Profiter d'un dimanche matin, tranquille devant un café et se remémorer la soirée absolument électrisante que j'ai eue hier avec mon amant.. j'écris ce billet à peine sortie de mes grandes émotions afin de ne rien en oublier. Alors, voici ce qui me rend souriante, qui me fait rougir comme une «dingue» dans ce café de Maisonneuve..
La journée m'a paru une éternité. Je n'ai jamais vu les minutes avancer à pas si lent. Je n'écoutais plus rien de ce que mes collègues me disaient, déja partie au fin fond de mon imaginaire à explorer son corps que je n'avais pu toucher depuis près de 4 mois. 4 mois, pour des amants, c'est équivalent à un siècle. Un siècle sans joindre nos corps pour une étreinte charnelle à l'abris des regards, mais aussi avec des alibis bien forgés et des plans coquins.
Le «timing» était bon. L'attente était difficile mais les retrouvailles furent délicieuses. En début de semaine j'avais proposé à mon amant de se voir samedi soir. J'avais le champ libre, j'étais dans sa région et il pouvait se libérer pour la soirée. Le plan était un peu flou, mais aussi excitant pour lui que pour moi. Après ma journée de formation, il est venu me chercher habillé en gentleman, toujours frais rasé et sentant délicieusement bon. La règle était claire; il devait être totalement nu sous son jean. Et il a honoré sa promesse. ;)
Sur le coup, j'étais gênée. Comme le genre de gêne qui nous tient à un premier rendez-vous.. j'avais ce désir de l'embrasser et de me jeter sur sa queue dès son entrée. Mais je me suis bien retenue pendant 30 minutes. Frissons d'excitation ou air frisquet dans l'auto; je ne sais pas. Honnêtement, je miserais sur l'option 1.
Nous sommes partis vers le Centre-Ville. Il ne m'avait pas dit où nous allions et je lui faisais entièrement confiance. Il nous a conduit à travers le traffic pendant que je laissais flâner mes ongles sur son bras.. ma main.. sa cuisse. Je faisais passer le stress par mon regard jeté aux édifices sur Ste-Catherine. Il a garé l'auto et m'a demandé de le suivre, laissant derrière mon sac à main et mon châle. En ce samedi soir de septembre, j'avais froid avec ma robe courte et mes ballerines à bout ouvert. Mais je n'ai pas eu le temps de frissonner bien longtemps. Il nous a ouvert la porte pour entrer dans un endroit plutôt sombre où nous avons été accueillis par un arabe à la tenue plutôt louche.. je n'avais même pas eu le temps de regarder l'enseigne au dessus de la porte que j'étais conduite par mon amant au Peep Show. Je savais dès lors que j'allais passer une soirée de découvertes.
Je me sentais comme une jeune fille à qui on fait découvrir la vie. J'avais le regard attentif et une envie d'en apprendre un peu plus. Mon complice prend ma main et m'amène à travers le labyrinthe de cabines bruyantes où j'entend jouir des demoiselles et où des portes sont ouvertes vers des fauteuils de cuir noirs.
On entre dans une cabine qui logiquement devrait accueillir qu'une seule personne.. nous sommes serrés. Laigle dépose une poignée de monnaie sur «coinbox» pendant que je regarde le grand écran, ébahie par tant de pénis en même temps et dans tous contexte. Étant en plein coeur du quartier gai, nous avons droit pendant les premières minutes à des travestis et des transexuelles à la queue bien dure contre le cul d'un homme.. Mon amant me dit alors; «Je ne sais pas si tu te souviens, quand on s'est rencontrés, je t'avais dit que j'allais te faire découvrir Montréal autrement. On commence ici.» Au même instant, il me presse contre le mur et commence à m'embrasser passionnément en cherchant déja ma chatte du bout du doigt. Ses lèvres me manquaient, je dois avouer. Puis il me repousse sur le fauteuil avant de s'agenouiller devant moi, mettre mes pieds sur ses épaules et tasser un peu cette culotte détrempée par le jus de mon plaisir. Puis, sa langue s'active sur mon clito déja excité et demandant de l'attention.Ça ne pris que quelques instants avant que je sente s'insérer deux doigts en moi. En fond sonore, une fille qui criait de plaisir pendant qu'une queue de bon calibre lui prenait le cul prêt à déchirer sous l'assaut des hanches du mec qui la défonçait. Stimulant à la fois mon petit trou et ma chatte, pendant que je branlais mon clito, je me sentis défaillir et j'ai juté sur sa main comme une vraie salope. Puis, il pris ma chatte, ma bouche, ma gorge, pendant qu'il cherchait à caresser mes seins emprisonnés sous ma robe. Quand il en eu assez, il me fit m'agenouiller devant et baisa ma tête en me retenant fermement contre son pubis. En saccade et dans un cris sauvage et glutural, il se déversa au fond de ma gorge. Je suis souris puis, lava sa queue comme une bonne salope avant de me relever pour l'embrasser..
Une fille à l'écran en était à la même technique que moi quand j'eus terminé.
Puis, il me dit: «Vous n'avez pas ça à Québec. Ça fait un bout que je suis venu ici.. ça remonte au temps où j'étais à l'université et où je débarquais ici avec ma boite de kleenex. C'est un peu trash..»
Puis, nous sommes ressortis. Je me sentais à la fois très salope et un brin gênée.. je ne regardais personne dans la rue. Que lui. J'avais chaud à présent. Nous sommes remontés dans l'auto et avons pris le large vers le pont. Direction Longueuil où une demoiselle aux seins fermes et à la chatte épilée à la perfection nous attendait..
Il donnait le coup d'envoi à cette exaltante soirée de découvertes..
Vous avez envie de savoir ce qui se passe dans la tête d'une petite salope?.. Connaître les pensées, les fantasmes.. les faits et gestes dans la vie de celle que je suis.. ..attention, la lecture entraîne des effets immédiats;vous demeurerez accro!
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9.16.2012
Un soir de premières ou Comment se sentir comme une débutante pendant tout une soirée... Partie 1 de 3
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Wow!! j'attend vivement la partie 2 et 3 :D!!!
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