Rechercher dans ce blog..

2.05.2013

Le fantasme du patron

Dimanche, je discutais avec Mariposa à propos des hommes. Toujours. Ça vous surprend beaucoup, je sais! J'ai l'impression que c'est le seul sujet dont nous pourrions parler durant des heures et des heures.. des jours et des nuits. En fait, elle me disait que selon elle, les hommes se conservent mieux que les femmes avec les années. Messieurs, je dois avouer que vous vieillissez en beauté! En je me suis mise à penser à la panoplie d'hommes de mon entourage, famille, travail, amis et papas de mes amies - eh oui, bien entendu!- et je me suis tiré quelques exemples pour me rendre compte que deux des plus beaux hommes qu'il m'a été donné de côtoyer ont été mes patrons. Mais un en particulier..


*** 


Il y a un peu plus de deux ans, je travaillais dans un café assez achalandé de la Haute-Ville et j'avais à ce moment-là le plaisir de travailler durant quelques heures par semaine avec mon patron. Cet homme a toujours été pour moi le symbole des 40 ans bien assumés, le charisme et la beauté de l'homme qui a vieillit à merveille et à qui la vie a fait le beau cadeau de lui laisser un cul d'enfer et suffisamment de goût vestimentaire pour que je puisse l'admirer avec mes yeux de jeune femme de 20 ans.

Tous les matins, il me rejoignait au restaurant vers 5h45, je lui préparais son café selon ma méthode secrète dont il n'a jamais eu la recette et nous prenions notre café de début de journée en élaborant les plans de la journée en écoutant Souvenirs Garantis et on fredonnait chacun dans nos têtes des chansons qui jouaient depuis déjà trop longtemps sur les ondes radio.. un beau moment quotidien.

Mon patron avait des yeux verts pétillants, cheveux poivre et sel, toujours décontracté, mais avec une petite touche personnelle. Pantalons ajustés sur un cul qui défit les lois de la gravité, une carrure d'épaule et une posture toujours impec. Français d'origine, il avait un accent charmant et toujours le bon mot pour rire. Je ne fais mention que de ses bons côtés puisque les mauvais ont mené à ma démission.. haha. Ce qui n'empêche pas que malgré les mois qui ont passé, je me rappelle son visage et son attitude lorsqu'il respirait la bonne humeur. Et il sentait tellement bon. J'ai toujours soupçonné qu'il portait un parfum Hugo Boss et le contact avec sa peau lui donnait une dimension différente.

J'ai toujours aimé observer comme un papa agit avec ses enfants. D'abord parce que je trouve craquant de voir dans les yeux d'un homme la fierté qu'il peut éprouver pour ses progénitures mais aussi parce que ça me fait sourire de regarder une dynamique familiale et la réaction de l'enfant face à son père en dit long sur le comportement que peut avoir l'homme à la maison, dans le quotidien, loin du stress du travail. Lorsqu'il amenait ses enfants au travail le temps de venir chercher des papiers ou de venir jeter un oeil sur son petit bijou de restaurant, je me surprenait à les observer et à le trouver totalement sexy...

Avec sa petite bouille de français, il faisait littéralement craquer toutes les employées et je me considérais très chanceuse d'avoir un lien privilégié avec lui, de pouvoir discuter de tout et de rien, d'être presque toujours en contact alors que nous discutions de l'administration de la cuisine du restaurant et des ressources humaines. J'aimais quand il me confiait des bribes de sa vie en France, de ses études ici et de ses weekends. J'avais un accès VIP à la vie de l'homme qui inspirait tant de conversations à la limite de l'acceptable entre les serveuses.

Un bon matin alors que j'étais seule à la cuisine, je chantonnais avec la radio en pelant des carottes et il s'est pointé au resto. Je ne l'avais pas entendu et lorsqu'il m'a adressé la parole, je me suis retournée et j'ai vraiment fait le saut. Il m'a regardé en ricanant et m'a prise par les épaules comme pour m'attirer vers lui en s'excusant de m'avoir surprise. J'ai ressenti un léger picotement alors que je me retrouvais si près de lui.
J'ai pris la chose en riant, mais je n'ai jamais vraiment oublié l'effet qu'il me faisait.

Souvent, je me suis imaginée arriver au travail un peu plus tôt pour préparer la cuisine et débuter les tâches les plus urgentes et qu'il s'y trouve déjà. Dans mes fantasmes les plus coquins le concernant, il m'attendait à la cuisine vêtu d'un jean et d'un t-shirt assis sur le bord de l'îlot central. Alors que j'arrivais et que j'allais au vestiaire me changer, il m'aurait regardée enlever mon manteau, mon foulard.. mon chemisier.. et avant que je n'aie eu le temps de revêtir ma tunique de travail, il m'aurait effleuré le cou tout doucement, du bout du doigt et j'aurais senti son souffle sur mon épaule. Son odeur aurait envahit mes narines..

..je l'entends me complimenter sur mon choix de lingerie. Je me retourne immédiatement pour le regarder mais il freine mon élan en posant deux doigts sur mes lèvres entrouvertes.Tout de suite, son pouce repousse la mèche de cheveux cachant mes yeux et il approche ses lèvres des miennes. Un moment tendre et pourtant si inattendu. Je sens sa bouche se poser peu à peu sur ma joue, mon cou.. il caresse du bout des doigts le tissus doux et satiné de mon soutien-gorge alors que je me laisse aller un peu plus en lui caressant la nuque, l'attirant encore un peu plus vers moi. Je le sens me pousser sur le mur et relever ma jambe contre la sienne. Sans autre mot, il glisse ses mains dans mon dos et détache mon haut alors que je m'apprête à lui enlever son t-shirt désormais de trop. La chaleur m'assaille, mon désir s'accentue. Plus les secondes avancent, plus nous nous sentons confortables, et plus la chimie opère. Bientôt, la douceur et la tendresse font place à la vigueur et à l'intensité. Je le regarde embrasser mes seins alors qu'il les tient fermement entre ses doigts. Je m'entends lui demander pourquoi il fait ça, mais je l'entends surtout me répondre qu'il a très envie de me sauter sur son bureau de travail. J'ai des images qui me viennent en tête et je le repousse un instant, le temps d'agripper sa ceinture et d'en défaire la boucle.

 Nous sommes toujours au vestiaire, à une porte du bureau du patron où il n'y a que le rideau nous séparant de la cuisine. Je sens sa queue dure à travers son jean et je sais déjà que j'aurai la chance de répondre à la question qui me tue depuis qu'il m'a engagée. J'ai hâte de pouvoir sentir son odeur, de goûter sa peau, de poser les lèvres sur sa hanche et de le faire languir de ne pouvoir s'insérer dans le fond de ma bouche. Il détache mon pantalon de travail et découvre que je n'ai pas mis de culotte ce matin.. je l'entends grogner de plaisir quand il découvre à quel point je suis mouillée, à quel point je suis prête à accueillir sa verge en moi. je crois qu'il se doute à ce moment précis de toutes les pensées que j'ai pu avoir à son propos, alors qu'il me dit à l'oreille en caressant ma chatte: « Tu penses que je n'ai pas remarqué que tu cambres le dos lorsque tu te penches devant moi? Tu penses que je n'ai jamais imaginé te prendre le cul comme une petite pute? J'ai lu dans tes yeux dès le premier jour où tu es entrée dans mon entreprise que j'allais devoir contenir mes érections à chaque matin où tu allais te changer à quelques mètres de moi, que j'allais devoir être vigilant en regardant dans ton décolleté quand tu allais nettoyer le comptoir. J'en ai assez de me retenir.. »

Je suis retournée face contre le mur, et je gémis comme une salope alors que j'écoute attentivement ce qu'il me dit comme si plus rien au monde n'existait. Ses doigts savent exactement trouver mes zones sensibles, sa bouche avide de ma peau a laissé sa trace sur l'entièreté de mes épaules et ma nuque.. Je décide de prendre un peu le contrôle sur lui et de lui enlever son jean. À peine baissé, je suis surprise par le choix de son sous-vêtement. Un boxer serré de marque Armani qui me donne au premier coup d'oeil une vision d'extase sur son membre bien tendu. Alors que le jean tombe au sol et qu'il le pousse plus loin, je le plaque contre le mur et l'embrasse fougueusement alors que ma main n'a d'autre choix que de caresser son torse, puis son dos.. et je pousse l'audace jusqu'à caresser ses fesses. Fesses sur lesquels j'ai fantasmé durant de nombreux mois. Puis, il pousse ma tête vers le bas et je descends son sous-vêtement au rythme des battements de mon coeur. Sitôt son membre libéré, je le saisis de ma main droite. Il est chaud, bien gonflé, avec un gland bien découpé et la couleur que lui donnent ses vaisseaux gorgés de sang est hyper invitante. Je déguste avec envie ce membre solide et appétissant, d'abord de légers coups de langue et ensuite en y joignant la main. Je sens ses doigts se glisser dans mes cheveux et les agripper plus sauvagement. Je lance des «humm» d'appréciation et il en fait tout autant. Je lui lance un coup d'oeil; nos regards se croisent. Il est debout devant moi, fier et droit et j'ai tout le plaisir du monde à me retrouver en contrôle de la situation munie de son engin sur ma langue. Je mets toute mon attention sur le mouvement de ma langue durant que j'aspire son pieu dans ma bouche. Je caresses ses couilles doucement et j'ai tellement envie de glisser une main jusqu'à ma chatte pour la caresser également.. Juste avant qu'il ne jouisse, il me demande de me relever et m'entraîne dans la cuisine où il a l'intention de ne pas me ménager.

Il me pousse sur le bureau et s'agenouille derrière moi afin de baisser mon pantalon et lécher le fruit de mon excitation. Il écarte mes fesses et lèche bien tout le nectar coulant entre mes cuisses. Je le sens habile et perfectionniste, alors qu'une de ses mains vient se glisser devant pour caresser mon clito alors que je suis à demie penché. Récoltant sur sa langue le fruit de mon plaisir, il se permet de me faire frémir suffisamment pour que je lui demande d'arrêter sous peine de lui jouir sur les doigts. Nous sommes nus au beau milieu de la cuisine alors que dans 20 minutes le café accueillera les serveuses et je me sens défaillir. Mon patron attrape alors mes cheveux, se relève et m'enfile son sexe d'un coup dans la chatte. Je sens que je vais perdre pied. Alors qu'il s'agrippe à mes hanches d'une main et mes cheveux de l'autre, je l'entends respirer bruyamment à mon oreille. Il y va plus fort, plus vite. Je suis sur le bord de jouir alors qu'il laisse ses doigts descendre de ma hanche à mon bas-ventre et il commence à branler mon clito bien excité. Tout à coup il accélère un peu plus la cadence et je l'entends me glisser à l'oreille: «Bon Dieu que ta chatte est bonne Jade, je la défoncerais tous les jours sans ménagement.» C'est le coup de grâce et il jouit sur ma fesse alors que je suis sur le bord du bureau de travail, haletante, tentant de reprendre la notion du temps.. Il essuie ma peau et part se vêtir au vestiaire, me laissant là.. lorsqu'il revient avec mon soutien-gorge et ma tunique, il me les tend avec un sourire indescriptible aux lèvres.

«Allez, file t'habiller sinon le patron va remarquer que tu es déja en retard! », me dit-il avec un clin d'oeil. en levant les yeux, je réalise que les caméras de sécurité sont tout juste devant nous. Il lit la peur dans mes yeux et me dit: «Ne t'inquiète pas, j'avais prévu le coup, je les ai éteintes. Dommage, ça m'aurait fait un merveilleux souvenir et une motivation supplémentaire pour venir bosser le dimanche matin!»

Nous nous savonnons les mains et nettoyons le bureau méticuleusement. Nous reprenons le travail normalement, mais gardons le sourire toute la journée. Juste avant de partir, je lui dis: «Avec tout le respect que je vous dois, monsieur, je souhaite que tout ça reste entre nous..»

Et il me répond: «Bien sur. Ça restera entre nous...» Nous n'aurions plus jamais mentionné cette journée de toute la durée restante de mon emploi.


Voilà à quoi je pensais la plupart du temps lorsque j'arrivais au travail de si bonne heure le matin..



La plupart des jeunes femmes ont la figure d'autorité en fantasme. Je n'y fais pas exception. Quand la figure d'autorité a un cul de sa trempe, ça aide grandement.



Et vous,comment est votre patron/patronne?

Mamz'elle J xxx

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Laissez-moi vos commentaires, j'apprécie vos réactions!