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8.28.2013

J'aime la rentrée

Le cours magistral est plutôt plate. Pas tellement le genre de «3 heures» dans ma semaine qui m’amène à rester totalement éveillée et motivée. Tu nous présentes des diagrammes au tableau, des formules que je ne comprends pas vraiment. Le tableau périodique au mur n’est pour moi rien de plus qu’une palette de couleurs avec des chiffres illisibles d’ici. Je m’ennuie grave.. Je tente de rester alerte, mais rien n’y fait..

Je me mets alors à rêvasser. Dans ma tête, nous sommes maintenant 2, puis 3.. je repense à ces souvenirs voluptueux, à ces corps vacillants l’un sur l’autre alors que la musique et le vin nous grisaient. Alors que les dentelles avaient fait place à la peau nue.. Et je t’imagine dans la peau d’un des personnages de ma rêverie sensuelle, question d’alimenter de façon plus constructive ce cours interminable… Mes yeux s’arrêtent souvent sur ton jean, sur ta fourche. Je me plais à imaginer, à palper du regard, à mesurer intérieurement la longueur de ta verge, la largeur de ta belle queue. Je nous imagine à ton bureau, la porte entre-ouverte alors que tu me donnes des explications sur la matière que visiblement je n’aurai pas assimilée durant mes rêves éveillés. Quand je tenterai de sentir ton parfum. De t’effleurer la cuisse très subtilement. De te regarder directement dans les yeux te disant que le bruit dans le corridor nuit à ma concentration juste avant que tu fermes la porte..

Je me lève avec mon sac à main et me dirige vers la porte discrètement. Sous ma jupe se cache une culotte de dentelle que j’enlève juste avant de m’insérer un petit plug et mes boules chinoises. Oui, je les traîne toujours dans mon sac à main. Qui sait quand ça peut servir..

Je refais un peu mon maquillage, me coiffe un peu et défais un bouton de plus sur ma chemise de soie. Je dévoile un peu mon soutien-gorge rose pâle et son détail de dentelle noire.

Quand je reviens m’installer en classe, tu ne me regardes pas vraiment. Lorsque je m’assois, je fais un léger mouvement de hanche pour faire remonter un peu ma jupe. Pas trop. Mais assez pour que si ton regard vienne à se poser sur mes cuisses, tu chercherais à voir les millimètres qui te séparent de mon secret. Puis le jeu commence…

La demi-heure qui suit en est une de lutte. Une lutte pour avoir ton attention. Je veux que tu me regardes. Que tu découvres la courbe de mon sein à travers le tissu transparent de mon chemisier. Que tes  yeux flattent ma peau et cherche à savoir qui je suis…

Et comme tout homme, il me ne faudra pas plus de temps pour capturer ton attention, bijou précieux que je ne laisserai pas filer. Il te faudra descendre à mes cuisses, quand d’un mouvement lent je lèverai un peu la jambe droite pour caresser la gauche d’une peau douce et fraîchement épilée de la veille. Ton yeux découvrira mes orteils peints de rouge et ma chaîne de pied brillera sous un rayon des luminaires trop blancs du plafond.

Le but est atteint quand je sens brûler ma chatte d’excitation. Pas de dentelle pour retenir mon plaisir. À me dandiner sur ma chaise de la sorte, je fais bien rentrer et bouger le plug bien encré dans mon cul. J’adore. Je suis une vraie exhibitionniste. J’écarte un peu les jambes sans te regarder, faisant comme si je n’étais pas coupable de jouer à la salope. Dans la salle de classe, les élèves travaillent sur un exercice de calcul mais moi je fais semblant d’écrire. Je sais que tu me regardes. Je sais que tu me vois me mordiller la lèvre inférieure, fermer les yeux, respirer plus profondément et arquer les hanches..

Je relève la tête au bout d’un moment. Tu me regardes en plein dans les yeux. Tu souris un peu. Je me donne un air de petite fille et flanches finalement en te rendant un sourire. Tu as quelque chose dans l’œil qui me fait comprendre que tu sais.. Le genre de sourire qui me ment pas.. L’étincelle dans l’œil qui rend complice. Je continue de me déhancher un peu et mordant ma lèvre inférieure encore une fois, je feins une jouissance en fermant les yeux.. Je comprends que tu sens poindre la petite larme de l’homme excité. Mais pas au niveau de l’œil..



Mamz’elle J xx


8.27.2013

Petit blues d'automne..

On aurait pu habiter si près l’un de l’autre qu’en prenant nos cafés le matin, nous nous serions vus en pyjama sur nos balcons respectifs. Nous aurions pu avoir sensiblement le même âge, les mêmes aspirations, les même acquis, la même vie ou presque dans une banlieue de Montréal où tout le monde possède sa piscine et son tracteur à gazon. Nous aurions pu être issus du même rang social, avoir été à nos cours de psychologie universitaire ensemble, avoir assisté aux spectacles de fin d’année de nos enfants à la même école, roulant des yeux quand nous sentions arriver le concert de xylophone des plus jeunes… Mais la vie a décidé de nous faire croiser le chemin l’un de l’autre et pourtant, tout nous éloignerait si nous n’avions pas tissé une petite partie d’éternité ensemble. Je suis début vingtaine, fière habitante de la Capitale Nationale et je ne sais pas où le destin me traîne. Tu es début quarantaine, payeur de taxes scolaires quelque part de l’autre côté du fleuve, avec une femme et des enfants prodiges. 

Est-ce que ça a un sens tout ça? Est-ce qu’après 3 ans, notre couple illégitime est voué à un déclin tranquille, une perte de vitesse, le résultat d’une lâcheté des deux membres au profit de mieux, de plus beau, de plus grand, de plus «souvent».





Je ne crois pas. Les histoires d’amour entre deux êtres se voyant si peu souvent finissent toujours par échapper aux griffes de ce quotidien astringent, oui. Nous n’aurons jamais à faire face à une routine de Métro-Boulot-Dodo parce que nous n’habiterons jamais ensemble. Nous ne nous disputerons jamais pour savoir qui de nous deux devra se lever au petit matin pour donner à boire au nouveau-né… Nous n’aurons pas à faire face aux visites dans la belle-famille, aux soirées entre amis qui finissent mal, à la cohue du retour en classe de nos kids, pas plus qu’à la course contre la montre pour aller porter les enfants à leurs activités parascolaires à 6h le matin. Mais tu vois, si nous nous étions rencontrés il y a 20 ans de ça? Si j’avais eu ton âge, si tous les paramètres auraient été là, est-ce que je ne serais que ton amante?

Qui suis-je au fond, que la jeune femme que tu verras 8 fois par année, qui te videras les couilles jusqu’à la dernière goutte, qui te prêtera sa gorge et ses seins en échange de passion amoureuse et de baisers langoureux... Je ne doute pas de tes sentiments pour moi quand je dis ça.. ce n'est pas une provocation, mais plutôt un jeu de questions.. Est-ce que je resterai toute ma vie accrochée à toi comme mon cœur l’est présentement, à chercher partout une occasion de trouver le réconfort de ton parfum, du vert de tes yeux, du goût salé de la sueur sur ta peau après l’amour.. Vais-je rester celle qui au fond d’elle-même se sentira toujours comme la petite fille que tu prendras dans tes bras quelques heures par mois quand la vie nous sera généreuse, pour la rassurer et lui dire que tu l’aimes aussi, que je te manque, que tu voudrais qu’on se voit plus souvent mais que c'est pas facile avec tout le train-train et tout... 

À chaque fois que tu pars vers un autre ciel, mon bel oiseau, je me sens un peu flouée. Parce que je sais que l’amour que je te porte est trop grand pour que je te l’offre en mains propres qu’une fois par deux ou trois mois. Et qu’on ne partira jamais en vacances ensemble. Que le mieux que j’aurai dans ton agenda, si le karma nous en laisse le droit, sera un weekend à l’hôtel, à se méfier des passants qui pourraient te reconnaître ou me reconnaître quand on sortira de notre chambre embaumée par l’odeur du sexe et du vin... Le mieux que l’on pourra aller chercher de notre weekend sera l’impression de s’être enfin accordé du temps ensemble, d’avoir cédé à nos pulsions et à s’être communié une émotion profonde malgré la fatigue et la minuterie qui jouera contre nous. Au final, quand la fin du weekend arrivera et que ce sera bientôt l’heure de repartir chacun sur notre rive, tout ce dont mon cœur sera rempli, c’est de chagrin et de peur. Et d’envie de remonter à la chambre pour que tu me prennes une dernière fois. Juste une fois.. 

Tu le sais que les au revoir  sont toujours aussi déchirants. Tu me connais trop bien pour savoir exactement quand ma lèvre commencera à trembler et que je retiendrai mes larmes aux coins de mes yeux dans le lobby de l’hôtel, dans le  stationnement sous-terrain, sur le siège de ta voiture… tu ne te doutes pas du nombre de fois où je me suis réfugiée sous la douche pour pleurer toutes les larmes de mon corps, inconsolable, au retour d’une journée avec toi. L’intensité du bonheur que j’ai en passant la main dans tes cheveux n’a d’égal que la douleur profonde de mon cœur émietté une fois que ton auto n’est plus visible de ma fenêtre. 

Je t’aime mon chéri. Je t’aime. Peut-être trop. Peut-être mal. 

Je ne sais pas. Comment peut-on aimer un homme qui porte un jonc qu’on ne lui a pas nous même offert? Comment peut-on aimer un homme qui immanquablement retournera auprès d’un autre corps la nuit tombée? C’est difficile. Je sais que je peux encore tenir le coup. Je le fais parce que j’en arrive à oublier qu’au fond de moi, le désir de te retrouver me consume. Je le fais pour toi. Et pour moi. J’ai compris la nature de mon engagement envers toi il n’y a pas si longtemps en fait.

Au départ, je ne me doutais pas de tout ce qui nous arriverait. Ce à quoi nous allions être confrontés. Si tu me demandes avec du recul, si j’étais prête à mes 20 ans à te faire autant de place dans ma vie que je ne le fais depuis, en sachant que je n’étais pas et que je ne serai jamais la première dans ton cœur, je n’aurais jamais accepté. Mais force est d’admettre que c’est quand même ce que la vie me réservait… et plus ça va, plus ça fait mal.  



Mamz'elle J xx

8.26.2013

Notre première fois..

Tu me demandes parfois de te décrire comment j’entrevois notre première rencontre plus intime. Je te dis chaque fois que ce genre de moment peut prendre plusieurs formes selon le mood, le temps que l’on aura et les intentions de chacun de passer à l’étape suivante. Bien sûr, je sais que ma réponse ne te plait pas à 100% alors je me l’imagine plus sérieusement aujourd’hui, pour ton plaisir et le mien.

Juste après le travail, tu viendrais me rejoindre à l’extérieur dans le grand stationnement. Armée d’une bouteille de blanc et de quelques bouchées, je te ferais monter dans ma voiture pour t’amener à un endroit mystère, pour un gentil 5 à 7. Je t’amènerais en plein air, à un endroit que j’affection particulièrement, à l’abri des regards, mais dont la vue sur le Fleuve et sa rive fait tomber la mâchoire..

Installant une grande couverture, tu nous servirais deux verres de vin et je sortirais les petits canapés dans lesquels j’aurais mis tout mon talent culinaire. Nous commencerions par nous faire la conversation, tout bonnement en apprenant à se connaitre un peu mieux. On va se l’avouer, même si ça fait près d’un an que l’on s’écrit et que l’on a discuté ensemble 2 ou 3 fois, on a encore tellement à se laisser découvrir.

Lentement, nous nous laisserions griser un peu par le vin frais, la gêne tomberait et tu me révèlerais des trucs hyper intimes auxquels je ne m’attendrais pas.. L’automne se pointant, j’aurais enfilé une paire de bas collants sous ma jupe de jean ajustée et un chandail de laine plutôt simple. Mais même la froideur du plus éreintant hiver ne m’aurait fait enfiler une culotte et un soutien-gorge..

Au rythme des confidences, ta main aura frôlé ma jambe et la mienne aura caressé tes cheveux. La température extérieure aura pris une tangente différente de celles de nos deux corps et nous nous rapprocherons lentement. Tes lèvres trouveront les miennes, je me rapprocherai de toi, sentant ton parfum, agrippant ton dos pour m’en approprier le territoire. Ta nuque réchauffera mes doigts pendant que je te chevaucherai encore toute habillée et ton nez fouillera mes cheveux pour t’en approprier l’odeur..

Au travers de mon chandail pointeront mes mamelons bien érigés. Tu ne te gêneras pas pour caresser mes seins en embrassant mon cou. Une vague de désir te submergera et tu glisseras une main sous mon chandail pour sentir la chaleur de nos deux peaux ne faisant qu’une.
Je rougirai de plaisir sous l’emprise de tes caresses encore un peu maladroites. La découverte d’un corps inconnu est une chose tellement poétique et intime à partager..

Tu me demanderas de te sucer. Ton œil s’illuminera. Mon sourire de gamine cochonne poindra sous mes cheveux en broussaille et d’une main experte je détacherai ta ceinture. Mes frissons les plus intenses n’auront aucune corrélation avec le vent frisquet du début d’automne..
La bande élastique de ton boxer ligné apparaîtra. Le moment le plus exquis.. Découvrir ce que tu me caches depuis tout ce temps.


Une belle queue, moulée par le tissus extensible de ton sous-vêtement appellera la chaleur de ma bouche. Je saurai par ta façon de bouger que tu n’en pourra plus d’attendre que je te prenne complètement, mais j’aime retarder le plaisir.. je suis comme ça..

Tu abaisseras ton boxer en levant un peu les hanches. À moitié nu sur une couverture en plein-air, tu auras peur qu’on nous voit. Mais je t’assurerai que tout ira bien.. En fait, j’en saurai rien, mais je le souhaiterai autant que toi.. et puis au pire, on s’en fout!

Ton sexe érigé dans le vent d’août me fera imaginer le pire.. ou le meilleur, c’est selon!
Je l’empoignerai, le réchaufferai de ma main assurant un va-et-vient que tu adoreras. Bientôt ta peut du risque se transformera en abandon total. Après un moment à te regarder fermer les yeux sous la douceur de mes caresses, j’approcherai les lèvres et les fermerai sur la circonférence de ton membre solide. Ma langue en léchera la longueur et j’enduirai de salive l’objet de mon désir avant de te sucer pendant de longues minutes, palpant tes couilles de temps en temps, en te laissant soupirer de bonheur et tenir mes cheveux. Je te sentirai sur le point de jouir à de nombreuses reprises, mais ne te laisserai jamais jouir sur ma langue.. du moins, je repousserai l’orgasme tant que je le pourrai.. À quatre pattes sur les roches pour te donner du plaisir, ma jupe se relèvera d’elle-même, laissant libre accès à mon entre-jambe plus qu’humide.. et quand tes doigts trouveront la chaleur de ma chatte sous le tissus fin de mon bas, tu perceras du bout des doigts la fibre du tissus pour insérer une, deux.. puis trois phalanges. Je te laisserai faire. Je gémirai en continuant de te lécher.. quand entre deux coups de langue sur ta queue, j’en donnerai un sur tes doigts imprégnés de ma mouille..

Comme toute bonne chose a une fin, tu ne pourras plus te retenir bien longtemps. Je te laisserai jouir dans mes joues en de longue saccades pendant que je m’appliquerai à sucer ton gland une dernière fois pour y en extraire tout le jus de plaisir que tu m’offriras. Un dernier langoureux coup de langue, de la base à la tête de ton sexe et je me relèverai, sentant s’infiltrer le vent sous ma jupe.. Tu m’embrasseras, me tendras le bord de ton verre et j’y boirai en te fixant.

Quelques minutes encore à profiter l’un de l’autre. Tu me joueras dans les cheveux pendant que je me coucherai sur tes genoux. Tes doigts sentiront moi. Pour combien de temps encore..

Bientôt, le moment fatidique où nous devrons rentrer à la maison se pointera.
Est-ce que tu me redonneras rendez-vous ou pas? À toi de voir si tu en as envie.. et je déciderai si tu le mérites!



Jade xx 

8.11.2013

Songes d'un soir d'été, qu'il disait..


Un rendez-vous que l'on remettait depuis des lunes.. en tous cas, au moins depuis Noël! 
Ça a commencé par un café bien innocent. Assez innocent et vide de sens pour que le nom de ce dernier soit «Orgasme».. 

Nous nous sommes réfugié au troisième étage de ma Brûlerie favorite, avec le sourire aux lèvres et ma timidité habituelle, bien entendu. 



Il m'a fait parler de choses et d'autres, brisant la glace de la conversation en lui racontant l'historique de mon seul et unique tatouage. Puis je lui ai posé des questions sur sa vie, ses passe-temps, ses idéaux... rapidement la chimie a opéré. Après le café, une marche de 2 heures dans les rues de St-Roch. Des découvertes artistiques, des déclarations perverses, des secrets dévoilés et des questions indiscrètes. Nous sommes atterris au Parc St-Roch pour poursuivre et un peu terminer la conversation au bruit de l'eau qui coulait quand il m'a surpris en m'embrassant spontanément. 

Mais avec les confessions que je venais de lui faire, il connaissait mon point faible.. ma gorge... 




et il en a profité. 

Une histoire à suivre.. peut-être!..

Mamz'elle J xx

8.07.2013

Fantasme orgiaque, partie 2

Ses ongles s'enfoncent dans mes cuisses lorsque le plaisir la submerge. Elle s’assoit littéralement sur mon visage, ne me laissant qu'à peine respirer durant les caresses buccales que je lui procure. Elle appuie sa chatte de tout son poids et m'abreuve d'une gorgée de son nectar sucré. Quand elle se relève, je garde ma langue sur sa chatte jusqu'au dernier moment. Elle approche sa bouche de la mienne et suce ma langue pour se goûter à travers ma salive. C'est divin. Elle est empreint de douceur comme d'intensité.. elle me rappelle moi.


Mon cul est toujours occupé par l'objet de métal dont j'ignore la forme, mais dont je devine un peu la taille. Même un forçant un peu, je ne peux en faire sortir le moindre centimètre. Mais la sensation du métal qui se réchauffe dans mon petit trou et qui prend place est délicieuse.

Puis, je t'entends me demander si je suis satisfaite de mon début de soirée. Je ne réponds que d'un sourire et tu comprends en déposant un baiser sur mon front. Passant deux doigts le long de ma fente, j'entends le bruit de ma mouille. Tu les portes à ma bouche. Tu sais que j'adore lécher tes doigts quand le jus de mon excitation couvre tes phalanges. Je les lèche, les suce, tente de ne laisser aucune trace...

Puis voilà que tu pose à ton tour un genou de chaque côté de ma tête en pénétrant ma gorge de ta queue plus gonflée qu'elle ne l'a jamais été. Tu joues avec le jouet de mon cul pendant que du bout de la langue, je caresse doucement ton manche enfoui dans ma bouche. Mais une autre demoiselle se joint à nous en venant écarter tes fesses pour lécher ta rose pendant que tu baises ma gorge. La chaleur de son haleine, se rendant à mon visage dominé par tes jambes de chaque côté de ma tête, suffit à me faire frémir. Ton gland racle ma gorge. Je sais que ça t'excite d'entendre ma respiration s'arrêter. De sentir les soubresauts de mon pharynx sur ton sexe pendant que mon corps tente d'expulser ton sexe de mon orifice buccal. De me savoir totalement à ta merci et que ça me plaise autant. Je sens que tu veux t'insérer de plus en plus loin. Tes couilles s'écrasent contre mon nez et je t'entends râler comme une petite pute quand la langue de notre complice atteint une zone de plaisir. Tu te relèves un peu sur moi et pour accentuer le plaisir, tu passe ta main sur ma gorge pour sentir ta queue encore plus à l'étroit. Quelques secondes plus tard tu te déverses dans tes jets abondants de sperme et rempli ma bouche. J'avale tout comme tu aimes me voir le faire. J'ai encore les yeux bandés et je meurs d'envie de voir tes yeux s'illuminer suite à l'orgasme que tu viens de vivre. Je veux partager ce bonheur. Tu détaches mes chevilles et mes mains, doucement..