Le restaurant est bondé, l’ambiance est bonne. Notre table
est éloignée du reste des invités par un muret de pierre et quelques plantes.
Un écran parfait pour se sentir un peu plus intime.
Nous commandons chacune un drink, en parlant tranquillement
de nos derniers jours de travail. Premier constat, cette soirée nous tenait
toutes deux en état d’attente et de motivation!
Je la regarde dans la lumière plutôt tamisée du resto. Elle rayonne. Son décolleté plongeant fait exploser les pensées impures de ma tête et je me mets à la caresser du regard. Si ce n’était que de moi, j’abandonnerais mon verre sur la table et je l’amènerais dans un coin obscure pour enfouir ma langue dans sa chatte et la faire juter de plaisir.
De son côté, elle sait l’effet qu’elle me fait, battant des cils de plus en plus sensuellement.
Le serveur revient et nous commandons nos plats ainsi qu’une bonne bouteille de blanc, bien frais.
Tout au long du repas, nous parlons de sexe. Nous nous racontons des anecdotes cocasses, salaces, torrides, décevantes; bref, pour tous les goûts.
De temps en temps, je regarde le serveur passer à côté de notre table et un petit sourire s’étire au coin de ses lèvres. Je crois qu’il fait exprès pour venir rôder autour de notre petite bulle pour espionner nos conversations. En même temps, l’alcool faisant effet, nous surveillons de moins en moins notre ton de voix.
Lorsqu’il vient nous porter nos repas, il semble hypnotisé par la poitrine de ma copine, qui ne cache désormais plus du tout son côté cochon. Il la couvre de compliments, lui offre de la raccompagner à la chambre. Moi je ris aux larmes. Le jeunot y met tellement d’énergie, le pauvre… Mais bien que jeune, il n’est pas totalement naïf. Et elle, n’est pas totalement de glace.
Ça me fait m’imaginer différents scénarios.
Le repas se termine une heure plus tard. Je reçois le détail de la note, règle le tout et laisse un message de remerciement à l’endos de la facture…
Nous remontons à la chambre. Elle me laisse entrevoir la dentelle de son bas lorsqu’elle escalade le long escalier de l’hôtel. Ses reins appellent au sexe. Tout d’elle est imprégné d’un charisme désarmant. Je vois d’ici qu’elle n’a plus sa culotte…
À la chambre, j’ouvre le champagne. Nous nous asseyons sur le lit, en rigolant. Nous portons un toast à notre belle réunion.
Sa main s’avance vers ma cuisse, caresse le nylon qui recouvre ma jambe, s’étire jusqu’à atteindre mon genou… Elle me fixe. Je fige. Son regard me paralyse.
Elle prend mon verre, le dépose sur la table de chevet, me couche sur le lit et m’embrasse. Ses lèvres sucrées se font pourtant tantôt douces, tantôt agressives. Elle me glisse à l’oreille : « Tu m’as si bien fait jouir tantôt, il faudrait bien que je te rende la pareille.»
Je souris.
Après peu de temps, ses doigts trouvent le chemin vers ma chatte ruisselante. Elle écarte un peu ma culotte et s’amuse à me branler avec vigueur mais sans jamais me laisser flancher. Nos robes prennent le chemin du plancher, je lui enlève ses escarpins, elle me déleste de tout sauf de mes bottes hautes, et mon corsage. Je me sens à peine gênée. J’ai les facultés affaiblies et je ne m’inquiète plus de mes complexes. Je vis le moment.
Je la regarde dans la lumière plutôt tamisée du resto. Elle rayonne. Son décolleté plongeant fait exploser les pensées impures de ma tête et je me mets à la caresser du regard. Si ce n’était que de moi, j’abandonnerais mon verre sur la table et je l’amènerais dans un coin obscure pour enfouir ma langue dans sa chatte et la faire juter de plaisir.
De son côté, elle sait l’effet qu’elle me fait, battant des cils de plus en plus sensuellement.
Le serveur revient et nous commandons nos plats ainsi qu’une bonne bouteille de blanc, bien frais.
Tout au long du repas, nous parlons de sexe. Nous nous racontons des anecdotes cocasses, salaces, torrides, décevantes; bref, pour tous les goûts.
De temps en temps, je regarde le serveur passer à côté de notre table et un petit sourire s’étire au coin de ses lèvres. Je crois qu’il fait exprès pour venir rôder autour de notre petite bulle pour espionner nos conversations. En même temps, l’alcool faisant effet, nous surveillons de moins en moins notre ton de voix.
Lorsqu’il vient nous porter nos repas, il semble hypnotisé par la poitrine de ma copine, qui ne cache désormais plus du tout son côté cochon. Il la couvre de compliments, lui offre de la raccompagner à la chambre. Moi je ris aux larmes. Le jeunot y met tellement d’énergie, le pauvre… Mais bien que jeune, il n’est pas totalement naïf. Et elle, n’est pas totalement de glace.
Ça me fait m’imaginer différents scénarios.
Le repas se termine une heure plus tard. Je reçois le détail de la note, règle le tout et laisse un message de remerciement à l’endos de la facture…
Nous remontons à la chambre. Elle me laisse entrevoir la dentelle de son bas lorsqu’elle escalade le long escalier de l’hôtel. Ses reins appellent au sexe. Tout d’elle est imprégné d’un charisme désarmant. Je vois d’ici qu’elle n’a plus sa culotte…
À la chambre, j’ouvre le champagne. Nous nous asseyons sur le lit, en rigolant. Nous portons un toast à notre belle réunion.
Sa main s’avance vers ma cuisse, caresse le nylon qui recouvre ma jambe, s’étire jusqu’à atteindre mon genou… Elle me fixe. Je fige. Son regard me paralyse.
Elle prend mon verre, le dépose sur la table de chevet, me couche sur le lit et m’embrasse. Ses lèvres sucrées se font pourtant tantôt douces, tantôt agressives. Elle me glisse à l’oreille : « Tu m’as si bien fait jouir tantôt, il faudrait bien que je te rende la pareille.»
Je souris.
Après peu de temps, ses doigts trouvent le chemin vers ma chatte ruisselante. Elle écarte un peu ma culotte et s’amuse à me branler avec vigueur mais sans jamais me laisser flancher. Nos robes prennent le chemin du plancher, je lui enlève ses escarpins, elle me déleste de tout sauf de mes bottes hautes, et mon corsage. Je me sens à peine gênée. J’ai les facultés affaiblies et je ne m’inquiète plus de mes complexes. Je vis le moment.
Nous faisons l’amour comme si nos corps se connaissaient
depuis toujours, gardant notre lingerie pour le jeu.
Au bout de quelques minutes, nous entendons frapper à la porte.
Elle se demande vraiment qui cela peut bien être. De mon côté, je me doute bien. Mais tout de même surprise, je la suis parce que je veux avoir une vue imprenable sur la surprise qu’elle aura.
Au bout de quelques minutes, nous entendons frapper à la porte.
Elle se demande vraiment qui cela peut bien être. De mon côté, je me doute bien. Mais tout de même surprise, je la suis parce que je veux avoir une vue imprenable sur la surprise qu’elle aura.
Elle ouvre et pousse un éclat de rire. Agrippant l’homme qui
se trouve sur le seuil par le col de sa chemise et le pousse sur le mur du hall
de la suite une fois entré. Je la regarde l’embrasser goulûment. Le pantalon de
notre jeune homme est de plus en plus étroit au niveau de l’entrejambe. C’est
mémorable de les voir.
Je les regarde. Je n’ose pas m’approcher. Elle se met à genoux devant lui, défait sa braguette et sot de son pantalon une queue de bon calibre. Même moi, j’en salive!
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour glisser son sexe entre ses lèvres, je l’entends déglutir. A-t-il déjà eu affaire à une femme de ce calibre auparavant?
De mon côté, je m’adosse au mur. Je joue la voyeuse. C’est plutôt excitant de la regarder fermer et ouvrir les yeux, faire coulisser sa bouche sur l’épais sexe de cet invité impromptu. Elle glisse de temps à autre une main entre ses cuisses, cherchant à se procurer encore plus de plaisir. Lorsqu’elle remonte sa main à la tâche, je la vois étendre sur l’engin sa propre mouille, pour se goûter. Le mouvement de sa main est constant, ses joues se creusent sous l’aspiration. Je la vois prendre autant de plaisir que lui durant cette pipe très cochonne. Je caresse mes seins, en pince les bouts… Je sens que ma chatte se réchauffe sous la vue des deux coquins et pourtant, je n’ai pas envie de briser cette complicité en allant les rejoindre. Bien que j’aie très envie que l’on salue le courage de cet étalon de 20 ans de belle façon.
Je continue de caresser mon sexe en travers de ma culotte de dentelle. Je la sens bien humide.. Mes doigts se trempent rapidement, le tissus ne suffisant plus à retenir mon plaisir.
Elle le masturbe énergiquement et le fait jouir sur ses seins. Portant un de ses doigts à sa bouche, elle lèche les quelques gouttes de semences qui sont atterries sur ses phalanges et se relève en lui embrassant la joue.
Le jeunot reste un peu bouche-bée alors qu’il remonte ses pantalons. Il a clairement eu droit à la fellation de sa vie. Nul doute.
Avant de partir, il fouille dans la poche de son pantalon..
Je les regarde. Je n’ose pas m’approcher. Elle se met à genoux devant lui, défait sa braguette et sot de son pantalon une queue de bon calibre. Même moi, j’en salive!
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour glisser son sexe entre ses lèvres, je l’entends déglutir. A-t-il déjà eu affaire à une femme de ce calibre auparavant?
De mon côté, je m’adosse au mur. Je joue la voyeuse. C’est plutôt excitant de la regarder fermer et ouvrir les yeux, faire coulisser sa bouche sur l’épais sexe de cet invité impromptu. Elle glisse de temps à autre une main entre ses cuisses, cherchant à se procurer encore plus de plaisir. Lorsqu’elle remonte sa main à la tâche, je la vois étendre sur l’engin sa propre mouille, pour se goûter. Le mouvement de sa main est constant, ses joues se creusent sous l’aspiration. Je la vois prendre autant de plaisir que lui durant cette pipe très cochonne. Je caresse mes seins, en pince les bouts… Je sens que ma chatte se réchauffe sous la vue des deux coquins et pourtant, je n’ai pas envie de briser cette complicité en allant les rejoindre. Bien que j’aie très envie que l’on salue le courage de cet étalon de 20 ans de belle façon.
Je continue de caresser mon sexe en travers de ma culotte de dentelle. Je la sens bien humide.. Mes doigts se trempent rapidement, le tissus ne suffisant plus à retenir mon plaisir.
Elle le masturbe énergiquement et le fait jouir sur ses seins. Portant un de ses doigts à sa bouche, elle lèche les quelques gouttes de semences qui sont atterries sur ses phalanges et se relève en lui embrassant la joue.
Le jeunot reste un peu bouche-bée alors qu’il remonte ses pantalons. Il a clairement eu droit à la fellation de sa vie. Nul doute.
Avant de partir, il fouille dans la poche de son pantalon..
Et il se tourne vers elle et lui dit : «Vous avez
échappé ça sous votre table tout à l’heure.» et iIl lui tend sa petite culotte.
Je savais qu’elle l’avait fait exprès.
Et j’adore…
Notre nuit se poursuit. Un plaisir certain.
Un plaisir que j’aime de plus en plus vivre..
Mamz’elle J xx
Et j’adore…
Notre nuit se poursuit. Un plaisir certain.
Un plaisir que j’aime de plus en plus vivre..
Mamz’elle J xx