Le cours magistral est plutôt plate. Pas tellement le genre
de «3 heures» dans ma semaine qui m’amène à rester totalement éveillée et motivée.
Tu nous présentes des diagrammes au tableau, des formules que je ne comprends
pas vraiment. Le tableau périodique au mur n’est pour moi rien de plus qu’une
palette de couleurs avec des chiffres illisibles d’ici. Je m’ennuie grave.. Je
tente de rester alerte, mais rien n’y fait..
Je me mets alors à rêvasser. Dans ma tête, nous sommes maintenant 2, puis 3.. je repense à ces souvenirs voluptueux, à ces corps vacillants l’un sur l’autre alors que la musique et le vin nous grisaient. Alors que les dentelles avaient fait place à la peau nue.. Et je t’imagine dans la peau d’un des personnages de ma rêverie sensuelle, question d’alimenter de façon plus constructive ce cours interminable… Mes yeux s’arrêtent souvent sur ton jean, sur ta fourche. Je me plais à imaginer, à palper du regard, à mesurer intérieurement la longueur de ta verge, la largeur de ta belle queue. Je nous imagine à ton bureau, la porte entre-ouverte alors que tu me donnes des explications sur la matière que visiblement je n’aurai pas assimilée durant mes rêves éveillés. Quand je tenterai de sentir ton parfum. De t’effleurer la cuisse très subtilement. De te regarder directement dans les yeux te disant que le bruit dans le corridor nuit à ma concentration juste avant que tu fermes la porte..
Je me lève avec mon sac à main et me dirige vers la porte discrètement. Sous ma jupe se cache une culotte de dentelle que j’enlève juste avant de m’insérer un petit plug et mes boules chinoises. Oui, je les traîne toujours dans mon sac à main. Qui sait quand ça peut servir..
Je refais un peu mon maquillage, me coiffe un peu et défais un bouton de plus sur ma chemise de soie. Je dévoile un peu mon soutien-gorge rose pâle et son détail de dentelle noire.
Quand je reviens m’installer en classe, tu ne me regardes pas vraiment. Lorsque je m’assois, je fais un léger mouvement de hanche pour faire remonter un peu ma jupe. Pas trop. Mais assez pour que si ton regard vienne à se poser sur mes cuisses, tu chercherais à voir les millimètres qui te séparent de mon secret. Puis le jeu commence…
La demi-heure qui suit en est une de lutte. Une lutte pour avoir ton attention. Je veux que tu me regardes. Que tu découvres la courbe de mon sein à travers le tissu transparent de mon chemisier. Que tes yeux flattent ma peau et cherche à savoir qui je suis…
Et comme tout homme, il me ne faudra pas plus de temps pour capturer ton attention, bijou précieux que je ne laisserai pas filer. Il te faudra descendre à mes cuisses, quand d’un mouvement lent je lèverai un peu la jambe droite pour caresser la gauche d’une peau douce et fraîchement épilée de la veille. Ton yeux découvrira mes orteils peints de rouge et ma chaîne de pied brillera sous un rayon des luminaires trop blancs du plafond.
Le but est atteint quand je sens brûler ma chatte d’excitation. Pas de dentelle pour retenir mon plaisir. À me dandiner sur ma chaise de la sorte, je fais bien rentrer et bouger le plug bien encré dans mon cul. J’adore. Je suis une vraie exhibitionniste. J’écarte un peu les jambes sans te regarder, faisant comme si je n’étais pas coupable de jouer à la salope. Dans la salle de classe, les élèves travaillent sur un exercice de calcul mais moi je fais semblant d’écrire. Je sais que tu me regardes. Je sais que tu me vois me mordiller la lèvre inférieure, fermer les yeux, respirer plus profondément et arquer les hanches..
Je relève la tête au bout d’un moment. Tu me regardes en plein dans les yeux. Tu souris un peu. Je me donne un air de petite fille et flanches finalement en te rendant un sourire. Tu as quelque chose dans l’œil qui me fait comprendre que tu sais.. Le genre de sourire qui me ment pas.. L’étincelle dans l’œil qui rend complice. Je continue de me déhancher un peu et mordant ma lèvre inférieure encore une fois, je feins une jouissance en fermant les yeux.. Je comprends que tu sens poindre la petite larme de l’homme excité. Mais pas au niveau de l’œil..
Mamz’elle J xx
Je me mets alors à rêvasser. Dans ma tête, nous sommes maintenant 2, puis 3.. je repense à ces souvenirs voluptueux, à ces corps vacillants l’un sur l’autre alors que la musique et le vin nous grisaient. Alors que les dentelles avaient fait place à la peau nue.. Et je t’imagine dans la peau d’un des personnages de ma rêverie sensuelle, question d’alimenter de façon plus constructive ce cours interminable… Mes yeux s’arrêtent souvent sur ton jean, sur ta fourche. Je me plais à imaginer, à palper du regard, à mesurer intérieurement la longueur de ta verge, la largeur de ta belle queue. Je nous imagine à ton bureau, la porte entre-ouverte alors que tu me donnes des explications sur la matière que visiblement je n’aurai pas assimilée durant mes rêves éveillés. Quand je tenterai de sentir ton parfum. De t’effleurer la cuisse très subtilement. De te regarder directement dans les yeux te disant que le bruit dans le corridor nuit à ma concentration juste avant que tu fermes la porte..
Je me lève avec mon sac à main et me dirige vers la porte discrètement. Sous ma jupe se cache une culotte de dentelle que j’enlève juste avant de m’insérer un petit plug et mes boules chinoises. Oui, je les traîne toujours dans mon sac à main. Qui sait quand ça peut servir..
Je refais un peu mon maquillage, me coiffe un peu et défais un bouton de plus sur ma chemise de soie. Je dévoile un peu mon soutien-gorge rose pâle et son détail de dentelle noire.
Quand je reviens m’installer en classe, tu ne me regardes pas vraiment. Lorsque je m’assois, je fais un léger mouvement de hanche pour faire remonter un peu ma jupe. Pas trop. Mais assez pour que si ton regard vienne à se poser sur mes cuisses, tu chercherais à voir les millimètres qui te séparent de mon secret. Puis le jeu commence…
La demi-heure qui suit en est une de lutte. Une lutte pour avoir ton attention. Je veux que tu me regardes. Que tu découvres la courbe de mon sein à travers le tissu transparent de mon chemisier. Que tes yeux flattent ma peau et cherche à savoir qui je suis…
Et comme tout homme, il me ne faudra pas plus de temps pour capturer ton attention, bijou précieux que je ne laisserai pas filer. Il te faudra descendre à mes cuisses, quand d’un mouvement lent je lèverai un peu la jambe droite pour caresser la gauche d’une peau douce et fraîchement épilée de la veille. Ton yeux découvrira mes orteils peints de rouge et ma chaîne de pied brillera sous un rayon des luminaires trop blancs du plafond.
Le but est atteint quand je sens brûler ma chatte d’excitation. Pas de dentelle pour retenir mon plaisir. À me dandiner sur ma chaise de la sorte, je fais bien rentrer et bouger le plug bien encré dans mon cul. J’adore. Je suis une vraie exhibitionniste. J’écarte un peu les jambes sans te regarder, faisant comme si je n’étais pas coupable de jouer à la salope. Dans la salle de classe, les élèves travaillent sur un exercice de calcul mais moi je fais semblant d’écrire. Je sais que tu me regardes. Je sais que tu me vois me mordiller la lèvre inférieure, fermer les yeux, respirer plus profondément et arquer les hanches..
Je relève la tête au bout d’un moment. Tu me regardes en plein dans les yeux. Tu souris un peu. Je me donne un air de petite fille et flanches finalement en te rendant un sourire. Tu as quelque chose dans l’œil qui me fait comprendre que tu sais.. Le genre de sourire qui me ment pas.. L’étincelle dans l’œil qui rend complice. Je continue de me déhancher un peu et mordant ma lèvre inférieure encore une fois, je feins une jouissance en fermant les yeux.. Je comprends que tu sens poindre la petite larme de l’homme excité. Mais pas au niveau de l’œil..
Mamz’elle J xx