Rechercher dans ce blog..

8.30.2012

Mon blogue dans l'univers du fantasme

J'ai l'impression d'avoir écrit cet éditorial des milliers de fois. Déjà, avant même d'aller au vif du sujet, je sais que ma corde sensible va se mettre à vibrer..

Et si je ne tournais pas autour du pot, je vous avouerais, chers lecteurs, que j'ai mis sur la Toile ce blogue avant tout pour moi. Pour écrire et faire découvrir aux gens ayant un peu le même mode de vie que moi mes sentiments à l'égard de la vie. À l'égard de ce qui me rend heureuse et ce qui me fait de la peine, ce qui me fait pleurer ou rire, ce que j'ai envie de tenter ou ce que je garde en moi comme un bourgeon de rose attendant son soleil pour éclore. Ça m'a permis de faire de belles et bonnes rencontres, certes, mais ce n'était pas mon but. Par ce site, je voulais laisser aller mes désirs ainsi que mes mots sur des thèmes inépuisables et commun à tous. La sexualité. La vie. L'amour. La haine. Le goût du risque. Bien sur, j'ai eu des commentaires désagréables, d'autre carrément haineux. Mais j'avais toujours en tête que j'écrivais d'abord et avant tout pour moi. Alors de là, je laissais passer les opinions désobligeantes et me concentrais sur mon plaisir. Je ne veux pas appeler ça de l'égoïsme.

Au risque de décevoir des centaines de lecteurs, je vous l'annonce en exclusivité aujourd'hui, près de 80% de mes récits ne sont jamais arrivés. Ils résident par contre au fond de mon imaginaire, puisque même s'ils ne se sont pas produits, ils font partis de mes fantasmes. Tous mes textes sont tirés d'une pulsion que j'ai alimentée jusqu'à la rendre crédible, suffisamment imagée et détaillée afin d'être prête à être lue par d'autres que moi. Ceux qui me connaissent bien savent reconnaître les textes faisant mention de la vie de la véritable personne qui se trouve derrière l'écran. Ce sont souvent les textes qui ont été les plus critiqués, au sens où on me jugeait pour mes envies et fantaisies qui sont parfois mal vues ou tout simplement taboues dans certains foyers. Parfait, je vies bien avec le fait que peu d'entre vous aimez le BDSM ou avez déja vécu une expérience en lien avec cet aspect plus mal-aimé du sexe. Voyant que mes fidèles lecteurs me suivaient toujours mais avaient envie de lire quelque chose de plus «soft» ou «normal», j'ai décidé de me lancer dans l'écriture plus romanesque, d'histoires ficelées dans un optique plus concret et réalisable, tentant de divertir la masse populaire qui voulait entendre parler de triolisme, de plans à 4, de baise entre filles ou de lingerie.

Je ne crois pas avoir fait de ce blogue mon journal intime. Je ne crois pas avoir écrit les billets dans l'ordre où je les aurais vécu, selon mes désirs du moment ou même pour attirer l'attention de prospect pour me joindre dans mon fantasme. Je m'amuse ici et sur Twitter, à créer un phénomène d'attraction sur mes pages pour mon propre plaisir, mais aussi pour le vôtre. Plus j'ai de visiteurs, plus j'ai envie d'écrire. Plus j'ai envie d'écrire, plus je varie mes histoires et ça attire de nouvelles personnes qui me suggèrent des idées, etc.
Mais au bout du compte, le choix de poursuivre ou non ce blogue me revient de droit. Y afficher ce que je veux me revient également.

Si j'écris ici que j'ai envie de me faire prendre par 3 hommes à la fois, ça ne signifie pas que je lance une perche au lectorat masculin. De même pour les scénario avec une autre demoiselle ou autre. Il ne s'agit pas de me montrer ouverte et même très «à la recherche», il s'agit me mettre sur table une partie de ce que je suis, mélangée à une partie de ce à quoi je pense parfois..

J'arrive où je veux en venir. Je ne veux pas avoir à me justifier devant personne de faire des choix pour moi, pour ma propre vie et mon propre bonheur. Je ne veux pas avoir à prouver ce que je suis, ce que je vaux ou ce vers quoi j'aspire. Alors je ne veux plus avoir à m'expliquer d'écrire ce que j'écris sur mon blogue, ni d'avoir à m'excuser de choisir le vocabulaire ou les images ou même les thèmes d'écriture que je choisis. Dans la même veine, j'ai décidé que je me recentrais sur moi et au risque de perdre mon lectorat, je reprendrai le contrôle de mes pages.


Alors aux 5 ou 6 lecteurs qui m'écrivent sans arrêt pour m'insulter ou pour questionner mes choix de vie ou de mots, ça ne sert à rien de vous donner tant de mal à me haïr. Aux autres qui font de la désinformation, ou qui pensent me connaitre, qui croient que mon personnage de Mamz'elle J et moi, la véritable MOI sommes en tous points pareilles, alors vous vous trompez grassement.

Je choisis mes batailles dans la vie pour avancer. Celle-là n'en fait plus partie..


Ups and Downs. Love and Fear. Sex and Domination.

I woke up sweating last night .. I dreamed that you were grabbing my hair to fuck me as if your life depended on it. As if I was the last person you would have given your semen before dying.. You'll never know how much I love to spend time with you, to feel you heat, to taste your lips, to lick you cock.. You'll never even imagine how I feel about these moments in your arms; when you kiss me softly just before you bully my pussy, when you whisper some tender words to my ear and then you smothering me. I love it. Ups and Downs. Love and Fear. Vanilla Sex and Domination. You really spin my head, mister... 

8.28.2012

Laigle au Centre-Ville de la Métropole.

Laigle a eu une pensée pour moi ce midi, lors de sa balade au Centre-Ville de Montréal.
Il sait à quel point j'aime l'ambiance et la déco de la Ste-Catherine en saison estivale.

Voilà donc ses photos:














Merci pour la pensée, xxx

À la limite du non-retour...

On avait prévu de se voir à peine quelques jours plus tôt. Dans une extrême urgence, on avait envie de se revoir. Six heures approchaient, je revenais du travail à peine et déjà je devais faire le nécessaire pour qu'il ne voit pas mon empressement à bien présenter mon «chez-moi» un peu en bordel. Quand j'ai entendu l'intercom, mon coeur a failli fendre en deux. Puis, une minute plus tard, il faisait son entrée. C'est étonnant, le naturel avec lequel on se côtoie. On s’assoit sur le sofa et on se met à discuter vacances. Il me parle de sa location de condo à Tremblant, mais je l'écoute à peine. Je regarde sa bouche invitante, ses yeux qui me fixent et je me demande à quel instant sera le moment de lui sauter dessus. Bien entendu, ma mère m'a bien élevée. Je le laisse terminer et lui offre à boire...

Mais je n'ai pas le temps de me lever du sofa que déja, j'ai mes lèvres collées aux siennes et les mains dans ses cheveux. Je n'en pouvais plus de patienter depuis plus de 3 mois.. j'avais terriblement envie de lui. Lui de moi. Un véritable aimant agissait entre nous.

Dès mes mains posées sur son corps, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, à l'embrasser, le caresser, lui avouer à quel point j'avais hâte de le revoir, à quel point il m'avait manqué. Je sentais sa queue se gonfler sous ma chatte toujours dans ma culotte de dentelle noire, pendant qu'il glissait ses doigts derrière mes cuisses et jusque sous le tissus. J'avais déjà la chatte trempée et une énergie du diable pour lui montrer à quel point il me manquait. J'aurais fait n'importe quoi..

Je l'ai embrassé partout. Du cou aux aines, j'avais envie de laisser mon odeur, de marquer ma trace, de lui laisser savoir ma présence bien après mon départ. Après avoir couvert son torse de baisers, il s'est masturbé avec mes seins, ses yeux dans les miens. Cochon à souhaits.. ;)

Il m'a présenté son membre à l'entrée de ma bouche. J'avais la langue qui démangeait de me l'insérer au fond de la gorge, jusqu'à la suffocation s'il le fallait, pour le rendre fou. Ma bouche ne me suffisait pas, il fallait que je le caresse à deux mains. Ma salive donnait à cette fellation un côté plus salope, plus impliquée. J'avais son pieu qui me pilonnait la gorge, faisant faire des soubresauts à mon système digestifs, mais ô mon Dieu, j'aurais passé ma vie avec sa queue sur ma langue. Puis ce fut son tour de prendre bien soin de moi. À genoux sur le sofa, dos à lui, je lui ai présenté ma chatte, bien cambrée, afin qu'il s'y insère sans misère et sans gène. Il m'a pilonné comme ça pendant deux ou trois éternités, agrippant mes cheveux et mes hanches, mais le moment culminant fut quand il prit ma tête pour la ramener par derrière, à la limite de la blessure, et en prenant bien ma gorge, m'a inséré sa queue, grosse et large, dans ma chatte toute serrée et chaude. Ce fut un moment d'extase. Il me retenait avec une telle vigueur à la gorge que je me suis sentie partir, perdre conscience.. Juste à temps, je me suis réveillée. Il avait déjà fait le tour du sofa et laissait danser son gland sur ma lèvre alors que j'étais toujours endormie.


Plusieurs fois encore il m'a pris par la gorge, à une ou deux mains, à ma demande. Je voulais repousser mes limites à fond, sans bien les connaitre. Il m'a serrée et étouffée, à la limite du non-retour, quand parfois même je sentais qu'il ne voulait pas serrer davantage... Je me sentais partir - mes yeux se fermaient, puis mes oreilles se bouchaient- puis revenir, parfois avec sa queue dans ma chatte, d'autres fois avec ses doigts qui me dilataient. J'ai giclé sur lui en un instant de plaisir, sa main toujours sur ma gorge, alors que la faible lumière du salon éclairait la chambre. J'en aurais voulu encore et encore...  mais il devait partir. J'ai eu un plaisir immense encore ce soir-là..





8.24.2012

Nostalgie de ma Soumission : Jamais avant, on ne m'avait appelé «ma salope»

J'ai toujours cru au hasard.

Vous savez, deux personnes qui se retrouvent exactement au même endroit, au même moment, peu importe les circonstances qui font que ces deux personnes en question sont là. L'instant où les regards se croisent,  où le temps s'arrête une seconde mais qui paraît en être une ou deux éternités. La conversation s'engage, le courant passe, les joues se touchent et s'alignent les gestes de plus en plus intimes jusqu'à ce que les draps déferlent sous les intenses coïts de deux amants qui se trouvent.

La chimie entre deux amoureux d'une nuit est si intense qu'avant même d'avoir posé les lèvres sur celles de l'autre, vous vous sentez vivre. Vous avez le coeur qui s'emballe à la vue de son sourire, vous détaillez son corps, sentez son odeur et avez envie d'enfouir le nez dans ses cheveux.. Je me souviens de mon premier coup de foudre. Il était beau. Le charisme d'un acteur de cinéma. Toutes les filles, même les femmes de mon coin l'avaient dans la mire. Pour une raison que j'ignore, une complicité s'est créée entre lui et moi, si bien que j'avais, sans le vouloir, rendu les filles de mon âge envieuses. Je le revois souvent. Il habite toujours dans la ville qui m'a vue naître. J'ai revécu quelques fois le «feeling» intense d'une rencontre qui allait me marquer.

Je vous raconte une histoire vécue.

Je n'avais aucune intention de trouver un homme pour me faire tourner la tête sous la force d'un orgasme. De toutes façons, c'est rarement quand on cherche véritablement, que l'on trouve ce qu'on attend.

 Si nous nous sommes rencontrés lui et moi, c'est par l'entremise d'une personne que je n'ai même jamais vue en personne. Pour une raison que j'ignore, nous avons échangé pendant quelque temps. Ses intentions ont été claires depuis le premier jour. De mon côté, j'avais divulgué mon âge au premier mail.

http://www.google.ca/imgres?um=1&hl=en&biw= 
Lors de notre première rencontre, il avait décidé de tout. Mon habillement, ma position, la direction de mon regard. C'était la première fois que je rencontrais un homme que je n'avais jamais, jamais vu avant. Si au début, il était clairement établi que je n'avais pas le droit de le regarder dans les yeux durant toute notre rencontre. J'étais non seulement débutante dans le sexe, dans les sentiments réciproques mais aussi dans l'univers de la soumission. Jamais auparavant on ne m'avait appelé «ma salope». Jamais auparavant on ne m'avait pris les cheveux pour mieux me retenir sur le lit. Jamais on ne m'avait fait laver une queue du gland aux couilles, jamais on ne m'avait fait dévorer un cul d'homme, les genoux relevés au menton. Jamais on ne m'avait fait pousser un pieu dans ma gorge jusqu'à ce que j'en pleure de suffocation. Jamais on ne m'avait mordu les mamelons jusqu'à la cloque d'eau 3 jours plus tard. On ne m'avait jamais fait mettre les mains derrière mon dos pendant que je tirais la langue pour me faire serrer les seins par deux mains puissantes et avides de chair.

J'avais lu des tonnes de récits érotiques sur la soumission. J'avais depuis longtemps ce sentiment qui m'habitait au delà de mon imagination, de mes fantasme d'être à la merci d'un homme autoritaire. J'avais  repensé des centaines de fois à ma première pénétration adultère en tant que soumise. Je savais que j'allais devoir apprendre, cheminer et devenir celle qu'il allait vouloir revoir. Je ne voulais pas que cette soirée reste dans ma tête comme un flop, comme une perte de temps de la part des deux amants.


Le premier soir, j'étais sous le choc. Je ne voulais plus jamais le revoir. Mais il a réussit à faire grandir en moi la volonté de recommencer, sans me pousser, sans chercher à me convaincre de devenir son sac à foutre par excellence.

J'ai toujours cru que ça prenait une soumise pour comprendre une soumise. Pour comprendre comment une insulte terrible pour l'une peut devenir une grande grâce pour une autre.. difficile à comprendre et à respecter.

J'ai connu l'homme derrière le Maître au fil de nos rencontres, durant nos confessions sur l'oreiller. Quand nous avions terminé nos petits jeux, quand j'avais finalement eu la permission d'avaler sa semence ainsi que la salive que j'étirais du bout de sa queue à ma bouche, quand il m'abreuvais à même mon verre, quand il prenait soin de moi, qu'il essuyait mes yeux pleins de larmes, nos regards se soutenant, nous nous étendions nus sur mon lit et passions un bon moment à discuter de sa petite famille, de son travail et de ses projets d'avenir. On a parlé de ma vie, mes études qui se poursuivaient et de mon entourage. Toujours un verre de vin à la main.

J'ai eu l'extrême chance de tomber sur un homme merveilleux. J'aurais pu tomber sur le pire sans-coeur au monde, qui m'aurait mise à terre, se serait vidé sur moi et m'aurais laissé me détruire en prenant personnel et au pied de la lettre toutes ces insultes lancées à mon endroit pendant qu'il m'aurait défoncé à m'en faire perdre conscience, sous douleur et souffrance. Mais il a pris le temps de m'expliquer, de m'écouter et de m'enseigner. Je ne crois pas que j'en suis arrivée à mes limites. Ça fait terriblement longtemps que je n'ai pas eu droit à son traitement. Je ne vous cacherai pas que bien honnêtement, ça me manque beaucoup.

Je crois que c'est ce qui a sauvé mon fantasme; connaître l'Homme avant le Maître. Ça doit être ce qui le fait vivre encore. Et encore....et encore.




8.22.2012

Le Souper Presque Parfait, partie 2


'insérais 3 doigts à la fois dans sa chatte que je pilonnais de la main droite tandis que mon pouce et mon index écartaient ses fesses pour que je puisse lécher son beau petit cul. J'aimais encore plus donner le plaisir que de le recevoir. J'ai pris conscience de son véritable «guts» à la seconde où elle a inséré 2 doigts dans mon cul, bien lubrifié de ma mouille qui s'y infiltrait et 4 dans ma chatte luisante. Elle avait trouvé comment me plaire. Mes gémissement et mes spasmes de plaisir se faisaient bien descriptifs du plaisir que je prenais à ce moment. C'est surtout quand elle s'est levée pour aller chercher son vibrateur et un dildo «jelly» sur un harnais que j'ai compris qu'elle ne voudrait plus s'arrêter..

Nous entendions nos amis chanter en bas. C'était affreux. Ils n'avaient aucun talent mais tant que personne ne viendrait nous chercher en haut, ça nous allait quand même comme fond sonore. Ça étouffait assez bien notre jouissance, jusqu'à ce que...


-----

Jimmy frappe à la porte. Sachant que ni moi, ni Sarah sommes dans les parages lors d'un karaoké et que la porte de la chambre est fermée depuis un bon quart d'heure, il y a quelques indices qu'un homme peut percevoir. D'habitude, nous sommes les premières à agripper le micro pour chantonner sur un Tina Turner alors que tout le monde nous gueule de verser de la bière sur nos T-Shirts. C'est bien normal que Monsieur Jimmy se pose des questions.

Nous sommes étendues sur le lit, n'osant pas répondre à la porte. Dans la position où nous sommes, il serait difficile de camoufler ce plaisir que l'on se donnait il y a quelques instants à peine. Nous restons silencieuses. Il frappe encore. Mais cette fois-ci, il sort une carte de crédit de son porte-feuille et la glisse dans la fente de la porte comme un bandit expérimenté et à l'ouverture de la porte, quelle ne fut pas sa surprise de nous voir toutes deux nues, à se caresses du bout de la langue, les doigts bien enfouis dans le sexe de l'autre. À en voir ses yeux, il ne s'attendait pas à ça.

Il entre et referme vite la porte derrière lui. Dans la pénombre, on le voit à peine. Sa peau se fond à la noirceur, mais on voit bien ses yeux.

Toujours figées, nous restons là à le regarder pendant qu'il est figé.
Il nous regarde et bafouille, l'alcool aidant. Il nous demande ce qu'on fait. On lui fait comprendre que c'est pourtant évident. C'est alors que Sarah lui dit; «Prouve-moi donc que tu aimes les chattes, pendant que t'es ici.»

Alors Jimmy s'avance vers le lit.Sarah se relève un peu et embrasse Jimmy langoureusement avant de l'agripper par la tignasse et de lui planquer la bouche contre ma chatte ruisselante. Il la lèche comme si sa vie en dépendait alors que Sarah défait sa ceinture et baisse son pantalon en même temps que son boxer. L'érection qu'affiche Jim est solide comme le roc, longue et assez invitante pour que Sarah passe les politesses. Elle empoigne sa queue dans sa main et commence à le lécher de bas en haut, ne voulant pas s'arrêter. Pendant ce temps, je suis toujours couchée sur le dos, sur le lit alors que Jimmy a trouvé l'accès à ma chatte, y insérant 2 de ses gros doigts et il continue de tournoyer autour de mon clitoris. Je suis tellement excitée que je pense m'évanouir. Alors qu'elle se lève pour monter sur le lit, Sarah se couche sur l'édredon, parallèlement à moi pour recevoir à son tour le traitement de faveur que sa chatte lui réclame. Jimmy passe d'une chatte à l'autre, ses doigts restant toujours dans nos fentes, nous baisant de ses mains pas du tout synchronisées mais tellement magiques. Nous jouissons toutes les deux dans de petits cris et nos cuisses se referment sur les bras de notre homme. Il prend Sarah, la place à 4 pattes au pied du lit et, humectant le gland de son beau pénis, il commence à travailler son petit cul serré. Elle roule les yeux vers l'arrière. La vicieuse. Elle me fait signe d'approcher d'elle et je me place dans la même position pour qu'elle puisse lécher mon cul aussi. Sa langue est chaude, douce, inépuisable. Elle force un peu, parvient à me tirer un frisson qui me monte le long de la colonne et laisse Jimmy s'occuper de moi. Il se couche sur le lit et me fais monter sur lui. Il me défonce la chatte comme s'il n'avait jamais eu l'occasion de le faire avant, empoignant mes seins de ses mains fermes et destructrices.. Pendant ce temps, ma copine enfile un harnais auquel elle installe le dildo en «jelly» de tout à l'heure et vient se placer derrière moi. Oh.. je sens que je vais hurler.

Sarah fait entrer son dildo dans mon cul à l'aide d'un peu de lubrifiant. Je suis cambrée sur Jimmy pendant que je sens entrer chaque centimètres de l'objet entre mes fesses. J'ai envie de pleurer. Ça fait mal. Sarah a surestimé ma capacité à absorber la douleur et le calibre de son dard est intense. À ce moment précis, elle passe son bars autour de mes hanches et vient appuyer un ouf vibrant sur mon clitoris afin que la douleur fasse place à mon plaisir. Ça donne l'effet escompté. Jimmy peut à peine se contenir dans ma chatte alors que j'en veux plus. Il commence à se sentir vraiment à l'étroit alors qu'elle a réussi à dilater suffisamment mon muscle pour entrer le diamètre complet à plus de 5 pouces dans mon petit trou. Je prend en main l'oeuf, je l'appuie sur mon clito et je sens monter en moi la jouissance la plus grandiose. Je sens un véritable torrent d'émotion m'envahir. J'ai envie de crier mon bonheur mais elle m'agrippe par les cheveux et met une main sur ma bouche. Il n'en fallait pas plus pour que je jouisse en une série de spasmes violents. Jimmy suit l'instant d'après.

Nous nous reposons un instant avant de satisfaire Sarah. Je me couche encore une fois sur le dos et l'invite à approcher sa chatte de ma bouche alors que Jimmy lui enfonce le dildo dans la chatte. Je la lèche, je la goûte, je suce son bourgeon et aspire tout le nectar que m'apporte son excitation. Il la pilonne plus encore et elle finit par s'affaler sur mon corps. Je continue à donner quelques coups de langue pendant son orgasme, afin de prolonger un peu plus le moment d'extase. Quand elle a repris ses esprits, Jimmy est rhabillé et parti à la salle de bain. Je suis toujours là, nue sur le lit avec elle.

Elle remet ses vêtements et moi les miens. Et sans établir de tactique, nous descendons l'escalier pour rejoindre les autres au salon. Le karaoké est déjà fini. Quel dommage.

C'est à la seconde où j'allais demander à tout le monde si je servais la sangria que Xavier vient me dire: Alors, t'as réussi à relever ton défi?
-Quel défi?
-Celui que tu as reçu quand Sarah est montée avec toi en haut?
-Hein?
-Oui, Sarah t'a fait monter pour te présenter ton défi. Chacun de nous doit relever un défi ce soir pour gagner une nuit avec nous au chalet dans un mois!


Et en glissant la main dans ma poche de jean, je sors un petit papier disant;

Défi: Nommer la couleur de sous-vêtements de 2 personnes de sexe différents présentes ici sans qu'ils s'en rendent compte.

Je réponds à Xavier: Ah! Oui!.. Alors noir pour Jim et Rose pour Sarah.

...et c'est là qu'il a compris ce qui se passait réellement dans la chambre.









8.21.2012

Billets «Demandes spéciales»

J'ai décidé de lancer un appel sur Twitter auprès de mes «suiveux» afin de savoir ce qu'ils aimeraient lire sur mon blogue. Ce soir, je ferai donc un melting-pot de ces demandes.

Je commence avec les demandes de MoiJustePourElle:
1) Suggestion à ton dernier tweet. J'aimerais lire, histoire sur ta ''première': pipe,jouissance,relation anale, masturbation, fille/fille...Alors j'irai dans le sens de ma première relation anale.. en bref.

Alors, j'avais jamais été très intriguée à l'idée d'avoir une queue entre les fesses avant ce soir de mai 2010. J'avais 19 ans à l'époque. Une belle soirée où on avait beaucoup bu (comme à presque chaque fois où j'ai tenté de la nouveauté) et où on avait eu un souper avec des amis où la discussion est devenu olé olé! Nous sommes atterris sur le sujet du sexe anal, des relations échangistes et de la baise en public. Le soir, de retour à la maison éméchés mais la libido au tapis, nous avons filé sous la douche et nous sommes savonnés mutuellement. Déjà sous la douche, nous avions commencé les caresses et quelques pénétrations afin de nous mettre en état de désir intéressant.  Sortis de la douche, nous nous sommes étendus dans le lit, j'avais sa queue dans ma bouche et lui les mains dans mes cheveux. Quand sa queue fut gonflée et prête à bien me pilonner, j'ai glissé à l'oreille de mon copain que j'avais envie d'essayer autre chose. Quand il a comprit de quoi j'avais envie, j'ai senti ses yeux s'ouvrir. Il en avait envie aussi. Je me suis couchée sur le dos. Il a sorti mon plus petit vibrateur, avec des diamants à la base et de forme effilée ainsi que l'huile de la table de chevet. Et comme à l'habitude, quand mon copain se sent extrêmement cochon, il m'arrose d'huile de bébé et me masse du cou aux pieds.. puis, quand il s'est mis à donner plus d'attention au creux de mes reins, au dedans de mes cuisses mais ce soir là, il a davantage travailler mon petit trou afin d'y enfiler un doigt, puis deux. Il y allait doucement, prenait bien son temps et quand il a senti que j'étais prête, il m'a enfilé mon vibro. Après quelques va-et-vient de mon jouet dans mon cul, il a inséré son membre dans ma chatte hyper-trempée. Il me baisait en faisant aller mon vibro en même temps. J'avais la main sur la chatte et je me branlais le clito. J'aurais pu jouir de cette façon si monsieur avait pas décidé, pour mon plus grand plaisir, de prendre la place du jouet en moi. Au début, les premières minutes furent lentes et bien dosées. Plus le temps avançait, plus je me sentais bien. La douleur faisait place au plaisir et je prenais réellement mon pied. Ça n'a pas duré longtemps encore. Quelques secondes et mon copain se retirait de mon cul pour jouir sur mes reins.. j'ai aimé la douceur avec laquelle on a débuté, j'ai aimé le «feeling» différent, l'excitation différente ainsi que la position adoptée. Je m'en mords toujours les lèvres. Depuis, nous le refaisons souvent. J'aime bien appuyer le petit lapin de mon vibro «rabbit» sur mon petit bourgeon et jouir sous les coups de bassins violents de mes amants..

2) Montrer 
5 images full sexe représentant tes perversions les plus secrètes..... 
Perversion °1; Analinctus. Quand mon homme prend le temps de bien lécher mon petit trou,  d'y mettre du sien, d'ajouter de la folie et des accessoires, je suis aux anges. Et si ça finit en orgasmes saccadés, alors je vote pour.

La lingerie est une perversion assez connue chez-moi.  Je rêve au jour  où je pourrai entrer dans une boutique de lingerie de toutes sortes, cuir, latex, dentelle ou autre et tout essayer au gré de mon envie.
Le gang-band où je serai aux genoux de 3 hommes arrivera un jour.  6 c'est un peu trop.. hihi!
Le «facesitting» est un fantasme chez mes amants. Je n'ai jamais tenté la chose mais ça m'intrigue beaucoup.
Au Grand Plaisir de mon amant Mr.G, mon fantasme absolu reste encore d'être soumise et restreinte, tous les sens et les membres. Hmmm..
__________________________

Puis, les demandes de Mariposa.

Parler de ma vie depuis Laigle et de mes coquineries de l'été


Ma vie depuis Laigle va bien. En fait, nous ne nous sommes pas revus depuis un petit bout. En fait, pas depuis la rupture.. nous sommes restés tout de même en excellents termes. Vous savez, nous ne pourrions pas laisser 2 ans de relation amant-maitresse s'effacer. Il n'y a aucune date d'échéance sur un couple et nous avons cru que c'était préférable de poursuivre malgré notre accrochage, pour voir ce qu'il nous restait à vivre ensemble. J'ai encore des sentiments pour lui, il en a toujours pour moi. Je ne sais pas quand sera notre prochaine rencontre, notre prochaine baise, nos prochains cadeaux anonyme dans nos boites aux lettres respectives. Je laisse le tout aller. Y a que la vie qui sait de quoi est fait notre avenir..


Mes coquineries. Ouff... c'est de loin l'été le plus occupé de ma vie entière. Je ne suis pas à la maison environ 80% du temps. Promotion au travail, projets qui m'occupent la tête, beaucoup de voyagement, du Québec-Montréal chaque semaine, toujours aux études à temps partiel pour la deuxième année, entrainement et développement d'un projet musical qui m'occuperait tout l'hiver aussi.. Bref, pas trop le temps pour les coquineries. En fait j'ai un weekend prévu pour les coquineries. Septembre approche à grands pas. Mon hotel est réservé, mes quelques jours off sont planifiés et j'aimerais beaucoup profiter de l'occasion pour faire découvrir des nouveaux trucs à mon couple. À travers ça, je reste en contact avec mon amant, si jamais une occasion en or se présentait... j'ai très hâte de le voir et j'ai l'impression que nous aurons encore quelques semaines d'attente avant de se revoir. On reste à l'affût.





Alors voilà. Ça complète ce billet. Mais j'attends toujours vos suggestions.
Que voulez-vous lire? Que voulez-vous que je vous dévoile?

Allez... vous ne saurez rien si vous n'osez pas. ;)


Bonne soirée mes coquins! xxx


8.12.2012

Mon fantasme du mois d'août



On se retrouvera un peu par hasard, à l'écart des regards. L'alcool aidant, nous nous laisserons tenter par un goût de l'aventure. Je la regarderai dans les yeux et tu comprendras. Elle me prendra par la main et m'amènera sur le sofa. Nous nous assoirons face à face et débuterons par un jeu de doigts sur la jambe de l'autre. J'aurai l'audace de relever sa cuisse sur la mienne afin d'écarter un peu ses jambes et libérer l'accès à sa chatte épilée. Ma main glissera sur son bas auto-fixant, de sa cheville à la mi-cuisses, tout en l'embrassant du bout des lèvres. Sa main se faufilera dans mon soutien-gorge et agrippera un de mes sein. Elle le massera doucement, pinçant de temps à autres le bout de mon mamelon pour augmenter l'intensité de mon excitation. Ma robe commencera à me déranger alors que sa jupe à taille-haute se fera facultative pour la suite des choses..

http://chacha-bi-fashion.skyrock.com/2703487248-lesbienne.html


Une fois les vêtements envolés, nous serons toutes deux au beau milieu du salon vêtues de culottes, de soutien-gorge et elle aura gardé son porte-jarretelle et ses bas, pour mon plus grand plaisir. Nous aurons recommencé à nous embrasser, plus passionnément cette fois. La tête me tournera un peu, mais j'aurais terriblement envie de poursuivre l'aventure. Son parfum fruité envahira mes narines et si je ne me retiendrais pas, j'irais tout de suite enfoncer 3 doigts dans sa chatte sans plus attendre. Mais il me faudra savourer le moment.



J'en perdrai des bouts sous l'effet du vin. Au moment où je reprendrai conscience de mon état, je serai couchée sur le sofa alors qu'elle aura un genou de chaque côté de ma tête. Elle me présentera sa chatte à ma bouche avide et tout de suite, je sentirai l'effluve de sa cyprine, je verrai l'humidité de son antre et je voudrai tout goûter. J'aspirerai avec un plaisir fou ce jus offert à ma langue, je lécherai sans perdre une goutte, m'agrippant à ses fesses pour l'approcher de moi un peu davantage. Ses lèvres, son clitoris, son petit trou serré deviendront mon terrain de jeu. J'aspirerai son clito entre mes lèvres délicatement et juste au moment où elle sera mouillée comme jamais, je laisserai glisser un doigt sur sa fente pour mouiller le bout de mon index. Je goûterai à sa mouille avec délectation, puis je replongerai deux doigts dans sa chatte serrée, faisant un va-et-vient qui la fera défaillir. Je la sentirai se redresser un peu afin que je la pilonne un peu plus profondément. À cet instant précis, je sentirai son corps se saisir, se secouer de spasmes, mes doigts resteront dans sa fente et j'aspirerai le fruit de sa jouissance..

Ces temps-ci, j'y pense très sérieusement. Ça me suit jour et nuit. J'aimerais bien trouver celle qui m'accordera ce bonheur..