peu flouée. Parce que je sais que l’amour que je te porte est trop grand pour que je te l’offre en mains propres qu’une fois par deux ou trois mois. Et qu’on ne partira jamais en vacances ensemble. Que le mieux que j’aurai dans ton agenda, si le karma nous en laisse le droit, sera un weekend à l’hôtel, à se méfier des passants qui pourraient te reconnaître ou me reconnaître quand on sortira de notre chambre embaumée par l’odeur du sexe et du vin... Le mieux que l’on pourra aller chercher de notre weekend sera l’impression de s’être enfin accordé du temps ensemble, d’avoir cédé à nos pulsions et à s’être communié une émotion profonde malgré la fatigue et la minuterie qui jouera contre nous. Au final, quand la fin du weekend arrivera et que ce sera bientôt l’heure de repartir chacun sur notre rive, tout ce dont mon cœur sera rempli, c’est de chagrin et de peur. Et d’envie de remonter à la chambre pour que tu me prennes une dernière fois. Juste une fois.. 

Tu le sais que les au revoir  sont toujours aussi déchirants. Tu me connais trop bien pour savoir exactement quand ma lèvre commencera à trembler et que je retiendrai mes larmes aux coins de mes yeux dans le lobby de l’hôtel, dans le  stationnement sous-terrain, sur le siège de ta voiture… tu ne te doutes pas du nombre de fois où je me suis réfugiée sous la douche pour pleurer toutes les larmes de mon corps, inconsolable, au retour d’une journée avec toi. L’intensité du bonheur que j’ai en passant la main dans tes cheveux n’a d’égal que la douleur profonde de mon cœur émietté une fois que ton auto n’est plus visible de ma fenêtre. 

Je t’aime mon chéri. Je t’aime. Peut-être trop. Peut-être mal. 

Je ne sais pas. Comment peut-on aimer un homme qui porte un jonc qu’on ne lui a pas nous même offert? Comment peut-on aimer un homme qui immanquablement retournera auprès d’un autre corps la nuit tombée? C’est difficile. Je sais que je peux encore tenir le coup. Je le fais parce que j’en arrive à oublier qu’au fond de moi, le désir de te retrouver me consume. Je le fais pour toi. Et pour moi. J’ai compris la nature de mon engagement envers toi il n’y a pas si longtemps en fait.

Au départ, je ne me doutais pas de tout ce qui nous arriverait. Ce à quoi nous allions être confrontés. Si tu me demandes avec du recul, si j’étais prête à mes 20 ans à te faire autant de place dans ma vie que je ne le fais depuis, en sachant que je n’étais pas et que je ne serai jamais la première dans ton cœur, je n’aurais jamais accepté. Mais force est d’admettre que c’est quand même ce que la vie me réservait… et plus ça va, plus ça fait mal.  



Mamz'elle J xx

8.26.2013

Notre première fois..

Tu me demandes parfois de te décrire comment j’entrevois notre première rencontre plus intime. Je te dis chaque fois que ce genre de moment peut prendre plusieurs formes selon le mood, le temps que l’on aura et les intentions de chacun de passer à l’étape suivante. Bien sûr, je sais que ma réponse ne te plait pas à 100% alors je me l’imagine plus sérieusement aujourd’hui, pour ton plaisir et le mien.

Juste après le travail, tu viendrais me rejoindre à l’extérieur dans le grand stationnement. Armée d’une bouteille de blanc et de quelques bouchées, je te ferais monter dans ma voiture pour t’amener à un endroit mystère, pour un gentil 5 à 7. Je t’amènerais en plein air, à un endroit que j’affection particulièrement, à l’abri des regards, mais dont la vue sur le Fleuve et sa rive fait tomber la mâchoire..

Installant une grande couverture, tu nous servirais deux verres de vin et je sortirais les petits canapés dans lesquels j’aurais mis tout mon talent culinaire. Nous commencerions par nous faire la conversation, tout bonnement en apprenant à se connaitre un peu mieux. On va se l’avouer, même si ça fait près d’un an que l’on s’écrit et que l’on a discuté ensemble 2 ou 3 fois, on a encore tellement à se laisser découvrir.

Lentement, nous nous laisserions griser un peu par le vin frais, la gêne tomberait et tu me révèlerais des trucs hyper intimes auxquels je ne m’attendrais pas.. L’automne se pointant, j’aurais enfilé une paire de bas collants sous ma jupe de jean ajustée et un chandail de laine plutôt simple. Mais même la froideur du plus éreintant hiver ne m’aurait fait enfiler une culotte et un soutien-gorge..

Au rythme des confidences, ta main aura frôlé ma jambe et la mienne aura caressé tes cheveux. La température extérieure aura pris une tangente différente de celles de nos deux corps et nous nous rapprocherons lentement. Tes lèvres trouveront les miennes, je me rapprocherai de toi, sentant ton parfum, agrippant ton dos pour m’en approprier le territoire. Ta nuque réchauffera mes doigts pendant que je te chevaucherai encore toute habillée et ton nez fouillera mes cheveux pour t’en approprier l’odeur..

Au travers de mon chandail pointeront mes mamelons bien érigés. Tu ne te gêneras pas pour caresser mes seins en embrassant mon cou. Une vague de désir te submergera et tu glisseras une main sous mon chandail pour sentir la chaleur de nos deux peaux ne faisant qu’une.
Je rougirai de plaisir sous l’emprise de tes caresses encore un peu maladroites. La découverte d’un corps inconnu est une chose tellement poétique et intime à partager..

Tu me demanderas de te sucer. Ton œil s’illuminera. Mon sourire de gamine cochonne poindra sous mes cheveux en broussaille et d’une main experte je détacherai ta ceinture. Mes frissons les plus intenses n’auront aucune corrélation avec le vent frisquet du début d’automne..
La bande élastique de ton boxer ligné apparaîtra. Le moment le plus exquis.. Découvrir ce que tu me caches depuis tout ce temps.


Une belle queue, moulée par le tissus extensible de ton sous-vêtement appellera la chaleur de ma bouche. Je saurai par ta façon de bouger que tu n’en pourra plus d’attendre que je te prenne complètement, mais j’aime retarder le plaisir.. je suis comme ça..

Tu abaisseras ton boxer en levant un peu les hanches. À moitié nu sur une couverture en plein-air, tu auras peur qu’on nous voit. Mais je t’assurerai que tout ira bien.. En fait, j’en saurai rien, mais je le souhaiterai autant que toi.. et puis au pire, on s’en fout!

Ton sexe érigé dans le vent d’août me fera imaginer le pire.. ou le meilleur, c’est selon!
Je l’empoignerai, le réchaufferai de ma main assurant un va-et-vient que tu adoreras. Bientôt ta peut du risque se transformera en abandon total. Après un moment à te regarder fermer les yeux sous la douceur de mes caresses, j’approcherai les lèvres et les fermerai sur la circonférence de ton membre solide. Ma langue en léchera la longueur et j’enduirai de salive l’objet de mon désir avant de te sucer pendant de longues minutes, palpant tes couilles de temps en temps, en te laissant soupirer de bonheur et tenir mes cheveux. Je te sentirai sur le point de jouir à de nombreuses reprises, mais ne te laisserai jamais jouir sur ma langue.. du moins, je repousserai l’orgasme tant que je le pourrai.. À quatre pattes sur les roches pour te donner du plaisir, ma jupe se relèvera d’elle-même, laissant libre accès à mon entre-jambe plus qu’humide.. et quand tes doigts trouveront la chaleur de ma chatte sous le tissus fin de mon bas, tu perceras du bout des doigts la fibre du tissus pour insérer une, deux.. puis trois phalanges. Je te laisserai faire. Je gémirai en continuant de te lécher.. quand entre deux coups de langue sur ta queue, j’en donnerai un sur tes doigts imprégnés de ma mouille..

Comme toute bonne chose a une fin, tu ne pourras plus te retenir bien longtemps. Je te laisserai jouir dans mes joues en de longue saccades pendant que je m’appliquerai à sucer ton gland une dernière fois pour y en extraire tout le jus de plaisir que tu m’offriras. Un dernier langoureux coup de langue, de la base à la tête de ton sexe et je me relèverai, sentant s’infiltrer le vent sous ma jupe.. Tu m’embrasseras, me tendras le bord de ton verre et j’y boirai en te fixant.

Quelques minutes encore à profiter l’un de l’autre. Tu me joueras dans les cheveux pendant que je me coucherai sur tes genoux. Tes doigts sentiront moi. Pour combien de temps encore..

Bientôt, le moment fatidique où nous devrons rentrer à la maison se pointera.
Est-ce que tu me redonneras rendez-vous ou pas? À toi de voir si tu en as envie.. et je déciderai si tu le mérites!



Jade xx 

8.11.2013

Songes d'un soir d'été, qu'il disait..


Un rendez-vous que l'on remettait depuis des lunes.. en tous cas, au moins depuis Noël! 
Ça a commencé par un café bien innocent. Assez innocent et vide de sens pour que le nom de ce dernier soit «Orgasme».. 

Nous nous sommes réfugié au troisième étage de ma Brûlerie favorite, avec le sourire aux lèvres et ma timidité habituelle, bien entendu. 



Il m'a fait parler de choses et d'autres, brisant la glace de la conversation en lui racontant l'historique de mon seul et unique tatouage. Puis je lui ai posé des questions sur sa vie, ses passe-temps, ses idéaux... rapidement la chimie a opéré. Après le café, une marche de 2 heures dans les rues de St-Roch. Des découvertes artistiques, des déclarations perverses, des secrets dévoilés et des questions indiscrètes. Nous sommes atterris au Parc St-Roch pour poursuivre et un peu terminer la conversation au bruit de l'eau qui coulait quand il m'a surpris en m'embrassant spontanément. 

Mais avec les confessions que je venais de lui faire, il connaissait mon point faible.. ma gorge... 




et il en a profité. 

Une histoire à suivre.. peut-être!..

Mamz'elle J xx

8.07.2013

Fantasme orgiaque, partie 2

Ses ongles s'enfoncent dans mes cuisses lorsque le plaisir la submerge. Elle s’assoit littéralement sur mon visage, ne me laissant qu'à peine respirer durant les caresses buccales que je lui procure. Elle appuie sa chatte de tout son poids et m'abreuve d'une gorgée de son nectar sucré. Quand elle se relève, je garde ma langue sur sa chatte jusqu'au dernier moment. Elle approche sa bouche de la mienne et suce ma langue pour se goûter à travers ma salive. C'est divin. Elle est empreint de douceur comme d'intensité.. elle me rappelle moi.


Mon cul est toujours occupé par l'objet de métal dont j'ignore la forme, mais dont je devine un peu la taille. Même un forçant un peu, je ne peux en faire sortir le moindre centimètre. Mais la sensation du métal qui se réchauffe dans mon petit trou et qui prend place est délicieuse.

Puis, je t'entends me demander si je suis satisfaite de mon début de soirée. Je ne réponds que d'un sourire et tu comprends en déposant un baiser sur mon front. Passant deux doigts le long de ma fente, j'entends le bruit de ma mouille. Tu les portes à ma bouche. Tu sais que j'adore lécher tes doigts quand le jus de mon excitation couvre tes phalanges. Je les lèche, les suce, tente de ne laisser aucune trace...

Puis voilà que tu pose à ton tour un genou de chaque côté de ma tête en pénétrant ma gorge de ta queue plus gonflée qu'elle ne l'a jamais été. Tu joues avec le jouet de mon cul pendant que du bout de la langue, je caresse doucement ton manche enfoui dans ma bouche. Mais une autre demoiselle se joint à nous en venant écarter tes fesses pour lécher ta rose pendant que tu baises ma gorge. La chaleur de son haleine, se rendant à mon visage dominé par tes jambes de chaque côté de ma tête, suffit à me faire frémir. Ton gland racle ma gorge. Je sais que ça t'excite d'entendre ma respiration s'arrêter. De sentir les soubresauts de mon pharynx sur ton sexe pendant que mon corps tente d'expulser ton sexe de mon orifice buccal. De me savoir totalement à ta merci et que ça me plaise autant. Je sens que tu veux t'insérer de plus en plus loin. Tes couilles s'écrasent contre mon nez et je t'entends râler comme une petite pute quand la langue de notre complice atteint une zone de plaisir. Tu te relèves un peu sur moi et pour accentuer le plaisir, tu passe ta main sur ma gorge pour sentir ta queue encore plus à l'étroit. Quelques secondes plus tard tu te déverses dans tes jets abondants de sperme et rempli ma bouche. J'avale tout comme tu aimes me voir le faire. J'ai encore les yeux bandés et je meurs d'envie de voir tes yeux s'illuminer suite à l'orgasme que tu viens de vivre. Je veux partager ce bonheur. Tu détaches mes chevilles et mes mains, doucement..

7.30.2013

Fantasme orgiaque, partie 1

Je rêve d'une chose depuis des mois déja.

Être à la merci de ceux que tu auras invité à notre petite fête.
Les yeux bandés, les mains jointes en un noeud solide, un collier de cuir à la gorge, attachée à un lit, les cuisses écartées et la chatte ruisselante.
Un baillon à la bouche, les chevilles encerclées et les cheveux noués en une natte accessible.
Je rêve que tu nous aies concoctée la soirée la plus débridée, la plus sensuelle, la plus libertine qui soit.

Je me vois allongée sur le matelas. Six paires d'yeux posés sur mon corps éclairé de quelques bougies disposées dans la pièce. Ma peau soyeuse attirant les touchers des invités. D'abord doux et amusés, ces doigts deviennent plus fermes et insistants. Je sens des ongles griffer doucement mes seins, ma clavicule, ma joue.. chacun a déjà choisi le territoire d'attaque. Un parfum de femme se rend à mon nez, me tirant un léger sourire. Je sens ses lèvres doucement se poser sur mon front. Son nez frôle ma tempe. Je sens sa cuisse contre mon épaule. L'odeur de son sexe remonte. Son excitation est palpable. Ses seins s'écrasent contre mon ventre lorsqu'elle vient embrasser mon poignet, remontant à mon épaule en laissant doucement traîner le bout de sa langue sur mon épiderme. Le contant de l'air avec le peu de salive qu'elle y laisse suffit à me faire frissonner..

Soudain, une deuxième présence se fait plus près de moi. Un homme s'est approché pour toucher mes cheveux.. ses phalanges se rendent à ma nuque et tire un peu les racines. J'étouffe un gloussement de plaisir. J'ai l'impression de connaitre sa technique. De reconnaître sa chaleur. De palper sa présence malgré mon interdiction de bouger. Il mord le lobe de mon oreille gauche et glisse ses doigts de ma nuque à mon ventre.

Je n'ai aucune idée de qui se retrouve dans la pièce. Mais tu es l'un des leurs.
Désormais, c'est toi qui fait ton entrée dans la scène. Je reconnais ton baiser, le rêche de ta barbe contre mon cou. Je reconnais tes dents sur mes mamelons érigés. Je reconnais ta façon de pincer de l'extrémité de tes pouces et index les bouts de mes seins offerts et appelant aux caresses.

J'entends un bruit de vibration s'avancer. Une autre demoiselle approche, passe un genou au dessus de ma tête et s'accroupit sur mon visage, sa chatte chaude et bien humide s'appuyant sur mon menton. Tout de suite, j'ai envie d'y plonger la langue, de pincer son clito entre mes lèvres pour exciter son bouton et faire jaillir de son antre la douce liqueur de son plaisir. Je la sens laisser couler un peu de sa salive sur mon sexe, pensant peut-être que je n'étais pas déjà prête à accueillir plaisir et jouissance.. au contraire. Je sens entre mes fesses couler ma cyprine. Je ne veux que me faire baiser. Ici. Maintenant. Elle étire sa main sur ma bouche et défait le bâillon. Je peux enfin fouiller sa chatte de ma bouche, lui tirant un long gémissement pendant que de son côté, elle dépose un wand super puissant contre mon clito déjà en feu et bien gonflé. La vibration est douce, à peine au minimum quand elle commence ses caresses. Ses doigts se promènent le long de mon aine, revenant à mes hanches puis à mes seins. Elle les pince sans ménagement. J'adore. J'entend qu'on s'amuse ailleurs dans la pièce. J'entends geindre un homme à quelques mètres à ma gauche pendant qu'une autre femme semble se faire prendre sauvagement à ma droite. De mon côté, un petit jouet s'est à présent inséré dans mon cul. C'est froid. Comme du métal. Mais l'insertion est douce et lente. Je me sens au point de non retour, à mesure que de légères ondulations de mon bassin et de mon sexe contre son jouet vibrant.. Plus j'éprouve du plaisir, plus j'ai envie qu'elle jouisse sur mes lèvres. Elle bouge parfois son bassin au dessus de mon visage afin de positionner sa zone sensible contre ma langue. Je fouille tous les coins de son entre-cuisses afin d'y trouver un peu de son jus. Elle goûte si bon. Je la sens au bord de l'orgasme après de nombreuses minutes...