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3.04.2016

La mémoire qui joue des tours, 4e et dernière partie.

Je me caressais et je sentais le tissus devenir humide sur mon legging.

Tu aimerais lécher?

Sans même avoir à parler, ses yeux disaient tout.
-Je veux t'entendre Patrice.
-Oui je veux.
-Alors dis-le comme je veux l'entendre.
-Je veux te lécher Jade, je veux lécher ta chatte bien mouillée je t'en supplie. S'il te plait.
-D'accord mais avant, je veux jouir. et je vais me servir de toi. C'est ce que tu veux que je fasse de toi mon objet, non? J'avais le sourire rempli de fierté de le voir si docile et campé dans le jeu.
-Oui Jade.
-Très bien. Alors je vais installer un harnais sur ta cuisse et tu ne diras pas un mot. Compris?
-Oui Jade.


Sa façon de répondre venait me chercher jusqu'aux tripes. Je me voyais à sa place, ce que j'ai vécu si souvent. Ce dont il ne se doutait pas et qu'il ne saurait probablement jamais. Ou du moins, pas avant très longtemps. Je me voyais aussi, très bien encrée dans mon rôle de soumise, prête à exprimer mes envies et supplier pour qu'on les assouvisse.

J'ai mis quelques secondes à installer mon harnais muni d'un gode de sillicone de bonne dimension sur sa cuisse gauche. Resserrant les lamelles de tissus autour de sa jambe, je me suis ensuite reculée, ai retiré mon chandail et j'ai déchiré mon legging au niveau de l'entrejambe. Mais juste un peu. Et juste à l'endroit qui me donnerait facilement accès à l'entrée de ma grotte humide.

J'ai enjambé sa cuisse et me suis empalée sur le membre artificiel qui se tenait bien droit au dessus de sa jambe appuyée durement au sol. Tout de suite je me suis sentie hyper excitée d'être remplie par un organe masculin, chevauchant le corps d'un homme dont le propre organe pulsait quelques centimètres à coté de celui qui me fouillait. Je m'efforçais de lui faire voir tous mes mouvements, de lui faire sentir que je ne faisais aucun cas de lui à proprement dit, mais chaque gémissement était suffisamment fort pour qu'ils le rendent totalement à ma merci. Je voulais qu'il sente qu'il n'était pour rien dans mon plaisir et qu'il était là, comme le coin d'un meuble sur lequel on s'appuie.

Je voyais s'échapper du bout de sa verge le liquide pré-éjaculatoire tout en effectuant mes mouvements de hauts en bas.

Tout cela l'excitait. Il sentait le poids de mon corps faire les va-et-viens sur cette queue de silicone attachée à sa cuisse et je me servais de lui pour appuyer mes pénétrations. Son torse, ses épaules, le dossier du fauteuil était tant d'appuis qui me servaient à m'exciter encore davantage. Je sentais ma cyprine s'écouler à la base du gode.

-Mordille mes seins pendant que je baise mon jouet.

Je l'impliquais un peu plus maintenant.

Patrice était attentif, muet. Ses yeux posés sur moi me faisaient me sentir comme une déesse qui pendant un moment contenait tout son attention. Plus rien ne le détournait de mes seins qui sautaient sur mon torse ou de mes lèvres qui s'entrouvraient pour laisser sortir mes gémissements forts et sentis. Je le voyais détailler les parcelles de ma peau maintenant rougies par le plaisir et l'excitation, mes mamelons dressés entre ses lèvres et ses dents.. J'haletais, à bout de souffle, laissant ses oreilles de remplir de mes plaintes aiguës et passionnelles.

J'en ai eu assez de le voir m'implorer du regard. Je suis donc montée un pied sur le fauteuil entre ses cuisses et j'ai mis le talon de l'autre pied sur le dossier du fauteuil. De cette façon Patrice avait une vue imprenable sur ma chatte dégoulinante d'excitation et moi, je prenais plaisir à recueillir le jus qui s'en écoulait pour le porter à sa langue qui en demandait encore et encore. J'ai approché mon sexe de sa bouche.
-Suce mon clitoris et fais moi jouir.

Jamais un homme n'avait été si attitré à la tâche et si attentif à ses caresses que cette-fois. Je le sentais aspirer doucement mon bouton de plaisir entre ses lèvres et le contourner de sa langue. L'aspiration ainsi que les mouvements de va et vient un peu saccadés ont fait en sorte que je me suis sentie sur le bord de l'orgasme à peine quelques minutes plus tard. Je suis retournée au gode et j'ai fini par complètement me libérer d'un orgasme hyper fort et saturé de mon plaisir.

Ses yeux étaient maintenant plus qu’écarquillés. Des yeux qui disaient wow.
Il souriait. Muet et admiratif. Ses lèvres reluisaient encore de mon jus.

-Tu as été parfait. T'es une bonne petite salope Patrice. Tu mérites toi aussi que je te caresse un peu.

Tout en lui disant ça, j'ai détaché le harnais et j'ai empoigné sa queue. Sa verge était chaude et bien veinée. Je n'avais qu'une envie; me l'enfourner dans la bouche et la sucer jusqu'à ce que jouissance s'ensuive. Mais je ne voulais pas le gratifier tout de suite. Je n'avais pas encore assez profité de lui... il m'avait offert sa confiance et son anatomie que pour moi, je n'allais pas renoncer à toutes mes envies si vite. Alors j'ai entrepris de le masturber lentement.

-Tu aimes ca quand je te masturbe?
-Oui Jade, j'adore ça tes petites mains.
C'est vrai que mes mains, déja petites, paraissaient minuscules à tenir son sexe.

-Qu'est-ce que tu aimerais que je te fasses?
-Je voudrais sentir ma queue dans ta gorge et jouir sur ton cul, s'il te plait. Je vais faire tout ce que tu me demandes.
-Tout?
-Tout, je le jure. J'ai tellement envie de jouir sur toi.


J'ai craché sur sa queue pour la mouiller plus que demandé et j'ai glissé ma main refermée sur son membre pendant de longues secondes alternant les caresses appuyées, du gland aux bourses. Je le sentais au bord du non-retour et sa respiration était assez incontrôlable.
-Tu ne dois pas jouir tant que je ne te dis pas de le faire.
-Je vais essayer...
-Je ne veux pas que tu essaies. Je veux que tu obéisses.
Je l'ai doucement giflé avant de l'embrasser.

Je pense que je l'ai entendu geindre sur la baffe. D'autres frissons ce sont ajouté au bas de ma colonne. Je prenais un réel plaisir dans mes premiers pas vers le rôle inverse de ma position naturelle.

Le silence complet. Regard complice. J'ai plongé son sexe dans ma gorge, remuant doucement ma langue pour accentuer la caresse. Je resserrais le membre de mes lèvres tout en branlant la tige de mon homme-objet. Je laissais la bave s'écouler sur son organe et je reprenais les manoeuvres passionnelles. J'adorais sa queue. Je ne me lassais pas d'en découvrir le goût, le relief et la chaleur. Je sucais son gland, détournais la langue et alternais les mouvements. Au moment de ralentir, je l'ai complètement englouti dans ma gorge. Je faisais quelques va-et-viens tout en contrôlant à la fois mon gag reflex et mes inspirations. Je l'entendais râler et geindre comme une fillette. Ca m'excitait terriblement.
À son paroxysme, je l'ai senti resserrer les muscles de ses cuisses et j'ai vu ses orteils pointer vers le ciel.
.
J'ai tout arrêter, empoignant son menton entre mes doigts et l'embrassant gouluement. Je voulais lui faire gouter son sexe de mes lèvres et ma langue.
-Tu n'aurais pas joui hein Patrice?
-J'étais tout prêt mais je ne l'aurais pas fait. Promis.
-Tu as bien compris ce que je te demande.

Je l'ai embrassé de nouveau.

Ce matin-là - disons cette fin de nuit-là-, je ne sais pourquoi, mais j'avais le diable au corps.
J'avais une soif de perversités mais beaucoup de choses manquaient pour arriver à mes fins.

J'ai détaché les chevilles de Patrice.

-Je vais te faire t'agenouiller sur la chaise. Pointe ton cul bien haut. Je vais changer le châtiment pour que tu obéisse mieux.

Ses mains étaient encore attachées derrière le fauteuil. Dans cette position, les fesses totalement nues et offertes, j'avais accès à son intimité la plus cachée. Étant un sportif assez prévenant, Patrice avait depuis longtemps épilé la raie de son cul au laser ce qui laissait sa peau douce et invitante.

J'ai d'abord fait un demi tour de chaise pour aller embrasser mon amant et lui ai présenter mes seins à lécher.

Il les suçotait doucement. Je caressais sa nuque et lui disais de continuer.
Tout ça réveillait également des sensations peu connues de ma part. J'adorais.

-Tu as déjà reçu des caresses sur ton petit trou?
-Oui, mais jamais plus qu'un doigt ou une langue et c'était assez doux.
-Comme tu me donnes libre court pour m'amuser avec toi, je vais te faire découvrir autre chose.

J'ai senti un mouvement de recul ou une lueur de crainte à son visage.
Je l'ai rassuré.
-Je veux que tu me fasses confiance... laisse-toi faire.

Peut-être imaginait-il que j'allais lui faire mal. Ce n'était pas du tout le cas en fait. Je me suis agenouillé derrière lui et j'ai empoigné sa queue toujours bien dure. Je l'ai mouillée puis branlée tout doucement en glissant mes doigts et mes ongles de façon lente et douce sur ses fesses. J'avais envie d'en prendre une croquée ou encore une photo en souvenirs tant le paysage était beau.

J'ai mouillé mon index droit et suis allé tout de suite caresser l'ouverture de son cul.
Fermé et serré, il aura fallu quelques minutes de travail pour qu'à force de caresses buccales et manuelles j'arrive à le détendre un peu. Je l'entendais respirer bruyamment. Je le savais excité juste à la taille qu'avait pris son sexe et ses hanches cambrées. Je devinais que sa position devenait de moins en moins confortable et que je devais lui faire oublier tout en subissant... donc, après avoir inséré 2 doigts pour bien détendre son cul, j'y suis allée doucement en introduisant le gode dont je m'étais servie plus tôt, enduit de lubrifiant...

Le soleil se levait graduellement, à mesure que ses petits cris de douleur devenaient plaisir. J'allais de petits coups pour ne pas lui faire mal, dans une lenteur juste.
-Tu aimes ça Patrice?
Après un moment de silence, je l'ai entendu me dire oui.

Je le sentais entre deux mondes totalement. Excité mais dépourvu de moyens. Son plaisir reposait entre mes doigts. J'ai passé mon index gauche entre les lèvres de ma chatte; toujours aussi inondée sinon plus.

-Porte-les à ma bouche, Jade.  Je veux te goûter encore.
-Bien. Apres je vais baiser ton cul. Tu seras la pute que tu voulais être.

Pendant qu'il dégustait mon doigt et la cyprine s'y trouvant, je continuais d'insérer le gode. Finalement, après quelques minutes de travail, j'ai vu la quantité surprenant de precum sur le coussin du fauteuil et je comprenais à ce moment-même le degré de satisfaction de l'expérience que nous vivions lui et moi. J'ai ajouté un peu de lubrifiant pour adoucir le mouvement.

D'une main je branlais la queue de mon amant et de l'autre je faisais aller le jouet dans son cul. Il se tordait de plaisir.
-Je vais y aller de plus en plus fort Patrice. Je ne veux pas t'entendre te plaindre. Quand tu seras trop sur le point de jouir tu me dis stop. Je compte sur toi.

Je le voyais se dandiner, inconfortable mais je l'entendais m'implorer de continuer de le baiser. J'ai eu envie de glisser sa queue dans ma bouche durant un moment quand je lui godais son petit trou. Alors que je le léchais et le suçais avec avidité, le pauvre se contrôlait de son mieux pour ne pas jouir et je sentais son combat intérieur. J'ai fini par arrêter le supplice et me relever...

Je l'ai fait se rasseoir sur le fauteuil. Il était en sueurs d'avoir mis tant d'énergie à sa rétention d'orgasme. Et j'avais laissé l'objet entre ses fesses pour qu'il puisse le maintenir en place une fois assis.

J'ai enfourché Parrice avec désir et urgence et je dois avouer qu'à ce moment-là je n'avais aucune envie de jouer les dominatrices. J'ai mis mes jambes de chaque coté de ses cuisses sur le coussin du fauteuil et m'en suis donné à coeur joie de descendre et monter sur son membre en érection, sur le point d'exploser.

Je le regardais dans les yeux.
Il me fixait aussi, en se concentrant au mieux.

-Tu es une bonne petite salope Patrice.
-J'adore être ta salope
-Ah oui? Tu aimes que je baises ton cul en te suçant?
-Oh oui j'adore ca me soumettre tes idées vicieuses.

Je me sentais moi-même sur le point de jouir.

Je vais détacher tes mains et tu auras le droit de me toucher. Je veux jouir avant toi. Et quand j'aurai joui, tu pourras le faire toi-aussi et à l'endroit de ton choix. Compris?
-Oui Jade. Tout ce que tu veux.

J'ai défait le foulard autour de ses poignets. Tout de suite, il a approché mon corps du sien en guidant les mouvements de mon bassin sur lui. Mes mouvements accompagnés des siens ont du permettre à l'objet toujours en lui de faire un peu son travail. J'étais là, haletante alors qu'une de mes mains avaient rejoint mon clitoris que je branlais comme une déchaînée et lui, empoignait mes fesses et mes seins tout en les dégustant. Quelques instants plus tard, j'ai senti un spasme envahir tout mon corps et ma chatte pulser sur son sexe encore en moi. Je n'avais plus aucune notion de quoi que ce soit. C'était trop bon..

Il a relâché son étreinte peu de temps après.

J'ai fini par débarquer du fauteuil, et ce fut mon tour de m'y agenouiller. Il m'a pris en levrette pendant quelques minutes avant de jouir lui aussi, sur mon cul. En fait le jet est parti si loin que j'ai en reçu dans le cou et les cheveux aussi...

Il m'a pris contre lui, on s'est embrassé. Il avait les yeux remplis d'eau.
-C'était fantastique. J'te jure, je capote.

Nous nous sommes couchés sur la moquette pour repre dre un peu nos souffles. Collés, gagnés par la fatigue et couverts d'un jeté, nous nous sommes endormis enlacés après notre 3e baise plus courte mais tout aussi intense. J'ai ouvert les yeux quelques heures plus tard et il m'attendait à la cuisine nu en train de faire du café.

-Allo... est-ce qu'on se connait? m'a-t-il demandé en me faisant un clin d'oeil.
-Un peu mieux qu'il y a 24hres en tous cas!

Il m'a tendu une tasse bien chaude, me rappelant le thermos de la nuit passée.
-C'était quoi ton challenge que je ne pouvais pas refuser?
-Samedi prochain... je viens chez-toi avec mes accessoires et c'est toi qui prend le contrôle. Tu vas voir, je peux vraiment être une petite crisse quand je veux.

Ce samedi-là est de l'ordre des plus jouissifs que j'aie connu. Est-ce que je vous le raconterai?
Sans doute.
Mais pas tout de suite. Je veux continuer de me remémorer les mains de Patrice et le métal de ses menottes.

Toutefois depuis ce temps, non seulement Patrice n'a plus oublié qui j'étais mais il connait de moi une partie secrète que personne d'autre ne soupçonne.
Et il en découvre toujours plus de jours en jours..



Mamz'Elle J xxx

1 commentaire:

  1. Oufffff. Quelle dose d'énergie sexuelle dans ce texte. Incroyable !
    Bisous xxx

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