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La chambre de l'hôtel était au 3ième étage, là où la vue splendide sur la ville donne un cachet particulier aux rencontres bestiales dont j'avais envie ces derniers temps. L'automne projetait ses couleurs sur les rues, les bâtiments, les visages maussades des citadins. Ce matin-là, j'avais un immense mal de tête, quelques griffes sur le dos et un parfum musqué sur la peau.. Les draps étaient fripés, le fauteuil d'appoint gisait au beau milieu de la pièce et sur l'accoudoir était resté une traînée de sperme séché.. Trois verres traînaient sur la table de chevet, avec la bouteille de mousseux toujours dans le seau à glace, mais vidée jusqu'à la dernière goutte. Comme moi.
...Il n'avait fallu que 25 minutes entre le message d'invitation et la réponse que j'avais lancée à mon amant. J'avais envie de lui. J'étais seule pour la soirée, je voulais sortir prendre l'air un peu.. Nous nous étions donné rendez-vous au Café Du Monde pour 19h30, ayant envie d'une bonne bouffe, d'un bon vin et de bons fous rire comme nous avons l'habitude d'avoir. Ce soir-là, la température était anormalement fraîche, et ce même si le mercure nous avait donné un bon confort toute la semaine. Armée de mon écharpe, de ma belle robe noire et de mon sac à main, je suis embarquée dans un taxi pour joindre mon mâle dans le Vieux-Port, ne m'inquiétant pas du plaisir que j'aurais durant la soirée..
Arrivée à destination, je le vois qui m'attend à l'entrée du restaurant. Vêtu d'un belle chemise et d'un pull de laine par dessus, il arbore fièrement la barbe et est tout sourire. Je ne l'avais pas vu aussi beau depuis des semaines.. Il me fait donc bien plaisir de l'embrasser sur la joue d'abord, puis.. lentement nos lèvres se touchent, se puisent et, dans une étreinte amoureuse, je l'entends me dire que je lui ai manqué. Il sent si bon. Il est si doux, et pourtant si affectueux... je sens que je ne laisserai pas repartir sans lui avoir tout donné de mon énergie ce soir.. quitte à le prendre de court et lui offrir sur un plateau d'argent, mon corps, ma chatte et mon dévouement.
Le souper se passe bien. L'attente des entrées a fait place à une discussion sur notre quotidien puis, plus le repas avançait, plus je tentais de dissimuler mon désir de le baiser... nos pieds s'étaient déja trouvé sous la table. Nos yeux se parlaient d'eux même.. puis, partie me refaire une beauté après le dessert, monsieur en a profité pour passer un coup de fil à l'Hôtel PUR pour nous réserver une petite chambre pour la nuit. Tout cela sans que je ne le sache...
Après avoir insisté pour payer la totalité de la facture, nous avons entrepris une petite marche sur le bord de la marina. Les voiliers semblaient tellement luxueux et donnaient tellement l'envie de partir à la dérive que nous nous sommes assis sur le bord du quai et avons commencé à chanter quelques ballades.. nos mains se cherchaient, puis dès qu'elles se sont trouvées, ce fût ses lèvres qui s'approchèrent de ma nuque, ensuite sa jambe de ma cuisse et son corps au complet couché sur le mien.. La soirée était éclairée de la pleine lune, la brise du Port rendait nos étreintes plus chaudes et rapprochées encore..
Quand le temps fut venu de repartir, je l'ai invité à m'accompagner chez-moi, où une belle bouteille de rosé nous attendait. Ne disant pas un mot sur sa manigance, il me fit signe de la tête, et monta dans sa voiture après m'avoir ouvert la porte à la façon d'un gentleman..
Il prit une cravate qui traînait sur le siège arrière et me banda les yeux, me faisant jurer ma confiance envers lui. J'ai tout de suite embarqué dans son petit jeu sans même me demander ce qui adviendrait de ma soirée...Après quelques minutes à peine à rouler, il stationna l'auto et m'en fit descendre. C'est à ce moment que je venais de réaliser que j'allais enfin passer toute une nuit avec lui, enfin. Nous sommes montés à la chambre, franchissant maintenant 3 étages dans l'élévateur sans même se quitter des yeux, et si tôt la porte refermée, nous nous sommes jetés dessus comme deux bêtes sauvages. Je sentais sa main qui allait de mes fesses à ma chatte déjà affolée, sa bouche passer de ma bouche à mon cou, et je retenais sa tête tant bien que mal, passant les doigts dans ses cheveux grisonnants, refusant de me laisser aller aussi rapidement. Mais ce fut peine perdue, puisque je savais d'ors et déja que je n'aurais pas le contrôle sur le tempo de cette baise succulente et bestiale.
Je n'ai eu le temps que de jeter mon sac à main au sol que rapidement, monsieur retirait ma robe et me laissait à demi-nue sur le seuil de la chambre. Je portais mes souliers rouges à imitation de peau de serpent, avec une guêpière et un slip assortis. Un long collier fait d'anneaux de métal et de diamants glissait entre mes seins, laissant sur ma peau un frisson. Mon parfum, activé par les hormones qui me dominaient totalement, avait pris sa facette plus affriolante et plus enivrante que jamais. J'avais terriblement envie de lui faire subir le même traitement.. j'ai donc détaché sa ceinture et, laissant tomber au sol son pantalon propre j'ai aperçu sa queue fièrement dressée devant moi. Je cherchais à combattre cette envie de la lécher, de l'absorber dans ma bouche comme une vraie salope, celle qu'il me sait être. Mais je n'ai pas eu besoin de me retenir trop longtemps, déjà il poussait sur mon cou pour que je descendes à ses genoux, lui offrir le traitement si gentiment mérité.
Après avoir humecté le bout de son gland bien rougi d'excitation, je m'amusais à étirer ma salive de mes lèvres à sa queue comme il aime que je fasse. Le regardant droit dans les yeux, je lui permet quelques fois de me gifler la joue en me traitant de traînée, ce qui tendait à m'exciter à un niveau supérieur. Puis, peu à peu, plus aucun contrôle sur mes mouvements. Il a pris ma tête entre ses mains et s'amusait à m'enfoncer son pieu jusqu'à la garde au fond de la gorge, sentant mes muscles se resserrer autour de sa queue. Il la baisait bien ma bouche. Les larmes me coulaient de chaque côtés du visage et j'avais les mains bien croisées dans le dos, signe de ma soumission complète. Et puis, quand il en a eu assez, il m'a relâcher un peu.
Redevenu doux comme un agneau, il est parti dans un coin de la pièce avec son cellulaire en main. Pendant ce temps, je suis allée éponger ce qui me restait d'eye-liner et tout sourire, je suis revenue, toujours armée de mes souliers à talons, sur le lit où il m'attendait, couché et offert, tout à fait nu. Loin d'être dominatrice au lit, je me suis permis de le mettre un peu à mes ordres.. après m'être blotti entre ses jambes, j'ai recommencé à lécher sa queue, la mouillant bien de ma salive et laissant couler le fluide sur toute la longueur de sa verge, j'ai commencé à le masser doucement..
Bientôt, ma langue s'est jointe à la partie de plaisir et voyant qu'il avait peine à retenir son orgasme, j'ai changé de tactique.. j'ai délaissé sa queue un instant et j'ai commencé à lui lécher les bourses, l'aine.. puis, j'ai atteins son petit trou tout refermé pour aller le caresser un peu..
J'aime prodiguer cette caresse à un homme. Sur lui, c'est tellement un charme! Je l'entendais ronronner à mesure que ma langue se faufilait entre ses fesses. Je lui attrapais les bourses d'une main tandis que je léchais l'espace entre son cul et ses couilles rasées. Je le voyais grimacer, au bord de la jouissance, au bord du point de non-retour.. puis, j'ai activé ma main sur sa verge, pour déclencher le plaisir absolu.
Il a pris d'un coup ma tête entre ses mains et m'a carrément entré sa verge au fond de la gorge, me la retenant fermement pour que j'avale toute sa semence chaude et texturée d'un seul coup..
Lorsque je me suis relevée, manquant visiblement d'air, j'ai toussé un peu et mes yeux se sont vite fermés. Encore une fois, je venais de dépasser une limite.. et j'aimais le sentiment de fierté que je lisais dans ses yeux.
Après quelques minutes de relaxation, où j'étais collée sur son corps, à jouer dans les boucles de son torse, on entendit frapper à la porte. Je savais, d'un coup d'oeil, ce qui m'attendait. Je savais tellement..
Déja quelques mois que je lui parlais d'un fantasme que j'entretenais. Celui de faire l'amour avec deux hommes. J'avais envie qu'on ne s'occupe que de moi, de tout de moi. D'un bond, il me remit la cravate sur les yeux, me fit m'asseoir dans le fauteuil d'appoint, il est donc allé ouvrir la porte, nu comme un ver.
Assise pourtant assez près d'eux, je n'ai entendu que de petits murmures entre les deux hommes, une bouteille avait été déposée sur la table en verre de l'entrée. puis plus rien. Mon amant a inséré un disque de musique «loundge» pendant que son ami se dévêtait lentement à côté de moi.. je l'entendais me murmurer à quel point il avait envie de baiser une belle chienne comme moi, qu'il avait envie que je garde en mémoire le souvenir de cette soirée sans pour autant savoir qui il était..
J'ai senti sa main soupeser mon seins gauche, puis, le droit. J'ai senti ensuite, une autre paire de main ouvrir mes cuisses et une langue se frayer un chemin jusqu'à mon antre, déja terriblement humide et odorant. Puis, une autre paire de main me fit me tourner la tête vers la droit pour ma mettre au bord des lèvres une queue de calibre plus intense que la première à laquelle j'avais eu droit auparavant. Je la pris en bouche sans broncher, laissant le vin et la musique faire effet. Je sentais la langue habile de mon amant tournoyer autour de mon clito en feu, l'aspirant et le suçant sans gêne, avec une passion et un désir de me faire monter au 8ieme ciel indescriptible... Puis, il ouvrit encore davantage ma jambe et me la posa su rle bord du fauteuil. Je me suis retrouvée assise un peu à l'oblique et, penchant ma tête vers l'arrière, je pouvais laisser ma gorge bien ouverte à la queue qui prenait plaisir sous ma langue avide. Je sentais mon homme insérer quelques phalanges dans ma chatte terriblement excitée. Quand le temps fut venu, il entra presque sa main et d'un mouvement rapide et maintenu, il a réussi à me faire exploser sur le fauteuil, laissant sa main et une parti du tapis trempées de ma mouille. J'étais à bout de souffle déja que les hommes ont changé de place. Me faisant me mettre à genoux sur le fauteuil, face au dossier, l'un d'eux a pu tantôt pénétrer ma petite chatte offerte, tantôt lécher mon cul pointé, pendant que l'autre attrapait ma crinière de cheveux longs pour contrôler ma bouche autour de sa verge. Je gémissait de coups de bassins tous plus profonds et dilatants les uns que les autres. J'aurais voulu crier ma jouissance comme j'ai l'habitude de le faire, mais impossible avec une queue dans la bouche. J'arrivais tout de même à faire assez de bruit pour recevoir une gifle sur une fesse de temps en temps pour me calmer. Mes souliers encore accrochés à mes pieds me donnaient le sentiment d'une vedette de la porn, tandis que la situation incroyable dans laquelle je me retrouvais me donnait envie d'enlever mon bandeau pour découvrir le secret..
Je me suis retrouvée avec ma mouille partout sur le corps, couchée sur le lit, à me faire pilonner par un des deux hommes pendant que l'autre embrassait mes seins et mon cou.. Puis, il m'ont prise chacun leur tour, dans la chatte et dans la bouche sans arrêt pendant près d'une demi-heure avant que mon amant me dise de me mettre à quatre pattes sur le lit. J'ai pu sucer les queues de mes deux amants de la soirée tour à tour, parfois en même temps, j'ai pu les prendre en mains toutes les deux et me délecter de leurs saveurs si différentes.. Puis, le copain de mon amant m'a fait me remettre à genoux sur le fauteuil afin de terminer sa baise comme bon lui semblait.. alors qu'il me pilonnait fièrement, il m'agrippa à la gorge, tirant mes cheveux et me couvrant de termes tous plus sauvages et bestiaux les uns que les autres, il pu jouir dans le creux de mes reins, étendant sa semence entre mes fesses du bout de sa queue pour me souiller. Puis, ce fut le tour de mon amant de venir déverser son flot de spermes sur moi... il me fit me mettre à genoux sur le tapis alors qu'il prit place dans le fauteuil, et, contrôlant encore une fois le mouvement de ma tête, il a pu s'insérer complètement dans ma gorge. À sa première giclée de sperme, j'en étais à reprendre mon souffle et le liquide blanchâtre est allé s'étendre sur l'accoudoir du fauteuil... tout le reste, je l'ai avalé. Je demandais encore.. Je me délectais de cette semence si chaude et consistante.
L'ami de mon amant se rhabilla vite. Après avoir bu une coupe de mousseux qu'il nous avait si gentiment apporté, il avait pris la poudre d'escampette. Mon amant m'a enlevé le bandeau que quelque minutes après son départ. Je me souviens encore de sa voix, de sa peau, de son odeur, de sa queue... son goût, sa texture..
Le reste de la nuit, nous avons profité de la chambre a bon escient. Après avoir fait l'amour passionnément, au petit matin, mon amant a pris sa douche et est reparti à la maison, me laissant dormir dans les draps que nous avons souillé avec tellement de plaisir...
Un deux pour un comme je les aime!
Mamz'Elle J xx
J'aimerais bien savoir si c'est fiction ou non! Je dirais non, car de ce que j'ai déjà lu, ton amant n'est pas si sauvage avec toi! J'ai trouvé cela brutal parfois. Je suis de ceux qui croit qu'une femme doit être respectée!!
RépondreSupprimerSi s'est de la fiction, ça ne devrait pas le rester longtemps, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerJ'aimerais bien connaître intimement cet amant-là :)
Si c'est d'la fiction ou de d'la réalité? Who cares! C'est foutrement bon!
RépondreSupprimerEt la réaction que ça m'a provoqué : ça c'est pas d'la fiction, oh que non!!!!
Les mots ont une telle portée parfois que c'est inutile de résister, faut se laisser emporter.
Brutal, brusque, doux, gentil... tant que vous y êtes à l'aise et comblée.
Bravo.
Le Mec
Merci. Se fut delicieux. Azu xxx
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