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9.18.2012

Un soir de premières ou Comment se sentir comme une débutante pendant toute une soirée... Partie 3 de 3

Nous avions repris le cap vers nos résidences respectives dans l'auto de mon bel amour. La soirée était encore jeune. Je me sentais encore follement excitée et lui, avait faim. Il fallait trouver un resto dans le coin, qui allait nous plaire tous les deux. Je ne cessais de repasser les éléments de notre soirée dans ma tête, quand il me demande:
«Mexicain, ça te tente?»
-Oui, n'importe quoi, j'ai pas vraiment faim anyway.
Alors, nous entrons dans le stationnement du resto sur Taschereau, il stationne l'auto loin de la porte. Je questionne à haute voix le choix de la déco extérieure qui m'a l'air davantage d'un repère de Père-Noël que d'un restaurant. Après avoir ri, il ouvre sa porte comme pour sortir de sa voiture. Mais il revient vers moi et m'embrasse. Puis, je me jette littéralement sur sa bouche, lui arrachant goulûment une étreinte dont il avait bien envie. Bientôt, plus rien au monde n'existe et j'oublie que nous sommes dans un espace public où il serait très très facile de nous faire voir. Mais on s'en fout.

Sa main se glisse sous ma robe, effleurant ma cuisse et allant se réfugier sur ma chatte. Je n'avais pas remis ma culotte au Salon, et il le savait. Il passe le doigt entre mes lèvres et s'aperçoit tout de suite mon état d'excitation. Je continue de l'embrasser alors qu'il s'active, plus insistant, dans ma chatte. Je me sens tellement salope, de couler sur ses doigts. L'auto se remplit de cette odeur de sexe pour la première fois de la soirée. Nous sommes toujours dans le stationnement, je me suis adossée à mon siège, ai relevé ma robe et le laisse me doigter pendant que des gens passent de chaque côtés de l'auto. Les fenêtres s'embuent, ma voix augmente et son sourire fait de même. Je suis à mi-chemin entre la peur de nous faire prendre et l'envie qu'il me baise là, maintenant, sauvagement.

Après quelques minutes de son manège, je lui demande s'il a faim. Il me dit que non. Alors, il reprend la route vers je ne sais où. Tout ce que je sais à ce moment, c'est que je veux prendre le contrôle.
Sortis du stationnement, je glisse mon doigt sur ma chatte, mon pied gauche bien étiré dans les porte-gobelets et ma cuisse droite installée long de ma porte. Je relève la jambe pour lui laisser la vue sur ma chatte bien épilée et scintillante tant ma mouille la fait reluire. Je me caresse en le regardant droit dans les yeux. Quand j'ai bien attrapé son attention, nous sommes sur la voie rapide et il a bien du mal à rester concentré sur la route. Mon pied droit a trouver le moyen de se glisser vers sa fourche pour caresser sa queue bien dure à travers son jean. Il tente de changer les vitesses. Passer de la 2ieme à la 3ieme le fait souffrir tant il est excité. Il me jette des regards de désir et je sens au fond de ses yeux qu'il a bien envie que je continue mon petit manège.. Je glisse la main sur son entre-jambe et lui caresse pendant qu'il installe un doigt sur mon antre. Nous nous titillons respectivement. C'est divin.

Une fois sur l'autoroute, je recule mon siège avec un minimum de grâce, détache ma ceinture et jette un oeil derrière. Puis, je m'agenouille dans l'espace et entreprend de le déconcentrer comme il se doit. Je ronronne comme une chatte en chaleur qui aurait très envie d'une queue. Il m'aide à défaire sa ceinture et je glisse la langue sur sa queue. Pendant qu'il conduit, des voitures le dépassent. Je m'en fous. J'ai son pieu entre les lèvres, je le lèche et le suce autant que faire se peut puis, son désir l'amène aux Promenades St-Bruno.

Je ne crois pas qu'il ait très envie de magasiner cette fois-ci. Pourtant nos séances de magasinage n'ont jamais été mornes. Haha! Je ne connais pas le coin, mais je rêve secrètement de pouvoir profiter de l'instant et de l'absence de traffic avec lui. Il nous amène au fin fond du terrain de stationnement, dans un espace semi-éclairé, faisant face à un cul-de-sac. Et il pose la main sur ma gorge.. puis insère deux doigts en moi et me pilonne jusqu'à ce que je fonde.. J'ai envie de crier, je tiens l'accotoir pour la tête d'une main et je me tords de plaisir sur le siège. Il me fait jouir une fois, puis une autre. J'en tremble.

Nous discutons pendant une heure, assis sur nos sièges, de nos vies, nos familles, nos projets.
Une heure comme on ne les passe pas souvent. Parce que oui j'adore le baiser, mais en dehors de ça, ce que j'aime encore davantage, ce sont les moments où il se confie, ou on se livre à l'autre. Les confessions sur l'oreiller sont rarement dans un lit!

Il me dit que je l'ai devancé dans ses plans. Qu'il aurait grandement préféré m'amener baiser dans son auto sur le dessus d'une montagne avec la vue sur la Ville et tout.. Ce romantique. Je lui dis que je n'aurais probablement rien vu puisque je passe mon temps à jouir depuis le début de la soirée et que plus rien ne compte dans ces moments-là.

Il se fait tard. Nous retournons à la maison pour de vrai. Il vient me reconduire.. nous sommes à côté d'un parc. Il est bientôt minuit. J'ai encore envie de lui, je ne veux pas le laisser partir, je veux qu'il me baise une dernière fois. Il éteint les lumières de l'auto. Je lui dis;
«J'ai très envie que tu me violes dans le gazon du parc juste-là, derrière un buisson. Ta main sur ma gorge et tout...» Il accepte. Mais en ouvrant la porte de l'auto, je me rends compte que la température n'est pas celle à laquelle je m'attendais. On remonte dans l'auto et sans que je n'aie le temps de dire quoi que ce soit, il grimpe sur moi, me maintenant fermement les cuisses alors qu'il enlève son pantalon de l'autre main. Il couche mon siège et prend ma gorge. D'un trait, il relève mes cuisses et me pénètre. Sans préparation. (Il faut dire que j'étais préparée suffisamment pour accueillir n'importe quoi.. ) Il caresse mon cul pendant qu'il me baise. Je l'entend gémir. J'adore l'entendre au creux de mon oreille. L'espace restreint aidant, il me tient bien serrée contre lui, puis, spontanément, il tient mes mains bien serrées derrière ma tête et accélère la cadence. Il me pilonne sans ménagement. Je sens que je vais jouir sur lui. J'ai les sens à fleur-de-peau. Je crie, je hurle. Il met la main sur ma bouche, sur ma gorge. Je suis au bord du climax. J'ai envie de quelque chose de plus intense. Je me libère de son étreinte et agrippe sa main. «Plus fort.» Je lui murmure de serrer davantage. Je veux manquer d'air et jouir comme la salope qu'il mérite d'avoir à ses genoux. Il me baise comme il ne l'a jamais fait, fort, vite, son poids sur moi me retient en place. Il a prit le contrôle, il sert mon cou comme je le voulais. Lui qui avait toujours eu peur de cette attirance que j'ai pour la douleur, il me donne ce que je revendique depuis des années. Je me sens partir. Il est sur le point de jouir en moi, me gueulant son plaisir bestial dans l'oreille alors que je me sens m'assoupir. Je l'entends de moins en moins alors que ses derniers coups de bassins se font ressentir sur mon corps devenu presque cadavre.. je ne suis plus là.


Quand je me réveille, son orgasme est terminé et il crie mon nom. Je me sens faible, mais remplie de papillons. Dans une inspiration, je reprends mes esprits et mes yeux se remplissent de larmes. Il reprend son siège et je garde les cuisses ouvertes. Son sperme s'écoule de ma chatte et je l'étends sur mes cuisses et mes fesses, mes cuisses.. j'ai envie de garder son odeur sur moi, comme un souvenir ou un trophée.

Il ne nous reste plus beaucoup de temps. Il fait quelques mètres et se gare devant l'endroit où je passerai la nuit.

Dans un dernier baiser, un dernier «Je t'aime», nous nous laissons. Puis, je rentre, en pleurant, comme toujours.

Toutes les émotions furent de la partie.

5 commentaires:

  1. Pourquoi as tu pleuré à la fin comme toujours?

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  2. Parce que chaque fois, nous ne savons pas quand nous allons nous revoir, parce que je vis des moments super intenses avec lui et que je souhaiterais ne jamais voir s'arrêter nos soirées. Voilà.

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  3. Quelle soirée ! Voilà qui meublera quelques uns de mes rêves à accomplir, j'avoue que je ne sais si j'aurais assez de guts pour amener ma blonde dans un salon de massage...

    futur infidel xxx

    http://confessionsdunfuturinfidel.blogspot.ca/

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  4. J'aimerais savoir si tu as jouis lorsqu'il te tenais la gorge au point de t'en faire perdre connaissance?
    Je suis follement attiréet excité par cette pratique mais je ne suis jamais allé jusqu'au bout par peur.... Tu me le conseil?? Dis-moi.

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  5. En réponse à Mel:

    Parfois je jouis, parfois je n'ai aucune idée si je jouis ou non.. quand ça arrive, je me sens comme si je coulais au fond d'une rivière et la jouissance me donne un rush d'adrénaline qui me fait remonter à la surface.

    Il faut être préparée mentalement, connaître ses propres limites et aussi apprendre à bien les communiquer à son partenaire. La peur peut nous faire commettre l'irréparable aussi.. il faut se connaître, prendre conscience de la raison pour laquelle on le fait.

    Si je te le conseille? Je ne sais pas.
    Ça dépend de toi, de tes envies, de ton plaisir et de la personne avec qui tu partages ce moment.

    Mais ce qui est certain, c'est qu'à la seconde où tu décideras de complètement te laisser aller, laisser la main de ton Homme te prendre la gorge, le laisser serrer jusqu'à la limite du tolérable, t'abandonner à lui, tu vivras des instants délicieux.

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