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5.29.2013

Au Bal Masqué, huitième partie

Il cachait son côté bestial cet homme.
Mais je ne m'en plaignais pas.

Premier assaut, alors que je suis à quatre pattes au dessus de son érection digne d'une merveille du monde, il agrippe ma nuque et me pousse à l'avaler encore plus. Je tombe littéralement et je sens sa queue transpercer ma gorge, venir s'appuyer sur mon pharynx et m'étouffer. Un haut le coeur. Je me relève brusquement en toussotant, surprise de la réaction de mon corps. Il me regarde profondément, me gifle encore. « Je t'ai dit de te relever?»

Il reprend mes cheveux entre ses doigts et revient à la charge en m'ordonnant de garder la bouche bien ouverte pour qu'il puisse entendre le bruit que fait ma gorge autour de son sexe. Ça semble beaucoup l'exciter. Il tient ma tête, baise ma bouche comme il le ferait pour ma chatte, sans pudeur, sans douceur. Je sens ma salive s'écouler à petites gouttes sur son aine, puis sur le drap. Bientôt, la quantité de salive s'accentue.

«Prends la petite goutte de liquide sur le bout de ma queue et joue avec. Étire-la de tes lèvres à mon gland et je ne veux pas que tu en échappe la moindre parcelle.»

Je m'exécute, appuyant mon regard dans le sien. Laissant s'étirer à l'infini cette goutte translucide et je m'applique à le rendre hyper fier et excité. Quand il en a eu assez, il me dit «Ok salope, lèche-la et vient m'embrasser. Je veux goûter aussi.»

Il embrasse merveilleusement bien. Un délice. Je le laisse prendre possession de mes seins comme s'ils ne m'appartenaient plus. Il prend sa coupe de vin, l'approche de mes lèvres et me fait boire. Me sourit. Me fais sentir femme et désirée. Je vois du coin de l'oeil les deux autres compagnons, les yeux hagards, la bouche ouverte, les mains astiquant les membres fièrement durcis. un délice pour les sens. Il me fait m'agenouiller au bord du lit., dépose mes mains sur le matelas.

Je le sens s'éloigner de moi, il cherche le vibro de tout à l'heure. Il écarte mes cuisses. Du coup, l'un des deux autres hommes se lève et vient prendre place devant moi, à genoux. Je ne peux résister à sa queue devant mon visage. Je le prends, le suce comme si ma vie en dépendait. Je sens s'appuyer sur ma chatte le vibro et dans mon excitation habituelle, je suis déjà sur le point de jouir. Il me le donne. M'ordonne de me l'appuyer sur le clito et de ne pas jouir.

Mais le jeu prend une forme très intense, lorsque je sens une ceinture de cuir sous ma gorge.
Oh. Mon excitation prend des allures de panique. Mon préféré, toujours assis sur la chaise, se relève, vient nous rejoindre sur le champ. Peut-être pour mieux me protéger advenant une situation dangereuse.

Je sens l'amant investi de sa ceinture derrière moi, passant la main sur mon cul offert. Il tient la ceinture avec une main de fer. Il recule un peu ma gorge pour me faire sentir sa présence et son pouvoir peut-être.. Il est calme, aucune animosité. Sa main remonte à mon dos, mon épaule, redescends sur ma croupe, doucement, caressant mon épiderme. Puis, dans le silence le plus complet, une main s'abat sur ma fesse. Clap!

Je geins. La queue dans ma bouche devient ma préoccupation pour enrayer la douleur. Je continue de sucer comme la salope que je suis pendant que mes yeux se remplissent de larmes. L'homme qui remplit ma bouche me flatte le front, comme pour me rassurer. Ça fonctionne. Pour un temps.
Clap! Encore une fessée, sur l'autre côté cette fois-ci. Puis trois autres. Clap clap clap!

Toujours plus fort. Dans ma position, j'ai l'impression qu'il y met toute sa force. J'ai du mal à me tenir fermement sur la main qu'il me reste. Il tire la ceinture vers l'arrière. Je suis à bout de nerfs. Je déglutis difficilement, toute mon attention maintenant focussée sur la douleur de mon cul.

Jusqu'ici, je m'étais interdis de crier, ou même de laisser entrevoir la douleur que j'éprouvais sous quelque forme que ce soit. Mais lorsque sa dernière fessée se fait sentir, je laisse un petit cri de douleur transpercer le silence. J'en peux plus. Je suis à bout de souffle. Sa ceinture me lacère la peau. Il passe sa main doucement sur mes rougeurs.. puis descends vers l'arrière de mes cuisses.. Il passe un doigt de long de ma fente. Je suis vraiment très très mouillée. Je me surprends à être si humide. Lui même me le fait savoir, lorsqu'il recueille un peu plus de mon jus pour venir l'essuyer sur ma langue.

«Suce-moi les doigts. Nettoie ta mouille. Vois comme tu goûtes bon.»

Je m'exécute. Docile. La ceinture toujours trop appuyée. Les yeux mi-clos.
Je me sens souillée. Il glisse ensuite ces deux même doigts bien profondément dans ma chatte. Bonheur éphémère. Il les ressort et les glisses sur mon petit trou serré, qui s'ouvre et se dilate sous ses caresses circulaires. Pour un moment, je me sens bien. Je ressens le calme. Les trois hommes sont tout près. Mon préféré se branle à mes côtés, l'autre est dans ma bouche, le troisième s'occupe de mon cul. Mes larmes ne coulent plus.

Je sens le bout de la queue de mon tortionnaire forcer l'entrée de mon cul.
Il a l'air plus que déterminé à y entrer. Et je ne peux l'empêcher de toutes façons.
Où cela nous mènera? Je commence à avoir un peu peur...


Pour me faire oublier la force de sa grosse queue qui s'insère en moi, il me griffe la cuisse.
Suffisamment fort pour que je sentes une douleur aigüe. Je devine qu'il est allé fort, quand je sens un peu de sang s'écouler sur ma cuisse.. puis sur mon genou.. Il sort de mon petit trou. Ça est y, je ne respire plus suffisamment bien. Il relâche la ceinture. Je me sens revivre, littéralement. Il se recule et fait le tour du lit pour retourner s'asseoir sur son fauteuil, fier d'avoir bien préparé le terrain à autre chose..


Je me lève un peu du lit.. Pendant ce temps, l'homme à genou se glisse sur le dos et me prend par les hanches pour que je m'empale sur son sexe. Enfin un peu de tranquillité.
Je le sens me faire l'amour doucement. Il essuie le sang qui coule encore de ma blessure sur le drap. Prends mes seins dans ses mains. Je descends mon corps contre sa poitrine. Et c'est mon préféré qui vient juste derrière moi, debout au bord du lit, un peu de lubrifiant sur la queue et il s'insère facilement dans mon cul. Comme une chorégraphie, les deux membres glissent en moi en laissant un frisson monter le long de ma colonne. Je ne ressens que du plaisir. Pur. Simple. Je me sens remplie. Je me sens salope. Mais je me sens bien..



Et les coups de hanches continuent..






Mamz'elle J xxx











1 commentaire:

  1. Je vais commenter ici, même si tu m'a rejeter de ton twitter....
    Tu es vraiment une merveilleuse petite salope. Et pour moi c'est un grand compliment. Le genre de salope dont tous les jomme rêve. Tu écris merveilleusement bien, je dirais même que tu écris merveilleusement bien pour les hommes... car il est évident que tes histoire nous sont destiné. Tu veux faire bander les hommes, nous provoquer avec tes histoire et je dois te dire que tu réussi de bele façon!! Et je suis certain que tu réussi aussi bien en personne qu'en écrit. Pour qu'un femme écrive aussi bien l'érotisme que tu le fais, il faut qu'elle le pratiquer d'aussi belle façon, je suis certain. Quelques soit ton apparence et ton poids ;), je te confierais ma queue avec bonheure car je saurais qu'en douceur ou en te comportant comme une petite chienne, tu me ferais jouir avec ampleur :)

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