Je suis sur le lit et j'attends que quelqu'un se présente, mais
tous gardent le silence. J'ai encore la cravate sur les yeux. J'entends les
talons de ma copine sur le planche de bois qui sépare la salle de bain du grand
lit, elle s'avance vers moi. Elle me fixe. D’un regard vif. Elle s’approche du
lit, y déposant un genou, le corps bien droit. Comme pour chauffer un peu les
invités masculins, elle joue dans mes cheveux et laisse glisser sa main sur mon
épaule, en embrassant mon cou. J'ai les sens en éveil… elle prend ma coupe de
champagne, la porte à mes lèvres, en verse tout doucement quelques centilitres
dans ma bouche. Elle pose le verre sur la table de chevet et ce sont maintenant
ses lèvres qui m'abreuvent..
Dans un jeu de langue exquis et tout en
finesse, nous nous embrassons devant les deux hommes, amusés et excités par le
spectacle. Elle détache la cravate de mes yeux, laissant la lumière s'infiltrer
jusqu'à ma pupille, laissant paraître mon regard extrêmement allumé et rempli
de désir. Je me lève du lit, empoigne avec délicatesse la nuque de mon amie, j’approche
ma bouche de la sienne à nouveau et nous commençons à nous toucher. J'atteins
de la main droite le haut de son dos, en glissant tout doucement vers son
corsage, dont j'apprécie les courbes du bout des doigts. Elle a déjà abaissé
une bretelle de ma robe et embrasse doucement le début de mon sein. Son parfum
plutôt boisé me parvient comme une tonne de brique. Peut-être que ses
phéromones amplifient l'odeur délicieuse qui lui sied à merveille. L’un des
deux hommes a déjà commencé à détacher ses boutons de manchette et sa pince à
cravate afin de se mettre à l’aise, tandis que l’autre boit son verre en nous
observant attentivement. Les frissons nous parcourent moi et ma complice, alors
qu’en un clin d’œil je la convaincs de se laisser aller…
Le champagne semble avoir aidé ses inhibitions à s’envoler quelques
minutes, le temps que la soirée prenne son envol sous des airs plutôt coquins. Je
laisse glisser ma main jusqu’à la chute de ses reins, pétris l’une de ses
fesses bien découpée et je la sens soupirer de plaisir. Les secondes passent,
nos langues se caressent. Nos mains explorent les corps, soupèsent les
seins, profitent de la douceur des peaux
nues, parfumées et hydratées. Ma bouche se perd, délaissant ses lèvres pour
retrouver ses épaules, sa clavicule, son décolleté. Je l’entends gémir tout
doucement. J’aime qu’elle y prenne plaisir.
J’ai déjà détaché son corsage. L’ai déposé sur le lit.
Sa poitrine forte, mais pourtant tellement ferme et pleine, surgit à mes yeux comme la plus belle des surprises. Ses seins ronds et parfaitement dessinés se soulèvent au rythme de ses respirations de la belle, qui semble aux anges. J’empoigne à pleine main son sein droit pendant que ma main gauche se promène sur son ventre, ses hanches, effleurant la bande de taille satinée de sa jupe qu’elle porte maintenant seule.
J’ai déjà détaché son corsage. L’ai déposé sur le lit.
Sa poitrine forte, mais pourtant tellement ferme et pleine, surgit à mes yeux comme la plus belle des surprises. Ses seins ronds et parfaitement dessinés se soulèvent au rythme de ses respirations de la belle, qui semble aux anges. J’empoigne à pleine main son sein droit pendant que ma main gauche se promène sur son ventre, ses hanches, effleurant la bande de taille satinée de sa jupe qu’elle porte maintenant seule.
L’invité s’est assis sur le petit fauteuil dans le coin de la chambre tandis que mon amant est venu me rejoindre dans cette aventure de découverte et de plaisir. Alors que je continue de délester les vêtements de ma belle amie, mon amant s’est déjà agenouillé sur le plancher afin de caresser ses jambes toutes de nylon recouvertes, laissant remonter ses doigts habiles de son mollet au haut de sa cuisse. Je le vois bander à vue d’œil. Il a relevé la jupe de ma copine jusqu’à sa taille, laissant apparaître ses fesses nues et blanches à la lumière tamisée de la chambre. Du bout de sa langue, il dessine un délicieux chemin de son genou à sa fesse, lui faisant soupirer un plaisir certain. Juste un peu plus haut sur son corps, les pointes de ses tétons sont érigées et appellent au plaisir. Je lèche ses seins, mordille ses mamelons de façon très douce, écoutant le langage corporel de mon élégante complice. Comblée par 4 mains et 2 langues s’occupant de son corps aux formes parfaites, je la vois sourire et se laisser aller. Je lui fais boire une ou deux gorgées de champagne, de la façon dont elle l’a fait pour moi, portant la coupe à ses lèvres. Je l’embrasse à nouveau pour sentir ce nectar frais sur sa langue douce.
Je détache sa jupe, question de nous épargner
les contorsions pour ce qui vient. La pièce de vêtement glisse sur ses hanches,
atteignant le plancher où mon amant la récupère pour la joindre au corsage sur
le lit. La peau rougie de désir de mon amie combinée à l’atmosphère feutrée et
invitante de la chambre ne fait qu’amplifier les envies.
Un fauteuil est aussi disposé de notre côté de la chambre et ne sert à rien pour le moment. J’entraîne mon amie jusqu’à l’endroit où il est disposé et lui relève un genou de façon à ce qu’un de ses pieds prenne place au bord de la chaise, pour laisser libre cours à nos envies. Elle répond à merveille. Je la contourne, allant apprécier la vue sur sa croupe, regardant ses bas chatoyer sous la lueur des chandelles. Quelle vue magnifique. Quelle femme. Tout en douceur, je lui caresse les fesses, le dos, la nuque, embrassant son cou, glissant les doigts dans ses cheveux soyeux. Le parcours de mes phalanges reprend, sur ses bras, sa taille, ses cuisses… je n’ose pas la toucher tout de suite, même si j’entends d’ici son corps me crier son envie de se libérer sous un orgasme foudroyant.
Mon amant a pris place, de nouveau à genou, mais cette fois, devant elle. Son nez est à peine à quelques centimètres de sa chatte partiellement épilée et je sais qu’il contient son envie d’aller y plonger le nez tout de suite. Mais lui et moi savons que le plus grand des plaisirs naît de l’attente…
Un fauteuil est aussi disposé de notre côté de la chambre et ne sert à rien pour le moment. J’entraîne mon amie jusqu’à l’endroit où il est disposé et lui relève un genou de façon à ce qu’un de ses pieds prenne place au bord de la chaise, pour laisser libre cours à nos envies. Elle répond à merveille. Je la contourne, allant apprécier la vue sur sa croupe, regardant ses bas chatoyer sous la lueur des chandelles. Quelle vue magnifique. Quelle femme. Tout en douceur, je lui caresse les fesses, le dos, la nuque, embrassant son cou, glissant les doigts dans ses cheveux soyeux. Le parcours de mes phalanges reprend, sur ses bras, sa taille, ses cuisses… je n’ose pas la toucher tout de suite, même si j’entends d’ici son corps me crier son envie de se libérer sous un orgasme foudroyant.
Mon amant a pris place, de nouveau à genou, mais cette fois, devant elle. Son nez est à peine à quelques centimètres de sa chatte partiellement épilée et je sais qu’il contient son envie d’aller y plonger le nez tout de suite. Mais lui et moi savons que le plus grand des plaisirs naît de l’attente…
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