J’ai passé l’avant-midi à me
promener dans les rues de Québec armée de mon iPod et de mes mitaines. De très beaux souvenirs me venaient en tête quand je me
mettais à repenser à chacune de nos rencontres. Puis, une envie de t’envoyer un petit courriel. Raconter ces
souvenirs de l’hôtel, de nos soupers improvisés, de tes arrivées à la
porte de mon appartement avec ce sourire espiègle. Quand nous planifiions pendant
ton moment en solitaire à la maison, sans enfant ni femme autour, tes
alibis et tes plans pour le prochain rendez-vous. Il n’y avait que le sexe que nous n’avions pas besoin planifier; ça
faisait partie de nos plans, mais ça restait spontané. Je m‘asseyais tellement
de fois au bord de la fenêtre pour voir arriver
ton auto sur ma rue éclairée, avec une envie terrible de descendre te rejoindre
sur le trottoir avec mes pantoufles et des vêtements un peu trop.. légers, disons!
La hâte de clouer mon regard au fond du tien. Le véritable sentiment d’avoir
trouvé un homme de la trempe du prince
charmant que j’avais attendu tellement longtemps. J’ai pris mon téléphone dans
ma poche, enlevé ma mitaine et j’ai composé ton
numéro. Quand j’ai entendu sa voix, la sienne, ma petite gorge, celle que tu aimes bien baiser, s’est resserrée..
Un seul mot: Aille!!!!
RépondreSupprimerMerveilleux texte si bien écrit et qui veut tout dire!!!
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