J'étais assise dans mon taxi.
Je n’étais pas sortie de la cour de la salle de quilles que déjà,
je lui avais envoyé un message texte.
«Mathieu,
«Mathieu,
J’ai très envie aussi
de te déchirer ton costume affreux de vampire de sur le dos.
Rejoins-moi à mon appartement.
Je n’enlèverai rien tant que tu n’y seras pas.. je te laisse le loisir de faire ce que tu veux de mon costume.
Et de moi.
Rejoins-moi à mon appartement.
Je n’enlèverai rien tant que tu n’y seras pas.. je te laisse le loisir de faire ce que tu veux de mon costume.
Et de moi.
Je t’attends.
Jade xx»
Jade xx»
Vingt secondes ont suffi pour qu'il me réponde.
«J'arrive.»
J'ai eu peur. J'ai eu honte. Mais finalement, s'il acceptait mon invitation, je n'avais rien à craindre. Désormais, j'en étais certaine. Je le voulais plus que tout. Seulement pour la nuit. Pour soulager cette envie. Pour en finir avec nos non-dits, nos avances implicites, nos jeux de séduction.
J'ai eu peur. J'ai eu honte. Mais finalement, s'il acceptait mon invitation, je n'avais rien à craindre. Désormais, j'en étais certaine. Je le voulais plus que tout. Seulement pour la nuit. Pour soulager cette envie. Pour en finir avec nos non-dits, nos avances implicites, nos jeux de séduction.
Il a attendu quelques minutes puis, c’était son tour de jouer au grand comédien au milieu de cette foule d’employés, s’excusant auprès de tous de devoir partir, feignant un mal de bloc à cause de la machine à glace sèche. Le party était trop bien parti pour que quelqu’un cherche à le questionner davantage et il s’est éclipsé lui aussi.
Il a pris à son tour le premier taxi qui passait par là et
est venu me rejoindre à mon appartement. Durant son parcours entre la salle de
quille et mon domicile, il m’envoyait des textos salaces, me donnait un aperçu
de ce qu’il avait envie de me faire.
Sitôt arrivé en bas de mon bloc, il a appuyé sur mon numéro d’appartement. La porte était déjà débarrée. Il a monté les escaliers deux par deux jusqu’en haut où il est arrêté net devant ma porte entrouverte.
Il a figé. J’ai pensé qu’il regrettait. Qu’il se rendait compte qu’il ne pouvait pas faire ça. Que les 3 étages l’avaient raisonné. Mais au contraire.
«J’entre à une condition.»
Sitôt arrivé en bas de mon bloc, il a appuyé sur mon numéro d’appartement. La porte était déjà débarrée. Il a monté les escaliers deux par deux jusqu’en haut où il est arrêté net devant ma porte entrouverte.
Il a figé. J’ai pensé qu’il regrettait. Qu’il se rendait compte qu’il ne pouvait pas faire ça. Que les 3 étages l’avaient raisonné. Mais au contraire.
«J’entre à une condition.»
-Oui, laquelle?
- Tu m’as dit que je pouvais faire tout ce que je voulais de
toi?
- Oui Maitre.. lui dis-je avec un petit sourire
- C’est ce que je ferai..
J’ai ouvert la porte et commençait une nuit de débauche torride.
J’ai ouvert la porte et commençait une nuit de débauche torride.
Et ça commençait drôlement à mon avantage..
Mamz’elle J xx
Personne peut te lire sans se toucher!
RépondreSupprimerOu alors c'est qu'il n'a pas de mains!