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2.16.2013

Billet express - Ma Surprise au Petit Nouveau

Mon plan était bien établi dans ma tête depuis le début de la semaine. La seule journée où je ne travaille pas, je te la réservais. Mon alibi d'absence à la maison tenait la route, j'avais choisi mes vêtement et mon parfum. J'ai mis mon plus beau soutien gorge. Blanc, orné de diamants et de deux jolies petites boucles rouges sur les bretelles.. J'avais enfilé mon manteau et mes bottes. J'avais frisé mes cheveux mais les avais laissé libres pour te laisser jouer dedans sans souci.. je t'avais déja glissé un mot sur cette zone érogène puissante qu'est ma nuque. Et j'adore tellement qu'on passe la main dans mes cheveux..

J'avais déja cette excitation qui me gagnait tranquillement, les petits sourires espiègles qui remontaient les commissures de mes lèvres et laissaient mon regard vitreux en hâte de poser les yeux sur toi. J'avais déja cette envie de t'envoyer un message-texte pour t'avertir de mon arrivée prochaine, mais ça n'aurait pas été une surprise.. Alors, je me suis tue.

Je sentais ma chatte se réchauffer à l'approche de ce moment que j'avais tant espéré. Mes gestes et mes paroles étaient déja choisis; j'allais arriver à ton travail, t'avertir de mon arrivée et dès lors, j'allais te déshabiller des yeux un instant avant de t'embrasser passionnément et fougueusement. Je savais que ma main allait probablement se perdre dans tes cheveux un moment, puis, glisser jusqu'à ton dos.. à tes hanches..

Je sentais ta peau chaude sur ma paume, et mon nez caressait ta joue pendant que j'en étais à détacher ton pantalon, sans que tu n'aies même eu le temps de m'amener dans un endroit plus discret.. Tu me connais suffisamment bien pour savoir que ça ne m'effraie pas beaucoup de me faire voir.. J'imaginais déja ton érection soudaine, ton pantalon déformé au niveau du bassin.. j'aurais voulu sauter sur toi tout de suite. Là. Maintenant. Pas d'autres préliminaires. Puisque de toutes façons, la moitié du travail était déja fait!

J'aurais pris dans ma main ta queue bien dure, et me serais collée contre toi un peu, le temps d'embrasser ton cou, de respirer ton odeur. Je n'aurais pas cessé de te caresser la verge doucement, pour te faire sentir ma présence, pour que tu prennes le temps d'avoir les sens en éveil. Puis, je me serais lentement agenouillée en fixant bien ton regard azur, la langue prête à n'importe quelle folie pour te faire jouir.

Humectant mes lèvres, je t'aurais dit quelque chose comme: «Laisse-toi faire, c'est mon cadeau de St-Valentin en retard...» Soulevant ta verge jusqu'à sentir ton gland bien gonflé sur mes lèvres, je t'aurais léché pendant de longues secondes, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus. Tu n'aurais pas supporté que je joue à l'agace comme ça.. M'aurais-tu supplié de te prendre dans ma bouche? Je ne sais pas. Mais je ne me serais pas fait prier longtemps.. Je sentais déja la chaleur de ton sexe remplir ma bouche alors que mon va-et-vient devenait plus insistant. Alors que j'aurais sucé ton pieu avec plus d'emprise, plus de confiance, plus de salive pour que tu glisses bien jusqu'à ma gorge. J'aurais empoigné de ma petite main ta queue avec plus de vigueur, jusqu'à sentir s'agripper à ma tête ta main nerveuse, et à entendre des gémissements entre tes lèvres.. En levant les yeux, je t'aurais vu, la main relevée derrière ta tête, renversée par l'arrière, accotée sur le mur, haletant de ne pas arrêter. De continuer... J'imaginais l'instant où nos regards se seraient croisée. Tu m'aurais empoigné un sein.. ou même les deux.. parce que tu aimes trop les seins pour te retenir de le faire..
J'aurais senti la chaleur de ta main sur mon épiderme, comme une invitation à donner tout ce que j'avais pour te faire jouir en saccade au fond de ma gorge. Parce que oui, j'aurais tout avalé. Je n'aurais laissé pour rien au monde se perdre un petit bout de toi ailleurs qu'au creux de ma bouche accueillante.

Mille autres détails jaillissaient de ma tête à 11h59, quand j'ai aperçu de l'autre côté de la rue mon taxi qui m'attendait sur le boulevard devant la Brûlerie. J'avais mes écouteurs dans les oreilles, mon sac à main sur le bras, mes lunettes fumées au visage, j'étais prête. Puis, ce n'était pas toi qui parlait.

Et, je me suis inquiétée pour toi...

2 commentaires:

  1. Cela aurait été une St-Valentin pour laquelle j'en aurais gardé un souvenir impérissable. J'en tremblerais encore je crois juste d'y penser...

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  2. Tes billets me font immencablement mouiller... tu sais tellement bien mettre des image forte dans mon esprit. Excuse le mot, mais tu es parfaitement cochonne et j'adore ça..... Oh oui, je me amsturbe en lisant tes histoire, en m'imaginant à ta place, vivant tes aventures comme je les aimes....
    Moi qui aime tant les homme, comme toi, j'adorerais partager quelques moment intime avec toi, pour partager notre passion pour le plaisir su sexe..

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