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5.29.2013

Au Bal Masqué, huitième partie

Il cachait son côté bestial cet homme.
Mais je ne m'en plaignais pas.

Premier assaut, alors que je suis à quatre pattes au dessus de son érection digne d'une merveille du monde, il agrippe ma nuque et me pousse à l'avaler encore plus. Je tombe littéralement et je sens sa queue transpercer ma gorge, venir s'appuyer sur mon pharynx et m'étouffer. Un haut le coeur. Je me relève brusquement en toussotant, surprise de la réaction de mon corps. Il me regarde profondément, me gifle encore. « Je t'ai dit de te relever?»

Il reprend mes cheveux entre ses doigts et revient à la charge en m'ordonnant de garder la bouche bien ouverte pour qu'il puisse entendre le bruit que fait ma gorge autour de son sexe. Ça semble beaucoup l'exciter. Il tient ma tête, baise ma bouche comme il le ferait pour ma chatte, sans pudeur, sans douceur. Je sens ma salive s'écouler à petites gouttes sur son aine, puis sur le drap. Bientôt, la quantité de salive s'accentue.

«Prends la petite goutte de liquide sur le bout de ma queue et joue avec. Étire-la de tes lèvres à mon gland et je ne veux pas que tu en échappe la moindre parcelle.»

Je m'exécute, appuyant mon regard dans le sien. Laissant s'étirer à l'infini cette goutte translucide et je m'applique à le rendre hyper fier et excité. Quand il en a eu assez, il me dit «Ok salope, lèche-la et vient m'embrasser. Je veux goûter aussi.»

Il embrasse merveilleusement bien. Un délice. Je le laisse prendre possession de mes seins comme s'ils ne m'appartenaient plus. Il prend sa coupe de vin, l'approche de mes lèvres et me fait boire. Me sourit. Me fais sentir femme et désirée. Je vois du coin de l'oeil les deux autres compagnons, les yeux hagards, la bouche ouverte, les mains astiquant les membres fièrement durcis. un délice pour les sens. Il me fait m'agenouiller au bord du lit., dépose mes mains sur le matelas.

Je le sens s'éloigner de moi, il cherche le vibro de tout à l'heure. Il écarte mes cuisses. Du coup, l'un des deux autres hommes se lève et vient prendre place devant moi, à genoux. Je ne peux résister à sa queue devant mon visage. Je le prends, le suce comme si ma vie en dépendait. Je sens s'appuyer sur ma chatte le vibro et dans mon excitation habituelle, je suis déjà sur le point de jouir. Il me le donne. M'ordonne de me l'appuyer sur le clito et de ne pas jouir.

Mais le jeu prend une forme très intense, lorsque je sens une ceinture de cuir sous ma gorge.
Oh. Mon excitation prend des allures de panique. Mon préféré, toujours assis sur la chaise, se relève, vient nous rejoindre sur le champ. Peut-être pour mieux me protéger advenant une situation dangereuse.

Je sens l'amant investi de sa ceinture derrière moi, passant la main sur mon cul offert. Il tient la ceinture avec une main de fer. Il recule un peu ma gorge pour me faire sentir sa présence et son pouvoir peut-être.. Il est calme, aucune animosité. Sa main remonte à mon dos, mon épaule, redescends sur ma croupe, doucement, caressant mon épiderme. Puis, dans le silence le plus complet, une main s'abat sur ma fesse. Clap!

Je geins. La queue dans ma bouche devient ma préoccupation pour enrayer la douleur. Je continue de sucer comme la salope que je suis pendant que mes yeux se remplissent de larmes. L'homme qui remplit ma bouche me flatte le front, comme pour me rassurer. Ça fonctionne. Pour un temps.
Clap! Encore une fessée, sur l'autre côté cette fois-ci. Puis trois autres. Clap clap clap!

Toujours plus fort. Dans ma position, j'ai l'impression qu'il y met toute sa force. J'ai du mal à me tenir fermement sur la main qu'il me reste. Il tire la ceinture vers l'arrière. Je suis à bout de nerfs. Je déglutis difficilement, toute mon attention maintenant focussée sur la douleur de mon cul.

Jusqu'ici, je m'étais interdis de crier, ou même de laisser entrevoir la douleur que j'éprouvais sous quelque forme que ce soit. Mais lorsque sa dernière fessée se fait sentir, je laisse un petit cri de douleur transpercer le silence. J'en peux plus. Je suis à bout de souffle. Sa ceinture me lacère la peau. Il passe sa main doucement sur mes rougeurs.. puis descends vers l'arrière de mes cuisses.. Il passe un doigt de long de ma fente. Je suis vraiment très très mouillée. Je me surprends à être si humide. Lui même me le fait savoir, lorsqu'il recueille un peu plus de mon jus pour venir l'essuyer sur ma langue.

«Suce-moi les doigts. Nettoie ta mouille. Vois comme tu goûtes bon.»

Je m'exécute. Docile. La ceinture toujours trop appuyée. Les yeux mi-clos.
Je me sens souillée. Il glisse ensuite ces deux même doigts bien profondément dans ma chatte. Bonheur éphémère. Il les ressort et les glisses sur mon petit trou serré, qui s'ouvre et se dilate sous ses caresses circulaires. Pour un moment, je me sens bien. Je ressens le calme. Les trois hommes sont tout près. Mon préféré se branle à mes côtés, l'autre est dans ma bouche, le troisième s'occupe de mon cul. Mes larmes ne coulent plus.

Je sens le bout de la queue de mon tortionnaire forcer l'entrée de mon cul.
Il a l'air plus que déterminé à y entrer. Et je ne peux l'empêcher de toutes façons.
Où cela nous mènera? Je commence à avoir un peu peur...


Pour me faire oublier la force de sa grosse queue qui s'insère en moi, il me griffe la cuisse.
Suffisamment fort pour que je sentes une douleur aigüe. Je devine qu'il est allé fort, quand je sens un peu de sang s'écouler sur ma cuisse.. puis sur mon genou.. Il sort de mon petit trou. Ça est y, je ne respire plus suffisamment bien. Il relâche la ceinture. Je me sens revivre, littéralement. Il se recule et fait le tour du lit pour retourner s'asseoir sur son fauteuil, fier d'avoir bien préparé le terrain à autre chose..


Je me lève un peu du lit.. Pendant ce temps, l'homme à genou se glisse sur le dos et me prend par les hanches pour que je m'empale sur son sexe. Enfin un peu de tranquillité.
Je le sens me faire l'amour doucement. Il essuie le sang qui coule encore de ma blessure sur le drap. Prends mes seins dans ses mains. Je descends mon corps contre sa poitrine. Et c'est mon préféré qui vient juste derrière moi, debout au bord du lit, un peu de lubrifiant sur la queue et il s'insère facilement dans mon cul. Comme une chorégraphie, les deux membres glissent en moi en laissant un frisson monter le long de ma colonne. Je ne ressens que du plaisir. Pur. Simple. Je me sens remplie. Je me sens salope. Mais je me sens bien..



Et les coups de hanches continuent..






Mamz'elle J xxx











5.21.2013

Au Bal Masqué, septième partie.

Le dernier survivant de la soirée se laisse désirer on dirait.

Pendant que les deux autres complices dans le vice semblant vouloir reprendre des forces armés de leur verres de vin, je reste sur le lit, plus vivante que jamais, déterminée à faire jouir le troisième amant avec plus de force que jamais.

Je suis toujours à quatre pattes. Toujours offerte. Toujours prête pour de nouvelles aventure.
Jusqu'ici, aucun des jouets que j'avais soigneusement disposés dans un petit coffret sur une des tables de chevet n'a été utilisé. Bien entendu, je ne voulais pas qu'aucun de mes nouveaux amis ne se sentent rejeté que j'utilise un vibro ou un plug plutôt que son engin plein de vitalité pour faire le travail. Mais nous voilà, deux, sur un lit trop grand pour deux corps, et je dois avouer qu'à mesure que mes seins se gonflent de désir, je deviens de plus en plus insatiable. Je suis comme ça.

Je glisse à l'oreille de mon ami que j'ai très envie de tenter quelque chose.
J'avance lentement sur le lit jusqu'à atteindre le coffret en question, et y choisis un vibrateur plutôt simple.
Ligne droite, bon diamètre, il vibre à sa plus grande intensité, suffisamment pour me faire décoller en moins de deux. Les piles sont neuves. Du plaisir à venir..

Je lui tend l'objet. Sa réaction me laisse perplexe; a-t-il déjà utilisé ce genre de trucs?
Tout de suite s'allume à son oeil la petite étincelle que j'attendais. Celle de la complicité. Celle de l'envie de pousser l'audace. Je suis à genou sur le lit, approche les lèvres pour l'embrasser doucement. J'écarte un peu les cuisses, étire mon bras et atteins sa queue bien durcie. Je la prend entre mes doigts, laissant glisser de haut en bas, lentement, mais avec une pression ferme. J'agrippe sa nuque pour le rapprocher de moi, il répond bien, en rendant encore plus langoureux ce baiser profond et appuyé. À son tour d'étirer le bras afin de venir appuyer la tête du vibro sur ma chatte. Mes yeux se ferment, je me sens mordiller ma lèvre, ma tête s'abaisse vers l'arrière.

Il me gifle. Fort.

Je reste surprise. Sur le coup, je suis très déstabilisée. Je passe la main sur ma joue, il me prend le pognet, m'empêchant de le faire. Il me lance; «Garde les yeux ouverts. Je veux voir monter en toi l'orgasme. Et pas avant que je te l'autorise.»

Je reste de glace. Mais je souris intérieurement. Wow.
Ses yeux parlent. Me disent que ce soir, j'aurai beau être rebelle, faire à ma tête, il ne me laissera pas le contrôle. Mais je serai heureuse, ils me le promettent.

Sur ces mots, il s'assoit sur le lit, me fait signe de venir goûter sa queue. Et j'approche avec envie et délectation. Ma langue touche son gland brûlant, que j'aspire sporadiquement, entre deux lentes caresses de sa verge. Nos peaux se trouvent enfin. Ses mains dans mes cheveux, en un mélange de désir, de contrôle, d'obsession. Je le sens soupirer à chaque fois que s'agite mon organe buccal sur son glaive. Il ne prédisait pas avoir tant besoin de concentration pour résister. Je devine que son but est de toucher à la fine ligne qui sépare le plaisir de l'orgasme et qu'il jouera avec ma patience jusqu'à ce que je n'en puisse plus de le supplier de me laisser exploser. Ses ongles s'infiltrent dans mon cou, sur mon épaule.. il me rappelle qu'il est là. Et que c'est lui qui mène le bal..


Ça commence vraiment bien cette bataille torride et bestiale qui s'annonce entre nous deux.
La violence du désir. Les ecchymoses de la passion animale. Le drap blanc restera-t-il blanc?
J'en doute.



On le perlera de bien des choses. La perfection de la soirée jusqu'ici s'en trouvera changée.
Mais, dans l'imperfection se trouve toute la liberté du laisser-aller total.



À suivre.



Mamz'elle J xx

5.17.2013

Au Bal Masqué, sixième partie

J'y suis.

Je suis exactement dans le mood orgasme. Mon corps n'arrive plus à se retenir, mon dos s'arque sur le lit devenu humide sous les 4 corps excités présents dans la chambre. Je sens que perlent les gouttes de sueur sur mes tempes alors que mes ongles sont plantés dans les draps, à les agripper comme pour me retenir de partir au 7ieme ciel. Mes orteils se crispent. Ma bouche s'entrouvre. J'ouvre à peine les yeux et les images que j'ai de la réalité sont poignantes et sublimes. Je vois les pupilles de mon amant préféré s'allumer à la vue de l'effet qu'a sur moi son emprise à ma gorge, alors que de sa main gauche il se branle au dessus de mes seins. Son foutre chaud coule de mes mamelons à mes côtes et terminent leur course sur le drap. Quelques gouttes ont fusé jusqu'à mes lèvres et sur la main de l'autre complice. L'homme qui me caresse le cul est couché au pied du lit, a deux doigts insérés dans mon petit trou et sourit bêtement en me pénétrant doucement. De sa main libre, il se masturbe lui aussi, mais tout doucement. Il me lance un «Allez salope, jouis pour nous!»

Celui qui s'occupait de mon clito a trouvé sa place sur le lit, côté droit, attentif et franchement surpris de la puissance de l'orgasme qui me tiraille. Quatre de ses doigts sont toujours en moi, à me pistonner comme s'il avait mis toute son énergie vitale à me faire crier comme la pire des salopes. Il mord un peu mon ventre, en regardant toujours mon visage probablement déformé par la montée de cette secousse jouissive le long de ma colonne. Son mouvement profond, franc et vif déclenche une vague inattendue dans mon bas ventre, prêt à laisse sortir une marée de mon jus pendant que de secondes en secondes, la main de l'autre homme se resserre sur ma gorge jusqu'à me couper le souffle. Je cries de bonheur, je me tortille, tentant de contenir un peu les sons que je propulse même involontairement alors que je sens un un relâchement extrême de tout mon corps. Le draps est complètement mouillé. Mon éjaculation était si puissante que je me sens vidée. Tous trois me regardent. Un qui m'a jouit dessus. L'autre qui continue sa caresse en me regardant reprendre mes esprits. Et le troisième, souriant comme pas un, qui se lève, glisse un doigt sur ma bouche pour que je lèche un peu de mon offertoire sensuel. J'ai chaud. Je n'ai plus d'énergie, mais j'ai tellement envie de plus.


J'ai envie de me lover contre un corps chaud. De m'assoupir sur les chairs tendres d'un des hommes pendant qu'il me jouerait dans les cheveux.

Mais on en a voulu autrement.. Et comme je ne suis pas en état de contrarier personne, je me laisse faire.



Mon préféré se retire pour aller finir de boire sa coupe de vin sur l'un des fauteuils.
Toujours couchée sur le dos, je suis encore dans un état second. Je halète sur un fond musical de DJ Cam, tentant de reprendre une respiration convenable. L'adonis couché au pied du lit se relève, bois une gorgée de sa coupe posée sur le plancher, s'approche de ma chatte, la queue à la main, prêt à me l'enfiler. Le volume de son engin aurait pu me faire peur en temps normal, mais je sais qu'à ce moment-ci, je suis tellement mouillée que je l'accueillerai avec facilité et plaisir. sous le regard pervers de l'autre mâle qui se trouve toujours à mes côtés, je me fais tranquillement pénétrer. Je mords involontairement ma lèvre inférieure. L'instant d'après, une queue pousse sur mes lèvres afin de s'introduire dans ma bouche. J'empoigne fermement la fesse de l'individu pour l'approcher de ma langue. je lèche les quelques gouttes de liquide qui perlent au bout de son gland, en savourant le goût particulier de sa belle queue, franchement appétissante. Il investit ma bouche, s'amuse à donner quelques coups de bassin aux moments où je reprend une bouffée d'air, pour me faire savoir que c'est à lui que je dois penser en premier. Je fais tout en mon possible pour le rendre fier d'être parmi nous et lui aspire la chair comme il n'aurait jamais été sucé auparavant. Je lui lance des regards pervers, juste assez cochons pour l'exciter un peu plus, pour lui faire comprendre que j'aime me faire traiter comme une pute, que j'aime la situation présente. Je deviens le jouet de 3 super beaux hommes aux attributs fort attirants, pourquoi je me priverais de mon petit côté givré après tout!


J'arrête ma fellation un moment et me retourne à quatre pattes, pour laisser un champ plus libre à l'amant qui s'occupe terriblement bien de ramoner mon entrejambe tout coulant et confortable. Je le sens m'écarter les cuisses pour voir s'insérer en moi à chaque coup de butoir, sa queue de bon calibre. Il m'attrape par les hanches et s'en donne à coeur joie alors qu'il mouille de sa salive son pouce et l'approche une fois de plus de mon petit trou pour en masser le pourtour. Un vrai cochon. Je détourne la tête et nous échangeons un regard complice. Je reprends ma fellation avec encore plus de désir, encore plus de perversité. Je lèche les couilles de mon collègue dans le vice me faisant face les cuisses un peu écartées, y applique tout mon talent et mon envie de le faire se déverser dans ma bouche. Je me sens vraiment très allumée. Je crache sur sa queue pour la lubrifier encore plus. Je lèche mon doigt pour bien l'humecter et le glisse jusqu'à son cul pour le caresser durant ma pipe. Il ronronne, passant les doigts dans mes cheveux, laissant sa main presser contre ma nuque pour une meilleure profondeur. C'est lorsque j'insère un deuxième doigt qu'il échappe une longue giclée de sperme dans mon palet. Et je lui fais l'honneur de bien enfoncer sa queue au fond de ma gorge pour lui donner la sensation qu'il baise ma tête. Dans de longs râles, parfois terminés en soupirs, il jouit bruyamment en se retenant à mes épaules pour mieux rester à genoux.

Une fois que j'ai bien tout avalé, il essuie les légères gouttes de sa semence restées à la commissure de mes lèvres et me les fais lécher au bout de son doigt. Il retourne lui aussi profiter du reste du spectacle, bien calé dans son fauteuil, sa coupe à la main.

Il en reste toujours un qui n'a pas joui. Il tient le coup, le petit coquin..


...voyons voir s'il résistera à ça.



À suivre



Mamz'Elle J xx




5.16.2013

Au Bal Masqué, cinquième partie



Généralement, j’aime qu’on prenne le contrôle, non seulement sur moi mais aussi sur la situation. J’aime me sentir portée sur l’envie de mon ou ma partenaire, mais ce soir, je ne voulais pas de ça. Je voulais avoir le plein contrôle sur tous les aspects.  Mais en même temps, je ne peux me soustraire à ce charmant et allumant état d’exaltation dans lequel je suis, à être comblée corps et âme par 6 mains, 3 queues, 3 bouches, la chaleur de tout ce harem d’adonis qui n’ont d’yeux que pour moi, je me dis que finalement, les laisser écrire le scénario de ce délicieux et terriblement intense moment ne serait pas non plus un faux pas.

Le temps passe, le désir s’accentue, les parfums embaument la pièce où flotte une odeur de sexe, de sueur, de plaisir. Je suis toujours sur le point de jouir, je gémis intensément en sentant glisser en moi une main presqu’entière sans difficulté. Des doigts inconnus branlent mon clito en feu, tellement gonflé d’excitation que je pourrais exploser seulement qu’avec un souffle sur la chatte. Me retenir devient difficile. Mon complice préféré sort sa queue de ma bouche et se branle au dessus de mon visage. Je lui demande d’attendre avant d’expulser sa semence sur mes joues devenues écarlates. Il me regarde profondément, prends ma gorge entre ses doigts et serre un peu. Ça y est. Il a trouvé mon point sensible. Ma véritable zone érogène. Je perds totalement le contrôle de tout. Du temps. De l’espace. Comment a-t-il deviné?

Il ne sait pas qu’il vient de réveiller la bête en moi.. ni qu’arrive l’orage sur ce lit encore en mode «préliminaire». On vient de passer à l’étape suivante.



Mamz’elle J xx

5.14.2013

Au Bal Masqué, quatrième partie

Mes hommes portent toujours leurs masques. Je ne perçois de leur visages que leur mâchoires et leurs yeux mais c'est bien suffisant pour m'exciter et me faire frémir.

Alors que le souffle chaud du premier candidat me chatouille l'entre-cuisse et que je sens sa langue longer le tissus qui sépare ses papilles de mes lèvres intimes, je sens la présence d'un autre homme à mes côtés. Il a eu le courage de se lever de son fauteuil avant même que je l'y invite! Petit vicieux.. c'est moi qui commande cette soirée. Et c'est aussi pour cette raison qu'il aura affaire à moi..

Mais je reste calme et concentrée sur sa belle queue qui se tient maintenant à quelques centimètres de mon visage. Il a mis un genou sur le rebord du lit et tient son sexe à la base, pointant ma bouche de son gland appétissant. Il me regarde prendre mon plaisir alors que je sens l'index de mon premier complice repousser le tissus imprégné de ma mouille sur le côté de ma chatte. J'étire le bras vers ce pieu et l'approche de mes lèvres. Ma langue frétillante le lèche sur toute sa longueur. J'ai les yeux fermés et je tente de m'imprégner de son goût à la fois salé, mais aussi un peu terreux. Mais une chaleur émane de cette tige de chair qui coulisse maintenant dans ma bouche gourmande. Je laisse ma salive enduire mon nouveau bonbon, pour le permettre de se complaire éventuellement dans ce milieu chaud, humide et confortable qu'est ma gorge.

Le spectacle se passe devant le troisième homme, toujours assis sur sa chaise, les yeux fixés sur le jeu qui se passe devant lui. Je ne vois que sa main droite bouger, caresser son pénis sur le point d'exploser tant il est excité. Il se mord la lèvre, cherche à ne manquer aucun détail du spectacle, attentif mais de moins en moins patient.

Les minutes passent, je sens que mon premier adonis insère deux, puis trois doigts dans ma chatte trempée.

Je demande au seul homme à ne pas figurer à la scène de s'approcher. Mon premier ordre: il doit lécher les doigts de celui qui, jusqu'à tout récemment avait entrepris de me fouiller l'antre. Un regard de peur, puis un relâchement. Je leur avais bien dit qu'ils devaient être ouverts à tout. Tout, incluant quelques contacts modérés entre eux. Je ne suis pas du genre à leur faire peur ni à les dépraver contre leur envie, mais de les faire repousser leurs limites rend le plaisir encore plus complet. Pour tout le monde.
Et les charmants adonis veulent tellement me faire plaisir, veulent tellement me plaire coûte que coûte. Alors.. le scénario se poursuit.

Il prend plaisir à me regarder dans les yeux en léchant les doigts de son collègue. Et ça me donne presque des chaleurs. J'ai maintenant 3 sexes érigés et gonflés à bloc, que pour moi, à portée de mains, de langue, de chatte..  pourquoi je m'en priverais?

Mon préféré s'avance encore plus près, passe un genou de l'autre côté de ma tête et enfonce son sexe dans ma bouche. Pendant que ma main gauche a agrippé le sexe du premier homme, c'est la langue et les doigts du deuxième qui tourbillonnent en moi. Sans y aller trop fermement, il sait exactement où me caresser dès les premiers instants.. Je sens sa langue descendre le long de ma fente, jusqu'à s'infiltrer à mon petit trou bien serré.. Il s'attarde à ma région pudique pendant que l'homme aux yeux trop bleu baise ma bouche doucement. Je sais qu'il aime entendre mon souffle se couper quand il franchit la barrière de ma gorge. Je sais que ça l'allume de me voir ainsi, sous son emprise en quelques sortes, alors que je me fais lécher le cul par un inconnu. Ma main n'a pas arrêté ses caresses sur le dernier arrivé. Je maintiens la cadence, tout en variant la pression de mes phalanges sur son pieu. Ce dernier sait exactement ce dont j'ai envie.
Et il me le démontrera quelques instants plus tard...

J'aime sentir mon chouchou me prendre la tête. Passer une main sous ma nuque, prendre mes cheveux, en tendre les racines, planter ses ongles dans mon cou. J'aime sentir sa queue toucher le fond de ma gorge, juste avant le gapping, juste avant qu'il ne soit trop tard et que je l'expulse. Le temps de m'y habituer et ce sera un problème que je n'aurai plus. Je me suis entraîné durant tellement de mois pour me débarrasser de mon gag reflex avec mon premier amant qu'il est devenu facile pour moi de passer par dessus. Mais ça, mon partenaire dans le vice ne le sait pas.. Pas encore du moins...

Je le laisse aller et venir, étirer ma salive de mes lèvres au bout de son engin. Il prend un malin plaisir à laisser  sa queue s'enfoncer dans le fin fond de ma bouche, en regardant s'infiltrer sa chair tendre centimètres après centimètres, par fierté ou par plaisir, je ne sais pas.. mais je lis dans ses yeux qu'il cherche à conserver le moment dans ses souvenirs.

Je sens à peu près au même moment deux doigts caresser mon aine, et je sais que ces doigts n'appartiennent pas au petit vicieux qui s'occupe déjà de mon cul. Peut-être par manque d'attention ou par désir inévitable, le deuxième homme, celui dont je tient la queue, a décidé de caresser encore ma chatte. Et je sens mon plaisir grandir en moi, alors que tous mes orifices ont maintenant trouvé un bon samaritain pour les servir.

Je ne veux pas libérer ma jouissance tout de suite. Mais il devient plus que clair que je dois remédier à la situation.

Et messieurs, même en sachant que celle qui dirigeait cette soirée c'est moi, ont réussi à prendre un peu le dessus...


Humm. Mais je leur ai  réservé le traitement choc.
Et ils le découvriront dans quelques minutes, juste après que j'aie enfin profité pleinement de ce petit jeu à 4..


À suivre...





Mamz'Elle J xx






 

Au Bal Masqué, troisième partie

Pour le deuxième candidat, il fallait que je vérifie quelque chose..

Son regard trop bleu, ses cuisses fermes, ses fesses parfaites me faisaient déjà fondre d'envie. C'est sans parler de sa queue bien dressée, épilée à la perfection, son gland bien dessiné et luisant... ça donnait franchement le goût de me mettre tout de suite à genoux devant lui, mais je devais me contenir un peu. C'est avec beaucoup d'effort que j'ai réussi à garder mon air impassible et que je lui ai demandé d'approcher un peu de ma bouche. Il avait une bouche large, des lèvres pulpeuses et une mâchoire carrée. Une belle gueule. Son regard en disait long sur son désir et il fallait maintenant qu'il me démontre son talent. Je voulais vérifier de quelle façon il embrassait.

J'ai senti son parfum, Acqua Di Parma, s'infiltrer de mes narines à mon échine quand il a penché la tête un peu vers la droite pour mieux joindre ses lèvres aux miennes.  Un baiser plus doux et tendre qu'attendu. Mais tellement prenant. Nos langues se caressaient doucement, j'avais empoigné sa nuque afin de le rapprocher davantage. À ce moment, j'aurais voulu qu'il glisse un doigt jusque sous ma culotte pour chatouiller mon petit bourgeon totalement éclot. Je me sentais faiblir. Je me sentais mouiller. Mon entre-cuisse se réchauffait.. mes joues aussi.

Le test passé, je lui ai fait un clin d'oeil. Et il a vite compris qu'il serait mon favori pour la soirée..


Le troisième candidat avait tout de l'homme hyper-sexuel. Un regard bestial, des mains puissantes, un sexe défiant les lois de la gravité, de bonne longueur, saillant, attractif, invitant. Cheveux en bataille, fraîchement rasé, il sentait l'homme. Le vrai. Il avait le corps d'un homme qui s'entraîne 6 fois semaine, pas nécessairement le genre d'homme que je regarde habituellement, mais un charme naturel émanait de cet être. Je ne voyais aucun autre des hommes alignés devant moi comme candidat potentiel. Les 7 autres auraient de toutes façon toutes les autres femmes à leur disposition, si le désir se faisait sentir de les baiser, pour le reste de la soirée..

De mon côté, j'ai amené les 3 adonis avec moi dans une autre pièce.
La chambre, grande et à l'éclairage tamisé, offrait une vue directe sur les buildings en lumière du Vieux-Port.
3 fauteuils étaient placés autour du grand lit king sur lequel un drap plat blanc était disposé avec quelques coussins gris et rouges.

Je me suis allongée sur le lit en faisant signe aux messieurs de prendre place dans leurs fauteuils respectifs.
D'ici, je pouvais détailler du regard toutes les facettes de leurs corps, de leurs visages, je lisais dans leurs regards et y percevais de bien belles choses.

Alors que je les regardais depuis quelques secondes sans dire un mot, je me suis mise à tester leur patience. Doucement, j'ai fait courir un doigt sur ma clavicule, léchant mes lèvres dans un mouvement langoureux. J'ai caressé le tissus de mon corsage, en insistant sur les courbes de ma silhouette, doucement, sans mouvement brusques. Il m'arrivait d'accrocher le regard dans celui d'un de mes partenaires de jeu, tentant d'attiser le feu qui brûlait déjà dans son abdomen. Ma main a descendu plutôt rapidement jusqu'à ma chatte, que je devinais déjà tellement trempée et prête. Mon index s'est dirigé vers ma fente, y a recueillis un peu de ma mouille et je l'ai approché de ma bouche pour goûter mon propre nectar.. Deux des trois hommes avaient la main sur leur sexe et se caressaient doucement tandis que l'autre exerçait un contrôle sur lui-même qui me fascinait. Il s'agissait du premier candidat choisi. J'ai répété le geste, fouillant mon antre pour récolter un peu plus de cyprine et j'ai fait signe à cet homme d'approcher.

Lentement, il s'est levé, appuyant son regard sur mes lèvres, montant sur le lit et il a léché mes doigts de façon délicate. Sa langue caressait mon doigt, léchant tout le jus qui s'y trouvait. Assidu à sa tâche, il m'a conquise. Je me suis couchée sur les coussins pendant qu'il léchait l'intérieur de ma jambe. Sa tête a tôt atteint la cible et alors que j'avais toujours ma culotte, il a entrepris de lécher goutte à goutte les centilitres de mouille absorbé par le tissus.

La chaleur et l'habileté de sa langue me déconcertaient. Ses doigts n'avaient pas encore joint les caresses que j'allais exploser sous l'emprise de ses talents...

Mais quelque chose a retardé un peu mes élans de plaisirs. Un parfum, une présence. Rien pour stopper complètement mon envie de jouir. Seulement, une autre opportunité s'offrait à moi...




À suivre..



Mamz'Elle J xx

5.08.2013

Au Bal Masqué, deuxième partie.


Alors que l'alcool coulait à flôts et que la tension coquine semblait gagner l'ensemble des invités, le DJ a annoncé mon arrivée. Tout en douceur, un maître de cérémonie me tenant par le bras, façon «gentleman» m'a conduite au centre de la pièce. Tout au long de mon parcours, je lançais des regards autour de moi. Tout était comme imaginé. Les convives avaient revêtus à merveille leurs plus beaux vêtements. Les couleurs, la chaleur de la pièce, les effluves me donnaient envie d'accélérer la découverte. Mais je me retenais. J'allais devoir franchir les étapes unes à unes. Et j'allais m'en délecter.

J'avais choisi de me présenter sous mon prénom, celui de Jade. Je me sentais confiante, en pleine forme, avec une énergie sexuelle à son comble. Je rêvais déjà à ce moment où j'allais devoir choisir mes invités VIP.  Je me doutais que ce serait plutôt difficile, puisqu'à ce moment précis, je les désirais tous. Tous. Sans exception. Quand ma présentation fut terminée, j'ai pris un verre aussi et les invités venaient se présenter à moi. Plusieurs femmes étaient très en beauté ce soir-là! Je voyais défiler des jambes très longues, des fesses parfaites, des seins toujours soutenus à la perfection par des ensemble de déshabillés à couper le souffle. Mais de toutes les personnes présentes dans la pièce, c'est moi que l'on désirait. C'est moi qui attirait les regards d'envie, par mon attitude, par le contexte, par les sourires incontrôlables que je faisais, les rires communicatifs que je laissais aller. Je resplendissais le bonheur, la confiance. Je me démarquais par mon habillement. Je me démarquais par ma présence. Par mon parfum qui, poussé par les phéromones, émanait de mon corps d'une façon jusque là inhabituelle. J'étais dans mon élément.


J'ai eu l'occasion de poser mes yeux sur des décolletés splendides, des pantalons de laine grise qui me renvoyaient des images pas très catholiques. J'y devinais des sexes tendus, des attributs sublimes, des invitations à engloutir ces queues entières et comme j'étais celle qui commandait en cette soirées de luxure, j'ai décidé que ce serait la première d'une longue série de perversités.

Alors que je me tenais au centre de la pièce, on a annoncé le début des festivités. L'un des maîtres de cérémonie m'a passé un masque sur les yeux. Les dix hommes que j'avais présélectionnés sont sortis de la pièce, ont enlevé leur pantalons et sont revenus devant moi. Lorsque j'ai enlevé le masque, je devais en choisir trois parmi les dix qui auraient le droit de me toucher. Devant tout le monde. À leur guise. Aucune limite imposée.

Je devais choisir ces hommes par leur attributs physiques. Tout ce qui me plaisait chez un homme se trouvait devant moi; une belle queue seyante, de jolies fesses rebondies, de belles épaules carrées, une mâchoire découpée.. Je n'en voyais pas plus. Et il ne m'en fallait pas davantage, pour que mes yeux s'arrêtent sans trop attendre sur les trois candidats de mon choix.

Déjà, leurs sexes au garde-à-vous me donnaient envie de m'agenouiller devant eux et les prendre en bouche les uns après les autres. Et j'en avais le droit! C'était ma soirée!

J'allais devoir annoncer aux trois élus de façon plutôt suggestives que je les avais sélectionné pour le prochain round.

Lentement, sur mes escarpins vertigineux, je ne suis approchée en laissant ma main parcourir tantôt un torse, tantôt un ventre, glissant le bout de mon gant de satin prune sur leurs peaux lisses. Je lançais des regards aguicheurs aux inconnus et à mesure qu'il répondaient à mes appels à la baise, je voyais leurs glands rougir et gonfler jusqu'à ne plus pouvoir.

Mes trois futurs complices réagissaient à merveille. Personne ne se doutait encore du choix final. J'effleurai alors le sexe tendu du premier..

Un homme comme je les aime.
Visage plutôt carré, des traits assez durs, barbe de plusieurs jours.
Au bas du corps de de spécimens, une queue non-circoncise, de large et de grandeur moyenne.
Elle se présentait d'ailleurs à moi dans une position plutôt invitante, mais ce qui m'avait séduite, c'est la légère goutte de liquide pré-éjaculatoire qui pointait tout au bout de son gland.
J'approche le nez de son corps.. parfum plutôt musqué, aux effluves de poivre, de chêne, de cuir, ravive en moi l'envie de m'approcher si près de lui que nos peaux ne formeront qu'une.
Je l'embrasse doucement sur les lèvres. Lui glisse à l'oreille qu'il peut rester ici.
Je sens se dessiner un sourire sur ses lèvre pleines et charnues..

Le premier candidat choisi, il n'en resterait que deux. J'avais déjà une idée de qui serait le deuxième. Mais.. je devais vérifier une chose...






....à suivre






5.07.2013

Au Bal masqué, première partie.

Un beau soir, début septembre, nous sommes réunis dans un grand condo très moderne du Vieux-Montréal avec une immense terrasse adjacente à l'appartement. La vue est imprenable et l'ambiance est à son comble.
La soirée a commencé vers 22h, alors que la musique de type «lounge» embaumait la pièce du hall au balcon. Les invités entraient, habillés selon le code prescrit. Et si les vêtements se devaient d'être noirs, gris ou jaune, les visages se devaient d'être couverts.. et tout le monde devait être parfumé.

J'avais au préalable choisi une quinzaine d'invités à partir de profils plutôt brefs, chez les hommes; caractéristiques physiques telles la taille, le poids, la taille du sexe et le parfum. Ces messieurs pouvaient être accompagnés, mais ce n'était pas obligatoire. Ils connaissaient les grandes lignes de la soirée, mais je souhaitais aussi, et surtout, qu'ils gardent en tête que tout pouvaient arriver, tant aux hommes qu'aux femmes. Ils et elles devaient garder l'esprit ouvert.

À la porte, on distribuait le vin aux invités. Mes maîtres de cérémonie avaient de beaux habits gris , qui leur dessinait des fesses parfaites et une chemise blanche. Le tout rehaussé d'accessoires jaune, pour s'harmoniser au reste des convives.

De très grands sofas étaient soigneusement placés afin d'accueillir les participants à la soirée. Bientôt, nous en sommes arrivés à trente personnes environ et nous avons décidé de débuter.

Depuis leur arrivée, personne n'avait eu l'opportunité de me voir. Tout ce temps, j'étais dans une pièce fermée où je finissais de me préparer. Pendant qu'une copine terminait ma coiffure, j'enfilait mes bas et les attachait sur les jarretelles de mon corsage de couleur prune, serti de petites pierres du rhin et de légères chaînes au niveau des seins. Une culotte assortie venait compléter mon habillement affriolant. J'avais enfilé mes plus beaux escarpins à bouts ouverts, noirs avec un détail de dentelle sur le soulier. De longues boucles d'oreilles scintillantes venait encadrer mon visage, parfaitement maquillé. Mes yeux étaient en valeur plus que jamais, sous le fard ambré et les faux-cils que l'on m'avait installé en début de soirée. J'avais envie de profiter de toute cette soirée inoubliable et j'avais délégué les préparatifs de mon look à deux excellents professionnels. Même chose pour la musique et la décoration. Chaque détail comptait et je voulais que tout, absolument tout soit parfait.

Le stress me gagnait un peu plus chaque secondes. Je visualisais depuis des semaines cette nuit de frivolités, de perversité, de délices. Je m'étais fait des attentes très hautes, surtout sachant que les profils choisis me donnaient une encore meilleure raison d'espérer que ce soit magique. Moins de dix minutes avant mon entrée en scène. J'entendais des rires, des murmures de l'autre côté de la porte. Je savais que déjà, les convives faisaient connaissance et étaient excités. Mais.. je n'avais pas encore dit mon premier mot...