(Extrait d'une lettre à mon amant mystérieux.. )
Soir de printemps, l'air est encore un peu trop frisquet pour que je puisse dormir confortablement sur l'édredon sans autre couverture, mais après une journée entière à baiser sporadiquement, je me retrouve au milieu de mes souvenirs, mes images fixées aux pensées des plus grivoises que j'affectionne encore et encore.. j'ai encore la racine des cheveux un peu sensible, d'avoir été tirée par les nattes que tu m'avais demandé de faire. J'ai aussi eu les fesses tellement rougies et ensuite caressées que ma peau peine à récupérer une couleur et un aspect normal. Mais cette petite douleur aigüe que j'éprouve lorsque je m’assois me fait étouffer un gémissement à peine perceptible. Une nuée de ma jouissance passée, dans la même chambre, sur le même lit où quelques heures auparavant, tu as écarté mes cuisses afin de me pilonner de tout ton être. Le drap blanc où tes giclées de sperme ont atterri, elles qui devaient aller se réfugier à l'entrée de mon petit trou serré que tu avais épargné en début de journée, mais que tu m'as promis de baiser au coucher du soleil.
Je me sens me détendre. Après le verre de vin que tu m'as fait toi-même boire, la coupe contre mes lèvres, mon regard plein de confiance plongé dans le tien alors que j'étais à tes pieds, je me sens calme. Sereine. Prête à te rendre fière. À me sentir comme ta salope, la tienne. Tu m'as fait me relever. Tu m'entraînes silencieusement vers la chambre, m'ordonne doucement de me coucher sur le lit, et commence à faire de moi ton terrain de jeu. Et je sais que tu veux mon cul. Je le sens. Je le devine, par les caresses délicates que tu parviens à faire durant ton travail de préparation. Avec tes rubans de latex, le masque qui servira à me couvrir les yeux. Comme promis, j'ai inséré mon bijou de cristal dans mon anus. Tu apprécies le geste, mais encore davantage la vue..
Je me couche, docile et soumise. Prête.
Mais tu me fais attendre. Dans cette position humiliante, mais excitante. Dégradante, mais remplie de promesses..
J'attends. De longues minutes qui me paraissent des heures. J'en ai chaud. Mais je reste sage..
Et au fond, c'est ça que j'attends. Couchée sur le ventre, les bras attachés derrière le dos, les jambes bien écartées et le cul soulevé.
Je n'attends que ton toucher réconfortant suivant la fessée. Je n'attends que la caresse de ta langue sur ma chatte après la tombée de ta ceinture sur mon dos. Je n'attends que la douceur de ton baiser après l'étouffement. L'embrassade passionnelle après que tu m'aies lacéré la peau de tes dents. De tes ongles. De tes accessoires mordant ma peau comme un cuir.
Tachons ces draps de nos sangs.
Baise-moi comme si c'était la seule fois que tu en avais le droit.. fais-moi me souvenir de ce don de moi, pour toi..
Tu réveilles la bête en moi
Mamz'elle J xx
Vous avez envie de savoir ce qui se passe dans la tête d'une petite salope?.. Connaître les pensées, les fantasmes.. les faits et gestes dans la vie de celle que je suis.. ..attention, la lecture entraîne des effets immédiats;vous demeurerez accro!
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7.17.2013
Docile salope
Je suis à genoux, dos à un mur. Tu te tiens devant moi, bien droit, les jeans aux chevilles, mais tu gardes ta chemise et ta cravate.
Tes yeux m'implorent de te prendre.
J'approche mes lèvres doucement de ce gland bien gonflé que tu me présentes à la bouche. Maintenue à genoux par ta forte main sur mes tête, j'ai très envie de te montrer le talent de ma langue gourmande et avide. Je salive à l'idée que dans quelques minutes tu jouiras, tu crisperas les muscles de tes fesses et grognera comme le pire pervers que j'aie connu..
La mouille bien ta queue, qui coulisse dans ma bouche. Tu en sens la chaleur. Je t'aspire la chair et te caresse les couilles pendant un instant, ajoutant à ma tâche un regard traduisant mon envie de te faire te déverser dans ma gorge.
Ma langue chaude et bien humide s'enroule autour de ta queue, laissant une douce sensation de plaisir que tu ne veux pas laisser partir. Tu fermes les yeux, te détends, laisse glisser tes phalanges dans mes cheveux soyeux et libres..
Plus les minutes passent, plus tu as envie d'un peu moins de douceur et d'un peu plus de piquant.
Ton langage non-verbal me le dit. Et je comprends rapidement ce dont tu as besoin.
Mes mains se joignent derrière ma nuque, je m'adosse au mur. La succion devient plus intense, mon regard te transperce littéralement.
Tu t'agrippes à mes avant-bras pour contrôler le mouvement, pour ne pas jouir trop vite. Mais je t'excite trop.
Je change de technique. J'ouvre grand ma bouche, et fais pénétrer ta queue jusqu'au fond de ma gorge, sortant la langue pour atteindre tes couilles que je chatouille doucement.. je sens la salive qui coule sur mes lèvres. J'aime te baiser de cette façon. Je t'entends ronronner. J'aime ma position.
Bientôt, tu prends le contrôle. Ma tête bien appuyée contre le mur, tu baises ma gorge, comme une chatte bien mouillée que l'on chercherait à investir en entier. Mes yeux te parlent. Ils te supplient de jouir. De jouir sur ma langue.. Ton bassin joue sur un rythme effréné tu t'accroches à ma chevelure dense et douce. Mes mains se détachent, empoignent tes fesses et te serrent contre mon visage. Mes lèvres se referment autour de ton pieu. Je te sens sur le bord de l'orgasme. Tu te contrôles à merveille..
Quelques derniers va-et-vient et le tour est joué, J'avale tout, te fixant tendrement. Je finis par lécher tes couilles à la recherche de ce qui m'aurait échappé.. je lave bien ta queue, pour laisser ma trace sans rien oublier d'autre..
Je me relève lorsque tu m'en donnes la permission.
T'embrasse doucement.
Et je pars..
Tes yeux m'implorent de te prendre.
J'approche mes lèvres doucement de ce gland bien gonflé que tu me présentes à la bouche. Maintenue à genoux par ta forte main sur mes tête, j'ai très envie de te montrer le talent de ma langue gourmande et avide. Je salive à l'idée que dans quelques minutes tu jouiras, tu crisperas les muscles de tes fesses et grognera comme le pire pervers que j'aie connu..
La mouille bien ta queue, qui coulisse dans ma bouche. Tu en sens la chaleur. Je t'aspire la chair et te caresse les couilles pendant un instant, ajoutant à ma tâche un regard traduisant mon envie de te faire te déverser dans ma gorge.
Ma langue chaude et bien humide s'enroule autour de ta queue, laissant une douce sensation de plaisir que tu ne veux pas laisser partir. Tu fermes les yeux, te détends, laisse glisser tes phalanges dans mes cheveux soyeux et libres..
Plus les minutes passent, plus tu as envie d'un peu moins de douceur et d'un peu plus de piquant.
Ton langage non-verbal me le dit. Et je comprends rapidement ce dont tu as besoin.
Mes mains se joignent derrière ma nuque, je m'adosse au mur. La succion devient plus intense, mon regard te transperce littéralement.
Tu t'agrippes à mes avant-bras pour contrôler le mouvement, pour ne pas jouir trop vite. Mais je t'excite trop.
Je change de technique. J'ouvre grand ma bouche, et fais pénétrer ta queue jusqu'au fond de ma gorge, sortant la langue pour atteindre tes couilles que je chatouille doucement.. je sens la salive qui coule sur mes lèvres. J'aime te baiser de cette façon. Je t'entends ronronner. J'aime ma position.
Bientôt, tu prends le contrôle. Ma tête bien appuyée contre le mur, tu baises ma gorge, comme une chatte bien mouillée que l'on chercherait à investir en entier. Mes yeux te parlent. Ils te supplient de jouir. De jouir sur ma langue.. Ton bassin joue sur un rythme effréné tu t'accroches à ma chevelure dense et douce. Mes mains se détachent, empoignent tes fesses et te serrent contre mon visage. Mes lèvres se referment autour de ton pieu. Je te sens sur le bord de l'orgasme. Tu te contrôles à merveille..
Quelques derniers va-et-vient et le tour est joué, J'avale tout, te fixant tendrement. Je finis par lécher tes couilles à la recherche de ce qui m'aurait échappé.. je lave bien ta queue, pour laisser ma trace sans rien oublier d'autre..
Je me relève lorsque tu m'en donnes la permission.
T'embrasse doucement.
Et je pars..
Sa trace sur ma peau
Il y a eu une journée où il est débarqué comme ça, de nulle part. Dans la vie de Jade. Parce qu'il disait aimer ce que j'écrivais. Parce qu'il disait que mes écrits le rejoignaient, allumaient en lui des fantasmes longuement imaginés. Son apparition comme ça dans mes messages, par des mots toujours bien choisis et remplis de respect. Bientôt un sentiment mutuel de confiance et une envie d'en apprendre sur l'autre de plus en plus grandissante. Un mois. Des conversations, des messages textes, des courriels, des appels. Des jeux sexy, des photos, des vidéos, des petits moments privilégiés au téléphone alors que j'étais sur mon sofa avec un jouet à la main et qu'il était à son bureau entourés de ces collègues à m'entendre gémir, crier, jouir au bout du fil. J'aimais, et j'aime encore l'émoustiller quand il s'en attend le moins. J'aime recevoir de jolies photo de sa verge pleine de son foutre, au moment où le dernier spasme orgasmique a quitté son corps. J'aime savoir quand il se touche. Quand il me dit que c'est à moi qu'il a pensé toute la soirée, que c'est devant ma photo qu'il s'est amusé la dernière fois.
Le nombre de fois où j'ai passé de longue minute à m'imaginer son corps, son regard, sa prise sur ma chair, son coup de bassin. J'avais envie de lui comme rarement j'ai eu envie d'un homme. J'avais envie de connaitre sa définition d'une baise bestiale et sauvage.
Je me souviens lui avoir raconté ma première fois avec mon Maitre, du temps où j'étais soumise. Quand j'avais laissé la porte ouverte et que Mr.G était entré chez-moi alors que je me tenais la tête baissée, nue à genoux et les mains dans le dos. Tant de choses me sont passées par la tête et me sont arrivées au plan sexuel depuis 3 ans. Et les derniers mois m'en ont fait découvrir beaucoup. Grâce à lui.
Il m'apparaissait évident que j'allais avoir avec lui une complicité que je ne soupçonnais pas. D'abord par sa grande sensibilité mais surtout par sa curiosité et son vécu dans l'univers de la domination. Sa façon d'en parler. De se raconter. De me confier son envie de jouer jusqu'aux limites du possible. Il m'accrochait par son côté sombre. Par ses révélations. Plus il m'en disait, plus j'avais envie de faire partie de ses fantasmes.
Durant un mois, chaque jours ont été marqué par des images de dépravation. De soumission. De jeux sexuels en tous genres. En tous lieux. J'avais replongé dans un univers parallèle où tout objet de la vie quotidienne me ramenait à ma période de soumise. Mais cette fois, j'avais envie d'être à sa main. D'être sienne. D'être à ses pieds.

Dès les premiers instant, je goûtais ses lèvres. Des lèvres pleines, une bouche large. Je regardais au fond de ses yeux. Ils me racontaient de bien belles choses. Je regardais son visage, sur lequel le temps avait laissé un voile de sagesse mais rien de plus. Il fait pourtant au moins deux fois mon âge mais à ce moment, je m'en foutais trop. Je me laissais emporter dans le mood du moment. Mais le mood m'a attrapé par la nuque, n'a fait me pencher sur le dossier de mon sectionnel et m'a donné la fessée de ma vie, me retenant à ma position durant de nombreuses minutes avant de m'ordonner de le sucer.
Découvrir sa verge, le toucher, le sentir, l'entendre et le voir autrement qu'à l'habitude m'allumait tellement. D'abord impressionnée, curieuse de sentir son gland gorgé se frotter à ma langue, pendant que ma petite main le masturbait. Il m'a grogné de remettre mes mains derrière mon dos, de ne me servir que de ma bouche. Bientôt sa queue au fond de ma gorge, je ne respirais plus. Mais j'aimais voir son regard s'allumer. Je le sentais excité et heureux de m'avoir à ses pieds, à ses ordres. Sa poignée ferme, qui me faisait me plier à toutes ses demandes, quand il insérait deux doigts dans ma chatte et les ramenait à ma bouche tout de suite après. Ses ongles dans la peau de mon dos ont laissé des traces durant des jours. Je me souviens de toutes les ecchymoses qui ont garni mon corps, de mes hanches à mes seins. Mes poignets. Mes seins qu'il a serré tellement fort entre son pouce et son index. Mes seins dont il a embrassé et mordu les mamelons. Ma gorge qu'il a serrée pour mon plus grand plaisir, coupant mon souffle, attentant à ma vie, mais me faisant mouiller doublement. Je me souviens de ses ongles qui ont déchiré ma peau par petites fissures, laissant une sensation de douleur tellement poussée à l'extrême qu'elle complétait la boucle et redevenait plaisir. Les miens ont du en faire autant, le long de ses côtes, par longues traces..
Nous avons passé deux heures à baiser partout dans mon appartement. Du sofa jusqu'au tapis de l'entrée. Puis, dans la chambre. Nous avons mouillé les draps de sueur. Je me souviendrai toujours de son emprise sur moi. Délicieusement douloureux. Diablement excitant. Ses dents s'enfonçant dans ma chair. Son corps sur le mien, ses cheveux suintants, coulant contre ma clavicule, le long de mes seins. La chaleur de la chambre, les mouvements lascifs mais empreint de violence assumée de ses reins contre mes fesses. J'avais mon jouet, mon buttplug orné d'un joyau bien inséré dans mon cul serré, je sentais monter en moi un plaisir intense. Et je ne pouvais pas supporter retarder la jouissance encore. Alors j'ai joui sur sa belle et large queue, me retenant à sa taille alors que j'avais les chevilles sur ses épaules. Je le fixais dans les yeux. J'embrassais sa bouche, lui mordillais la lèvre pendant qu'il agrippait mes cheveux pour me rappeler sa présence, son pouvoir sur moi.. Il a joui en longue saccades, laissant filer un grognement viril et sourd dans mon oreille. Mes draps gris n'ont jamais été aussi trempés.
Un après-midi qui a filé à vive allure.
Et est venu sa question: «Est-ce qu'on peut se revoir?..»
Et est venue ma réponse..
Et depuis..
...je ne vous le dit pas! ;)
Mamz'elle J xx
7.16.2013
Petit regard en arrière
À mes débuts dans l'univers de l'adultère, je me suis lancée un peu sans filet, sans savoir ce qui adviendrait de mes conceptions des relations amoureuses, de mon couple, de ma vie. Il y a eu beaucoup de changements dans ma vision de la vie et des sentiments entre un homme et une femme.
J'ai eu la chance depuis les dernières années d'avoir rencontré des gens extraordinaires. Parmi eux, 4 hommes. Mon chemin a croisé le leur par le plus beau mais aussi le plus grand des hasards.. Les hommes qui ont fait partie de ma vie d'amante ont tous eu à leur façon une leçon à m'apprendre, m'ont tous apporté par leur simple présence authentique dans ma vie, beaucoup de bonheur en me faisant découvrir le plaisir, le désir à travers leurs yeux et leur vécu. Je me considère extrêmement choyée d'avoir ainsi pu faire la connaissance de ces messieurs.
Mr.G, de qui j'ai tellement appris au niveau personnel. De qui j'ai réappris la confiance en l'autre autant que le don de soi. Avec qui j'ai partagé quelques uns des moments les plus intenses émotionnellement et physiquement. Avec qui j'ai eu le bonheur de m'aventurer dans la soumission, d'assouvir pour la première fois un fantasme qui est devenu réalité sous sa main l'année de mes 18 ans. Je n'oublierai jamais le regard bleu et communicatif de ce mâle au charme certain, au charisme particulier et à la poigne intense. Cet homme avec qui j'ai découvert également des artistes que j'affectionne et que j'écoute quotidiennement. Avec qui j'ai pu partager un peu de mon parcours de vie et dont j'ai pu entendre le sien également. Le premier qui, comme je le dis souvent, m'a fait découvrir ce qu'était la jouissance, une main à la gorge.. Je me connais mieux en tant que femme, en tant qu'amante et en tant que soumise grâce à lui. Mr.G fait encore partie de ma vie. Fait encore partie des gens qui ont changé la petite fille en femme. Qui ont élu domicile dans le coeur de Jade, celle que je suis devenue.
Il y a eu mon amant-amour, Laigle, de qui je ne me sépare plus depuis 3 ans. Avec qui j'aurai toujours envie de tenter toutes les folies les plus absurdes mais susceptibles de me faire crier comme la pire des salopes. Je sais qu'avec lui, je n'ai qu'à être moi. Je ne cherche pas à être plus. Je ne lui demande que d'être lui. Tout de lui me plait. J'aime son âme. Son côté tendre. Sa fougue à m'accompagner dans mes délires orgasmiques. Je pourrais tout lui dire sans me sentir comme une tarte. Je peux me permettre n'importe quelle confidence, n'importe quelle confession. Je passerais ma vie dans ses bras. Il est pour moi un deuxième amoureux, une deuxième paire de bras lorsque j'ai envie de me sentir aimée. Mais en fait, il est le seul à connaitre mes deux côtés si bien. Il est le seul à qui j'ai ouvert la fenêtre sur mon passé un peu obscure, à qui j'ai raconté mes délires d'adolescence, à qui j'ai raconté mes faiblesses et mes échecs parce que je sais qu'il voit en moi ce que j'ai de plus beau, de plus fort, de plus tripant. Et quand parfois il me dit qu'il aimerait que je lui en dévoile plus, je voudrais le rassurer en lui disant que je lui dit tellement plus que ce que je ne me pensais capable. On ne se voit pas tellement souvent, mais c'est peut-être ce qui garde en vie la flamme en moi. C'est peut-être ce qui tient embrasé ce petit feu en lui. Et le temps fait en sorte que je ne suis plus la jeune femme qui l'admirais et le trouvais si parfait il y a quelques années. Je suis maintenant la femme qui l'aime et qui passerait une vie à l'attendre à 200 kms de la maison où sa petite famille dort paisiblement..
Radioman, avec qui les ébats furent si longs mais de si courte durée. Un petit rayon de lumière, une douce musique à mon hiver frisquet. Un coeur d'or. Une âme généreuse. Un papa merveilleux. Un super amant. La douceur et l'intensité en même temps. Une verge se lécher les lèvres. Des yeux à tomber par terre. Des conversations profondes, parfois drôles aussi. Mais ce qui me manque encore davantage, c'est sa voix. La voix qui m'accompagnait tous les instants de mon weekend lorsque j'étais à la maison, en auto, au travail, à fantasmer sur lui au lendemain de notre première rencontre et encore après... Une histoire qui m'aura fait imaginer les 100 coups pour le déstabiliser.
Le dernier à avoir partagé mon lit, et non le moindre. Un homme sur qui les regards sont posés en permanence. Que tout le monde connait. Qui attire la sympathie, le respect. Élégant. Toujours bien mis. Respectueux. Lui et son côté caché.. lui et sa personnalité si complexe, mais au coeur tellement grand.
J'ai découvert la face caché d'un personnage mystérieux. J'ai redécouvert mes fantasmes de soumission. Il a remis ses envies de jouer sur la table et j'y ai répondu. J'ai découvert des zones inusités de mon imagination, où les images les plus trashs, les plus poussées, les plus insensées se sont révélé à moi tel un film. Un scénario de dépravation duquel je me serais sentie sale de parler. Je suis allée puiser dans des recoins de mon imaginaire et j'ai trouvé le partenaire idéal à ma fantasmagorie qui parfois attire tellement de questions et de jugements. Avec lui, rien de ça. Plus encore, une réponse positive à mes avances, à mes déboires, à mes envies les plus poussées. Un complément à mes attentes. Un rendez-vous dont je ne vous ai jamais parlé. Une rencontre. Simple. Définie.. Nous ne nous sommes vus qu'une fois. Un après-midi que je n'oublierai pas. Un jeu. Un rêve. J'ai encore du mal à y croire. Mieux que tout ce que j'ai imaginé. Un homme s'approchant de la perfection. Tellement beau. Tellement rassurant. Tellement sage. Tellement tout en fait. Un être unique et délirant. J'ai ri avec lui. J'ai joui avec lui. Espérer plus? Est-ce que je peux me le permettre? J'en sais strictement rien..
À partir du moment où j'ai assumé qui j'étais et ce que je voulais, je n'ai plus eu besoin de me sentir coupable. Le cheminement s'est fait graduellement, mais j'en suis à un point dans ma vie où je vois tout ce que ces expériences m'apportent. Je touche du bois; tout va bien dans le meilleur des mondes. Je suis entouré de gens en qui j'ai confiance, à qui je porte des sentiments sincères et avec qui j'ai envie de partager des moments inoubliables.. comme tous ceux qui me restent en mémoire depuis les dernières années..
J'ai eu la chance depuis les dernières années d'avoir rencontré des gens extraordinaires. Parmi eux, 4 hommes. Mon chemin a croisé le leur par le plus beau mais aussi le plus grand des hasards.. Les hommes qui ont fait partie de ma vie d'amante ont tous eu à leur façon une leçon à m'apprendre, m'ont tous apporté par leur simple présence authentique dans ma vie, beaucoup de bonheur en me faisant découvrir le plaisir, le désir à travers leurs yeux et leur vécu. Je me considère extrêmement choyée d'avoir ainsi pu faire la connaissance de ces messieurs.
Mr.G, de qui j'ai tellement appris au niveau personnel. De qui j'ai réappris la confiance en l'autre autant que le don de soi. Avec qui j'ai partagé quelques uns des moments les plus intenses émotionnellement et physiquement. Avec qui j'ai eu le bonheur de m'aventurer dans la soumission, d'assouvir pour la première fois un fantasme qui est devenu réalité sous sa main l'année de mes 18 ans. Je n'oublierai jamais le regard bleu et communicatif de ce mâle au charme certain, au charisme particulier et à la poigne intense. Cet homme avec qui j'ai découvert également des artistes que j'affectionne et que j'écoute quotidiennement. Avec qui j'ai pu partager un peu de mon parcours de vie et dont j'ai pu entendre le sien également. Le premier qui, comme je le dis souvent, m'a fait découvrir ce qu'était la jouissance, une main à la gorge.. Je me connais mieux en tant que femme, en tant qu'amante et en tant que soumise grâce à lui. Mr.G fait encore partie de ma vie. Fait encore partie des gens qui ont changé la petite fille en femme. Qui ont élu domicile dans le coeur de Jade, celle que je suis devenue.
Il y a eu mon amant-amour, Laigle, de qui je ne me sépare plus depuis 3 ans. Avec qui j'aurai toujours envie de tenter toutes les folies les plus absurdes mais susceptibles de me faire crier comme la pire des salopes. Je sais qu'avec lui, je n'ai qu'à être moi. Je ne cherche pas à être plus. Je ne lui demande que d'être lui. Tout de lui me plait. J'aime son âme. Son côté tendre. Sa fougue à m'accompagner dans mes délires orgasmiques. Je pourrais tout lui dire sans me sentir comme une tarte. Je peux me permettre n'importe quelle confidence, n'importe quelle confession. Je passerais ma vie dans ses bras. Il est pour moi un deuxième amoureux, une deuxième paire de bras lorsque j'ai envie de me sentir aimée. Mais en fait, il est le seul à connaitre mes deux côtés si bien. Il est le seul à qui j'ai ouvert la fenêtre sur mon passé un peu obscure, à qui j'ai raconté mes délires d'adolescence, à qui j'ai raconté mes faiblesses et mes échecs parce que je sais qu'il voit en moi ce que j'ai de plus beau, de plus fort, de plus tripant. Et quand parfois il me dit qu'il aimerait que je lui en dévoile plus, je voudrais le rassurer en lui disant que je lui dit tellement plus que ce que je ne me pensais capable. On ne se voit pas tellement souvent, mais c'est peut-être ce qui garde en vie la flamme en moi. C'est peut-être ce qui tient embrasé ce petit feu en lui. Et le temps fait en sorte que je ne suis plus la jeune femme qui l'admirais et le trouvais si parfait il y a quelques années. Je suis maintenant la femme qui l'aime et qui passerait une vie à l'attendre à 200 kms de la maison où sa petite famille dort paisiblement..
Radioman, avec qui les ébats furent si longs mais de si courte durée. Un petit rayon de lumière, une douce musique à mon hiver frisquet. Un coeur d'or. Une âme généreuse. Un papa merveilleux. Un super amant. La douceur et l'intensité en même temps. Une verge se lécher les lèvres. Des yeux à tomber par terre. Des conversations profondes, parfois drôles aussi. Mais ce qui me manque encore davantage, c'est sa voix. La voix qui m'accompagnait tous les instants de mon weekend lorsque j'étais à la maison, en auto, au travail, à fantasmer sur lui au lendemain de notre première rencontre et encore après... Une histoire qui m'aura fait imaginer les 100 coups pour le déstabiliser.
Le dernier à avoir partagé mon lit, et non le moindre. Un homme sur qui les regards sont posés en permanence. Que tout le monde connait. Qui attire la sympathie, le respect. Élégant. Toujours bien mis. Respectueux. Lui et son côté caché.. lui et sa personnalité si complexe, mais au coeur tellement grand.
J'ai découvert la face caché d'un personnage mystérieux. J'ai redécouvert mes fantasmes de soumission. Il a remis ses envies de jouer sur la table et j'y ai répondu. J'ai découvert des zones inusités de mon imagination, où les images les plus trashs, les plus poussées, les plus insensées se sont révélé à moi tel un film. Un scénario de dépravation duquel je me serais sentie sale de parler. Je suis allée puiser dans des recoins de mon imaginaire et j'ai trouvé le partenaire idéal à ma fantasmagorie qui parfois attire tellement de questions et de jugements. Avec lui, rien de ça. Plus encore, une réponse positive à mes avances, à mes déboires, à mes envies les plus poussées. Un complément à mes attentes. Un rendez-vous dont je ne vous ai jamais parlé. Une rencontre. Simple. Définie.. Nous ne nous sommes vus qu'une fois. Un après-midi que je n'oublierai pas. Un jeu. Un rêve. J'ai encore du mal à y croire. Mieux que tout ce que j'ai imaginé. Un homme s'approchant de la perfection. Tellement beau. Tellement rassurant. Tellement sage. Tellement tout en fait. Un être unique et délirant. J'ai ri avec lui. J'ai joui avec lui. Espérer plus? Est-ce que je peux me le permettre? J'en sais strictement rien..
À partir du moment où j'ai assumé qui j'étais et ce que je voulais, je n'ai plus eu besoin de me sentir coupable. Le cheminement s'est fait graduellement, mais j'en suis à un point dans ma vie où je vois tout ce que ces expériences m'apportent. Je touche du bois; tout va bien dans le meilleur des mondes. Je suis entouré de gens en qui j'ai confiance, à qui je porte des sentiments sincères et avec qui j'ai envie de partager des moments inoubliables.. comme tous ceux qui me restent en mémoire depuis les dernières années..
Mes Confessions
Je suis une salope qui fait de belles rencontres
7.15.2013
Roadtrip improvisé
Je n'aime pas les surprises.
Il le sait. Alors depuis quelques mois, quand nous avons un peu de temps et qu'il veut me surprendre malgré tout, il me dit les grandes lignes pour me rassurer et je lui fais confiance pour le reste.
Le plan de la journée était qu'on partait sur un no where, et qu'on avait 5 heures pour revenir à bon port. Alors il est passé me chercher avec une auto de location au look sport et son sourire le plus éclatant et nous sommes partis pour une demi-journée de plaisirs. J'avais un code vestimentaire. La jupe ou la robe de mon choix, pas de sous-vêtement. Alors, j'ai enfilé une mini-jupe noire avec des fermetures éclair dorées, une camisole bien simple et un super collier style «Cléopâtre». Cheveux bouclés soigneusement, ligne de khôl sur l'oeil, nous voilà sur la route du bonheur!
Au tout début du périple nous discutions tranquillement et il me touchait délicatement, sa main glissait de l'intérieur à l'extérieur de ma cuisse.. puis, un peu plus bas sur ma jambe. Puis, un peu plus loin sous ma jupe... Je discutais de tout et de rien pour essayer de garder mon calme. Parfois en auto, vous savez ce que c'est.. le mouvement entraînant d'une main vous caressant la verge pendant la conduite peut être assez déconcentrant! Mais le plus comique, c'est que normalement, dans l'auto de Laigle, il n'y a pas l'immense console pour le bras de vitesse et les portes-gobelets et tout les gadgets inutiles au milieu de nos deux sièges.. je peux me permettre de m'agenouiller au fond de l'auto pour gâter mon homme en toute liberté de mouvement. Pas cette fois. Dommage..
La route nous a amené dans les Cantons-de-l'Est, au milieu de vallons et de collines verdoyantes à couper le souffle. Au milieu de nulle part, comme un phare venant au secours de notre envie mutuelle de baiser torridement bien présente, un observatoire au pied d'une tour cellulaire en haut d'une très haute côte. Sans même se poser de questions, nous voilà sortis de l'auto pour aller y jeter un oeil. L'endroit comme tel est désert, mais il ne se trouve qu'à quelques mètres seulement d'une route où passent motos et véhicules agricoles. Alors, les chances de se faire prendre sont assez élevées.. j'aime déja!!
Sitôt arrivés, nous commençons à nous embrasser, nos langues se trouvent et je sens s'infiltrer une main sous ma jupe. Laigle me devine excitée. Il devine surtout quels sont mes plans pour les prochaines minutes..
Je le pousse contre la petite galerie de bois et m'agenouille devant lui. Sa ceinture devient le plus excitant des obstacles et quand je parviens finalement à la détacher, sa queue jaillit de son boxer bleu ligné pour se retrouver contre mes lèvres. Je le prend en bouche et y donne l'énergie nécessaire à lui montrer que je me suis ennuyée trop de lui et de son corps. Mais cette pipe ne dura pas longtemps. En fait, il m'arrêta pour me dire qu'il avait envie de me baiser. Et, je ne suis pas du genre à discuter quand on me dit des choses comme ça!
Je me suis remise debout, j'ai remontée ma jupe sur mes hanches, et un pied sur le bord de la galerie, j'ai offert mon cul à mon amant, en pleine nature. Il me chauffait depuis si longtemps que sa queue a trouvé le chemin de ma chatte en un rien de temps. Quelques coups de hanches bien sentis, des gémissements audibles d'assez loin, nous avons freiné notre activité favorite pour laisser passer un motocycliste.. qui a décidé de venir s'installer juste à côté de nous pour manger sa pomme!
Clairement AUCUNEMENT subtils, moi et mon amant nous rhabillions lorsqu'il a stationné sa moto, faisant fi de ne pas nous regarder. Dans ma nervosité palpable, mais dans une excitation certaine, je me suis mise à ricaner. Tout de même un peu fâchée que nos ébats soient freinés par un dude consommant sa portion quotidienne de fruits, nous nous somme dirigés de l'autre côté de la rue et avons descendus quelques mètres un petit sentier dans un champ de blé. Je redeviens une petite fille quand je me retrouve en campagne. Pendant que je gambadais, entourée de marguerites et d'autre fleurs sauvages avec une envie de valser dans les longues feuilles, Laigle m'a baissé ma jupe au beau milieu du champ, me poussant sur le dos et me faisant me coucher sur les herbes hautes pour venir lécher ma chatte trempée. Je me souciais de ce que les passants allaient voir, mais d'une autre côté, je prenais trop mon pied pour lui dire d'arrêter. J'entendais les autos arriver et ralentir à notre hauteur. Il a baissé son pantalon après m'avoir embrassé. Ses lèvres goûtaient mon miel. Je sentais mon odeur sur sa barbichette et ses yeux me disaient qu'il allait me prendre..
Il a relevé mes cuisses sur les côtés de son bassin et m'a prise en pleine nature. Je gémissais fort, mordant ma lèvre inférieure et me retenant à une poignée de fleurs. Je sentais sa verge coulisser rapidement dans ma chatte inondée et la sensation de me retrouver en pleine nature, aux vues et aux sus de tout le monde me donnait une petite excitation supplémentaire. Il me dit alors: «Je suis trop excité, comment tu veux me faire jouir?» Toute souriante, j'avais envie qu'il me jouisse sur les seins et qu'il essuie son gland sur ma langue ensuite. Avec ma bouille de jeune fille, je lui ai dit de me suivre. Le motocycliste était reparti et j'avais envie de baiser dans un endroit dont on allait se souvenir. De retour au petit observatoire, je ne me soucias plus de qui allait passer, de ce qui allait arriver. Je ne voulais qu'une chose; qu'il me baise right here, right now et visiblement, il a bien compris!
J'ai voulu qu'il me baise sur la table à pique-nique adjacente à la route, mais c'était plus sécuritaire de tenter le banc de l'observatoire, surtout par rapport au traffic dans la côte. Laigle m'a prise en levrette. Je me tenais fermement sur les barreaux de bois alors qu'il me pilonnait le sexe. Je sentais ses couilles taper contre mes lèvres et j'ai eu droit à un redoublement d'ardeur quand il m'a averti qu'il allait jouir. Je le sentais sur le bord de l'orgasme, quand il m'a pénétré de façon effrénée pendant quelques minutes avant de jouir de toutes ses forces dans ma chatte offerte. S’agrippant à mes hanches, il y allait de coups de reins fermes et de cris exaltants. J'adore quand il me crie sa jouissance à l'oreille pendant qu'il me pilonne.
Nous avons regagné l'auto avec le sourire aux lèvres, et avons repris la route.. une longue route où j'en ai appris des choses! Il y a quelques souvenirs de son enfance dont je n'étais pas au courant, des histoires de famille, mais nous avons surtout parlé d'un sujet que j'affectionne particulièrement; les souvenirs de nos amours passés. Il me parlait de sa collègue d'une époque lointaine pour qui il aurait tout laissé tomber pour partir avec elle et je lui parlais d'un amour inguérissable que j'ai laissé derrière moi quand je suis partie de ma campagne natale et qui me hante depuis 5 ans. Laigle me parlait de sa première copine, de cette fois où il a eu le coeur brisé alors qu'il découvrait un peu malgré lui ce qu'était l'adultère ou du moins ce qui s'en approchait, trahison et désir de notre partenaire pour une autre personne... ce genre de confidences-là que l'on ne se fait pas sur l'oreiller par manque de temps ou d'intérêt, ou parce que le contexte ne s'y prête pas bien me fait me sentir plus près de l'homme de qui je suis amoureuse. Nous avons aussi parlé de mon avenir avec mes amants actuels. De ce qui se passait avec Radioman, avec Mr.G, avec un autre homme dont je ne vous ai jamais parlé mais avec qui j'ai eu un après-midi dément et que j'aimerais bien revoir.. Tant de choses à se raconter.
Après un peu plus d'une heure de route, nous avons mis les pieds dans un petit village à proximité du Fleuve. Le temps d'aller chercher quelques victuailles, j'attendais Laigle dans l'auto en observant une carte géographique - Tellement Old School! - et en découvrant les différentes municipalités aux noms imprononçables du Québec. Nous sommes descendus au Fleuve et nous y avons donc fait un pique-nique.
J'aime profiter de l'air marin, écouter les vagues et ressasser des souvenirs. Ces moments privilégiés avec mon amant me permettent de découvrir d'autres facettes de sa personnalité. Ça nous sort un peu du contexte habituel de l'hôtel, des draps de percale, de nos folles journées à jouir sans regarder les minutes et les heures passer sur le réveille-matin. Mais c'est tout aussi agréable et tellement unique.
Je me suis couchée la tête contre lui, pendant qu'il caressait mes seins sous ma camisole. Il pinçait le bout de mes mamelons. Je fermais les yeux et ouvrait les cuisses juste pour faire entrer un peu d'air.. la caresse du vent me suffisait à me réchauffer pour un autre sprint orgasmique, mais le temps avait filé et nous devions partir.
Il est donc venu me déposer à la maison. Et m'a fait cadeau d'un pain aux bananes!
**Le pain aux bananes est un running gag entre moi et lui depuis des mois. En fait, c'est un de mes desserts préférés et c'est aussi une de ses spécialités culinaires, bien que celui-ci fut confectionné par ses enfants. Alors, il m'a promis, il y a de cela près d'un an de m'en apporter un. Quelques tentatives manquées, dont un envoi par le biais d'un ami qui me l'aurait laissé sur le pas de ma porte mais que je n'ai jamais vu, et puis voilà! Je me retrouve avec un immense pain aux bananes à camoufler à la maison!**
Très anecdotique le pain aux bananes, je vous le concède. Mais ça a été un des plus grands bonheurs de ma journée, de rentrer chez-moi, de m'asseoir dans le fauteuil avec un bon café un une belle tranche épaisse de ce délicieux pain.. et je savoure encore ma rencontre avec mon chéri.
Nous ne nous reverrons pas avant quelques semaines puisque je suis assez occupée point de vue travail et lui part en vacances. Mais je lui prépare une petite surprise pour l'arrivée de l'automne. ;)
Mamz'elle J xx
Il le sait. Alors depuis quelques mois, quand nous avons un peu de temps et qu'il veut me surprendre malgré tout, il me dit les grandes lignes pour me rassurer et je lui fais confiance pour le reste.
Le plan de la journée était qu'on partait sur un no where, et qu'on avait 5 heures pour revenir à bon port. Alors il est passé me chercher avec une auto de location au look sport et son sourire le plus éclatant et nous sommes partis pour une demi-journée de plaisirs. J'avais un code vestimentaire. La jupe ou la robe de mon choix, pas de sous-vêtement. Alors, j'ai enfilé une mini-jupe noire avec des fermetures éclair dorées, une camisole bien simple et un super collier style «Cléopâtre». Cheveux bouclés soigneusement, ligne de khôl sur l'oeil, nous voilà sur la route du bonheur!
Au tout début du périple nous discutions tranquillement et il me touchait délicatement, sa main glissait de l'intérieur à l'extérieur de ma cuisse.. puis, un peu plus bas sur ma jambe. Puis, un peu plus loin sous ma jupe... Je discutais de tout et de rien pour essayer de garder mon calme. Parfois en auto, vous savez ce que c'est.. le mouvement entraînant d'une main vous caressant la verge pendant la conduite peut être assez déconcentrant! Mais le plus comique, c'est que normalement, dans l'auto de Laigle, il n'y a pas l'immense console pour le bras de vitesse et les portes-gobelets et tout les gadgets inutiles au milieu de nos deux sièges.. je peux me permettre de m'agenouiller au fond de l'auto pour gâter mon homme en toute liberté de mouvement. Pas cette fois. Dommage..
La route nous a amené dans les Cantons-de-l'Est, au milieu de vallons et de collines verdoyantes à couper le souffle. Au milieu de nulle part, comme un phare venant au secours de notre envie mutuelle de baiser torridement bien présente, un observatoire au pied d'une tour cellulaire en haut d'une très haute côte. Sans même se poser de questions, nous voilà sortis de l'auto pour aller y jeter un oeil. L'endroit comme tel est désert, mais il ne se trouve qu'à quelques mètres seulement d'une route où passent motos et véhicules agricoles. Alors, les chances de se faire prendre sont assez élevées.. j'aime déja!!
Sitôt arrivés, nous commençons à nous embrasser, nos langues se trouvent et je sens s'infiltrer une main sous ma jupe. Laigle me devine excitée. Il devine surtout quels sont mes plans pour les prochaines minutes..
Je le pousse contre la petite galerie de bois et m'agenouille devant lui. Sa ceinture devient le plus excitant des obstacles et quand je parviens finalement à la détacher, sa queue jaillit de son boxer bleu ligné pour se retrouver contre mes lèvres. Je le prend en bouche et y donne l'énergie nécessaire à lui montrer que je me suis ennuyée trop de lui et de son corps. Mais cette pipe ne dura pas longtemps. En fait, il m'arrêta pour me dire qu'il avait envie de me baiser. Et, je ne suis pas du genre à discuter quand on me dit des choses comme ça!
Je me suis remise debout, j'ai remontée ma jupe sur mes hanches, et un pied sur le bord de la galerie, j'ai offert mon cul à mon amant, en pleine nature. Il me chauffait depuis si longtemps que sa queue a trouvé le chemin de ma chatte en un rien de temps. Quelques coups de hanches bien sentis, des gémissements audibles d'assez loin, nous avons freiné notre activité favorite pour laisser passer un motocycliste.. qui a décidé de venir s'installer juste à côté de nous pour manger sa pomme!
Clairement AUCUNEMENT subtils, moi et mon amant nous rhabillions lorsqu'il a stationné sa moto, faisant fi de ne pas nous regarder. Dans ma nervosité palpable, mais dans une excitation certaine, je me suis mise à ricaner. Tout de même un peu fâchée que nos ébats soient freinés par un dude consommant sa portion quotidienne de fruits, nous nous somme dirigés de l'autre côté de la rue et avons descendus quelques mètres un petit sentier dans un champ de blé. Je redeviens une petite fille quand je me retrouve en campagne. Pendant que je gambadais, entourée de marguerites et d'autre fleurs sauvages avec une envie de valser dans les longues feuilles, Laigle m'a baissé ma jupe au beau milieu du champ, me poussant sur le dos et me faisant me coucher sur les herbes hautes pour venir lécher ma chatte trempée. Je me souciais de ce que les passants allaient voir, mais d'une autre côté, je prenais trop mon pied pour lui dire d'arrêter. J'entendais les autos arriver et ralentir à notre hauteur. Il a baissé son pantalon après m'avoir embrassé. Ses lèvres goûtaient mon miel. Je sentais mon odeur sur sa barbichette et ses yeux me disaient qu'il allait me prendre..
Il a relevé mes cuisses sur les côtés de son bassin et m'a prise en pleine nature. Je gémissais fort, mordant ma lèvre inférieure et me retenant à une poignée de fleurs. Je sentais sa verge coulisser rapidement dans ma chatte inondée et la sensation de me retrouver en pleine nature, aux vues et aux sus de tout le monde me donnait une petite excitation supplémentaire. Il me dit alors: «Je suis trop excité, comment tu veux me faire jouir?» Toute souriante, j'avais envie qu'il me jouisse sur les seins et qu'il essuie son gland sur ma langue ensuite. Avec ma bouille de jeune fille, je lui ai dit de me suivre. Le motocycliste était reparti et j'avais envie de baiser dans un endroit dont on allait se souvenir. De retour au petit observatoire, je ne me soucias plus de qui allait passer, de ce qui allait arriver. Je ne voulais qu'une chose; qu'il me baise right here, right now et visiblement, il a bien compris!
J'ai voulu qu'il me baise sur la table à pique-nique adjacente à la route, mais c'était plus sécuritaire de tenter le banc de l'observatoire, surtout par rapport au traffic dans la côte. Laigle m'a prise en levrette. Je me tenais fermement sur les barreaux de bois alors qu'il me pilonnait le sexe. Je sentais ses couilles taper contre mes lèvres et j'ai eu droit à un redoublement d'ardeur quand il m'a averti qu'il allait jouir. Je le sentais sur le bord de l'orgasme, quand il m'a pénétré de façon effrénée pendant quelques minutes avant de jouir de toutes ses forces dans ma chatte offerte. S’agrippant à mes hanches, il y allait de coups de reins fermes et de cris exaltants. J'adore quand il me crie sa jouissance à l'oreille pendant qu'il me pilonne.
Nous avons regagné l'auto avec le sourire aux lèvres, et avons repris la route.. une longue route où j'en ai appris des choses! Il y a quelques souvenirs de son enfance dont je n'étais pas au courant, des histoires de famille, mais nous avons surtout parlé d'un sujet que j'affectionne particulièrement; les souvenirs de nos amours passés. Il me parlait de sa collègue d'une époque lointaine pour qui il aurait tout laissé tomber pour partir avec elle et je lui parlais d'un amour inguérissable que j'ai laissé derrière moi quand je suis partie de ma campagne natale et qui me hante depuis 5 ans. Laigle me parlait de sa première copine, de cette fois où il a eu le coeur brisé alors qu'il découvrait un peu malgré lui ce qu'était l'adultère ou du moins ce qui s'en approchait, trahison et désir de notre partenaire pour une autre personne... ce genre de confidences-là que l'on ne se fait pas sur l'oreiller par manque de temps ou d'intérêt, ou parce que le contexte ne s'y prête pas bien me fait me sentir plus près de l'homme de qui je suis amoureuse. Nous avons aussi parlé de mon avenir avec mes amants actuels. De ce qui se passait avec Radioman, avec Mr.G, avec un autre homme dont je ne vous ai jamais parlé mais avec qui j'ai eu un après-midi dément et que j'aimerais bien revoir.. Tant de choses à se raconter.
Après un peu plus d'une heure de route, nous avons mis les pieds dans un petit village à proximité du Fleuve. Le temps d'aller chercher quelques victuailles, j'attendais Laigle dans l'auto en observant une carte géographique - Tellement Old School! - et en découvrant les différentes municipalités aux noms imprononçables du Québec. Nous sommes descendus au Fleuve et nous y avons donc fait un pique-nique.
J'aime profiter de l'air marin, écouter les vagues et ressasser des souvenirs. Ces moments privilégiés avec mon amant me permettent de découvrir d'autres facettes de sa personnalité. Ça nous sort un peu du contexte habituel de l'hôtel, des draps de percale, de nos folles journées à jouir sans regarder les minutes et les heures passer sur le réveille-matin. Mais c'est tout aussi agréable et tellement unique.
Je me suis couchée la tête contre lui, pendant qu'il caressait mes seins sous ma camisole. Il pinçait le bout de mes mamelons. Je fermais les yeux et ouvrait les cuisses juste pour faire entrer un peu d'air.. la caresse du vent me suffisait à me réchauffer pour un autre sprint orgasmique, mais le temps avait filé et nous devions partir.
Il est donc venu me déposer à la maison. Et m'a fait cadeau d'un pain aux bananes!
**Le pain aux bananes est un running gag entre moi et lui depuis des mois. En fait, c'est un de mes desserts préférés et c'est aussi une de ses spécialités culinaires, bien que celui-ci fut confectionné par ses enfants. Alors, il m'a promis, il y a de cela près d'un an de m'en apporter un. Quelques tentatives manquées, dont un envoi par le biais d'un ami qui me l'aurait laissé sur le pas de ma porte mais que je n'ai jamais vu, et puis voilà! Je me retrouve avec un immense pain aux bananes à camoufler à la maison!**
Très anecdotique le pain aux bananes, je vous le concède. Mais ça a été un des plus grands bonheurs de ma journée, de rentrer chez-moi, de m'asseoir dans le fauteuil avec un bon café un une belle tranche épaisse de ce délicieux pain.. et je savoure encore ma rencontre avec mon chéri.
Nous ne nous reverrons pas avant quelques semaines puisque je suis assez occupée point de vue travail et lui part en vacances. Mais je lui prépare une petite surprise pour l'arrivée de l'automne. ;)
Mamz'elle J xx
Entrer dans son intimité..
Un bon soir alors que je ne travaillais pas, mon téléphone sonne.
Message de Mr.G, qui m'invite à passer le voir chez-lui.
Nos rencontres se sont faites beaucoup moins nombreuses depuis un an environ. Sans nous être perdus de vue, disons que nous avions des occupations en tous genres, chacun de notre côté.
Je lui répond que je suis sur la route, mais que je peux être chez-lui dans le courant de la soirée, le temps de me trouver un alibi et de passer faire une course ou deux. Finalement, vers 19h15, je sonne à sa porte.
Vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise blanche, l'oeil vif et les cheveux savamment décoiffés, il m'a accueillis chez-lui avec le sourire Pepsodent que je lui connais et une envie de me baiser palpable. Pour le remercier de son accueil, je lui avais réservé une petite surprise. J'étais totalement nue sous ma robe courte..
Il m'invite à entrer. Tout de suite, alors que j'ai encore mes souliers dans les pieds et mes clés dans les mains, il me prend par la taille pour rapprocher nos corps. Nos bouches se trouvent, nos lèvres se caressent. Il y a longtemps que j'avais envie de me retrouver sur son territoire, même si je vivais très bien avec nos rencontres dans mon appartement. Cette fois-ci, je me ressentais un certain plaisir à observer son quotidien, son environnement.. Depuis tout le temps que je fantasmais à l'idée de le voir se masturber sur son sofa, dans son lit, dans sa douche.. maintenant, je voyais exactement les endroits tant imaginés.
Nous nous sommes longuement embrassés.. ses lèvres ont une façon unique de joindre les miennes. Sa langue a une façon délicieuse de caresser la mienne.. ses mains dans mon dos, sur mes hanches.. sur mes fesses.. je me sentais me réchauffer. J'avais tellement envie de l'entendre me murmurer à quel point il aimait ma façon de le sucer. Je n'ai pas eu à attendre longtemps.
Il m'a enlevé ma robe dans les 4 premières minutes. Je l'ai déshabillé quelques secondes plus tard.. À genoux sur la marqueterie au beau milieu de son entrée, j'avais sa longue queue dans la main pendant que sa main se perdait dans mes longs cheveux détachés. Je mouillais de salive son gland gonflé à bloc pendant que ma main coulissait le long de sa tige. Je sentais ses cuisses et ses fesses se crisper de plaisir sous mes caresses qui oscillaient entre douceur et douleur.. mes ongles griffaient tendrement la peau de son cul pendant que ma langue s'enroulait autour de sa verge.. J'aime voir ses paupières se fermer sous l'effet de mes caresses. J'aime sentir sa respiration s'accélérer lorsque ma langue pointe sur son cul pendant que je le branle d'une main.
Son regard bleu plongé dans le mien, il m'a fait me relever et le suivre vers le sofa. Il s'y est assis et je suis montée pour le chevaucher. Empalée sur son pieu, je faisais onduler mon bassin au dessus de son corps. Mon nez dans son cou, je me gavais de son parfum d'homme, de la douceur de sa peau et de ses cheveux châtains devenus hirsutes. Après quelques minutes, je me suis retrouvée à 4 pattes sur le bord du sofa. Quand il s'est inséré entièrement en moi, j'ai eu un mouvement de recul. Je le sentais me défoncer de plus en plus rapidement. Ses doigts serraient ma peau, je me concentrais sur ses gémissements puissants. Je lui ai demandé de me baiser dans son lit..
Et ma petite fantaisie fut exaucée.
C'est avec un sourire de fierté et une très, très grande excitation que je l'ai suivi jusqu'à sa chambre. Je ne lui ai encore pas avoué ouvertement que c'était l'un de mes grands fantasmes que celui de jouir dans le lit conjugal d'un amant.. Il m'a alors reprise par derrière, tenant ma crinière d'une main et ma gorge de l'autre. Il connait assez bien mon petit penchant pour la strangulation. Il sait aussi que mon fantasme peut me mener bien loin..
Je me sentais faiblir. Mais ses coups de bassin me ramenaient à la vie. J'étais totalement partagée entre mon envie d'exploser ma jouissance, et celle de laisser tout mon corps s'allonger sur le drap, devenu humide sous nos corps excités. Il a joui en moi, en longues saccades, sous les assauts de ses reins contre mes fesses. Ma main glissée entre mes cuisses avaient un accès sans restriction jusqu'à mon clito bien mouillé, que je ne me gênais pas pour caresser doucement. Je sentais venir l'orgasme. Un tout petit coït, que j'ai laissé se perdre dans les cris de jouissance de mon amant et Maître.
Je me suis relevée de son lit avec une envie de recommencer. Encore et encore.
À chaque fois, c'est pareil. Je n'ai pas envie de le laisser. Avec les années, j'ai compris qu'il valait mieux en profiter lorsque l'occasion se présente et laisser les choses se faire quand l'heure est venue.
Ce soir-là, nous avions environ deux heures de libre ensemble. J'ai remis ma robe. Nous nous sommes assis et avons discuté quelques minutes. De son enfance et de sa table de salon entre autre! (Anecdote personnelle de mon bel amant..)
On s'est promis de remettre ça. Ce que nous avons fait aujourd'hui.. mais ça, c'est une autre histoire!
Je réalise que bientôt 4 ans se sont écoulés depuis que nos vies se sont croisées. Le temps passe si vite. J'ai une théorie là-dessus! Il y a parfois des relations qui prennent du temps à bien construire. Mais même si les jours passent, il est aussi fascinant de voir que rien ne se perd.
En fait, tout se transforme..
Mamz'elle J xx
Message de Mr.G, qui m'invite à passer le voir chez-lui.
Nos rencontres se sont faites beaucoup moins nombreuses depuis un an environ. Sans nous être perdus de vue, disons que nous avions des occupations en tous genres, chacun de notre côté.
Je lui répond que je suis sur la route, mais que je peux être chez-lui dans le courant de la soirée, le temps de me trouver un alibi et de passer faire une course ou deux. Finalement, vers 19h15, je sonne à sa porte.
Vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise blanche, l'oeil vif et les cheveux savamment décoiffés, il m'a accueillis chez-lui avec le sourire Pepsodent que je lui connais et une envie de me baiser palpable. Pour le remercier de son accueil, je lui avais réservé une petite surprise. J'étais totalement nue sous ma robe courte..
Il m'invite à entrer. Tout de suite, alors que j'ai encore mes souliers dans les pieds et mes clés dans les mains, il me prend par la taille pour rapprocher nos corps. Nos bouches se trouvent, nos lèvres se caressent. Il y a longtemps que j'avais envie de me retrouver sur son territoire, même si je vivais très bien avec nos rencontres dans mon appartement. Cette fois-ci, je me ressentais un certain plaisir à observer son quotidien, son environnement.. Depuis tout le temps que je fantasmais à l'idée de le voir se masturber sur son sofa, dans son lit, dans sa douche.. maintenant, je voyais exactement les endroits tant imaginés.
Nous nous sommes longuement embrassés.. ses lèvres ont une façon unique de joindre les miennes. Sa langue a une façon délicieuse de caresser la mienne.. ses mains dans mon dos, sur mes hanches.. sur mes fesses.. je me sentais me réchauffer. J'avais tellement envie de l'entendre me murmurer à quel point il aimait ma façon de le sucer. Je n'ai pas eu à attendre longtemps.
Il m'a enlevé ma robe dans les 4 premières minutes. Je l'ai déshabillé quelques secondes plus tard.. À genoux sur la marqueterie au beau milieu de son entrée, j'avais sa longue queue dans la main pendant que sa main se perdait dans mes longs cheveux détachés. Je mouillais de salive son gland gonflé à bloc pendant que ma main coulissait le long de sa tige. Je sentais ses cuisses et ses fesses se crisper de plaisir sous mes caresses qui oscillaient entre douceur et douleur.. mes ongles griffaient tendrement la peau de son cul pendant que ma langue s'enroulait autour de sa verge.. J'aime voir ses paupières se fermer sous l'effet de mes caresses. J'aime sentir sa respiration s'accélérer lorsque ma langue pointe sur son cul pendant que je le branle d'une main.
Son regard bleu plongé dans le mien, il m'a fait me relever et le suivre vers le sofa. Il s'y est assis et je suis montée pour le chevaucher. Empalée sur son pieu, je faisais onduler mon bassin au dessus de son corps. Mon nez dans son cou, je me gavais de son parfum d'homme, de la douceur de sa peau et de ses cheveux châtains devenus hirsutes. Après quelques minutes, je me suis retrouvée à 4 pattes sur le bord du sofa. Quand il s'est inséré entièrement en moi, j'ai eu un mouvement de recul. Je le sentais me défoncer de plus en plus rapidement. Ses doigts serraient ma peau, je me concentrais sur ses gémissements puissants. Je lui ai demandé de me baiser dans son lit..
Et ma petite fantaisie fut exaucée.
C'est avec un sourire de fierté et une très, très grande excitation que je l'ai suivi jusqu'à sa chambre. Je ne lui ai encore pas avoué ouvertement que c'était l'un de mes grands fantasmes que celui de jouir dans le lit conjugal d'un amant.. Il m'a alors reprise par derrière, tenant ma crinière d'une main et ma gorge de l'autre. Il connait assez bien mon petit penchant pour la strangulation. Il sait aussi que mon fantasme peut me mener bien loin..
Je me sentais faiblir. Mais ses coups de bassin me ramenaient à la vie. J'étais totalement partagée entre mon envie d'exploser ma jouissance, et celle de laisser tout mon corps s'allonger sur le drap, devenu humide sous nos corps excités. Il a joui en moi, en longues saccades, sous les assauts de ses reins contre mes fesses. Ma main glissée entre mes cuisses avaient un accès sans restriction jusqu'à mon clito bien mouillé, que je ne me gênais pas pour caresser doucement. Je sentais venir l'orgasme. Un tout petit coït, que j'ai laissé se perdre dans les cris de jouissance de mon amant et Maître.
Je me suis relevée de son lit avec une envie de recommencer. Encore et encore.
À chaque fois, c'est pareil. Je n'ai pas envie de le laisser. Avec les années, j'ai compris qu'il valait mieux en profiter lorsque l'occasion se présente et laisser les choses se faire quand l'heure est venue.
Ce soir-là, nous avions environ deux heures de libre ensemble. J'ai remis ma robe. Nous nous sommes assis et avons discuté quelques minutes. De son enfance et de sa table de salon entre autre! (Anecdote personnelle de mon bel amant..)
On s'est promis de remettre ça. Ce que nous avons fait aujourd'hui.. mais ça, c'est une autre histoire!
Je réalise que bientôt 4 ans se sont écoulés depuis que nos vies se sont croisées. Le temps passe si vite. J'ai une théorie là-dessus! Il y a parfois des relations qui prennent du temps à bien construire. Mais même si les jours passent, il est aussi fascinant de voir que rien ne se perd.
En fait, tout se transforme..
Mamz'elle J xx
7.14.2013
Constat triennal
Dans toute cette histoire, il y aura eu moi et ma peur me m'attacher, ma réticence à faire confiance aux gens.
Il y aura eu toi et ton envie de pousser mes limites pour ton propre plaisir et un peu le mien.
Et entre les deux, une histoire vieille de plus de 3 ans qui ne se finit pas..
Mamz'elle J xx
Il y aura eu toi et ton envie de pousser mes limites pour ton propre plaisir et un peu le mien.
Et entre les deux, une histoire vieille de plus de 3 ans qui ne se finit pas..
Mamz'elle J xx
6.10.2013
Réveille-matin
J'ai ouvert les yeux ce matin. Tranquille et légèrement ensoleillée, apparence de neige à l'horizon.
Après avoir glissé mon tiroir de lingerie pour y trouver mon plus bel ensemble de dentelle noire, je me suis dirigée vers ma garde-robe pour remettre ma nouvelle robe. Ceinturon de satin, veston noir et hautes bottes de velours noire à talon aiguille.. Tout était prêt, il me restait qu'à prendre une douche et déjeuner avant de débuter ma journée.
J'entre dans la douche, laissant ma longue robe de chambre en satin, inspiration kimono-japonais argent, tomber sur le sol de céramique de ma salle de bain. Réglant l'eau à une température plus chaude que la normale des gens, je laisse la porcelaine de la douche s'empreindre de la chaleur de l'eau avant d'y entrer. Je jette un oeil dans le mirroir; un regard de feu. Encore une autre soirée où j'ai oublié de me démaquilller les yeux. Ce matin, je me sens invincible. Et même si je couve un rhume depuis deux jours et que j'ai l'impression d'avoir une feuille de papier sablé au fond de la gorge, j'affiche un sourire brillant et motivateur..
J'abaisse d'un cran la température de l'eau.. Et j'y entre le bout d'un pied. Puis, tout le reste de la jambe et je sens ruisseler l'eau sur ma peau encore à jeûn d'expérience aujourd'hui. Rejettant la tête par derrière, je laisse mes cheveux s'abreuver de ces milliers de gouttes découlant de la pomme de le douche. en fermant les yeux, plein d'images me viennent en tête, dont celles de la dernière fois où j'avais amené mon jouet hydrofuge avec moi.. j'agite les bras et étend l'eau sur mes épaules, sur mes bras, et remonte à mes seins. Ils me semblent lourds, ronds.. fermes. J'aime les toucher sous l'eau. Les soulever, les prendre en mains, les coller l'un contre l'autre et sentir s'écouler la mousse sur mon bijoux.. J'étire donc le bras vers la bouteille de savon pour le corps, comme à l'habitude contenant de petites perles de beurre de karité pour adoucir mon grain de peau et qui me rend délicieuse à sentir (M'a-t-on dit..!) Je me savonne le haut de la poitrine, puis les bras.. puis les seins que je prend plaisir à frotter, je joue un peu avec eux.. puis je redescends vers le ventre, les cuisses, je lève une jambe puis l'autre.. je me rince et nettoie mes cheveux.. une routine habituelle,mais à laquelle j'ajoute un mouvement plus long, plus langoureux..
Lorsque je sors, un frisson me parcours.. j'aime bien m'enfermer dans la douche et ne sentir que la vapeur d'eau atteindre mon nez, mes paupières.. je n'aime pas vraiment avoir froid. Je me recouvre d'une grande serviette de bain, le temps d'essorrer mes cheveux, de les brosser pour les démêler et enlever l'excès d'eau. Je me dirige d'un pas décidé vers ma chambre, dans laquelle joue un air plutôt apaisant.. le CD que j'ai l'habitude d'écouter durant mes séances de Taï-Chi et de Yoga a fini par se retrouver en lecture dans mon carousel de chaîne stéréo. J'allume un bâton d'encens pour mettre une ambiance plus posée.. puis je me sèche les cheveux en y mettant le plus de volume possible. J'allume le fer à lisser et me dirige vers la partie détente de mon petit cocon pour me vêtir.
J'enfile la culotte en premier. Un culotte de style garçonne, avec un détail de satin qui donne une touche coquine à l'ensemble. Puis, j'enfile le soutien-gorge. J'aggraffe et je me retourne vers le miroir pour ajuster la bretelle..
Je lisse mes cheveux, section par section. et je me maquille. Les yeux, les joues, la bouche.. Je fouille dans ma collection de bijoux et glisse une bague à mon doigt, des boucles à mes oreilles et un bracelet à mon poignet.
Je regarde du coin de l'oeil mon ami le vibro, et ma montre.. il me reste bien un bon vingt minutes avant de partir pour mon unique cours de la journée. Je laisse tomber le sac à main, les livres et le manteau pour aller me blottir à nouveau sur mon lit, vibro à la main. Je sais comment me toucher, à quel endroit et en combien de temps je peux jouir avec mon instrument. Je me restreint à un orgasme. Un seul. Puis je pars.. Je me caresse par dessus ma robe, je la remonte sur mes hanches.. j'abaisse ma petite culotte et passe un doigt sur ma chatte.. déja mouillée.. je l'agite sur mon clito gonflé à bloc et je me laisse aller à travers mon imaginaire, voyant des corps se fondre l'un dans l'autre, observant les mains et les yeux d'un homme qui n'aurait pour but que celui de me faire atteindre le 7ieme ciel.. Quand je met en marche mon vibro rose, rien ne serait me tirer un sourire plus beau.. je lui frotte la tête sur ma fente inondée et pousse un peu, pour laisser un peu de mon jus sur la première partie de la verge de silicone.. puis, je recommence. La vibration, pourtant à un niveau assez bas, me semble infernale. Mon état d'excitation et tel que je sens que si je le réapproche de mon antre, il ne faudra que quelques secondes avant l'atteinte du Plaisir.. ce que je ne veux pas. Pas cette fois. J'attends. Une minute. Deux minutes.. puis, je me sens d'attaque. J'y replonge mon compagnon de jeu, qui y sauce sa verge plus facilement que jamais et je m'adonne à un plaisir certain. J'en frémis, mes orteils se crispent au bout de mes pieds. Je me sens absorbée par mes pensées perverses, mes idées secrètes, mes fantasmes les plus osés. Je sens que je vais atteindre le point de non retour... et je le fais aller un peu plus vite, une peu plus brusquement, un peu plus loin.. Un spasme vient me chercher. Une extase éphémère se passe.. Je profite de la contraction de mes muscles pour récupérer un peu de l'ère dans laquelle je suis. Sentiment de bien-être mêlé à de la déception que ça ne puisse pas durer quelques secondes de plus, cet état de décontraction.. Mais je récupère vite et bien.
Je lèche mes doigts, en coquine que je suis. Puis, je nettoie le jouet, le remet sous l'oreiller et.. tant qu'à être en état de les recevoir, j'insère en moi les boules de geisha que je vois dans le tiroir de jouets.. il me reste 5 minutes.
Demain. Je ferai la même chose.. mais sans les sous-vêtements...
Mamz'elle J xx
Après avoir glissé mon tiroir de lingerie pour y trouver mon plus bel ensemble de dentelle noire, je me suis dirigée vers ma garde-robe pour remettre ma nouvelle robe. Ceinturon de satin, veston noir et hautes bottes de velours noire à talon aiguille.. Tout était prêt, il me restait qu'à prendre une douche et déjeuner avant de débuter ma journée.
J'entre dans la douche, laissant ma longue robe de chambre en satin, inspiration kimono-japonais argent, tomber sur le sol de céramique de ma salle de bain. Réglant l'eau à une température plus chaude que la normale des gens, je laisse la porcelaine de la douche s'empreindre de la chaleur de l'eau avant d'y entrer. Je jette un oeil dans le mirroir; un regard de feu. Encore une autre soirée où j'ai oublié de me démaquilller les yeux. Ce matin, je me sens invincible. Et même si je couve un rhume depuis deux jours et que j'ai l'impression d'avoir une feuille de papier sablé au fond de la gorge, j'affiche un sourire brillant et motivateur..
J'abaisse d'un cran la température de l'eau.. Et j'y entre le bout d'un pied. Puis, tout le reste de la jambe et je sens ruisseler l'eau sur ma peau encore à jeûn d'expérience aujourd'hui. Rejettant la tête par derrière, je laisse mes cheveux s'abreuver de ces milliers de gouttes découlant de la pomme de le douche. en fermant les yeux, plein d'images me viennent en tête, dont celles de la dernière fois où j'avais amené mon jouet hydrofuge avec moi.. j'agite les bras et étend l'eau sur mes épaules, sur mes bras, et remonte à mes seins. Ils me semblent lourds, ronds.. fermes. J'aime les toucher sous l'eau. Les soulever, les prendre en mains, les coller l'un contre l'autre et sentir s'écouler la mousse sur mon bijoux.. J'étire donc le bras vers la bouteille de savon pour le corps, comme à l'habitude contenant de petites perles de beurre de karité pour adoucir mon grain de peau et qui me rend délicieuse à sentir (M'a-t-on dit..!) Je me savonne le haut de la poitrine, puis les bras.. puis les seins que je prend plaisir à frotter, je joue un peu avec eux.. puis je redescends vers le ventre, les cuisses, je lève une jambe puis l'autre.. je me rince et nettoie mes cheveux.. une routine habituelle,mais à laquelle j'ajoute un mouvement plus long, plus langoureux..
Lorsque je sors, un frisson me parcours.. j'aime bien m'enfermer dans la douche et ne sentir que la vapeur d'eau atteindre mon nez, mes paupières.. je n'aime pas vraiment avoir froid. Je me recouvre d'une grande serviette de bain, le temps d'essorrer mes cheveux, de les brosser pour les démêler et enlever l'excès d'eau. Je me dirige d'un pas décidé vers ma chambre, dans laquelle joue un air plutôt apaisant.. le CD que j'ai l'habitude d'écouter durant mes séances de Taï-Chi et de Yoga a fini par se retrouver en lecture dans mon carousel de chaîne stéréo. J'allume un bâton d'encens pour mettre une ambiance plus posée.. puis je me sèche les cheveux en y mettant le plus de volume possible. J'allume le fer à lisser et me dirige vers la partie détente de mon petit cocon pour me vêtir.
J'enfile la culotte en premier. Un culotte de style garçonne, avec un détail de satin qui donne une touche coquine à l'ensemble. Puis, j'enfile le soutien-gorge. J'aggraffe et je me retourne vers le miroir pour ajuster la bretelle..
Je lisse mes cheveux, section par section. et je me maquille. Les yeux, les joues, la bouche.. Je fouille dans ma collection de bijoux et glisse une bague à mon doigt, des boucles à mes oreilles et un bracelet à mon poignet.
Je regarde du coin de l'oeil mon ami le vibro, et ma montre.. il me reste bien un bon vingt minutes avant de partir pour mon unique cours de la journée. Je laisse tomber le sac à main, les livres et le manteau pour aller me blottir à nouveau sur mon lit, vibro à la main. Je sais comment me toucher, à quel endroit et en combien de temps je peux jouir avec mon instrument. Je me restreint à un orgasme. Un seul. Puis je pars.. Je me caresse par dessus ma robe, je la remonte sur mes hanches.. j'abaisse ma petite culotte et passe un doigt sur ma chatte.. déja mouillée.. je l'agite sur mon clito gonflé à bloc et je me laisse aller à travers mon imaginaire, voyant des corps se fondre l'un dans l'autre, observant les mains et les yeux d'un homme qui n'aurait pour but que celui de me faire atteindre le 7ieme ciel.. Quand je met en marche mon vibro rose, rien ne serait me tirer un sourire plus beau.. je lui frotte la tête sur ma fente inondée et pousse un peu, pour laisser un peu de mon jus sur la première partie de la verge de silicone.. puis, je recommence. La vibration, pourtant à un niveau assez bas, me semble infernale. Mon état d'excitation et tel que je sens que si je le réapproche de mon antre, il ne faudra que quelques secondes avant l'atteinte du Plaisir.. ce que je ne veux pas. Pas cette fois. J'attends. Une minute. Deux minutes.. puis, je me sens d'attaque. J'y replonge mon compagnon de jeu, qui y sauce sa verge plus facilement que jamais et je m'adonne à un plaisir certain. J'en frémis, mes orteils se crispent au bout de mes pieds. Je me sens absorbée par mes pensées perverses, mes idées secrètes, mes fantasmes les plus osés. Je sens que je vais atteindre le point de non retour... et je le fais aller un peu plus vite, une peu plus brusquement, un peu plus loin.. Un spasme vient me chercher. Une extase éphémère se passe.. Je profite de la contraction de mes muscles pour récupérer un peu de l'ère dans laquelle je suis. Sentiment de bien-être mêlé à de la déception que ça ne puisse pas durer quelques secondes de plus, cet état de décontraction.. Mais je récupère vite et bien.
Je lèche mes doigts, en coquine que je suis. Puis, je nettoie le jouet, le remet sous l'oreiller et.. tant qu'à être en état de les recevoir, j'insère en moi les boules de geisha que je vois dans le tiroir de jouets.. il me reste 5 minutes.
Demain. Je ferai la même chose.. mais sans les sous-vêtements...
Mamz'elle J xx
6.08.2013
Au Bal Masqué, dernière partie
Toujours couchée entre deux corps, entre deux mondes, entre l'envie de me coucher et dormir contre la chaleur de ces mâles à demi nus et celle de laisser la nuit filer en ne me préoccupant que de mon envie de jouir et rejouir, je reprends un peu mes esprits. respire profondément malgré un corps comprimant mes organes internes.. je suis à bout de souffle quand les deux hommes reprennent leur chorégraphie jouissive. Je les sens bien à travers la paroi séparant mon cul de ma chatte devenue inondée de ma cyprine abondante. Je les sens coulisser avec tellement de facilité et d'exaltation que je deviens bientôt sur le point de laisser un autre torrent de spasme m'envahir. Mon Préféré passe deux mains de chaque côtés de ma tête, relevant le haut de mon corps et m'approchant de lui. Il colle son torse contre mon dos, me serre contre lui, et descend les doigts jusqu'à mes mamelons en les pinçant entre pouces et index. Je crois qu'il a deviné que j'aime un peu me faire challenger..
C'est alors que ses coups de bassin se font plus forts, plus rapides, plus puissants. Je le sens me limer le cul, appuyant de plus en plus son corps contre le mien. Il passe alors son bras droit sur ma taille, son bras gauche autour de mes épaules. Le partenaire du dessous savoure le spectacle de mes yeux qui s'allument comme autant d'étoiles, alors que les coups de bassin harmonisés entre moi et mon compagnon de derrière suffisent à son plaisir dans ma cavité lustrée et humide au possible.
Il glisse son nez sur ma nuque. Son souffle à la racine de mes cheveux est un vent d'extase. Il resserre sa prise. Il me murmure; «Ça t'a excitée de baiser trois inconnus toute une nuit, salope? Ça t'a fait mouiller trois belles queues dans tous tes trous? Je sais que ça t'allume de perdre le contrôle comme ça. Ce n'est plus toi qui l'a le contrôle présentement. Tu sais que je peux faire ce que je veux avec toi. Et je sais quoi faire pour te faire jouir.. je le sais plus que tu ne le penses.»
À chaque coups de bassin, je me sens sur le bord du précipice.. je pourrais me laisser aller d'une seconde à l'autre, mais je veux faire durer le plaisir. Mes yeux se remplissent d'eau. Les efforts mentaux sont plus que difficiles, mais j'y arriverai. Plus il serre, plus j'en ai envie. Et il me devine à un point tel qu'il me pilonne toujours plus fort. Je m'entends crier sans pouvoir m'arrêter ou me taire, comme une pulsion trop forte qu'on ne peut retenir. Mes respirations sont devenues nécessaires et il serrait toujours. Une clé de bras que je lui ai laissé faire. Il connaissait sa force. Mon partenaire du dessous a joui le premier. Je le sentais vouloir me rentrer sa queue jusqu'au dernier centimètre possible alors qu'il laissait jaillir de longues giclées de foutre dans mon ventre. J'ai joui presque tout de suite après, la tête vers l'arrière prise entre un torse et un avant-bras étouffant. Je toussotais un peu et cherchais mon air tout en gémissant encore des spasmes musculaires qui s'opéraient dans mon sexe coulant. Je me souviens avoir vu des étoiles après que mon Préféré s'est retiré pour me jouir partout dans le dos et sur les fesses.
Et il a glissé presque tout de suite 3 doigts dans ma chatte pour me faire jouir une dernière fois. Je sentais le foutre du précédent sur sa main. Le dos arqué, je le dirigeais pour qu'il trouve bien mon poing G et le stimule à fond. Le dernier sexe masculin à m'avoir baisé avait déjà fait un bon travail de stimulation, mais il fallait encore la meilleure position, la meilleure technique.. Je me retourne sur le dos, couchée sur le drap devenu linceul, sa main s'est infiltré entre mes cuisses avec un fort désir de ne jamais me faire oublier cet instant. Il a trouvé assez rapidement!
Je sentais monter en moi l'assaut de cette jouissance avec plus de puissance que jamais. Les deux autres hommes sont venus se placer de chaque côtés de ma tête et se masturbaient frénétiquement au dessus de mon corps alors que je me faisais défoncer la chatte de ses gros et longs doigts.
J'ai senti sortir la vague. Après une bonne minute à me stimuler, il est sorti une giclée de mon éjaculation , pendant que ma peau accueillait le sperme des deux pervers qui assistaient au spectacle de ma jouissance. Comme si mon âme sortait de mon corps, mon dernier orgasme m'a secoué comme aucun autre avant. J'ai crié comme une salope en délire, avant de perdre la carte. L'espace-temps devient pour moi secondaire. J'ai mouillé le tiers du lit en squirtant.
J'ouvre à demi les paupières et le vois tout sourire. Les deux autres sont en sueur et me fixent en souriant aussi. Je constate que tout le monde est heureux.
Mais il est temps d'enlever les masques.. Et je découvre de bien belles choses... un genre de soirées qui attirent vraiment des gens de tous les milieux.. et il me semble en reconnaître 2 assez facilement..
Fin.
Mamz'elle J xx
C'est alors que ses coups de bassin se font plus forts, plus rapides, plus puissants. Je le sens me limer le cul, appuyant de plus en plus son corps contre le mien. Il passe alors son bras droit sur ma taille, son bras gauche autour de mes épaules. Le partenaire du dessous savoure le spectacle de mes yeux qui s'allument comme autant d'étoiles, alors que les coups de bassin harmonisés entre moi et mon compagnon de derrière suffisent à son plaisir dans ma cavité lustrée et humide au possible.
Il glisse son nez sur ma nuque. Son souffle à la racine de mes cheveux est un vent d'extase. Il resserre sa prise. Il me murmure; «Ça t'a excitée de baiser trois inconnus toute une nuit, salope? Ça t'a fait mouiller trois belles queues dans tous tes trous? Je sais que ça t'allume de perdre le contrôle comme ça. Ce n'est plus toi qui l'a le contrôle présentement. Tu sais que je peux faire ce que je veux avec toi. Et je sais quoi faire pour te faire jouir.. je le sais plus que tu ne le penses.»
À chaque coups de bassin, je me sens sur le bord du précipice.. je pourrais me laisser aller d'une seconde à l'autre, mais je veux faire durer le plaisir. Mes yeux se remplissent d'eau. Les efforts mentaux sont plus que difficiles, mais j'y arriverai. Plus il serre, plus j'en ai envie. Et il me devine à un point tel qu'il me pilonne toujours plus fort. Je m'entends crier sans pouvoir m'arrêter ou me taire, comme une pulsion trop forte qu'on ne peut retenir. Mes respirations sont devenues nécessaires et il serrait toujours. Une clé de bras que je lui ai laissé faire. Il connaissait sa force. Mon partenaire du dessous a joui le premier. Je le sentais vouloir me rentrer sa queue jusqu'au dernier centimètre possible alors qu'il laissait jaillir de longues giclées de foutre dans mon ventre. J'ai joui presque tout de suite après, la tête vers l'arrière prise entre un torse et un avant-bras étouffant. Je toussotais un peu et cherchais mon air tout en gémissant encore des spasmes musculaires qui s'opéraient dans mon sexe coulant. Je me souviens avoir vu des étoiles après que mon Préféré s'est retiré pour me jouir partout dans le dos et sur les fesses.
Et il a glissé presque tout de suite 3 doigts dans ma chatte pour me faire jouir une dernière fois. Je sentais le foutre du précédent sur sa main. Le dos arqué, je le dirigeais pour qu'il trouve bien mon poing G et le stimule à fond. Le dernier sexe masculin à m'avoir baisé avait déjà fait un bon travail de stimulation, mais il fallait encore la meilleure position, la meilleure technique.. Je me retourne sur le dos, couchée sur le drap devenu linceul, sa main s'est infiltré entre mes cuisses avec un fort désir de ne jamais me faire oublier cet instant. Il a trouvé assez rapidement!
Je sentais monter en moi l'assaut de cette jouissance avec plus de puissance que jamais. Les deux autres hommes sont venus se placer de chaque côtés de ma tête et se masturbaient frénétiquement au dessus de mon corps alors que je me faisais défoncer la chatte de ses gros et longs doigts.
J'ai senti sortir la vague. Après une bonne minute à me stimuler, il est sorti une giclée de mon éjaculation , pendant que ma peau accueillait le sperme des deux pervers qui assistaient au spectacle de ma jouissance. Comme si mon âme sortait de mon corps, mon dernier orgasme m'a secoué comme aucun autre avant. J'ai crié comme une salope en délire, avant de perdre la carte. L'espace-temps devient pour moi secondaire. J'ai mouillé le tiers du lit en squirtant.
J'ouvre à demi les paupières et le vois tout sourire. Les deux autres sont en sueur et me fixent en souriant aussi. Je constate que tout le monde est heureux.
Mais il est temps d'enlever les masques.. Et je découvre de bien belles choses... un genre de soirées qui attirent vraiment des gens de tous les milieux.. et il me semble en reconnaître 2 assez facilement..
Fin.
Mamz'elle J xx
6.02.2013
Au Bal Masqué, neuvième partie
D'où je suis, je n'ai presque aucune liberté de mouvement. Pas que je m'en plaigne, je suis remplie de deux belles queues bien dures qui me labourent la chatte et le cul avec une synchronicité rarement égalée. J'ai affaire à deux experts. Je sens monter un grand frisson le long de ma colonne, et ne peux m'empêcher de regarder le seul partenaire ne faisant pas partie de notre trio, assis sur la chaise, boire son vin avec une pointe de fierté et d'assurance. Il ne se touche même pas et pourtant je vois littéralement le sang s'infiltrer de plus en plus dans les cavités de son glaive bleuté. Je gémis, mordillant ma lèvre, étouffant quelques uns de mes cris dans la clavicule chaude et douce de l'homme investissant ma chatte. Ils sont doux, attentifs aux moindres de mes gémissements. Mon Préféré semble en transe en baisant bien mon cul serré. Je le sens refermer sa prise sur le haut de mes cuisses, pour me prendre un peu plus fermement, avec plus de puissance et de profondeur. C'est bien la première fois qu'un homme me donne ce feeling de plénitude, aucune inquiétude, aucune fausse pudeur. Mon autre amant semble apprécier le spectacle de mes yeux qui brillent de désir et d'excitation, au moins aussi mouillés que ma chatte ruisselante. Je passerais deux ou trois éternités ainsi accroupie à me faire prendre avec cette délicatesse. Un moment de quiétude entre deux orages. Les deux hommes reprennent du poil de la bête, alors qu'ils ajoutent un peu plus de fougue à leur coups de hanches. Je hurle d'une légère douleur, mais surtout d'un intense plaisir. C'est lorsque l'homme sous moi a pris mes seins dans sa bouche et que mon Préféré a glissé un doigt sous mon bassin pour venir me branler le clito que j'ai joui dans un râle très intense et long. Pendant quelques secondes, je ne savais plus où j'étais ni avec qui j'étais. Une chose était certaine; je ne voulais pas en arrêter là.
Mamz'elle J xx
Mamz'elle J xx
5.29.2013
Au Bal Masqué, huitième partie
Il cachait son côté bestial cet homme.
Mais je ne m'en plaignais pas.
Premier assaut, alors que je suis à quatre pattes au dessus de son érection digne d'une merveille du monde, il agrippe ma nuque et me pousse à l'avaler encore plus. Je tombe littéralement et je sens sa queue transpercer ma gorge, venir s'appuyer sur mon pharynx et m'étouffer. Un haut le coeur. Je me relève brusquement en toussotant, surprise de la réaction de mon corps. Il me regarde profondément, me gifle encore. « Je t'ai dit de te relever?»
Il reprend mes cheveux entre ses doigts et revient à la charge en m'ordonnant de garder la bouche bien ouverte pour qu'il puisse entendre le bruit que fait ma gorge autour de son sexe. Ça semble beaucoup l'exciter. Il tient ma tête, baise ma bouche comme il le ferait pour ma chatte, sans pudeur, sans douceur. Je sens ma salive s'écouler à petites gouttes sur son aine, puis sur le drap. Bientôt, la quantité de salive s'accentue.
«Prends la petite goutte de liquide sur le bout de ma queue et joue avec. Étire-la de tes lèvres à mon gland et je ne veux pas que tu en échappe la moindre parcelle.»
Je m'exécute, appuyant mon regard dans le sien. Laissant s'étirer à l'infini cette goutte translucide et je m'applique à le rendre hyper fier et excité. Quand il en a eu assez, il me dit «Ok salope, lèche-la et vient m'embrasser. Je veux goûter aussi.»
Il embrasse merveilleusement bien. Un délice. Je le laisse prendre possession de mes seins comme s'ils ne m'appartenaient plus. Il prend sa coupe de vin, l'approche de mes lèvres et me fait boire. Me sourit. Me fais sentir femme et désirée. Je vois du coin de l'oeil les deux autres compagnons, les yeux hagards, la bouche ouverte, les mains astiquant les membres fièrement durcis. un délice pour les sens. Il me fait m'agenouiller au bord du lit., dépose mes mains sur le matelas.
Je le sens s'éloigner de moi, il cherche le vibro de tout à l'heure. Il écarte mes cuisses. Du coup, l'un des deux autres hommes se lève et vient prendre place devant moi, à genoux. Je ne peux résister à sa queue devant mon visage. Je le prends, le suce comme si ma vie en dépendait. Je sens s'appuyer sur ma chatte le vibro et dans mon excitation habituelle, je suis déjà sur le point de jouir. Il me le donne. M'ordonne de me l'appuyer sur le clito et de ne pas jouir.
Mais le jeu prend une forme très intense, lorsque je sens une ceinture de cuir sous ma gorge.
Oh. Mon excitation prend des allures de panique. Mon préféré, toujours assis sur la chaise, se relève, vient nous rejoindre sur le champ. Peut-être pour mieux me protéger advenant une situation dangereuse.
Je sens l'amant investi de sa ceinture derrière moi, passant la main sur mon cul offert. Il tient la ceinture avec une main de fer. Il recule un peu ma gorge pour me faire sentir sa présence et son pouvoir peut-être.. Il est calme, aucune animosité. Sa main remonte à mon dos, mon épaule, redescends sur ma croupe, doucement, caressant mon épiderme. Puis, dans le silence le plus complet, une main s'abat sur ma fesse. Clap!
Je geins. La queue dans ma bouche devient ma préoccupation pour enrayer la douleur. Je continue de sucer comme la salope que je suis pendant que mes yeux se remplissent de larmes. L'homme qui remplit ma bouche me flatte le front, comme pour me rassurer. Ça fonctionne. Pour un temps.
Clap! Encore une fessée, sur l'autre côté cette fois-ci. Puis trois autres. Clap clap clap!
Toujours plus fort. Dans ma position, j'ai l'impression qu'il y met toute sa force. J'ai du mal à me tenir fermement sur la main qu'il me reste. Il tire la ceinture vers l'arrière. Je suis à bout de nerfs. Je déglutis difficilement, toute mon attention maintenant focussée sur la douleur de mon cul.
Jusqu'ici, je m'étais interdis de crier, ou même de laisser entrevoir la douleur que j'éprouvais sous quelque forme que ce soit. Mais lorsque sa dernière fessée se fait sentir, je laisse un petit cri de douleur transpercer le silence. J'en peux plus. Je suis à bout de souffle. Sa ceinture me lacère la peau. Il passe sa main doucement sur mes rougeurs.. puis descends vers l'arrière de mes cuisses.. Il passe un doigt de long de ma fente. Je suis vraiment très très mouillée. Je me surprends à être si humide. Lui même me le fait savoir, lorsqu'il recueille un peu plus de mon jus pour venir l'essuyer sur ma langue.
«Suce-moi les doigts. Nettoie ta mouille. Vois comme tu goûtes bon.»
Je m'exécute. Docile. La ceinture toujours trop appuyée. Les yeux mi-clos.
Je me sens souillée. Il glisse ensuite ces deux même doigts bien profondément dans ma chatte. Bonheur éphémère. Il les ressort et les glisses sur mon petit trou serré, qui s'ouvre et se dilate sous ses caresses circulaires. Pour un moment, je me sens bien. Je ressens le calme. Les trois hommes sont tout près. Mon préféré se branle à mes côtés, l'autre est dans ma bouche, le troisième s'occupe de mon cul. Mes larmes ne coulent plus.
Je sens le bout de la queue de mon tortionnaire forcer l'entrée de mon cul.
Il a l'air plus que déterminé à y entrer. Et je ne peux l'empêcher de toutes façons.
Où cela nous mènera? Je commence à avoir un peu peur...
Pour me faire oublier la force de sa grosse queue qui s'insère en moi, il me griffe la cuisse.
Suffisamment fort pour que je sentes une douleur aigüe. Je devine qu'il est allé fort, quand je sens un peu de sang s'écouler sur ma cuisse.. puis sur mon genou.. Il sort de mon petit trou. Ça est y, je ne respire plus suffisamment bien. Il relâche la ceinture. Je me sens revivre, littéralement. Il se recule et fait le tour du lit pour retourner s'asseoir sur son fauteuil, fier d'avoir bien préparé le terrain à autre chose..
Je me lève un peu du lit.. Pendant ce temps, l'homme à genou se glisse sur le dos et me prend par les hanches pour que je m'empale sur son sexe. Enfin un peu de tranquillité.
Je le sens me faire l'amour doucement. Il essuie le sang qui coule encore de ma blessure sur le drap. Prends mes seins dans ses mains. Je descends mon corps contre sa poitrine. Et c'est mon préféré qui vient juste derrière moi, debout au bord du lit, un peu de lubrifiant sur la queue et il s'insère facilement dans mon cul. Comme une chorégraphie, les deux membres glissent en moi en laissant un frisson monter le long de ma colonne. Je ne ressens que du plaisir. Pur. Simple. Je me sens remplie. Je me sens salope. Mais je me sens bien..
Et les coups de hanches continuent..
Mamz'elle J xxx
Mais je ne m'en plaignais pas.
Premier assaut, alors que je suis à quatre pattes au dessus de son érection digne d'une merveille du monde, il agrippe ma nuque et me pousse à l'avaler encore plus. Je tombe littéralement et je sens sa queue transpercer ma gorge, venir s'appuyer sur mon pharynx et m'étouffer. Un haut le coeur. Je me relève brusquement en toussotant, surprise de la réaction de mon corps. Il me regarde profondément, me gifle encore. « Je t'ai dit de te relever?»
Il reprend mes cheveux entre ses doigts et revient à la charge en m'ordonnant de garder la bouche bien ouverte pour qu'il puisse entendre le bruit que fait ma gorge autour de son sexe. Ça semble beaucoup l'exciter. Il tient ma tête, baise ma bouche comme il le ferait pour ma chatte, sans pudeur, sans douceur. Je sens ma salive s'écouler à petites gouttes sur son aine, puis sur le drap. Bientôt, la quantité de salive s'accentue.
«Prends la petite goutte de liquide sur le bout de ma queue et joue avec. Étire-la de tes lèvres à mon gland et je ne veux pas que tu en échappe la moindre parcelle.»
Je m'exécute, appuyant mon regard dans le sien. Laissant s'étirer à l'infini cette goutte translucide et je m'applique à le rendre hyper fier et excité. Quand il en a eu assez, il me dit «Ok salope, lèche-la et vient m'embrasser. Je veux goûter aussi.»
Il embrasse merveilleusement bien. Un délice. Je le laisse prendre possession de mes seins comme s'ils ne m'appartenaient plus. Il prend sa coupe de vin, l'approche de mes lèvres et me fait boire. Me sourit. Me fais sentir femme et désirée. Je vois du coin de l'oeil les deux autres compagnons, les yeux hagards, la bouche ouverte, les mains astiquant les membres fièrement durcis. un délice pour les sens. Il me fait m'agenouiller au bord du lit., dépose mes mains sur le matelas.
Je le sens s'éloigner de moi, il cherche le vibro de tout à l'heure. Il écarte mes cuisses. Du coup, l'un des deux autres hommes se lève et vient prendre place devant moi, à genoux. Je ne peux résister à sa queue devant mon visage. Je le prends, le suce comme si ma vie en dépendait. Je sens s'appuyer sur ma chatte le vibro et dans mon excitation habituelle, je suis déjà sur le point de jouir. Il me le donne. M'ordonne de me l'appuyer sur le clito et de ne pas jouir.
Mais le jeu prend une forme très intense, lorsque je sens une ceinture de cuir sous ma gorge.
Oh. Mon excitation prend des allures de panique. Mon préféré, toujours assis sur la chaise, se relève, vient nous rejoindre sur le champ. Peut-être pour mieux me protéger advenant une situation dangereuse.
Je sens l'amant investi de sa ceinture derrière moi, passant la main sur mon cul offert. Il tient la ceinture avec une main de fer. Il recule un peu ma gorge pour me faire sentir sa présence et son pouvoir peut-être.. Il est calme, aucune animosité. Sa main remonte à mon dos, mon épaule, redescends sur ma croupe, doucement, caressant mon épiderme. Puis, dans le silence le plus complet, une main s'abat sur ma fesse. Clap!
Je geins. La queue dans ma bouche devient ma préoccupation pour enrayer la douleur. Je continue de sucer comme la salope que je suis pendant que mes yeux se remplissent de larmes. L'homme qui remplit ma bouche me flatte le front, comme pour me rassurer. Ça fonctionne. Pour un temps.
Clap! Encore une fessée, sur l'autre côté cette fois-ci. Puis trois autres. Clap clap clap!
Toujours plus fort. Dans ma position, j'ai l'impression qu'il y met toute sa force. J'ai du mal à me tenir fermement sur la main qu'il me reste. Il tire la ceinture vers l'arrière. Je suis à bout de nerfs. Je déglutis difficilement, toute mon attention maintenant focussée sur la douleur de mon cul.
Jusqu'ici, je m'étais interdis de crier, ou même de laisser entrevoir la douleur que j'éprouvais sous quelque forme que ce soit. Mais lorsque sa dernière fessée se fait sentir, je laisse un petit cri de douleur transpercer le silence. J'en peux plus. Je suis à bout de souffle. Sa ceinture me lacère la peau. Il passe sa main doucement sur mes rougeurs.. puis descends vers l'arrière de mes cuisses.. Il passe un doigt de long de ma fente. Je suis vraiment très très mouillée. Je me surprends à être si humide. Lui même me le fait savoir, lorsqu'il recueille un peu plus de mon jus pour venir l'essuyer sur ma langue.
«Suce-moi les doigts. Nettoie ta mouille. Vois comme tu goûtes bon.»
Je m'exécute. Docile. La ceinture toujours trop appuyée. Les yeux mi-clos.
Je me sens souillée. Il glisse ensuite ces deux même doigts bien profondément dans ma chatte. Bonheur éphémère. Il les ressort et les glisses sur mon petit trou serré, qui s'ouvre et se dilate sous ses caresses circulaires. Pour un moment, je me sens bien. Je ressens le calme. Les trois hommes sont tout près. Mon préféré se branle à mes côtés, l'autre est dans ma bouche, le troisième s'occupe de mon cul. Mes larmes ne coulent plus.
Je sens le bout de la queue de mon tortionnaire forcer l'entrée de mon cul.
Il a l'air plus que déterminé à y entrer. Et je ne peux l'empêcher de toutes façons.
Où cela nous mènera? Je commence à avoir un peu peur...
Pour me faire oublier la force de sa grosse queue qui s'insère en moi, il me griffe la cuisse.
Suffisamment fort pour que je sentes une douleur aigüe. Je devine qu'il est allé fort, quand je sens un peu de sang s'écouler sur ma cuisse.. puis sur mon genou.. Il sort de mon petit trou. Ça est y, je ne respire plus suffisamment bien. Il relâche la ceinture. Je me sens revivre, littéralement. Il se recule et fait le tour du lit pour retourner s'asseoir sur son fauteuil, fier d'avoir bien préparé le terrain à autre chose..
Je me lève un peu du lit.. Pendant ce temps, l'homme à genou se glisse sur le dos et me prend par les hanches pour que je m'empale sur son sexe. Enfin un peu de tranquillité.
Je le sens me faire l'amour doucement. Il essuie le sang qui coule encore de ma blessure sur le drap. Prends mes seins dans ses mains. Je descends mon corps contre sa poitrine. Et c'est mon préféré qui vient juste derrière moi, debout au bord du lit, un peu de lubrifiant sur la queue et il s'insère facilement dans mon cul. Comme une chorégraphie, les deux membres glissent en moi en laissant un frisson monter le long de ma colonne. Je ne ressens que du plaisir. Pur. Simple. Je me sens remplie. Je me sens salope. Mais je me sens bien..
Et les coups de hanches continuent..
Mamz'elle J xxx
5.21.2013
Au Bal Masqué, septième partie.
Le dernier survivant de la soirée se laisse désirer on dirait.
Pendant que les deux autres complices dans le vice semblant vouloir reprendre des forces armés de leur verres de vin, je reste sur le lit, plus vivante que jamais, déterminée à faire jouir le troisième amant avec plus de force que jamais.
Je suis toujours à quatre pattes. Toujours offerte. Toujours prête pour de nouvelles aventure.
Jusqu'ici, aucun des jouets que j'avais soigneusement disposés dans un petit coffret sur une des tables de chevet n'a été utilisé. Bien entendu, je ne voulais pas qu'aucun de mes nouveaux amis ne se sentent rejeté que j'utilise un vibro ou un plug plutôt que son engin plein de vitalité pour faire le travail. Mais nous voilà, deux, sur un lit trop grand pour deux corps, et je dois avouer qu'à mesure que mes seins se gonflent de désir, je deviens de plus en plus insatiable. Je suis comme ça.
Je glisse à l'oreille de mon ami que j'ai très envie de tenter quelque chose.
J'avance lentement sur le lit jusqu'à atteindre le coffret en question, et y choisis un vibrateur plutôt simple.
Ligne droite, bon diamètre, il vibre à sa plus grande intensité, suffisamment pour me faire décoller en moins de deux. Les piles sont neuves. Du plaisir à venir..
Je lui tend l'objet. Sa réaction me laisse perplexe; a-t-il déjà utilisé ce genre de trucs?
Tout de suite s'allume à son oeil la petite étincelle que j'attendais. Celle de la complicité. Celle de l'envie de pousser l'audace. Je suis à genou sur le lit, approche les lèvres pour l'embrasser doucement. J'écarte un peu les cuisses, étire mon bras et atteins sa queue bien durcie. Je la prend entre mes doigts, laissant glisser de haut en bas, lentement, mais avec une pression ferme. J'agrippe sa nuque pour le rapprocher de moi, il répond bien, en rendant encore plus langoureux ce baiser profond et appuyé. À son tour d'étirer le bras afin de venir appuyer la tête du vibro sur ma chatte. Mes yeux se ferment, je me sens mordiller ma lèvre, ma tête s'abaisse vers l'arrière.
Il me gifle. Fort.
Je reste surprise. Sur le coup, je suis très déstabilisée. Je passe la main sur ma joue, il me prend le pognet, m'empêchant de le faire. Il me lance; «Garde les yeux ouverts. Je veux voir monter en toi l'orgasme. Et pas avant que je te l'autorise.»
Je reste de glace. Mais je souris intérieurement. Wow.
Ses yeux parlent. Me disent que ce soir, j'aurai beau être rebelle, faire à ma tête, il ne me laissera pas le contrôle. Mais je serai heureuse, ils me le promettent.
Sur ces mots, il s'assoit sur le lit, me fait signe de venir goûter sa queue. Et j'approche avec envie et délectation. Ma langue touche son gland brûlant, que j'aspire sporadiquement, entre deux lentes caresses de sa verge. Nos peaux se trouvent enfin. Ses mains dans mes cheveux, en un mélange de désir, de contrôle, d'obsession. Je le sens soupirer à chaque fois que s'agite mon organe buccal sur son glaive. Il ne prédisait pas avoir tant besoin de concentration pour résister. Je devine que son but est de toucher à la fine ligne qui sépare le plaisir de l'orgasme et qu'il jouera avec ma patience jusqu'à ce que je n'en puisse plus de le supplier de me laisser exploser. Ses ongles s'infiltrent dans mon cou, sur mon épaule.. il me rappelle qu'il est là. Et que c'est lui qui mène le bal..
Ça commence vraiment bien cette bataille torride et bestiale qui s'annonce entre nous deux.
La violence du désir. Les ecchymoses de la passion animale. Le drap blanc restera-t-il blanc?
J'en doute.
On le perlera de bien des choses. La perfection de la soirée jusqu'ici s'en trouvera changée.
Mais, dans l'imperfection se trouve toute la liberté du laisser-aller total.
À suivre.
Mamz'elle J xx
Pendant que les deux autres complices dans le vice semblant vouloir reprendre des forces armés de leur verres de vin, je reste sur le lit, plus vivante que jamais, déterminée à faire jouir le troisième amant avec plus de force que jamais.
Je suis toujours à quatre pattes. Toujours offerte. Toujours prête pour de nouvelles aventure.
Jusqu'ici, aucun des jouets que j'avais soigneusement disposés dans un petit coffret sur une des tables de chevet n'a été utilisé. Bien entendu, je ne voulais pas qu'aucun de mes nouveaux amis ne se sentent rejeté que j'utilise un vibro ou un plug plutôt que son engin plein de vitalité pour faire le travail. Mais nous voilà, deux, sur un lit trop grand pour deux corps, et je dois avouer qu'à mesure que mes seins se gonflent de désir, je deviens de plus en plus insatiable. Je suis comme ça.
Je glisse à l'oreille de mon ami que j'ai très envie de tenter quelque chose.
J'avance lentement sur le lit jusqu'à atteindre le coffret en question, et y choisis un vibrateur plutôt simple.
Ligne droite, bon diamètre, il vibre à sa plus grande intensité, suffisamment pour me faire décoller en moins de deux. Les piles sont neuves. Du plaisir à venir..
Je lui tend l'objet. Sa réaction me laisse perplexe; a-t-il déjà utilisé ce genre de trucs?
Tout de suite s'allume à son oeil la petite étincelle que j'attendais. Celle de la complicité. Celle de l'envie de pousser l'audace. Je suis à genou sur le lit, approche les lèvres pour l'embrasser doucement. J'écarte un peu les cuisses, étire mon bras et atteins sa queue bien durcie. Je la prend entre mes doigts, laissant glisser de haut en bas, lentement, mais avec une pression ferme. J'agrippe sa nuque pour le rapprocher de moi, il répond bien, en rendant encore plus langoureux ce baiser profond et appuyé. À son tour d'étirer le bras afin de venir appuyer la tête du vibro sur ma chatte. Mes yeux se ferment, je me sens mordiller ma lèvre, ma tête s'abaisse vers l'arrière.
Il me gifle. Fort.
Je reste surprise. Sur le coup, je suis très déstabilisée. Je passe la main sur ma joue, il me prend le pognet, m'empêchant de le faire. Il me lance; «Garde les yeux ouverts. Je veux voir monter en toi l'orgasme. Et pas avant que je te l'autorise.»
Je reste de glace. Mais je souris intérieurement. Wow.
Ses yeux parlent. Me disent que ce soir, j'aurai beau être rebelle, faire à ma tête, il ne me laissera pas le contrôle. Mais je serai heureuse, ils me le promettent.
Sur ces mots, il s'assoit sur le lit, me fait signe de venir goûter sa queue. Et j'approche avec envie et délectation. Ma langue touche son gland brûlant, que j'aspire sporadiquement, entre deux lentes caresses de sa verge. Nos peaux se trouvent enfin. Ses mains dans mes cheveux, en un mélange de désir, de contrôle, d'obsession. Je le sens soupirer à chaque fois que s'agite mon organe buccal sur son glaive. Il ne prédisait pas avoir tant besoin de concentration pour résister. Je devine que son but est de toucher à la fine ligne qui sépare le plaisir de l'orgasme et qu'il jouera avec ma patience jusqu'à ce que je n'en puisse plus de le supplier de me laisser exploser. Ses ongles s'infiltrent dans mon cou, sur mon épaule.. il me rappelle qu'il est là. Et que c'est lui qui mène le bal..
Ça commence vraiment bien cette bataille torride et bestiale qui s'annonce entre nous deux.
La violence du désir. Les ecchymoses de la passion animale. Le drap blanc restera-t-il blanc?
J'en doute.
On le perlera de bien des choses. La perfection de la soirée jusqu'ici s'en trouvera changée.
Mais, dans l'imperfection se trouve toute la liberté du laisser-aller total.
À suivre.
Mamz'elle J xx
5.17.2013
Au Bal Masqué, sixième partie
J'y suis.
Je suis exactement dans le mood orgasme. Mon corps n'arrive plus à se retenir, mon dos s'arque sur le lit devenu humide sous les 4 corps excités présents dans la chambre. Je sens que perlent les gouttes de sueur sur mes tempes alors que mes ongles sont plantés dans les draps, à les agripper comme pour me retenir de partir au 7ieme ciel. Mes orteils se crispent. Ma bouche s'entrouvre. J'ouvre à peine les yeux et les images que j'ai de la réalité sont poignantes et sublimes. Je vois les pupilles de mon amant préféré s'allumer à la vue de l'effet qu'a sur moi son emprise à ma gorge, alors que de sa main gauche il se branle au dessus de mes seins. Son foutre chaud coule de mes mamelons à mes côtes et terminent leur course sur le drap. Quelques gouttes ont fusé jusqu'à mes lèvres et sur la main de l'autre complice. L'homme qui me caresse le cul est couché au pied du lit, a deux doigts insérés dans mon petit trou et sourit bêtement en me pénétrant doucement. De sa main libre, il se masturbe lui aussi, mais tout doucement. Il me lance un «Allez salope, jouis pour nous!»
Celui qui s'occupait de mon clito a trouvé sa place sur le lit, côté droit, attentif et franchement surpris de la puissance de l'orgasme qui me tiraille. Quatre de ses doigts sont toujours en moi, à me pistonner comme s'il avait mis toute son énergie vitale à me faire crier comme la pire des salopes. Il mord un peu mon ventre, en regardant toujours mon visage probablement déformé par la montée de cette secousse jouissive le long de ma colonne. Son mouvement profond, franc et vif déclenche une vague inattendue dans mon bas ventre, prêt à laisse sortir une marée de mon jus pendant que de secondes en secondes, la main de l'autre homme se resserre sur ma gorge jusqu'à me couper le souffle. Je cries de bonheur, je me tortille, tentant de contenir un peu les sons que je propulse même involontairement alors que je sens un un relâchement extrême de tout mon corps. Le draps est complètement mouillé. Mon éjaculation était si puissante que je me sens vidée. Tous trois me regardent. Un qui m'a jouit dessus. L'autre qui continue sa caresse en me regardant reprendre mes esprits. Et le troisième, souriant comme pas un, qui se lève, glisse un doigt sur ma bouche pour que je lèche un peu de mon offertoire sensuel. J'ai chaud. Je n'ai plus d'énergie, mais j'ai tellement envie de plus.
J'ai envie de me lover contre un corps chaud. De m'assoupir sur les chairs tendres d'un des hommes pendant qu'il me jouerait dans les cheveux.
Mais on en a voulu autrement.. Et comme je ne suis pas en état de contrarier personne, je me laisse faire.
Mon préféré se retire pour aller finir de boire sa coupe de vin sur l'un des fauteuils.
Toujours couchée sur le dos, je suis encore dans un état second. Je halète sur un fond musical de DJ Cam, tentant de reprendre une respiration convenable. L'adonis couché au pied du lit se relève, bois une gorgée de sa coupe posée sur le plancher, s'approche de ma chatte, la queue à la main, prêt à me l'enfiler. Le volume de son engin aurait pu me faire peur en temps normal, mais je sais qu'à ce moment-ci, je suis tellement mouillée que je l'accueillerai avec facilité et plaisir. sous le regard pervers de l'autre mâle qui se trouve toujours à mes côtés, je me fais tranquillement pénétrer. Je mords involontairement ma lèvre inférieure. L'instant d'après, une queue pousse sur mes lèvres afin de s'introduire dans ma bouche. J'empoigne fermement la fesse de l'individu pour l'approcher de ma langue. je lèche les quelques gouttes de liquide qui perlent au bout de son gland, en savourant le goût particulier de sa belle queue, franchement appétissante. Il investit ma bouche, s'amuse à donner quelques coups de bassin aux moments où je reprend une bouffée d'air, pour me faire savoir que c'est à lui que je dois penser en premier. Je fais tout en mon possible pour le rendre fier d'être parmi nous et lui aspire la chair comme il n'aurait jamais été sucé auparavant. Je lui lance des regards pervers, juste assez cochons pour l'exciter un peu plus, pour lui faire comprendre que j'aime me faire traiter comme une pute, que j'aime la situation présente. Je deviens le jouet de 3 super beaux hommes aux attributs fort attirants, pourquoi je me priverais de mon petit côté givré après tout!
J'arrête ma fellation un moment et me retourne à quatre pattes, pour laisser un champ plus libre à l'amant qui s'occupe terriblement bien de ramoner mon entrejambe tout coulant et confortable. Je le sens m'écarter les cuisses pour voir s'insérer en moi à chaque coup de butoir, sa queue de bon calibre. Il m'attrape par les hanches et s'en donne à coeur joie alors qu'il mouille de sa salive son pouce et l'approche une fois de plus de mon petit trou pour en masser le pourtour. Un vrai cochon. Je détourne la tête et nous échangeons un regard complice. Je reprends ma fellation avec encore plus de désir, encore plus de perversité. Je lèche les couilles de mon collègue dans le vice me faisant face les cuisses un peu écartées, y applique tout mon talent et mon envie de le faire se déverser dans ma bouche. Je me sens vraiment très allumée. Je crache sur sa queue pour la lubrifier encore plus. Je lèche mon doigt pour bien l'humecter et le glisse jusqu'à son cul pour le caresser durant ma pipe. Il ronronne, passant les doigts dans mes cheveux, laissant sa main presser contre ma nuque pour une meilleure profondeur. C'est lorsque j'insère un deuxième doigt qu'il échappe une longue giclée de sperme dans mon palet. Et je lui fais l'honneur de bien enfoncer sa queue au fond de ma gorge pour lui donner la sensation qu'il baise ma tête. Dans de longs râles, parfois terminés en soupirs, il jouit bruyamment en se retenant à mes épaules pour mieux rester à genoux.
Une fois que j'ai bien tout avalé, il essuie les légères gouttes de sa semence restées à la commissure de mes lèvres et me les fais lécher au bout de son doigt. Il retourne lui aussi profiter du reste du spectacle, bien calé dans son fauteuil, sa coupe à la main.
Il en reste toujours un qui n'a pas joui. Il tient le coup, le petit coquin..
...voyons voir s'il résistera à ça.
À suivre
Mamz'Elle J xx
Je suis exactement dans le mood orgasme. Mon corps n'arrive plus à se retenir, mon dos s'arque sur le lit devenu humide sous les 4 corps excités présents dans la chambre. Je sens que perlent les gouttes de sueur sur mes tempes alors que mes ongles sont plantés dans les draps, à les agripper comme pour me retenir de partir au 7ieme ciel. Mes orteils se crispent. Ma bouche s'entrouvre. J'ouvre à peine les yeux et les images que j'ai de la réalité sont poignantes et sublimes. Je vois les pupilles de mon amant préféré s'allumer à la vue de l'effet qu'a sur moi son emprise à ma gorge, alors que de sa main gauche il se branle au dessus de mes seins. Son foutre chaud coule de mes mamelons à mes côtes et terminent leur course sur le drap. Quelques gouttes ont fusé jusqu'à mes lèvres et sur la main de l'autre complice. L'homme qui me caresse le cul est couché au pied du lit, a deux doigts insérés dans mon petit trou et sourit bêtement en me pénétrant doucement. De sa main libre, il se masturbe lui aussi, mais tout doucement. Il me lance un «Allez salope, jouis pour nous!»
Celui qui s'occupait de mon clito a trouvé sa place sur le lit, côté droit, attentif et franchement surpris de la puissance de l'orgasme qui me tiraille. Quatre de ses doigts sont toujours en moi, à me pistonner comme s'il avait mis toute son énergie vitale à me faire crier comme la pire des salopes. Il mord un peu mon ventre, en regardant toujours mon visage probablement déformé par la montée de cette secousse jouissive le long de ma colonne. Son mouvement profond, franc et vif déclenche une vague inattendue dans mon bas ventre, prêt à laisse sortir une marée de mon jus pendant que de secondes en secondes, la main de l'autre homme se resserre sur ma gorge jusqu'à me couper le souffle. Je cries de bonheur, je me tortille, tentant de contenir un peu les sons que je propulse même involontairement alors que je sens un un relâchement extrême de tout mon corps. Le draps est complètement mouillé. Mon éjaculation était si puissante que je me sens vidée. Tous trois me regardent. Un qui m'a jouit dessus. L'autre qui continue sa caresse en me regardant reprendre mes esprits. Et le troisième, souriant comme pas un, qui se lève, glisse un doigt sur ma bouche pour que je lèche un peu de mon offertoire sensuel. J'ai chaud. Je n'ai plus d'énergie, mais j'ai tellement envie de plus.
J'ai envie de me lover contre un corps chaud. De m'assoupir sur les chairs tendres d'un des hommes pendant qu'il me jouerait dans les cheveux.
Mais on en a voulu autrement.. Et comme je ne suis pas en état de contrarier personne, je me laisse faire.
Mon préféré se retire pour aller finir de boire sa coupe de vin sur l'un des fauteuils.
Toujours couchée sur le dos, je suis encore dans un état second. Je halète sur un fond musical de DJ Cam, tentant de reprendre une respiration convenable. L'adonis couché au pied du lit se relève, bois une gorgée de sa coupe posée sur le plancher, s'approche de ma chatte, la queue à la main, prêt à me l'enfiler. Le volume de son engin aurait pu me faire peur en temps normal, mais je sais qu'à ce moment-ci, je suis tellement mouillée que je l'accueillerai avec facilité et plaisir. sous le regard pervers de l'autre mâle qui se trouve toujours à mes côtés, je me fais tranquillement pénétrer. Je mords involontairement ma lèvre inférieure. L'instant d'après, une queue pousse sur mes lèvres afin de s'introduire dans ma bouche. J'empoigne fermement la fesse de l'individu pour l'approcher de ma langue. je lèche les quelques gouttes de liquide qui perlent au bout de son gland, en savourant le goût particulier de sa belle queue, franchement appétissante. Il investit ma bouche, s'amuse à donner quelques coups de bassin aux moments où je reprend une bouffée d'air, pour me faire savoir que c'est à lui que je dois penser en premier. Je fais tout en mon possible pour le rendre fier d'être parmi nous et lui aspire la chair comme il n'aurait jamais été sucé auparavant. Je lui lance des regards pervers, juste assez cochons pour l'exciter un peu plus, pour lui faire comprendre que j'aime me faire traiter comme une pute, que j'aime la situation présente. Je deviens le jouet de 3 super beaux hommes aux attributs fort attirants, pourquoi je me priverais de mon petit côté givré après tout!
J'arrête ma fellation un moment et me retourne à quatre pattes, pour laisser un champ plus libre à l'amant qui s'occupe terriblement bien de ramoner mon entrejambe tout coulant et confortable. Je le sens m'écarter les cuisses pour voir s'insérer en moi à chaque coup de butoir, sa queue de bon calibre. Il m'attrape par les hanches et s'en donne à coeur joie alors qu'il mouille de sa salive son pouce et l'approche une fois de plus de mon petit trou pour en masser le pourtour. Un vrai cochon. Je détourne la tête et nous échangeons un regard complice. Je reprends ma fellation avec encore plus de désir, encore plus de perversité. Je lèche les couilles de mon collègue dans le vice me faisant face les cuisses un peu écartées, y applique tout mon talent et mon envie de le faire se déverser dans ma bouche. Je me sens vraiment très allumée. Je crache sur sa queue pour la lubrifier encore plus. Je lèche mon doigt pour bien l'humecter et le glisse jusqu'à son cul pour le caresser durant ma pipe. Il ronronne, passant les doigts dans mes cheveux, laissant sa main presser contre ma nuque pour une meilleure profondeur. C'est lorsque j'insère un deuxième doigt qu'il échappe une longue giclée de sperme dans mon palet. Et je lui fais l'honneur de bien enfoncer sa queue au fond de ma gorge pour lui donner la sensation qu'il baise ma tête. Dans de longs râles, parfois terminés en soupirs, il jouit bruyamment en se retenant à mes épaules pour mieux rester à genoux.
Une fois que j'ai bien tout avalé, il essuie les légères gouttes de sa semence restées à la commissure de mes lèvres et me les fais lécher au bout de son doigt. Il retourne lui aussi profiter du reste du spectacle, bien calé dans son fauteuil, sa coupe à la main.
Il en reste toujours un qui n'a pas joui. Il tient le coup, le petit coquin..
...voyons voir s'il résistera à ça.
À suivre
Mamz'Elle J xx
5.16.2013
Au Bal Masqué, cinquième partie
Généralement, j’aime qu’on prenne le contrôle, non seulement sur moi mais aussi sur la situation. J’aime me sentir portée sur l’envie de mon ou ma partenaire, mais ce soir, je ne voulais pas de ça. Je voulais avoir le plein contrôle sur tous les aspects. Mais en même temps, je ne peux me soustraire à ce charmant et allumant état d’exaltation dans lequel je suis, à être comblée corps et âme par 6 mains, 3 queues, 3 bouches, la chaleur de tout ce harem d’adonis qui n’ont d’yeux que pour moi, je me dis que finalement, les laisser écrire le scénario de ce délicieux et terriblement intense moment ne serait pas non plus un faux pas.
Le temps passe, le désir s’accentue, les parfums embaument la pièce où flotte une odeur de sexe, de sueur, de plaisir. Je suis toujours sur le point de jouir, je gémis intensément en sentant glisser en moi une main presqu’entière sans difficulté. Des doigts inconnus branlent mon clito en feu, tellement gonflé d’excitation que je pourrais exploser seulement qu’avec un souffle sur la chatte. Me retenir devient difficile. Mon complice préféré sort sa queue de ma bouche et se branle au dessus de mon visage. Je lui demande d’attendre avant d’expulser sa semence sur mes joues devenues écarlates. Il me regarde profondément, prends ma gorge entre ses doigts et serre un peu. Ça y est. Il a trouvé mon point sensible. Ma véritable zone érogène. Je perds totalement le contrôle de tout. Du temps. De l’espace. Comment a-t-il deviné?
Il ne sait pas qu’il vient de réveiller la bête en moi.. ni qu’arrive l’orage sur ce lit encore en mode «préliminaire». On vient de passer à l’étape suivante.
Mamz’elle J xx
5.14.2013
Au Bal Masqué, quatrième partie
Mes hommes portent toujours leurs masques. Je ne perçois de leur visages que leur mâchoires et leurs yeux mais c'est bien suffisant pour m'exciter et me faire frémir.
Alors que le souffle chaud du premier candidat me chatouille l'entre-cuisse et que je sens sa langue longer le tissus qui sépare ses papilles de mes lèvres intimes, je sens la présence d'un autre homme à mes côtés. Il a eu le courage de se lever de son fauteuil avant même que je l'y invite! Petit vicieux.. c'est moi qui commande cette soirée. Et c'est aussi pour cette raison qu'il aura affaire à moi..
Mais je reste calme et concentrée sur sa belle queue qui se tient maintenant à quelques centimètres de mon visage. Il a mis un genou sur le rebord du lit et tient son sexe à la base, pointant ma bouche de son gland appétissant. Il me regarde prendre mon plaisir alors que je sens l'index de mon premier complice repousser le tissus imprégné de ma mouille sur le côté de ma chatte. J'étire le bras vers ce pieu et l'approche de mes lèvres. Ma langue frétillante le lèche sur toute sa longueur. J'ai les yeux fermés et je tente de m'imprégner de son goût à la fois salé, mais aussi un peu terreux. Mais une chaleur émane de cette tige de chair qui coulisse maintenant dans ma bouche gourmande. Je laisse ma salive enduire mon nouveau bonbon, pour le permettre de se complaire éventuellement dans ce milieu chaud, humide et confortable qu'est ma gorge.
Le spectacle se passe devant le troisième homme, toujours assis sur sa chaise, les yeux fixés sur le jeu qui se passe devant lui. Je ne vois que sa main droite bouger, caresser son pénis sur le point d'exploser tant il est excité. Il se mord la lèvre, cherche à ne manquer aucun détail du spectacle, attentif mais de moins en moins patient.
Les minutes passent, je sens que mon premier adonis insère deux, puis trois doigts dans ma chatte trempée.
Je demande au seul homme à ne pas figurer à la scène de s'approcher. Mon premier ordre: il doit lécher les doigts de celui qui, jusqu'à tout récemment avait entrepris de me fouiller l'antre. Un regard de peur, puis un relâchement. Je leur avais bien dit qu'ils devaient être ouverts à tout. Tout, incluant quelques contacts modérés entre eux. Je ne suis pas du genre à leur faire peur ni à les dépraver contre leur envie, mais de les faire repousser leurs limites rend le plaisir encore plus complet. Pour tout le monde.
Et les charmants adonis veulent tellement me faire plaisir, veulent tellement me plaire coûte que coûte. Alors.. le scénario se poursuit.
Il prend plaisir à me regarder dans les yeux en léchant les doigts de son collègue. Et ça me donne presque des chaleurs. J'ai maintenant 3 sexes érigés et gonflés à bloc, que pour moi, à portée de mains, de langue, de chatte.. pourquoi je m'en priverais?
Mon préféré s'avance encore plus près, passe un genou de l'autre côté de ma tête et enfonce son sexe dans ma bouche. Pendant que ma main gauche a agrippé le sexe du premier homme, c'est la langue et les doigts du deuxième qui tourbillonnent en moi. Sans y aller trop fermement, il sait exactement où me caresser dès les premiers instants.. Je sens sa langue descendre le long de ma fente, jusqu'à s'infiltrer à mon petit trou bien serré.. Il s'attarde à ma région pudique pendant que l'homme aux yeux trop bleu baise ma bouche doucement. Je sais qu'il aime entendre mon souffle se couper quand il franchit la barrière de ma gorge. Je sais que ça l'allume de me voir ainsi, sous son emprise en quelques sortes, alors que je me fais lécher le cul par un inconnu. Ma main n'a pas arrêté ses caresses sur le dernier arrivé. Je maintiens la cadence, tout en variant la pression de mes phalanges sur son pieu. Ce dernier sait exactement ce dont j'ai envie.
Et il me le démontrera quelques instants plus tard...
J'aime sentir mon chouchou me prendre la tête. Passer une main sous ma nuque, prendre mes cheveux, en tendre les racines, planter ses ongles dans mon cou. J'aime sentir sa queue toucher le fond de ma gorge, juste avant le gapping, juste avant qu'il ne soit trop tard et que je l'expulse. Le temps de m'y habituer et ce sera un problème que je n'aurai plus. Je me suis entraîné durant tellement de mois pour me débarrasser de mon gag reflex avec mon premier amant qu'il est devenu facile pour moi de passer par dessus. Mais ça, mon partenaire dans le vice ne le sait pas.. Pas encore du moins...
Je le laisse aller et venir, étirer ma salive de mes lèvres au bout de son engin. Il prend un malin plaisir à laisser sa queue s'enfoncer dans le fin fond de ma bouche, en regardant s'infiltrer sa chair tendre centimètres après centimètres, par fierté ou par plaisir, je ne sais pas.. mais je lis dans ses yeux qu'il cherche à conserver le moment dans ses souvenirs.
Je sens à peu près au même moment deux doigts caresser mon aine, et je sais que ces doigts n'appartiennent pas au petit vicieux qui s'occupe déjà de mon cul. Peut-être par manque d'attention ou par désir inévitable, le deuxième homme, celui dont je tient la queue, a décidé de caresser encore ma chatte. Et je sens mon plaisir grandir en moi, alors que tous mes orifices ont maintenant trouvé un bon samaritain pour les servir.
Je ne veux pas libérer ma jouissance tout de suite. Mais il devient plus que clair que je dois remédier à la situation.
Et messieurs, même en sachant que celle qui dirigeait cette soirée c'est moi, ont réussi à prendre un peu le dessus...
Humm. Mais je leur ai réservé le traitement choc.
Et ils le découvriront dans quelques minutes, juste après que j'aie enfin profité pleinement de ce petit jeu à 4..
À suivre...
Mais je reste calme et concentrée sur sa belle queue qui se tient maintenant à quelques centimètres de mon visage. Il a mis un genou sur le rebord du lit et tient son sexe à la base, pointant ma bouche de son gland appétissant. Il me regarde prendre mon plaisir alors que je sens l'index de mon premier complice repousser le tissus imprégné de ma mouille sur le côté de ma chatte. J'étire le bras vers ce pieu et l'approche de mes lèvres. Ma langue frétillante le lèche sur toute sa longueur. J'ai les yeux fermés et je tente de m'imprégner de son goût à la fois salé, mais aussi un peu terreux. Mais une chaleur émane de cette tige de chair qui coulisse maintenant dans ma bouche gourmande. Je laisse ma salive enduire mon nouveau bonbon, pour le permettre de se complaire éventuellement dans ce milieu chaud, humide et confortable qu'est ma gorge.
Le spectacle se passe devant le troisième homme, toujours assis sur sa chaise, les yeux fixés sur le jeu qui se passe devant lui. Je ne vois que sa main droite bouger, caresser son pénis sur le point d'exploser tant il est excité. Il se mord la lèvre, cherche à ne manquer aucun détail du spectacle, attentif mais de moins en moins patient.
Les minutes passent, je sens que mon premier adonis insère deux, puis trois doigts dans ma chatte trempée.
Je demande au seul homme à ne pas figurer à la scène de s'approcher. Mon premier ordre: il doit lécher les doigts de celui qui, jusqu'à tout récemment avait entrepris de me fouiller l'antre. Un regard de peur, puis un relâchement. Je leur avais bien dit qu'ils devaient être ouverts à tout. Tout, incluant quelques contacts modérés entre eux. Je ne suis pas du genre à leur faire peur ni à les dépraver contre leur envie, mais de les faire repousser leurs limites rend le plaisir encore plus complet. Pour tout le monde.
Et les charmants adonis veulent tellement me faire plaisir, veulent tellement me plaire coûte que coûte. Alors.. le scénario se poursuit.
Il prend plaisir à me regarder dans les yeux en léchant les doigts de son collègue. Et ça me donne presque des chaleurs. J'ai maintenant 3 sexes érigés et gonflés à bloc, que pour moi, à portée de mains, de langue, de chatte.. pourquoi je m'en priverais?
Mon préféré s'avance encore plus près, passe un genou de l'autre côté de ma tête et enfonce son sexe dans ma bouche. Pendant que ma main gauche a agrippé le sexe du premier homme, c'est la langue et les doigts du deuxième qui tourbillonnent en moi. Sans y aller trop fermement, il sait exactement où me caresser dès les premiers instants.. Je sens sa langue descendre le long de ma fente, jusqu'à s'infiltrer à mon petit trou bien serré.. Il s'attarde à ma région pudique pendant que l'homme aux yeux trop bleu baise ma bouche doucement. Je sais qu'il aime entendre mon souffle se couper quand il franchit la barrière de ma gorge. Je sais que ça l'allume de me voir ainsi, sous son emprise en quelques sortes, alors que je me fais lécher le cul par un inconnu. Ma main n'a pas arrêté ses caresses sur le dernier arrivé. Je maintiens la cadence, tout en variant la pression de mes phalanges sur son pieu. Ce dernier sait exactement ce dont j'ai envie.
Et il me le démontrera quelques instants plus tard...
J'aime sentir mon chouchou me prendre la tête. Passer une main sous ma nuque, prendre mes cheveux, en tendre les racines, planter ses ongles dans mon cou. J'aime sentir sa queue toucher le fond de ma gorge, juste avant le gapping, juste avant qu'il ne soit trop tard et que je l'expulse. Le temps de m'y habituer et ce sera un problème que je n'aurai plus. Je me suis entraîné durant tellement de mois pour me débarrasser de mon gag reflex avec mon premier amant qu'il est devenu facile pour moi de passer par dessus. Mais ça, mon partenaire dans le vice ne le sait pas.. Pas encore du moins...
Je le laisse aller et venir, étirer ma salive de mes lèvres au bout de son engin. Il prend un malin plaisir à laisser sa queue s'enfoncer dans le fin fond de ma bouche, en regardant s'infiltrer sa chair tendre centimètres après centimètres, par fierté ou par plaisir, je ne sais pas.. mais je lis dans ses yeux qu'il cherche à conserver le moment dans ses souvenirs.
Je sens à peu près au même moment deux doigts caresser mon aine, et je sais que ces doigts n'appartiennent pas au petit vicieux qui s'occupe déjà de mon cul. Peut-être par manque d'attention ou par désir inévitable, le deuxième homme, celui dont je tient la queue, a décidé de caresser encore ma chatte. Et je sens mon plaisir grandir en moi, alors que tous mes orifices ont maintenant trouvé un bon samaritain pour les servir.
Je ne veux pas libérer ma jouissance tout de suite. Mais il devient plus que clair que je dois remédier à la situation.
Et messieurs, même en sachant que celle qui dirigeait cette soirée c'est moi, ont réussi à prendre un peu le dessus...
Humm. Mais je leur ai réservé le traitement choc.
Et ils le découvriront dans quelques minutes, juste après que j'aie enfin profité pleinement de ce petit jeu à 4..
À suivre...
Mamz'Elle J xx
Au Bal Masqué, troisième partie
Pour le deuxième candidat, il fallait que je vérifie quelque chose..
Son regard trop bleu, ses cuisses fermes, ses fesses parfaites me faisaient déjà fondre d'envie. C'est sans parler de sa queue bien dressée, épilée à la perfection, son gland bien dessiné et luisant... ça donnait franchement le goût de me mettre tout de suite à genoux devant lui, mais je devais me contenir un peu. C'est avec beaucoup d'effort que j'ai réussi à garder mon air impassible et que je lui ai demandé d'approcher un peu de ma bouche. Il avait une bouche large, des lèvres pulpeuses et une mâchoire carrée. Une belle gueule. Son regard en disait long sur son désir et il fallait maintenant qu'il me démontre son talent. Je voulais vérifier de quelle façon il embrassait.
J'ai senti son parfum, Acqua Di Parma, s'infiltrer de mes narines à mon échine quand il a penché la tête un peu vers la droite pour mieux joindre ses lèvres aux miennes. Un baiser plus doux et tendre qu'attendu. Mais tellement prenant. Nos langues se caressaient doucement, j'avais empoigné sa nuque afin de le rapprocher davantage. À ce moment, j'aurais voulu qu'il glisse un doigt jusque sous ma culotte pour chatouiller mon petit bourgeon totalement éclot. Je me sentais faiblir. Je me sentais mouiller. Mon entre-cuisse se réchauffait.. mes joues aussi.
Le test passé, je lui ai fait un clin d'oeil. Et il a vite compris qu'il serait mon favori pour la soirée..
Le troisième candidat avait tout de l'homme hyper-sexuel. Un regard bestial, des mains puissantes, un sexe défiant les lois de la gravité, de bonne longueur, saillant, attractif, invitant. Cheveux en bataille, fraîchement rasé, il sentait l'homme. Le vrai. Il avait le corps d'un homme qui s'entraîne 6 fois semaine, pas nécessairement le genre d'homme que je regarde habituellement, mais un charme naturel émanait de cet être. Je ne voyais aucun autre des hommes alignés devant moi comme candidat potentiel. Les 7 autres auraient de toutes façon toutes les autres femmes à leur disposition, si le désir se faisait sentir de les baiser, pour le reste de la soirée..
De mon côté, j'ai amené les 3 adonis avec moi dans une autre pièce.
La chambre, grande et à l'éclairage tamisé, offrait une vue directe sur les buildings en lumière du Vieux-Port.
3 fauteuils étaient placés autour du grand lit king sur lequel un drap plat blanc était disposé avec quelques coussins gris et rouges.
Je me suis allongée sur le lit en faisant signe aux messieurs de prendre place dans leurs fauteuils respectifs.
D'ici, je pouvais détailler du regard toutes les facettes de leurs corps, de leurs visages, je lisais dans leurs regards et y percevais de bien belles choses.
Alors que je les regardais depuis quelques secondes sans dire un mot, je me suis mise à tester leur patience. Doucement, j'ai fait courir un doigt sur ma clavicule, léchant mes lèvres dans un mouvement langoureux. J'ai caressé le tissus de mon corsage, en insistant sur les courbes de ma silhouette, doucement, sans mouvement brusques. Il m'arrivait d'accrocher le regard dans celui d'un de mes partenaires de jeu, tentant d'attiser le feu qui brûlait déjà dans son abdomen. Ma main a descendu plutôt rapidement jusqu'à ma chatte, que je devinais déjà tellement trempée et prête. Mon index s'est dirigé vers ma fente, y a recueillis un peu de ma mouille et je l'ai approché de ma bouche pour goûter mon propre nectar.. Deux des trois hommes avaient la main sur leur sexe et se caressaient doucement tandis que l'autre exerçait un contrôle sur lui-même qui me fascinait. Il s'agissait du premier candidat choisi. J'ai répété le geste, fouillant mon antre pour récolter un peu plus de cyprine et j'ai fait signe à cet homme d'approcher.
Lentement, il s'est levé, appuyant son regard sur mes lèvres, montant sur le lit et il a léché mes doigts de façon délicate. Sa langue caressait mon doigt, léchant tout le jus qui s'y trouvait. Assidu à sa tâche, il m'a conquise. Je me suis couchée sur les coussins pendant qu'il léchait l'intérieur de ma jambe. Sa tête a tôt atteint la cible et alors que j'avais toujours ma culotte, il a entrepris de lécher goutte à goutte les centilitres de mouille absorbé par le tissus.
La chaleur et l'habileté de sa langue me déconcertaient. Ses doigts n'avaient pas encore joint les caresses que j'allais exploser sous l'emprise de ses talents...
Mais quelque chose a retardé un peu mes élans de plaisirs. Un parfum, une présence. Rien pour stopper complètement mon envie de jouir. Seulement, une autre opportunité s'offrait à moi...
À suivre..
Mamz'Elle J xx
Son regard trop bleu, ses cuisses fermes, ses fesses parfaites me faisaient déjà fondre d'envie. C'est sans parler de sa queue bien dressée, épilée à la perfection, son gland bien dessiné et luisant... ça donnait franchement le goût de me mettre tout de suite à genoux devant lui, mais je devais me contenir un peu. C'est avec beaucoup d'effort que j'ai réussi à garder mon air impassible et que je lui ai demandé d'approcher un peu de ma bouche. Il avait une bouche large, des lèvres pulpeuses et une mâchoire carrée. Une belle gueule. Son regard en disait long sur son désir et il fallait maintenant qu'il me démontre son talent. Je voulais vérifier de quelle façon il embrassait.
J'ai senti son parfum, Acqua Di Parma, s'infiltrer de mes narines à mon échine quand il a penché la tête un peu vers la droite pour mieux joindre ses lèvres aux miennes. Un baiser plus doux et tendre qu'attendu. Mais tellement prenant. Nos langues se caressaient doucement, j'avais empoigné sa nuque afin de le rapprocher davantage. À ce moment, j'aurais voulu qu'il glisse un doigt jusque sous ma culotte pour chatouiller mon petit bourgeon totalement éclot. Je me sentais faiblir. Je me sentais mouiller. Mon entre-cuisse se réchauffait.. mes joues aussi.
Le test passé, je lui ai fait un clin d'oeil. Et il a vite compris qu'il serait mon favori pour la soirée..
Le troisième candidat avait tout de l'homme hyper-sexuel. Un regard bestial, des mains puissantes, un sexe défiant les lois de la gravité, de bonne longueur, saillant, attractif, invitant. Cheveux en bataille, fraîchement rasé, il sentait l'homme. Le vrai. Il avait le corps d'un homme qui s'entraîne 6 fois semaine, pas nécessairement le genre d'homme que je regarde habituellement, mais un charme naturel émanait de cet être. Je ne voyais aucun autre des hommes alignés devant moi comme candidat potentiel. Les 7 autres auraient de toutes façon toutes les autres femmes à leur disposition, si le désir se faisait sentir de les baiser, pour le reste de la soirée..
De mon côté, j'ai amené les 3 adonis avec moi dans une autre pièce.
La chambre, grande et à l'éclairage tamisé, offrait une vue directe sur les buildings en lumière du Vieux-Port.
3 fauteuils étaient placés autour du grand lit king sur lequel un drap plat blanc était disposé avec quelques coussins gris et rouges.
Je me suis allongée sur le lit en faisant signe aux messieurs de prendre place dans leurs fauteuils respectifs.
D'ici, je pouvais détailler du regard toutes les facettes de leurs corps, de leurs visages, je lisais dans leurs regards et y percevais de bien belles choses.
Alors que je les regardais depuis quelques secondes sans dire un mot, je me suis mise à tester leur patience. Doucement, j'ai fait courir un doigt sur ma clavicule, léchant mes lèvres dans un mouvement langoureux. J'ai caressé le tissus de mon corsage, en insistant sur les courbes de ma silhouette, doucement, sans mouvement brusques. Il m'arrivait d'accrocher le regard dans celui d'un de mes partenaires de jeu, tentant d'attiser le feu qui brûlait déjà dans son abdomen. Ma main a descendu plutôt rapidement jusqu'à ma chatte, que je devinais déjà tellement trempée et prête. Mon index s'est dirigé vers ma fente, y a recueillis un peu de ma mouille et je l'ai approché de ma bouche pour goûter mon propre nectar.. Deux des trois hommes avaient la main sur leur sexe et se caressaient doucement tandis que l'autre exerçait un contrôle sur lui-même qui me fascinait. Il s'agissait du premier candidat choisi. J'ai répété le geste, fouillant mon antre pour récolter un peu plus de cyprine et j'ai fait signe à cet homme d'approcher.
Lentement, il s'est levé, appuyant son regard sur mes lèvres, montant sur le lit et il a léché mes doigts de façon délicate. Sa langue caressait mon doigt, léchant tout le jus qui s'y trouvait. Assidu à sa tâche, il m'a conquise. Je me suis couchée sur les coussins pendant qu'il léchait l'intérieur de ma jambe. Sa tête a tôt atteint la cible et alors que j'avais toujours ma culotte, il a entrepris de lécher goutte à goutte les centilitres de mouille absorbé par le tissus.
La chaleur et l'habileté de sa langue me déconcertaient. Ses doigts n'avaient pas encore joint les caresses que j'allais exploser sous l'emprise de ses talents...
Mais quelque chose a retardé un peu mes élans de plaisirs. Un parfum, une présence. Rien pour stopper complètement mon envie de jouir. Seulement, une autre opportunité s'offrait à moi...
À suivre..
Mamz'Elle J xx
5.08.2013
Au Bal Masqué, deuxième partie.
Alors que l'alcool coulait à flôts et que la tension coquine semblait gagner l'ensemble des invités, le DJ a annoncé mon arrivée. Tout en douceur, un maître de cérémonie me tenant par le bras, façon «gentleman» m'a conduite au centre de la pièce. Tout au long de mon parcours, je lançais des regards autour de moi. Tout était comme imaginé. Les convives avaient revêtus à merveille leurs plus beaux vêtements. Les couleurs, la chaleur de la pièce, les effluves me donnaient envie d'accélérer la découverte. Mais je me retenais. J'allais devoir franchir les étapes unes à unes. Et j'allais m'en délecter.
J'avais choisi de me présenter sous mon prénom, celui de Jade. Je me sentais confiante, en pleine forme, avec une énergie sexuelle à son comble. Je rêvais déjà à ce moment où j'allais devoir choisir mes invités VIP. Je me doutais que ce serait plutôt difficile, puisqu'à ce moment précis, je les désirais tous. Tous. Sans exception. Quand ma présentation fut terminée, j'ai pris un verre aussi et les invités venaient se présenter à moi. Plusieurs femmes étaient très en beauté ce soir-là! Je voyais défiler des jambes très longues, des fesses parfaites, des seins toujours soutenus à la perfection par des ensemble de déshabillés à couper le souffle. Mais de toutes les personnes présentes dans la pièce, c'est moi que l'on désirait. C'est moi qui attirait les regards d'envie, par mon attitude, par le contexte, par les sourires incontrôlables que je faisais, les rires communicatifs que je laissais aller. Je resplendissais le bonheur, la confiance. Je me démarquais par mon habillement. Je me démarquais par ma présence. Par mon parfum qui, poussé par les phéromones, émanait de mon corps d'une façon jusque là inhabituelle. J'étais dans mon élément.
J'ai eu l'occasion de poser mes yeux sur des décolletés splendides, des pantalons de laine grise qui me renvoyaient des images pas très catholiques. J'y devinais des sexes tendus, des attributs sublimes, des invitations à engloutir ces queues entières et comme j'étais celle qui commandait en cette soirées de luxure, j'ai décidé que ce serait la première d'une longue série de perversités.
Alors que je me tenais au centre de la pièce, on a annoncé le début des festivités. L'un des maîtres de cérémonie m'a passé un masque sur les yeux. Les dix hommes que j'avais présélectionnés sont sortis de la pièce, ont enlevé leur pantalons et sont revenus devant moi. Lorsque j'ai enlevé le masque, je devais en choisir trois parmi les dix qui auraient le droit de me toucher. Devant tout le monde. À leur guise. Aucune limite imposée.
Je devais choisir ces hommes par leur attributs physiques. Tout ce qui me plaisait chez un homme se trouvait devant moi; une belle queue seyante, de jolies fesses rebondies, de belles épaules carrées, une mâchoire découpée.. Je n'en voyais pas plus. Et il ne m'en fallait pas davantage, pour que mes yeux s'arrêtent sans trop attendre sur les trois candidats de mon choix.
Déjà, leurs sexes au garde-à-vous me donnaient envie de m'agenouiller devant eux et les prendre en bouche les uns après les autres. Et j'en avais le droit! C'était ma soirée!
J'allais devoir annoncer aux trois élus de façon plutôt suggestives que je les avais sélectionné pour le prochain round.
Lentement, sur mes escarpins vertigineux, je ne suis approchée en laissant ma main parcourir tantôt un torse, tantôt un ventre, glissant le bout de mon gant de satin prune sur leurs peaux lisses. Je lançais des regards aguicheurs aux inconnus et à mesure qu'il répondaient à mes appels à la baise, je voyais leurs glands rougir et gonfler jusqu'à ne plus pouvoir.
Mes trois futurs complices réagissaient à merveille. Personne ne se doutait encore du choix final. J'effleurai alors le sexe tendu du premier..
Un homme comme je les aime.
Visage plutôt carré, des traits assez durs, barbe de plusieurs jours.
Au bas du corps de de spécimens, une queue non-circoncise, de large et de grandeur moyenne.
Elle se présentait d'ailleurs à moi dans une position plutôt invitante, mais ce qui m'avait séduite, c'est la légère goutte de liquide pré-éjaculatoire qui pointait tout au bout de son gland.
J'approche le nez de son corps.. parfum plutôt musqué, aux effluves de poivre, de chêne, de cuir, ravive en moi l'envie de m'approcher si près de lui que nos peaux ne formeront qu'une.
Je l'embrasse doucement sur les lèvres. Lui glisse à l'oreille qu'il peut rester ici.
Je sens se dessiner un sourire sur ses lèvre pleines et charnues..
Le premier candidat choisi, il n'en resterait que deux. J'avais déjà une idée de qui serait le deuxième. Mais.. je devais vérifier une chose...
....à suivre
5.07.2013
Au Bal masqué, première partie.
Un beau soir, début septembre, nous sommes réunis dans un grand condo très moderne du Vieux-Montréal avec une immense terrasse adjacente à l'appartement. La vue est imprenable et l'ambiance est à son comble.
La soirée a commencé vers 22h, alors que la musique de type «lounge» embaumait la pièce du hall au balcon. Les invités entraient, habillés selon le code prescrit. Et si les vêtements se devaient d'être noirs, gris ou jaune, les visages se devaient d'être couverts.. et tout le monde devait être parfumé.
J'avais au préalable choisi une quinzaine d'invités à partir de profils plutôt brefs, chez les hommes; caractéristiques physiques telles la taille, le poids, la taille du sexe et le parfum. Ces messieurs pouvaient être accompagnés, mais ce n'était pas obligatoire. Ils connaissaient les grandes lignes de la soirée, mais je souhaitais aussi, et surtout, qu'ils gardent en tête que tout pouvaient arriver, tant aux hommes qu'aux femmes. Ils et elles devaient garder l'esprit ouvert.
À la porte, on distribuait le vin aux invités. Mes maîtres de cérémonie avaient de beaux habits gris , qui leur dessinait des fesses parfaites et une chemise blanche. Le tout rehaussé d'accessoires jaune, pour s'harmoniser au reste des convives.
De très grands sofas étaient soigneusement placés afin d'accueillir les participants à la soirée. Bientôt, nous en sommes arrivés à trente personnes environ et nous avons décidé de débuter.
Depuis leur arrivée, personne n'avait eu l'opportunité de me voir. Tout ce temps, j'étais dans une pièce fermée où je finissais de me préparer. Pendant qu'une copine terminait ma coiffure, j'enfilait mes bas et les attachait sur les jarretelles de mon corsage de couleur prune, serti de petites pierres du rhin et de légères chaînes au niveau des seins. Une culotte assortie venait compléter mon habillement affriolant. J'avais enfilé mes plus beaux escarpins à bouts ouverts, noirs avec un détail de dentelle sur le soulier. De longues boucles d'oreilles scintillantes venait encadrer mon visage, parfaitement maquillé. Mes yeux étaient en valeur plus que jamais, sous le fard ambré et les faux-cils que l'on m'avait installé en début de soirée. J'avais envie de profiter de toute cette soirée inoubliable et j'avais délégué les préparatifs de mon look à deux excellents professionnels. Même chose pour la musique et la décoration. Chaque détail comptait et je voulais que tout, absolument tout soit parfait.
Le stress me gagnait un peu plus chaque secondes. Je visualisais depuis des semaines cette nuit de frivolités, de perversité, de délices. Je m'étais fait des attentes très hautes, surtout sachant que les profils choisis me donnaient une encore meilleure raison d'espérer que ce soit magique. Moins de dix minutes avant mon entrée en scène. J'entendais des rires, des murmures de l'autre côté de la porte. Je savais que déjà, les convives faisaient connaissance et étaient excités. Mais.. je n'avais pas encore dit mon premier mot...
La soirée a commencé vers 22h, alors que la musique de type «lounge» embaumait la pièce du hall au balcon. Les invités entraient, habillés selon le code prescrit. Et si les vêtements se devaient d'être noirs, gris ou jaune, les visages se devaient d'être couverts.. et tout le monde devait être parfumé.
J'avais au préalable choisi une quinzaine d'invités à partir de profils plutôt brefs, chez les hommes; caractéristiques physiques telles la taille, le poids, la taille du sexe et le parfum. Ces messieurs pouvaient être accompagnés, mais ce n'était pas obligatoire. Ils connaissaient les grandes lignes de la soirée, mais je souhaitais aussi, et surtout, qu'ils gardent en tête que tout pouvaient arriver, tant aux hommes qu'aux femmes. Ils et elles devaient garder l'esprit ouvert.
À la porte, on distribuait le vin aux invités. Mes maîtres de cérémonie avaient de beaux habits gris , qui leur dessinait des fesses parfaites et une chemise blanche. Le tout rehaussé d'accessoires jaune, pour s'harmoniser au reste des convives.
De très grands sofas étaient soigneusement placés afin d'accueillir les participants à la soirée. Bientôt, nous en sommes arrivés à trente personnes environ et nous avons décidé de débuter.
Depuis leur arrivée, personne n'avait eu l'opportunité de me voir. Tout ce temps, j'étais dans une pièce fermée où je finissais de me préparer. Pendant qu'une copine terminait ma coiffure, j'enfilait mes bas et les attachait sur les jarretelles de mon corsage de couleur prune, serti de petites pierres du rhin et de légères chaînes au niveau des seins. Une culotte assortie venait compléter mon habillement affriolant. J'avais enfilé mes plus beaux escarpins à bouts ouverts, noirs avec un détail de dentelle sur le soulier. De longues boucles d'oreilles scintillantes venait encadrer mon visage, parfaitement maquillé. Mes yeux étaient en valeur plus que jamais, sous le fard ambré et les faux-cils que l'on m'avait installé en début de soirée. J'avais envie de profiter de toute cette soirée inoubliable et j'avais délégué les préparatifs de mon look à deux excellents professionnels. Même chose pour la musique et la décoration. Chaque détail comptait et je voulais que tout, absolument tout soit parfait.
Le stress me gagnait un peu plus chaque secondes. Je visualisais depuis des semaines cette nuit de frivolités, de perversité, de délices. Je m'étais fait des attentes très hautes, surtout sachant que les profils choisis me donnaient une encore meilleure raison d'espérer que ce soit magique. Moins de dix minutes avant mon entrée en scène. J'entendais des rires, des murmures de l'autre côté de la porte. Je savais que déjà, les convives faisaient connaissance et étaient excités. Mais.. je n'avais pas encore dit mon premier mot...
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