Et de ça, je compose des billets de blogue qui parfois avortent. Parfois, je me dévoile un peu trop pour les publier sans en changer quelques détails par soucis d'anonymat ou par protection pour mes partenaires. Je ne vous avoue pas tout. Parfois, j’invente des bribes de mes histoires afin de les rendre plus divertissantes, plus sur naturelles, moins personnelles peut-être.. et à l’ouverture de ce blogue, je m’étais dit que l’idéal serait de ne pas identifier lesquels de mes billets seraient entièrement imaginés ou vécus. Je n’ai toujours pas dérogé de ma règle si bien que parfois, les courriels de lecteurs me demandant si le contenu d’un billet est véritable ou non me surprennent.
Cette fois, je ferai la même chose. À vous de deviner si c’est un récit vécu ou totalement inventé.
Et, pour vous donner un indice, je vous dirai que 3 seules personnes au monde m’incluant moi sommes au courant de la vraie réponse.. Voilà une histoire d'inconnu, de fantasme et d'envie de déroger des règles..
Attention, c'est trash.
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Ce matin-là, il m’avait texté pour me dire qu’il allait être à Québec dans l’heure.
Mes indications furent simples; il devait se stationner au coin de ma rue et
attendre dans son auto. Quant à moi, j’avais un plan. Cet inconnu voulait ma
chatte et j’étais en manque d’émotions fortes. Pourquoi ne pas jouer les
opportunistes?
J’ai enfilé un bas nylon chatoyant sous une robe plutôt courte, de petits
escarpins et un manteau mi-long. Un soutien-gorge à motif léopard et une
culotte de dentelle. Mais plus excitant encore, un jouet. J’avais glissé dans
mon con mon We-Vibe et avais conservé dans ma poche la petite manette afin de
pouvoir lui remettre à mon entrée dans la voiture.
J’avais laissé mes cheveux libres, mi-frisottés et j’avais maquillé mes yeux d’un
trait de traceur noir et un mascara allongeant me faisait des yeux de biche
absolument irrésistibles. Mon cellulaire vibra et j’y vis son message-texte :
«Je suis en bas».
La folle aventure commença à ce moment..
À peine entrée dans la luxueuse voiture de monsieur, je me suis assise et sans
dire un mot j’ouvris les cuisses, lui laissant l’accès à ma chaleur, à mon
humidité. Je me sentais femme, je me sentais excitée et je me sentais surtout
plus salope que je ne l’avais jamais été. Le plan, il le connaissait. Ce
jour-là, j’étais sa pute. Et j’avais envie d’oser.. et d’aller très loin pour m’amuser.
Je lui ai tendu la manette et il comprit qu’il avait le champ libre sur ses
fantasmes.
Nous avons pris la route. Toujours offerte, je faisais la bonne chienne qui,
sans dire un mot, le laissait me tripoter les seins sous mon décolleté de robe,
me masser les cuisses, je le laissais glisser ses doigts entre mes jambes pour
frotter contre ma culotte déjà tellement mouillée.. je me sentais faiblir, j’aimais
mon rôle. Il jouait bien le sien.
Ses doigts pinçaient mes mamelons avec fermeté et avidité. Je l’entendais me
complimenter sur ma docilité et mon aisance, sur mon odeur, sur mes cheveux.
Mais je n’étais pas là pour les compliments. Je n’avais pas envie de l’écouter
essayer de me séduire. Si moi je jouais à la pute sans attachement, il devait
faire la même chose.
Après quelques minutes de route, nous voilà devant un motel de bas étage. Un
des pires motel de la ville en fait. Le temps que monsieur paie la chambre, je
restais dans l’auto à me branler le clito, à vouloir embaumer sa voiture de mes
parfums de pute. Qu’il se souvienne de ce moment, seul et unique, juste en
inspirant profondément. Il revient avec la clé. Se stationne devant la porte de
notre petit bordel. J’ouvre la porte pendant qu’il remonte ma robe sur ma fesse
droite afin de caresser le nylon de mes jambes et je le sens déjà tout dur
contre moi. Je savais que mon plan l’excitait. Mais je n’avais aucune envie que
j’étais au moins mille fois plus excitée que lui.
Entrés dans le motel, il m’a demandé d’enlever mon manteau pendant qu’il se
mettait à l’aise devant moi. Le fixant directement dans les yeux, je me suis
dévêtue. Il a enlevé lui-même ma robe.
Le lit était dans un piteux état. Les draps dataient. La peinture était sale,
les coins de murs auraient eu besoin de nettoyage. L’odeur du «vieux», la déco
des années ’80, les poils sur l’édredon n’auguraient rien de bien romantique.
Et c’était parfait. Parfaitement trash. Comme j’avais envie que ça se passe.
Il a arraché l’édredon du lit, m’a fait me pencher au dessus, m’appuyant sur
les mains alors qu’il passait les mains sur mes hanches, mon dos, qu’il
empoignait mes cheveux doucement pour ma rappeler son rôle, le mien.
Après quelques secondes, il s’est assis sur la chaise juste à côté du lit, a
baissé son pantalon et m’a ordonné de lui lécher la queue de ma meilleure
langue. Alors que je lui caressais le gland du bout d’une langue frétillante et
que ma main lui caressait les couilles, il a poussé sa queue dans ma gorge en
grognant de l’astiquer mieux que ça.
Je le prenais dans ma gorge, avec une envie profonde qu’il recommence. Qu’il me
crie de le sucer comme une vraie pute. Quand il en a eu assez, au bord de la
jouissance, il m’a repoussée et m’a fait me mettre à 4 pattes sur le lit, dos à
lui. Bien entendu, j’avais toujours mon jouet dans la chatte et sa vibration
avait continué à m’exciter pendant que je lui taillais sa pipe. Quand il ma l’a
enlevé, j’ai étouffé un gloussement. J’étais dans un tel état que de sentir sa
main se glisser contre mon clito aurait suffit à me faire exploser. Je sentais
ma mouille couler contre mes cuisses largement ouvertes, le cul pointé vers lui
pour le mettre en appétit. Mais je n’étais pas là pour mon plaisir, mais bien
pour le sien.
Après avoir enfilé un condom, il s’est inséré en moi avec une facilité
évidente... Quelques aller-retours et il est sorti, a inséré 2 doigts dans
ma chatte afin de recueillir un peu de ma cyprine qu’il m’a étendue sur le cul
afin de me préparer à le recevoir éventuellement.. . Alors que sa queue me
pilonnait la chatte, il inséra ses 2 doigts dans mon cul.
«Quelle
bonne pute.. tu te rends compte que tu as deux de mes doigts dans le cul pendant
que je te baise? Je sens ma queue à travers la paroi..»
Quand il a empoigné mes hanches pour me pilonner encore plus intensivement, je
me retenais de crier. J’ai mordu ma lèvre. Pas question de lui laisser savoir
que j’aimais ça. Il me parlait, mais j’étais dans un autre monde, occupée à me
délecter de mon fantasme réalisé quand tout à coup, il a pris une grosse
poignée de mes cheveux pour me ramener contre lui et me glisser à l’oreille :
«Je vais jouir dans ta gorge et tu vas tout avaler, échappes-en pas une
goutte.»
Il s’est alors retiré puis il s’est couché sur le dos tout en gardant mes
cheveux dans sa main et m’a calé la gorge sur son pieu. Je gardais la bouche
grande ouverte alors qu’il baisait ma gorge avec facilité jusqu’à la
jouissance, où mes lèvres se sont refermées afin de pouvoir l’enserrer un peu
plus fort.
J’ai avalé toute sa semence comme il me l’avait demandé, avec un sentiment de fierté, mais aussi de dégoût. Je savais que cela faisait tout autant partie du jeu...
Après cette baise, le défi n’était qu’à moitié relevé. Il fallait maintenant
que je renfile mes bas alors que mon entre-cuisse était encore trempé et
suintant, ma robe sans remettre mon
soutien-gorge et que l’on reprenne la route. Il a essuyé ses doigts pleins de
mouiller sur ma fourche et m’a fait léché le reste sur l’autoroute.
Nous sommes repartis du motel à peine 40 minutes plus tard alors que je sentais
le sexe et que je devais aller passer une entrevue pour un nouvel emploi..
Trash à souhait.
Je vous ai choqué? Hihi..
Mamz'Elle J xx
Ça pourrait être vrai. Rien de particulier ou de nouveau de cette histoire. Mais 40 minutes!? C'est ou cela aurait été assez rapide...
RépondreSupprimerSi tu savais le nombre de fois où j'ai fantasmé en secret sur un scénario semblable... excitation maximum garantie et irrésistible envie de le faire .. pour vrai, un jour..
RépondreSupprimerTu m'as dis de me calmer et d,arrêter avec mon "obsession" sur twitter... mais je suis content de voir que c'est quand même en bonne partie ma suggestion que tu as utulisé comme base pour ton billet... Et de très belle façon en plus, en avouant que tu aimais vraiment ça te faire baiser la gorge. Merci ma chère j'appréci, tu as réussi ton effet.
RépondreSupprimerMais au fait, aime tu vraiment te faire baiser la gorge par une grosse queue?? Répond moi sur twitter :)
Erection de BETON!
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