On s'est fait une petite pratique de band ce weekend.
Les gars sont arrivés vers 20h30 avec guitares et amplis, je les attendais avec micros et une caisse de bière au frais. Une belle soirée s'ensuivait, avec des covers de nos chansons fétiches. Notre spectacle est la semaine prochaine et comme les occasions de répéter se font rares, on en profite à fond quand on peut se réunir.
La maison de mon chum à la campagne est parfaite. C'est d'ailleurs lui qui a proposé que nous nous installions dans la salle à manger donnant sur le salon. Comme on se retrouvait presque une dizaine, nous allions avoir toute la place nécessaire.
Comme chaque fois, la première heure, on revient sur les chansons les plus difficiles, on pratique les voix et on revoit le setlist. La bière se met de la partie pour la deuxième heure et le fun commence réellement une fois la gêne et la pression évacués un peu.
Ça a bien dû durer trois bonnes heures, durant lesquelles j'avais pas mal de plaisir à enfiler les covers country aussi bien que les shooters de Jack au miel. À la fin, je poussais la note comme jamais, n'ayant plus aucune réticence, au grand plaisir des gars du band qui me répètent que je ne devrais pas être aussi timide, que j'ai un gros potentiel, que je dois le montrer.
J'étais assise à la table de la cuisine, mon copain à mes côtés. Devant nous, notre guitariste concentré sur ses partitions, et un autre chanteur qui suit ses paroles à la lettre. Et moi, qui connait chacune des paroles de tous les titres que nous choisissons. Je m'en fais un devoir. M'embarrasser de feuilles, dans un éclairage moyen lors d'un spectacle, je suis incapable.
Tout au long de la répétition, mes deux acolytes principaux ont les yeux rivés sur leurs cartables respectifs.
Mon chum lui, a donc tout le loisir de me déconcentrer comme bon lui semble.
Je suis assise en indien sur ma chaise, le dos bien droit, les mains sur les accoudoirs. Je porte à ce moment un legging un peu mince sous un gros chandail assez long, sans petite culotte. Un vrai confort... Mon chum, dans toute sa subtilité, commence à me caresser le genou, puis la cuisse, puis remonte doucement, jusqu'à se retrouver le bout des doigts à dessiner mon aine. Assise où je suis, je sais qu'il est mieux pour moi de n'éveiller aucun soupçon.. Plus la chanson avance, plus je les sens insistants ces doigts qui me torturent si bien qu'ils me font du bien. Il doit y avoir une chaleur qui émane de mon legging au niveau de l'entrejambe parce que je sens mes joues tourner au rouge...
Je commence tout juste à prendre plaisir à son manège qu'il stoppe tout net, me laissant sur ma faim.
Les minutes passent, nous continuons la musique.
Puis, vers minuit, les boys partent, et nous nous retrouvons au salon.
Je ne suis pas une fan finie des shooters.
En fait, c'est que l'alcool a sur mon un effet particulier; j'en viens à me sentir invincible et je le montre de façon un peu excessive. Alors, je deviens un peu baveuse et je perds cette belle timidité qui me rend si attachante.
On ouvre la console de jeu et je balance à mon chum «Apprends-moi à jouer à Guitar Hero».
Je n'avais jamais vraiment joué à ça. Mais j'étais curieuse et assez déterminée.
Après la première chanson en démonstration, je me sentais prête à compétitioner.
On branche la 2e guitare, et je choisis une chanson.
Tant qu'à pouvoir, j'en prends une que je connais, pour m'habituer au rythme et rendre les choses faciles.
The Beast and the Harlot. Avenged Sevenfold. Par-fait.
Difficulté: Medium.
Je ne suis pas une douce... j'ai passé le stade de commencer en bas de l'échelle.
La chanson commence, ça va vraiment bien.
Je m'en sors pas si mal.
À peine une centaine de points de différence avec mon adversaire.
Je me sens prête à augmenter le degré de jeu plus haut.
«On fait un pari. Si je gagne la prochaine, tu dois me faire jouir dans le salon en moins de 3 minutes.»
«Ok. Et si JE gagne, tu me fais découvrir un fantasme dont tu ne m'as jamais parlé.» qu'il me répond.
Je suis gagnante dans les deux cas. On y va alors.
J'ai choisi Heart-Shaped Box de Nirvana. Encore une fois un titre que j'ai tellement souvent écouté que j'ai toutes les chances de mon côté,
Pendant que la chanson chargeait, je me revoyais il y a environ trois semaines au sous-sol d'un bar de campagne où nous avions passé la soirée à faire des paris à saveur sexy en jouant au billard.
Heureusement pour lui, je suis assez nulle au billard.. et je n'avais aucun intérêt à gagner, je savais que j'allais adorer ma défaite quand même. Finalement, cette soirée fut empreinte de défis de petites victoires: Moi qui le chevauche toute habillée sur le petit sofa en feignant un orgasme, lui qui me caresse la chatte à travers mes jeans ajustés alors que je me place pour «casser» le jeu et ultimement, trop excitée, je l'ai attiré sur le mur du fond, où je l'ai adossé avant de descendre sa fermeture de jeans pour le prendre dans ma bouche. Il a eu tout juste le temps de jouir dans ma gorge avant que nos amis nous rejoignent pour venir amorcer un tournoi amical. Des clins d'oeil de complicité entre nous suffisaient à nous faire sourire. Et une fois à la maison, ce fut intense également, sur la moquette du hall d'entrée...
Bref, revenons à nos moutons.
Voilà la fin de la chanson qui se fait attendre, et je gagne.
Facilement en plus.... parfait.
Donc, mon chum capitule, me remet la guitare qu'il avait entre les mains et file sous la douche en souriant à belles dents, De mon côté, je ferme la console, et le suis de près.
Je lui laisse à peine le temps d'acclimater l'eau et je me faufile entre les portes vitrées de la douche...
Je lui savonne le dos à l'aide de l'éponge boule.
« Mon fantasme le plus récurrent ces temps-ci est assez simple.. J'aimerais ça attacher tes mains et te bander les yeux... et te faire découvrir une nouvelle façon de jouir. »
Il me semblait voir ses yeux s'ouvrir trois fois plus grands et s'éclairer d'un seul coup. Je crois que j'avais trouvé une façon de captiver son attention. La douche a duré un petit moment avant que ne commence cette nuit de plaisir dont il me parle encore tous les jours depuis quelques semaines..
À suivre!..
Jade xxx
Vous avez envie de savoir ce qui se passe dans la tête d'une petite salope?.. Connaître les pensées, les fantasmes.. les faits et gestes dans la vie de celle que je suis.. ..attention, la lecture entraîne des effets immédiats;vous demeurerez accro!
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11.27.2016
11.07.2016
Histoire à relais (La suite)
Si j'avais, un tant soit peu, tenu à mon orgueil habituel et que j'avais décliné, je me serais retrouvée quand même dans cette petite salle de bain étroite et éclairée froidement par des néons qui me donnent une mine malade, mais avec un peu moins de pression de devoir faire face au maladroit idiot qui se trouvait dans le corridor en face.
Et que faire quand je suis à 1h30 de mon départ, aucune envie de partir faire les boutiques à la hâte pour ne pas retarder ma journée avec un blouson bousillé et une envie incontrôlable de retourner à la maison me coucher pour faire passer la pilule. Cet enfoiré va me faire perdre ma zénitude..
Déboutonnant mon haut, je me rend compte (merde!) que non seulement le tissus est trempé, mais mon corsage beige et serti de petites pierres est tout aussi taché.
Ça par exemple, ça me fait sortir de mes gonds.
Pour éviter que le tout soit impossible à sauver, j'enlève mes vêtements et les passe sous l'eau.
Même chose pour mon soutien-gorge, pour lequel j'implore tous les saints du ciel de lui laisser la vie sauve. J'ai investi le quart d'une paie sur cet ensemble de lingerie européenne.
Par chance que je trimballe presque toujours avec moi un débardeur noire passe-partout et un foulard pour pouvoir me cacher un peu le buste... c'est aussi et surtout pour moi une façon de me prémunir contre les mauvaises surprises où je devrais trouver une tenue toute autre lors de mes déplacements.
Je glisse mes vêtements encore humides dans un sac plastique, j'ajuste mon débardeur et tente de mettre en place de façon stratégique le foulard à motifs de petits oiseaux gris, pour dissimuler mon absence de soutif sous mon haut.
En sortant de la salle de bain, il est toujours là, patient et le regard attentif.
Je le sens très insécure de la réaction que j'aurai face à lui. Je m'avance, lui tend le sac et lui dit sèchement: «Trouvons un nettoyeur, on fera connaissance après.»
Je me surprend à être à la limite entre caractérielle et désagréable. En même temps, il y a près de 500$ de fibres textiles qui courent à leur perte et je veux en sauver le plus possible. À croire que ma survie en dépend...
Du haut de mes escarpins, je sens ma poitrine libre sous mon débardeur, et l'impression est particulière à bien y réfléchir. Additionnée à mes bas mi-cuisse sous ma jupe-cigarette à taille haute et ce qu'il restait de mon ensemble de lingerie dont le tiers était désormais dans les mains de l'inconnu gaffeur, je me sentais à la fois honteuse et terriblement excitée.
Mais que se passe-t'il bien ?
...à suivre.
Et que faire quand je suis à 1h30 de mon départ, aucune envie de partir faire les boutiques à la hâte pour ne pas retarder ma journée avec un blouson bousillé et une envie incontrôlable de retourner à la maison me coucher pour faire passer la pilule. Cet enfoiré va me faire perdre ma zénitude..
Déboutonnant mon haut, je me rend compte (merde!) que non seulement le tissus est trempé, mais mon corsage beige et serti de petites pierres est tout aussi taché.
Ça par exemple, ça me fait sortir de mes gonds.
Pour éviter que le tout soit impossible à sauver, j'enlève mes vêtements et les passe sous l'eau.
Même chose pour mon soutien-gorge, pour lequel j'implore tous les saints du ciel de lui laisser la vie sauve. J'ai investi le quart d'une paie sur cet ensemble de lingerie européenne.
Par chance que je trimballe presque toujours avec moi un débardeur noire passe-partout et un foulard pour pouvoir me cacher un peu le buste... c'est aussi et surtout pour moi une façon de me prémunir contre les mauvaises surprises où je devrais trouver une tenue toute autre lors de mes déplacements.
Je glisse mes vêtements encore humides dans un sac plastique, j'ajuste mon débardeur et tente de mettre en place de façon stratégique le foulard à motifs de petits oiseaux gris, pour dissimuler mon absence de soutif sous mon haut.
En sortant de la salle de bain, il est toujours là, patient et le regard attentif.
Je le sens très insécure de la réaction que j'aurai face à lui. Je m'avance, lui tend le sac et lui dit sèchement: «Trouvons un nettoyeur, on fera connaissance après.»
Je me surprend à être à la limite entre caractérielle et désagréable. En même temps, il y a près de 500$ de fibres textiles qui courent à leur perte et je veux en sauver le plus possible. À croire que ma survie en dépend...
Du haut de mes escarpins, je sens ma poitrine libre sous mon débardeur, et l'impression est particulière à bien y réfléchir. Additionnée à mes bas mi-cuisse sous ma jupe-cigarette à taille haute et ce qu'il restait de mon ensemble de lingerie dont le tiers était désormais dans les mains de l'inconnu gaffeur, je me sentais à la fois honteuse et terriblement excitée.
Mais que se passe-t'il bien ?
...à suivre.
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