Mon ami Xavier nous avait réunis chez-lui un vendredi soir afin de nous retrouver ensemble dans un autre contexte que celui du travail. Le souper devait débuter vers 19h et chacun devait apporter un petit quelque chose. Comme j'avais une partie de l'après-midi de libre, je me suis joint à lui afin de finaliser la préparation, faire quelques courses et m'occuper de ma partie du souper; le dessert. Comme je ne voulais pas me retrouver avec mon super
tiramisu au porto dans les mains, assise dans le bus au milieu de tous, j'avais apporté mes ingrédients chez Xavier et j'ai cuisiné chez-lui.
Nous avions ouvert une bouteille de rhum et nous enfilions des shooter de mojito «façon Xavier» à la vitesse de l'éclair derrière la cravate! Le tout en écoutant des vieux disques de BSB. Vraiment de toutes beautés..
Je fouettais ma crème en chantant avec un peu trop d'émotion quand j'ai vu la silhouette de Sarah, la colocataire de mon ami dans la vitrine de l'entrée du condo, qui devait revenir du travail dans le courant de la soirée et se joindre à nous. Elle s'était libérée plus tôt. Sitôt arrivée, les salutations et elle a filé sous la douche. De notre côté, tous les ingrédients étaient prêts pour le montage, qui lui allait attendre plus tard. Donc, nous nous sommes installés sur la terrasse derrière au soleil avec un verre de limonade pétillante et des brochettes de fruits frais, tout en jasant des dernières conquêtes de mon cher ami. Que de détails il avait à raconter! Comme lui et moi raffolons de beaux pénis, c'est assez facile d'entretenir une discussion, haha!
Quelques minutes plus tard, Sarah est venue nous rejoindre sur la terrasse, vêtue d'un chandail très sobre décoré d'un foulard de soie jaune et d'une jupe mettant en valeur ses jolies jambes. Des sandales aux teintes ensoleillées super jolies lui faisaient un look d'enfer! Sarah avait toujours en un goût développé pour la mode et savait tirer avantage de son physique, mettre ses atouts au grand jour pour soulever les compliments par dizaines. Quand elle s'est assise devant moi, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil à son décolleté -disons qu'il sautait aux yeux pas mal- et j'ai remarqué qu'elle ne portait aucun soutien-gorge. Xavier lui en fit la remarque:
«T'aurais pu te cacher les nipples, p'tite cochonne! On a de la visite!»
- Tu sauras mon cher qu'avec une paire comme la mienne, on la tient en liberté pendant qu'il est encore temps!
Je me mis à rire. Après lui avoir dit que ça ne me dérangeait pas trop, elle fit une grimace à Xavier et nous avons continué notre discussion au soleil jusqu'à ce que les autres invités arrivent.
Le souper s'est très bien déroulé. Les invités semblaient ravis de l'ambiance et le taux d'alcool montait autour de la table. Ça riait à s'en fendre l'âme!
Tout au long du souper, je ne pouvais m'empêcher d'admirer la poitrine de Sarah, qui attirait mes yeux sans que je ne le veuille. J'étais sublimée par le tonus de son muscle, par la forme parfaite de ses deux seins. Mais surtout par son audace. Je dis audace parce que ce n'était pas vulgaire du tout, c'était même plutôt sexy. J'aurais aimé avoir la moitié de son «guts». Quand nous avons nettoyé la table de la salle à manger et qu'il était temps pour moi de préparer les desserts de tout le monde, je me suis dirigée vers la cuisine. Sarah se chargeait de ramasser la vaisselle et de rincer le tout quand elle s'est adressée à moi:
-Je pense que Jimmy est aux hommes.
-Haha! Jimmy aux hommes!? Jamais de la vie, il aime beaucoup trop les cuisses de femme pour ça!
-C'est plate un peu qu'il n'ait pas porté attention à moi du souper.. C'est surtout surprenant qu'il n'ait pas porté son regard sur mon corps alors que toi, t'avais les yeux dans mon chandail toute la soirée.
Je suis restée figée. Je me sentais rougir.
Sarah me dit:
-Tu sais, je ne t'en veux pas. Ils sont là, tout le monde les as à vue, aussi bien en profiter!
-Je me gâte pas mal moi en tous cas, lançais-je d'un petit rire nerveux.. puis, je me suis retournée vers elle avec ma spatule de mascarpone à la main. Elle avait enlevé son chandail et s'approchait de moi.
J'ai bloqué et j'ai éclaté de rire.
Elle me souriait et me fixait dans les yeux intensément.
-Tu voudrais toucher peut-être?
-Euh non, ça va. Juste les regarder me suffit grandement! En fait, tu m'impressionnes tellement dans ton attitude, tu dégages quelque chose de terriblement attirant Sarah!
Elle riait.
-Tu me donnes un lichette de fromage?
J'ai étiré le bras vers elle, pensant qu'elle allait prendre la spatule, mais elle se fit plutôt à lécher l’ustensile, me fixant toujours. C'était à la fois gênant, mais aussi invitant.. C'est alors qu'elle mis un peu de fromage sur le bout de son seins gauche et m'invita à le lécher. Mes facultés affaiblies me font faire des trucs étranges parfois...
Alors j'ai penché la tête un peu et ai tiré la langue pour recueillir le mascarpone onctueux sur son sein. J'étais consciente de la probabilité de nous faire surprendre par n'importe qui dans la cuisine, alors que 8 autres personnes se trouvaient à la salle à manger dans la pièce d'à côté. Mais mon désir de la baiser a pris le dessus et bientôt nous nous embrassions passionnément contre l'îlot au centre de la pièce. J'empoignais son sein d'une main, sa fesse de l'autre et un frisson intense m'a parcouru quand j'ai entendu des talons s'approcher de nous. Sarah s'est précipité derrière la porte du frigo ouverte pour cacher sa semi-nudité et j'ai repris ma spatule pour terminer mon dessert.. C'était Geneviève qui venait nous demander de ramener du vin. Fiou.
Nous avons décidé de retourner à la salle à manger avec le groupe pour nous régaler. Après le dessert, des gens se sont retrouvé au salon, sur le sectionnel de cuir pour chanter du karaoké, d'autres visitaient le condo de mon ami pour découvrir les pièces de l'étage du dessus. Je rangeais ce qui restait de vaisselle quand Sarah est venue me voir à la cuisine pour me demander à l'aider à descendre des chaises, du garde-robe de sa chambre jusqu'au salon. J'ai accepté sans hésiter, toujours prête à me rendre utile. Mais une fois en haut, elle a refermé et barré la porte. Des pensées défilaient dans ma tête. J'étais très affectée par le vin et je n'ai eu aucune envie de m'enfuir de la chambre.
D'un regard de complicité, nous nous sommes dévêtues et allongées sur le lit. Quand sa main désireuse a trouvé le chemin de ma chatte, j'ai cru m'effondrer de bonheur. Je me sentais mouillée comme jamais, mes seins voulaient tellement être goûtés par ses lèvres. Je la caressais avec frénésie tandis qu'elle s'affairait à lécher mes hanches et mon ventre pour m'exciter un peu plus.. sa langue a atteint mon bourgeon quelques secondes plus tard, quand je ne m'y attendais plus. C'était un sentiment puissant de désir qui m'avait envahit, avec cet organe habile et chaud sur mes petites lèvres.. elle me dévorait et gémissait comme une chatte en chaleur. J'avais envie de la satisfaire aussi. J'ai pris son bassin et j'ai approché ses fesses de ma bouche. Je pouvais donc lécher allègrement son cul ainsi que sa vulve sans arrêt. J'avais deux doigts dans sa chatte chaude qui entraient et sortaient, cherchant à la faire défaillir sur moi, pour qu'elle se souvienne de son souper, de sa soirée, de son plaisir.. J'insérais 3 doigts à la fois dans sa chatte que je pilonnais de la main droite tandis que mon pouce et mon index écartaient ses fesses pour que je puisse lécher son beau petit cul. J'aimais encore plus donner le plaisir que de le recevoir. J'ai pris conscience de son véritable «guts» à la seconde où elle a inséré 2 doigts dans mon cul, bien lubrifié de ma mouille qui s'y infiltrait et 4 dans ma chatte luisante. Elle avait trouvé comment me plaire. Mes gémissement et mes spasmes de plaisir se faisaient bien descriptifs du plaisir que je prenais à ce moment. C'est surtout quand elle s'est levée pour aller chercher son vibrateur et un dildo «jelly» sur un harnais que j'ai compris qu'elle ne voudrait plus s'arrêter..
Nous entendions nos amis chanter en bas. C'était affreux. Ils n'avaient aucun talent mais tant que personne ne viendrait nous chercher en haut, ça nous allait quand même comme fond sonore. Ça étouffait assez bien notre jouissance, jusqu'à ce que...
(Suite dans le prochain billet..)