J'ai l'impression d'avoir écrit cet éditorial des milliers de fois. Déjà, avant même d'aller au vif du sujet, je sais que ma corde sensible va se mettre à vibrer..
Et si je ne tournais pas autour du pot, je vous avouerais, chers lecteurs, que j'ai mis sur la Toile ce blogue avant tout pour moi. Pour écrire et faire découvrir aux gens ayant un peu le même mode de vie que moi mes sentiments à l'égard de la vie. À l'égard de ce qui me rend heureuse et ce qui me fait de la peine, ce qui me fait pleurer ou rire, ce que j'ai envie de tenter ou ce que je garde en moi comme un bourgeon de rose attendant son soleil pour éclore. Ça m'a permis de faire de belles et bonnes rencontres, certes, mais ce n'était pas mon but. Par ce site, je voulais laisser aller mes désirs ainsi que mes mots sur des thèmes inépuisables et commun à tous. La sexualité. La vie. L'amour. La haine. Le goût du risque. Bien sur, j'ai eu des commentaires désagréables, d'autre carrément haineux. Mais j'avais toujours en tête que j'écrivais d'abord et avant tout pour moi. Alors de là, je laissais passer les opinions désobligeantes et me concentrais sur mon plaisir. Je ne veux pas appeler ça de l'égoïsme.
Au risque de décevoir des centaines de lecteurs, je vous l'annonce en exclusivité aujourd'hui, près de 80% de mes récits ne sont jamais arrivés. Ils résident par contre au fond de mon imaginaire, puisque même s'ils ne se sont pas produits, ils font partis de mes fantasmes. Tous mes textes sont tirés d'une pulsion que j'ai alimentée jusqu'à la rendre crédible, suffisamment imagée et détaillée afin d'être prête à être lue par d'autres que moi. Ceux qui me connaissent bien savent reconnaître les textes faisant mention de la vie de la véritable personne qui se trouve derrière l'écran. Ce sont souvent les textes qui ont été les plus critiqués, au sens où on me jugeait pour mes envies et fantaisies qui sont parfois mal vues ou tout simplement taboues dans certains foyers. Parfait, je vies bien avec le fait que peu d'entre vous aimez le BDSM ou avez déja vécu une expérience en lien avec cet aspect plus mal-aimé du sexe. Voyant que mes fidèles lecteurs me suivaient toujours mais avaient envie de lire quelque chose de plus «soft» ou «normal», j'ai décidé de me lancer dans l'écriture plus romanesque, d'histoires ficelées dans un optique plus concret et réalisable, tentant de divertir la masse populaire qui voulait entendre parler de triolisme, de plans à 4, de baise entre filles ou de lingerie.
Je ne crois pas avoir fait de ce blogue mon journal intime. Je ne crois pas avoir écrit les billets dans l'ordre où je les aurais vécu, selon mes désirs du moment ou même pour attirer l'attention de prospect pour me joindre dans mon fantasme. Je m'amuse ici et sur Twitter, à créer un phénomène d'attraction sur mes pages pour mon propre plaisir, mais aussi pour le vôtre. Plus j'ai de visiteurs, plus j'ai envie d'écrire. Plus j'ai envie d'écrire, plus je varie mes histoires et ça attire de nouvelles personnes qui me suggèrent des idées, etc.
Mais au bout du compte, le choix de poursuivre ou non ce blogue me revient de droit. Y afficher ce que je veux me revient également.
Si j'écris ici que j'ai envie de me faire prendre par 3 hommes à la fois, ça ne signifie pas que je lance une perche au lectorat masculin. De même pour les scénario avec une autre demoiselle ou autre. Il ne s'agit pas de me montrer ouverte et même très «à la recherche», il s'agit me mettre sur table une partie de ce que je suis, mélangée à une partie de ce à quoi je pense parfois..
J'arrive où je veux en venir. Je ne veux pas avoir à me justifier devant personne de faire des choix pour moi, pour ma propre vie et mon propre bonheur. Je ne veux pas avoir à prouver ce que je suis, ce que je vaux ou ce vers quoi j'aspire. Alors je ne veux plus avoir à m'expliquer d'écrire ce que j'écris sur mon blogue, ni d'avoir à m'excuser de choisir le vocabulaire ou les images ou même les thèmes d'écriture que je choisis. Dans la même veine, j'ai décidé que je me recentrais sur moi et au risque de perdre mon lectorat, je reprendrai le contrôle de mes pages.
Alors aux 5 ou 6 lecteurs qui m'écrivent sans arrêt pour m'insulter ou pour questionner mes choix de vie ou de mots, ça ne sert à rien de vous donner tant de mal à me haïr. Aux autres qui font de la désinformation, ou qui pensent me connaitre, qui croient que mon personnage de Mamz'elle J et moi, la véritable MOI sommes en tous points pareilles, alors vous vous trompez grassement.
Je choisis mes batailles dans la vie pour avancer. Celle-là n'en fait plus partie..
Vous avez envie de savoir ce qui se passe dans la tête d'une petite salope?.. Connaître les pensées, les fantasmes.. les faits et gestes dans la vie de celle que je suis.. ..attention, la lecture entraîne des effets immédiats;vous demeurerez accro!
Rechercher dans ce blog..
8.30.2012
Ups and Downs. Love and Fear. Sex and Domination.
I woke up sweating last night .. I dreamed that you were grabbing my hair to fuck me as if your life depended on it. As if I was the last person you would have given your semen before dying.. You'll never know how much I love to spend time with you, to feel you heat, to taste your lips, to lick you cock.. You'll never even imagine how I feel about these moments in your arms; when you kiss me softly just before you bully my pussy, when you whisper some tender words to my ear and then you smothering me. I love it. Ups and Downs. Love and Fear. Vanilla Sex and Domination. You really spin my head, mister...
Mes Confessions
Je suis une salope qui a très envie de lui..
8.28.2012
Laigle au Centre-Ville de la Métropole.
Laigle a eu une pensée pour moi ce midi, lors de sa balade au Centre-Ville de Montréal.
Il sait à quel point j'aime l'ambiance et la déco de la Ste-Catherine en saison estivale.
Voilà donc ses photos:
Merci pour la pensée, xxx
Il sait à quel point j'aime l'ambiance et la déco de la Ste-Catherine en saison estivale.
Voilà donc ses photos:
Merci pour la pensée, xxx
Mes Confessions
Je suis une salope qui reçoit des cadeaux
À la limite du non-retour...
On avait prévu de se voir à peine quelques jours plus tôt. Dans une extrême urgence, on avait envie de se revoir. Six heures approchaient, je revenais du travail à peine et déjà je devais faire le nécessaire pour qu'il ne voit pas mon empressement à bien présenter mon «chez-moi» un peu en bordel. Quand j'ai entendu l'intercom, mon coeur a failli fendre en deux. Puis, une minute plus tard, il faisait son entrée. C'est étonnant, le naturel avec lequel on se côtoie. On s’assoit sur le sofa et on se met à discuter vacances. Il me parle de sa location de condo à Tremblant, mais je l'écoute à peine. Je regarde sa bouche invitante, ses yeux qui me fixent et je me demande à quel instant sera le moment de lui sauter dessus. Bien entendu, ma mère m'a bien élevée. Je le laisse terminer et lui offre à boire...
Mais je n'ai pas le temps de me lever du sofa que déja, j'ai mes lèvres collées aux siennes et les mains dans ses cheveux. Je n'en pouvais plus de patienter depuis plus de 3 mois.. j'avais terriblement envie de lui. Lui de moi. Un véritable aimant agissait entre nous.
Dès mes mains posées sur son corps, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, à l'embrasser, le caresser, lui avouer à quel point j'avais hâte de le revoir, à quel point il m'avait manqué. Je sentais sa queue se gonfler sous ma chatte toujours dans ma culotte de dentelle noire, pendant qu'il glissait ses doigts derrière mes cuisses et jusque sous le tissus. J'avais déjà la chatte trempée et une énergie du diable pour lui montrer à quel point il me manquait. J'aurais fait n'importe quoi..
Je l'ai embrassé partout. Du cou aux aines, j'avais envie de laisser mon odeur, de marquer ma trace, de lui laisser savoir ma présence bien après mon départ. Après avoir couvert son torse de baisers, il s'est masturbé avec mes seins, ses yeux dans les miens. Cochon à souhaits.. ;)
Il m'a présenté son membre à l'entrée de ma bouche. J'avais la langue qui démangeait de me l'insérer au fond de la gorge, jusqu'à la suffocation s'il le fallait, pour le rendre fou. Ma bouche ne me suffisait pas, il fallait que je le caresse à deux mains. Ma salive donnait à cette fellation un côté plus salope, plus impliquée. J'avais son pieu qui me pilonnait la gorge, faisant faire des soubresauts à mon système digestifs, mais ô mon Dieu, j'aurais passé ma vie avec sa queue sur ma langue. Puis ce fut son tour de prendre bien soin de moi. À genoux sur le sofa, dos à lui, je lui ai présenté ma chatte, bien cambrée, afin qu'il s'y insère sans misère et sans gène. Il m'a pilonné comme ça pendant deux ou trois éternités, agrippant mes cheveux et mes hanches, mais le moment culminant fut quand il prit ma tête pour la ramener par derrière, à la limite de la blessure, et en prenant bien ma gorge, m'a inséré sa queue, grosse et large, dans ma chatte toute serrée et chaude. Ce fut un moment d'extase. Il me retenait avec une telle vigueur à la gorge que je me suis sentie partir, perdre conscience.. Juste à temps, je me suis réveillée. Il avait déjà fait le tour du sofa et laissait danser son gland sur ma lèvre alors que j'étais toujours endormie.
Plusieurs fois encore il m'a pris par la gorge, à une ou deux mains, à ma demande. Je voulais repousser mes limites à fond, sans bien les connaitre. Il m'a serrée et étouffée, à la limite du non-retour, quand parfois même je sentais qu'il ne voulait pas serrer davantage... Je me sentais partir - mes yeux se fermaient, puis mes oreilles se bouchaient- puis revenir, parfois avec sa queue dans ma chatte, d'autres fois avec ses doigts qui me dilataient. J'ai giclé sur lui en un instant de plaisir, sa main toujours sur ma gorge, alors que la faible lumière du salon éclairait la chambre. J'en aurais voulu encore et encore... mais il devait partir. J'ai eu un plaisir immense encore ce soir-là..
Mais je n'ai pas le temps de me lever du sofa que déja, j'ai mes lèvres collées aux siennes et les mains dans ses cheveux. Je n'en pouvais plus de patienter depuis plus de 3 mois.. j'avais terriblement envie de lui. Lui de moi. Un véritable aimant agissait entre nous.
Dès mes mains posées sur son corps, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, à l'embrasser, le caresser, lui avouer à quel point j'avais hâte de le revoir, à quel point il m'avait manqué. Je sentais sa queue se gonfler sous ma chatte toujours dans ma culotte de dentelle noire, pendant qu'il glissait ses doigts derrière mes cuisses et jusque sous le tissus. J'avais déjà la chatte trempée et une énergie du diable pour lui montrer à quel point il me manquait. J'aurais fait n'importe quoi..
Je l'ai embrassé partout. Du cou aux aines, j'avais envie de laisser mon odeur, de marquer ma trace, de lui laisser savoir ma présence bien après mon départ. Après avoir couvert son torse de baisers, il s'est masturbé avec mes seins, ses yeux dans les miens. Cochon à souhaits.. ;)
Il m'a présenté son membre à l'entrée de ma bouche. J'avais la langue qui démangeait de me l'insérer au fond de la gorge, jusqu'à la suffocation s'il le fallait, pour le rendre fou. Ma bouche ne me suffisait pas, il fallait que je le caresse à deux mains. Ma salive donnait à cette fellation un côté plus salope, plus impliquée. J'avais son pieu qui me pilonnait la gorge, faisant faire des soubresauts à mon système digestifs, mais ô mon Dieu, j'aurais passé ma vie avec sa queue sur ma langue. Puis ce fut son tour de prendre bien soin de moi. À genoux sur le sofa, dos à lui, je lui ai présenté ma chatte, bien cambrée, afin qu'il s'y insère sans misère et sans gène. Il m'a pilonné comme ça pendant deux ou trois éternités, agrippant mes cheveux et mes hanches, mais le moment culminant fut quand il prit ma tête pour la ramener par derrière, à la limite de la blessure, et en prenant bien ma gorge, m'a inséré sa queue, grosse et large, dans ma chatte toute serrée et chaude. Ce fut un moment d'extase. Il me retenait avec une telle vigueur à la gorge que je me suis sentie partir, perdre conscience.. Juste à temps, je me suis réveillée. Il avait déjà fait le tour du sofa et laissait danser son gland sur ma lèvre alors que j'étais toujours endormie.
Plusieurs fois encore il m'a pris par la gorge, à une ou deux mains, à ma demande. Je voulais repousser mes limites à fond, sans bien les connaitre. Il m'a serrée et étouffée, à la limite du non-retour, quand parfois même je sentais qu'il ne voulait pas serrer davantage... Je me sentais partir - mes yeux se fermaient, puis mes oreilles se bouchaient- puis revenir, parfois avec sa queue dans ma chatte, d'autres fois avec ses doigts qui me dilataient. J'ai giclé sur lui en un instant de plaisir, sa main toujours sur ma gorge, alors que la faible lumière du salon éclairait la chambre. J'en aurais voulu encore et encore... mais il devait partir. J'ai eu un plaisir immense encore ce soir-là..
8.24.2012
Nostalgie de ma Soumission : Jamais avant, on ne m'avait appelé «ma salope»
J'ai toujours cru au hasard.
Vous savez, deux personnes qui se retrouvent exactement au même endroit, au même moment, peu importe les circonstances qui font que ces deux personnes en question sont là. L'instant où les regards se croisent, où le temps s'arrête une seconde mais qui paraît en être une ou deux éternités. La conversation s'engage, le courant passe, les joues se touchent et s'alignent les gestes de plus en plus intimes jusqu'à ce que les draps déferlent sous les intenses coïts de deux amants qui se trouvent.
La chimie entre deux amoureux d'une nuit est si intense qu'avant même d'avoir posé les lèvres sur celles de l'autre, vous vous sentez vivre. Vous avez le coeur qui s'emballe à la vue de son sourire, vous détaillez son corps, sentez son odeur et avez envie d'enfouir le nez dans ses cheveux.. Je me souviens de mon premier coup de foudre. Il était beau. Le charisme d'un acteur de cinéma. Toutes les filles, même les femmes de mon coin l'avaient dans la mire. Pour une raison que j'ignore, une complicité s'est créée entre lui et moi, si bien que j'avais, sans le vouloir, rendu les filles de mon âge envieuses. Je le revois souvent. Il habite toujours dans la ville qui m'a vue naître. J'ai revécu quelques fois le «feeling» intense d'une rencontre qui allait me marquer.
Je vous raconte une histoire vécue.
Je n'avais aucune intention de trouver un homme pour me faire tourner la tête sous la force d'un orgasme. De toutes façons, c'est rarement quand on cherche véritablement, que l'on trouve ce qu'on attend.
Si nous nous sommes rencontrés lui et moi, c'est par l'entremise d'une personne que je n'ai même jamais vue en personne. Pour une raison que j'ignore, nous avons échangé pendant quelque temps. Ses intentions ont été claires depuis le premier jour. De mon côté, j'avais divulgué mon âge au premier mail.
Lors de notre première rencontre, il avait décidé de tout. Mon habillement, ma position, la direction de mon regard. C'était la première fois que je rencontrais un homme que je n'avais jamais, jamais vu avant. Si au début, il était clairement établi que je n'avais pas le droit de le regarder dans les yeux durant toute notre rencontre. J'étais non seulement débutante dans le sexe, dans les sentiments réciproques mais aussi dans l'univers de la soumission. Jamais auparavant on ne m'avait appelé «ma salope». Jamais auparavant on ne m'avait pris les cheveux pour mieux me retenir sur le lit. Jamais on ne m'avait fait laver une queue du gland aux couilles, jamais on ne m'avait fait dévorer un cul d'homme, les genoux relevés au menton. Jamais on ne m'avait fait pousser un pieu dans ma gorge jusqu'à ce que j'en pleure de suffocation. Jamais on ne m'avait mordu les mamelons jusqu'à la cloque d'eau 3 jours plus tard. On ne m'avait jamais fait mettre les mains derrière mon dos pendant que je tirais la langue pour me faire serrer les seins par deux mains puissantes et avides de chair.
J'avais lu des tonnes de récits érotiques sur la soumission. J'avais depuis longtemps ce sentiment qui m'habitait au delà de mon imagination, de mes fantasme d'être à la merci d'un homme autoritaire. J'avais repensé des centaines de fois à ma première pénétration adultère en tant que soumise. Je savais que j'allais devoir apprendre, cheminer et devenir celle qu'il allait vouloir revoir. Je ne voulais pas que cette soirée reste dans ma tête comme un flop, comme une perte de temps de la part des deux amants.
Le premier soir, j'étais sous le choc. Je ne voulais plus jamais le revoir. Mais il a réussit à faire grandir en moi la volonté de recommencer, sans me pousser, sans chercher à me convaincre de devenir son sac à foutre par excellence.
J'ai toujours cru que ça prenait une soumise pour comprendre une soumise. Pour comprendre comment une insulte terrible pour l'une peut devenir une grande grâce pour une autre.. difficile à comprendre et à respecter.
J'ai connu l'homme derrière le Maître au fil de nos rencontres, durant nos confessions sur l'oreiller. Quand nous avions terminé nos petits jeux, quand j'avais finalement eu la permission d'avaler sa semence ainsi que la salive que j'étirais du bout de sa queue à ma bouche, quand il m'abreuvais à même mon verre, quand il prenait soin de moi, qu'il essuyait mes yeux pleins de larmes, nos regards se soutenant, nous nous étendions nus sur mon lit et passions un bon moment à discuter de sa petite famille, de son travail et de ses projets d'avenir. On a parlé de ma vie, mes études qui se poursuivaient et de mon entourage. Toujours un verre de vin à la main.
J'ai eu l'extrême chance de tomber sur un homme merveilleux. J'aurais pu tomber sur le pire sans-coeur au monde, qui m'aurait mise à terre, se serait vidé sur moi et m'aurais laissé me détruire en prenant personnel et au pied de la lettre toutes ces insultes lancées à mon endroit pendant qu'il m'aurait défoncé à m'en faire perdre conscience, sous douleur et souffrance. Mais il a pris le temps de m'expliquer, de m'écouter et de m'enseigner. Je ne crois pas que j'en suis arrivée à mes limites. Ça fait terriblement longtemps que je n'ai pas eu droit à son traitement. Je ne vous cacherai pas que bien honnêtement, ça me manque beaucoup.
Je crois que c'est ce qui a sauvé mon fantasme; connaître l'Homme avant le Maître. Ça doit être ce qui le fait vivre encore. Et encore....et encore.
Vous savez, deux personnes qui se retrouvent exactement au même endroit, au même moment, peu importe les circonstances qui font que ces deux personnes en question sont là. L'instant où les regards se croisent, où le temps s'arrête une seconde mais qui paraît en être une ou deux éternités. La conversation s'engage, le courant passe, les joues se touchent et s'alignent les gestes de plus en plus intimes jusqu'à ce que les draps déferlent sous les intenses coïts de deux amants qui se trouvent.
La chimie entre deux amoureux d'une nuit est si intense qu'avant même d'avoir posé les lèvres sur celles de l'autre, vous vous sentez vivre. Vous avez le coeur qui s'emballe à la vue de son sourire, vous détaillez son corps, sentez son odeur et avez envie d'enfouir le nez dans ses cheveux.. Je me souviens de mon premier coup de foudre. Il était beau. Le charisme d'un acteur de cinéma. Toutes les filles, même les femmes de mon coin l'avaient dans la mire. Pour une raison que j'ignore, une complicité s'est créée entre lui et moi, si bien que j'avais, sans le vouloir, rendu les filles de mon âge envieuses. Je le revois souvent. Il habite toujours dans la ville qui m'a vue naître. J'ai revécu quelques fois le «feeling» intense d'une rencontre qui allait me marquer.
Je vous raconte une histoire vécue.
Je n'avais aucune intention de trouver un homme pour me faire tourner la tête sous la force d'un orgasme. De toutes façons, c'est rarement quand on cherche véritablement, que l'on trouve ce qu'on attend.
Si nous nous sommes rencontrés lui et moi, c'est par l'entremise d'une personne que je n'ai même jamais vue en personne. Pour une raison que j'ignore, nous avons échangé pendant quelque temps. Ses intentions ont été claires depuis le premier jour. De mon côté, j'avais divulgué mon âge au premier mail.
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J'avais lu des tonnes de récits érotiques sur la soumission. J'avais depuis longtemps ce sentiment qui m'habitait au delà de mon imagination, de mes fantasme d'être à la merci d'un homme autoritaire. J'avais repensé des centaines de fois à ma première pénétration adultère en tant que soumise. Je savais que j'allais devoir apprendre, cheminer et devenir celle qu'il allait vouloir revoir. Je ne voulais pas que cette soirée reste dans ma tête comme un flop, comme une perte de temps de la part des deux amants.
Le premier soir, j'étais sous le choc. Je ne voulais plus jamais le revoir. Mais il a réussit à faire grandir en moi la volonté de recommencer, sans me pousser, sans chercher à me convaincre de devenir son sac à foutre par excellence.
J'ai toujours cru que ça prenait une soumise pour comprendre une soumise. Pour comprendre comment une insulte terrible pour l'une peut devenir une grande grâce pour une autre.. difficile à comprendre et à respecter.
J'ai connu l'homme derrière le Maître au fil de nos rencontres, durant nos confessions sur l'oreiller. Quand nous avions terminé nos petits jeux, quand j'avais finalement eu la permission d'avaler sa semence ainsi que la salive que j'étirais du bout de sa queue à ma bouche, quand il m'abreuvais à même mon verre, quand il prenait soin de moi, qu'il essuyait mes yeux pleins de larmes, nos regards se soutenant, nous nous étendions nus sur mon lit et passions un bon moment à discuter de sa petite famille, de son travail et de ses projets d'avenir. On a parlé de ma vie, mes études qui se poursuivaient et de mon entourage. Toujours un verre de vin à la main.
J'ai eu l'extrême chance de tomber sur un homme merveilleux. J'aurais pu tomber sur le pire sans-coeur au monde, qui m'aurait mise à terre, se serait vidé sur moi et m'aurais laissé me détruire en prenant personnel et au pied de la lettre toutes ces insultes lancées à mon endroit pendant qu'il m'aurait défoncé à m'en faire perdre conscience, sous douleur et souffrance. Mais il a pris le temps de m'expliquer, de m'écouter et de m'enseigner. Je ne crois pas que j'en suis arrivée à mes limites. Ça fait terriblement longtemps que je n'ai pas eu droit à son traitement. Je ne vous cacherai pas que bien honnêtement, ça me manque beaucoup.
Je crois que c'est ce qui a sauvé mon fantasme; connaître l'Homme avant le Maître. Ça doit être ce qui le fait vivre encore. Et encore....et encore.
8.22.2012
Le Souper Presque Parfait, partie 2
'insérais 3 doigts à la fois dans sa chatte que je pilonnais de la main droite tandis que mon pouce et mon index écartaient ses fesses pour que je puisse lécher son beau petit cul. J'aimais encore plus donner le plaisir que de le recevoir. J'ai pris conscience de son véritable «guts» à la seconde où elle a inséré 2 doigts dans mon cul, bien lubrifié de ma mouille qui s'y infiltrait et 4 dans ma chatte luisante. Elle avait trouvé comment me plaire. Mes gémissement et mes spasmes de plaisir se faisaient bien descriptifs du plaisir que je prenais à ce moment. C'est surtout quand elle s'est levée pour aller chercher son vibrateur et un dildo «jelly» sur un harnais que j'ai compris qu'elle ne voudrait plus s'arrêter..
Nous entendions nos amis chanter en bas. C'était affreux. Ils n'avaient aucun talent mais tant que personne ne viendrait nous chercher en haut, ça nous allait quand même comme fond sonore. Ça étouffait assez bien notre jouissance, jusqu'à ce que...
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Jimmy frappe à la porte. Sachant que ni moi, ni Sarah sommes dans les parages lors d'un karaoké et que la porte de la chambre est fermée depuis un bon quart d'heure, il y a quelques indices qu'un homme peut percevoir. D'habitude, nous sommes les premières à agripper le micro pour chantonner sur un Tina Turner alors que tout le monde nous gueule de verser de la bière sur nos T-Shirts. C'est bien normal que Monsieur Jimmy se pose des questions.
Nous sommes étendues sur le lit, n'osant pas répondre à la porte. Dans la position où nous sommes, il serait difficile de camoufler ce plaisir que l'on se donnait il y a quelques instants à peine. Nous restons silencieuses. Il frappe encore. Mais cette fois-ci, il sort une carte de crédit de son porte-feuille et la glisse dans la fente de la porte comme un bandit expérimenté et à l'ouverture de la porte, quelle ne fut pas sa surprise de nous voir toutes deux nues, à se caresses du bout de la langue, les doigts bien enfouis dans le sexe de l'autre. À en voir ses yeux, il ne s'attendait pas à ça.
Il entre et referme vite la porte derrière lui. Dans la pénombre, on le voit à peine. Sa peau se fond à la noirceur, mais on voit bien ses yeux.
Toujours figées, nous restons là à le regarder pendant qu'il est figé.
Il nous regarde et bafouille, l'alcool aidant. Il nous demande ce qu'on fait. On lui fait comprendre que c'est pourtant évident. C'est alors que Sarah lui dit; «Prouve-moi donc que tu aimes les chattes, pendant que t'es ici.»
Alors Jimmy s'avance vers le lit.Sarah se relève un peu et embrasse Jimmy langoureusement avant de l'agripper par la tignasse et de lui planquer la bouche contre ma chatte ruisselante. Il la lèche comme si sa vie en dépendait alors que Sarah défait sa ceinture et baisse son pantalon en même temps que son boxer. L'érection qu'affiche Jim est solide comme le roc, longue et assez invitante pour que Sarah passe les politesses. Elle empoigne sa queue dans sa main et commence à le lécher de bas en haut, ne voulant pas s'arrêter. Pendant ce temps, je suis toujours couchée sur le dos, sur le lit alors que Jimmy a trouvé l'accès à ma chatte, y insérant 2 de ses gros doigts et il continue de tournoyer autour de mon clitoris. Je suis tellement excitée que je pense m'évanouir. Alors qu'elle se lève pour monter sur le lit, Sarah se couche sur l'édredon, parallèlement à moi pour recevoir à son tour le traitement de faveur que sa chatte lui réclame. Jimmy passe d'une chatte à l'autre, ses doigts restant toujours dans nos fentes, nous baisant de ses mains pas du tout synchronisées mais tellement magiques. Nous jouissons toutes les deux dans de petits cris et nos cuisses se referment sur les bras de notre homme. Il prend Sarah, la place à 4 pattes au pied du lit et, humectant le gland de son beau pénis, il commence à travailler son petit cul serré. Elle roule les yeux vers l'arrière. La vicieuse. Elle me fait signe d'approcher d'elle et je me place dans la même position pour qu'elle puisse lécher mon cul aussi. Sa langue est chaude, douce, inépuisable. Elle force un peu, parvient à me tirer un frisson qui me monte le long de la colonne et laisse Jimmy s'occuper de moi. Il se couche sur le lit et me fais monter sur lui. Il me défonce la chatte comme s'il n'avait jamais eu l'occasion de le faire avant, empoignant mes seins de ses mains fermes et destructrices.. Pendant ce temps, ma copine enfile un harnais auquel elle installe le dildo en «jelly» de tout à l'heure et vient se placer derrière moi. Oh.. je sens que je vais hurler.
Sarah fait entrer son dildo dans mon cul à l'aide d'un peu de lubrifiant. Je suis cambrée sur Jimmy pendant que je sens entrer chaque centimètres de l'objet entre mes fesses. J'ai envie de pleurer. Ça fait mal. Sarah a surestimé ma capacité à absorber la douleur et le calibre de son dard est intense. À ce moment précis, elle passe son bars autour de mes hanches et vient appuyer un ouf vibrant sur mon clitoris afin que la douleur fasse place à mon plaisir. Ça donne l'effet escompté. Jimmy peut à peine se contenir dans ma chatte alors que j'en veux plus. Il commence à se sentir vraiment à l'étroit alors qu'elle a réussi à dilater suffisamment mon muscle pour entrer le diamètre complet à plus de 5 pouces dans mon petit trou. Je prend en main l'oeuf, je l'appuie sur mon clito et je sens monter en moi la jouissance la plus grandiose. Je sens un véritable torrent d'émotion m'envahir. J'ai envie de crier mon bonheur mais elle m'agrippe par les cheveux et met une main sur ma bouche. Il n'en fallait pas plus pour que je jouisse en une série de spasmes violents. Jimmy suit l'instant d'après.
Nous nous reposons un instant avant de satisfaire Sarah. Je me couche encore une fois sur le dos et l'invite à approcher sa chatte de ma bouche alors que Jimmy lui enfonce le dildo dans la chatte. Je la lèche, je la goûte, je suce son bourgeon et aspire tout le nectar que m'apporte son excitation. Il la pilonne plus encore et elle finit par s'affaler sur mon corps. Je continue à donner quelques coups de langue pendant son orgasme, afin de prolonger un peu plus le moment d'extase. Quand elle a repris ses esprits, Jimmy est rhabillé et parti à la salle de bain. Je suis toujours là, nue sur le lit avec elle.
Elle remet ses vêtements et moi les miens. Et sans établir de tactique, nous descendons l'escalier pour rejoindre les autres au salon. Le karaoké est déjà fini. Quel dommage.
C'est à la seconde où j'allais demander à tout le monde si je servais la sangria que Xavier vient me dire: Alors, t'as réussi à relever ton défi?
-Quel défi?
-Celui que tu as reçu quand Sarah est montée avec toi en haut?
-Hein?
-Oui, Sarah t'a fait monter pour te présenter ton défi. Chacun de nous doit relever un défi ce soir pour gagner une nuit avec nous au chalet dans un mois!
Et en glissant la main dans ma poche de jean, je sors un petit papier disant;
Défi: Nommer la couleur de sous-vêtements de 2 personnes de sexe différents présentes ici sans qu'ils s'en rendent compte.
Je réponds à Xavier: Ah! Oui!.. Alors noir pour Jim et Rose pour Sarah.
...et c'est là qu'il a compris ce qui se passait réellement dans la chambre.
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8.21.2012
Billets «Demandes spéciales»
J'ai décidé de lancer un appel sur Twitter auprès de mes «suiveux» afin de savoir ce qu'ils aimeraient lire sur mon blogue. Ce soir, je ferai donc un melting-pot de ces demandes.
Je commence avec les demandes de MoiJustePourElle:
1) Suggestion à ton dernier tweet. J'aimerais lire, histoire sur ta ''première': pipe,jouissance,relation anale, masturbation, fille/fille...Alors j'irai dans le sens de ma première relation anale.. en bref.
Alors, j'avais jamais été très intriguée à l'idée d'avoir une queue entre les fesses avant ce soir de mai 2010. J'avais 19 ans à l'époque. Une belle soirée où on avait beaucoup bu (comme à presque chaque fois où j'ai tenté de la nouveauté) et où on avait eu un souper avec des amis où la discussion est devenu olé olé! Nous sommes atterris sur le sujet du sexe anal, des relations échangistes et de la baise en public. Le soir, de retour à la maison éméchés mais la libido au tapis, nous avons filé sous la douche et nous sommes savonnés mutuellement. Déjà sous la douche, nous avions commencé les caresses et quelques pénétrations afin de nous mettre en état de désir intéressant. Sortis de la douche, nous nous sommes étendus dans le lit, j'avais sa queue dans ma bouche et lui les mains dans mes cheveux. Quand sa queue fut gonflée et prête à bien me pilonner, j'ai glissé à l'oreille de mon copain que j'avais envie d'essayer autre chose. Quand il a comprit de quoi j'avais envie, j'ai senti ses yeux s'ouvrir. Il en avait envie aussi. Je me suis couchée sur le dos. Il a sorti mon plus petit vibrateur, avec des diamants à la base et de forme effilée ainsi que l'huile de la table de chevet. Et comme à l'habitude, quand mon copain se sent extrêmement cochon, il m'arrose d'huile de bébé et me masse du cou aux pieds.. puis, quand il s'est mis à donner plus d'attention au creux de mes reins, au dedans de mes cuisses mais ce soir là, il a davantage travailler mon petit trou afin d'y enfiler un doigt, puis deux. Il y allait doucement, prenait bien son temps et quand il a senti que j'étais prête, il m'a enfilé mon vibro. Après quelques va-et-vient de mon jouet dans mon cul, il a inséré son membre dans ma chatte hyper-trempée. Il me baisait en faisant aller mon vibro en même temps. J'avais la main sur la chatte et je me branlais le clito. J'aurais pu jouir de cette façon si monsieur avait pas décidé, pour mon plus grand plaisir, de prendre la place du jouet en moi. Au début, les premières minutes furent lentes et bien dosées. Plus le temps avançait, plus je me sentais bien. La douleur faisait place au plaisir et je prenais réellement mon pied. Ça n'a pas duré longtemps encore. Quelques secondes et mon copain se retirait de mon cul pour jouir sur mes reins.. j'ai aimé la douceur avec laquelle on a débuté, j'ai aimé le «feeling» différent, l'excitation différente ainsi que la position adoptée. Je m'en mords toujours les lèvres. Depuis, nous le refaisons souvent. J'aime bien appuyer le petit lapin de mon vibro «rabbit» sur mon petit bourgeon et jouir sous les coups de bassins violents de mes amants..
2) Montrer 5 images full sexe représentant tes perversions les plus secrètes.....
__________________________
Puis, les demandes de Mariposa.
Parler de ma vie depuis Laigle et de mes coquineries de l'été
Ma vie depuis Laigle va bien. En fait, nous ne nous sommes pas revus depuis un petit bout. En fait, pas depuis la rupture.. nous sommes restés tout de même en excellents termes. Vous savez, nous ne pourrions pas laisser 2 ans de relation amant-maitresse s'effacer. Il n'y a aucune date d'échéance sur un couple et nous avons cru que c'était préférable de poursuivre malgré notre accrochage, pour voir ce qu'il nous restait à vivre ensemble. J'ai encore des sentiments pour lui, il en a toujours pour moi. Je ne sais pas quand sera notre prochaine rencontre, notre prochaine baise, nos prochains cadeaux anonyme dans nos boites aux lettres respectives. Je laisse le tout aller. Y a que la vie qui sait de quoi est fait notre avenir..
Mes coquineries. Ouff... c'est de loin l'été le plus occupé de ma vie entière. Je ne suis pas à la maison environ 80% du temps. Promotion au travail, projets qui m'occupent la tête, beaucoup de voyagement, du Québec-Montréal chaque semaine, toujours aux études à temps partiel pour la deuxième année, entrainement et développement d'un projet musical qui m'occuperait tout l'hiver aussi.. Bref, pas trop le temps pour les coquineries. En fait j'ai un weekend prévu pour les coquineries. Septembre approche à grands pas. Mon hotel est réservé, mes quelques jours off sont planifiés et j'aimerais beaucoup profiter de l'occasion pour faire découvrir des nouveaux trucs à mon couple. À travers ça, je reste en contact avec mon amant, si jamais une occasion en or se présentait... j'ai très hâte de le voir et j'ai l'impression que nous aurons encore quelques semaines d'attente avant de se revoir. On reste à l'affût.
Alors voilà. Ça complète ce billet. Mais j'attends toujours vos suggestions.
Que voulez-vous lire? Que voulez-vous que je vous dévoile?
Allez... vous ne saurez rien si vous n'osez pas. ;)
Bonne soirée mes coquins! xxx
Je commence avec les demandes de MoiJustePourElle:
1) Suggestion à ton dernier tweet. J'aimerais lire, histoire sur ta ''première': pipe,jouissance,relation anale, masturbation, fille/fille...Alors j'irai dans le sens de ma première relation anale.. en bref.
Alors, j'avais jamais été très intriguée à l'idée d'avoir une queue entre les fesses avant ce soir de mai 2010. J'avais 19 ans à l'époque. Une belle soirée où on avait beaucoup bu (comme à presque chaque fois où j'ai tenté de la nouveauté) et où on avait eu un souper avec des amis où la discussion est devenu olé olé! Nous sommes atterris sur le sujet du sexe anal, des relations échangistes et de la baise en public. Le soir, de retour à la maison éméchés mais la libido au tapis, nous avons filé sous la douche et nous sommes savonnés mutuellement. Déjà sous la douche, nous avions commencé les caresses et quelques pénétrations afin de nous mettre en état de désir intéressant. Sortis de la douche, nous nous sommes étendus dans le lit, j'avais sa queue dans ma bouche et lui les mains dans mes cheveux. Quand sa queue fut gonflée et prête à bien me pilonner, j'ai glissé à l'oreille de mon copain que j'avais envie d'essayer autre chose. Quand il a comprit de quoi j'avais envie, j'ai senti ses yeux s'ouvrir. Il en avait envie aussi. Je me suis couchée sur le dos. Il a sorti mon plus petit vibrateur, avec des diamants à la base et de forme effilée ainsi que l'huile de la table de chevet. Et comme à l'habitude, quand mon copain se sent extrêmement cochon, il m'arrose d'huile de bébé et me masse du cou aux pieds.. puis, quand il s'est mis à donner plus d'attention au creux de mes reins, au dedans de mes cuisses mais ce soir là, il a davantage travailler mon petit trou afin d'y enfiler un doigt, puis deux. Il y allait doucement, prenait bien son temps et quand il a senti que j'étais prête, il m'a enfilé mon vibro. Après quelques va-et-vient de mon jouet dans mon cul, il a inséré son membre dans ma chatte hyper-trempée. Il me baisait en faisant aller mon vibro en même temps. J'avais la main sur la chatte et je me branlais le clito. J'aurais pu jouir de cette façon si monsieur avait pas décidé, pour mon plus grand plaisir, de prendre la place du jouet en moi. Au début, les premières minutes furent lentes et bien dosées. Plus le temps avançait, plus je me sentais bien. La douleur faisait place au plaisir et je prenais réellement mon pied. Ça n'a pas duré longtemps encore. Quelques secondes et mon copain se retirait de mon cul pour jouir sur mes reins.. j'ai aimé la douceur avec laquelle on a débuté, j'ai aimé le «feeling» différent, l'excitation différente ainsi que la position adoptée. Je m'en mords toujours les lèvres. Depuis, nous le refaisons souvent. J'aime bien appuyer le petit lapin de mon vibro «rabbit» sur mon petit bourgeon et jouir sous les coups de bassins violents de mes amants..
2) Montrer 5 images full sexe représentant tes perversions les plus secrètes.....
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Le gang-band où je serai aux genoux de 3 hommes arrivera un jour. 6 c'est un peu trop.. hihi! |
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Le «facesitting» est un fantasme chez mes amants. Je n'ai jamais tenté la chose mais ça m'intrigue beaucoup. |
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Au Grand Plaisir de mon amant Mr.G, mon fantasme absolu reste encore d'être soumise et restreinte, tous les sens et les membres. Hmmm.. |
Puis, les demandes de Mariposa.
Parler de ma vie depuis Laigle et de mes coquineries de l'été
Ma vie depuis Laigle va bien. En fait, nous ne nous sommes pas revus depuis un petit bout. En fait, pas depuis la rupture.. nous sommes restés tout de même en excellents termes. Vous savez, nous ne pourrions pas laisser 2 ans de relation amant-maitresse s'effacer. Il n'y a aucune date d'échéance sur un couple et nous avons cru que c'était préférable de poursuivre malgré notre accrochage, pour voir ce qu'il nous restait à vivre ensemble. J'ai encore des sentiments pour lui, il en a toujours pour moi. Je ne sais pas quand sera notre prochaine rencontre, notre prochaine baise, nos prochains cadeaux anonyme dans nos boites aux lettres respectives. Je laisse le tout aller. Y a que la vie qui sait de quoi est fait notre avenir..
Mes coquineries. Ouff... c'est de loin l'été le plus occupé de ma vie entière. Je ne suis pas à la maison environ 80% du temps. Promotion au travail, projets qui m'occupent la tête, beaucoup de voyagement, du Québec-Montréal chaque semaine, toujours aux études à temps partiel pour la deuxième année, entrainement et développement d'un projet musical qui m'occuperait tout l'hiver aussi.. Bref, pas trop le temps pour les coquineries. En fait j'ai un weekend prévu pour les coquineries. Septembre approche à grands pas. Mon hotel est réservé, mes quelques jours off sont planifiés et j'aimerais beaucoup profiter de l'occasion pour faire découvrir des nouveaux trucs à mon couple. À travers ça, je reste en contact avec mon amant, si jamais une occasion en or se présentait... j'ai très hâte de le voir et j'ai l'impression que nous aurons encore quelques semaines d'attente avant de se revoir. On reste à l'affût.
Alors voilà. Ça complète ce billet. Mais j'attends toujours vos suggestions.
Que voulez-vous lire? Que voulez-vous que je vous dévoile?
Allez... vous ne saurez rien si vous n'osez pas. ;)
Bonne soirée mes coquins! xxx
8.12.2012
Mon fantasme du mois d'août
On se retrouvera un peu par hasard, à l'écart des regards. L'alcool aidant, nous nous laisserons tenter par un goût de l'aventure. Je la regarderai dans les yeux et tu comprendras. Elle me prendra par la main et m'amènera sur le sofa. Nous nous assoirons face à face et débuterons par un jeu de doigts sur la jambe de l'autre. J'aurai l'audace de relever sa cuisse sur la mienne afin d'écarter un peu ses jambes et libérer l'accès à sa chatte épilée. Ma main glissera sur son bas auto-fixant, de sa cheville à la mi-cuisses, tout en l'embrassant du bout des lèvres. Sa main se faufilera dans mon soutien-gorge et agrippera un de mes sein. Elle le massera doucement, pinçant de temps à autres le bout de mon mamelon pour augmenter l'intensité de mon excitation. Ma robe commencera à me déranger alors que sa jupe à taille-haute se fera facultative pour la suite des choses..
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http://chacha-bi-fashion.skyrock.com/2703487248-lesbienne.html |
Une fois les vêtements envolés, nous serons toutes deux au beau milieu du salon vêtues de culottes, de soutien-gorge et elle aura gardé son porte-jarretelle et ses bas, pour mon plus grand plaisir. Nous aurons recommencé à nous embrasser, plus passionnément cette fois. La tête me tournera un peu, mais j'aurais terriblement envie de poursuivre l'aventure. Son parfum fruité envahira mes narines et si je ne me retiendrais pas, j'irais tout de suite enfoncer 3 doigts dans sa chatte sans plus attendre. Mais il me faudra savourer le moment.
J'en perdrai des bouts sous l'effet du vin. Au moment où je reprendrai conscience de mon état, je serai couchée sur le sofa alors qu'elle aura un genou de chaque côté de ma tête. Elle me présentera sa chatte à ma bouche avide et tout de suite, je sentirai l'effluve de sa cyprine, je verrai l'humidité de son antre et je voudrai tout goûter. J'aspirerai avec un plaisir fou ce jus offert à ma langue, je lécherai sans perdre une goutte, m'agrippant à ses fesses pour l'approcher de moi un peu davantage. Ses lèvres, son clitoris, son petit trou serré deviendront mon terrain de jeu. J'aspirerai son clito entre mes lèvres délicatement et juste au moment où elle sera mouillée comme jamais, je laisserai glisser un doigt sur sa fente pour mouiller le bout de mon index. Je goûterai à sa mouille avec délectation, puis je replongerai deux doigts dans sa chatte serrée, faisant un va-et-vient qui la fera défaillir. Je la sentirai se redresser un peu afin que je la pilonne un peu plus profondément. À cet instant précis, je sentirai son corps se saisir, se secouer de spasmes, mes doigts resteront dans sa fente et j'aspirerai le fruit de sa jouissance..
Ces temps-ci, j'y pense très sérieusement. Ça me suit jour et nuit. J'aimerais bien trouver celle qui m'accordera ce bonheur..
Mes Confessions
Je suis une salope qui a envie d'une autre femme
7.09.2012
Des lectures inspirantes, des fantasmes à explorer..
J'ai lu récemment deux des trois romans de la trilogie Fifty Shades of Grey et je me suis totalement laissé emporter par des scènes de sexe intenses ou le plaisir des deux personnages était palpable et surprenant. Et je vous dis surprenant puisque des fantasmes auxquels je n'avais même jamais réfléchi sont apparus en moi suite à cette lecture. Voilà donc de quoi sera fait le prochain fantasme à réaliser.
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Nous irons tous trois au resto, moi, toi et lui. Après une soirée plutôt arrosée où vous laisserez glisser vos mains sur mes cuisses couvertes de nylon, nous déciderons d'aller à l'hôtel où nous attendra la plus grande suite. La chambre devra être insonorisée et prête à accueillir nos plaisirs à tous trois.
Dès mon arrivée, tu me feras ôter ma robe, pour ne rester vêtue que de mes bottes hautes ainsi que de mes bas de nylons échancrés à la croupe. Tu détacheras mes cheveux qui tomberont en vagues sur mon dos et me fera me tenir dos à vous deux pendant que tu attacheras mes poignets ensembles et glissera dans mes oreilles des écouteurs-boutons. Lentement, tu m'amèneras vers le lit où tu attacheras aussi mes chevilles de façon à mettre mon sexe à portée de main pour vous deux. Dans mes oreilles jouera de la musique classique, de style plutôt «trance» en trame de fond, ce qui me permettra de m'évader dans ma tête. Tu mettras la musique à fond et glissera un bandeau sur mes yeux afin que je ne vois rien du tout. Pour compléter la mise en place de nos baise mémorable, tu augmentera le chauffage à la chambre pour qu'il atteigne les 30° et la magie s'occupera du reste.
Couchée sur le lit, je serai sous votre emprise, mais je n'aurai pas à m'inquiéter, vous ne me ferez aucun mal. Vous me laisserez languir sur le lit pendant un instant et quand vous reviendrez, je serai déjà totalement en sueur et mouillée. Alors, vous étendrez de l'huile partout sur mon corps, lentement, de vos quatre mains habiles pendant que dans mes oreilles la musique continuera d'essayer de me distraire, en insistant sur ma chatte parfaitement épilée. Vous n'entendrez pas ma musique et en échange, je ne m'entendrai pas jouir.
Quand vous aurez bien couvert mon corps, l'un de vous viendra poser son sexe sur mes lèvres tandis que l'autre portera un vibrateur sur mon clito. J'ouvrirai grand la bouche, mais ne bougerai pas la tête. Ainsi, ce sera à toi de baiser ma gorge. Tu iras doucement afin que je sente en moi entrer chaque centimètres de ton membre dans ma gorge. Lui, pendant ce temps, laissera de côté le vibrateur pour approcher ses mains de ma chatte. Au début, il caressera du bout des doigts mes lèvres et essuiera ma mouille sur ma cuisse. Plus le temps passera, plus il sera insistant. Ce seront bientôt deux ou même trois doigts qui dilateront ma chatte offerte mais serrée, lentement mais profondément. Tu continueras de baiser ma gorge en laissant ta main caresser mes cheveux, mes seins, mon cou...
Au bout de quelques minutes, vous changerez de place et je sentirai monter le degré de difficulté. La chaleur de la chambre rendra nos corps humides et totalement abandonnés. Ta main finira entre mes cuisses, suivie de ta langue pendant que Lui, à genoux de chaque côtés de ma tête, laissera sa queue valser sur ma langue pour que son gland chatouille mon palet. Tes doigts exploreront différemment que les siens et bien sur, tu ne laisseras pas le vibrateur sur le pied du lit très longtemps. Couchée là, je sentirai un ou deux doigts dilater mon petit trou alors que notre ami sera plus insistant dans ma bouche. Relevant ma tête, il empoignera mes cheveux pour en faire un chignon qu'il tiendra de sa main gauche pendant qu'il s'appuiera de son autre main sur le mur au dessus du lit. Comme sa queue est beaucoup moins imposante que la tienne, je pourrai aisément respirer entre chaque pénétration de ma gorge. Je me sentirai faiblir sous les caresses de ton index dans mon cul alors que tu inséreras le vibrateur dans ma chatte, la faisant aller d'un rythme encore soutenable. Tu ajouteras de l'huile, sachant fort bien que tu auras besoin de beaucoup de lubrification.
De mon côté, je commencerai à gémir de plaisir. Mais je ne pourrai contrôler mes élans de plaisir parce que je ne m'entendrai pas. Avec un peu plus d'intensité, tu dilateras ma chatte jusqu'à y entrer 4 doigts et notre compagnon ira te rejoindre..
Il se couchera sur le ventre au pied du lit pendant que tu seras à genoux du côté gauche de mon corps. Pendant que tu t'activeras à insérer tes doigts plus rapidement et profondément dans ma chatte, il fera aller les siens dans mon cul. Je pourrai sentir vos doigts se toucher parfois à travers la paroi entre mes deux cavités baisables. Puis, il insérera deux doigts de plus en moi. À ce moment, ta main gauche avancera vers ma gorge pour m'exciter encore davantage et tu laisseras ta main se serrer un peu plus sur ma peau. Tu calculeras la pression à mettre afin de me faire atteindre le climax comme tu sais si bien le faire, tu courberas le bout des doigts et stimuleras mon point G alors que notre ami pilonnera à fond mon cul bien serré autour de sa main. J'exploserai de jouissance alors que je voudrai serrer les cuisses, attraper ta main ou même vous regarder sans le pouvoir. La musique me rendra folle, je rugirai comme une lionne en cage alors que vous continuerez encore quelques minutes, me vidant de mon énergie. Quand j'aurai enfin repris mes esprits, vous libérerez mes mains et mes chevilles, enlèverez mes écouteurs et vous me laisserez m'agenouiller au bord du lit, les mains dans le dos, pour vous sucer tour à tour, mes yeux dans les vôtres. Juste avant que vous ne vous laissiez aller à jouir dans ma bouche, je monterai à nouveau sur le lit, me mettrai à quatre pattes et vous demanderai de me prendre intensément l'un après l'autre, en tenant mes cheveux pendant que je sucerai celui qui n'aura pas le plaisir de ma chatte.
Vous me jouirez sur les seins comme tous bons pervers, et vous essuierez la queue sur mes bas...
La nuit sera chaude, alors qu'on reprendra dans la douche, devant la fenêtre et peut-être dans la piscine sur le toit...
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Nous irons tous trois au resto, moi, toi et lui. Après une soirée plutôt arrosée où vous laisserez glisser vos mains sur mes cuisses couvertes de nylon, nous déciderons d'aller à l'hôtel où nous attendra la plus grande suite. La chambre devra être insonorisée et prête à accueillir nos plaisirs à tous trois.
Dès mon arrivée, tu me feras ôter ma robe, pour ne rester vêtue que de mes bottes hautes ainsi que de mes bas de nylons échancrés à la croupe. Tu détacheras mes cheveux qui tomberont en vagues sur mon dos et me fera me tenir dos à vous deux pendant que tu attacheras mes poignets ensembles et glissera dans mes oreilles des écouteurs-boutons. Lentement, tu m'amèneras vers le lit où tu attacheras aussi mes chevilles de façon à mettre mon sexe à portée de main pour vous deux. Dans mes oreilles jouera de la musique classique, de style plutôt «trance» en trame de fond, ce qui me permettra de m'évader dans ma tête. Tu mettras la musique à fond et glissera un bandeau sur mes yeux afin que je ne vois rien du tout. Pour compléter la mise en place de nos baise mémorable, tu augmentera le chauffage à la chambre pour qu'il atteigne les 30° et la magie s'occupera du reste.
Couchée sur le lit, je serai sous votre emprise, mais je n'aurai pas à m'inquiéter, vous ne me ferez aucun mal. Vous me laisserez languir sur le lit pendant un instant et quand vous reviendrez, je serai déjà totalement en sueur et mouillée. Alors, vous étendrez de l'huile partout sur mon corps, lentement, de vos quatre mains habiles pendant que dans mes oreilles la musique continuera d'essayer de me distraire, en insistant sur ma chatte parfaitement épilée. Vous n'entendrez pas ma musique et en échange, je ne m'entendrai pas jouir.
Quand vous aurez bien couvert mon corps, l'un de vous viendra poser son sexe sur mes lèvres tandis que l'autre portera un vibrateur sur mon clito. J'ouvrirai grand la bouche, mais ne bougerai pas la tête. Ainsi, ce sera à toi de baiser ma gorge. Tu iras doucement afin que je sente en moi entrer chaque centimètres de ton membre dans ma gorge. Lui, pendant ce temps, laissera de côté le vibrateur pour approcher ses mains de ma chatte. Au début, il caressera du bout des doigts mes lèvres et essuiera ma mouille sur ma cuisse. Plus le temps passera, plus il sera insistant. Ce seront bientôt deux ou même trois doigts qui dilateront ma chatte offerte mais serrée, lentement mais profondément. Tu continueras de baiser ma gorge en laissant ta main caresser mes cheveux, mes seins, mon cou...
Au bout de quelques minutes, vous changerez de place et je sentirai monter le degré de difficulté. La chaleur de la chambre rendra nos corps humides et totalement abandonnés. Ta main finira entre mes cuisses, suivie de ta langue pendant que Lui, à genoux de chaque côtés de ma tête, laissera sa queue valser sur ma langue pour que son gland chatouille mon palet. Tes doigts exploreront différemment que les siens et bien sur, tu ne laisseras pas le vibrateur sur le pied du lit très longtemps. Couchée là, je sentirai un ou deux doigts dilater mon petit trou alors que notre ami sera plus insistant dans ma bouche. Relevant ma tête, il empoignera mes cheveux pour en faire un chignon qu'il tiendra de sa main gauche pendant qu'il s'appuiera de son autre main sur le mur au dessus du lit. Comme sa queue est beaucoup moins imposante que la tienne, je pourrai aisément respirer entre chaque pénétration de ma gorge. Je me sentirai faiblir sous les caresses de ton index dans mon cul alors que tu inséreras le vibrateur dans ma chatte, la faisant aller d'un rythme encore soutenable. Tu ajouteras de l'huile, sachant fort bien que tu auras besoin de beaucoup de lubrification.
De mon côté, je commencerai à gémir de plaisir. Mais je ne pourrai contrôler mes élans de plaisir parce que je ne m'entendrai pas. Avec un peu plus d'intensité, tu dilateras ma chatte jusqu'à y entrer 4 doigts et notre compagnon ira te rejoindre..
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Vous me jouirez sur les seins comme tous bons pervers, et vous essuierez la queue sur mes bas...
La nuit sera chaude, alors qu'on reprendra dans la douche, devant la fenêtre et peut-être dans la piscine sur le toit...
Ma première lingerie
Depuis toujours, j'ai toujours aimé tout ce qui avait un attrait sexuel, de près ou de loin.
Très tôt, j'ai découvert les pages de magazines de ma maman où on faisait un «Spécial Lingerie» et la première lingerie que j'ai acheté, je m'en souviendrai toujours.
À l'époque, ma mère et moi allions magasiner trois fois par an, dont une fois au début des classes. Comme je travaillais et que j'avais accumulé un peu d'argent et qu'elle ma laissait une certaine liberté concernant ma façon de le dépenser, je pouvais faire ce que j'en voulais. Cette journée-là, j'avais dit à ma mère que j'allais passer un peu de temps dans le rayon des articles scolaires pendant qu'elle magasinait des vêtements. Mais j'ai piqué à travers des kiosques FiveStar et j'étais allée au rayon de la lingerie. J'avais 14 ans. J'étais entourée de femmes de tous âges qui tenaient entre leurs doigts des tissus fins, sexy. J'adorais regarder les pièces et imaginer de quoi j'aurais l'air une fois adulte dans les morceaux sexy. Bien sur, je ne savais pas trop par où commencer et je voulais faire mon achat rapidement avant que ma mère ne veuille me rejoindre et qu'elle ne me trouve pas.
J'ai agrippé un peu rapidement un ensemble super joli. Le soutien-gorge était rembourré, d'un joli blanc pur serti de petites pierres sur la bordure du haut et le tissus était ramagé de rose pâle. Le haut était agencé avec un string qui était décoré d'une jolie boucle au dos à la jonction des tissus juste au dessus des fesses. Je n'avais même pas pris le temps d'essayer, et par chance il était de la bonne grandeur.
Quand je suis arrivée chez-moi, ma mère n'en savait toujours rien. J'étais pressée après ma douche d'enfiler la lingerie.. en fait, je me sentais plutôt excitée à l'idée de porter cet ensemble. Je me sentais fébrile. J'avais très hâte de voir si j'allais avoir l'air d'une femme comme dans les magazines que je regardais.
Ma constatation était que je me sentais différente. J'avais l'impression d'être à mille lieues de l'adolescente que j'étais dans mon quotidien. Tout avait un sens différent. Je me demandais comment je me sentirais d'aller en classe avec cette lingerie sous mon uniforme.
J'ai essayé. Un certain vendredi matin, après avoir conservé mon ensemble dans le papier de soie pendant tout le reste des vacances, j'ai finalement enfilé la culotte et le soutien-gorge sous un pantalon et une chemise.
J'ai passé la journée à me demander si les gens allaient s'apercevoir du changement, pas par espoir de compliments, grand Dieu non. Par inquiétude. Je n'avais tellement pas l'habitude de sortir de mes soutien-gorge plus qu'ordinaires et mes culottes garçonne de coton si confortables mais pas du tout sexy. J'avais peur qu'on me dise: «Tu mets de la lingerie pour venir à l'école? Tu te prends pour une pute ou quoi?»
Toute la journée, je sentais ma poitrine bien à sa place, je soignais ma posture, j'avais une confiance que je n'avais pas ou très peu. Au fond de moi, je savais que j'allais finir par aimer porter des dessous un peu moins ordinaires!
Je savais que le port de ces pièces m'excitait beaucoup. Je sentais les papillons au fond de mon ventre, j'avais très envie d'aller me cacher dans les toilettes pour aller passer mon doigt le long de ma fente. J'aurais voulu constater mon excitation de jeune femme qui découvre sa sexualité. J'ai pensé des tonnes de fois à ce que les profs auraient pensé de mon comportement de petite rebelle qui portait de la lingerie en classe. Je constate qu'avec le recul, j'étais déjà beaucoup plus provocatrice que je ne pensais l'être. Je serrais les cuisses pour bien sentir le tissus glisser sur ma peau. Je sentais mes fesses nues sous le tissus du pantalon et ça attisait mon feu intérieur.
Je constate également avec le recul que si j'avais eu un peu plus de cran, j'aurais poussé l'audace vraiment plus loin.
En revenant à la maison, j'ai eu un flash. Ma mère allait faire le lavage et trouver mes dessous, puis me questionner.. et peut-être refuser que je les porte. Je les ai donc nettoyé à la main et caché dans le fond d'un tiroir.
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Quand elle m'a dit qu'elle me trouvait trop jeune pour porter ce genre de vêtements, je me rappelle lui avoir fait un discours sur la confiance en moi, en lui promettant que je n'allais pas le porter pour aller à l'école.
Alors pendant des mois, je ne l'ai pas porté. Mais combien de fois j'aurais aimé l'enfiler pour aller à l'église, dans des soupers de famille, pour dormir?
Quand j'ai eu un âge plus raisonnable, le magasinage de la rentrée s'est fait plus en solitaire. Je choisissais mes morceaux et j'adorais déambuler à travers les allées de lingerie luxueuse, les tissus riches et les modèles plus seyants. À l'âge de 16 ans, à l'occasion de Noël, j'étais allée toute seule chez La Vie en Rose. Pour la toute première fois, je me retrouvais devant quelque chose de plus sexuel que pratique. Je découvrais les déshabillés, les bas, les gants, les nuisettes et porte-jarretelles. Ma curiosité a été piquée cette journée-là. Et mon intérêt pour l'esthétisme du sexe aussi.
Depuis ce temps, j'ai accumulé les morceaux. J'ai pu avoir l'aide d'une amie corsetière pour m'apprendre le rudiment du dessous. J'ai enfilé dentelles, soie, satin, cuir, coton et le polyester. Du soutien-gorge classique au corset lacé jusqu'à la culotte taille-haute. C'est une de mes activités de magasinage favorite. Pour chaque occasion spéciale, pour me féliciter ou tout simplement pour le «feeling» magique que donne la lingerie sous un vêtement chic, lors d'une soirée mondaine ou lors d'une journée grise, je me paie le luxe d'un «kit» neuf.
Les soirées sont plus chaudes quand je laisse entrevoir un soutien-gorge de dentelle par un bouton ouvert d'une chemise ajustée. Quand j'enfile une jupe taille-haute avec un joli bas et une culotte spéciale agencée à mon haut, je me sens coquine. Personne ne s'en plaint!
Et vous, quel est votre rapport à la lingerie?
Mes Confessions
Je suis une salope coquine,
Je suis une salope qui aime la lingerie
6.26.2012
Ce que j'aime de moi-même
Je ne suis pas du tout du genre à aimer chaque parcelle de ma personne.
Surtout pas physiquement. J'essaie très fort de me convaincre qu'il y a pire. Mais il y a mieux, bien entendu.
J'arrive à trouver des super avantages à être ce que je suis; J'ai des yeux magnifiques qui me valent une demi-douzaines de compliments chaque jours; bien que j'aie un caractère fort, j'ai de la facilité à bien m'entendre avec tout le monde; je suis une personne versatile qui peut aussi bien se retrouver dans la pire débauche que dans la salle de bal la plus chic; j'ai une culture générale pouvant m'aider à tenir une conversation acceptable durant un long moment et j'ai un talent artistique qui me permet de laisser ma trace partout où je vais.
Ce que j'aime aussi de moi-même, c'est que j'ai deux façades à ma personne. Et plusieurs seront d'accord avec moi; je suis à la fois la fille la plus timide et réservée du monde lorsque les «spot-lights» ne sont pas sur moi, mais la plus excentrique et loufoque quand je suis le centre d'attention. Je peux être hyper discrète et passer inaperçue lorsque la situation l'impose, ou jouer la carte de la confiance et avoir du feu dans les yeux en d'autres circonstances.
Cela m'a permis de travailler dans différents domaines, de me faire des amis venant de milieux carréments distincts ou de jouer à des jeux dangereux avec les hommes..
J'aimais, par exemple, mon air inoffensif et un peu naïf quand je tombais face à face avec mon client préféré à mon ancien emploi. Il était avocat dans un firme bien connue ici à Québec. Environ 39 ans, il habitait une jolie maison non loin de mon ancien appartement, près du Parc où j'allais passer mes après-midi à étudier et à boire mon latté hebdomadaire le jeudi. Monsieur M.F. passait chaque matin après le gym, chercher son café-crème, prenait la peine de revenir me voir au comptoir pour me souhaiter une bonne journée et repartait en se retournant. Mes collègues le trouvaient «telllllllement» craquant avec ses yeux d'un bleu clair et perçant, sa cravate toujours super bien agencée à sa chemise et son parfum d'homme... Je crois que mes pommettes passaient au rouge écarlate quand il passait le hall du resto, mais j'arrivais à contrôler cette excitation et à redescendre les deux pieds sur Terre pour l'aborder. Ce que personne d'autre ne faisait.
Mes collègues balbutiaient comme des adolescentes, se sauvaient ou restaient à l'écart, espérant un sourire.
Un jour, il m'a dit: «Tu sais ce que j'aime de toi? Ton authenticité. La façon que tu as de regarder les gens direct dans les yeux. Mais encore plus. L'équilibre entre le mystère et l'envie de dévoiler qui tu es vraiment. Ici, tout le monde a l'air de se cacher et de jouer la carte du faux-professionnalisme pour ne pas aborder véritablement les gens.»
En 6 mois à le voir de façon quasi-quotidienne, j'aurais jamais osé imaginer qu'il me dirait quelque chose d'aussi percutant. Comme si j'avais fini par laisser tomber ma carapace de gêne qui me retenait de lui montrer qu'il ne me laissait pas de glace et que ça avait éveillé quelque chose entre lui et moi. Avant que je ne quitte le travail, je ne l'avais pas revu pendant presque 3 semaines. Puis, mon ancien collègue m'a mise au courant hier, que Monsieur M.F. me saluait et me souhaitait tout le succès que je méritais.
Je ne suis pas tellement difficile à trouver sur Facebook, vu mon nom très unique au monde. Estomaquée ce soir, en revenant du travail, je tombe sur un petit mot gentil en Message Privé:
«(MON NOM),
quel nom sublime. Une poésie. J'ai réalisé que je pouvais prendre mon premier café à la maison tous les matins en évitant le line-up épouvantable du (NOM DU RESTO), mais j'ai aussi réalisé que j'allais le chercher pour te connaître davantage, pour percer le mystère (MON NOM). Il m'aurait fallu bien plus que ces quelques mois, j'en suis sûr, mais je crois avoir découvert quelque chose de très secret en toi. J'espère un jour recroiser ces yeux par hasard, ici à Québec ou ailleurs et y lire encore quelques lignes.
(SON NOM)»
-----------
Là, je suis chez moi. Bien entendu, me connaissant, je savais que j'allais sauter de joie en lisant ce message! Je suis folle comme un balai, j'en reviens tout simplement pas encore. Mais, je me demande si je devrais lui répondre. Je me demande aussi vers quel genre de réponse je dois m'orienter.
Si je prenais pour acquis que ma réponse est la toute dernière chance que j'ai de lui laisser savoir ma véritable nature. Si je prenais pour acquis que mon message sera la dernière opportunité de lui laisser savoir sans filtre, sans sous-entendu qui je suis et ce que je veux, alors, est-ce que j'oserais lui dévoiler ma deuxième vie?
Ou est-ce que je devrais le remercier simplement et sans artifices et espérer que lui-même fasse le pas pour me joindre?
Alors là, je suis un peu foutue.
Mais ce que j'aime de moi-même, c'est que je suis totalement imprévisible et impulsive!
...la vie s'occupera du reste.
Surtout pas physiquement. J'essaie très fort de me convaincre qu'il y a pire. Mais il y a mieux, bien entendu.
J'arrive à trouver des super avantages à être ce que je suis; J'ai des yeux magnifiques qui me valent une demi-douzaines de compliments chaque jours; bien que j'aie un caractère fort, j'ai de la facilité à bien m'entendre avec tout le monde; je suis une personne versatile qui peut aussi bien se retrouver dans la pire débauche que dans la salle de bal la plus chic; j'ai une culture générale pouvant m'aider à tenir une conversation acceptable durant un long moment et j'ai un talent artistique qui me permet de laisser ma trace partout où je vais.
Ce que j'aime aussi de moi-même, c'est que j'ai deux façades à ma personne. Et plusieurs seront d'accord avec moi; je suis à la fois la fille la plus timide et réservée du monde lorsque les «spot-lights» ne sont pas sur moi, mais la plus excentrique et loufoque quand je suis le centre d'attention. Je peux être hyper discrète et passer inaperçue lorsque la situation l'impose, ou jouer la carte de la confiance et avoir du feu dans les yeux en d'autres circonstances.
Cela m'a permis de travailler dans différents domaines, de me faire des amis venant de milieux carréments distincts ou de jouer à des jeux dangereux avec les hommes..
Mes collègues balbutiaient comme des adolescentes, se sauvaient ou restaient à l'écart, espérant un sourire.
Un jour, il m'a dit: «Tu sais ce que j'aime de toi? Ton authenticité. La façon que tu as de regarder les gens direct dans les yeux. Mais encore plus. L'équilibre entre le mystère et l'envie de dévoiler qui tu es vraiment. Ici, tout le monde a l'air de se cacher et de jouer la carte du faux-professionnalisme pour ne pas aborder véritablement les gens.»
En 6 mois à le voir de façon quasi-quotidienne, j'aurais jamais osé imaginer qu'il me dirait quelque chose d'aussi percutant. Comme si j'avais fini par laisser tomber ma carapace de gêne qui me retenait de lui montrer qu'il ne me laissait pas de glace et que ça avait éveillé quelque chose entre lui et moi. Avant que je ne quitte le travail, je ne l'avais pas revu pendant presque 3 semaines. Puis, mon ancien collègue m'a mise au courant hier, que Monsieur M.F. me saluait et me souhaitait tout le succès que je méritais.
Je ne suis pas tellement difficile à trouver sur Facebook, vu mon nom très unique au monde. Estomaquée ce soir, en revenant du travail, je tombe sur un petit mot gentil en Message Privé:
«(MON NOM),
quel nom sublime. Une poésie. J'ai réalisé que je pouvais prendre mon premier café à la maison tous les matins en évitant le line-up épouvantable du (NOM DU RESTO), mais j'ai aussi réalisé que j'allais le chercher pour te connaître davantage, pour percer le mystère (MON NOM). Il m'aurait fallu bien plus que ces quelques mois, j'en suis sûr, mais je crois avoir découvert quelque chose de très secret en toi. J'espère un jour recroiser ces yeux par hasard, ici à Québec ou ailleurs et y lire encore quelques lignes.
(SON NOM)»
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Là, je suis chez moi. Bien entendu, me connaissant, je savais que j'allais sauter de joie en lisant ce message! Je suis folle comme un balai, j'en reviens tout simplement pas encore. Mais, je me demande si je devrais lui répondre. Je me demande aussi vers quel genre de réponse je dois m'orienter.
Si je prenais pour acquis que ma réponse est la toute dernière chance que j'ai de lui laisser savoir ma véritable nature. Si je prenais pour acquis que mon message sera la dernière opportunité de lui laisser savoir sans filtre, sans sous-entendu qui je suis et ce que je veux, alors, est-ce que j'oserais lui dévoiler ma deuxième vie?
Ou est-ce que je devrais le remercier simplement et sans artifices et espérer que lui-même fasse le pas pour me joindre?
Alors là, je suis un peu foutue.
Mais ce que j'aime de moi-même, c'est que je suis totalement imprévisible et impulsive!
...la vie s'occupera du reste.
Mes Confessions
Je suis une salope qui fait de belles rencontres
6.18.2012
Le désamour d'une maîtresse
C'était un mardi après-midi. Chaud. 31° dans mon petit appartement en plein soleil, où le lit épongeait nos corps suants aussi bien que nos larmes. Où la musique du clocher de l'église résonnait contre les fenêtres ouvertes, se mêlant à notre épais silence rempli de chagrin. J'aurais eu envie de te serrer contre moi, mais la chaleur tuait mon désir. J'aurais eu envie de jouer dans tes cheveux, fièrement assise sur ton pieu et me laisser bercer par l'oscillation de ton corps, soumis, sous les puissants battements de ton coeur. Peu après 16 heures, notre histoire a véritablement pris fin. Je me surprends à me demander si c'en aurait été tout autant si j'avais loué une chambre d'hôtel, où l'air climatisé nous aurait laissé un peu de confort, avec un lit plus grand et plus invitant. Je me surprends à me demander si c'en aurait été tout autant si nous n'avions pas été dans mon logis, noyés dans mon quotidien, si j'avais eu un autre environnement que celui dans lequel je me tue à réfléchir à ma vie depuis si longtemps. Je me suis dit que nous avions fait le tour, que la passion était partie et que nous avions été au bout de notre histoire. Je me croyais prête à faire le deuil de l'homme que tu avais été pour moi. Je me pensais à l'abri de la vague d'émotion qui m'a sidérée quand tu as refermé la porte de ton auto avant de me lancer un dernier regard. Je me pensais capable de passer par dessus la peine que j'ai eu d'apprendre que ma confiance avait été durement trahie. J'ai surestimé mes capacités émotionnelles, et sous-estimé les sentiments que j'avais pour toi.
Mercredi matin, au réveil, dans mon lit à peine défait, j'ai senti ton parfum. Je me suis remise à pleurer. Combien de temps va durer cette torture? Combien d'autre objets, souvenirs, endroits, vins ou parfums vais-je encore prendre comme un poignard au coeur, en pensant à nous? Sur combien de lettres de toi vais-je m'arrêter en faisant mes boites, pressée de relire et d'analyser le bonheur que nous vivions à l'époque?
Je ne peux pas effacer cette année et demi en un clin d'oeil, c'est vrai. Je prends conscience de la chose à mesure que les jours passent et que je vois que les heures passées à penser à toi diminuent. Mais, aussi graduellement, j'ai peur que ça dure encore une trop longue éternité..
Mes Confessions
Je suis une salope qui a de la peine
6.13.2012
La Raison d'Être de Mamz'elle J
Mamz'elle J a vu le jour suite à son entrée dans le monde de la soumission, et pas le fait même, dans le monde de l'adultère. Ce blog est né d'une envie de raconter mes histoires, réelles ou fictives, mes fantasmes vécus ou non, et de découvrir des lecteurs de partout à travers le monde dont le style de vie s'apparentait au mien. Si au tout début, celui qui me faisait vibrer - Mr.G - m'alimentait en fantasmes et en histoires, ce fut par la suite Moi Laigle qui s'est glissé sous ma peau pour me faire vivre des instants de plaisir. Je n'ai jamais regretté d'avoir raconté mes «feelings» ni même les détails les plus intimes parce que j'avais la certitude qu'en relisant ce blog, plusieurs semaines - mois- années plus tard, c'est ce qui ferait revivre les souvenirs de façon plus profonde. Je n'ai jamais eu honte de mon mode de vie, ni de confier mes sentiments pour ces deux hommes à tout-va puisque je sentais si fort le désir de vivre ces relations jusqu'au bout qu'il n'était que naturel pour moi de leur dévoiler mes pensées par le biais de mes billets.
J'ai vécu l'éclatement d'un coeur dévoué à son Maître. J'ai connu la peur de tout perdre - ma vie personnelle, ma deuxième vie, mes acquis, la face, la confiance de tous ceux que j'aimais - à la découverte de Mamz'elle J. J'ai connu l'envie de tout foutre en l'air, de délaisser ce monde qui m'attirait et attisait mon côté plus sauvage et curieux par simple crainte d'être découverte et reconnue. La vie m'a pourtant envoyé une quantité de signes pour me faire voir que la majeure partie de l'aventure «Mamz'elle J» donnait un bien-être intense à celle que je suis sous l'anonymat. Les rencontres sensuelles, les sentiments impliqués, les immenses joies, les jeux coquins, les lettres manuscrites relues mille fois avant le dodo, les cadeaux livrés à ma porte, mes lectures et sorties en compagnie de ceux que j'ai aimé sont à jamais gravés en moi. Indélébiles.
Ce matin, un numéro inconnu apparaît sur l'afficheur de mon téléphone. Ces temps-ci, des numéros des 4 coins de la Ville figurent sur mon téléphone, je ne m'attends à rien ni à personne à chaque fois que ma sonnerie se fait entendre. Je réponds. Je l'entends dire mon nom. Une voix étrange.. mais pas inconnue. Mon instinct s'est tût. Moi aussi. Je l'écoutais, mais je ne l'entendais pas. Jusqu'à ce qu'il me dise: «Le mieux, c'est qu'on arrête ça là.»
Entre le moment où je publie l'article et son arrivée chez-moi hier, 24 heures exactement ont passées. J'suis passée pas la gamme d'émotions, y ai fait des allers-retours, suis restée scotchée dans le côté plus pastel que sombre, mais j'y retourne pour apprivoiser la douleur.
Entre le moment où je publie l'article et son annonce foudroyante, 3 semaines et ça me brûle encore la chair.
Aujourd'hui, 13 juin, c'est fini.
..C'est pas réel tout ça. J'y crois pas.
Je ne veux plus aimer si ça fait si mal.
![]() |
Mon verre toujours à moitié, ma dentelle et ton parfum. |
Ce matin, un numéro inconnu apparaît sur l'afficheur de mon téléphone. Ces temps-ci, des numéros des 4 coins de la Ville figurent sur mon téléphone, je ne m'attends à rien ni à personne à chaque fois que ma sonnerie se fait entendre. Je réponds. Je l'entends dire mon nom. Une voix étrange.. mais pas inconnue. Mon instinct s'est tût. Moi aussi. Je l'écoutais, mais je ne l'entendais pas. Jusqu'à ce qu'il me dise: «Le mieux, c'est qu'on arrête ça là.»
Entre le moment où je publie l'article et son arrivée chez-moi hier, 24 heures exactement ont passées. J'suis passée pas la gamme d'émotions, y ai fait des allers-retours, suis restée scotchée dans le côté plus pastel que sombre, mais j'y retourne pour apprivoiser la douleur.
Entre le moment où je publie l'article et son annonce foudroyante, 3 semaines et ça me brûle encore la chair.
Aujourd'hui, 13 juin, c'est fini.
..C'est pas réel tout ça. J'y crois pas.
Je ne veux plus aimer si ça fait si mal.
Mes Confessions
Je suis une salope célibataire,
Je suis une salope qui a de la peine
5.28.2012
Sérénade pour un oiseau de proie
***
Laigle...
je vole moins haut, moins bien. Mais je continue de faire l'effort.. parce que j'ai envie d'arriver à destination à tes côtés. Je connais l'enjeu. Je connais mes limites. Je connais les règles du jeu, je crois..
Et c'est la seule chanson qui m'est venue naturellement à l'esprit après réflexion.
Mes Confessions
Je suis une salope qui a de la peine
5.12.2012
:... Le souper presque parfait ...:
Mon ami Xavier nous avait réunis chez-lui un vendredi soir afin de nous retrouver ensemble dans un autre contexte que celui du travail. Le souper devait débuter vers 19h et chacun devait apporter un petit quelque chose. Comme j'avais une partie de l'après-midi de libre, je me suis joint à lui afin de finaliser la préparation, faire quelques courses et m'occuper de ma partie du souper; le dessert. Comme je ne voulais pas me retrouver avec mon super tiramisu au porto dans les mains, assise dans le bus au milieu de tous, j'avais apporté mes ingrédients chez Xavier et j'ai cuisiné chez-lui.
Nous avions ouvert une bouteille de rhum et nous enfilions des shooter de mojito «façon Xavier» à la vitesse de l'éclair derrière la cravate! Le tout en écoutant des vieux disques de BSB. Vraiment de toutes beautés..
Je fouettais ma crème en chantant avec un peu trop d'émotion quand j'ai vu la silhouette de Sarah, la colocataire de mon ami dans la vitrine de l'entrée du condo, qui devait revenir du travail dans le courant de la soirée et se joindre à nous. Elle s'était libérée plus tôt. Sitôt arrivée, les salutations et elle a filé sous la douche. De notre côté, tous les ingrédients étaient prêts pour le montage, qui lui allait attendre plus tard. Donc, nous nous sommes installés sur la terrasse derrière au soleil avec un verre de limonade pétillante et des brochettes de fruits frais, tout en jasant des dernières conquêtes de mon cher ami. Que de détails il avait à raconter! Comme lui et moi raffolons de beaux pénis, c'est assez facile d'entretenir une discussion, haha!
Quelques minutes plus tard, Sarah est venue nous rejoindre sur la terrasse, vêtue d'un chandail très sobre décoré d'un foulard de soie jaune et d'une jupe mettant en valeur ses jolies jambes. Des sandales aux teintes ensoleillées super jolies lui faisaient un look d'enfer! Sarah avait toujours en un goût développé pour la mode et savait tirer avantage de son physique, mettre ses atouts au grand jour pour soulever les compliments par dizaines. Quand elle s'est assise devant moi, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil à son décolleté -disons qu'il sautait aux yeux pas mal- et j'ai remarqué qu'elle ne portait aucun soutien-gorge. Xavier lui en fit la remarque:
«T'aurais pu te cacher les nipples, p'tite cochonne! On a de la visite!»
- Tu sauras mon cher qu'avec une paire comme la mienne, on la tient en liberté pendant qu'il est encore temps!
Je me mis à rire. Après lui avoir dit que ça ne me dérangeait pas trop, elle fit une grimace à Xavier et nous avons continué notre discussion au soleil jusqu'à ce que les autres invités arrivent.
Le souper s'est très bien déroulé. Les invités semblaient ravis de l'ambiance et le taux d'alcool montait autour de la table. Ça riait à s'en fendre l'âme!
Tout au long du souper, je ne pouvais m'empêcher d'admirer la poitrine de Sarah, qui attirait mes yeux sans que je ne le veuille. J'étais sublimée par le tonus de son muscle, par la forme parfaite de ses deux seins. Mais surtout par son audace. Je dis audace parce que ce n'était pas vulgaire du tout, c'était même plutôt sexy. J'aurais aimé avoir la moitié de son «guts». Quand nous avons nettoyé la table de la salle à manger et qu'il était temps pour moi de préparer les desserts de tout le monde, je me suis dirigée vers la cuisine. Sarah se chargeait de ramasser la vaisselle et de rincer le tout quand elle s'est adressée à moi:
-Je pense que Jimmy est aux hommes.
-Haha! Jimmy aux hommes!? Jamais de la vie, il aime beaucoup trop les cuisses de femme pour ça!
-C'est plate un peu qu'il n'ait pas porté attention à moi du souper.. C'est surtout surprenant qu'il n'ait pas porté son regard sur mon corps alors que toi, t'avais les yeux dans mon chandail toute la soirée.
Je suis restée figée. Je me sentais rougir.
Sarah me dit:
-Tu sais, je ne t'en veux pas. Ils sont là, tout le monde les as à vue, aussi bien en profiter!
-Je me gâte pas mal moi en tous cas, lançais-je d'un petit rire nerveux.. puis, je me suis retournée vers elle avec ma spatule de mascarpone à la main. Elle avait enlevé son chandail et s'approchait de moi.
J'ai bloqué et j'ai éclaté de rire.
Elle me souriait et me fixait dans les yeux intensément.
-Tu voudrais toucher peut-être?
-Euh non, ça va. Juste les regarder me suffit grandement! En fait, tu m'impressionnes tellement dans ton attitude, tu dégages quelque chose de terriblement attirant Sarah!
Elle riait.
-Tu me donnes un lichette de fromage?
J'ai étiré le bras vers elle, pensant qu'elle allait prendre la spatule, mais elle se fit plutôt à lécher l’ustensile, me fixant toujours. C'était à la fois gênant, mais aussi invitant.. C'est alors qu'elle mis un peu de fromage sur le bout de son seins gauche et m'invita à le lécher. Mes facultés affaiblies me font faire des trucs étranges parfois...
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http://data0.eklablog.com/cineparade/mod_article4047760_3.jpg?4295 |
Nous avons décidé de retourner à la salle à manger avec le groupe pour nous régaler. Après le dessert, des gens se sont retrouvé au salon, sur le sectionnel de cuir pour chanter du karaoké, d'autres visitaient le condo de mon ami pour découvrir les pièces de l'étage du dessus. Je rangeais ce qui restait de vaisselle quand Sarah est venue me voir à la cuisine pour me demander à l'aider à descendre des chaises, du garde-robe de sa chambre jusqu'au salon. J'ai accepté sans hésiter, toujours prête à me rendre utile. Mais une fois en haut, elle a refermé et barré la porte. Des pensées défilaient dans ma tête. J'étais très affectée par le vin et je n'ai eu aucune envie de m'enfuir de la chambre.
D'un regard de complicité, nous nous sommes dévêtues et allongées sur le lit. Quand sa main désireuse a trouvé le chemin de ma chatte, j'ai cru m'effondrer de bonheur. Je me sentais mouillée comme jamais, mes seins voulaient tellement être goûtés par ses lèvres. Je la caressais avec frénésie tandis qu'elle s'affairait à lécher mes hanches et mon ventre pour m'exciter un peu plus.. sa langue a atteint mon bourgeon quelques secondes plus tard, quand je ne m'y attendais plus. C'était un sentiment puissant de désir qui m'avait envahit, avec cet organe habile et chaud sur mes petites lèvres.. elle me dévorait et gémissait comme une chatte en chaleur. J'avais envie de la satisfaire aussi. J'ai pris son bassin et j'ai approché ses fesses de ma bouche. Je pouvais donc lécher allègrement son cul ainsi que sa vulve sans arrêt. J'avais deux doigts dans sa chatte chaude qui entraient et sortaient, cherchant à la faire défaillir sur moi, pour qu'elle se souvienne de son souper, de sa soirée, de son plaisir.. J'insérais 3 doigts à la fois dans sa chatte que je pilonnais de la main droite tandis que mon pouce et mon index écartaient ses fesses pour que je puisse lécher son beau petit cul. J'aimais encore plus donner le plaisir que de le recevoir. J'ai pris conscience de son véritable «guts» à la seconde où elle a inséré 2 doigts dans mon cul, bien lubrifié de ma mouille qui s'y infiltrait et 4 dans ma chatte luisante. Elle avait trouvé comment me plaire. Mes gémissement et mes spasmes de plaisir se faisaient bien descriptifs du plaisir que je prenais à ce moment. C'est surtout quand elle s'est levée pour aller chercher son vibrateur et un dildo «jelly» sur un harnais que j'ai compris qu'elle ne voudrait plus s'arrêter..
Nous entendions nos amis chanter en bas. C'était affreux. Ils n'avaient aucun talent mais tant que personne ne viendrait nous chercher en haut, ça nous allait quand même comme fond sonore. Ça étouffait assez bien notre jouissance, jusqu'à ce que...
(Suite dans le prochain billet..)
Mes Confessions
Je suis une salope adepte des jeux coquins
5.11.2012
. : : . .Vapeurs et extase . . : : .
L'amour sous la douche laisse très peu de place à de l'élaboration et à des manoeuvres dignes des contorsionnistes d'Amaluna. Mais il est tellement agréable de faire des galipettes dans ce lieu où l'on n'a pourtant pas l'habitude de se salir..
La douche est immense, faite de carrelages de quartz noir, avec la vitrine donnant sur le foyer et le lit défait.. Des jets sortent des murs, du pommeau de laiton qui nous donne une averse plutôt que le jet dru habituel. Les lumières sont tamisées et un haut-parleur de la chaîne stéréo est installé juste au dessus de l'évier. Dans cette douche, deux silhouettes sont dessinées par des jeux d'ombres, et il y a moi, sur le pas de la porte.. je m'étais assoupie sur le lit après la baise torride à trois que nous venions d'avoir. Pendant ce temps, mon amant en avait profité pour suivre notre compagne sous la douche, question d'éterniser l'étreinte sensuelle.
D'où je suis, j'aperçois le corps de la jeune Sophie qui semble s'acclimater à l'air ambiant. Les bouts de ses mamelons érigés et la rougeurs de sa peau, ses longs cheveux noirs sont lissés vers l'arrière et descendent dans mon dos. Adossée au mur de la douche, elle a relevé un pied sur l'épaule de notre homme qui, à genoux sur le plancher, s'affaire à lécher la sublime chatte de notre amie. Il a l'air d'y prendre goût, lui qui adore donner le plaisir de cette façon. Les gouttes d'eau perlent dans sa chevelure poivre et sel et sur son torse. Il est terriblement sexy quand il agite la langue de cette façon. De sa main droite, deux doigts écartent les lèvres de notre douce complice alors que sa queue bandée est entourée de sa main gauche qu'il n'active que très doucement. J'entends les gémissements qui se heurtent aux murs de la douche, à la vitrine qui amplifie le son et l'envoi au creux de mon oreille pour m'offrir un spectacle son et image à couper le souffle. Le bassin de Sophie ondule et je l'entends qui pousse de petits cris de temps à autre. Le mâle en état d'excitation décide donc d'inclure deux de ses doigts à la manœuvre, pour lui faire atteindre le paradis. C'est graduellement que ses gémissements se transforment en véritable orgasme et elle finit par serrer si fort les cheveux de notre amant qu'il doit repousser sa main un peu..
Quand Sophie a reprit ses esprits, je me tiens déjà devant elle, à lui caresser le sein droit du bouts des doigts pendant que monsieur frotte son membre sur mes fesses juste derrière. Ma main gauche se laisse guider par mes envies perverses de l'attirer encore un peu près de moi pour caresser son beau derrière,et je referme les phalanges sur le membre derrière à la fois. Nous nous embrassons doucement, langoureusement pendant que je sens la queue de notre viril ami qui me gonfle dans la main..Je le branle délicatement avant qu'il ne décide de m'attirer sur le mur opposé et me prendre par derrière, la tête sur le carrelage et la frange dans les yeux. À ce moment-ci, j'en ai carrément rien à foutre de mes cheveux.. je sens se glisser contre moi Sophie qui s'agenouille à son tour et décide de ma lécher le clito pendant que je me fais pilonner par la verge énorme de notre amant.. je suis au 7ième ciel... L'eau devient un peu plus chaude et je jubile. La vapeur m'étouffe un peu, ma faire perdre la tête, je comprends alors que mon amant a bien envie de me prendre par devant et propose à Sophie de courir chercher mon beau dildo en verre.. Elle revient et se réinstallant derrière moi, elle caresse d'une main habile ma petite rose qui voudrait bien se faire baiser aussi.. Quand elle frotte le bout du dildo de verre sur ma chatte, elle se rend compte de toute l'excitation qui m'habite. Elle me l'enfile graduellement dans le cul, et je me sens me dilater au fil des billes qui s'insère en moi. Les va-et-vient se font de plus en plus insistants et je dois avouer que je suis sur le point de jouir après quelques minutes seulement. Avec le butement du pieu de notre mâle dans le fond du ventre et le mouvement du dildo dans mon cul, je défaillis dans le temps de le dire. C'est si bon! J'ai du mal à tenir sur mes jambes tellement le plaisir m'affaiblit. Quand je retrouve mes esprits, j'embrasse ma copine Sophie en guise de remerciement et nous nous agenouillons pour offrir une belle fellation digne d'un film X à notre complice. Il jouit sur nos seins en criant de bonheur, son visage se crispe et ses yeux se ferment... Chacun son orgasme gagné. Chacun le sourire aux lèvres.. sauf que.. maintenant que notre amant s'en va regarder la télé, j'ai décidé de rester pour savonner le dos de Sophie.. après tout, il faut bien se laver un peu dans cette douche..
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D'où je suis, j'aperçois le corps de la jeune Sophie qui semble s'acclimater à l'air ambiant. Les bouts de ses mamelons érigés et la rougeurs de sa peau, ses longs cheveux noirs sont lissés vers l'arrière et descendent dans mon dos. Adossée au mur de la douche, elle a relevé un pied sur l'épaule de notre homme qui, à genoux sur le plancher, s'affaire à lécher la sublime chatte de notre amie. Il a l'air d'y prendre goût, lui qui adore donner le plaisir de cette façon. Les gouttes d'eau perlent dans sa chevelure poivre et sel et sur son torse. Il est terriblement sexy quand il agite la langue de cette façon. De sa main droite, deux doigts écartent les lèvres de notre douce complice alors que sa queue bandée est entourée de sa main gauche qu'il n'active que très doucement. J'entends les gémissements qui se heurtent aux murs de la douche, à la vitrine qui amplifie le son et l'envoi au creux de mon oreille pour m'offrir un spectacle son et image à couper le souffle. Le bassin de Sophie ondule et je l'entends qui pousse de petits cris de temps à autre. Le mâle en état d'excitation décide donc d'inclure deux de ses doigts à la manœuvre, pour lui faire atteindre le paradis. C'est graduellement que ses gémissements se transforment en véritable orgasme et elle finit par serrer si fort les cheveux de notre amant qu'il doit repousser sa main un peu..
Quand Sophie a reprit ses esprits, je me tiens déjà devant elle, à lui caresser le sein droit du bouts des doigts pendant que monsieur frotte son membre sur mes fesses juste derrière. Ma main gauche se laisse guider par mes envies perverses de l'attirer encore un peu près de moi pour caresser son beau derrière,et je referme les phalanges sur le membre derrière à la fois. Nous nous embrassons doucement, langoureusement pendant que je sens la queue de notre viril ami qui me gonfle dans la main..Je le branle délicatement avant qu'il ne décide de m'attirer sur le mur opposé et me prendre par derrière, la tête sur le carrelage et la frange dans les yeux. À ce moment-ci, j'en ai carrément rien à foutre de mes cheveux.. je sens se glisser contre moi Sophie qui s'agenouille à son tour et décide de ma lécher le clito pendant que je me fais pilonner par la verge énorme de notre amant.. je suis au 7ième ciel... L'eau devient un peu plus chaude et je jubile. La vapeur m'étouffe un peu, ma faire perdre la tête, je comprends alors que mon amant a bien envie de me prendre par devant et propose à Sophie de courir chercher mon beau dildo en verre.. Elle revient et se réinstallant derrière moi, elle caresse d'une main habile ma petite rose qui voudrait bien se faire baiser aussi.. Quand elle frotte le bout du dildo de verre sur ma chatte, elle se rend compte de toute l'excitation qui m'habite. Elle me l'enfile graduellement dans le cul, et je me sens me dilater au fil des billes qui s'insère en moi. Les va-et-vient se font de plus en plus insistants et je dois avouer que je suis sur le point de jouir après quelques minutes seulement. Avec le butement du pieu de notre mâle dans le fond du ventre et le mouvement du dildo dans mon cul, je défaillis dans le temps de le dire. C'est si bon! J'ai du mal à tenir sur mes jambes tellement le plaisir m'affaiblit. Quand je retrouve mes esprits, j'embrasse ma copine Sophie en guise de remerciement et nous nous agenouillons pour offrir une belle fellation digne d'un film X à notre complice. Il jouit sur nos seins en criant de bonheur, son visage se crispe et ses yeux se ferment... Chacun son orgasme gagné. Chacun le sourire aux lèvres.. sauf que.. maintenant que notre amant s'en va regarder la télé, j'ai décidé de rester pour savonner le dos de Sophie.. après tout, il faut bien se laver un peu dans cette douche..
5.09.2012
Défi d'écriture et histoire coquine
On m'a donné comme défi d'écrire 2 paragraphes avec les mots tomate, tango et honneur... voilà où l'inspiration me mène parfois!
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...] Ce soir-là, je revenais de mon cours de danse. Comme une de mes résolutions concernait un engagement dans une activité me permettant de renforcer mon estime personnelle, j'avais décidé de m'inscrire à un cours de tango, à raison de deux soirs par semaine, dans un studio pas très loin de chez-moi. La moyenne d'âge était élevée; j'étais la cadette d'environ une dizaine d'années. La première semaine, tout allait bien. J’apprenais très vite. Mon partenaire de danse, un homme dans la cinquantaine rencontré sur les lieux, avait appris à bien suivre mon rythme. Mais, un jour, sans crier gare, il a abandonné le cours. Je me suis retrouvée à suivre seule durant quelques cours, dansant les bras dans les airs comme pour signifier que j'avais un partenaire. Voyant que j'évoluais assez rapidement, que j'avais un certain talent et que j'avais le rythme dans le sang, le professeur, un homme âgé dans la mi-trentaine et de belle apparence, me proposa de devenir sa partenaire de démonstration. Seule chose, on devait se voir un soir de plus par semaine, le temps que je pratique les pas afin de les reproduire lors des cours devant les apprentis. Ça m'allait. en fait, c'était un honneur pour moi de devenir une partenaire pour lui. Après tout, je n'avais pas envie de croire que je m'étais acheté des souliers de danse pour rien.. et puis, j'adore ça le tango.
La semaine d'ensuite, il m'envoie un message sur mon compte Hotmail, me donnant rendez-vous le lendemain soir au studio de danse. Il me demanda si ça m'allait, je lui ai répondu que oui et que je serais là à 18h tappant, tout de suite après mon cours à l'université.
Ce soir-là s'est installée une chimie entre nous d’emblée. Je gobais toutes les infos qu'il me donnait concernant ma posture, les temps comptés à coup de deux, parfois quatre, le «salida» idéal pour suivre la mesure, la longueur des pas. J'ai assimilé absolument tout ce que j'avais entendu. En sortant du studio, je me suis rendue chez Archambault à la recherche d'un DVD qui pourrait m'aider à progresser plus vite encore. Là, je voulais l'impressionner.
Le lendemain soir, ce fut le premier cours durant lequel j'étais impliquée comme «démonstratrice». L'heure et demie s'est passée comme un charme, j'étais totalement dans mon élément.
Les jours s'emboitaient comme ça.. une alchimie entre nous s'était développée. Il voyait bien que j'étudiais la matière en dehors des heures de cours; je ne pouvais pas avancer autant dans la technique sans avoir un coup de pouce ailleurs. Quand je lui ai parlé de mon achat et de toutes mes recherches et visionnements concernant le tango, il est resté très surpris. Alors, sur un coup de tête et l'air totalement emballé, il me dit; «Demain soir, vient me rejoindre chez moi plutôt qu'au studio. Je vais te faire entendre les chansons que j'ai choisies pour les prochaines classes de danse, tu me diras ce que tu en penses..» et il ajouta; «Et puis, ne prends pas le temps de retourner chez toi, vient directement à la maison, je m'occupe du souper. J'ai vraiment très hâte que tu entendes tout ça. On pratiquera un peu ton déhanchement..!»
Le lendemain, j'ai passé la journée à me demander si je me sentais à l'aise de me retrouver chez-lui.. la gène j'imagine. Mais à 18 heures, quand mon cours s'est terminé, j'ai pris mon sac et j'ai filé en autobus à son condo dans le Vieux Port. Arrivée chez-lui, plus que surprise, je me rends compte de son côté esthétique et artistique développé. Ça sent magnifiquement bon, la déco à la fois chaleureuse et contemporaine est parfaite et en tirant un oeil, je remarque qu'il a une véranda sur le balcon derrière. On y voit tous les bateaux du port, les petites lumières du quai et les silos.. C'est paisible. Il vient me rejoindre avec un verre de blanc et il me présente son chaton nommé Argentin. Je lui demande ce qu'il a cuisiné. Il me dit; Une spécialité du chef; des pâtes aux fruits de mer avec une sauce rosée à base de pesto de tomates que j'ai fait l'automne dernier..
Stupéfaction; il fait même son pesto maison! ..Non, mais cet homme sort d'où, bordel?!
Après deux..trois..quatre coupe de vin, nous sommes toujours autour de la table, à rire et à nous raconter nos expériences de vie. Ravie de voir que la chimie de la piste de danse n'était pas qu'une impression, je décide tout de même, la tête un peu dans les vaps, de lui montrer une nouvelle suite de pas que j'avais apprise.. Mais, aussitôt ses mains sur mes hanches, j'ai l'impression qu'il va faire exploser ma poitrine. Mon coeur bat à toute allure, et tenons-nous le pour dit, j'ai pas envie de danser présentement. Alors, je fais semblant de me tourner la cheville, et il m'attrape.. nos regards se coirsent et c'est le coup d'envoi.
Nous nous embrassons fougueusement, nos langues se caressent, nos mains glissent partout sur la peau l'un de l'autre, on se précipite partout dans les murs..
Quand il me plaque contre le mur, j'en profite pour lancer mes souliers si peu confortables quelque part dans la pièce.. on se retrouve sur un sofa-lit en rotin dans sa véranda chauffée et pleine de plantes vertes. L'oxygène règne ici. Nos embrassades continuent, et je défais la boucle de sa ceinture pendant qu'il embrasse mon cou. Je sens déjà une belle érection dans son pantalon.. je sors la chemise bourgogne de son pantalon et défais les boutons uns à uns, mais rapidement. J'ai la bonne technique. Il détache ma chemise blanche et descend ma jupe sur le sol.. c'est alors qu'il découvre mes bas en dentelle, tenus par un magnifique porte jarretelle rouge s'agençant parfaitement avec mon soutien-gorge et ma culotte.. J'avais prévu le coup quand même!
Nous nous retrouvons couchés sur son sofa, moi sur lui. Je le caresse partout, mes phalanges glissent sur sa peau nue.. chaude.. puis, je me rends à son boxer serré, qui moule à merveille la verge démesurée qui l'habite. J'ai tellement envie de la prendre en bouche. J'en peux plus; je sors le pieu de son étui et mes lèvres effleurent son gland tout gonflé. Ma langue s'en donne à coeur joie et je l'entends gémir et respirer exagérément fort. Visiblement, il adore ce que je lui fais.. J'ai pas envie d'attendre plus longtemps, j'enlève ma culotte et me hisse directement sur son pieu. Je l'insère en moi doucement; la largeur de sa verge me donne une impression d'être bourrée à fond.. je le sens buter au fond de ma chatte déja humide. Il a ce talent, ou disons plutôt ce pouvoir de bander et bander et bander.. sans que ça n'ait jamais de fin!..Je le sens encore grossir au fond de moi.
Et j'entreprends un mouvement de bassin démesuré.. je me sens faillir. Son pouce droit qui s'agite sur mon clito, j'ai les yeux fermés, trop absorbée par le plaisir qui me ronge toute entière et quand il se relève pour me coucher sur le dos, j'ai l'impression de vivre un rêve. Il appuie mes chevilles sur ses épaules, se penche sur moi et me pistonne à fond. Il me défonce comme jamais je ne l'ai été.. stimulant mon point G à fond, je sens que l'orgasme me gagnera bientôt. Je fais valser mon index ainsi que mon majeur sur mon petit bouton de plaisir tandis qu'il me lèche les seins à s'en régaler. Son odeur de mâle mélangée à son parfum exotique me donne des frissons. Alors, je le sens prendre une inspiration profonde, signe qu'il va bientôt exploser. Je me donne à fond sur mes caresses et au moment où il sort de moi pour venir jouir sur mes seins, je pousse un cri de jouissance et j'asperge les draps de mon excitation.. ses yeux scintillent, je caresse sa verge de ma main gauche tandis que j'étends sa semence sur mes seins de l'autre..
Il se laisse tomber sur le sofa, à côté de moi et, essoufflée, il met le nez dans mes cheveux pour reprendre son souffle..
Wow.. On recommence quelques minutes plus tard, alors qu'il me prend en levrette, moi appuyée sur la grande vitrine de sa véranda. De là-haut, je peux tout observer; les piétons dans la rue, les autres couples dans leurs salons.. et tout ça m'excite. Personne ne semble se douter de ce qui se passe ici..
Depuis ce temps, on se voit souvent. Non seulement pour les cours de danse.. mais pour.. pratiquer mon déhanchement
Mes Confessions
Je suis une salope qui relève des défis
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