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9.25.2013

Le 9 à 5 des amants adultères, partie 2


Les nylons faisait partie de l'habillement souhaité par mon bel amant, ainsi que la jupe et les talons. Les souliers étaient restés au pas de la porte, la jupe avait été habilement enlevée assez rapidement également. Mais les nylons, il avait choisi de me les laisser. J'étais assise au pied du lit, cuisses écartées et sa main me caressait avidement. Je sentais le courant d'air frais au travers du tissus que ma mouille imbibait totalement. C'est une étrange sensation que d'avoir le clitoris si sensible et d'avoir un tissus fin pour le séparer de la caresse et de la passion amoureuse de son amant. Expérience plus que concluante puisqu'à mon souvenir, je n'avais pas mouillé comme ça depuis belle lurette. Il faut dire que le jouet que j'avais entre les cuisses entre Gentilly et Trois-rivières a joué pour beaucoup, mais c'est un tout petit détail..


Mais je savais que je n'allais pas vouloir passer encore bien des minutes à ne pas sentir le véritable contact de la peau de mon Aigle sur ma chatte échauffée par tant de caresses.

Il me stimulait bien. Tellement que j'aurais pu fondre sur l'édredon. Mais le désir était trop fort de lui donner la permission de le briser un peu.. Pensant qu'il allait déchirer juste ce qu'il faut d'espace pour pouvoir me baiser, j'ai été extrêmement surprise de l'entendre déchirer en 3 pièces mes bas pour se laisser un accès plus que considérable à mon entre-jambe.

Un instant, j'ai pensé que je devrais rentrer à la maison les jambes nues. En début d'automne. L'air frisquet.
L'instant d'après, Laigle assaillait déjà mon antre de langoureux coups de hanches et sous son poids, je n'avais aucune envie de me défendre. Ça faisait déjà des semaines, des mois que je voulais le sentir en moi de la sorte, des semaines qu'il manquait à tout mon être, que son parfum s'était un peu effacé de mon nez. Il me fallait le voir. Un lundi de fin septembre, alors que tout notre monde pouvait ne former qu'un et que la terre pouvait s'arrêter de tourner. Après le premier round, je suis passée sous la douche et lui pareillement. Ensuite, nous avons discuté, enroulés dans les draps, nos corps lové l'un contre l'autre. Il me caressait du bout des doigts pendant que je le regardais n'ayant d'autre but que celui d'emmagasiner le plus de détails pour revenir à la maison plus tard avec un souvenir clair et précis de ma journée avec lui.

Le ton a changé quand est venu pour moi le temps de le faire parler.

L'un de mes derniers billets parlait de lui, de mes sentiments à l'égard de notre relation d'amant-amante qui dure depuis 3 ans.. de ce que nous n'avons jamais parlé, de ce sur quoi j'avais envie de me confier. De mes peurs. On repoussait depuis tellement de jours ses impressions sur sa lecture et je voulais savoir.
Alors on a parlé. Beaucoup parlé. C'est le genre de discussion qui fait peur. Au sens où c'est tellement profond que je ne sais pas dans quel état on en sortira... mais ma mère m'a appelé et ça a permis une fin de discourt plutôt directe.

Ma mère est au courant de ma relation avec mon bel amant.
Je lui ai dit que je n'étais pas à Québec, mais plutôt à Trois-Rivières avec un charmant jeune homme!
Elle a ri..


Les ébats ont repris. De plus belle.


 Je l'aime mon amant.




Je vous raconte la suite plus tard!

Mamz'elle J xxx

1 commentaire:

  1. J'aime beaucoup vos récits. C'est les seuls érotiques que je lis en ce moment et ça fait du bien !!

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